Month: March 2021

Ils sortent leurs proches de l’Ehpad

Auteur(s): Pryska Ducoeurjoly, journaliste indépendante

Epuisées par l’attente interminable d’un allègement des restrictions, certaines familles prennent aujourd’hui la décision de sortir leur proche de la maison de retraite. Témoignages.

Depuis trois mois, Céline a repris sa mère à la maison après deux ans passés en Ehpad. « Les confinements à répétition, les parloirs, les privations de droits et de liberté ont largement motivé cette décision. Mais c’est aussi lié à l’absence de dialogue et de projets d’accompagnement, au refus de respecter le contrat de séjour et les droits de ma mère, à l’épuisement de ne pas pouvoir me faire entendre », explique la jeune femme de 36 ans, habitante du Var.

Cela fait maintenant un an que les 600 000 résidents des Ehpad sont soumis à des normes sanitaires plus strictes que le reste de la population sanitaire sans que les aspects éthiques ne pèsent dans la balance face à l’impératif sécuritaire. Prolonger la vie oui, mais à quel prix ? Dans une tribune du Figaro, parue le 6 février, les proches aidants dénoncent « un principe de précaution poussé à l’extrême ». Confinés avant les autres dès le 9 mars, déconfinés plus tardivement mais pas complètement, les résidents demeurent encore interdits de sortie ou confinés en chambre selon les établissements.

« Je me suis préparé psychologiquement »

Pierre vient donc de renouer avec son rôle d’aidant familial, déjà assumé pendant 8 ans, avant le placement de sa mère en Ehpad. Depuis mars 2020, il appelait matin et soir pour soutenir le moral de Janine, âgée de 91 ans. Au fil des mois, ce coaching téléphonique quotidien compensait de moins en moins le manque affectif. Le 27 février dernier, Pierre est donc venu chercher sa mère pour la ramener définitivement à la maison. Un grand moment d’émotion après 5 mois d’interdiction de sorties (voir la vidéo ci-dessous). « Je préfère mourir maintenant dans tes bras plutôt que de vivre plus longtemps là-bas », confirme Janine pendant les embrassades.

« Je me suis préparé psychologiquement car je sais tout le travail et les sacrifices personnels que cela représente. Il est absolument vital de cultiver une bonne attitude intérieure et de pouvoir compter sur une bonne équipe d’intervenants. Il faut aussi prendre des temps de repos et maintenir des activités personnelles pour ne pas s’épuiser. Si je vais bien, le moral de ma mère se porte bien aussi ! Cette prise en charge est un défi quotidien, qui met à l’épreuve nos limites, mais je remercie la vie de nous offrir cette expérience pour grandir ensemble dans la solidarité et l’amour. Je remercie tous ceux qui nous apportent leur aide, notamment ma famille et tous les amis présents à nos côtés ».

Janine quitte la maison de retraite :

« J’ai l’esprit beaucoup plus tranquille »

Pour Céline, la décision de reprendre avec elle Monique, âgée de 76 ans, a aussi nécessité une importante réflexion, un travail de préparation en amont pour la constitution d’une équipe mais également un changement de domicile personnel, pour tenir compte de la sécurité et de l’ergonomie de la personne dépendante. Un cheminement que ne peuvent pas faire tous les proches des résidents. « En octobre, les choses étaient claires pour moi, je devais tout faire pour sortir maman. Mais ce n’est qu’à la fin de l’année 2020, le 18 décembre, que j’ai enfin pu venir la chercher ».

Céline avait identifié au téléphone le syndrome de glissement mais, à la sortie, elle a découvert une situation plus grave : « Elle était dénutrie, avec de gros kystes aux reins, une insuffisance rénale aggravée et une hernie intestinale… Je regrette que, dans cet Ehpad comme dans le précédent, le suivi médical n’ait pas été à la hauteur, malgré un coût de 2700€ par mois… Aujourd’hui, ma mère va mieux. Je peux enfin assurer un accompagnement approprié. Bien que la charge de travail et l’organisation soit énorme, et malgré un contre-coup que je n’ai pas anticipé, j’ai l’esprit beaucoup plus tranquille et je me sens moins fatiguée. Et ma mère a pu éviter un troisième confinement en chambre, à nouveau décrété début 2021 dans son ancien Ehpad. »

L’univers des aidants familiaux

Pierre travaille à domicile et va donc pouvoir aménager ses plages de travail en fonction de l’emploi du temps de sa mère. Céline, pour sa part, a la chance d’avoir un employeur « très conciliant » avec son statut d’aidante, qui lui accorde une flexibilité dans les horaires. « Je conseille à tous ceux qui tentent cette expérience de se déclarer comme “aidant familial” car cela permet d’avoir le soutien de certaines structures[1]. Je leur conseille aussi de s’entourer d’intervenants à l’écoute, si possible formés à la santé de l’aidant. Il ne faut pas hésiter à changer si cela ne convient pas. La santé et le bien-être de l’aidant sont le pilier du dispositif à domicile. C’est nécessaire d’en avoir conscience si on veut tenir dans la durée ! »

Des Ehpad devenus prisons

Avec le recul, Céline estime que le mantra sanitaire « isoler pour protéger » a mis en danger la vie de sa mère : « Non seulement Monique a vécu deux confinements en chambre, délétères pour sa santé mentale, mais ses examens médicaux ont été annulés, comme son scanner. Elle a aussi passé 10 mois sans lunettes de vue et déclenché un début de cataracte. Impossible pour moi d’intervenir, et bien sûr, il ne m’a plus été possible de faire entrer dans l’établissement des accompagnants extérieurs comme l’art thérapeute et la sophrologue malgré le contrat d’accompagnement. Quant aux visites au parloir, je les ai évitées au maximum car il y avait une sono pour amplifier la conversation et en faire profiter tout l’établissement… Comment ma mère pouvait-elle me faire part des dysfonctionnements ? Où est l’intimité ? »

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Au parloir de cet Ehpad du Var, le visiteur est dans le box. Un micro relié à une sono permet de s’entendre, mais sans confidentialité des échanges.

Pour Céline, l’heure est donc au soulagement : « Je n’ai plus à gérer à distance la santé de ma mère ni à composer avec une institution qui devient maltraitante, au sens de la définition du Conseil de l’Europe de 1987 [2]. Cette maltraitance touche aussi bien le personnel, les résidents et leurs familles. Un exemple parmi d’autres, j’ai découvert qu’on avait vacciné ma mère contre la grippe sans notre consentement, simplement parce que le médecin coordinateur l’avait décidé, sans même prévenir le médecin traitant. Ma protestation par courrier n’a reçu aucune réponse ».

Des familles impuissantes, usées moralement

A la différence de Céline, Françoise ne peut pas sortir son mari de l’Ehpad. Son statut d’aidante ne serait d’ailleurs pas officiellement reconnu, car elle est la conjointe de Jacques. « C’est à contrecœur que j’ai placé mon mari, âgé de 85 ans, en Ehpad. Il y est entré juste avant la crise sanitaire. Mais comment faire lorsqu’on est allé au bout de ses forces et qu’on n’est plus en capacité d’assumer ? Aujourd’hui, c’est émotionnellement très compliqué, pour lui comme pour moi. Si je pouvais, je le reprendrais. Concrètement, il faudrait trouver plusieurs personnes de confiance pour se relayer 24h sur 24. Ce n’est pas évident. Par ailleurs, l’hospitalisation à domicile coûte extrêmement cher. Nous sommes en pleine réflexion, mais actuellement, nous ne voyons aucune alternative pour soulager Jacques », déplore Françoise, 84 ans.

Comme beaucoup de familles, Françoise est confrontée à l’exclusion des proches aidants. « Cela use vraiment le moral. Nous pouvons voir les soignants serrer nos proches dans les bras mais, pour nous, cela reste interdit. C’est meurtrissant. Deux fois j’ai craqué au parloir et j’ai pris mon mari contre moi. Vaut-il mieux que Jacques meurt de manque affectif ou bien de maladie ? Tout le personnel de l’Ehpad a été déclaré positif et ils s’en sont tous sortis. Mon mari aussi. Mais s’il devait mourir aujourd’hui, dans l’état de santé qui est le sien, je ne dirais pas que c’est le covid qui l’a tué… »

Une logique de plus en plus comptable

Françoise ne pensait pas vivre une telle situation dans sa paisible contrée de Dordogne. « Dans l’Ehpad de ma belle-mère, qui comptait 40 personnes, nous avons connu une gestion familiale. Puis un jour un changement s’est produit. D’immenses travaux ont été effectués pour augmenter la capacité à 80 personnes. Le directeur a été remplacé par une femme plus portée sur l’administratif que sur le contact humain. On a vraiment l’impression que le grand âge devient une grosse affaire. Des groupes cotés en bourse investissent dans les maisons de retraite et appliquent froidement leur impératif de rentabilité. Malheureusement, cette logique semble désormais contaminer les établissements publics. On ne s’occupe plus vraiment d’accompagnement personnalisé. La crise sanitaire éclaire plus crûment cette dérive dans la prise en charge de nos personnes âgées ».

Alors qu’au niveau national les syndicats demandent depuis l’été 2020 la création de 200 000 emplois supplémentaires pour permettre aux Ehpad de mener correctement leur mission, nos aînés n’ont pas fini de payer la facture de l’abandon de l’Etat. Ils doivent aussi maintenant subir une nouvelle discrimination sanitaire, avec des sorties que le ministre de la Santé souhaite désormais conditionner à la vaccination

Une ligne d’écoute

L’Agence régionale de santé (ARS) d’Occitanie en collaboration avec France Assos Santé (la voix des usagers) propose un service d’accompagnement d’écoute et de dialogue éthique (SAEDE) avec une ligne téléphonique dédiée (08 01 902 303) pour répondre aux situations difficiles et aux blocages entre les résidents ou leurs familles et les Ehpad. Si vous avez essayé ce service d’écoute, vos retours nous intéressent, en commentaires à la suite de cet article.
 

Pryska Ducoeurjoly est journaliste indépendante, spécialisée en santé.

Elle confie “Je suis également la conjointe de Pierre cité en témoignage. J’ai eu l’occasion d’être au plus près de la situation vécue dans les Ehpad et j‘ai ainsi pu filmer avec l’appui d’un professionnel la sortie de ma belle-mère, Janine. La charge mentale d’avoir un proche en souffrance en Ehpad est particulièrement difficile à vivre humainement. Même si je suis moins touchée que mon conjoint, la sortie de Janine est pour moi un soulagement car cela permet de reprendre la main sur une situation où je me sentais, comme beaucoup, impuissante”.

