Month: March 2021

Vingt pays suspendent les injections ; cela vous rend-il “hésitant” ?

par Jon Rappoport

The Guardian : “Plusieurs pays européens ont cessé d’utiliser le vaccin Covid d’Oxford/AstraZeneca…”

The Guardian a une toute nouvelle définition de “plusieurs”. Leur propre article énumère les nations suivantes : Autriche, Estonie, Lettonie, Luxembourg, Lituanie, Roumanie, Danemark, Norvège, Islande, Pays-Bas, Irlande, Allemagne, France, Italie, Espagne, Slovénie, Chypre, Suède.

La Bulgarie et la Thaïlande ont également arrêté la piqûre.

La raison de cette “pause” ? Un “petit” nombre de personnes ont développé des caillots sanguins.

Et maintenant, à l’heure où j’écris ces lignes, le Wall St. Journal rapporte que les régulateurs médicaux de l’Union européenne ont décidé que tout était OK – “les bénéfices des injections sont supérieurs aux risques”. C’est le langage standard pour dire : “nous n’avons pas à expliquer les dommages ou les décès dus aux vaccins”.

Si vous croyez que quelques personnes souffrant de caillots sanguins ont poussé 20 pays à arrêter les vaccinations, j’ai des appartements sur Mars à vendre.

Cachées derrière le rideau de la politique vaccinale, de nombreuses personnes sont en train de vaciller.

Et pourquoi ne le feraient-elles pas ? Les gouvernements et les entreprises pharmaceutiques ont mis en place une nouvelle technologie expérimentale d’ARN, pour la première fois dans l’histoire. Avant l’injection des vaccins COVID, toutes les tentatives pour forcer l’approbation de la technologie de l’ARN avaient échoué ; la raison en était une réaction excessive dangereuse et mortelle du système immunitaire.

Puisque je semble être l’une des seules personnes à le dire, je vais le répéter : Bill Gates, Fauci et les autres vaccinateurs forcenés sont amoureux de la technologie ARN. Elle permet de produire des vaccins beaucoup plus rapidement, facilement et à moindre coût.

Pour n’importe quel prétendu virus, il suffit d’un rien pour que les entreprises trouvent un vaccin. Cela ne prend pas quatre ans. Il faut trois mois.

“Nous venons de découvrir un virus qui s’est croisé à partir des oies. Et en voici un nouveau provenant des lapins de Pâques. Et un autre qui vient de dériver de Jupiter. Nous aurons des vaccins prêts pour Noël. La septième mutation du SARS-CoV-2 a son propre vaccin depuis hier. Si vous voulez emmener les enfants à Disneyland, trouvez l’une de ces camionnettes roses garées dans votre ville, faites-vous vacciner et recevez votre certificat d’immunité mis à jour…”.

Et puis il y a aussi ceci : les vaccins COVID fabriqués par AstraZeneca, Pfizer et Moderna sont totalement inefficaces pour prévenir les maladies graves. PAR NATURE.

Il y a plusieurs mois, un article du NY Times, rédigé par Peter Doshi et Eric Topol, l’a expliqué en détail.

22 septembre 2020 : “Ces essais sur le coronavirus ne répondent pas à la seule question que nous devons savoir” :

“Si vous deviez approuver un vaccin contre le coronavirus, approuveriez-vous un vaccin dont vous sauriez seulement qu’il ne protège les gens que de la forme la plus bénigne du Covid-19, ou un vaccin qui préviendrait ses complications graves ?” [Indice : “la plus bénigne” signifie la toux, ou les frissons et la fièvre, qui se guérissent d’eux-mêmes sans avoir besoin d’un vaccin].

“La réponse est évidente. Vous voudriez vous protéger contre les pires cas.”

“Mais ce n’est pas ainsi que les sociétés qui testent trois des principaux candidats vaccins contre le coronavirus, Moderna, Pfizer et AstraZeneca, dont l’essai américain est en suspens, abordent le problème.”

“Selon les protocoles de leurs études, qu’ils ont publiés à la fin de la semaine dernière, un vaccin pourrait répondre au critère de réussite des sociétés s’il diminuait le risque de Covid-19 léger, mais il n’a jamais été démontré qu’il réduisait les formes modérées ou sévères de la maladie, ou le risque d’hospitalisation, d’admission en unité de soins intensifs ou de décès.”

“Dire qu’un vaccin fonctionne devrait signifier que la plupart des gens ne courent plus le risque de tomber gravement malade. Ce n’est pas ce que ces essais vont déterminer”.

Le vaccin COVID : dangereux ET inefficace.

Le groupe de travail de Trump sur le coronavirus connaissait la vérité. Le groupe de travail de Biden connaît la vérité. Mais ils s’en moquent.

