Day: March 23, 2021

Confinement, un an après – Cela ne fonctionne pas, cela n’a jamais fonctionné et cela n’était pas censé fonctionner

Allumez une bougie sur le gâteau d’anniversaire le plus triste du monde ! La politique gouvernementale la plus destructrice du siècle s’accélère et ne semble pas vouloir ralentir.

Par Kit Knightly

Et donc nous arrivons au 23 mars, et au premier anniversaire du confinement [Grande Bretagne]. Ou, comme nous l’appelons ici, les deux semaines les plus longues de l’histoire.

1 an. 12 mois calendaires. 365 jours de plus en plus éreintants.

Cela fait longtemps que “2 semaines pour aplanir la courbe” est devenu un mensonge flagrant. En juillet, c’est devenu une blague de mauvais goût. La courbe a été aplatie, le NHS était en sécurité et les applaudissements étaient chaleureux et sincères.

…et rien de tout cela n’a fait de différence.

Ce n’était pas un sacrifice pour le ” bien de tous “. Ce n’était pas une décision difficile avec des arguments des deux côtés. Ce n’était pas un scénario risques-bénéfices. Les “risques” étaient en fait des certitudes, et les “bénéfices” entièrement fictifs.

Parce que le confinement ne fonctionne pas. Il est vraiment important de s’en souvenir.

Même si vous souscrivez à l’idée que “Sars-Cov-2” est une entité unique et discrète (ce qui est loin d’être prouvé), ou qu’elle est incroyablement dangereuse (ce qui est manifestement faux), le confinement n’a pas fonctionné pour, de quelque manière que ce soit, limiter cette supposée menace.

Les confinements. Ne. Fonctionnent. Pas.

Ils ne font aucune différence, les courbes ne s’aplatissent pas, le nombre de R0 ne diminue pas et les vies ne sont pas sauvées (bien au contraire, comme nous l’avons tous vu).

Il suffit de regarder les graphiques.

Celui-ci, qui compare les “décès dus au Covid” au Royaume-Uni (confinement) et en Suède (pas de confinement) :

Ou encore celui-ci, qui compare les “décès dus au Covid” en Californie (confinement) et en Floride (pas de confinement) :

De la Biélorussie à la Suède en passant par la Floride, le Nicaragua et la Tanzanie, les preuves sont claires. Le “Covid”, quoi que cela signifie en réalité, n’est pas affecté par les mesures de confinement.

Assigner à résidence l’ensemble de la population n’est pas bénéfique pour la santé publique. En fait, c’est (de manière assez prévisible) incroyablement contre-productif.

Les dommages causés par la fermeture des entreprises, la limitation de l’accès aux soins de santé, le report des traitements et des diagnostics, le report des opérations chirurgicales, l’augmentation de la dépression, la montée en flèche du chômage et la pauvreté de masse ont été discutés à outrance. L’ampleur de l’impact ne peut être surestimée.

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation mondiale de la santé pour Covid-19, a déclaré ceci à propos des confinements en octobre dernier :

À l’Organisation mondiale de la santé, nous ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de lutte contre le virus […] il suffit de voir ce qui est arrivé à l’industrie du tourisme […], de voir ce qui arrive aux petits exploitants agricoles […] il semble que nous pourrions avoir une multiplication par deux de la pauvreté dans le monde d’ici l’année prochaine. Nous pourrions bien avoir au moins une multiplication par deux de la malnutrition infantile […] C’est une catastrophe mondiale terrible, épouvantable.

Une terrible catastrophe mondiale. La malnutrition infantile doublée.

La “pandémie” n’a pas fait ça, les confinements ont fait ça. Ils n’allaient jamais atteindre leurs objectifs déclarés. Et qui plus est, ils n’ont jamais été destinés à atteindre ces objectifs.

Trop souvent, le langage mou des médias parle de “mauvais jugements”, d'”erreurs” ou d'”incompétence”. Les prétendus critiques prétendent que le gouvernement a “paniqué” ou “sur-réagi”. C’est absurde. L’excuse la plus facile et la plus bidon qui n’ait jamais existé.

“Oups”, disent-ils, avec un haussement d’épaules emphatique et un sourire carnassier, “je suppose que nous avons fait une erreur !”. Peu flatteur, mais mieux que la vérité.

Parce que la vérité est que le gouvernement ne se trompe pas, n’a pas peur ou n’est pas stupide… il est malveillant. Et malhonnête. Et cruel.

Toutes les souffrances du confinement étaient entièrement prévisibles et délibérément imposées. Pour des raisons qui n’ont rien à voir avec l’aide aux personnes et tout à voir avec leur contrôle.

Il a été plus qu’évident pendant la majeure partie des cinquante-deux dernières semaines que l’ordre du jour du confinement n’était pas la santé publique, mais la préparation de la “nouvelle normalité” et de la “grande réinitialisation”.

Une série de programmes conçus pour saper complètement les libertés civiles dans le monde entier, annulant des décennies (voire des siècles) de progrès social. Une re-féodalisation de la société, avec les 99% qui prennent allègrement leur blouse de paysan “pour protéger les plus vulnérables”, tandis que l’élite fait du prosélytisme sur la valeur des règles dont elle admet volontiers qu’elles ne s’appliquent pas à elle.