[1] N’hésitez pas à solliciter les associations, le Conseil départemental, le Centre communal d’action sociale, votre mutuelle, votre caisse de retraite et caisse de retraite complémentaire, les plateformes d’accompagnement et de répit. Voir aussi “Quelles sont les différentes formes possibles de rémunération pour le proche aidant ?

[2] « Une violence se caractérisant par « tout acte ou omission commis par une personne, s’il porte atteinte à la vie, à l’intégrité corporelle ou psychique ou à la liberté d’une autre personne ou compromet gravement le développement de sa personnalité et / ou nuit à sa sécurité financière. » Par exemple : défaut de soins de base, non-information sur les traitements ou les soins, abus de traitements sédatifs ou neuroleptiques, défaut de soins de rééducation, limitation de la liberté de la personne.

Lire aussi :

ARS, syndrome de l’étatisation sanitaire, France Soir, 15 juin 2020
Les Ehpad exténués par le confinement, Pryska Ducoeurjoly, 29 juin 2020

Auteur(s): Pryska Ducoeurjoly, journaliste indépendante
Source : https://www.francesoir.fr/societe-sante/ils-sortent-leurs-proches-de-lehpad-temoignages

Floride : Un juge retire l’enfant de sa mère parce qu’elle est “anti-masque” et lui impose un ultimatum pour le vaccin Covid

Les déclarations documentées du juge de Floride révèlent un parti pris politique flagrant.

Une interview choquante de Stew Peters, de Red Voice Media, expose la situation cauchemardesque d’une mère après qu’un juge de Floride a décidé qu’elle ne pouvait pas voir son fils parce qu’elle avait posté une photo sans masque sur les réseaux sociaux.

Au cours d’une bataille pour la garde des enfants avec son ex-mari, Melanie Joseph s’est vu retirer ses droits parentaux après qu’un tribunal a jugé qu’elle représentait un “danger” pour l’enfant parce qu’elle était “anti-masque”.

Un enregistrement audio révèle que le juge du comté de Broward, Dale C. Cohen, a déclaré au tribunal qu’il pensait que la “crédibilité de la mère était très faible”.

“Je ne crois pas grand-chose de ce qu’elle a témoigné”, a dit le juge Cohen. “Um, elle est l’une de ces personnes anti-masque et elle a l’audace de poster sur les réseaux sociaux qu’elle est une personne anti-masque”.

Joseph a dit à Peters qu’elle n’était pas “anti-masque” et qu’elle avait plutôt mis en ligne une photo pré-pandémique.

Le juge se serait également inquiété des photos de la mère avec son arme, pour laquelle elle possède un permis.

Expliquant sa décision, le juge Cohen a déclaré : “Si la mère veut un partage de la garde en personne, ce sera dans le comté de Broward, elle devra venir, elle paiera pour un superviseur et elle portera un masque. Et si elle ne le fait pas, le partage de la garde ne se fera pas.”

“Quand cette pandémie sera terminée et qu’il n’y aura plus de cas et qu’il y aura un vaccin et des preuves… eh bien, le père va se faire vacciner pour l’enfant, mais vous savez que la mère va devoir se faire vacciner aussi. Et, lorsque j’aurai la preuve que tout le monde est en sécurité et que l’enfant n’est pas en danger, alors nous pourrons parler d’un plan parental de longue distance, mais pour l’instant son partage de la garde est suspendu”, a décidé le juge.

Expliquant comment la mère est “un danger” pour son propre enfant, le juge Cohen a déclaré : “Elle est un danger à cause du COVID et elle ne prend pas les précautions nécessaires. Quand le COVID sera passé, je ne pense pas qu’elle sera un danger.”

Cette affaire choquante révèle à quel point le système judiciaire américain est corrompu.

Gardez à l’esprit que cela se passe dans l’État rouge de Floride où le très populaire gouverneur Ron DeSantis est en charge.

Source : https://nworeport.me/2021/03/25/judge-takes-child-from-mother-because-shes-anti-mask-forces-covid-vaccine-ultimatum/
Traduction par https://cv19.fr

Rejeter la théorie des germes de Rockefeller une fois pour toutes

par Jon Rappoport

Note : Dans un certain nombre d’articles, j’ai présenté des preuves convaincantes que les décès attribués au COVID-19 peuvent être expliqués sans référence à un virus. De plus, quels que soient les mérites des “traitements alternatifs”, je ne vois aucune preuve convaincante que leur action ait quelque chose à voir avec la “neutralisation d’un virus”.

Toute la fraude tragique, criminelle, meurtrière, stupide et farfelue du COVID est basée sur cent ans de médecine Rockefeller – une tyrannie pharmaceutique dont le thème récurrent est :

UNE MALADIE, UN GERME.

C’est la devise gravée sur la porte du cartel médical.

-Des milliers de maladies soi-disant distinctes, chacune causée par un germe individuel.

“Tuer chaque germe avec un médicament toxique, prévenir chaque germe avec un vaccin toxique”.

En l’absence de ces cent ans de fausse science et de propagande, la promotion du COVID-19 serait passée comme une mauvaise blague. Quelques rires aigris, et puis plus rien, si ce n’est que les gens continueraient à vivre leur vie.

La santé globale d’un être humain est liée à des facteurs qui n’ont rien à voir avec “une maladie, un microbe”.

Comme je l’ai cité, par exemple, à la fin d’un article récent-

“Le taux de mortalité combiné de la scarlatine, de la diphtérie, de la coqueluche et de la rougeole chez les enfants jusqu’à quinze ans montre que près de 90 % de la baisse totale de la mortalité entre 1860 et 1965 s’était produite avant l’introduction des antibiotiques et la généralisation de l’immunisation. Cette récession peut être attribuée en partie à l’amélioration des logements et à une diminution de la virulence des micro-organismes, mais le facteur de loin le plus important était une plus grande résistance de l’hôte due à une meilleure nutrition.” Ivan Illich, Medical Nemesis, Bantam Books, 1977

Et Robert F Kennedy, Jr : “Après avoir étudié en profondeur un siècle de données enregistrées, les Centres de contrôle et de prévention des maladies et les chercheurs de Johns Hopkins ont conclu : ‘Ainsi, les vaccinations n’expliquent pas les baisses impressionnantes de la mortalité due aux maladies infectieuses observées dans la première moitié du vingtième siècle’.”

“De même, en 1977, les épidémiologistes de l’Université de Boston (et mari et femme) John et Sonja McKinlay ont publié dans le Millbank Memorial Fund Quarterly leur travail fondamental sur le rôle que les vaccins (et d’autres interventions médicales) ont joué dans la baisse massive de 74% de la mortalité observée au vingtième siècle : “The Questionable Contribution of Medical Measures to the Decline of Mortality in the United States in the Twentieth Century”(La contribution discutable des mesures médicales à la baisse de la mortalité aux États-Unis au vingtième siècle).

“Dans cet article, qui était autrefois une lecture obligatoire dans les écoles de médecine américaines, les McKinlay soulignent que 92,3 % de la baisse du taux de mortalité s’est produite entre 1900 et 1950, avant que la plupart des vaccins n’existent, et que toutes les mesures médicales, y compris les antibiotiques et les interventions chirurgicales, ‘semblent avoir peu contribué à la baisse globale de la mortalité aux États-Unis depuis environ 1900 – ayant dans de nombreux cas été introduites plusieurs décennies après qu’un déclin marqué se soit déjà installé et n’ayant aucune influence détectable dans la plupart des cas’.”

La façon dont le système immunitaire (si c’est un système) fonctionne réellement dépasse les hypothèses médicales actuelles.

“Les cellules T, les cellules B, les neutrophiles, les monocytes, les cellules tueuses naturelles, les protéines” sont soudées dans une histoire haletante sur une machine militaire qui attaque les envahisseurs microbiens. Pousser-tirer. Débusquer et détruire.

L’idée que c’est cela qui amène la santé est absurde.

La santé est le résultat d’une bonne hygiène de vie.

Quelques facteurs de cette hygiène de vie figurent sur la liste du COVID tyrannique : la survie financière, la libre circulation des amis et de la famille, les gens qui regardent (sans être masqués) les gens, la communication ouverte sans crainte de la censure.

La nutrition et l’assainissement de base sont des facteurs de santé essentiels, bien sûr.

Et puis, il y a le but de la vie : où les gens déversent-ils leur énergie créatrice ?

Il est évident que l’absence de traitement médical nocif est nécessaire à l’épanouissement personnel.

La suppression de la VIE, afin d’arrêter un prétendu microbe, est une mort institutionnalisée.

La médecine moderne est exposée de manière sensationnelle dans une revue que j’ai mentionnée des dizaines de fois au cours des dix dernières années : Rédigée par Barbara Starfield, célèbre médecin de santé publique à Johns Hopkins, elle s’intitule “Is US Health Really the Best in the World ?”(La santé américaine est-elle vraiment la meilleure du monde ?). Elle a été publiée dans le Journal of the American Medical Association le 26 juillet 2000.

Elle révèle que, chaque année aux États-Unis, le système médical tue 225 000 personnes.

Par décennie, le nombre de décès s’élèverait à 2,25 millions de personnes.

Vous ne trouverez pas cela dans les rapports du CDC.

En 2009, j’ai interviewé le Dr Starfield. Je lui ai demandé si le gouvernement fédéral avait entrepris un effort majeur pour remédier aux décès d’origine médicale en Amérique, et si on lui avait demandé de consulter le gouvernement dans le cadre d’un tel effort.

Elle a répondu non aux deux questions.

Source : https://blog.nomorefakenews.com/2021/03/25/rejecting-rockefeller-germ-theory-once-and-for-all/
Traduction par https://cv19.fr

Chasse aux sorcières dans les lycées

Je suis enseignante d’histoire géographie en lycée depuis 2014. J’ai toujours pratiqué mon métier avec passion et joie de vivre, mais depuis la rentrée de septembre, je vis une descente aux enfers.

En juin dernier, après le premier confinement, nous avons repris certains cours et j’ai fait partie des professeurs sélectionnés pour les jurys et les épreuves orales de rattrapage du baccalauréat. Le masque était supposément obligatoire, mais personne ne le portait (2 profs sur la trentaine d’enseignants convoqués, aucun des candidats). L’ambiance était assez détendue, malgré les deux mois de confinement qui venaient de s’achever, on ne sentait pas encore de pression sur le fait de se masquer ou pas.

