Year: 2020

Washington : Les législateurs adoptent un projet de loi pour vacciner les enfants sans le consentement ou la connaissance des parents

Les législateurs du district de Columbia (D.C.) ont adopté un projet de loi permettant aux enfants d’être vaccinés à l’insu de leurs parents ou sans leur consentement.

La “Minor Consent for Vaccinations Amendment Act”, B23-017, a été adoptée le mois dernier.

Le projet de loi permet aux enfants âgés de 11 ans ou plus “de consentir à recevoir un vaccin lorsque la vaccination est recommandée par le Comité consultatif des États-Unis sur les pratiques d’immunisation”.

“Il établit également que si un mineur est capable de comprendre la nécessité, la nature et les risques importants inhérents aux soins médicaux, alors le consentement éclairé est établi”.

Rapports de Lifesitenews.com : Le projet de loi permet non seulement aux enfants de cet âge de donner leur consentement aux médecins et autres administrateurs de vaccins sans que les parents le sachent ou y consentent, mais il oblige également les compagnies d’assurance, les directeurs d’école et le personnel médical à dissimuler aux parents que leur enfant a été vacciné.

La législation stipule (aux lignes 37-38) que “les prestataires qui administrent des vaccins en vertu de cette sous-section doivent demander le remboursement, sans le consentement des parents, directement à l’assureur” plutôt que d’impliquer un parent dans ce processus.

Deuxièmement, elle prévoit que les compagnies d’assurance ne doivent pas notifier les parents de ces remboursements de la manière habituelle. “Les assureurs ne doivent pas envoyer d’explication des prestations (EOB) [aux parents de l’enfant] pour les services fournis”, précise le projet de loi (ligne 40).

Plus fondamentalement, si ce projet de loi devient une loi, The Vaccine Reaction (V.R.) avertit, “il est clair que les enfants mineurs risquent d’être contraints et forcés à se faire vacciner contre le COVID-19 dans le dos de leurs parents”.

V.R. démontre également comment le B23-0171 viole le National Childhood Vaccine Injury Act de 1986 (NCVIA), qui exige que les prestataires de soins de santé fournissent aux parents ou aux tuteurs des informations sur les vaccins du CDC avant d’administrer le vaccin à leur enfant mineur.

Le CDC lui-même affirme qu’il s’agit d’une obligation légale sur son site web. À la question “FAQ”, “Y a-t-il une obligation de vérifier que les parents/représentants légaux ont effectivement reçu et examiné la déclaration d’information sur les vaccins (VIS)”, la réponse est “oui”.

De toute évidence, selon V.R., les enfants sont “beaucoup moins susceptibles qu’un parent adulte de comprendre les antécédents médicaux personnels et familiaux, y compris les réactions aux vaccins”, et ils n’ont pas non plus “le même type de capacité de réflexion critique ou de maturité émotionnelle nécessaire pour prendre une décision éclairée sur les avantages et les risques des vaccins par rapport à un adulte”.

En 1986, le Congrès américain a adopté la NCVIA, qui, avec son amendement de 1987 et une décision ultérieure de la Cour suprême, a effectivement supprimé toute responsabilité juridique et fiscale des fabricants de vaccins, des médecins et des autres administrateurs de vaccins lorsque les vaccins obligatoires causent des dommages, même permanents, ou la mort. Au début de cette année, les autorités fédérales de réglementation ont explicitement renforcé la même politique pour les fabricants de vaccins contre les coronavirus.

Un certain degré de responsabilité est désormais couvert par les contribuables américains dans le cadre du programme fédéral d’indemnisation des victimes de vaccins, également créé par la NCVIA. À ce jour, ce programme a versé environ 4,4 milliards de dollars, apportant la preuve concrète que les vaccins peuvent causer des blessures et des décès importants, voire permanents.

Si un enfant accepte une vaccination à l’insu de ses parents et s’il développe une réaction grave, les parents peuvent ne pas reconnaître les symptômes comme étant potentiellement liés au vaccin de leur enfant et ne pas chercher à obtenir des soins médicaux appropriés en temps utile. Une telle situation pourrait mettre la vie de l’enfant en danger.

Et compte tenu du fait que les fabricants de vaccins sont exonérés de toute responsabilité, V.R. affirme que “rien ne justifie que l’État supprime le droit légal et moral d’un parent de prendre une décision éclairée sur les avantages et les risques de la vaccination au nom d’un enfant mineur”.

Selon V.R., B23-0171 viole également la loi sur les droits à l’éducation familiale et la vie privée (FERPA) en obligeant les écoles à dissimuler aux parents le statut vaccinal des enfants. La FERPA “garantit aux parents le droit d’avoir accès au dossier scolaire de leurs enfants. La définition des “dossiers scolaires” inclut les dossiers de santé et de vaccination au niveau de la maternelle à la 12e année”.

Comme les parents sont devenus plus autonomes et moins à l’aise avec le fait que leurs enfants soient vaccinés différemment, le soutien au contournement de leurs droits naturels, avec une législation sur le consentement mineur, s’est récemment développé dans la communauté médicale. L’année dernière, le New England Journal of Medicine a publié un article d’opinion soutenant cette idée, et l’American Medical Association a adopté une résolution encourageant la ratification des lois des États permettant aux mineurs de consentir aux vaccinations.

Grâce à cet effort, 34 projets de loi sur le consentement des mineurs ont été introduits dans les assemblées législatives des États au cours des deux dernières années. Après avoir écouté les parents, les législateurs ont rejeté au total 33 d’entre eux, le projet de loi de Washington étant le seul à être encore en jeu.

D’autres projets de loi de ce type devraient être introduits plus largeent en 2021.

Source : https://newspunch.com/dc-lawmakers-pass-bill-to-vaccinate-kids-without-parental-consent-or-knowledge/ Traduction : https://cv19.fr

Covid : l’illusion du contrôle

Comme le montre le graphique ci-dessous, les décès liés au covid en Suède – sans confinement, sans masque obligatoire et avec l’une des plus faibles capacités de soins intensifs d’Europe – sont presque identiques à la moyenne de l’UE et nettement inférieurs à ceux des États-Unis. En d’autres termes, les nombreuses mesures proposées par de supposés experts ont été largement inefficaces sur le plan médical, mais très destructrices sur le plan social et économique.

La seule intervention efficace pour réduire les maladies graves et les décès – en l’absence de contrôles aux frontières précoces ou de politiques totalitaires – a été ignorée ou bloquée par la plupart des autorités sanitaires occidentales : un traitement précoce et prophylactique fondé sur des preuves. Il est possible que ce traitement ait été tout simplement trop économique.

Les lecteurs du SPR ont été parmi les premiers au monde à obtenir les faits réels sur le profil véritable de la mortalité des malades du covid, l’importance énorme des maisons de retraite (encore ignorées par la plupart des modélisateurs de l’IFR), l’inefficacité des masques en tissu, des mesures de confinement et de “traçage des contacts”, la fraude du remdesivir, les manigances contre l’HCQ, la réalité sur les effets à long terme, le désastre des ventilateurs, le problème des tests PCR, l’hypothèse de l’origine du virus des mineurs de Mojiang, la désinformation généralisée des médias et les options de traitement précoce efficaces.

Dans l’ensemble, la pandémie de covid est plus proche d’une pandémie de grippe moyenne (comme en 1957 et 1968) frappant les populations âgées des pays industrialisés avec un taux élevé de maladies cardiovasculaires. À l’exception notable des enfants et de l’Afrique noire, le covid est nettement plus grave que la “grippe saisonnière”, mais nettement moins grave que la grippe de 1918 et les pandémies mondiales précédentes.

Tableau supplémentaire : Dakota du Nord vs Dakota du Sud

Source : https://swprs.org/covid-the-illusion-of-control/ Traduction : https://cv19.fr

OMS : Une pandémie plus grave que le COVID arrive

“Cette pandémie a été très grave… elle a touché tous les coins de la planète. Mais ce n’est pas nécessairement la plus grave.”

L’Organisation mondiale de la santé a averti qu’une pandémie pire que celle de COVID pourrait être imminente et que ce que nous avons vu jusqu’à présent en 2020 n’est “pas nécessairement la plus importante”.

Avec les confinements internationaux, les atteintes aux libertés et la décimation des petites entreprises et de l’économie dans son ensemble, il est difficile d’imaginer comment la situation pourrait s’aggraver.

Pourtant, l’OMS prédit que cela pourrait très bien être le cas.

Le responsable du programme d’urgence de l’OMS, le Dr Mike Ryan, a déclaré lors d’un point de presse que “cette pandémie a été très grave … elle a touché tous les coins de la planète. Mais ce n’est pas nécessairement la plus grave.”

“C’est un signal d’alarme. Nous apprenons, maintenant, à mieux faire les choses : science, logistique, formation et gouvernance, comment mieux communiquer. Mais la planète est fragile”, a ajouté M. Ryan.

“Nous vivons dans une société mondiale de plus en plus complexe. Ces menaces vont persister. S’il y a une chose que nous devons retenir de cette pandémie, avec toute la tragédie et les pertes qu’elle entraîne, c’est que nous devons agir ensemble. Nous devons honorer ceux que nous avons perdus en nous améliorant chaque jour”, a-t-il poursuivi.

M. Ryan a également déclaré que malgré le vaccin, le virus est appelé à devenir endémique et ne disparaîtra jamais.

“Le scénario probable est que le virus deviendra un autre virus endémique qui restera en quelque sorte une menace”, a déclaré M. Ryan.

Le professeur David Heymann, président du groupe consultatif stratégique et technique de l’OMS pour les risques infectieux, a ajouté que “le destin du SARS-CoV-2 [Covid-19] semble être de devenir endémique, comme l’ont été quatre autres coronavirus humains, et qu’il continuera à muter en se reproduisant dans les cellules humaines, en particulier dans les zones d’admission plus intense”.

Ailleurs au cours de la réunion, la Dre Soumya Swaminathan, responsable scientifique de l’OMS, a déclaré que le lancement des vaccins ne signifiait pas que la distanciation sociale ou le port de masque devaient disparaître.

“Je ne pense pas que nous ayons les preuves de l’efficacité de ces vaccins pour être sûrs qu’ils empêcheront les gens de contracter l’infection et donc de la transmettre”, a déclaré la Dre Swaminathan.

“I don’t believe we have the evidence on any of the vaccines to be confident that it’s going to prevent people from actually getting the infection and therefore being able to pass it on”, says WHO Chief Scientist @doctorsoumya pic.twitter.com/QdTvzj7Nyd

— Disclose.tv 🚨 (@disclosetv) December 28, 2020

Ces commentaires font suite à l’avertissement de Mme Swaminathan selon lequel les mesures de confinement restrictives ne cesseront pas avant “fin 2021”, date à laquelle “l’immunité de la population” sera obtenue.

“Il faudra attendre la fin de 2021 pour voir un certain niveau d’immunité de la population dans certains pays”, a déclaré M. Swaminathan la semaine dernière.

Comme nous l’avons signalé il y a deux semaines, l’Institut international pour la démocratie et l’assistance électorale (IDEA), basé en Suède, a constaté que la majorité des nations du monde ont mis en œuvre des restrictions liées au COVID qui ont gravement érodé les libertés de leurs citoyens.

L’étude a révélé que 61 % des pays ont utilisé des restrictions “qui étaient préoccupantes du point de vue de la démocratie et des droits de l’homme”.