Et nous avons tous eu des vies ruinées et une année de temps précieux perdue. Pour rien. Vous avez été enfermé pendant deux semaines qui ont duré 365 jours. Pour rien.

…ou plutôt, pour tout. Parce que c’est ce qu’ils essaient de nous prendre. Tout. Et la seule façon de les arrêter est de ne pas les laisser faire. De simplement refuser de consentir.

Ne laissons pas le confinement avoir un deuxième anniversaire.

Source : https://off-guardian.org/2021/03/23/lockdown-one-year-on-it-doesnt-work-it-never-worked-it-wasnt-supposed-to-work/
Traduction par https://cv19.fr

Plus de ressources sur le confinement :
https://cv19.fr/category/confinement/
https://cv19.fr/ressources/#confinement

Le président tanzanien John Magufuli a-t-il été assassiné pour avoir dénoncé la pandémie de Covid-19 ? (maj)

Mise à jour 19 mars, cliquez
Mise à jour 23 mars, cliquez

Le président tanzanien John Magufuli, après des semaines d’absence, est décédé dans un hôpital de Dar es Salaam, a annoncé la vice-présidente du pays, Samia Suluhu Hassan, dans une allocution télévisée mercredi. Il avait 61 ans. Sa mort soudaine a soulevé de nombreuses questions, notamment celle de savoir si le président tanzanien a été assassiné pour avoir dénoncé la pandémie de Covid-19 en prenant des mesures controversées contre Big Pharma et l’OMS et leur campagne mondiale en faveur des vaccins.

La presse internationale se fait l’écho de la mort du “président négationniste” de Tanzanie avec une joie à peine déguisée.

La cause officielle de la mort serait une crise cardiaque, mais certains laissent entendre qu’elle pourrait être due au virus. The Economist, par exemple, rapporte :

Beaucoup pensent que le virus est en cause.

Comme si ce que “beaucoup pensent” signifiait vraiment quelque chose.

Qu’il s’agisse d’un virus, d’une crise cardiaque ou d’un “suicide”, Magufuli est parti. Comme nous l’avions prédit il y a seulement quelques jours.

Que faire maintenant pour la nation d’Afrique de l’Est ? On peut supposer que le successeur de Magufuli – qu’il s’agisse de la vice-présidente ou d’un nouveau dirigeant élu à la hâte (peut-être le chef de l’opposition, compte tenu des nombreux articles publiés ces dernières semaines) – prendra les rênes du pays.

Poursuivront-ils les politiques de “déni du Covid” de leur prédécesseur ? Ce serait stupéfiant.

Si l’on se fie à ce qui s’est passé au Burundi l’été dernier, l’approche Covid tanzanienne sera totalement inversée un jour ou deux après le décès du président.

Comme l’a rapporté le Council on Foreign Relations, pas plus tard que la semaine dernière :

une figure audacieuse au sein du parti au pouvoir pourrait profiter de l’épisode actuel pour commencer à inverser la tendance.

Attendez-vous à ce que cette “personnalité audacieuse” se hisse très vite au premier plan et reçoive le genre de commentaires élogieux dans la presse occidentale, que seuls les hommes triés sur le volet obtiennent.

Bloomberg en parle déjà :

Le prochain dirigeant tanzanien devra faire face au négationnisme de son prédécesseur en matière de lutte contre le covid

Et que :

Le nouveau dirigeant doit décider s’il change de cap concernant le Covid-19

Les renversements de situation concernant le Covid ont en fait déjà commencé, ils ont été mis en place avant même que la mort du président ne soit signalée, les porte-parole de l’OMS faisant l’éloge de la “nouvelle position” de la Tanzanie sur le Covid dès le 12 mars.

La “nouvelle position” sera probablement appliquée par le biais du chantage industriel. Bloomberg rapporte :

Magufuli a été le fer de lance d’un vaste programme d’investissement dans les infrastructures, et les décisions en suspens concernant la réalisation de plusieurs mégaprojets incomberont désormais à son successeur.

En 2019, Magufuli mettait fin au projet de port de Bagamoyo, un investissement de 10 milliards de dollars. Le projet était une entreprise tri-gouvernementale entre la Tanzanie, la Chine et Oman, via l’entreprise publique China Merchants Holdings International (CMHI) et le State General Reserve Fund (SGRF) d’Oman.

Le port était construit par la Chine et la zone industrielle aurait été construite par Oman et administrée par l’Autorité de la zone de traitement des exportations de Tanzanie.

Cependant, en juin 2019, le président tanzanien Magufuli a accusé ses homologues chinois de présenter des conditions abusives et contraignantes en échange du financement. Le président Magufuli a également fait valoir que la construction du port de Bagamoyo compromettrait l’importante expansion en cours du port de Dar es Salaam, qui devrait être achevée d’ici la fin de 2019.

Sans oublier les projets de l’ancien président de nationaliser partiellement l’industrie minière, que son successeur pourrait bien être contraint d’arrêter, de peur de “contrarier les investisseurs internationaux” :

Le nouveau dirigeant du pays devra également décider s’il doit courir le risque de contrarier les investisseurs internationaux et aller de l’avant avec les réformes minières controversées qui, selon M. Magufuli, étaient nécessaires pour que le pays tire un plus grand profit de ses ressources naturelles.