A la rentrée de septembre, tout a changé. Lors de la réunion de rentrée, j’étais la seule enseignante de la salle à ne pas porter le masque. Ceci a suscité la réaction d’une collègue qui a interrompu la réunion pour demander au proviseur de faire appliquer le port du masque par TOUS les collègues (j’étais évidemment la personne visée). Par la suite, j’ai été convoquée par l’administration (dont j’ai appris entre temps qu’elle m’avait dénoncée au rectorat, à l’inspecteur d’académie, et tutti quanti…). J’ai expliqué que cette mesure m’inquiétait pour la santé des adolescents, car l’OMS relève un certain nombre de risques liés au port prolongé du masque, et que ces risques ne me semblent pas compatibles avec la poursuite d’une scolarité saine et épanouissante. Le médecin du rectorat aurait répondu que ce n’était pas vrai, qu’il n’y avait pas d’effets secondaires… Effarement de ma part. A tous les arguments scientifiques et légaux que j’ai pu développer, on n’a trouvé qu’une chose à me répondre : c’est comme ça, c’est la LOI, vous n’avez pas le choix, vous devez obéir. Autoritarisme pur et simple.

Alors que j’ai passé la toute première semaine de cours sans masque, les convocations et mails de menaces récurrents m’ont vite dissuadée de continuer à « faire ma rebelle », et je me suis mise à porter le masque, juste sous le nez, pour pouvoir à peu près respirer.

J’ai continué à recevoir des mails de menaces de ma hiérarchie, car mon port de masque n’était pas « réglementaire ». Je n’en ai pas vraiment tenu compte car je sentais bien que le port du masque jusque sous les yeux me fatigue, et que j’ai besoin de garder un minimum d’énergie, ne serait-ce que pour passer des soirées à peu près normales avec ma fille de trois ans.

A la fin des vacances de février, ma hiérarchie m’a fait suivre une lettre d’insultes écrite par des parents, m’accusant d’être « complotiste et malsaine », parce que j’avais fait une démonstration aux élèves de la classe sur le fait qu’en 2020, la mortalité générale toutes causes confondues n’était pas exceptionnellement élevée par rapport aux années précédentes, surtout une fois qu’on la rapporte au vieillissement de la population. Je précise que j’ai dû donner ces informations car lors d’un cours sur la croissance démographique, les élèves étaient en majorité convaincus que la population mondiale était en train de « bien descendre » du fait de l’épidémie (!) Ces deux parents étaient aussi particulièrement furieux du fait que je porte le masque sous le nez en classe (alors que leur enfant s’assoit au dernier rang, à une distance plus que réglementaire).
Mes supérieurs hiérarchiques ont transmis ce dossier au rectorat pour qu’ils décident d’éventuelles sanctions à mon égard, sans prendre la peine de me demander ma version des faits.

En tant que professeur d’histoire, je vois mon pays s’enfoncer chaque jour un peu plus dans l’obscurantisme. Les élèves qui essaient de respirer sont brisés (un de mes élèves de Seconde a écopé d’une journée d’exclusion pour port « non réglementaire » du masque lui aussi, alors que d’autres insultent littéralement leurs profs et sont sanctionnés moins sévèrement…). L’administration a clairement voulu faire un exemple. Les enseignants qui font de la résistance passive sont eux aussi brisés, considérés comme des délinquants ou des cas psychiatriques. Une collègue d’histoire a été convoquée par le psychiatre du rectorat pour avoir dévié un petit peu de la pensée unique, et j’ai eu vent d’autres cas de « psychiatrisation » de professeurs récalcitrants dans les lycées voisins.

La violence morale qui s’exerce sur les élèves et sur les enseignants est terrifiante. Le niveau de répression atteint dans les établissements scolaires me semble encore supérieur à celui que nous vivons dans le reste de pays, car certains adolescents n’ont pas de recul sur la situation et pratiquent une délation systématique de leurs camarades et de leurs enseignants.

Le simple fait de se plaindre du masque semble devenu synonyme de « complotisme » et d’un comportement déviant, à la limite de la sociopathie. Nous nous voyons reprocher le fait, en tant qu’enseignants, de contester ne serait-ce qu’une fois le port du masque, même si c’est pendant une récréation, même avec deux ou trois élèves, qui viennent nous voir justement pour vider leur sac. Tout est aussitôt répété, amplifié, déformé, et les rares enseignants qui voudraient venir en aide aux élèves sont empêchés de le faire.

Aujourd’hui je suis en arrêt de travail. J’essaie de me remettre de tous les abus que j’ai pu observer et qui me réveillent la nuit depuis des semaines. Je ressens du désespoir pour tous les enfants et tous les ados qui sont prisonniers de ce système, brimés en permanence par des enseignants et des personnels administratifs terrifiés par le virus, et surtout terrifiés par la pression hiérarchique.

A la fin tout le monde se tait, lessivé, mais il ne faut pas beaucoup de jugeotte pour voir que nombreux sont les élèves qui souffrent en silence.

Une enseignante qui a refusé de vendre son âme pour sauver sa carrière.

Source : https://reinfocovid.fr/temoignage/chasse-aux-sorcieres-dans-les-lycees/

La torture des personnes âgées

par Michael Lesher

Je veux signaler un crime.

Voici les faits :

Il y a environ un an, ma mère, âgée de 85 ans, a été kidnappée par une bande de charlatans et emmenée au Pays Imaginaire du Coronavirus – d’où, sur les instructions de ses ravisseurs, elle n’a cessé depuis de passer des appels effrayants à moi et à d’autres membres de ma famille.

Qu’est-ce qu’elle a dit, vous demandez ? Eh bien, dans l’un des premiers appels, elle m’a prévenu que je ne devais jamais apporter mes chaussures dans mon appartement. Si je le faisais, selon ses kidnappeurs, quelque chose de terrible arriverait – à moi, sinon à elle.

Elle m’a également déconseillé d’apporter mes vêtements dans l’appartement une fois que j’aurais été exposée au monde extérieur. Au lieu de cela, je devais prendre une douche et me changer après chaque promenade ou chaque course. Les kidnappeurs ont également insisté sur le fait que je devais désinfecter les murs et les sols de l’appartement au moins une fois par jour. (Je n’ai pas dit à ma mère que les rayons des pharmacies et des supermarchés étaient pratiquement vides de produits de nettoyage à cette époque, les acheteurs paniqués s’emparant de tout ce qu’ils pouvaient transporter pour des orgies quotidiennes de stérilisation. Apparemment, elle n’était pas la seule victime d’enlèvement).

Quant à mes mains, il fallait les frotter soigneusement toutes les heures, même si elles étaient déjà couvertes de cloques après une journée passée à savonner, doucher, assainir, nettoyer, shampouiner et stériliser tout ce qui se trouvait à portée de vue avec le cocktail de désinfectants dont les ravisseurs de ma mère lui avaient parlé la veille.

Tout cela était assorti d’une menace : si ma mère et sa famille n’obéissaient pas à tous les ordres des ravisseurs, aussi absurdes soient-ils, nous risquions de ne plus jamais la revoir.

C’était il y a un an.

Aujourd’hui, les choses ont empiré.

Récemment, les ravisseurs de ma mère l’ont contrainte à se soumettre à l’injection d’un médicament expérimental dont le fabricant n’est pas responsable, pour lequel il n’y a absolument aucune nécessité médicale et que notre gouvernement refuse de soumettre au même régime de tests que celui qu’il applique aux pilules contraceptives ou aux antibiotiques de routine.

C’est ça le crime. Maintenant, quelqu’un ne peut-il pas être puni pour ça ?

Oui, je sais que ma mère n’est pas la seule à être torturée – pardonnez-moi si j’ai l’air de minimiser l’ampleur du coup d’État destructeur de droits et de société qui nous malmène tous.

Mais il y a une certaine justice à pointer du doigt le crime commis contre ma mère. Les amateurs d’enfermement ne l’ont-ils pas déjà désignée, faisant des personnes âgées inoffensives les cibles privilégiées de leurs bienfaits toxiques ?

Aussi mauvaise que soit la mascarade du coronavirus, il est difficile de trouver un équivalent à la perversité absolue de l’abus des personnes âgées par les propagandistes. Les “experts” ne sont jamais aussi imbus d’eux-mêmes que lorsqu’ils nous assènent que le moindre écart par rapport à leurs prescriptions de la nouvelle normalité revient à tuer nos aînés. Mais personne n’a jamais traité les personnes âgées avec une cruauté aussi cynique – ou avec moins de justification.

Pensez au titre d’un article publié par un certain rabbin Shai Held dans The Atlantic – l’un des plus acharnés pourvoyeurs de propagande sur le coronavirus – il y a un an :

La stupéfiante et impitoyable cruauté envers les personnes âgées.

Lorsque j’ai vu ces mots pour la première fois, j’ai pensé que les rédacteurs de The Atlantic avaient soudainement vu la lumière et voulaient que leurs lecteurs soient informés des méfaits du confinement sévère en maison de retraite récemment ordonné par des gouverneurs devenus des dictateurs dans des États comme New York et le New Jersey.

Mais non. The Atlantic ne faisait que mettre en avant un sermon malveillant du rabbin à propos de certaines personnes odieuses – des partisans de Trump ou d’autres indignes de ce genre, je suppose – qui, disait-on, prétendaient que le COVID19 n’était pas vraiment si mauvais s’il ne tuait que des personnes âgées, qui après tout allaient bientôt mourir de toute façon.

Je ne connais aucune personne qui ait réellement tenu de tels propos, même si les faits n’auraient pas eu d’importance pour The Atlantic. Ce que je sais – et que le Rabbi Held de The Atlantic n’a jamais mentionné – c’est que des fonctionnaires comme le gouverneur Andrew Cuomo, sous les applaudissements des propagandistes, ont forcé les personnes âgées à vivre dans des maisons de retraite surpeuplées où elles étaient isolées de leurs amis et de leur famille, où il leur était interdit de sortir, où on leur disait qu’elles étaient entourées d’une maladie mortelle à laquelle elles ne pouvaient échapper, et où elles étaient soit négligées, soit “aidées” par des préposés terrifiés vêtus de combinaisons spatiales – un scénario grotesque qui n’a pu que renforcer leur sentiment de danger et de désespoir.