Ces [restrictions] ont violé les normes démocratiques parce qu’elles étaient soit disproportionnées, soit illégales, soit indéfinies ou inutiles par rapport à la menace sanitaire”, a déclaré le groupe dans son rapport.

Si une pandémie plus importante se profile, comme le promet l’OMS, il est clair que ces atteintes à la liberté seront encore plus importantes si ce même modèle se poursuit.

Source : https://www.zerohedge.com/covid-19/who-bigger-pandemic-covid-coming
Traduction : https://www.aubedigitale.com/oms-une-pandemie-plus-grave-que-le-covid-arrive/

Royame-Uni – Seules 44 personnes en bonne santé âgées de moins de 40 ans sont mortes du coronavirus depuis le début de la « pandémie »

Le virus qui a prétendument provoqué le plus grand désastre dans le monde occidental n’a tué que 44 personnes de moins de 40 ans sans comorbidités en Angleterre.

Daily Mail :

Seulement 377 personnes de moins de 60 ans sans conditions de santé sous-jacentes sont mortes du Covid-19 dans les hôpitaux d’Angleterre depuis le début de la « pandémie », selon les données du NHS.

Les chiffres montrent que 1 911 personnes précédemment en bonne santé sont mortes dans les hôpitaux en Angleterre après avoir été testées positives pour le Covid-19 entre le 2 avril et le 23 décembre.

Seulement 338 de ces personnes étaient âgées de 40 à 59 ans, 44 autres avaient entre 20 et 39 ans, et seulement six avaient moins de 19 ans, selon les données.

Entre-temps, 45 770 décès ont été enregistrés parmi les personnes présentant des conditions préexistantes, dont 21 avaient moins de 20 ans, 263 avaient entre 20 et 39 ans et 2 926 avaient entre 40 et 59 ans.

Le nombre de décès de personnes de moins de 40 ans ayant des conditions de santé préexistantes est de 263, donc un total de 307 personnes de moins de 40 ans seraient mortes de coronavirus.

Cela nous apprend deux choses :

  • Les mesures de confinement et de distanciation sociale n’ont jamais vraiment été nécessaires
  • Vacciner les personnes de moins de 40 ans en bonne santé est une idée absurde

Bien que ce virus ait à peine tué 44 jeunes gens en bonne santé en un an, le gouvernement a pris le pouvoir total sur la vie de chacun.

Ils sont maintenant dans une situation où la police peut imposer à n’importe qui une sorte d’assignation à résidence et les magasins peuvent empêcher les gens d’entrer s’ils ne portent pas de masque.

Il est clair que ce n’est pas une question de santé publique. Cela n’a jamais été le cas.

L’objectif est la soumission et le contrôle de nos vies.

source : https://www.aubedigitale.com/

Un certificat de vaccination électronique sera à la disposition des Belges

On le sait, certains pays ou certaines compagnies aériennes exigent une preuve de vaccination contre le covid-19. Un document que pourront se procurer les Belges vaccinés.

Son petit nom sera ‘Vaccin-net+’, explique la porte-parole du commissariat corona du gouvernement fédéral, dans La Dernière Heure. Et il sera accessible via votre dossier sur masanté.be. Il vous faudra vous connecter via l’application très pratique Itsme.

Il s’agira d’une petite carte digitale, où seront stockées vos données relatives aux vaccins de manière générale. Un attestation spéciale pourra être imprimée concernant le vaccin contre le Covid-19. C’est aussi un moyen d’avoir une aperçu rapide et direct de votre situation vaccinale.

Ce système existait déjà en Flandre pour les autres vaccins. Il sera élargi à Bruxelles et à la Wallonie.

Inquiétudes

Plusieurs inquiétudes entourent cette attestation. Sera-t-elle obligatoire pour accéder à certains lieux publics ou événements? La porte-parole affirme qu’elle ne sera pas réclamée en Belgique, en tout cas pas ‘à ce stade’.

Pour les grands voyageurs, on sait que certains pays en dehors de l’Union européenne et certaines compagnies aériennes peuvent exiger cette certification. L’OMS pousse elle-même à ce qu’un certificat de vaccination électronique et identifiable par tous soit mis en place.

L’autre grande inquiétude est relative à la protection des données. À ce sujet, la Belgique prévoit de lister les personnes vaccinées au sein d’un fichier avec nom, prénom, sexe, âge, date et lieu de naissance. Là encore, l’objectif n’a pas encore été vraiment précisé. Un flou épinglé par l’Autorité de protection des données.

En Belgique aussi, les personnes vaccinées seront listées

Source : https://fr.businessam.be/un-certificat-de-vaccination-sera-a-la-disposition-des-belges/

Des chercheurs de l’université de Floride ne constatent aucune transmission asymptomatique ou présymptomatique

Quatre chercheurs du département de biostatistique de l’université de Floride ont co-rédigé une étude publiée en ligne par le Journal of the American Medical Association (sauvegarde ici).

Ils ont réalisé une méta-analyse de 54 études portant sur le taux d’infection par des contacts (Secondary attack rate) du SARS-CoV-2 dans les foyers.

Selon le CDC, le taux d’infection par des contacts est le nombre de nouveaux cas parmi les contacts divisé par le nombre total de contacts.

Les chercheurs ont confirmé que le SARS-CoV-2 est plus contagieux que les autres coronavirus, avec un taux d’infection par contacts de 16,6 % (95 % IC 14,0 %-19,3 %) contre 7,5 % (95 % IC 4,8 %-10,7 %) pour le SARS-CoV et 4,7 % (95 % IC, 0,9 %-10,7 %) pour le MERS-CoV.

Leurs conclusions ont également confirmé que le taux d’infection par contacts est plus élevé chez les contacts adultes que chez les contacts enfants et chez les conjoints que chez les autres membres de la famille.

Le taux d’infection par contacts pour les cas index symptomatiques était de 18,0 % (IC 95 %, 14,2 %-22,1 %), et le taux des cas index asymptomatiques et présymptomatiques était de 0,7 % (IC 95 %, 0 %-4,9 %), “bien qu’il y ait eu peu d’études dans ce dernier groupe”.

Le taux d’infection par contacts asymptomatiques/présymptomatiques n’est pas statistiquement différent de zéro, et l’intervalle de confiance est techniquement de 0,7 ± 4,2, ce qui donne une fourchette de -3,5 %-4,9 %, mais les taux d’attaque ne peuvent pas être négatifs, donc il est tronqué à 0.

En savoir plus : Les personnes asymptomatiques ne propagent pas le COVID-19

Source : https://rationalground.com/university-of-florida-researchers-find-no-asymptomatic-or-presymptomatic-spread/ Traduction : https://cv19.fr

La Chine sera le premier pays à lancer une monnaie numérique

La plupart des banques centrales sont en train de préparer l’introduction potentielle des monnaies numériques (central bank digital currency – CBDC). La CBDC est une monnaie numérique émise par la banque centrale. Elle est parfois désignée comme la version numérique d’un billet de banque, mais dans de nombreux cas, ce n’est pas le cas. Il existe en effet de nombreuses variantes potentielles.

Par Wim Boonstra de Rabobank

Jusqu’à présent, pratiquement toutes les banques centrales restent ouvertes à la possibilité d’une éventuelle apparition d’une CBDC.

La Chine, où un essai de grande envergure est en cours, est la principale exception. Si cet essai est couronné de succès, on peut s’attendre à ce que la CBDC chinoise soit largement introduite dans un avenir proche. La Chine est donc confortablement en tête car le pays a de grandes ambitions pour sa monnaie numérique. Tout d’abord, elle devrait donner une impulsion considérable à l’économie chinoise ; ensuite, elle augmentera encore le contrôle du gouvernement chinois sur la société chinoise ; enfin, la nouvelle monnaie s’inscrit dans un plan ambitieux visant à renforcer la position internationale du renminbi, la monnaie chinoise, et potentiellement au détriment de l’euro en particulier. Cette détermination chinoise devrait inciter les décideurs politiques européens à agir en renforçant encore l’euro.

Chine : de l’argent liquide à l’argent presque totalement scriptural dans dix ans

Il n’y a pas si longtemps, les paiements au détail en Chine étaient encore presque entièrement effectués en espèces. Depuis lors, le trafic des paiements a connu une révolution et la Chine est aujourd’hui l’un des principaux pays pour les paiements sans numéraire. Contrairement à d’autres pays, tels que les Pays-Bas et la Suède, en Chine, cette évolution n’a pas été provoquée par le système bancaire, mais par quelques applications clés de sociétés Fintech relativement jeunes, telles que WeChat (Tencent) et Alipay (Ant Financial). Ces parties, qui forment une sorte de couche supplémentaire entre les banques et leurs clients, ont maintenant une part de marché collective de plus de 90% dans les paiements chinois sans numéraire. Le système chinois de paiements sans numéraire est déjà capable de régler environ 100 000 transactions par seconde.

La CBDC chinoise : DCEP

Dans ce contexte, la Banque populaire de Chine (BPdC), la banque centrale chinoise, a pris l’initiative de développer sa propre monnaie numérique connue sous le nom de Digital Currency Electronic Payment (DCEP). La DCEP est avant tout une alternative numérique aux billets de banque, bien qu’elle présente des caractéristiques qui diffèrent de celles des espèces à certains égards (voir ci-dessous). La DCEP a cependant la même valeur qu’un renminbi.

La technologie qui peut être utilisée par le public pour les paiements est basée sur la technologie de paiement traditionnelle et non sur la technologie de la blockchain. C’est la seule façon d’atteindre l’échelle nécessaire. L’objectif est d’atteindre une capacité de 300 000 transactions par seconde. La banque centrale pourrait elle-même utiliser la blockchain, par exemple pour les transactions de gros ou les règlements en DCEP entre banques privées. Bien que la DCEP soit une monnaie scripturale qui sera détenue sur un compte auprès d’une entité privée, il est également possible d’utiliser une fonctionnalité basée sur un token, par exemple une puce, pour effectuer des paiements peer-to-peer, même lorsqu’il n’y a pas Internet. Cela est particulièrement nécessaire pour une adoption réussie dans les zones rurales de la Chine. Cette fonctionnalité à partir de tokens sera largement utilisée, de sorte que la DCEP sera en concurrence avec l’argent liquide. Un essai d’envergure est en cours depuis plusieurs mois, auquel des dizaines de milliers de personnes ont participé.

Quels sont les objectifs de la BPdC avec la DCEP ?

La BPdC a plusieurs objectifs avec l’introduction de la DCEP.

Prévention d’un monopole dans le système de paiement

La BPdC veut éviter une situation dans laquelle WeChat et AliPay prendraient le contrôle du système de paiement chinois. Elle craint que l’ensemble du système de paiement ne tombe bientôt entre les mains de ces parties privées. La DCEP doit donc limiter l’implication de ces parties et accroître le rôle de la banque centrale dans le système de paiement. Il est d’autant plus probable que toute entreprise privée importante sera empêchée de devenir un acteur dominant, car en fin de compte, la Chine n’est pas une économie de marché “normale” (ce qui explique mieux la répression actuelle de Pékin contre Ant Financial qu’une simple querelle entre Xi Jinping et Jack Ma).