Magufuli était connu sous le nom de “Bulldozer” pour sa position ferme contre la corruption et pour ses politiques intransigeantes, qui l’ont aidé à remporter la victoire en octobre 2015 en tant que cinquième président de la Tanzanie.

Cependant, il est également l’un des rares dirigeants nationaux à avoir mis en lumière la pandémie de Covid-19 en prenant des mesures controversées contre Big Pharma et l’OMS et leur pression mondiale pour la vaccination.

Le fossé qui sépare la Tanzanie de l’OMS et de l’Union européenne n’est pas connu de tous en raison de la dissimulation médiatique.

L’Union européenne a donné 27 millions d’euros à la Tanzanie pour qu’elle impose les mesures relatives au Covid-19 préconisées par l’OMS, comme le confinement strict, le port de masques et la vaccination à grande échelle. La Tanzanie a pris l’argent, puis a déclaré que le pays était débarrassé du coronavirus. Les Européens ont alors exprimé leur colère au Parlement.

En mai dernier, face à la multiplication des faux cas de coronavirus, le président tanzanien John Magufuli, de plus en plus méfiant à l’égard de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a décidé d’enquêter lui-même sur ces allégations.

Il a envoyé à l’OMS des échantillons d’une chèvre, d’une papaye et d’une caille pour qu’ils soient testés et tous se sont révélés positifs au Covid-19.

Ce n’est que récemment que l’OMS a modifié ses critères de test PCR défaillants afin de dissimuler les faux positifs et a averti les experts de ne pas se fier uniquement aux résultats d’un test PCR pour détecter le coronavirus.

À l’époque, comme l’a révélé le président de la Biélorussie, des agences mondiales ont fait pression sur des nations souveraines pour qu’elles imposent des mesures strictes en matière de Covid-19 et leur ont prêté des fonds considérables pour cela.

De plus, en novembre dernier, le président tanzanien a déclaré qu’il n’avait pas l’intention d’utiliser un quelconque vaccin Covid-19, mais qu’il se contenterait des herbes locales pour se protéger contre la maladie.

Certains se souviennent aussi peut-être que le président de Madagascar a accusé l’OMS d’avoir offert un pot-de-vin de 20 millions de dollars pour empoisonner son remède local Covid-19.

Tout cela a mis en colère les entreprises pharmaceutiques et, bien sûr, l’Europe.

Lors d’une réunion de l’UE au début du mois, le député européen d’Allemagne, David McAllister, s’est plaint amèrement :

L’Union européenne a accordé 27 millions d’euros de l’argent des contribuables européens pour combattre les conséquences du Covid. Maintenant, nous avons un régime dans le pays qui dit qu’il n’y a pas de Covid dans le pays avec des explications plutôt bizarres.

Donc, une fois de plus, nous avons un gouvernement qui a refusé de suivre les directives de l’Organisation mondiale de la santé, un gouvernement qui a refusé de fournir des statistiques et pourtant nous leur donnons 27 millions d’euros.

J’aimerais que vous informiez les membres de notre commission sur l’argent que nous avons donné à la Tanzanie, quels étaient les critères pour donner cet argent et surtout ce qui se passe avec cet argent.

Nous parlons de l’argent des contribuables européens et j’ai du mal à accepter que nous accordions de l’argent à un pays qui n’essaie manifestement pas de coopérer de manière décente.

Pourriez-vous donc répondre à ma question et, si vous n’êtes pas en mesure de le faire maintenant, j’attends de vous que vous me fournissiez des détails écrits dans les 48 heures.

Et ce n’est que le 16 mars que l’Union européenne a décidée qu’elle n’imposerait pas de sanctions à la Tanzanie, malgré la pression exercée par un cabinet d’avocats (Amsterdam & Partners) représentant le leader de l’opposition Tundu Lissu, actuellement exilé en Belgique.

En janvier, le gouvernement américain a imposé des restrictions de visa à des responsables tanzaniens pour avoir “compromis” une élection libre et équitable. Le département d’État a déclaré qu’il interdisait un nombre non spécifié de responsables du gouvernement tanzanien pour ce qu’il a appelé la subversion d’un processus démocratique dans leur pays.

Amsterdam & Partners a ensuite fait du lobbying auprès de divers dirigeants de l’UE pour qu’ils envisagent d’exercer une pression sur la Tanzanie, notamment en reconsidérant leur aide.

Il semble assez évident qu’il y a eu un jeu de pouvoir majeur en Tanzanie, un coup d’État en douceur. Mais qu’en pensez-vous ?

  1. Que va faire le successeur du président Magufuli ?
  2. L’OMS sera-t-elle réinvitée dans le pays ?
  3. Va-t-elle commencer les tests de masse ?
  4. La “pandémie cachée” de Tanzanie va-t-elle soudainement être révélée ?
  5. Que vont devenir le projet du port de Bagamoyo et les politiques de nationalisation de l’industrie minière ?
  6. Magufuli est-il vraiment mort de causes naturelles ?