Sans surprise, beaucoup de ces détenus sont morts.

Ça, c’est de la cruauté.

J’entends encore des histoires de personnes qui n’ont pas été autorisées à rendre visite à des parents âgés pendant des mois ; beaucoup d’entre nous ont des amis ou des connaissances qui n’ont pas pu dire au revoir à un ami, un cousin, un grand-parent ou un oncle mourant. De nos jours, cela est considéré comme allant presque de soi.

Certaines des histoires que j’entends sont encore pires. Un homme raconte qu’on lui a dit que sa mère âgée, patiente au printemps dernier dans un hôpital new-yorkais surpeuplé, ne serait pas traitée pour son infection au COVID19 en vertu de la “politique de l’hôpital” parce qu’elle avait signé un ordre de non-réanimation : puisque le personnel hospitalier ne savait pas comment traiter le COVID19, une infirmière lui a dit qu’ils considéraient sa maladie comme terminale.

En d’autres termes, ils laisseraient la vieille femme mourir même s’ils pensaient que lui donner de l’oxygène pourrait lui sauver la vie.

Une telle politique – si elle existait vraiment – violait la loi de New York. Et lorsque les propagandistes évoquent les taux de mortalité élevés dans ces hôpitaux new-yorkais en mars et avril comme “preuve” des dangers du coronavirus, je ne peux que me demander combien des patients auxquels ils pensent ont été tués non pas par une infection mais par une erreur médicale.

Et que dire des rapports – cette fois non pas de parents de patients mais d’un professionnel de la santé ayant une expérience directe – selon lesquels une autre “politique hospitalière” de New York impliquait une utilisation excessive des ventilateurs, ce qui a probablement endommagé les poumons des patients et peut-être accéléré leur mort ?

Les propagandistes ne le mentionnent jamais ; ces choses aussi sont considérées comme allant de soi.

Et ces gens ont le culot de se plaindre de la “cruauté envers les personnes âgées” ? A mon avis, ils devraient donner des cours sur ce sujet.

Je le répète : Je sais que beaucoup de jeunes gens sont aussi torturés. Si vous voulez des preuves de la gravité de la situation – et de la bouche même des intéressés -, jetez un coup d’œil à cette effusion sadique parue dans le numéro du 4 février de The Atlantic, de la part d’une femme qui a vu son mari en souffrance :

Jeudi matin, vers 2 heures, je me suis réveillée et j’ai trouvé mon mari tremblant à mes côtés. Cela faisait des heures qu’il tournait dans son lit, épuisé mais incapable de dormir, souffrant de frissons, de fièvre et d’une douleur atroce au bras gauche. Ses dents claquaient. Son front était couvert de taches de sueur.

Un récit édifiant sur les ravages du “virus mortel” ? C’est ce qu’il aurait été si le pauvre homme avait été testé positif au COVID19 six mois plus tôt. Mais aujourd’hui, le tourment de son épouse est le prétexte à un déluge de propagande réjouissante :

Alors que j’étais allongée à côté de lui, enroulant couverture après couverture autour de ses bras, j’ai ressenti un immense soulagement. Toute cette misère était le signe que les cellules immunitaires de son corps avaient été stimulées par la deuxième injection d’un vaccin COVID-19 et qu’elles étaient en bonne voie pour le protéger des maladies futures.

Ah, l’innocence de la pureté idéologique ! Pour l’apparatchik atlantiste, la “misère” de son mari signifiait “un immense sentiment de soulagement”, tout comme le fait d’être brûlé vif dans un immeuble bombardé en 1941 poussait un membre du parti communiste britannique à bénir Joe Staline (comme l’a raconté des années plus tard son ami Teddy Prager) :

Mes pieds, a-t-elle crié, ça me brûle les pieds, et j’ai continué à couper la poutre [qui l’emprisonnait], mais rien ne bougeait. Pauvre Freddie…. Ça ne sert à rien, elle pleurait maintenant, je suis fichue. Et puis, alors que je pleurais de désespoir et de fumée, trop épuisé pour soulever la hache plus longtemps, elle a crié : Vive le Parti, vive Staline… Vive Staline, criait-elle, et au revoir les garçons, au revoir Teddy.

N’est-ce pas agréable de savoir que l’endoctrinement fonctionne encore ? Vive Pfizer ! Vive les médicaments expérimentaux et les cobayes humains ! Vive Joe Biden ! Qui se soucie de ce qui arrive à mon mari, tant que les patrons des entreprises, les fanatiques des masques et les enthousiastes de l’État policier obtiennent tout ce qu’ils veulent ?

Alors oui, chaque détail de cette sinistre farce est laid. Mais les amateurs de confinement ont toujours prétendu être animés par une sollicitude particulière pour les personnes âgées. Il est donc particulièrement dégoûtant de les voir mentir aux vieilles dames pour les obliger à se soumettre à des drogues dangereuses, après les avoir terrorisées pendant une année entière avec des fictions destinées à les rendre plus vulnérables à la prochaine série de supercheries.

Et ne mâchons pas nos mots : fraude est le nom exact de ce qu’ils ont fait à ma mère (et à tant d’autres). Les chiffres de mortalité toutes causes confondues aux États-Unis (et ailleurs) démontrent assez clairement que le COVID19 n’a eu aucun impact significatif sur les taux de mortalité médicale, du moins depuis l’été dernier.

En outre, une étude menée par plusieurs scientifiques prestigieux, présidée par l’estimable John Ioannidis, a récemment conclu que les mesures de confinement drastiques imposées en 2020 n’ont pas permis d’endiguer la propagation du virus mieux que ne l’auraient fait des mesures beaucoup plus douces. Il n’y a pas d’urgence liée au COVID19 – et s’il y en a jamais eu une, ce dont on peut douter, la réponse officielle hystérique a fait plus de mal que de bien.

Et pourtant, la majeure partie des États-Unis se morfond toujours – illégalement – sous un régime quasi-dictatorial, avec l’assentiment des médias grand public, qui n’ont apparemment jamais pensé que les gens ordinaires devraient être autorisés à contrôler leur propre vie en premier lieu. L’un des résultats de ce coup d’État (c’est le seul terme exact pour le décrire) a été l’élection de Joe Biden et de Kamala Harris, organisée en grande partie grâce aux informations trompeuses sur le COVID19, et favorisée par des procédures de vote par correspondance qui n’auraient probablement jamais pu être approuvées par les processus législatifs requis par les constitutions des États concernés.

Mais ne vous attendez pas à une quelconque indignation à propos de cette chicanerie politique de la part des personnes qui dénoncent régulièrement les gouvernements illibéraux dans des pays comme la Chine ou le Venezuela. La démocratie représentative a été largement mise au rebut aux États-Unis il y a un an, alors il importe peu que le système de vote présidentiel ait été illégalement modifié afin de promouvoir une victoire des démocrates – tout comme il importe peu que les médias grand public aient produit un torrent d’affirmations sans valeur sur la “mauvaise gestion” du virus par Trump afin que les électeurs le rendent responsable de 200 000 morts au moment du vote.

Mais ne vous attendez pas à une quelconque indignation à propos de cette chicanerie politique de la part des personnes qui dénoncent régulièrement les gouvernements illibéraux dans des pays comme la Chine ou le Venezuela. La démocratie représentative a été largement abolie aux États-Unis il y a un an, alors il importe peu que le système de vote présidentiel ait été illégalement modifié afin de promouvoir une victoire démocrate – tout comme il importe peu que les médias grand public aient produit un torrent d’affirmations sans valeur sur la “mauvaise gestion” du virus par Trump afin que les électeurs le rendent responsable de 200 000 morts au moment de voter.

Mentionnez ces faits et vous êtes un “théoricien du complot”. Faites semblant de ne pas les connaître et vous “suivez la science”.

Et si vous vous souciez du bien-être des personnes âgées – ou des enfants, dont la vulnérabilité a toujours été censée leur donner droit à une considération spéciale ? Si vous vous inspirez de la propagande sur le coronavirus, il n’y a qu’une seule bonne façon de traiter ces deux groupes : les exploiter cyniquement afin de répandre le plus possible la peur.

Prenons l’exemple d’une étrange “nouvelle” datant de janvier, dans laquelle on décrit des enfants de Californie s’excusant en larmes auprès de leurs grands-parents alors que ces derniers mouraient, prétendument à cause du COVID19, dans des chambres d’hôpital interdites d’accès.

Les “experts” et le journaliste savaient que ces enfants avaient dû contaminer leurs aînés après avoir participé à une fête de Thanksgiving ou de Noël. Il est vrai qu’il existe peu de preuves réelles que les enfants sont des porteurs contagieux du COVID19, et encore moins que certains d’entre eux ont effectivement transmis l’infection à un parent âgé. Mais pourquoi laisser les faits se mettre en travers de la cruauté ? Les enfants ont dû apprendre une leçon : profiter d’une fête innocente signifiait tuer Mamie.

Personne dans les médias grand public n’a contesté ce morceau de sadisme cynique, pour autant que je sache – tout comme personne n’a contesté les affirmations des responsables de la “santé” de Californie à la même période, selon lesquelles l’État enregistrait plus de 400 décès par jour dus au COVID19. (En fait, pour la semaine se terminant le 9 janvier, le nombre de décès quotidiens présumés dans l’État s’est rapproché de 500).

Mais était-ce vraiment vrai ?

Selon les chiffres de mortalité toutes causes confondues figurant sur le site Web du CDC, au cours des semaines se terminant le 2 janvier et le 9 janvier, on a enregistré un total de 8 958 décès en Californie, contre un total de 11 761 décès au cours de la même période l’année précédente, avant qu’une quelconque “pandémie” ne soit déclarée.

En d’autres termes, pendant la même période où les “experts” californiens criaient à la mort de 400 à 500 personnes supplémentaires chaque jour à cause d’une maladie qui n’avait vraisemblablement tué personne en janvier précédent, le nombre total de décès a en fait diminué de 200 par jour en moyenne par rapport à la même période l’année précédente.

Pour concilier les décès dus au coronavirus en Californie avec ces faits, il faudrait probablement supposer que les maladies cardiaques, le cancer, les accidents de la route, le diabète, etc. ont tous été si radicalement réduits en Californie que leur nombre de décès quotidiens a diminué de plus de 600 par jour depuis l’année précédente.