Promotion de l’inclusion financière et nouvelle réduction du rôle joué par l’argent liquide

Les paiements sans numéraire très performants occupent une place prépondérante dans une grande partie de la Chine. Mais dans les régions les plus pauvres, en particulier les zones rurales, les gens ont moins accès aux services bancaires tels que le crédit traditionnel. Dans ces régions, l’argent liquide joue toujours un rôle important. Les paiements dans le milieu criminel, y compris dans l’industrie illégale du jeu, sont encore largement effectués en espèces. La DCEP offrira aux habitants de ces régions un accès complet aux services financiers, mais elle peut aussi réduire l’importance des paiements en espèces. Le principal objectif de la DCEP est donc de remplacer l’argent liquide. En termes de caractéristiques, il ressemblera aussi beaucoup à l’argent liquide.

Une meilleure information sur les flux de paiement et la prévention des transactions illégales

Contrairement aux opérations de paiement utilisant un compte bancaire, qui par définition laissent des traces dans les registres d’une banque, les paiements en espèces sont très anonymes. Comme nous l’avons dit, la DCEP ressemblera beaucoup à de l’argent liquide, avec la possibilité d’effectuer des paiements directement d’une personne à une autre. Un certain degré d’anonymat semble donc être préservé. Mais en y réfléchissant de plus près, il devient évident que la BPdC, et donc le gouvernement chinois, auront un contrôle total.

Pour être précis, dans une transaction entre deux personnes effectuée avec DCEP, l’anonymat entre ces deux personnes sera assuré, comme c’est le cas pour un paiement en espèces. Mais la BPdC peut toujours établir ultérieurement qui a participé à la transaction. Cela permettra de tracer plus efficacement les transactions illégales que si elles étaient effectuées en espèces. Mais il sera également possible d’obtenir des informations détaillées sur le comportement des particuliers en matière de paiement.

Limiter la fuite des capitaux

Bien que la Chine n’ait pas de libre circulation transfrontalière des capitaux, la fuite des capitaux est un phénomène courant et important. La fuite des capitaux peut se produire de différentes manières et est souvent difficile à retracer. Par exemple, les sociétés chinoises qui font du commerce international peuvent manipuler des factures, ce qui permet de transférer de l’argent à l’étranger. Les gens peuvent également utiliser le système Bitcoin pour cacher de l’argent aux autorités et/ou le transférer à l’étranger.

Le gouvernement chinois, comme ses homologues européens et américains, craint que les Stablecoins ne jouent un rôle important en tant qu’alternative à l’argent ordinaire en circulation, mais qu’ils ne deviennent aussi un véhicule de fuite des capitaux (lire “Comment les Chinois utilisent les jeux d’argent illégaux en ligne et le filon pour blanchir plus d’un billion de yuans“). Les Stablecoins sont des cryptos comme les Bitcoins, mais contrairement à ces derniers, ils sont, du moins en théorie, garantis par des actifs financiers. Lorsque Facebook a annoncé en avril 2020 son intention d’ajouter des Stablecoins nationaux à sa Libra, un panier de devises numériques qu’il avait annoncé en 2019, les banques centrales ont immédiatement réagi en accordant une attention plus urgente à la CBDC.23 Ces Stablecoins pourraient par exemple créer la possibilité que des personnes utilisent un Stablecoin en Libra pour transférer de l’argent à l’étranger. Avec la DCEP, la BPdC a l’intention de ralentir la dynamique des Stablecoins privés. C’est également une considération importante pour les banques centrales occidentales.

Maintien de la souveraineté monétaire

Ceci est lié au point précédent. Si les gens ont facilement accès à des stablecoins privées, cela pourrait en fait, dans un sens, réduire le rôle de la monnaie nationale. Une situation similaire s’est produite au Zimbabwe, où la confiance dans la monnaie nationale a complètement disparu en raison de l’hyperinflation et où les gens se sont tournés en masse vers des devises étrangères telles que le dollar américain et le rand sud-africain. Dans une telle situation, la banque centrale nationale perd le contrôle des conditions monétaires dans son propre pays. Il est toutefois important de noter que la DCEP pourrait également être utilisée par la Chine pour interférer avec la souveraineté monétaire d’autres pays.

Qu’en est-il de la vie privée ?

La BPdC dit qu’elle respectera la vie privée des gens et donc l’anonymat des transactions, mais en même temps elle dit que la DCEP l’aidera à détecter les transactions illégales. Dans la pratique, cela signifie probablement que les gens pourront effectuer des paiements et conserver l’anonymat entre eux, mais que la banque centrale pourra en revanche voir les transactions. L’anonymat ne sera donc pas garanti et la banque centrale aura une bien meilleure connaissance du comportement des gens en matière de paiement qu’elle ne l’a fait jusqu’à présent. La DCEP aura également le statut de monnaie ayant cours légal. Cela signifie que les résidents chinois seront obligés d’accepter la DCEP, comme le confirment diverses déclarations de la banque centrale sur la question (South China Morning Post, 10 novembre 2020). La DCEP ne naît donc pas vraiment d’une forte demande de la population chinoise, mais elle est imposée à la population par le gouvernement. De plus, de la manière dont la DCEP est conçue, elle pourrait devenir un parfait véhicule pour une économie quasi-commandée : elle permet de contrôler toutes les transactions et ouvre la porte à un retrait vers un modèle bancaire plus soviétique, à savoir une banque sous le contrôle total de l’État.

L’internationalisation du renminbi

L’utilisation du renminbi dans les transactions internationales est encore relativement limitée, certainement par rapport au dollar et à l’euro. Mais la Chine s’efforce d’en accroître l’utilisation et espère même qu’un jour le renminbi pourra succéder au dollar comme monnaie de réserve mondiale. La Chine considère la DCEP comme un moyen important de renforcer la position internationale du renminbi, car les étrangers pourront également utiliser la DCEP dans leurs transactions avec la Chine.

L’avantage pour la Chine est qu’elle peut régler une plus grande partie de son commerce international en renminbi (numérique). À cet égard, la Chine a d’abord ciblé l’Afrique. De nombreux pays africains n’ont pas de devises entièrement convertibles et le commerce mutuel est souvent réglé en dollars américains, ce qui est coûteux. La Chine vise à créer une situation dans laquelle les pays africains pourront utiliser la DCEP non seulement dans leurs échanges commerciaux avec la Chine, mais aussi pour leurs transactions intérieures. C’est un bon exemple de la manière dont la Chine vise à se positionner sur le plan international et dont divers projets et institutions coopéreront sous la direction du gouvernement. Le dernier modèle de smartphone Huawei comprend en effet une application permettant le paiement en DCEP sans avoir besoin d’Internet (Eurasia). Actuellement, Huawei est déjà un des principaux fournisseurs de télécommunications en Afrique, ce qui donne à la Chine une longueur d’avance. Dans d’autres parties du monde, où Huawei est moins dominant, voire interdit, il sera bien sûr moins simple pour la Chine de faire avancer la DCEP.

Notez que si la Chine a l’intention de renforcer sa propre souveraineté monétaire avec la DCEP, elle n’a manifestement aucun scrupule à l’utiliser pour saper la souveraineté monétaire d’autres pays. Si non seulement une plus grande proportion du commerce entre la Chine et les pays africains mais aussi une partie du commerce intra-africain pourrait bientôt être réglée en DCEP, donc en renminbi, l’utilisation internationale de la monnaie chinoise augmentera considérablement. Il convient de noter que si une part plus importante du commerce international de la Chine est réalisée en DCEP, il deviendra également plus difficile pour les importateurs et les exportateurs chinois d’utiliser le commerce comme moyen de canaliser des fonds à l’étranger. Le gouvernement chinois sera donc tenu de réduire la fuite des capitaux, bien qu’il ne soit pas possible d’éliminer complètement ce phénomène.

L’heure des décisions : la DCEP est-elle un signal d’alarme ?

La Chine est en tête au niveau international avec l’introduction du DCEP, et elle s’oriente clairement dans une direction différente de celle de nombreux autres pays qui envisagent de faire de même. En Europe, le débat porte encore principalement sur la forme que devrait prendre l’euro numérique, sa CBDC, sur la question de savoir s’il existe une demande des consommateurs et qui devrait la payer. Les autorités chinoises adoptent une approche plus stratégique, et surtout dans la perspective de savoir si une monnaie numérique peut contribuer à renforcer/enraciner la position internationale de la Chine.

En supposant que les essais chinois actuels soient couronnés de succès, nous pourrions très bien voir apparaître la DCEP dès l’année prochaine. Cela pourrait constituer une étape importante dans la poursuite du mouvement de l’économie chinoise vers la monnaie scripturale. Le système de paiement serait encore renforcé par la DCEP, car cela empêcherait les grandes parties privées d’acquérir un duopole avec le pouvoir de marché que cela impliquerait. L’inclusion financière serait améliorée dans les régions sous-développées, et chacun aurait accès à l’argent scriptural et aux services financiers associés que cela rendrait possible. L’économie souterraine serait encore réduite et le gouvernement chinois aurait une meilleure connaissance (et un meilleur contrôle) du comportement de ses citoyens en matière de paiement, à un point que nous, Occidentaux, considérerions probablement comme inacceptable. Enfin, l’introduction de la DCEP peut décourager la fuite des capitaux et probablement renforcer la position internationale du renminbi.

PBOC = Banque Populaire De Chine

Dans l’ensemble, la DCEP apportera certainement une contribution positive au développement futur de l’économie chinoise. Bien que la DCEP semble être moins innovante que les CBDC envisagées par les banques centrales occidentales à certains égards, la détermination dont fait preuve la Chine est sans aucun doute impressionnante.

Cette détermination chinoise montre également que la Chine travaille très activement au renforcement de la position internationale du renminbi, la banque centrale et des entreprises telles que Huawei collaborant étroitement pour y parvenir. Bien qu’il soit encore loin, un scénario dans lequel les premières parties des économies africaines, mais peut-être plus tard asiatiques, latino-américaines et même européennes utiliseront le renminbi pour des transactions transfrontalières et, le moment venu, également nationales, devient progressivement plus plausible.

On peut également s’attendre à ce que la Chine essaie d’amener tous les pays impliqués dans son initiative “Belt and Road” à utiliser la DCEP et donc le renminbi. Aujourd’hui, le renminbi est encore une petite monnaie par rapport à l’euro et surtout au dollar. Mais cette situation pourrait changer si la DCEP est largement acceptée. Dans le contexte d’une situation où la position internationale de l’euro a plus ou moins stagné au cours des dernières décennies, cela est pour le moins quelque peu déconcertant.

Bien sûr, on peut s’attendre à ce que, lorsque le renminbi numérique prendra son essor et gagnera en popularité, les autres banques centrales réagiront fortement. Les États-Unis, en particulier, seront déterminés à maintenir la domination internationale du dollar. Les autorités américaines comprendront bientôt qu’un renminbi numérique réussi pourrait, à long terme, se révéler être une menace plus importante pour la position du dollar que ne l’a jamais été l’euro. La différence la plus importante est que l’euro est institutionnellement faible et que les politiciens européens n’ont pas réussi jusqu’à présent à utiliser leur monnaie comme un instrument géopolitique. Le gouvernement chinois, en revanche, comprend très bien le pouvoir de l’argent en tant qu’instrument “pacifique” pour accroître le poids politique international.

Mais après toutes ces bonnes nouvelles, la DCEP s’avère également être un important signal d’alarme qui incite les décideurs politiques européens à enfin consacrer une attention sérieuse au renforcement du rôle international de l’euro. Avoir la deuxième monnaie après le dollar américain n’est peut-être pas optimal, mais ce n’est pas désastreux. Être troisième après le renminbi chinois, c’est une autre histoire. En fin de compte, c’est l’argent qui parle.