Le CDC et l’OMS savent. Ils s’en fichent aussi.

Mais ces autorités sont très nerveuses, car des masses de gens évitent le vaccin. Ce n’est pas de l'”hésitation”.

C’est un rejet total.

Un rejet raisonnable.

Cela a commencé peu après le lancement initial du vaccin Pfizer. NBC News, 31 décembre 2020 :

“Un grand pourcentage de travailleurs de premier rang dans les hôpitaux et les maisons de retraite a refusé de prendre le vaccin Covid-19…”

“Environ 50 % des travailleurs de premier rang dans le comté de Riverside en Californie ont refusé de se faire vacciner…”

“Anecdotiquement, on estime que 60 % des employés des maisons de retraite de l’Ohio ont déjà refusé le vaccin…”

“Une enquête menée auprès de 2 053 pompiers de la ville de New York a révélé que plus de la moitié d’entre eux ont déclaré qu’ils refuseraient le vaccin Covid-19 lorsqu’il leur serait proposé…”

Et tout cela bien avant que 20 pays ne suspendent l’injection.

Je terminerai, pour l’instant, par deux déclarations sur le rôle que les vaccins ont joué dans l’élimination des décès dus aux maladies – parce que la véritable histoire est importante :

“Le taux de mortalité combiné de la scarlatine, de la diphtérie, de la coqueluche et de la rougeole chez les enfants jusqu’à quinze ans montre que près de 90 % de la baisse totale de la mortalité entre 1860 et 1965 s’était produite avant l’introduction des antibiotiques et la généralisation de la vaccination. Cette récession peut être attribuée en partie à l’amélioration des logements et à une diminution de la virulence des micro-organismes, mais le facteur de loin le plus important était une plus grande résistance de l’hôte due à une meilleure nutrition.” Ivan Illich, Medical Nemesis, Bantam Books, 1977

Robert F Kennedy, Jr : “Après avoir étudié en profondeur un siècle de données enregistrées, les Centres de contrôle et de prévention des maladies et les chercheurs de Johns Hopkins ont conclu : ‘Ainsi, les vaccinations n’expliquent pas les baisses impressionnantes de la mortalité due aux maladies infectieuses observées dans la première moitié du vingtième siècle’.”

“De même, en 1977, les épidémiologistes de l’Université de Boston (et mari et femme) John et Sonja McKinlay ont publié dans le Millbank Memorial Fund Quarterly leur travail fondamental sur le rôle que les vaccins (et d’autres interventions médicales) ont joué dans la baisse massive de 74% de la mortalité observée au vingtième siècle : ‘The Questionable Contribution of Medical Measures to the Decline of Mortality in the United States in the Twentieth Century’.”

“Dans cet article, qui était autrefois une lecture obligatoire dans les écoles de médecine américaines, les McKinlay soulignent que 92,3 % de la baisse du taux de mortalité s’est produite entre 1900 et 1950, avant que la plupart des vaccins n’existent, et que toutes les mesures médicales, y compris les antibiotiques et les interventions chirurgicales, ‘semblent avoir peu contribué à la baisse globale de la mortalité aux États-Unis depuis environ 1900 – ayant dans de nombreux cas été introduites plusieurs décennies après qu’un déclin marqué se soit déjà installé et n’ayant aucune influence détectable dans la plupart des cas’.”

Source : https://blog.nomorefakenews.com/2021/03/22/vaccine-twenty-countries-suspend-injections-does-that-make-you-hesitant/
Traduction par https://cv19.fr

Mot d’ordre en Russie : « FCKNG QRNTN »

par Boris Karpov.

La Russie regarde avec stupéfaction la situation en Europe qui enferme ses citoyens à tours de bras, et c’est Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères, qui lors d’un voyage officiel en Chine a aujourd’hui résumé le sentiment officiel de la Russie vis à vis des mesures d’enfermement en arborant un superbe masque où il est indiqué « FCKNG QRNTN ». En bon anglais « Fucking quarantine », et en bon français « J’emmerde la quarantaine » !

S’il y a encore des cas de contamination en Russie (où il semble bien que tous les cas de grippe sont d’ailleurs comptabilisés comme corona, puisqu’on n’a aucun cas de grippe depuis 3 mois, malgré les températures hivernales…), la situation en Russie est très claire : Plus de quarantaine, total respect des libertés individuelles de déplacement. La seule limitation est l’obligation du masque dans les magasins et transports, d’ailleurs de moins en moins suivie et quasiment plus jamais réprimée.

Dans le même temps, le vaccin « Sputnik » est largement diffusé à ceux qui en veulent, à Moscou par exemple seuls 15% environ (donc environ 2 millions de moscovites) ont déclaré vouloir se faire vacciner, et les cliniques de la ville piquent à tours de bras ! Mais aucune obligation, chacun est libre.