Mise à jour 19 mars 2021

Depuis ce matin (le 19), la vice-présidente de Magufuli a officiellement prêté serment pour lui succéder. Samia Suluhu Hassan, qui a fait ses études en partie en Grande-Bretagne, est la première femme présidente du pays, ce dont la presse occidentale se fait naturellement le relais.

Dans son discours d’investiture, elle a appelé le pays à “se rassembler” et a prévenu que ce n’était “pas le moment de pointer du doigt”, montrant ainsi qu’elle est consciente de la suspicion qui entoure cette transition de pouvoir et de la fragilité de son emprise sur le pouvoir en ces premiers jours de remplacement d’un leader très populaire.

Rappelez-vous hier, lorsque nous avons prédit des “articles élogieux” pour le successeur de Magufuli ?

Eh bien, elle est décrite comme une “conciliatrice” dans la presse, ce qui est le langage du journalisme occidental pour “quelqu’un qui fera ce qu’on lui dit”. Human Rights Watch a prédit que la Tanzanie connaîtra un “renouveau de la démocratie” sous sa direction, et The Guardian en parle déjà :

DaMina Advisors, une société de conseil en matière de risque politique, a prédit que le nouveau président était susceptible de faire publiquement volte-face par rapport à la politique de déni du Covid de son prédécesseur et à son attitude généralement négative envers les investisseurs étrangers.

Ce qui se passe ici ne pourrait pas être plus évident.

Mise à jour 23 mars 2021

Le média kenyan Kenya Diaspora Radio Television (KDRTV) a rapporté qu’un haut fonctionnaire du gouvernement a déclaré au correspondant de KDRTV en Tanzanie que le président avait été assassiné par les Chinois en collaboration avec des espions occidentaux. C’est un fait que la Chine est plus forte en Tanzanie mais que l’Occident est plus fort en matière de renseignement. Le responsable gouvernemental, qui s’est exprimé sous couvert d’anonymat, a également révélé qu’une enquête est en cours sur la cause du décès et qu’ils examineront toutes les pistes et présenteront un rapport concluant. Le fonctionnaire a également déclaré que le président Magufuli était en bonne santé et plein d’énergie.

Sources :
https://www.kdrtv.co.ke/news/magufuli-was-allegedly-poisoned-by-the-chinese-in-collaboration-by-the-western-countries-spies/
https://greatgameindia.com/tanzania-president-john-magufuli-assassinated/
https://off-guardian.org/2021/03/18/discuss-president-magufuli-dead-at-61/#update
https://off-guardian.org/2021/03/18/discuss-president-magufuli-dead-at-61/
https://www.theeastafrican.co.ke/tea/news/east-africa/eu-declines-request-to-impose-sanctions-on-tanzania-3324504
https://www.enr.com/articles/47134-tanzania-suspends-bagamoyo-port-project?v=preview
Traduction et adaptation par https://cv19.fr

Voir aussi :
Tanzanie – Le deuxième coup d’Etat Covid ?
Liste croissante des assassinats de chercheurs liés au COVID-19

Vingt pays suspendent les injections ; cela vous rend-il “hésitant” ?

par Jon Rappoport

The Guardian : “Plusieurs pays européens ont cessé d’utiliser le vaccin Covid d’Oxford/AstraZeneca…”

The Guardian a une toute nouvelle définition de “plusieurs”. Leur propre article énumère les nations suivantes : Autriche, Estonie, Lettonie, Luxembourg, Lituanie, Roumanie, Danemark, Norvège, Islande, Pays-Bas, Irlande, Allemagne, France, Italie, Espagne, Slovénie, Chypre, Suède.

La Bulgarie et la Thaïlande ont également arrêté la piqûre.

La raison de cette “pause” ? Un “petit” nombre de personnes ont développé des caillots sanguins.

Et maintenant, à l’heure où j’écris ces lignes, le Wall St. Journal rapporte que les régulateurs médicaux de l’Union européenne ont décidé que tout était OK – “les bénéfices des injections sont supérieurs aux risques”. C’est le langage standard pour dire : “nous n’avons pas à expliquer les dommages ou les décès dus aux vaccins”.

Si vous croyez que quelques personnes souffrant de caillots sanguins ont poussé 20 pays à arrêter les vaccinations, j’ai des appartements sur Mars à vendre.

Cachées derrière le rideau de la politique vaccinale, de nombreuses personnes sont en train de vaciller.

Et pourquoi ne le feraient-elles pas ? Les gouvernements et les entreprises pharmaceutiques ont mis en place une nouvelle technologie expérimentale d’ARN, pour la première fois dans l’histoire. Avant l’injection des vaccins COVID, toutes les tentatives pour forcer l’approbation de la technologie de l’ARN avaient échoué ; la raison en était une réaction excessive dangereuse et mortelle du système immunitaire.

Puisque je semble être l’une des seules personnes à le dire, je vais le répéter : Bill Gates, Fauci et les autres vaccinateurs forcenés sont amoureux de la technologie ARN. Elle permet de produire des vaccins beaucoup plus rapidement, facilement et à moindre coût.

Pour n’importe quel prétendu virus, il suffit d’un rien pour que les entreprises trouvent un vaccin. Cela ne prend pas quatre ans. Il faut trois mois.