***

Annexe : à quoi ressemblera la DCEP ?

La conception exacte de la DCEP n’est pas encore claire. Selon la BRI, la DCEP sera ce que l’on appelle une CBDC hybride. Les gens détiendront des soldes à leur nom à la banque centrale, mais les transactions seront approuvées par un groupe intermédiaire de parties privées (dont éventuellement des banques commerciales). Il n’y aura alors aucune interaction directe entre la banque centrale et les titulaires de comptes, mais les personnes auront un compte à leur nom à la banque centrale. Cette idée est similaire à celle qui est proposée par d’autres banques centrales telles que la BCE et la Banque d’Angleterre. Bloomberg, Blockchain News et le China Daily, en revanche, décrivent la DCEP comme un système à deux niveaux, dans lequel les gens ne détiendront pas directement de comptes auprès de la BPdC. Selon ces rapports, dans le système chinois, les gens ne détiendront qu’un compte DCEP auprès d’une banque ou, plus probablement, auprès d’un fournisseur de services de paiement. Ces parties détiendront à leur tour un solde auprès de la BPdC sous la forme d’une réserve de liquidités qui couvrira exactement le montant des DCEP. Elles régleront également les paiements interbancaires en DCEP. Ce type de système est également connu sous le nom de CBDC synthétique (sCBDC), car les personnes ne disposeront pas de leur propre compte CBDC auprès de la banque centrale. La CBDC recevra toutefois des relevés réguliers des transactions effectuées.

Si ce dernier modèle est adopté, le modèle chinois de CBDC ressemblerait davantage à une banque de réserve (de liquidités) complète qu’à une véritable CBDC. Une banque à réserve de liquidités complète est une banque qui détiendrait une réserve de liquidités de 100 % auprès de la banque centrale, en contrepartie des comptes de paiement de la CBDC détenus auprès d’elle. Mais dans le modèle chinois, aucune institution supplémentaire ne serait créée, les institutions financières existantes offriraient des comptes supplémentaires qui seraient alors garantis à 100 % par les réserves de la banque centrale. Les déclarations de la BPdC suggèrent également que l’on s’oriente davantage vers un modèle synthétique. Techniquement parlant, cela représenterait une démarche moins innovante qu’une véritable CBDC.

Source : https://www.zerohedge.com/markets/china-will-be-first-country-launch-digital-currency-what-happens-then Traduction : https://cv19.fr

À la Cour de justice de la République, les plaintes contre le gouvernement s’accumulent

La politique sanitaire de l’exécutif est contestée devant la Cour de justice de la République. Poursuites légitimes envers l’amateurisme fautif du pouvoir, ou intrusion scandaleuse des juges en politique? Interrogés par Sputnik, les deux avocats Régis de Castelnau et Sophie Ovadia remettent un peu d’ordre dans ce débat agité.

Près de 150 plaintes auraient été déposées depuis le mois de mars devant la Cour de justice de la République (CJR). Cette juridiction d’exception est chargée de juger les membres du gouvernement pour les délits ou crimes commis dans l’exercice de leurs fonctions. Les plaignants, citoyens et associations, accusent la gestion de la crise sanitaire par l’ex-Premier ministre Édouard Philippe, l’ex-ministre de la Santé Agnès Buzyn, mais aussi son remplaçant Olivier Véran ou encore l’actuel hôte de Matignon Jean Castex.

Au mois de juillet, le procureur général près la Cour de cassation François Molins annonçait déjà l’ouverture d’une information judiciaire à la CJR pour «abstention de combattre un sinistre». Un délit passible de deux ans de prison et 30.000 euros d’amende. La commission des requêtes avait jugé recevable neuf plaintes parmi toutes celles déposées contre les ex-membres du gouvernement.

Une vingtaine de ces plaintes accusant les anciens ministres de crime de génocide ont été classées sans suite, d’autres restent encore à examiner. Faut-il s’attendre à voir les ex-ministres sur le banc des accusés pour 2021? Pour l’avocat Régis de Castelnau, «ce n’est pas demain la veille». En effet, ce «type de procédures en matière de santé publique» s’étalent très souvent «sur le temps long».

«L’affaire de l’amiante, celle de l’hormone de croissance ou du sang contaminé ont duré une dizaine d’années, voire plus», ajoute Me de Castelnau au micro de Sputnik. «Il faut s’attendre à des délais comparables, en raison des expertises, des contre-expertises, des débats contradictoires… etc. Il faut surtout réussir à établir la causalité entre la faute commise par un membre du gouvernement et un dommage constaté».

Ce sera tout l’enjeu des procédures pénales engagées envers les membres du gouvernement dans les mois et années à venir. À l’exemple de la gestion du stock de masques par l’État français et des déclarations de la porte-parole du gouvernement de l’époque, Sibeth N’Diaye. En accord avec les propos du directeur général de la Santé Jérôme Salomon ou du ministre de la Santé Olivier Véran, celle-ci avait assuré à plusieurs reprises que le port d’un masque n’était «pas nécessaire quand on n’est pas malade».

Tout comprendre sur notre situation actuelle concernant les masques de protection. #BourdinDirect pic.twitter.com/XxuVYwFFBE — Sibeth Ndiaye (@SibethNdiaye) March 20, 2020

​La CJR, justicier occasionnelle des victimes du Covid

Pour Régis de Castelnau, tout l’enjeu sera de «prouver le mensonge avancé» par ces ministres à dessein, pour «dissimuler une absence de masques», ensuite «l’exposition avérée à un risque» de la part de plaignants (contraction de la maladie, décès, séquelles…) et «pour finir le lien de causalité». Il faut dire que la suspicion pèse sur certains membres du pouvoir exécutif depuis les propos fracassants du mois de mars d’Agnès Buzyn rapportés par le journal Le Monde. L’ancienne ministre de la Santé avait fait un tollé en décrivant un gouvernement inactif et à l’arrêt face au «tsunami» pourtant annoncé dès le mois de décembre. 

«Je pense que j’ai vu la première ce qui se passait en Chine: le 20 décembre, un blog anglophone détaillait des pneumopathies étranges. J’ai alerté le directeur général de la Santé. Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au Président sur la situation. […] Je rongeais mon frein», avait-elle déclaré au quotidien.

Dans ce climat tendu, où l’épidémie continue de sévir, avec plus de 60.000 morts cumulées en France, la Cour de justice de la République fait figure de justicier auprès de citoyens et d’associations. Étrange destinée pour cette juridiction d’exception accusée hier de favoriser une justice à deux vitesses pour les ministres en activité. Créée en 1993 en remplacement de la vieille Haute Cour de justice et décriée depuis, François Hollande avait promis sa disparition en 2012. Même annonce en 2017 pour Emmanuel Macron lors de son discours de Versailles, qui promettait de rendre les ministres «comptables des actes accomplis dans leurs fonctions ordinaires». En clair: les rendre passibles du droit commun et les faire relever des tribunaux ordinaires pour faire de tout ministre un citoyen comme un autre.

EN DIRECT @EmmanuelMacron : “Je souhaite la suppression de la Cour de Justice de la République” #CongresVersailles
📺 https://t.co/TH1xmwi63n pic.twitter.com/0FPjM39Jx3 — BFMTV (@BFMTV) July 3, 2017

Un pouvoir judiciaire à la manœuvre?

La Cour de justice de la République sera donc amenée dans les années à venir à évaluer la responsabilité pénale des membres du gouvernement visés par les plaintes. Pour l’avocate Sophie Ovadia, cette sursollicitation nouvelle d’«une institution un peu ronflante» a beau être étonnante, elle se révèle toutefois «assez logique» en une période de crise «à la fois sanitaire et démocratique». L’institution, dans ce climat de défiance, deviendrait ainsi le relais d’action politique contre le gouvernement.

«Cela témoigne de la judiciarisation de l’action politique en France», ajoute-t-elle au micro de Sputnik. «Dans cette période de crise de la représentation politique, tout un chacun veut mettre en cause la responsabilité pénale, mais en réalité politique, du gouvernement».

Une politisation du pouvoir judiciaire qui prendrait appui, pour se légitimer, sur la défiance généralisée des citoyens envers l’exécutif. Selon Régis de Castelnau, l’exemple des perquisitions menées à la mi-octobre aux domiciles et bureaux d’Olivier Véran, d’Édouard Philippe, d’Agnès Buzyn et de Sibeth N’Diaye, dans le cadre de l’information ouverte par la Cour de justice de la République, en est la parfaite illustration. «Vous ne lancez pas un raid de cette ampleur, sans aucun intérêt en plus pour l’enquête en cours. Que voulez-vous qu’on trouve au domicile d’Édouard Philippe concernant sa gestion de la crise sanitaire?», ironise l’avocat. Aussi, cette opération serait-elle avant tout selon lui un «avertissement envoyé au monde politique», avertissement n’ayant rien à avoir avec l’évaluation attendue par les citoyens de la gestion de la pandémie. Une manœuvre donc, pour faire avancer «leurs propres intérêts politiques». Une confusion des pouvoirs et une atteinte au principe de séparation de Montesquieu serait ainsi à craindre pour l’avenir, selon Me de Castelnau.

Source : https://fr.sputniknews.com/france/202012281044991980-a-la-cour-de-justice-de-la-republique-les-plaintes-contre-le-gouvernement-saccumulent/

Reset de la médecine par la nanotechnolgie. Transhumanisme en vue.

On se focalise sur l’ARN messager, et c’est bien. Il s’agit toutefois de penser au véhicule qui va le transporter. Il s’agit de nanotechnologie. De plus, il est urgent que l’on nous dise si le matériel qui sert à CRISPR, et à l’édition génétique fait partie du voyage à l’intérieur du corps humain. Si tel devait être le cas, cela signifierait qu’une vaste opération de modifier génétiquement l’humain a été lancée au niveau planétaire.

Image de nanoparticules d’argent obtenue par microscopie électronique à transmission (MET)

La volonté affichée de l’élite de la haute finance est de mettre un terme à l’humanité et de la faire basculer dans le transhumanisme, phase intermédiaire qui déboucherait in fine sur le posthumanisme. Ce jour-là, l’homme serait devenu un élément intégré dans la machine humaine.

Pour l’heure, nous livrons la mère de toutes les batailles pour empêcher l’occurrence de ce plan infernal. Et la chose n’est pas aisée, tant le script de la vision est perfectionné et les arguments favorables sont nombreux. En effet, on a pris tous les cas où la médecine classique a démontré son impuissance et on les a transformés en cibles possibles de la Nouvelle médecine. Et à entendre les promoteurs astucieux, le miracle a été trouvé. Il se trouve dans la nanomédecine, et sa nanotechnologie. En extrapolant la moindre, grâce à leur biotechnologie, tout devient possible: santé, longévité, bonheur, etc. De plus, cette médecine-miracle devrait être peu coûteuse tout en étant capable de répondre aux besoins des milliards d’individus. Tentant n’est-ce pas?

Problème: Les charlatans ont toujours promis la lune pour pas cher.

Un autre problème que les scientistes du 21ème siècle ne disent pas, c’est qu’ils doivent bricoler le vivant, c’est-à-dire les gènes et les cellules, pour espérer répondre à leur désir de longévité et d’immortalité.

La nanomédecine mène au transhumanisme?

La nanomédecine est devenue une réalité admise par les autorités sanitaires du Nouveau Monde. Great reset oblige. Je ne prendrai pas position puisque j’en serais incapable car incompétente. En revanche, je vais vous mettre des textes rédigés par les pontes mondiaux de l’édition technoscientifique.