Pour l’anecdote, le maire de Moscou qui avait fait le forcing l’été dernier en interdisant tout déplacement, puis en imposant des QR-codes pour se déplacer, en fermant les écoles publiques, en bloquant les cartes de transport gratuit des retraités, a vu sa côte de popularité dégringoler, elle est actuellement de 10 à 15% de personnes satisfaites. Et Vladimir Poutine, comme je l’ai expliqué à plusieurs reprises ici, lui a clairement fait comprendre au maire qu’il était « cuit ». Le nom de son probable successeur circule d’ailleurs ici, la seule inconnue est la date de son départ.

Le clan des globalistes a donc été renvoyé dans les cordes, et tout le monde regarde avec stupéfaction la situation en Europe où on découvre chaque jour de nouvelles souches parait-il encore plus dangereuses que les précédentes, où on annonce des paniques dans les hôpitaux, etc etc. Le virus semble donc bloqué aux frontières de l’Europe « de l’ouest » puisqu’aucun pays « de l’est » ne déclare de pareilles débilités.

Ici donc le mot d’ordre gouvernemental est clair » Fuck quarantine » ! Un club moscovite a d’ailleurs déjà annonce pour la nuit du 1er avril une soirée à thème « F*ck quarantine » ! Parce que bien sûr, ici tous les commerces sont ouverts sans limitation ! Et le 1er avril est en Russie le « jour des abrutis » (день дураков).

source : https://boriskarpov.tvs24.ru
via : https://reseauinternational.net/mot-dordre-en-russie-fckng-qrntn/

Flavia Groșan, pneumologue roumaine : c’est le protocole Covid appliqué dans les hôpitaux qui tue les malades !

Article paru le 19 mars 2021 sur le site Erdély Ma.

« Une pneumologue roumaine fait des miracles : elle a guéri 100% de ses malades du Covid » – C’est sous ce titre que vient de paraître un article assez long dans le quotidien roumain Național, vendu dans tout le pays. Le secret de cette femme médecin d’Oradea ? Pour guérir ses patients, elle n’applique pas le protocole médical dont l’usage est devenu obligatoire presque partout.

Couverture du Național du 18 mars 2021.

L’entretien publié par le Național a aussi été mise en ligne en langue hongroise sur ce site, qui reprend, concernant l’épidémie, diverses nouvelles alternatives que la presse de grand chemin refuse de publier. Nous ne sommes pas en mesure de vérifier la crédibilité des matériaux souvent touffus que reprend le site, mais nous pouvons, en revanche, évaluer celle de la traduction hongroise de l’entretien : le contenu de la traduction hongroise correspond bien à l’original. Voici donc cette traduction, à laquelle nous n’avons ajouté que d’infimes améliorations stylistiques :

« Le portail d’informations national.ro vient de publier un entretien intéressant, dans lequel une pneumologue d’Oradea nous explique que, décidant de ne pas tenir compte du protocole Covid officiellement en vigueur [en Roumanie], elle a préféré se baser sur sa propre expérience de la pneumologie pour traiter de façon traditionnelle ceux de ses patients atteints de pneumonie suite à une infection virale – y compris ceux qu’on dit « souffrant du Covid », méthode débouchant sur un succès impressionnant : pratiquement 100% de ses patients ont guéri sans le moindre soin hospitalier. D’après ce médecin, c’est en réalité le protocole Covid actuellement appliqué que tue les patients dans les hôpitaux.

Capture d’écran de l’article du Național en date du 17 mars 2021.

Le docteur Flavia Groșan, pneumologue à Oradea (département du Bihor). Elle est l’un de ces médecins qui ne sont pas d’accord avec le protocole de guérison actuellement prescrit par le ministère [roumain] de la Santé, et en fonction duquel sont censés être traités les malades infectés par le Covid-19. Laissant de côté cette prescription, elle guérit les patients infectés avec ses propres méthodes, en partant des connaissances qu’elle doit à son expérience de médecin, et tout semble indiquer qu’elle s’y prend très bien : son traitement a été appliqué à presque mille patients arrivant chez elle à des stades différents de la maladie causée par le SarS-CoV-2. 100% de ses patients ont guéri, sans la moindre prise en charge hospitalière.

Le docteur Groșan traite les conséquences de l’infection par le virus SARS-CoV-2 comme une pneumonie atypique. Elle a aussi déclaré que les hôpitaux commettent d’énormes erreurs, et que c’est en réalité le protocole Covid qui tue les patients.

Le Covid est une pneumonie – certes atypique, mais une pneumonie – et doit être traité comme tel » – a-t-elle affirmé.