“Nous venons de découvrir un virus qui s’est croisé à partir des oies. Et en voici un nouveau provenant des lapins de Pâques. Et un autre qui vient de dériver de Jupiter. Nous aurons des vaccins prêts pour Noël. La septième mutation du SARS-CoV-2 a son propre vaccin depuis hier. Si vous voulez emmener les enfants à Disneyland, trouvez l’une de ces camionnettes roses garées dans votre ville, faites-vous vacciner et recevez votre certificat d’immunité mis à jour…”.

Et puis il y a aussi ceci : les vaccins COVID fabriqués par AstraZeneca, Pfizer et Moderna sont totalement inefficaces pour prévenir les maladies graves. PAR NATURE.

Il y a plusieurs mois, un article du NY Times, rédigé par Peter Doshi et Eric Topol, l’a expliqué en détail.

22 septembre 2020 : “Ces essais sur le coronavirus ne répondent pas à la seule question que nous devons savoir” :

“Si vous deviez approuver un vaccin contre le coronavirus, approuveriez-vous un vaccin dont vous sauriez seulement qu’il ne protège les gens que de la forme la plus bénigne du Covid-19, ou un vaccin qui préviendrait ses complications graves ?” [Indice : “la plus bénigne” signifie la toux, ou les frissons et la fièvre, qui se guérissent d’eux-mêmes sans avoir besoin d’un vaccin].

“La réponse est évidente. Vous voudriez vous protéger contre les pires cas.”

“Mais ce n’est pas ainsi que les sociétés qui testent trois des principaux candidats vaccins contre le coronavirus, Moderna, Pfizer et AstraZeneca, dont l’essai américain est en suspens, abordent le problème.”

“Selon les protocoles de leurs études, qu’ils ont publiés à la fin de la semaine dernière, un vaccin pourrait répondre au critère de réussite des sociétés s’il diminuait le risque de Covid-19 léger, mais il n’a jamais été démontré qu’il réduisait les formes modérées ou sévères de la maladie, ou le risque d’hospitalisation, d’admission en unité de soins intensifs ou de décès.”

“Dire qu’un vaccin fonctionne devrait signifier que la plupart des gens ne courent plus le risque de tomber gravement malade. Ce n’est pas ce que ces essais vont déterminer”.

Le vaccin COVID : dangereux ET inefficace.

Le groupe de travail de Trump sur le coronavirus connaissait la vérité. Le groupe de travail de Biden connaît la vérité. Mais ils s’en moquent.

Le CDC et l’OMS savent. Ils s’en fichent aussi.

Mais ces autorités sont très nerveuses, car des masses de gens évitent le vaccin. Ce n’est pas de l'”hésitation”.

C’est un rejet total.

Un rejet raisonnable.

Cela a commencé peu après le lancement initial du vaccin Pfizer. NBC News, 31 décembre 2020 :

“Un grand pourcentage de travailleurs de premier rang dans les hôpitaux et les maisons de retraite a refusé de prendre le vaccin Covid-19…”

“Environ 50 % des travailleurs de premier rang dans le comté de Riverside en Californie ont refusé de se faire vacciner…”

“Anecdotiquement, on estime que 60 % des employés des maisons de retraite de l’Ohio ont déjà refusé le vaccin…”

“Une enquête menée auprès de 2 053 pompiers de la ville de New York a révélé que plus de la moitié d’entre eux ont déclaré qu’ils refuseraient le vaccin Covid-19 lorsqu’il leur serait proposé…”

Et tout cela bien avant que 20 pays ne suspendent l’injection.

Je terminerai, pour l’instant, par deux déclarations sur le rôle que les vaccins ont joué dans l’élimination des décès dus aux maladies – parce que la véritable histoire est importante :

“Le taux de mortalité combiné de la scarlatine, de la diphtérie, de la coqueluche et de la rougeole chez les enfants jusqu’à quinze ans montre que près de 90 % de la baisse totale de la mortalité entre 1860 et 1965 s’était produite avant l’introduction des antibiotiques et la généralisation de la vaccination. Cette récession peut être attribuée en partie à l’amélioration des logements et à une diminution de la virulence des micro-organismes, mais le facteur de loin le plus important était une plus grande résistance de l’hôte due à une meilleure nutrition.” Ivan Illich, Medical Nemesis, Bantam Books, 1977

Robert F Kennedy, Jr : “Après avoir étudié en profondeur un siècle de données enregistrées, les Centres de contrôle et de prévention des maladies et les chercheurs de Johns Hopkins ont conclu : ‘Ainsi, les vaccinations n’expliquent pas les baisses impressionnantes de la mortalité due aux maladies infectieuses observées dans la première moitié du vingtième siècle’.”

“De même, en 1977, les épidémiologistes de l’Université de Boston (et mari et femme) John et Sonja McKinlay ont publié dans le Millbank Memorial Fund Quarterly leur travail fondamental sur le rôle que les vaccins (et d’autres interventions médicales) ont joué dans la baisse massive de 74% de la mortalité observée au vingtième siècle : ‘The Questionable Contribution of Medical Measures to the Decline of Mortality in the United States in the Twentieth Century’.”