Ainsi, chacun se fera son opinion sur la technologie qui a permis l’élaboration du produit utilisé dans cette campagne de vaccination.

La nanomédecine utilise les nanotechnologies pour développer des applications innovantes, et plus spécifiquement des nano-objets dans le domaine de la santé, grâce à l’exploitation des propriétés physiques, chimiques et biologiques des matériaux à l’échelle nanométrique.

https://www.leem.org/la-nanomedecine

Voici un visuel qui vous montre la taille de ce dont on parle, soit 1/50’000ème d’un cheveu…

https://www.leem.org/sites/default/files/inline-images/15_Echelle%20Nanomedecine_0.jpg
https://www.leem.org/sites/default/files/inline-images/15_Echelle%20Nanomedecine_0.jpg

Voici les domaines d’application attendus d’ici 2030, date ultime pour la mise en place définitive du Nouveau Monde. La nanomédecine devrait donner un bon coup de balai à la médecine classique.

https://www.leem.org/sites/default/files/inline-images/16_Nanomedecine_0.jpg
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/02/notre-sante-livree-aux-ingenieurs/
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/15/ou-va-la-technoscience-anne-laure-boch/

La nanomédecine fait appel à la nanotechnologie, base du transhumanisme

Les nanotechnologies sont à l’honneur. Elles semblent sortir de nulle part, mais ce n’est pas le cas. Elles constituent dans les faits un des 4 piliers incontournables du NBIC, qui fondent le transhumanisme.

https://lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2015/05/nbic.png?w=300&h=238&zoom=2
https://lilianeheldkhawam.com/2015/05/28/la-haute-finance-a-lassaut-de-votre-patrimoine-genetique-par-liliane-held-khawam/

Cela fait des décennies que des milliards, voire des trillions sont déversés (grâce à la privatisation de la création monétaire et aux programmes des banques centrales, c’est-à-dire chacun de nous) sont développées dans le but de faire franchir un cap décisif à l’humanité pour la faire basculer dans le post-humanisme. Mais attention, après avoir épousé le transhumanisme.

https://lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2015/05/bricolage-du-vivant.png
https://lilianeheldkhawam.com/2015/05/28/la-haute-finance-a-lassaut-de-votre-patrimoine-genetique-par-liliane-held-khawam/
https://i0.wp.com/cyberland.c.y.pic.centerblog.net/croquis-N1-NBIC.png?zoom=2
Convergence entre le biologique et le physique. Le mariage de l’humain et de la machine est représenté par cette image. La connexion des neurones (cerveau) n’est pas optionnel, et explique pourquoi Elon Musk ne finit ni dans un asile psychiatrique, ni en prison. https://www.francetvinfo.fr/sciences/high-tech/implants-cerebraux-voitures-autonomes-cinq-innovations-d-elon-musk-qui-vont-peut-etre-revolutionner-votre-quotidien_2123557.html

Les apports de la nanomédecine d’ici 2030

• Des nano-objets capables de leurrer le système immunitaire pour mieux traiter certaines pathologies.
• Des nano-objets capables d’activer le système immunitaire afin de restaurer une réponse de l’organisme contre une pathologie.
Des nanovecteurs ciblés spécifiques à certains types cellulaires pour libérer une substance active sans induire de toxicité dans d’autres types cellulaires.
Des nano-objets portant un label fluorescent ou radioactif :
–  capables de détecter précocement des perturbations fonctionnelles ;
–  permettant d’apporter une aide à la chirurgie guidée par l’image.

https://www.leem.org/sites/default/files/inline-images/17_Applications%20therapeutiques_0.jpg
https://www.leem.org/la-nanomedecine

L’ARN messager, vecteur de la Nouvelle médecine.

L’ARN messager est donc l’incontournable vecteur qui va permettre à la nanomédecine de faire du transhumanisme une réalité.

ARN messager forme de l’acide ribonucléique transportant l’information génétique.

Wikipédia
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/3/34/MRNA_fr.svg/800px-MRNA_fr.svg.png
1. Il est synthétisé sous forme de précurseur dans le noyau de la cellule lors d’un processus appelé transcription. 2. L’ARN préparé par épissage, est envoyé dans le cytoplasme où il porte le nom de « messager ». C’est dans cet espace de la cellule que la « traduction » en protéines se fait. https://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_ribonucl%C3%A9ique_messager#Traduction_en_prot%C3%A9ine

L’ARNm sert d’intermédiaire pour la synthèse des protéines à l’intérieur des cellules. Ainsi, l’idée de la thérapie (vaccin) par ARN messager serait d’introduire ce brin d’ADN dans le corps humain par injection. Si tout se passe bien, il devrait atteindre le cytoplasme et devrait déclencher la « machinerie » de la cellule pour que le corps lui-même développe les protéines visées. Et là, il existe 2 familles de protéines: des qui resteront dans les cellules, et d’autres qui seront déversées dans le flux sanguin pour être transportées vers des cibles visées.

Production de protéines in vivo. Extrait de la vidéo de Moderna Therapeutics.

Questions: qui peut garantir que l’ARN messager introduit artificiellement ne produirait pas des substances qui pénètreraient dans le noyau de la cellule, modifiant alors le génome de l’hôte? Qui peut garantir que l’ARN messager étranger ne se mettra pas à créer des réactions sévères de rejet? Qui peut garantir que l’ARN messager introduit n’a pas été hacké par des entités malveillantes et transformé en autre chose que ce qu’il est supposé être en théorie? Souvenez-vous dans le système NBIC, l’informatique est partie prenante du modèle. Or « des chercheurs en sécurité ont montré qu’il était possible d’interférer au niveau informatique dans les procédures de synthèse d’ADN pour provoquer la création d’agents infectieux« .

https://lilianeheldkhawam.com/2020/12/21/bon-a-savoir-a-lheure-de-la-therapie-genique-on-peut-generer-des-agents-bio-toxiques-a-partir-dun-virus-informatique-01-net/

La technologie de l’ARN messager présentée par Moderna Therapeutics dès 2014

À propos de Messenger RNA Therapeutics ™: Moderna Therapeutics est le pionnier de l’ARN thérapeutique ™ messager, une toute nouvelle modalité médicamenteuse in vivo qui produit des protéines ou des anticorps humains à l’intérieur des cellules des patients, qui sont à leur tour actifs au niveau intracellulaire ou qui sont sécrétés. Cette plate-forme révolutionnaire s’adresse aux cas « intraitables » (ungruggable) et offre une alternative supérieure aux modalités médicamenteuses existantes pour un large éventail de maladies. (Vidéo postée par Moderna sur Facebook le 3 juillet 2014) Comment messenger RNA Therapeutics™ fontionne.
Moderna Therapeutics se considère en tant que pionnier de la thérapie par ARN messager. Vous constaterez qu’il est clairement dit que le mARN pénètre les cellules, et là il va synthétiser les protéines utilisant la « machinerie » « naturelle ». Là, les protéines sont produites soit en tant que support à une fonction intracellulaire, soit elles seront relâchées dans le flux sanguin afin d’aller restaurer une fonction ailleurs. Vidéo postée par Moderna sur Facebook le 4 juillet 2014

Quid des vaccins par ARN messager?

Le problème de l’élite de la haute finance est le suivant: faire passer leurs travaux révolutionnaires de la thérapie génétique de l’espace du laboratoire vers celui de la société. Comment effectuer ce saut de géant?

Une pandémie globale

Covid-19 est tombé pile poil dans la phase de transition qui doit mener vers l’instauration du Nouveau Monde de 2030. Et selon Ray Kurzweil, figure forte de Google, d’ici là tout le monde devrait avoir son implant cérébral opérationnel. https://lilianeheldkhawam.com/2020/11/28/lenquete-sur-le-transhumanisme-que-vous-devez-lire-tout-y-est-annonce-france-inter/comment-page-1/

Des médias survoltés anxiogènes, et propagandistes

C’est là qu’interviennent les médias officiels financiarisés qui vont interviewer en boucle des lobbyistes rhabillés en « scientifiques » qui vont avoir la lourde tâche de décrédibiliser les vrais experts.

Impossibilité de trouver une thérapie

On nous fait croire depuis mars dernier qu’il est plus facile de développer un vaccin de nature ARN messager ou ADN (Innovio)plutôt que de multiplier le nombre de lits d’hôpital, de tester des molécules médicamenteuses qui semblent prometteuses. https://lilianeheldkhawam.com/2020/12/21/la-molecule-qui-presente-des-resultats-spectaculaires-mais-dont-les-officiels-ne-veulent-pas-pourquoi/

Démontrer que le virus n’a pas de thérapie a été une lutte de tous les instants au risque d’étaler au grand jour les incompétences crasses des uns et des autres. Et tout scientifique qui osera dire le contraire sera lynché et trié de complotiste.

L’ARN messager est encapsulé, mais dans quoi?

Le vaccin de Pfizer contre la Covid-19 utilise une version très récente des vaccins sans agent infectieux, les vaccins à ARN messager. Les caractéristiques immunogènes des ARN n’ont été découverts que dans les années 90. Les premières applications de cette technique concernaient le cancer avec le premier essai clinique mené en 2002. Il faudra attendre 2012 pour que les premiers essais pré-cliniques soient conduits sur des agents infectieux. Le vaccin est composé d’ARN messagers à nucléotides modifiés qui encodent une forme mutée du péplomère du SARS-CoV-2, le péplomère étant encapsulé dans des nanoparticules solides lipidiques (en)10,11. (Futura Science)

Voici des extraits d’un article sérieux qui vous expliquent par a+b le grand saut que l’on nous force à effectuer vers le transhumanisme, via (entre autres) le vaccin anti-Covid. Il fallait tester cette technologie à large échelle. Eh bien voilà, c’est en cours.

Une fois emballé dans un vaccin, l’ARN messager qui code pour une protéine trouvée à la surface du nouveau coronavirus devrait obliger les cellules du corps à produire cette protéine, provoquant une réaction du système immunitaire qui apprendra au corps comment combattre le virus et ainsi empêcher Covid. -19. C’est une technique différente de celle utilisée par les vaccins traditionnels, qui imitent les composants de la maladie pour inciter le système immunitaire à construire des défenses contre les infections futures avec la chose elle-même. En revanche, les vaccins à ARNm relancent la machinerie de fabrication de protéines cellulaires pour lutter contre l’envahisseur. https://www.statnews.com/2020/12/01/how-nanotechnology-helps-mrna-covid19-vaccines-work/

Un système de nanotransporteurs composé de nanoparticules lipidiques ou polymères peut amener de l’ARNm dans les cellules pour leur demander de fabriquer des antigènes et de stimuler le système immunitaire pour qu’il fabrique des anticorps contre le SRAS-CoV-2. Ces lipides et polymères sont conçus pour échapper aux enzymes qui pourraient rapidement dégrader l’ARNm ou limiter la capacité des cellules à l’absorber. Des boosters immunostimulants peuvent également être ajoutés pour provoquer une réponse immunitaire plus forte. Les nanomatériaux pourraient également jouer un rôle clé dans la fourniture de vaccins aux habitants des pays pauvres en ressources ou densément peuplés. Les vaccins pourraient un jour être administrés au moyen de patchs à micro-aiguilles, d’implants à libération lente à dose unique, de nanomatériaux à base de film ou de nanoparticules virales végétales pour l’administration d’antigènes, qui ne nécessitent pas de chaînes du froid.