« Dès l’annonce de la pandémie, mon but a été qu’aucun patient ne finisse intubé, car c’est un procédé qui entraîne la mort. J’applique mes traitement classiques, médicamenteux, qui incluent la clarithromycine, un antibiotique de la famille des macrolides. Cette famille ne compte que trois antibiotiques : l’érythromycine, que tout le monde connaît, l’azithromycine et la clarithromycine. Je n’aime pas trop l’azithromycine, qui est une copie affaiblie de la clarithromycine. J’ai participé à des recherches cliniques très intéressantes sur les pneumonies, au cours desquelles j’ai pu constater le pouvoir qu’a la clarithromycine de réduire l’inflammation comme aucun autre antibiotique ne sait le faire. »

La pneumologue fait remarquer que les surdoses d’oxygène administrées en milieu hospitalier provoquent des œdèmes cérébraux, qui constituent l’une des causes de mortalité des patients.

À ce sujet, elle a tenu les propos suivants :

« Au-dessus de 80% de saturation, je n’administre que de très petites doses d’oxygène à mes patients, de l’ordre de 2-3 litres par minute, sous la forme d’administrations quotidiennes courtes, de 4 à 5 heures tout au plus. Il faut en effet savoir qu’un excès d’oxygène inhibe le cerveau, car en général, c’est le cerveau qui contrôle notre corps, et non un appareil. Sur ce point, j’ai été en total désaccord avec le protocole Covid en vigueur : les fortes doses d’oxygène qu’il prescrit, de l’ordre de 20 litres, conduisent à l’acidose, provoquant des œdèmes cérébraux chez les patients… lesquels, à leur tour, conduisent bien entendu à leur décès. »

Flavia Groșan voit comme une lourde erreur l’administration aux malades de Covid de Kaletra et de codéine, qui ne peuvent qu’aggraver les symptômes de la maladie.

« Heureusement, il y a eu quelques infirmières – celles que je considère comme de vraies héroïnes – qui ont observé les malades, et les ont avertis, leur conseillant de ne pas avaler le Kaletra et de jeter les médicaments. Après quoi, les médecins venant procéder à leur contrôle s’étonnaient de l’absence de diarrhée, et du fait qu’ils se sentent bien. La raison en était qu’ils n’avaient pas pris les médicaments prescrits par le protocole. C’est ainsi que ces soignantes ont véritablement sauvé la vie de leurs patients. »

« En cas d’utilisation de la codéine, la toux étant bloquée, le malade ne peut pas cracher les sécrétions qui se forment dans les poumons, et ce sont ces sécrétions qui l’étouffent – pas les caillots sanguins, mais l’accumulation des sécrétions. Arrivés à ce point, les malades, comme on pouvait s’y attendre, entrent en état de panique, car ils n’arrivent plus à respirer : du coup, on leur administre des calmants et on les place sur respirateur – à partir de là, il n’y a plus que la miséricorde divine pour les sauver ! »

Cette méthode couronnée de succès et cette attitude intrépide ont aussitôt assuré à cette pneumologue d’Oradea une popularité nationale. D’innombrables organes de presse ont rendu compte de la méthode qu’elle applique. Sur cette vidéo, elle répond aux questions d’une chaîne nationale basée à Bucarest, dont les journalistes adoptent à son égard un ton plutôt hostile et accusatoire, mais madame le docteur reste inébranlable. Voici un résumé de l’entretien télévisé :

Flavia Groşan

La pneumologue applique son propre protocole. Elle consulte en ligne, et traite ses patients en partant du principe qu’ils souffrent d’une pneumonie atypique. Elle a par exemple guéri les cinq membres d’une même famille, dont les âges allaient de 37 à 97 ans ; le traitement a eu tant de succès que cette famille a déjà pu fêter Noël réunie. Les malades ont très peur – affirme-t-elle –, tout le monde veut être hospitalisé, alors qu’on peut guérir en restant chez soi et en prenant des médicaments. Elle a déjà été dénoncée par l’un de ses collègues pour ne pas suivre le protocole prescrit, mais cela la laisse indifférente, car elle voit que le protocole prescrit n’est pas correct, et que son protocole à elle, en revanche, est le bon – le principe de ce dernier étant que, dès l’apparition des premiers symptômes, même avec une température de 37.1°, elle place ses patients sous clarithromycine. Elle se déclare perplexe en voyant les sommités médicales se succéder à la télévision pour effrayer la population, car pour elle, il était clair d’entrée de jeu qu’elle a à faire à une pneumonie, et que c’est cette constatation qui doit aussi déterminer la mise au point du traitement.

