Rappel : Le confinement est toujours l’escroquerie sanitaire du XXIe siècle
Une étude d’origine française soumise au British Medical Journal mettait en évidence fin mai les coûts disproportionnés du confinement en termes sociaux, économiques et humains, dénonçant une “escroquerie sanitaire” et pointant la responsabilité de l’OMS.
Avec encore quelques mois de recul supplémentaires, qu’avons nous appris de plus sur les effets d’un confinement généralisé d’une population ?
On évoque souvent la Suède comme modèle de pays n’ayant pas eu recours au confinement, mais ce n’est pas le seul.
Ci dessous le total des décès attribués au Covid-19 dans les pays n’ayant pas mis en place de confinement.
Maintenant comparant avec l’Argentine (45 millions d’habitants), qui est toujours confinée depuis le 20 mars, soit depuis plus de 7 mois !
En 7 mois la mortalité liée au Covid-19 n’as toujours pas diminuée en Argentine.
Peut être y a t-il un paramètre que nous ne prenons pas en compte ? Les Argentins respectent peut être mal le confinement ?
Pourtant le Pérou qui a l’un des confinement les plus strict au monde a quand même fini par avoir l’un des taux de mortalité les plus élevé.
Le National Bureau of Economic Research (NBER : « Bureau national de recherche économique ») publiait en Août 2020 une étude sur l’impact des interventions non pharmaceutiques sur la transmission du COVID-19.
Rédigé par Andrew Atkeson, Karen Kopecky et Tao Zha, l’étude se concentre sur les pays et les États américains où plus de 1 000 personnes sont décédées à la suite du COVID à la fin juillet. Au total, l’étude a porté sur 25 États américains et 23 pays.
Ils concluent en admettant que leurs recherches ne permettent pas d’affirmer que le port du masque généralisé et le confinement ont eu un quelconque impact sur la propagation de l’épidémie.
Si le confinement n’as pas fait ses preuves pour combattre l’épidémie, il a fait ses preuves en terme de dégâts sur tous les aspects de la vie quotidienne des citoyens.
La catégorie la plus affectée par ce confinement est aussi la plus concernée, les personnes âgées.
Audition de Joëlle Martinaux (présidente de l’Union nationale des centres communaux et intercommunaux d’action sociale (UNCCAS), ancienne adjointe au maire de Nice et également médecin urgentiste) du 1er Septembre, dans le cadre de la commission d’enquête sénatoriale sur la gestion de la prise en charge à domicile pendant la crise sanitaire.
“Il y a eu beaucoup trop de décès dus à l’isolement”
« On a trouvé beaucoup trop de personnes âgées décédées chez elles parce qu’elles n’avaient plus mangé, parce qu’elles n’avaient plus bu. Ou tout simplement, avec ce fameux syndrome de glissement, parce qu’elles pensaient que la vie allait s’arrêter pour elles. »
Une enquête menée auprès de 128 maisons de retraites a révélé que près de 80 % d’entre elles ont constaté une détérioration de la santé de leurs résidents atteints de démence en raison du manque de contact social.
Confinement : des personnes âgées “risquent de se laisser mourir”, alerte une médecin
La docteure Lydie Moronvalle installée à Bailleau-l’Évêque, un village de 1.200 habitants près de Chartres, compte une dizaine de patients de plus de 90 ans. Mardi, “je suis allée voir une patiente dont la fille n’avait plus de nouvelles depuis la veille. Elle pensait qu’elle ne s’alimentait plus et qu’elle était peut-être tombée”, témoigne la praticienne à l’AFP.
Selon la revue Gériatrie
En France, le confinement strict s’est étendu sur une période de 8 semaines. Cette isolation sociale a été particulièrement sous-tension dans les Ehpad, fermés au public, où la peur de la contamination dominait. Les personnes âgées, en plus d’être vulnérables, ont également été exposées à un facteur de stress majeur, propice à l’apparition de syndrome de glissement.