Qu’y a-t-il d’autre dans la capsule que l’ARN messager? CRISPR?

Les scientifiques de Stanford ont publié dès mars 2020 au sujet du nouveau coronavirus. Et l’ARN messager était déjà dans la publication, mais il était accompagné de CRISPR, la technologie d’édition des gènes!

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.03.13.991307v1

Le 19 février, Tim Abbott, doctorant au département de bio-ingénierie de l’université de Stanford, a vérifié les résultats d’une expérience qu’il menait au sein d’une équipe utilisant la technologie de manipulation génétique Crispr pour lutter contre les coronavirus. Abbott travaillait dans le laboratoire de Stanley Qi, un pionnier dans le développement des outils Crispr qui peuvent manipuler les cellules cancéreuses et autres pour combattre les maladies. En utilisant une approche que le laboratoire a appelée PAC-MAN (Prophylactic Antiviral Crispr in huMAN cells), l’idée était d’attaquer le coronavirus en dirigeant une torpille Crispr sur lui, en attaquant la constitution génétique du virus qui lui permet de pénétrer les cellules humaines et d’utiliser ensuite la machinerie de la cellule pour s’auto-répliquer.

Dans cette expérience particulière, il avait introduit le système Crispr du laboratoire pour trouver et détruire le SRAS-Cov 2 (ce que les scientifiques appellent le nouveau coronavirus) dans une solution contenant un fragment inerte synthétisé de ce virus.

Comme tous les systèmes Crispr, celui-ci était composé de deux parties : une enzyme et un brin d’ARN dit « guide ». L’ARN dirige l’enzyme, dans ce cas, Cas-13d, pour qu’elle s’accroche à des endroits spécifiques du génome du coronavirus où elle effectue ensuite une série de coupes. On peut comparer cela à une paire de ciseaux programmée pour scanner un livre de cuisine et ne découper que la page contenant la recette du SRAS-Cov-2.

https://www.wired.com/story/could-crispr-be-the-next-virus-killer/

Le World Economic Forum approuve le procédé CRISPR, et l’édition de gènes

https://www.weforum.org/agenda/2020/08/crispr-gene-testing-editing-covid19-coronavirus-diagnostics-precision-medicine-healthcare/

par LHK

Reset de la médecine par la nanotechnolgie. Transhumanisme en vue.

https://assets.weforum.org/editor/responsive_large_webp_752ObvnSvlxgWqWA-B0PIum6ZerRMFo9G0ARIZiiLTA.webp
On se focalise sur l’ARN messager, et c’est bien. Il s’agit toutefois de penser au véhicule qui va le transporter. Il s’agit de nanotechnologie. De plus, il est urgent que l’on nous dise si le matériel qui sert à CRISPR, et à l’édition génétique fait partie du voyage à l’intérieur du corps humain. Si tel devait être le cas, cela signifierait qu’une vaste opération de modifier génétiquement l’humain a été lancée au niveau planétaire.

La volonté affichée de l’élite de la haute finance est de mettre un terme à l’humanité et de la faire basculer dans le transhumanisme, phase intermédiaire qui déboucherait in fine sur le posthumanisme. Ce jour-là, l’homme serait devenu un élément intégré dans la machine humaine.

Pour l’heure, nous livrons la mère de toutes les batailles pour empêcher l’occurrence de ce plan infernal. Et la chose n’est pas aisée, tant le script de la vision est perfectionné et les arguments favorables sont nombreux. En effet, on a pris tous les cas où la médecine classique a démontré son impuissance et on les a transformés en cibles possibles de la Nouvelle médecine. Et à entendre les promoteurs astucieux, le miracle a été trouvé. Il se trouve dans la nanomédecine, et sa nanotechnologie. En extrapolant la moindre, grâce à leur biotechnologie, tout devient possible: santé, longévité, bonheur, etc. De plus, cette médecine-miracle devrait être peu coûteuse tout en étant capable de répondre aux besoins des milliards d’individus. Tentant n’est-ce pas?

Problème: Les charlatans ont toujours promis la lune pour pas cher.

Un autre problème que les scientistes du 21ème siècle ne disent pas, c’est qu’ils doivent bricoler le vivant, c’est-à-dire les gènes et les cellules, pour espérer répondre à leur désir de longévité et d’immortalité.

La nanomédecine mène au transhumanisme?

La nanomédecine est devenue une réalité admise par les autorités sanitaires du Nouveau Monde. Great reset oblige. Je ne prendrai pas position puisque j’en serais incapable car incompétente. En revanche, je vais vous mettre des textes rédigés par les pontes mondiaux de l’édition technoscientifique.

Ainsi, chacun se fera son opinion sur la technologie qui a permis l’élaboration du produit utilisé dans cette campagne de vaccination.

La nanomédecine utilise les nanotechnologies pour développer des applications innovantes, et plus spécifiquement des nano-objets dans le domaine de la santé, grâce à l’exploitation des propriétés physiques, chimiques et biologiques des matériaux à l’échelle nanométrique.

https://www.leem.org/la-nanomedecine

Voici un visuel qui vous montre la taille de ce dont on parle, soit 1/50’000ème d’un cheveu…

https://www.leem.org/sites/default/files/inline-images/15_Echelle%20Nanomedecine_0.jpg
https://www.leem.org/sites/default/files/inline-images/15_Echelle%20Nanomedecine_0.jpg

Voici les domaines d’application attendus d’ici 2030, date ultime pour la mise en place définitive du Nouveau Monde. La nanomédecine devrait donner un bon coup de balai à la médecine classique.

https://www.leem.org/sites/default/files/inline-images/16_Nanomedecine_0.jpg
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/02/notre-sante-livree-aux-ingenieurs/
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/15/ou-va-la-technoscience-anne-laure-boch/

La nanomédecine fait appel à la nanotechnologie, base du transhumanisme

Les nanotechnologies sont à l’honneur. Elles semblent sortir de nulle part, mais ce n’est pas le cas. Elles constituent dans les faits un des 4 piliers incontournables du NBIC, qui fondent le transhumanisme.

https://lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2015/05/nbic.png?w=300&h=238&zoom=2
https://lilianeheldkhawam.com/2015/05/28/la-haute-finance-a-lassaut-de-votre-patrimoine-genetique-par-liliane-held-khawam/

Cela fait des décennies que des milliards, voire des trillions sont déversés (grâce à la privatisation de la création monétaire et aux programmes des banques centrales, c’est-à-dire chacun de nous) sont développées dans le but de faire franchir un cap décisif à l’humanité pour la faire basculer dans le post-humanisme. Mais attention, après avoir épousé le transhumanisme.

https://lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2015/05/bricolage-du-vivant.png
https://lilianeheldkhawam.com/2015/05/28/la-haute-finance-a-lassaut-de-votre-patrimoine-genetique-par-liliane-held-khawam/
https://i0.wp.com/cyberland.c.y.pic.centerblog.net/croquis-N1-NBIC.png?zoom=2
Convergence entre le biologique et le physique. Le mariage de l’humain et de la machine est représenté par cette image. La connexion des neurones (cerveau) n’est pas optionnel, et explique pourquoi Elon Musk ne finit ni dans un asile psychiatrique, ni en prison. https://www.francetvinfo.fr/sciences/high-tech/implants-cerebraux-voitures-autonomes-cinq-innovations-d-elon-musk-qui-vont-peut-etre-revolutionner-votre-quotidien_2123557.html

Les apports de la nanomédecine d’ici 2030

• Des nano-objets capables de leurrer le système immunitaire pour mieux traiter certaines pathologies.
• Des nano-objets capables d’activer le système immunitaire afin de restaurer une réponse de l’organisme contre une pathologie.
Des nanovecteurs ciblés spécifiques à certains types cellulaires pour libérer une substance active sans induire de toxicité dans d’autres types cellulaires.
Des nano-objets portant un label fluorescent ou radioactif :
–  capables de détecter précocement des perturbations fonctionnelles ;
–  permettant d’apporter une aide à la chirurgie guidée par l’image.

https://www.leem.org/sites/default/files/inline-images/17_Applications%20therapeutiques_0.jpg
https://www.leem.org/la-nanomedecine

L’ARN messager, vecteur de la Nouvelle médecine.

L’ARN messager est donc l’incontournable vecteur qui va permettre à la nanomédecine de faire du transhumanisme une réalité.

ARN messager forme de l’acide ribonucléique transportant l’information génétique.

Wikipédia
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/3/34/MRNA_fr.svg/800px-MRNA_fr.svg.png
1. Il est synthétisé sous forme de précurseur dans le noyau de la cellule lors d’un processus appelé transcription. 2. L’ARN préparé par épissage, est envoyé dans le cytoplasme où il porte le nom de « messager ». C’est dans cet espace de la cellule que la « traduction » en protéines se fait. https://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_ribonucl%C3%A9ique_messager#Traduction_en_prot%C3%A9ine

L’ARNm sert d’intermédiaire pour la synthèse des protéines à l’intérieur des cellules. Ainsi, l’idée de la thérapie (vaccin) par ARN messager serait d’introduire ce brin d’ADN dans le corps humain par injection. Si tout se passe bien, il devrait atteindre le cytoplasme et devrait déclencher la « machinerie » de la cellule pour que le corps lui-même développe les protéines visées. Et là, il existe 2 familles de protéines: des qui resteront dans les cellules, et d’autres qui seront déversées dans le flux sanguin pour être transportées vers des cibles visées.

Production de protéines in vivo. Extrait de la vidéo de Moderna Therapeutics.

Questions: qui peut garantir que l’ARN messager introduit artificiellement ne produirait pas des substances qui pénètreraient dans le noyau de la cellule, modifiant alors le génome de l’hôte? Qui peut garantir que l’ARN messager étranger ne se mettra pas à créer des réactions sévères de rejet? Qui peut garantir que l’ARN messager introduit n’a pas été hacké par des entités malveillantes et transformé en autre chose que ce qu’il est supposé être en théorie? Souvenez-vous dans le système NBIC, l’informatique est partie prenante du modèle. Or « des chercheurs en sécurité ont montré qu’il était possible d’interférer au niveau informatique dans les procédures de synthèse d’ADN pour provoquer la création d’agents infectieux« .

https://lilianeheldkhawam.com/2020/12/21/bon-a-savoir-a-lheure-de-la-therapie-genique-on-peut-generer-des-agents-bio-toxiques-a-partir-dun-virus-informatique-01-net/

La technologie de l’ARN messager présentée par Moderna Therapeutics dès 2014

À propos de Messenger RNA Therapeutics ™: Moderna Therapeutics est le pionnier de l’ARN thérapeutique ™ messager, une toute nouvelle modalité médicamenteuse in vivo qui produit des protéines ou des anticorps humains à l’intérieur des cellules des patients, qui sont à leur tour actifs au niveau intracellulaire ou qui sont sécrétés. Cette plate-forme révolutionnaire s’adresse aux cas « intraitables » (ungruggable) et offre une alternative supérieure aux modalités médicamenteuses existantes pour un large éventail de maladies. (Vidéo postée par Moderna sur Facebook le 3 juillet 2014) Comment messenger RNA Therapeutics™ fontionne.
Moderna Therapeutics se considère en tant que pionnier de la thérapie par ARN messager. Vous constaterez qu’il est clairement dit que le mARN pénètre les cellules, et là il va synthétiser les protéines utilisant la « machinerie » « naturelle ». Là, les protéines sont produites soit en tant que support à une fonction intracellulaire, soit elles seront relâchées dans le flux sanguin afin d’aller restaurer une fonction ailleurs. Vidéo postée par Moderna sur Facebook le 4 juillet 2014

Quid des vaccins par ARN messager?