Traduit du hongrois par le Visegrád Post

Source : https://visegradpost.com/fr/2021/03/22/flavia-grosan-pneumologue-roumaine-cest-le-protocole-covid-applique-dans-les-hopitaux-qui-tue-les-malades/

L’armée sera impliquée dans les vaccinodromes, annonce Alain Fischer

L’armée sera mobilisée dans la campagne vaccinale, a indiqué Alain Fischer lundi 22 mars. Selon Olivier Véran, elle devrait, avec les pompiers, gérer près de 35 centres de vaccination.

Une patrouille sentinelle du 2e Rima du Mans, dans les rues de Rennes, le 24 novembre 2020.

L’armée va être impliquée en France dans la campagne vaccinale contre le COVID-19, a déclaré lundi 22 mars Alain Fischer, président du conseil d’orientation sur la stratégie vaccinale, qui a dit s’attendre à un retour à une forme de normalité d’ici l’été ou l’automne.

Alain Fischer a précisé que l’armée allait être impliquée dans la mise en œuvre de vaccinodromes que les autorités prévoient d’ouvrir dans plusieurs départements, dont un au Stade de France, en région parisienne (Seine-Saint-Denis), début avril.

« Elle sait faire, elle a une logistique »

« L’armée va être impliquée. Elle sait faire, elle a une logistique et elle participera de cette activité », a-t-il dit sur BFMTV.

« Plus il y a de corps professionnels et de compétences qui peuvent s’ajouter et vacciner, mieux c’est », a-t-il noté. Le gouvernement a pour objectif de vacciner 30 millions de Français d’ici l’été, dont 10 millions dès la mi-avril et 20 millions à la mi-mai.

35 centres gérés par l’armée et les pompiers

« Il y a au moins 35 centres qui vont être déployés à la fois par l’armée et les pompiers sur le territoire national. Et nous en déployons avec l’Etat, l’Assurance maladie, un certain nombre d’autres aussi », a précisé dans le courant de l’après-midi Olivier Véran, le ministre de la Santé.

Il s’agit pour les autorités de « pouvoir être capables d’utiliser tous les vaccins qui nous sont livrés à partir du mois d’avril pour vacciner massivement les Français », a-t-il poursuivi.

« Exploiter au mieux les hôpitaux militaires »

« Il y a une réflexion en cours pour exploiter au mieux les hôpitaux militaires », a expliqué lundi le cabinet de la ministre des Armées.

« La planification en cours vise à faire des hôpitaux militaires des centres de vaccination permanents au fur et à mesure de l’arrivée des doses et en fonction de nos moyens », a-t-il poursuivi.

Quatre hôpitaux militaires déjà mobilisés

L’armée a déjà contribué à la campagne de vaccination ces deux derniers week-ends, en mobilisant quatre hôpitaux militaires les 13 et 14 mars et deux les 20 et 21 mars, a précisé le cabinet.

Elle est par ailleurs mobilisée pour l’acheminement des doses de vaccin vers les territoires d’Outre-Mer. L’armée a ainsi procédé la semaine dernière à l’acheminement de 9 600doses vers Saint-Pierre-et-Miquelon.

Un confinement localisé à 16 départements

Face à une « troisième vague » de l’épidémie, la France a instauré samedi un confinement localisé à 16 départements, dont Paris et ses voisins franciliens, qui obligent notamment certains commerces jugés non essentiels à rester fermés.

Le gouvernement a toutefois fait des exceptions pour les coiffeurs, les fleuristes et les chocolatiers et le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a promis lundi un accompagnement pour toutes les autres enseignes fermées.

Le retour d’une vie normale à l’été ou l’automne

Il faudra de fait un certain temps « pour que la vie redevienne normale », a prévenu Alain Fischer.

« Il faut que la circulation du virus ait franchement diminué et il faut que les personnes les plus fragiles soient protégées », a-t-il dit sur BFM.

« Pour les personnes fragiles, d’ici fin mai on ne devrait pas être loin du but. Le retour d’une vie normale pourrait être à l’été, l’automne », a-t-il précisé.

Source : https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/covid-19-l-armee-sera-impliquee-dans-les-vaccinodromes-annonce-alain-fischer-4cdffefc-8afb-11eb-be07-a782e4049e5a

Effets des confinements : Les athlètes carencés en vitamine D

Le directeur de la haute performance de la Fédération indienne d’athlétisme (AFI), Volker Herrmann, a déclaré que la carence en vitamine D a été observée chez tous les participants au camp national de Patiala, suite aux résultats des tests sanguins effectués en juin 2020.

Un sportif associant ses symptômes à un virus pour BFM-TV

“Il est intéressant de noter que beaucoup de nos athlètes manquent de vitamine D. Nous nous sommes demandé si cela n’était pas dû au confinement. Ils passent tellement de temps à l’intérieur et pas à l’extérieur. Cela pourrait être l’une des raisons. La vitamine D est produite par la lumière du soleil. Nous avons pris des échantillons de sang après le confinement en juin. En général, ils étaient plus ou moins retournés dans leurs chambres, c’est une explication possible”, a déclaré M. Herrmann à The Indian Express.