Oui, les miracles sont possibles, comme nous l’a rappelé Forrest Gump. Mais l’interprétation la plus raisonnable est que le scénario d’horreur du COVID19 que les responsables californiens de la “santé” nous ont raconté en janvier n’était qu’une fiction faite de manipulation de chiffres. C’est à peu près ce qu’a été toute l’histoire de la “peste mortelle” depuis le début – une combinaison de “projections” alarmistes et non scientifiques, de tests peu fiables et surutilisés, de diagnostics arbitraires, de campagnes de peur et de classifications des causes de décès motivées par des considérations politiques, qui ont ensuite été attisées jusqu’à l’hystérie par des politiciens assoiffés de pouvoir et des médias d’information dociles, sans oublier les géants des entreprises qui avaient tout à gagner de la panique.

Je reviens donc à ma mère – aujourd’hui âgée de 86 ans – et à son kidnapping psychologique par une bande d’escrocs et de colporteurs de peur prétendant être des “experts”. Puisque personne en position d’autorité ne veut l’aider, que puis-je faire pour elle ?

Eh bien, une chose que je ne peux pas faire est de rester silencieux.

Notre pays – le sien et le mien – est déchiré par des mesures dont le public et ses représentants élus n’ont jamais été autorisés à débattre, et encore moins à approuver. Je ne peux peut-être pas persuader ma mère qu’on lui ment. Mais au moins, je n’ai pas à mentir moi-même. Peut-être qu’un de ces jours, quelque chose que je dirai l’aidera – ou si ce n’est pas elle, alors la mère de quelqu’un d’autre qui est tombée dans les griffes des mêmes ravisseurs.

Puis-je préserver les principes des droits civils à une époque où la notion même de liberté est raillée à la une de tous les journaux “libéraux” de l’Occident ? Je n’en sais rien. Mais je peux faire de mon mieux pour m’assurer que cela ne se produira pas avec mon consentement, que je ne serai pas complice de ma propre victimisation – ou de celle de ma mère.

Et je suis sûre d’une chose : quand j’aurai 86 ans, je ne dirai pas à mes petits-enfants que, lorsque les choses se sont gâtées, j’étais trop occupée à me laver les mains et à obéir aux ordres de l’État policier pour m’élever contre la destruction de tout ce en quoi je crois.

Les crimes contre nous tous peuvent continuer. Je ne vais pas y contribuer.

Michael Lesher est un auteur, poète et avocat dont le travail juridique est principalement consacré aux questions liées à la violence domestique et aux abus sexuels sur les enfants. Son dernier ouvrage non romanesque s'intitule Sexual Abuse, Shonda and Concealment in Orthodox Jewish Communities (McFarland & Co., 2014) ; son premier recueil de poésie, Surfaces, a été publié par The High Window en 2019. Un mémoire sur sa découverte du judaïsme orthodoxe à l'âge adulte - Turning Back : The Personal Journey of a "Born-Again" Jew - a été publié en septembre 2020 par Lincoln Square Books.

Source : https://off-guardian.org/2021/03/25/old-mortality-how-the-corona-coup-tortures-the-elderly-and-everybody-else/
Traduction par https://cv19.fr

Ses concerts annulés, le claveciniste François Grenier met fin à ses jours

Le claveciniste et chef de chœur François Grenier s’est donné la mort le 17 mars à l’âge de 39 ans. Une de ses proches évoque l’annulation de ses concerts et l’isolement provoqué par les mesures sanitaires.

Un piano sans musicien au Palais de la musique Catalane en Espagne (image d’illustration) le 30 octobre 2020.

Le 17 mars, le claveciniste et chef de chœur de l’ensemble Hemiolia, a décidé de mettre fin à ses jours après une succession d’annulations de concerts et un fort isolement social provoqué par les mesures sanitaires. L’enterrement a eu lieu le 24 mars à l’église d’Avesnes-sur-Helpe dans la région Hauts-de-France. Interrogée par La Lettre du Musicien, la violoncelliste Claire Lamquet, qui codirigeait avec lui l’ensemble de musique ancienne Hemolia, a expliqué l’origine de ce drame : «Avec la crise sanitaire, et en particulier à partir du deuxième confinement, j’ai senti un net changement dans le comportement de François. Il avait beaucoup moins d’énergie, il était tellement triste des annulations de concert. Il ne les supportait plus.» «La musique c’était son oxygène» La musicienne a confié : «Il s’était renfermé dans sa bulle, et ressassait les annulations. L’avenir l’inquiétait de plus en plus, il en avait une peur panique, car il y avait de moins en moins de reports de nos concerts.» Contacté par La Voix du Nord, son frère Laurent a de son côté souligné : «la musique c’était son oxygène», convaincu, avec le reste de la famille, que sans le contexte actuel, le musicien serait encore là. Né le 2 novembre 1981, il a débuté dans l’univers de la musique en tant que choriste à la Maîtrise Boréale. Après des études de piano, clavecin, musique ancienne, chant, écriture et musicologie, François Grenier est devenu chef de chœur et claveciniste, travaillant un très large répertoire allant de la musique ancienne à la musique contemporaine.

Source : https://francais.rt.com/france/85056-covid-19-ses-concerts-annules-claveciniste-francois-grenier-met-fin-ses-jours

François Grenier était codirecteur d’Hemiolia.
Bill Gates poursuit son projet de “bloquer le soleil” en faisant exploser une “bombe de craie” à 30 km au-dessus de l’atmosphère terrestre

L’objectif de cette mission, dont le coût est estimé à 3 millions de dollars et qui est soutenue par le milliardaire Bill Gates, est de faire dévier par la craie une partie du rayonnement solaire, de l’empêcher de frapper la surface et de refroidir la planète. L’idée a été fortement critiquée depuis son lancement, le directeur du projet, Frank Keutsch, qualifiant même de “terrifiante” la nécessité d’une géo-ingénierie de cette ampleur. Et les experts ont prévenu que cette technique inhabituelle pourrait avoir des effets désastreux sur les systèmes météorologiques, que personne ne peut prévoir. Soutenue par une série de donateurs privés, dont Gates, la mission d’essai est lancée depuis la Suède, qui pourrait offrir un lancement d’ici la fin de l’été.

par Geoffrey Grider

Bill Gates veut pulvériser des millions de tonnes de CRAIE dans la stratosphère pour réfléchir la lumière du soleil et ralentir le réchauffement climatique – mais les critiques craignent que cela ne soit désastreux.

Je sais que cet article vous donne l’impression de visiter Babylon Bee[site web satirique d’informations chrétiennes conservatrices], mais malheureusement, il n’est que trop réel. Vous vous souvenez de l’émission Au-delà du réel ? “Il n’y a aucun problème avec votre téléviseur. N’essayez pas de régler l’image. Nous contrôlons la transmission. Si nous souhaitons que le son soit plus fort, nous augmenterons le volume.” Ouais, c’est là où nous en sommes sur la ligne de temps de la fin des temps. Les choses ici sur la planète Terre deviennent plus étranges d’heure en heure, alors attachez votre ceinture.

Voyez parmi les nations, et regardez, et soyez stupefaits; car je ferai en vos jours une oeuvre que vous ne croirez pas, si elle vous est racontee. Habacuc 1:5

Bill Gates pourrait-il devenir plus diabolique, plus bizarre ou plus agaçant ? Il le peut certainement. Attendez qu’il commence à “construire des choses” sur son quart de million d’hectares de terres agricoles, ça ne sera pas amusant ? Attendez qu’il oblige tout le monde à manger de la fausse viande cultivée en laboratoire, miam ! Attendez qu’il bloque le soleil avec une bombe de craie de 12 tonnes, attendez… quoi ?

L’idée a été fortement critiquée depuis son lancement, le directeur du projet, Frank Keutsch, qualifiant même de “terrifiante” la nécessité d’une géo-ingénierie de cette ampleur.

Extrait du DAILY MAIL UK : Le premier test d’un projet visant à pulvériser des millions de tonnes de craie dans la stratosphère, dans le but d’obscurcir le soleil et de refroidir la Terre, pourrait avoir lieu en juin.

Les experts ont averti que cette technique inhabituelle pourrait avoir des effets désastreux sur les systèmes météorologiques, que personne ne peut prévoir. Soutenue par une série de donateurs privés, dont Gates, la mission d’essai est lancée depuis la Suède, qui pourrait offrir un lancement avant la fin de l’été.

Il faudrait des tonnes de poussière et des nuages de plusieurs centaines de kilomètres pour faire une différence – la théorie étant que la poussière créerait un énorme pare-soleil.

Sources : https://www.nowtheendbegins.com/bill-gates-block-out-the-sun-solve-climate-change
https://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-9392641/Bill-Gates-wants-spray-millions-tonnes-CHALK-stratosphere.html
Traduction par https://cv19.fr

La FDA conseille au Dr Mercola de ne plus parler de la vitamine D

Écrit par le Dr Joseph Mercola

Au cours de l’été 2020, le Center for Science in the Public Interest (CSPI) [Centre pour la science dans l’intérêt public]- un groupe de défense des consommateurs associé au groupe de relations publiques de Bill Gates dans le domaine de l’agrochimie, la Cornell Alliance for Science[1], et financé par des milliardaires ayant des liens avec Monsanto, la Fondation Gates, la Fondation Rockefeller, le Rockefeller Family Fund et Bloomberg Philanthropies[2] – a lancé une campagne sur les réseaux sociaux pour mettre un terme à Mercola.com.

Le 21 juillet 2020, le CSPI a publié un communiqué de presse[3] dans lequel il m’accuse d’avoir faussement prétendu “qu’au moins 22 vitamines, suppléments et autres produits disponibles à la vente sur son site web peuvent prévenir, traiter ou guérir l’infection au COVID-19”. Ceci en dépit du fait que leur annexe des allégations illégales[4] montre clairement qu’aucune allégation relative au COVID-19 n’existe sur aucun des liens vers les produits.

Le groupe a également témoigné lors d’une audience du Sénat sur le sujet des arnaques au COVID-19 et a exhorté la Food and Drug Administration et la Federal Trade Commission des États-Unis à prendre des mesures réglementaires à mon encontre.

Dans un courriel daté du 12 août 2020, le président du CSPI, le Dr Peter Lurie[5] – un ancien commissaire associé de la FDA6 – a affirmé de manière fallacieuse que je “profite de la pandémie de COVID-19” par le biais d’un “discours alarmiste anti-vaccins” et de la diffusion d’une alimentation fondée sur la science ayant un impact sur le risque de maladie.