Le problème de l’élite de la haute finance est le suivant: faire passer leurs travaux révolutionnaires de la thérapie génétique de l’espace du laboratoire vers celui de la société. Comment effectuer ce saut de géant?

Une pandémie globale

Covid-19 est tombé pile poil dans la phase de transition qui doit mener vers l’instauration du Nouveau Monde de 2030. Et selon Ray Kurzweil, figure forte de Google, d’ici là tout le monde devrait avoir son implant cérébral opérationnel. https://lilianeheldkhawam.com/2020/11/28/lenquete-sur-le-transhumanisme-que-vous-devez-lire-tout-y-est-annonce-france-inter/comment-page-1/

Des médias survoltés anxiogènes, et propagandistes

C’est là qu’interviennent les médias officiels financiarisés qui vont interviewer en boucle des lobbyistes rhabillés en « scientifiques » qui vont avoir la lourde tâche de décrédibiliser les vrais experts.

Impossibilité de trouver une thérapie

On nous fait croire depuis mars dernier qu’il est plus facile de développer un vaccin de nature ARN messager ou ADN (Innovio)plutôt que de multiplier le nombre de lits d’hôpital, de tester des molécules médicamenteuses qui semblent prometteuses. https://lilianeheldkhawam.com/2020/12/21/la-molecule-qui-presente-des-resultats-spectaculaires-mais-dont-les-officiels-ne-veulent-pas-pourquoi/

Démontrer que le virus n’a pas de thérapie a été une lutte de tous les instants au risque d’étaler au grand jour les incompétences crasses des uns et des autres. Et tout scientifique qui osera dire le contraire sera lynché et trié de complotiste.

L’ARN messager est encapsulé, mais dans quoi?

Le vaccin de Pfizer contre la Covid-19 utilise une version très récente des vaccins sans agent infectieux, les vaccins à ARN messager. Les caractéristiques immunogènes des ARN n’ont été découverts que dans les années 90. Les premières applications de cette technique concernaient le cancer avec le premier essai clinique mené en 2002. Il faudra attendre 2012 pour que les premiers essais pré-cliniques soient conduits sur des agents infectieux. Le vaccin est composé d’ARN messagers à nucléotides modifiés qui encodent une forme mutée du péplomère du SARS-CoV-2, le péplomère étant encapsulé dans des nanoparticules solides lipidiques (en)10,11. (Futura Science)

Voici des extraits d’un article sérieux qui vous expliquent par a+b le grand saut que l’on nous force à effectuer vers le transhumanisme, via (entre autres) le vaccin anti-Covid. Il fallait tester cette technologie à large échelle. Eh bien voilà, c’est en cours.

Une fois emballé dans un vaccin, l’ARN messager qui code pour une protéine trouvée à la surface du nouveau coronavirus devrait obliger les cellules du corps à produire cette protéine, provoquant une réaction du système immunitaire qui apprendra au corps comment combattre le virus et ainsi empêcher Covid. -19. C’est une technique différente de celle utilisée par les vaccins traditionnels, qui imitent les composants de la maladie pour inciter le système immunitaire à construire des défenses contre les infections futures avec la chose elle-même. En revanche, les vaccins à ARNm relancent la machinerie de fabrication de protéines cellulaires pour lutter contre l’envahisseur. https://www.statnews.com/2020/12/01/how-nanotechnology-helps-mrna-covid19-vaccines-work/

Un système de nanotransporteurs composé de nanoparticules lipidiques ou polymères peut amener de l’ARNm dans les cellules pour leur demander de fabriquer des antigènes et de stimuler le système immunitaire pour qu’il fabrique des anticorps contre le SRAS-CoV-2. Ces lipides et polymères sont conçus pour échapper aux enzymes qui pourraient rapidement dégrader l’ARNm ou limiter la capacité des cellules à l’absorber. Des boosters immunostimulants peuvent également être ajoutés pour provoquer une réponse immunitaire plus forte. Les nanomatériaux pourraient également jouer un rôle clé dans la fourniture de vaccins aux habitants des pays pauvres en ressources ou densément peuplés. Les vaccins pourraient un jour être administrés au moyen de patchs à micro-aiguilles, d’implants à libération lente à dose unique, de nanomatériaux à base de film ou de nanoparticules virales végétales pour l’administration d’antigènes, qui ne nécessitent pas de chaînes du froid.

Qu’y a-t-il d’autre dans la capsule que l’ARN messager? CRISPR?

Les scientifiques de Stanford ont publié dès mars 2020 au sujet du nouveau coronavirus. Et l’ARN messager était déjà dans la publication, mais il était accompagné de CRISPR, la technologie d’édition des gènes!

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.03.13.991307v1

Le 19 février, Tim Abbott, doctorant au département de bio-ingénierie de l’université de Stanford, a vérifié les résultats d’une expérience qu’il menait au sein d’une équipe utilisant la technologie de manipulation génétique Crispr pour lutter contre les coronavirus. Abbott travaillait dans le laboratoire de Stanley Qi, un pionnier dans le développement des outils Crispr qui peuvent manipuler les cellules cancéreuses et autres pour combattre les maladies. En utilisant une approche que le laboratoire a appelée PAC-MAN (Prophylactic Antiviral Crispr in huMAN cells), l’idée était d’attaquer le coronavirus en dirigeant une torpille Crispr sur lui, en attaquant la constitution génétique du virus qui lui permet de pénétrer les cellules humaines et d’utiliser ensuite la machinerie de la cellule pour s’auto-répliquer.

Dans cette expérience particulière, il avait introduit le système Crispr du laboratoire pour trouver et détruire le SRAS-Cov 2 (ce que les scientifiques appellent le nouveau coronavirus) dans une solution contenant un fragment inerte synthétisé de ce virus.

Comme tous les systèmes Crispr, celui-ci était composé de deux parties : une enzyme et un brin d’ARN dit « guide ». L’ARN dirige l’enzyme, dans ce cas, Cas-13d, pour qu’elle s’accroche à des endroits spécifiques du génome du coronavirus où elle effectue ensuite une série de coupes. On peut comparer cela à une paire de ciseaux programmée pour scanner un livre de cuisine et ne découper que la page contenant la recette du SRAS-Cov-2.

https://www.wired.com/story/could-crispr-be-the-next-virus-killer/

Le World Economic Forum approuve le procédé CRISPR, et l’édition de gènes

https://www.weforum.org/agenda/2020/08/crispr-gene-testing-editing-covid19-coronavirus-diagnostics-precision-medicine-healthcare/

https://www.weforum.org/agenda/2020/08/crispr-gene-testing-editing-covid19-coronavirus-diagnostics-precision-medicine-healthcare/

Scientists Aim Gene-Targeting Breakthrough Against COVID-19

https://newscenter.lbl.gov/2020/06/04/gene-targeting-covid-19/embed/#?secret=TUTgn83dQd

https://lilianeheldkhawam.com/2020/07/24/important-introduction-a-crispr-la-methode-qui-pourrait-modifier-le-genome-humain-transhumanisme/comment-page-1/

https://lilianeheldkhawam.com/2020/07/25/crispr-cas-9-ou-le-bricolage-du-vivant-video-du-we-article-avec-bill-gates-promoteur-de-crispr/

https://gensuisse.ch/fr/modification-du-genome-par-crisprcas#

Des chiffres qui démentent l’ampleur de la pandémie. La preuve fournie officiellement par Pfizer.

Je vais vous présenter un tableau que je n’ai pas fait moi-même mais que j’emprunte à Pfizer. Il s’agit du déroulé de leur protocole de validation de leur vaccin. Vous pouvez y lire qu’ils ont commencé avec 44’820 personnes. Puis ils ont scindé en 2 groupes les participants: ceux qui vont recevoir la dose du vaccin à tester, et un groupe témoin qui reçoit de l’eau saline (placebo).

https://www.nejm.org/na101/home/literatum/publisher/mms/journals/content/nejm/0/nejm.ahead-of-print/nejmoa2034577/20201217/images/img_xlarge/nejmoa2034577_f1.jpeg
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2034577?query=recirc_curatedRelated_article
9 cas sévères sur 18’435 du groupe Placebo et qui sont allés jusqu’au bout du processus. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2034577?query=recirc_curatedRelated_articleSevere Covid-19 is defined by the FDA as confirmed Covid-19 with one of the following additional features: clinical signs at rest that are indicative of severe systemic illness; respiratory failure; evidence of shock; significant acute renal, hepatic, or neurologic dysfunction; admission to an intensive care unit; or death

18’435 personnes ont reçu une dose placebo et sont allées jusqu’au bout du processus Pfizer. Alors figurez-vous que de ce chiffre 171 personnes ont été infectées finalement, dont 9 ont présenté des symptômes sévères! Nous parlons donc d’un taux d’infection de 0,93% de la population étudiée (a-t-elle été exposée volontairement au virus pour les besoins de la cause?), et 0,05% a développé des réactions sévères!

Ces chiffres peuvent être recoupés avec ceux de la mortalité suisse. Les décès en Suisse, toutes causes confondues, jusqu’à la semaine 50 et pour les moins de 65 ans ont atteint:

  • pour 2020 les 8337.3
  • pour 2010 les 9273
  • pour 2011 les 8975

Je n’ai pas continué l’exercice qui mériterait d’être fait et d’aller chez M Berset exiger des réponses quant au bouclement de la vie professionnelle et matérielle de cette classe d’âge, c’est-à-dire de l’ensemble de la population active.

https://www.bfs.admin.ch/bfs/fr/home/actualites/covid-19.assetdetail.15244586.html?fbclid=IwAR1qjKHpgkV-L2PwGjSyy74o7xM7yjigzlGbZRYf1SBx91PCaJibYUHq0hY https://www.bfs.admin.ch/bfs/fr/home/actualites/covid-19.assetdetail.15244586.html?fbclid=IwAR1qjKHpgkV-L2PwGjSyy74o7xM7yjigzlGbZRYf1SBx91PCaJibYUHq0hY

En revanche, pour les plus de 65 ans, et spécialement pour les plus de 80 ans, c’est l’HECATOMBE, alors qu’ils ont été coupés de leur famille. Nous devrions exiger de pouvoir constituer des groupes citoyens qui iraient contrôler ce que ces personnes vivent comme cauchemar éventuel. Je répète, les chiffres sont parfaitement anormaux au vu de ce qui précède. https://www.experimental.bfs.admin.ch/expstat/fr/home/innovative-methoden/momo.html

https://pbs.twimg.com/media/EqRpIWiXEAEPL3I?format=png&name=small
https://www.bfs.admin.ch/bfs/fr/home/statistiques/sante/etat-sante/mortalite-causes-deces.html

Des coûts financiers et humains totalement injustifiables

Au vu de ce qui précède, nous peinons sincèrement à comprendre les motivations rationnelles de cette équipée vaccinale. Un comité de citoyens suisses demande un moratoire sur le vaccins ARN. Ses membres s’étonnent que le principe de précaution soit bafoué. Selon eux, « Les projets de vaccination à ARN ont fait l’objet de simplifications et de raccourcissements des procédures d’autorisation sans contrôle de qualité, ce qui ne respecte pas le « principe de précaution », pourtant essentiel en recherche médicale. » Cette technique est expérimentale et peut engendrer un coût humain excessif et inacceptable.