Des suppléments de vitamine D ont été achetés et donnés à tous les athlètes du camp national après la publication des résultats des tests sanguins. Le manque de vitamine D peut avoir des effets négatifs sur les athlètes, car cette vitamine est essentielle à l’absorption du calcium par l’organisme.

“La vitamine D aide à la récupération, notamment des muscles, et elle réduit également le temps de récupération. C’est l’aspect principal. La vitamine D est également liée à la densité osseuse. Parfois, les athlètes souffrent de fractures de fatigue, qui peuvent être dues à un effort excessif, mais aussi à une carence en vitamine D”, a ajouté M. Herrmann.

Le Covid-19 est une maladie respiratoire et les maladies respiratoires semblent réagir à des niveaux optimisés de vitamine D “soleil”. Des preuves cliniques indiquent qu’avec des niveaux sériques adéquats de vitamine D, les gens sont moins susceptibles de souffrir d’infections respiratoires en général et du Covid-19 en particulier.

Sources :
https://indianexpress.com/article/technology/social/facebook-develops-a-neural-wristband-that-will-work-with-ar-glasses-7235704/
https://cv19.fr/2021/03/16/la-vitamine-d-est-sure-pas-les-vaccins/#carence

Public Health England admet ne pas pouvoir prouver scientifiquement que le covid19 est contagieux

Par Kev Boyle

Au début de cette “pandémie”, j’ai lu des articles sur quatre expériences/enquêtes distinctes menées par l’armée américaine pendant la grippe espagnole, qui ont toutes démontré que la grippe espagnole ne pouvait pas être transmise de personnes très malades à des personnes saines, même en faisant boire aux personnes saines les crachats chauds des malades.

Je me suis demandé pourquoi aucune enquête similaire n’était menée sur la transmission du COVID19. De telles expériences n’auraient pas besoin d’être aussi ” dégoûtantes “.

De plus. Ce n’est pas comme si c’était une question sans importance.

J’ai envoyé des requêtes sur la liberté d’information (FOI) [La loi sur la liberté d’information de 2000 (c. 36) est une loi du Parlement du Royaume-Uni qui crée un “droit d’accès” du public aux informations détenues par les autorités publiques.] au ministère de la Santé et des Services sociaux qui, dans une première réponse (à la question de l’isolement du virus), ont admis qu’ils ne détenaient “aucune information relative à l’isolement du Sars-Cov-2”, une déclaration assez étonnante qui élève le Sars-Cov-2 au même statut mythique que celui de la licorne, une chose extraordinaire que personne n’a jamais vue.

La principale différence entre une licorne et le Sars-Cov-2 est que personne n’a encore inventé un test “scientifique” des supposés éléments constitutifs qui “prouve” l’existence d’une licorne, ce qui est fort dommage car il serait assez intéressant d’observer combien de personnes seraient convaincues si un “test licorne” retournait un jour “positif”.

Le DHSC ne détient pas non plus d’informations sur la transmissibilité/contagion mais m’a suggéré d’envoyer ma demande à Public Health England.

Le PHE a répondu (enfin).

Voici les lignes pertinentes :

Veuillez transmettre toute information dont vous disposez concernant les preuves expérimentales démontrant que le COVID-19 est transmissible de personne à personne.

Le PHE peut confirmer qu’il ne détient pas d’informations dans le sens spécifié par votre demande.

Cela signifie qu’aucune enquête spécifique n’a été menée sur l’hypothèse la plus centrale (et c’est tout ce qu’elle est) qui a conduit la “réponse” mondiale à cette supposée pandémie !

Il serait évidemment très simple de prouver ou de réfuter la contagion (c’est-à-dire la contagion par gouttelettes transmises) de manière expérimentale. Il n’y a AUCUNE EXCUSE pour ne pas étudier cette question directement. La science pourrait facilement résoudre les croyances contradictoires à ce sujet, dans un sens ou dans l’autre.

À mon avis, elle l’a déjà fait. C’est pourquoi l’absence d’enquête est, en soi, une preuve de mauvaise foi et l’application d’un mensonge infernal.

Les articles scientifiques qui démontrent l’inutilité du confinement et du port de masques pour protéger les gens contre l'”infection” par le COVID constituent une preuve indirecte supplémentaire que les maladies de type grippal ne sont PAS transmissibles de personne à personne. Ce n’est tout simplement pas ainsi que ces maladies fonctionnent. D’autres facteurs, externes et internes, déterminent qui tombe malade et quand.