“Dans cet article, qui était autrefois une lecture obligatoire dans les écoles de médecine américaines, les McKinlay soulignent que 92,3 % de la baisse du taux de mortalité s’est produite entre 1900 et 1950, avant que la plupart des vaccins n’existent, et que toutes les mesures médicales, y compris les antibiotiques et les interventions chirurgicales, ‘semblent avoir peu contribué à la baisse globale de la mortalité aux États-Unis depuis environ 1900 – ayant dans de nombreux cas été introduites plusieurs décennies après qu’un déclin marqué se soit déjà installé et n’ayant aucune influence détectable dans la plupart des cas’.”

Source : https://blog.nomorefakenews.com/2021/03/22/vaccine-twenty-countries-suspend-injections-does-that-make-you-hesitant/
Traduction par https://cv19.fr

Mot d’ordre en Russie : « FCKNG QRNTN »

par Boris Karpov.

La Russie regarde avec stupéfaction la situation en Europe qui enferme ses citoyens à tours de bras, et c’est Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères, qui lors d’un voyage officiel en Chine a aujourd’hui résumé le sentiment officiel de la Russie vis à vis des mesures d’enfermement en arborant un superbe masque où il est indiqué « FCKNG QRNTN ». En bon anglais « Fucking quarantine », et en bon français « J’emmerde la quarantaine » !

S’il y a encore des cas de contamination en Russie (où il semble bien que tous les cas de grippe sont d’ailleurs comptabilisés comme corona, puisqu’on n’a aucun cas de grippe depuis 3 mois, malgré les températures hivernales…), la situation en Russie est très claire : Plus de quarantaine, total respect des libertés individuelles de déplacement. La seule limitation est l’obligation du masque dans les magasins et transports, d’ailleurs de moins en moins suivie et quasiment plus jamais réprimée.

Dans le même temps, le vaccin « Sputnik » est largement diffusé à ceux qui en veulent, à Moscou par exemple seuls 15% environ (donc environ 2 millions de moscovites) ont déclaré vouloir se faire vacciner, et les cliniques de la ville piquent à tours de bras ! Mais aucune obligation, chacun est libre.

Pour l’anecdote, le maire de Moscou qui avait fait le forcing l’été dernier en interdisant tout déplacement, puis en imposant des QR-codes pour se déplacer, en fermant les écoles publiques, en bloquant les cartes de transport gratuit des retraités, a vu sa côte de popularité dégringoler, elle est actuellement de 10 à 15% de personnes satisfaites. Et Vladimir Poutine, comme je l’ai expliqué à plusieurs reprises ici, lui a clairement fait comprendre au maire qu’il était « cuit ». Le nom de son probable successeur circule d’ailleurs ici, la seule inconnue est la date de son départ.

Le clan des globalistes a donc été renvoyé dans les cordes, et tout le monde regarde avec stupéfaction la situation en Europe où on découvre chaque jour de nouvelles souches parait-il encore plus dangereuses que les précédentes, où on annonce des paniques dans les hôpitaux, etc etc. Le virus semble donc bloqué aux frontières de l’Europe « de l’ouest » puisqu’aucun pays « de l’est » ne déclare de pareilles débilités.

Ici donc le mot d’ordre gouvernemental est clair » Fuck quarantine » ! Un club moscovite a d’ailleurs déjà annonce pour la nuit du 1er avril une soirée à thème « F*ck quarantine » ! Parce que bien sûr, ici tous les commerces sont ouverts sans limitation ! Et le 1er avril est en Russie le « jour des abrutis » (день дураков).

source : https://boriskarpov.tvs24.ru
via : https://reseauinternational.net/mot-dordre-en-russie-fckng-qrntn/

Flavia Groșan, pneumologue roumaine : c’est le protocole Covid appliqué dans les hôpitaux qui tue les malades !

Article paru le 19 mars 2021 sur le site Erdély Ma.

« Une pneumologue roumaine fait des miracles : elle a guéri 100% de ses malades du Covid » – C’est sous ce titre que vient de paraître un article assez long dans le quotidien roumain Național, vendu dans tout le pays. Le secret de cette femme médecin d’Oradea ? Pour guérir ses patients, elle n’applique pas le protocole médical dont l’usage est devenu obligatoire presque partout.

Couverture du Național du 18 mars 2021.

L’entretien publié par le Național a aussi été mise en ligne en langue hongroise sur ce site, qui reprend, concernant l’épidémie, diverses nouvelles alternatives que la presse de grand chemin refuse de publier. Nous ne sommes pas en mesure de vérifier la crédibilité des matériaux souvent touffus que reprend le site, mais nous pouvons, en revanche, évaluer celle de la traduction hongroise de l’entretien : le contenu de la traduction hongroise correspond bien à l’original. Voici donc cette traduction, à laquelle nous n’avons ajouté que d’infimes améliorations stylistiques :

« Le portail d’informations national.ro vient de publier un entretien intéressant, dans lequel une pneumologue d’Oradea nous explique que, décidant de ne pas tenir compte du protocole Covid officiellement en vigueur [en Roumanie], elle a préféré se baser sur sa propre expérience de la pneumologie pour traiter de façon traditionnelle ceux de ses patients atteints de pneumonie suite à une infection virale – y compris ceux qu’on dit « souffrant du Covid », méthode débouchant sur un succès impressionnant : pratiquement 100% de ses patients ont guéri sans le moindre soin hospitalier. D’après ce médecin, c’est en réalité le protocole Covid actuellement appliqué que tue les patients dans les hôpitaux.