Un ancien fonctionnaire de la FDA tire les ficelles pour cibler la médecine naturelle

Étant donné que Lurie est un ancien fonctionnaire de la FDA, il est décourageant, mais pas surprenant, que la FDA nous ait maintenant envoyé une lettre d’avertissement[7] pour “produits non approuvés et mal étiquetés liés au COVID-19”. Lurie s’est publiquement attribué le mérite de l’action de la FDA[8], établissant ainsi la possibilité que le CSPI tire les ficelles sous la nouvelle administration grâce à des relations qu’il n’avait pas en août lorsqu’il a lancé son premier assaut contre ma liberté d’expression.

Selon la FDA, les produits à base de vitamine C, de vitamine D3 et de quercétine sont des “nouveaux médicaments non approuvés vendus en violation de la section 505(a) du Federal Food, Drug, and Cosmetic Act”. L’agence cite également Mercola.com sur sa page consacrée aux produits frauduleux du COVID-19.

M. Lurie semble laisser entendre qu’il souhaite également que les autorités fédérales suppriment mon site StopCOVIDCold, où vous pouvez télécharger un rapport scientifique gratuit détaillant les avantages du maintien de niveaux appropriés de vitamine D pour se protéger des infections virales. Il exhorte également “les procureurs généraux des États à étudier comment ils pourraient protéger davantage les consommateurs contre le marketing illégal de Mercola “[9].

“Les Américains s’inquiètent à juste titre d’être infectés par le coronavirus et de contracter le COVID-19. Le fait d’être induit en erreur en croyant que les compléments alimentaires peuvent prévenir ou traiter le COVID-19 pourrait amener les consommateurs à ne pas prendre de mesures de protection, comme le port d’un masque, ce qui les mettrait en danger, eux et les autres, ou à ne pas chercher un véritable traitement médical s’ils sont malades”, écrit Lurie.[10]

Il est ironique que M. Lurie rejette d’un revers de main les données scientifiques publiées et évaluées par des pairs qui démontrent que certains nutriments peuvent renforcer votre fonction immunitaire et contribuer à réduire votre risque d’infection grave – qu’il s’agisse du SARS-CoV-2, de la grippe saisonnière ou d’autre chose – et qu’il vante le port du masque, dont l’utilisation universelle ne repose sur aucune preuve scientifique publiée, comme l’une des stratégies de prévention les plus importantes contre le COVID-19.

Malheureusement, c’est là où nous en sommes aujourd’hui. “Faites confiance à la science”, disent-ils, tout en promouvant simultanément des affirmations scientifiquement non vérifiées et en essayant d’éradiquer toute personne qui se contente de rapporter les résultats réellement publiés dans la littérature médicale et susceptibles d’avoir un impact négatif sur l’industrie pharmaceutique.

Le CSPI et la FDA ne peuvent pas censurer

Le CSPI tente de censurer mes efforts pour éduquer les gens sur la manière d’éviter une carence en vitamine D qui, sans aucun doute, les expose à un risque beaucoup plus élevé de complications et de décès dus à des infections respiratoires. Eh bien, je ne vais pas permettre que des gens meurent de COVID-19 et d’autres infections respiratoires à cause d’une carence en vitamine D.

En octobre 2020, j’ai coécrit un article avec William Grant, Ph.D.,[11] et le Dr Carol Wagner,[12] qui font tous deux partie du groupe d’experts en vitamine D de GrassrootsHealth, démontrant le lien évident entre la carence en vitamine D et les cas graves de COVID-19. Cet article a été publié dans la revue médicale à comité de lecture Nutrients.[13]

Cela étant, j’ai établi mon mérite médical et scientifique, et je continuerai à exprimer mes opinions professionnelles, fondées sur les données scientifiques disponibles, et à défendre ma liberté d’expression, comme le prévoit la Constitution des États-Unis.

La lettre d’avertissement de la FDA met en évidence des déclarations contenues dans des articles de mon site Web qui sont entièrement référencées et soutenues par des données scientifiques publiées. Je m’engage à fournir des informations véridiques, gratuitement, à quiconque le souhaite, et je suis tout à fait favorable à un débat scientifique rigoureux lorsque cela est nécessaire. Le CSPI s’est attribué le mérite d’avoir fait pression sur la FDA pour qu’elle émette cette lettre d’avertissement afin de supprimer la liberté d’expression. La lettre d’avertissement de la FDA n’est qu’une nouvelle tentative de CSPI de me salir avec de fausses accusations.
Si les scientifiques et les chercheurs publient ces études, comment peut-on considérer comme un crime le fait de rapporter leurs résultats ? En fin de compte, les attaques du CSPI contre ce site Web constituent un effort pour supprimer la science elle-même.

Comme le CSPI le sait très bien, grâce à la constitution américaine et au premier amendement, j’ai tout à fait le droit de m’exprimer publiquement sur les questions de santé, ce n’est donc rien d’autre qu’une nouvelle tentative de me “déprogrammer” tout en dissimulant sa propre duplicité. Pour mémoire, nous avons pleinement répondu à la lettre d’avertissement ; la FDA ne peut pas simplement arrêter la liberté d’expression que le CSPI n’apprécie pas.

Ce n’est pas la première fois que le CSPI met en danger la santé publique

Le CSPI continue de nier l’existence de la vitamine D, même si des preuves accablantes montrent qu’elle permet de réduire le risque de développer un COVID-19 grave. Ce n’est pas surprenant, venant d’une organisation financée par Rockefeller qui a poussé les acides gras trans mortels sur le public américain jusqu’à ce que les faits deviennent indéniables, après quoi ils ont simplement réécrit l’histoire de l’organisation sur ce sujet pour cacher leur position passée.

En 1986, le CSPI décrivait les gras trans comme ” une grande bénédiction pour les artères des Américains “.[14] Deux ans plus tard, en 1988, il faisait encore l’éloge des gras trans,[15] en affirmant ” qu’il n’y a guère de preuves solides que les gras trans causent plus de dommages que les autres gras ” et que ” l’anxiété suscitée par les gras trans provient en grande partie de leur réputation de ” non naturels ” “. Pendant ce temps, dans le monde réel, la campagne très réussie du CSPI sur les gras trans a entraîné une épidémie de maladies cardiaques.

Le rôle du CSPI dans la promotion des acides gras trans et son influence sur l’industrie alimentaire ont été abordés dans l’article de David Schleifer intitulé “The Perfect Solution : How Trans Fats Became the Healthy Replacement for Saturated Fats “[16], dans lequel il note que :

“Les universitaires soutiennent régulièrement que les entreprises contrôlent la production alimentaire américaine, avec des conséquences négatives pour la santé… Cependant, le passage des graisses saturées aux graisses trans montre comment les militants peuvent contribuer à inciter les entreprises à changer.”

Ce n’est que dans les années 1990 que le CSPI a commencé à revenir sur sa position concernant les gras trans synthétiques, mais le mal était déjà fait, et il n’a jamais admis son erreur. En fait, plutôt que d’admettre ouvertement qu’il avait induit le public en erreur par des affirmations erronées, le CSPI a tout simplement supprimé de son site Web certaines sections de son soutien antérieur aux gras trans.[17] Remarquez comment sa chronologie historique18 des gras trans commence en 1993 – l’année où le CSPI a compris que le jeu était fait et qu’il devait soutenir l’élimination des gras trans.

Le CSPI a alors commencé à collecter des fonds pour des campagnes visant à stopper la substance causant des maladies cardiaques dont il avait fait la promotion. N’est-ce pas diabolique ? Créer le problème et ensuite prendre l’argent des autres pour la solution.

Cette dissimulation a été relevée par Mary Enig, Ph.D., dans un article de 2003, dans lequel elle écrit :[19]

“Le 20 octobre 1993, le CSPI a eu le culot d’organiser une conférence de presse à Washington, DC, et de fustiger les grandes chaînes de restauration rapide pour avoir fait ce que le CSPI les avait forcées à faire, à savoir utiliser des huiles végétales partiellement hydrogénées dans leurs friteuses.

À cette date, le CSPI, ardent défenseur des huiles partiellement hydrogénées pendant de nombreuses années, même lorsque leurs effets néfastes sur la santé étaient évidents, a changé de position après une avalanche de rapports médicaux défavorables liant les acides gras trans contenus dans ces huiles transformées aux maladies coronariennes et au cancer…

Grâce au CSPI, les graisses traditionnelles saines ont presque complètement disparu de l’approvisionnement alimentaire, remplacées par des graisses trans manufacturées connues pour provoquer de nombreuses maladies. En 1990, la plupart des chaînes de restauration rapide avaient adopté l’huile végétale partiellement hydrogénée …

Qui en profite ? Le soja, bien sûr… [et] dans le bulletin d’information du CSPI de janvier 1991, Jacobson note que “notre effort a finalement été rejoint… par l’American Soybean Association”.

Il est encore plus flagrant que le CSPI continue de recommander de consommer des graisses insaturées comme les huiles de soja et de canola[20] et d’éviter le beurre et les autres graisses saturées saines, en affirmant que “changer de graisses ne réduit pas le risque de mourir “[21]

Cette affirmation ne tient absolument pas compte des preuves irréfutables montrant que les huiles végétales industrielles, et en particulier l’acide linoléique oméga-6, présentent des risques importants pour la santé et contribuent aux maladies chroniques. Et les maladies chroniques, à leur tour, ont un impact sur la mortalité.

Le CSPI protège principalement les grandes entreprises

Cette tendance à s’aligner sur la science et la propagande de l’industrie est devenue une tendance au sein du CSPI. Par exemple, ce n’est qu’en 2013 que le CSPI a finalement déclassé l’édulcorant artificiel Splenda de son ancienne catégorie “sûre” à celle de “prudence”.[22]

En 2016, il l’a de nouveau déclassé, passant de “prudence” à “éviter”.[23] Malgré cela, le CSPI continue de promouvoir les sodas light comme une alternative plus sûre aux sodas ordinaires, affirmant qu’ils “ne favorisent pas le diabète, la prise de poids ou les maladies cardiaques comme le font les sodas riches en calories”.[24]

Le groupe a également adopté une position ferme en faveur des OGM et a activement sapé le mouvement d’étiquetage des OGM,[25] ce qui a fait des États-Unis le seul pays au monde à ne pas avoir d’étiquetage clair des OGM. En août 2001, l’organisation a même exhorté la FDA à prendre des mesures coercitives à l’encontre des entreprises alimentaires utilisant des étiquettes non OGM, affirmant que ces étiquettes pouvaient ” tromper les consommateurs “.[26]

Dans la même veine, le groupe s’oppose à un étiquetage clair de la fausse viande ultra-transformée. Dans une lettre adressée en mai 2018 à la FDA[27], le CSPI a exhorté l’agence à “rejeter les efforts de l’Association des éleveurs de bétail des États-Unis visant à interdire l’utilisation des termes “viande” ou “bœuf” sur les protéines végétales et de culture commercialisées comme alternatives à la viande traditionnelle.” Dans l’ensemble, il semble que le CSPI soit complètement opposé à l’idée d’un public bien informé.