La tendance suicidaire des seniors a augmenté pendant le confinement
On observe également une augmentation du nombre de suicides, d’augmentation du stress et de l’anxiété, de la consommation d’alcool et de drogues, de désespoir…
Peu de gens savent que la crise économique de 2007-2008 a entraîné le suicide d’au moins 13 000 personnes rien qu’en Europe et en Amérique du Nord, mais la crise du coronavirus pourrait avoir des conséquences bien plus dramatiques.
Le confinement pourrait faire 75.000 morts « de désespoir » aux États-Unis
Le nombre de suicides a quasiment doublé en Creuse depuis le confinement
Explosion des décès par opioïdes suite au confinement du coronavirus aux États Unis
Les médecins californiens affirment avoir vu plus de décès par suicide que par coronavirus depuis le confinement (ce fait a été rapidement “Fact Checké” mais jamais réfuté, les vérificateurs de faits ont utilisé des données de mois précédents)
Directeur du CDC : “Mais il y a eu un autre coût que nous avons vu, en particulier dans les écoles secondaires”, a déclaré M. Redfield. “Nous voyons, malheureusement, beaucoup plus de suicides maintenant que de décès dus au COVID. Nous voyons beaucoup plus de décès par surdose de drogue qui sont supérieurs à l’excès que nous avions comme antécédents que nous voyons les décès par COVID”.
Une paralysie du parcours scolaire des élèves et étudiants à l’université.
Si les seniors sont les plus touchés, les conséquences sur les plus jeunes sont aussi dramatiques.
Confinement : Les élèves perdent leur niveau scolaire
Les étudiants laissés pour compte par l’enseignement à distance
Négligence d’autres maladies, augmentation de leur mortalité, retard dans les dépistages et le diagnostique…
Jusqu’à 27.8 % de tous les décès supplémentaires ont pu être causés non pas par le Covid-19, mais par les effets du confinement, de la panique et de la peur. Par exemple, le traitement des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux a diminué jusqu’à 40 % parce que de nombreux patients n’osaient plus se rendre à l’hôpital. (données concernant l’Angleterre)
L’une des conséquence les plus durable sera sûrement sur l’économie.

FMI, Banque mondiale : Les confinements et la récession économique pourraient entraîner 100 millions de personnes dans l’extrême pauvreté et faire reculer les nations pauvres de dix ans.
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Cartographie de l’impact écrasant du COVID-19 sur le tourisme international
La deuxième vague n’est pas virale mais économique et sociale : l’appel de 250 intellectuels
Le premier confinement en France, décidé suite à une note confidentielle prédisant que la France compterait un demi-million de morts du coronavirus si rien n’était fait, émanait de l’Imperial College de Londres et des services de l’épidémiologiste Neil Ferguson dont l’ancien bras droit, Simon Cauchemez, directeur de l’unité de modélisation de l’Institut Pasteur pousse également au confinement depuis le Conseil scientifique de l’Élysée qu’il a rejoint.
Neil Ferguson est surtout connu pour s’être toujours trompé. Le « maître du désastre » comme le surnomment ses pairs avait ainsi convaincu en 2001 le Premier ministre Tony Blair de faire abattre 6 millions de bovins pour stopper l’épidémie de fièvre aphteuse, une décision qui, avec un coût total de 10 milliards de livres sterling, est aujourd’hui considérée comme aberrante.
Notons d’abord que dans le cas du Covid-19, ces modélisations ont été réalisées à partir d’un process datant de 2006. En outre, ces études n’ont pas été examinées par ses pairs car il s’agit simplement de « rapports internes » du département de l’Impérial College par ailleurs abondamment financé par la Bill & Melinda Gates Foundation: 30 millions de dollars en 2002, 8,6 en 2005, 8,6 en 2009, 3,7 en 2016 et 79 millions de dollars en 2020.
Neil Ferguson ne respectais pas lui même le confinement au Royaume-Uni après avoir imposé ce modèle à l’ensemble de la planète.
Des milliers de médecins, scientifiques et citoyens s’insurgent aujourd’hui contre ces mesures qui s’appliqueront de nouveau en France à partir de Vendredi.
Plus de 40 000 experts de la santé à travers le monde et 500 000 citoyens ont déjà signé une déclaration contre les mesures de confinement.
Décideront nous de vivre confinés ?