Capture d’écran de l’article du Național en date du 17 mars 2021.

Le docteur Flavia Groșan, pneumologue à Oradea (département du Bihor). Elle est l’un de ces médecins qui ne sont pas d’accord avec le protocole de guérison actuellement prescrit par le ministère [roumain] de la Santé, et en fonction duquel sont censés être traités les malades infectés par le Covid-19. Laissant de côté cette prescription, elle guérit les patients infectés avec ses propres méthodes, en partant des connaissances qu’elle doit à son expérience de médecin, et tout semble indiquer qu’elle s’y prend très bien : son traitement a été appliqué à presque mille patients arrivant chez elle à des stades différents de la maladie causée par le SarS-CoV-2. 100% de ses patients ont guéri, sans la moindre prise en charge hospitalière.

Le docteur Groșan traite les conséquences de l’infection par le virus SARS-CoV-2 comme une pneumonie atypique. Elle a aussi déclaré que les hôpitaux commettent d’énormes erreurs, et que c’est en réalité le protocole Covid qui tue les patients.

Le Covid est une pneumonie – certes atypique, mais une pneumonie – et doit être traité comme tel » – a-t-elle affirmé.

« Dès l’annonce de la pandémie, mon but a été qu’aucun patient ne finisse intubé, car c’est un procédé qui entraîne la mort. J’applique mes traitement classiques, médicamenteux, qui incluent la clarithromycine, un antibiotique de la famille des macrolides. Cette famille ne compte que trois antibiotiques : l’érythromycine, que tout le monde connaît, l’azithromycine et la clarithromycine. Je n’aime pas trop l’azithromycine, qui est une copie affaiblie de la clarithromycine. J’ai participé à des recherches cliniques très intéressantes sur les pneumonies, au cours desquelles j’ai pu constater le pouvoir qu’a la clarithromycine de réduire l’inflammation comme aucun autre antibiotique ne sait le faire. »

La pneumologue fait remarquer que les surdoses d’oxygène administrées en milieu hospitalier provoquent des œdèmes cérébraux, qui constituent l’une des causes de mortalité des patients.

À ce sujet, elle a tenu les propos suivants :

« Au-dessus de 80% de saturation, je n’administre que de très petites doses d’oxygène à mes patients, de l’ordre de 2-3 litres par minute, sous la forme d’administrations quotidiennes courtes, de 4 à 5 heures tout au plus. Il faut en effet savoir qu’un excès d’oxygène inhibe le cerveau, car en général, c’est le cerveau qui contrôle notre corps, et non un appareil. Sur ce point, j’ai été en total désaccord avec le protocole Covid en vigueur : les fortes doses d’oxygène qu’il prescrit, de l’ordre de 20 litres, conduisent à l’acidose, provoquant des œdèmes cérébraux chez les patients… lesquels, à leur tour, conduisent bien entendu à leur décès. »

Flavia Groșan voit comme une lourde erreur l’administration aux malades de Covid de Kaletra et de codéine, qui ne peuvent qu’aggraver les symptômes de la maladie.

« Heureusement, il y a eu quelques infirmières – celles que je considère comme de vraies héroïnes – qui ont observé les malades, et les ont avertis, leur conseillant de ne pas avaler le Kaletra et de jeter les médicaments. Après quoi, les médecins venant procéder à leur contrôle s’étonnaient de l’absence de diarrhée, et du fait qu’ils se sentent bien. La raison en était qu’ils n’avaient pas pris les médicaments prescrits par le protocole. C’est ainsi que ces soignantes ont véritablement sauvé la vie de leurs patients. »

« En cas d’utilisation de la codéine, la toux étant bloquée, le malade ne peut pas cracher les sécrétions qui se forment dans les poumons, et ce sont ces sécrétions qui l’étouffent – pas les caillots sanguins, mais l’accumulation des sécrétions. Arrivés à ce point, les malades, comme on pouvait s’y attendre, entrent en état de panique, car ils n’arrivent plus à respirer : du coup, on leur administre des calmants et on les place sur respirateur – à partir de là, il n’y a plus que la miséricorde divine pour les sauver ! »

Cette méthode couronnée de succès et cette attitude intrépide ont aussitôt assuré à cette pneumologue d’Oradea une popularité nationale. D’innombrables organes de presse ont rendu compte de la méthode qu’elle applique. Sur cette vidéo, elle répond aux questions d’une chaîne nationale basée à Bucarest, dont les journalistes adoptent à son égard un ton plutôt hostile et accusatoire, mais madame le docteur reste inébranlable. Voici un résumé de l’entretien télévisé :