Le CSPI a également été un promoteur du mythe de la faible teneur en matières grasses, totalement démystifié. En 1995, il a lancé une campagne intitulée “1 % ou moins” qui invitait tous les enfants de plus de 2 ans à passer du lait entier et du lait 2 % au lait écrémé (également appelé lait écrémé ou sans matière grasse) afin de réduire leur consommation de graisses saturées[28],[29],[30].

Cette campagne a également été couronnée de succès et a permis de doubler les ventes de lait écrémé.[31] Cependant, tout comme la campagne sur les gras trans, cette campagne était également malavisée, car les recherches[32],[33] montrent que les produits laitiers entiers réduisent en fait le risque de décès dû au diabète et aux causes cardiovasculaires telles que les accidents vasculaires cérébraux.

Le CSPI a constamment bafoué sa mission

Si l’on considère les risques sanitaires suspectés, et dans certains cas bien vérifiés, des graisses trans, des édulcorants artificiels, du soja, des OGM, du régime pauvre en graisses et de la fausse viande, l’intention du CSPI de protéger et de faire progresser la santé publique est pour le moins douteuse.

Il semble qu’ils soient plus intéressés par la protection d’industries rentables, et les efforts du CSPI pour détruire les entreprises qui vendent des vitamines et des suppléments ayant des effets antiviraux naturels[34] en sont une preuve supplémentaire.

Le fait est qu’ils cherchent à mettre un terme à Mercola.com parce que nous représentons une menace sérieuse pour leur programme et qu’ils veulent éliminer le plus grand nombre possible de ceux qui disent la vérité.

Sources et références

Sources : https://www.lewrockwell.com/author/joseph-mercola/
https://www.lewrockwell.com/2021/03/joseph-mercola/fda-warns-dr-mercola-to-stop-writing-about-vitamin-d/
Traduction par https://cv19.fr

Confinement, un an après – Cela ne fonctionne pas, cela n’a jamais fonctionné et cela n’était pas censé fonctionner

Allumez une bougie sur le gâteau d’anniversaire le plus triste du monde ! La politique gouvernementale la plus destructrice du siècle s’accélère et ne semble pas vouloir ralentir.

Par Kit Knightly

Et donc nous arrivons au 23 mars, et au premier anniversaire du confinement [Grande Bretagne]. Ou, comme nous l’appelons ici, les deux semaines les plus longues de l’histoire.

1 an. 12 mois calendaires. 365 jours de plus en plus éreintants.

Cela fait longtemps que “2 semaines pour aplanir la courbe” est devenu un mensonge flagrant. En juillet, c’est devenu une blague de mauvais goût. La courbe a été aplatie, le NHS était en sécurité et les applaudissements étaient chaleureux et sincères.

…et rien de tout cela n’a fait de différence.

Ce n’était pas un sacrifice pour le ” bien de tous “. Ce n’était pas une décision difficile avec des arguments des deux côtés. Ce n’était pas un scénario risques-bénéfices. Les “risques” étaient en fait des certitudes, et les “bénéfices” entièrement fictifs.

Parce que le confinement ne fonctionne pas. Il est vraiment important de s’en souvenir.

Même si vous souscrivez à l’idée que “Sars-Cov-2” est une entité unique et discrète (ce qui est loin d’être prouvé), ou qu’elle est incroyablement dangereuse (ce qui est manifestement faux), le confinement n’a pas fonctionné pour, de quelque manière que ce soit, limiter cette supposée menace.

Les confinements. Ne. Fonctionnent. Pas.

Ils ne font aucune différence, les courbes ne s’aplatissent pas, le nombre de R0 ne diminue pas et les vies ne sont pas sauvées (bien au contraire, comme nous l’avons tous vu).

Il suffit de regarder les graphiques.

Celui-ci, qui compare les “décès dus au Covid” au Royaume-Uni (confinement) et en Suède (pas de confinement) :

Ou encore celui-ci, qui compare les “décès dus au Covid” en Californie (confinement) et en Floride (pas de confinement) :

De la Biélorussie à la Suède en passant par la Floride, le Nicaragua et la Tanzanie, les preuves sont claires. Le “Covid”, quoi que cela signifie en réalité, n’est pas affecté par les mesures de confinement.

Assigner à résidence l’ensemble de la population n’est pas bénéfique pour la santé publique. En fait, c’est (de manière assez prévisible) incroyablement contre-productif.

Les dommages causés par la fermeture des entreprises, la limitation de l’accès aux soins de santé, le report des traitements et des diagnostics, le report des opérations chirurgicales, l’augmentation de la dépression, la montée en flèche du chômage et la pauvreté de masse ont été discutés à outrance. L’ampleur de l’impact ne peut être surestimée.

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation mondiale de la santé pour Covid-19, a déclaré ceci à propos des confinements en octobre dernier :

À l’Organisation mondiale de la santé, nous ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de lutte contre le virus […] il suffit de voir ce qui est arrivé à l’industrie du tourisme […], de voir ce qui arrive aux petits exploitants agricoles […] il semble que nous pourrions avoir une multiplication par deux de la pauvreté dans le monde d’ici l’année prochaine. Nous pourrions bien avoir au moins une multiplication par deux de la malnutrition infantile […] C’est une catastrophe mondiale terrible, épouvantable.

Une terrible catastrophe mondiale. La malnutrition infantile doublée.

La “pandémie” n’a pas fait ça, les confinements ont fait ça. Ils n’allaient jamais atteindre leurs objectifs déclarés. Et qui plus est, ils n’ont jamais été destinés à atteindre ces objectifs.

Trop souvent, le langage mou des médias parle de “mauvais jugements”, d'”erreurs” ou d'”incompétence”. Les prétendus critiques prétendent que le gouvernement a “paniqué” ou “sur-réagi”. C’est absurde. L’excuse la plus facile et la plus bidon qui n’ait jamais existé.

“Oups”, disent-ils, avec un haussement d’épaules emphatique et un sourire carnassier, “je suppose que nous avons fait une erreur !”. Peu flatteur, mais mieux que la vérité.

Parce que la vérité est que le gouvernement ne se trompe pas, n’a pas peur ou n’est pas stupide… il est malveillant. Et malhonnête. Et cruel.

Toutes les souffrances du confinement étaient entièrement prévisibles et délibérément imposées. Pour des raisons qui n’ont rien à voir avec l’aide aux personnes et tout à voir avec leur contrôle.

Il a été plus qu’évident pendant la majeure partie des cinquante-deux dernières semaines que l’ordre du jour du confinement n’était pas la santé publique, mais la préparation de la “nouvelle normalité” et de la “grande réinitialisation”.

Une série de programmes conçus pour saper complètement les libertés civiles dans le monde entier, annulant des décennies (voire des siècles) de progrès social. Une re-féodalisation de la société, avec les 99% qui prennent allègrement leur blouse de paysan “pour protéger les plus vulnérables”, tandis que l’élite fait du prosélytisme sur la valeur des règles dont elle admet volontiers qu’elles ne s’appliquent pas à elle.

Et nous avons tous eu des vies ruinées et une année de temps précieux perdue. Pour rien. Vous avez été enfermé pendant deux semaines qui ont duré 365 jours. Pour rien.

…ou plutôt, pour tout. Parce que c’est ce qu’ils essaient de nous prendre. Tout. Et la seule façon de les arrêter est de ne pas les laisser faire. De simplement refuser de consentir.

Ne laissons pas le confinement avoir un deuxième anniversaire.

Source : https://off-guardian.org/2021/03/23/lockdown-one-year-on-it-doesnt-work-it-never-worked-it-wasnt-supposed-to-work/
Traduction par https://cv19.fr

Plus de ressources sur le confinement :
https://cv19.fr/category/confinement/
https://cv19.fr/ressources/#confinement

Le président tanzanien John Magufuli a-t-il été assassiné pour avoir dénoncé la pandémie de Covid-19 ? (maj)

Mise à jour 19 mars, cliquez
Mise à jour 23 mars, cliquez

Le président tanzanien John Magufuli, après des semaines d’absence, est décédé dans un hôpital de Dar es Salaam, a annoncé la vice-présidente du pays, Samia Suluhu Hassan, dans une allocution télévisée mercredi. Il avait 61 ans. Sa mort soudaine a soulevé de nombreuses questions, notamment celle de savoir si le président tanzanien a été assassiné pour avoir dénoncé la pandémie de Covid-19 en prenant des mesures controversées contre Big Pharma et l’OMS et leur campagne mondiale en faveur des vaccins.

La presse internationale se fait l’écho de la mort du “président négationniste” de Tanzanie avec une joie à peine déguisée.

La cause officielle de la mort serait une crise cardiaque, mais certains laissent entendre qu’elle pourrait être due au virus. The Economist, par exemple, rapporte :

Beaucoup pensent que le virus est en cause.

Comme si ce que “beaucoup pensent” signifiait vraiment quelque chose.

Qu’il s’agisse d’un virus, d’une crise cardiaque ou d’un “suicide”, Magufuli est parti. Comme nous l’avions prédit il y a seulement quelques jours.

Que faire maintenant pour la nation d’Afrique de l’Est ? On peut supposer que le successeur de Magufuli – qu’il s’agisse de la vice-présidente ou d’un nouveau dirigeant élu à la hâte (peut-être le chef de l’opposition, compte tenu des nombreux articles publiés ces dernières semaines) – prendra les rênes du pays.

Poursuivront-ils les politiques de “déni du Covid” de leur prédécesseur ? Ce serait stupéfiant.

Si l’on se fie à ce qui s’est passé au Burundi l’été dernier, l’approche Covid tanzanienne sera totalement inversée un jour ou deux après le décès du président.