Voici ma deuxième demande de renseignements (FOI) :

S’il n’existe aucune preuve expérimentale de ce type pour le COVID-19, pourriez-vous, s’il vous plaît, transmettre toute preuve disponible recueillie, ciblant cette question particulière au cours des 150 dernières années, qui démontre la transmissibilité de personne à personne pour tout autre type de maladie grippale ? “.

Réponse :

Le PHE peut confirmer qu’il détient ces informations. Cependant, ces informations sont exemptées en vertu de la section 21 de la loi sur la liberté d’information, car elle est raisonnablement accessible par d’autres moyens, et les termes de l’exemption signifient que nous n’avons pas à considérer si oui ou non il serait dans l’intérêt public que vous disposiez de ces informations. Toutefois, pour votre commodité, nous avons inclus un lien vers le rapport ” Impact of mass gatherings on influenza” (Impact des manifestations publiques sur la grippe).

Le rapport en question n’a, à mon avis, pas grand-chose à voir avec ma demande de liberté d’information. La faible “conclusion” de “L’impact des manifestations publiques sur la grippe” suggère une corrélation sans démontrer la preuve de quoi que ce soit. Les probabilités suggérées dans la conclusion sont, une fois de plus, basées sur des hypothèses que l’auteur ne prend même pas la peine de définir.

La corrélation entre l’infection future et les rassemblements de masse sans l’étude d’autres facteurs inhérents aux rassemblements de masse (par exemple, le fait que tout le monde se trouve approximativement au même endroit et est donc soumis à de multiples influences environnementales identiques au même moment) ne signifie certainement rien sur le plan scientifique. Le rapport admet qu’il n’y a pas de preuve de causalité mais suggère qu’il est “prudent” de les décourager.

Voici sa “conclusion”.

CONCLUSION

En conclusion, les données indiquant que les rassemblements de masse sont associés à la transmission de la grippe sont limitées et ce thème se poursuit avec l’inclusion de nouvelles preuves pour la mise à jour. Certains événements uniques, tels que le Hajj, les lieux spécialisés, y compris les navires civils et militaires – un nouveau thème pour cette mise à jour -, les lieux intérieurs et les lieux extérieurs bondés, constituent la principale base de données probantes indiquant que les rassemblements de masse peuvent être associés à des épidémies de grippe. Certaines données suggèrent que la restriction des rassemblements de masse, associée à d’autres mesures de distanciation sociale, peut contribuer à réduire la transmission. Cependant, les preuves ne sont pas encore assez solides pour justifier la mise en place de restrictions légales. Par conséquent, dans une situation de pandémie, une politique prudente d’évitement volontaire des rassemblements de masse reste le message le plus prudent. Les considérations opérationnelles, y compris les implications pratiques d’une politique visant à restreindre les rassemblements de masse, doivent être soigneusement étudiées.

Après avoir lu l’intégralité de la réponse au FOI, voici ma propre conclusion :

Le PHE admet que l’hypothèse du gouvernement sur la transmissibilité interhumaine du COVID-19 est basée sur…

AUCUNE SCIENCE DU TOUT !

RIEN !

ZÉRO !

Source : https://wwwkevboyle.blogspot.com/2021/03/public-health-england-admits-it-cannot.html
Traduction par https://cv19.fr

Voir cet article qui donne d’autres pistes sur la nature de cette maladie : La vitamine D est sûre – Pas les vaccins

Le canard enchaîné révèle que le nombre de lits de réanimation en Ile-de-France est passé de 2.500 en mars 2020 à 1.700 aujourd’hui

Le Canard Enchaîné révèle que le nombre de lits de réanimation en Ile-de-France est passé de 2.500 en mars 2020 à 1.700 aujourd’hui…

La question est donc : pourquoi le gouvernement a-t-il délibérément laissé baisser le nombre de lits ?

http://app.box.com/s/sp1kkhk6k6llw0nikb9jhfyh43n7s4kt

Source : https://www.businessbourse.com/2021/03/19/le-canard-enchaine-revele-que-le-nombre-de-lits-de-reanimation-en-ile-de-france-est-passe-de-2-500-en-mars-2020-a-1-700-aujourdhui/

Le responsable de l’enquête norvégienne confirme que le vaccin d’AstraZeneca a provoqué des caillots sanguins rares dus à une réaction immunitaire inattendue

Le chef de l’enquête norvégienne et médecin Pal Andre Holme, qui a examiné les trois professionnels de santé hospitalisés, a confirmé que c’est bien le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca qui a provoqué les caillots sanguins rares dus à une réaction immunitaire inattendue.