Flavia Groşan

La pneumologue applique son propre protocole. Elle consulte en ligne, et traite ses patients en partant du principe qu’ils souffrent d’une pneumonie atypique. Elle a par exemple guéri les cinq membres d’une même famille, dont les âges allaient de 37 à 97 ans ; le traitement a eu tant de succès que cette famille a déjà pu fêter Noël réunie. Les malades ont très peur – affirme-t-elle –, tout le monde veut être hospitalisé, alors qu’on peut guérir en restant chez soi et en prenant des médicaments. Elle a déjà été dénoncée par l’un de ses collègues pour ne pas suivre le protocole prescrit, mais cela la laisse indifférente, car elle voit que le protocole prescrit n’est pas correct, et que son protocole à elle, en revanche, est le bon – le principe de ce dernier étant que, dès l’apparition des premiers symptômes, même avec une température de 37.1°, elle place ses patients sous clarithromycine. Elle se déclare perplexe en voyant les sommités médicales se succéder à la télévision pour effrayer la population, car pour elle, il était clair d’entrée de jeu qu’elle a à faire à une pneumonie, et que c’est cette constatation qui doit aussi déterminer la mise au point du traitement.

Traduit du hongrois par le Visegrád Post

Source : https://visegradpost.com/fr/2021/03/22/flavia-grosan-pneumologue-roumaine-cest-le-protocole-covid-applique-dans-les-hopitaux-qui-tue-les-malades/

L’armée sera impliquée dans les vaccinodromes, annonce Alain Fischer

L’armée sera mobilisée dans la campagne vaccinale, a indiqué Alain Fischer lundi 22 mars. Selon Olivier Véran, elle devrait, avec les pompiers, gérer près de 35 centres de vaccination.

Une patrouille sentinelle du 2e Rima du Mans, dans les rues de Rennes, le 24 novembre 2020.

L’armée va être impliquée en France dans la campagne vaccinale contre le COVID-19, a déclaré lundi 22 mars Alain Fischer, président du conseil d’orientation sur la stratégie vaccinale, qui a dit s’attendre à un retour à une forme de normalité d’ici l’été ou l’automne.

Alain Fischer a précisé que l’armée allait être impliquée dans la mise en œuvre de vaccinodromes que les autorités prévoient d’ouvrir dans plusieurs départements, dont un au Stade de France, en région parisienne (Seine-Saint-Denis), début avril.

« Elle sait faire, elle a une logistique »

« L’armée va être impliquée. Elle sait faire, elle a une logistique et elle participera de cette activité », a-t-il dit sur BFMTV.

« Plus il y a de corps professionnels et de compétences qui peuvent s’ajouter et vacciner, mieux c’est », a-t-il noté. Le gouvernement a pour objectif de vacciner 30 millions de Français d’ici l’été, dont 10 millions dès la mi-avril et 20 millions à la mi-mai.

35 centres gérés par l’armée et les pompiers

« Il y a au moins 35 centres qui vont être déployés à la fois par l’armée et les pompiers sur le territoire national. Et nous en déployons avec l’Etat, l’Assurance maladie, un certain nombre d’autres aussi », a précisé dans le courant de l’après-midi Olivier Véran, le ministre de la Santé.

Il s’agit pour les autorités de « pouvoir être capables d’utiliser tous les vaccins qui nous sont livrés à partir du mois d’avril pour vacciner massivement les Français », a-t-il poursuivi.

« Exploiter au mieux les hôpitaux militaires »

« Il y a une réflexion en cours pour exploiter au mieux les hôpitaux militaires », a expliqué lundi le cabinet de la ministre des Armées.

« La planification en cours vise à faire des hôpitaux militaires des centres de vaccination permanents au fur et à mesure de l’arrivée des doses et en fonction de nos moyens », a-t-il poursuivi.

Quatre hôpitaux militaires déjà mobilisés

L’armée a déjà contribué à la campagne de vaccination ces deux derniers week-ends, en mobilisant quatre hôpitaux militaires les 13 et 14 mars et deux les 20 et 21 mars, a précisé le cabinet.

Elle est par ailleurs mobilisée pour l’acheminement des doses de vaccin vers les territoires d’Outre-Mer. L’armée a ainsi procédé la semaine dernière à l’acheminement de 9 600doses vers Saint-Pierre-et-Miquelon.

Un confinement localisé à 16 départements

Face à une « troisième vague » de l’épidémie, la France a instauré samedi un confinement localisé à 16 départements, dont Paris et ses voisins franciliens, qui obligent notamment certains commerces jugés non essentiels à rester fermés.

Le gouvernement a toutefois fait des exceptions pour les coiffeurs, les fleuristes et les chocolatiers et le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a promis lundi un accompagnement pour toutes les autres enseignes fermées.

Le retour d’une vie normale à l’été ou l’automne

Il faudra de fait un certain temps « pour que la vie redevienne normale », a prévenu Alain Fischer.

« Il faut que la circulation du virus ait franchement diminué et il faut que les personnes les plus fragiles soient protégées », a-t-il dit sur BFM.

« Pour les personnes fragiles, d’ici fin mai on ne devrait pas être loin du but. Le retour d’une vie normale pourrait être à l’été, l’automne », a-t-il précisé.

Source : https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/covid-19-l-armee-sera-impliquee-dans-les-vaccinodromes-annonce-alain-fischer-4cdffefc-8afb-11eb-be07-a782e4049e5a

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