Comme l’a rapporté le Council on Foreign Relations, pas plus tard que la semaine dernière :

une figure audacieuse au sein du parti au pouvoir pourrait profiter de l’épisode actuel pour commencer à inverser la tendance.

Attendez-vous à ce que cette “personnalité audacieuse” se hisse très vite au premier plan et reçoive le genre de commentaires élogieux dans la presse occidentale, que seuls les hommes triés sur le volet obtiennent.

Bloomberg en parle déjà :

Le prochain dirigeant tanzanien devra faire face au négationnisme de son prédécesseur en matière de lutte contre le covid

Et que :

Le nouveau dirigeant doit décider s’il change de cap concernant le Covid-19

Les renversements de situation concernant le Covid ont en fait déjà commencé, ils ont été mis en place avant même que la mort du président ne soit signalée, les porte-parole de l’OMS faisant l’éloge de la “nouvelle position” de la Tanzanie sur le Covid dès le 12 mars.

La “nouvelle position” sera probablement appliquée par le biais du chantage industriel. Bloomberg rapporte :

Magufuli a été le fer de lance d’un vaste programme d’investissement dans les infrastructures, et les décisions en suspens concernant la réalisation de plusieurs mégaprojets incomberont désormais à son successeur.

En 2019, Magufuli mettait fin au projet de port de Bagamoyo, un investissement de 10 milliards de dollars. Le projet était une entreprise tri-gouvernementale entre la Tanzanie, la Chine et Oman, via l’entreprise publique China Merchants Holdings International (CMHI) et le State General Reserve Fund (SGRF) d’Oman.

Le port était construit par la Chine et la zone industrielle aurait été construite par Oman et administrée par l’Autorité de la zone de traitement des exportations de Tanzanie.

Cependant, en juin 2019, le président tanzanien Magufuli a accusé ses homologues chinois de présenter des conditions abusives et contraignantes en échange du financement. Le président Magufuli a également fait valoir que la construction du port de Bagamoyo compromettrait l’importante expansion en cours du port de Dar es Salaam, qui devrait être achevée d’ici la fin de 2019.

Sans oublier les projets de l’ancien président de nationaliser partiellement l’industrie minière, que son successeur pourrait bien être contraint d’arrêter, de peur de “contrarier les investisseurs internationaux” :

Le nouveau dirigeant du pays devra également décider s’il doit courir le risque de contrarier les investisseurs internationaux et aller de l’avant avec les réformes minières controversées qui, selon M. Magufuli, étaient nécessaires pour que le pays tire un plus grand profit de ses ressources naturelles.

Magufuli était connu sous le nom de “Bulldozer” pour sa position ferme contre la corruption et pour ses politiques intransigeantes, qui l’ont aidé à remporter la victoire en octobre 2015 en tant que cinquième président de la Tanzanie.

Cependant, il est également l’un des rares dirigeants nationaux à avoir mis en lumière la pandémie de Covid-19 en prenant des mesures controversées contre Big Pharma et l’OMS et leur pression mondiale pour la vaccination.

Le fossé qui sépare la Tanzanie de l’OMS et de l’Union européenne n’est pas connu de tous en raison de la dissimulation médiatique.

L’Union européenne a donné 27 millions d’euros à la Tanzanie pour qu’elle impose les mesures relatives au Covid-19 préconisées par l’OMS, comme le confinement strict, le port de masques et la vaccination à grande échelle. La Tanzanie a pris l’argent, puis a déclaré que le pays était débarrassé du coronavirus. Les Européens ont alors exprimé leur colère au Parlement.

En mai dernier, face à la multiplication des faux cas de coronavirus, le président tanzanien John Magufuli, de plus en plus méfiant à l’égard de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a décidé d’enquêter lui-même sur ces allégations.

Il a envoyé à l’OMS des échantillons d’une chèvre, d’une papaye et d’une caille pour qu’ils soient testés et tous se sont révélés positifs au Covid-19.

Ce n’est que récemment que l’OMS a modifié ses critères de test PCR défaillants afin de dissimuler les faux positifs et a averti les experts de ne pas se fier uniquement aux résultats d’un test PCR pour détecter le coronavirus.

À l’époque, comme l’a révélé le président de la Biélorussie, des agences mondiales ont fait pression sur des nations souveraines pour qu’elles imposent des mesures strictes en matière de Covid-19 et leur ont prêté des fonds considérables pour cela.

De plus, en novembre dernier, le président tanzanien a déclaré qu’il n’avait pas l’intention d’utiliser un quelconque vaccin Covid-19, mais qu’il se contenterait des herbes locales pour se protéger contre la maladie.

Certains se souviennent aussi peut-être que le président de Madagascar a accusé l’OMS d’avoir offert un pot-de-vin de 20 millions de dollars pour empoisonner son remède local Covid-19.

Tout cela a mis en colère les entreprises pharmaceutiques et, bien sûr, l’Europe.

Lors d’une réunion de l’UE au début du mois, le député européen d’Allemagne, David McAllister, s’est plaint amèrement :

L’Union européenne a accordé 27 millions d’euros de l’argent des contribuables européens pour combattre les conséquences du Covid. Maintenant, nous avons un régime dans le pays qui dit qu’il n’y a pas de Covid dans le pays avec des explications plutôt bizarres.

Donc, une fois de plus, nous avons un gouvernement qui a refusé de suivre les directives de l’Organisation mondiale de la santé, un gouvernement qui a refusé de fournir des statistiques et pourtant nous leur donnons 27 millions d’euros.

J’aimerais que vous informiez les membres de notre commission sur l’argent que nous avons donné à la Tanzanie, quels étaient les critères pour donner cet argent et surtout ce qui se passe avec cet argent.

Nous parlons de l’argent des contribuables européens et j’ai du mal à accepter que nous accordions de l’argent à un pays qui n’essaie manifestement pas de coopérer de manière décente.

Pourriez-vous donc répondre à ma question et, si vous n’êtes pas en mesure de le faire maintenant, j’attends de vous que vous me fournissiez des détails écrits dans les 48 heures.

Et ce n’est que le 16 mars que l’Union européenne a décidée qu’elle n’imposerait pas de sanctions à la Tanzanie, malgré la pression exercée par un cabinet d’avocats (Amsterdam & Partners) représentant le leader de l’opposition Tundu Lissu, actuellement exilé en Belgique.

En janvier, le gouvernement américain a imposé des restrictions de visa à des responsables tanzaniens pour avoir “compromis” une élection libre et équitable. Le département d’État a déclaré qu’il interdisait un nombre non spécifié de responsables du gouvernement tanzanien pour ce qu’il a appelé la subversion d’un processus démocratique dans leur pays.

Amsterdam & Partners a ensuite fait du lobbying auprès de divers dirigeants de l’UE pour qu’ils envisagent d’exercer une pression sur la Tanzanie, notamment en reconsidérant leur aide.

Il semble assez évident qu’il y a eu un jeu de pouvoir majeur en Tanzanie, un coup d’État en douceur. Mais qu’en pensez-vous ?

  1. Que va faire le successeur du président Magufuli ?
  2. L’OMS sera-t-elle réinvitée dans le pays ?
  3. Va-t-elle commencer les tests de masse ?
  4. La “pandémie cachée” de Tanzanie va-t-elle soudainement être révélée ?
  5. Que vont devenir le projet du port de Bagamoyo et les politiques de nationalisation de l’industrie minière ?
  6. Magufuli est-il vraiment mort de causes naturelles ?

Mise à jour 19 mars 2021

Depuis ce matin (le 19), la vice-présidente de Magufuli a officiellement prêté serment pour lui succéder. Samia Suluhu Hassan, qui a fait ses études en partie en Grande-Bretagne, est la première femme présidente du pays, ce dont la presse occidentale se fait naturellement le relais.

Dans son discours d’investiture, elle a appelé le pays à “se rassembler” et a prévenu que ce n’était “pas le moment de pointer du doigt”, montrant ainsi qu’elle est consciente de la suspicion qui entoure cette transition de pouvoir et de la fragilité de son emprise sur le pouvoir en ces premiers jours de remplacement d’un leader très populaire.

Rappelez-vous hier, lorsque nous avons prédit des “articles élogieux” pour le successeur de Magufuli ?

Eh bien, elle est décrite comme une “conciliatrice” dans la presse, ce qui est le langage du journalisme occidental pour “quelqu’un qui fera ce qu’on lui dit”. Human Rights Watch a prédit que la Tanzanie connaîtra un “renouveau de la démocratie” sous sa direction, et The Guardian en parle déjà :

DaMina Advisors, une société de conseil en matière de risque politique, a prédit que le nouveau président était susceptible de faire publiquement volte-face par rapport à la politique de déni du Covid de son prédécesseur et à son attitude généralement négative envers les investisseurs étrangers.

Ce qui se passe ici ne pourrait pas être plus évident.

Mise à jour 23 mars 2021

Le média kenyan Kenya Diaspora Radio Television (KDRTV) a rapporté qu’un haut fonctionnaire du gouvernement a déclaré au correspondant de KDRTV en Tanzanie que le président avait été assassiné par les Chinois en collaboration avec des espions occidentaux. C’est un fait que la Chine est plus forte en Tanzanie mais que l’Occident est plus fort en matière de renseignement. Le responsable gouvernemental, qui s’est exprimé sous couvert d’anonymat, a également révélé qu’une enquête est en cours sur la cause du décès et qu’ils examineront toutes les pistes et présenteront un rapport concluant. Le fonctionnaire a également déclaré que le président Magufuli était en bonne santé et plein d’énergie.

Sources :
https://www.kdrtv.co.ke/news/magufuli-was-allegedly-poisoned-by-the-chinese-in-collaboration-by-the-western-countries-spies/
https://greatgameindia.com/tanzania-president-john-magufuli-assassinated/
https://off-guardian.org/2021/03/18/discuss-president-magufuli-dead-at-61/#update
https://off-guardian.org/2021/03/18/discuss-president-magufuli-dead-at-61/
https://www.theeastafrican.co.ke/tea/news/east-africa/eu-declines-request-to-impose-sanctions-on-tanzania-3324504
https://www.enr.com/articles/47134-tanzania-suspends-bagamoyo-port-project?v=preview
Traduction et adaptation par https://cv19.fr

Voir aussi :
Tanzanie – Le deuxième coup d’Etat Covid ?
Liste croissante des assassinats de chercheurs liés au COVID-19

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