Auparavant, l’un des trois agents de santé admis au Rikshospitalet de Norvège est décédé. Ils ont tous été traités pour une maladie très rare :

  • Ils sont arrivés avec une douleur aiguë
  • Ils avaient des caillots sanguins dans des endroits inhabituels, comme l’estomac et le cerveau.
  • De plus, ils avaient des saignements et un faible nombre de plaquettes.

Plus tard, l’Union européenne a convoqué un sommet d’urgence sur les vaccins après que plus d’une douzaine de pays européens ont décidé de ne plus utiliser le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca en raison de graves incidents de caillots sanguins signalés dans de nombreux pays.

Un groupe du Rikshospitalet, dirigé par le responsable de l’enquête norvégienne et médecin Pal Andre Holme, s’est efforcé de découvrir pourquoi trois agents de santé de moins de 50 ans ont été admis pour de graves caillots sanguins après avoir pris le vaccin d’AstraZeneca.

Les experts ont travaillé sur la base d’une hypothèse selon laquelle les vaccins ont déclenché une réaction immunitaire inattendue chez les agents de santé malades, ce qui a provoqué une combinaison de caillots sanguins et une diminution des plaquettes.

Alors que nous attendons la décision de l’Agence européenne des médicaments, le principal investigateur et médecin norvégien a confirmé de manière sensationnelle que le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca a déclenché une réaction immunitaire inattendue à l’origine des rares caillots sanguins.

“En collaboration avec le département d’immunologie avancée des plaquettes de l’UNN, nous avons maintenant détecté des anticorps spécifiques contre les plaquettes qui peuvent provoquer une telle réaction, dont nous avons déterminé la cause”, explique le chercheur.

Nous avons la raison. Et il n’y a rien d’autre que le vaccin qui puisse expliquer la réponse immunitaire que nous avons observée.

Parce que nous n’avons pas d’autres antécédents chez ces patients qui peuvent donner une réponse immunitaire aussi forte. Je suis pratiquement sûr que ce sont ces anticorps qui en sont la cause, et je ne vois pas d’autre raison que celle-là – c’est le vaccin qui la déclenche.

M. Holme insiste sur le fait que ce ne sont pas les anticorps présents dans le sang en général qui posent problème. “Nous parlons d’anticorps très spécifiques”.

On prend le vaccin pour obtenir une réponse immunitaire à ce contre quoi on doit être protégé. On obtient alors, entre autres, le développement d’anticorps. Certains anticorps peuvent alors réagir de manière à activer les plaquettes, comme dans ces cas-là, et provoquer un caillot de sang. Et comme ces anticorps sont à la surface, ils sont éliminés de la circulation, d’où un taux de plaquettes trop faible.

Le comité des effets secondaires de l’Agence européenne des médicaments (EMA), où siège également la Norvège, se réunit jeudi au sujet de cette affaire et devrait faire une déclaration.

Une fois que l’EMA aura publié une déclaration, il appartiendra aux autorités nationales de décider de la marche à suivre pour leurs pays respectifs.

Sources : https://greatgameindia.com/astrazeneca-immune-response-blood-clots/
https://www.vg.no/nyheter/innenriks/i/QmwR1V/professor-om-mistenkte-vaksinebivirkninger-aarsaken-er-funnet
Traduction par https://cv19.fr

La nouvelle hiérarchie sociale Israélienne

Ilana Rachel, du parti politique israélien Rappeh, donne plus de détails sur la situation actuelle en Israël suite à ses dernières interventions très médiatisées à travers le monde.

Ilana Rachel Daniel est venue à l’aide de Jérusalem, la capitale d’Israël. À une vitesse record, le gouvernement tente de vacciner l’ensemble de la population – y compris les femmes enceintes et les jeunes enfants – contre le coronavirus.

“Les droits civils sont mis de côté et les gens ne peuvent à nouveau participer à la société qu’après la vaccination”, a déclaré Ilana à Flavio Pasquino dans le studio BLCKBX via une connexion en direct, qui a retrouvé Ilana après un clip audio encore plus émotionnel sur Telegram. Ilana parle du Green Pass, du Freedom Bracelet, du vaccin ARNm et des violations des droits humains.

“Cela rappelle actuellement l’Holocauste”, a déclaré la juive qui a émigré des États-Unis vers Jérusalem il y a 30 ans. Ilana Rachel est active à Jérusalem en tant que conseillère en santé et responsable de l’information pour un nouveau parti politique (Rappeh) auquel le régime s’oppose fortement. L’ouverture d’un compte bancaire n’est pas possible et les membres du parti sont également contrariés dans leur vie quotidienne. Le groupe facebook a été supprimé et le site ne peut plus être trouvé, mais à travers cet article de journal, vous pouvez trouver des informations sur les activités d’elle et du parti.

Source : https://rumble.com/vej0hr-message-important-disral-10-03-2021.html

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