« La vaccination à ARN est une technique expérimentale, développée en urgence, qui ne fait l’objet d’aucune étude scientifique étayée et vérifiée sur le long terme. »

https://swiss-freedom.ch/fr

De fait, nous ne sommes pas face à un vaccin au sens de la définition qu’en fait l’OMS, « mais des produits de thérapie génique dont on ne connaît nullement les effets à long terme sur l’organisme. »

https://swiss-freedom.ch/fr

Une autre voix discordante parmi tant d’autres, celle du Prof Montagnier.

Si les gens acceptent le vaccin à ARNm, c’est une erreur. On risque d’avoir des effets absolument imprévisibles. (…) Par exemple des cancers, des organes qui se mettent à proliférer. On joue à l’apprenti sorcier.

Prof Montagnier, prix Nobel de médecine et fin connaisseur du SIDA. https://lilianeheldkhawam.com/2020/12/20/le-vaccin-solution-unique-lavis-dun-prix-nobel-de-medecine/

Et voici le relevé de la situation au 18 décembre 2020 en matière d’effets secondaires. Le document émane du CDC, organe gouvernemental américain.

Au 18 décembre 2020, le CDC du gouvernement américain rapportait que sur 112’807 personnes ayant reçu la 1ère dose de vaccin, 3’150 personnes ont été victimes d’effets secondaires invalidants. Sont devenues incapables d’accomplir leurs activités quotidiennes, incapables de travailler, ont eu besoin de soins médicaux. On voit que la probabilité de développer des effets secondaires liés au vaccin sont bien plus conséquents que la probabilité de développer une forme sévère du Covid lui-même.

presentation-cdc-resultats-vaccin-au-18-du-12-2020Télécharger

Comme toutes les personnes normalement constituées n’ont pas envie de finir génétiquement modifiées, des gens cherchent à monnayer le consentement des cobayes. En Suisse, c’est 1000 CHF qui pourraient finalement être acceptés par des gens qui auront tout perdu à cause des mesures imposées par les politiques complices du phénomène. https://www.20min.ch/fr/story/donner-1000-francs-a-tout-ceux-qui-se-font-vacciner-690619428702?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR1Zx_5AD7Xno9xHty4q9aG-ZJckQRce1bSZdN1HP3KXEdNXClaGfNK2l-o#Echobox=1608750541

Suppléments

https://www.letemps.ch/suisse/swissmedic-autorise-un-premier-vaccin-contre-coronavirus

Source : https://lilianeheldkhawam.com/2020/12/28/reset-de-la-medecine-par-la-nanotechnolgie-transhumanisme-en-vue/

La vaccination contre la grippe aurait-elle un lien avec l’augmentation des décès de nos aînés atteints de Covid-19 ?

Dès le début de l’été, un rapport original, avait été établi à titre personnel par le Dr Juan F. Gastón Añaños, du Service de Pharmacie de l’hôpital espagnol de Barbastro (province de Huesca) daté du 18 juin 2020 intitulé : « liens et causes possibles de la pandémie avec le vaccin contre la grippe actualisés», faisait état d’une interrogation sur le lien entre le vaccin contre la grippe saisonnière et les décès imputés à la Covid-19, en particulier chez nos aînés.

Y aurait-il un lien entre les décès de nos aînés atteints de Covid-19 et la vaccination contre la grippe saisonnière ? Unsplash

Un rapport qui apparait puis disparait pour revenir modifié

De façon étonnante, le lien vers le rapport original (18 juin 2020) est introuvable depuis le 28 juin, sauf sur Wayback machine. Ce service scanne le web de manière continue et garde en mémoire des « images » de ce qui est publié.  Ce qui permet, en cas de suppression, de retrouver la plupart des articles. Hormis bien sur en cas d’un nettoyage plus approfondi de la mémoire d’internet.

Publié le 28 juin 2020, il a été supprimé dès le lendemain sur le site elarconte.com, cependant nous pouvons le retrouver grâce aux archives web. Il a ensuite été modifié le 29 juin 2020 et republié sans que ne soient précisées les modifications effectuées. 

Il est néanmoins probable que cette modification soit  en lien avec un article de démenti de l’association de vaccination espagnole (AEV) qui nie catégoriquement les informations sur l’association entre le polysorbate 80 (vaccin contre la grippe) et l’infection par le SRAS-CoV-2. Une experte en microbiologie nous dit : “ce démenti était peu convaincant”.

Et elle ajoute : « pourtant, cette étude théorique concluait à l’hypothèse d’un mécanisme d’interférence immunologique théorique possible pour expliquer que les patients qui tombent malades de la COVID-19 et qui ont reçu le vaccin antigrippal meurent plus que les patients avec COVID-19 qui n’ont pas été vaccinés contre la grippe lors de la dernière campagne dans cette province d’Espagne, en se concentrant sur un adjuvant (excipient), le Polysorbate 80, pour lequel il existe des réactions immunologiques indésirables décrites. »

Une interférence existe entre divers virus

Le 15 septembre, une publication dans Nature, qui semble être passée inaperçue, s’intéressait à l’interférence entre les rhinovirus (coronavirus des rhumes bénins) et le virus influenza A (IAV), c’est-à-dire le H1N1, responsable de la pandémie de 2009. Rappelons ici que le virus de la grippe saisonnière est aussi un virus influenza. Les auteurs ont fait en parallèle une analyse rétrospective de données cliniques (1) et une étude expérimentale (2) pour investiguer :

– la co-occurrence des rhinovirus et des para-et influenza virus chez des adultes de plus de 21 ans aux USA testés par PCR Multiplex pendant 3 saisons de novembre à mars 2016-17, 207-19 et 2018-19 et comparer ce qui a été observé par rapport à ce qui était  attendu (1).

– l’interférence entre ces 2 types de virus, par infection expérimentale de cultures cellulaires d’épithélium respiratoire par H1N1 puis par rhinovirus suivie d’une quantification séquentielle de l’infection en présence ou non d’un inhibiteur de la production d’interféron (2).

Leurs observations ont conduit à l’hypothèse qu’un seul virus respiratoire peut bloquer l’infection par un autre à travers la stimulation des défenses anti virales (ici, production d’interféron par l’induction de l’expression du gène ISG) par la muqueuse respiratoire.

Cela pourrait expliquer l’idée que l’interférence entre H1N1 et les rhinovirus saisonniers aurait permis l’extinction de l’épidémie de 2009 et que cette hypothèse devrait être prise en considération pour les stratégies d’intervention entre les épidémies de grippe saisonnière en présence de la « pandémie » de SARS-Cov2 sévissant actuellement. Autrement dit, les rhinovirus saisonniers (coronavirus communs), en entrant en compétition avec la grippe saisonnière, pourraient fonctionner comme des protecteurs en bloquant l’infection par d’autres virus respiratoires plus pathogènes, et permettraient l’extinction de cette dernière chaque année. A cette compétition, s’ajoute donc maintenant un autre coronavirus, le SARS-CoV2, qui par extrapolation de ces conclusions, pourrait également participer à l’extinction de l’épidémie de grippe saisonnière, et inversement.

Ici le sujet n’est pas l’immunité croisée, puisque la grippe et le rhume n’appartiennent pas à la même famille de virus (influenza et coronavirus, respectivement), mais du déclenchement de la production d’interféron, glycoprotéine de la famille des cytokines, puissant antiviral naturellement produit par les cellules de notre système immunitaire et par d’autres cellules, dont les cellules de l’épithélium respiratoire. En d’autres termes du fonctionnement complexe, mais d’une adaptation exceptionnelle de notre système immunitaire

La vaccination contre la grippe étudiée a une association avec le virus de la Covid 19

Enfin, tout récemment, une publication scientifique du 1er octobre 2020, s’est intéressée à la corrélation possible entre le taux de vaccination contre la grippe et les décès de la Covid-19 dans 39 pays du monde de plus d’un demi-million d’habitants, chez les personnes âgées.

Les résultats ont montré une association positive entre les décès de la Covid-19 et le taux de vaccination contre la grippe saisonnière chez les personnes âgées de plus de 65 ans, avec une augmentation significative des décès de la Covid-19 des régions de l’Est vers les régions de l’Ouest dans le monde. En clair, cela signifie que les personnes âgées ayant été vaccinées préalablement contre la grippe sont davantage décédées de la Covid-19 que celles ne l’ayant pas été.

Là aussi, l’auteur conclut à la nécessité d’autres recherches afin d’expliquer ces observations et de prévenir ces décès potentiels associés à la Covid-19.

On conviendra qu’il serait donc urgent de faire une étude indiscutable d’un lien supposé entre l’administration d’un vaccin contre la grippe saisonnière et les cas « confirmés » de COVID-19 qui ont conduit à un décès. La publication des chiffres de décès dus au SARS-CoV2 (en ne testant presque personne à l’époque et en l’attribuant automatiquement à la COVID-19) n’avait-elle que pour objectif de brouiller les pistes et de réduire la corrélation entre les deux ? Ne pas chercher à éliminer ce lien de causalité éventuel semble être un risque pour la population lors de la prochaine campagne vaccinale antigrippale (imminente) qui se verra peut-être associée à un nouvel épisode épidémique sévère de ce virus, voire un nouveau confinement et beaucoup plus de décès à la clef.

D’ailleurs, en date du 3 octobre, le Lazio TAR (Italie) a annulé l’ordonnance du président de la région du Latium, Nicola Zingaretti, datant du 17 avril et par laquelle il imposait l’obligation de la vaccination contre la grippe saisonnière pour toutes les personnes âgées de plus de 65 ans. Aurait-il eu vent de cette étude ?

Au regard de tout ceci, et à l’heure où de nombreux médecins appellent à tous nous faire massivement vacciner contre la grippe, cette étude permettrait d’établir une stratégie vaccinale avec une population ciblée en ce qui concerne la grippe : peut-être vaudrait-il mieux vacciner en priorité  les enfants (évoqué par le Pr Raoult, ainsi que la vaccination anti pneumocoque), plutôt que leurs grands-parents, afin de limiter les chaînes de transmission de la grippe et de préserver ainsi le capital de défense de nos aînés face à la Covid-19 afin qu’ils n’en meurent pas plus ?

Un médecin nous dit :

« cette position fera surement débat et entrainera des incompréhensions, car si on vaccine les enfants, les personnes âgées n’auront pas le virus influenza, et donc ne bénéficieront pas de l’interférence virale influenza – coronavirus par le biais de sécrétion d’interféron. Le problème ne serait donc pas le vaccin lui-même, mais le fait qu’il « prive » l’individu (enfants et personnes âgées par conséquent) de l’infection par influenza. »

Une analyse plus complexe de ce sujet découle de l’efficacité du vaccin contre la grippe et de la couverture vaccinale. En effet, l’efficacité du vaccin est fonction des souches du virus qui sont visées et des mutations de ce virus. Comme la couverture vaccinale n’est jamais de 100% de la population, il subsiste toujours un doute sur la circulation du virus et la restriction des cibles en fonction de la couverture vaccinale.  Dans les faits, on ne priverait donc pas forcement les gens vaccinés d’attraper le virus, mais on permet l’atténuation de cette grippe voire de la passer sous les radars. On limite donc les chaines de transmission.

De plus, de nombreuses publications scientifiques montrent le rôle majeur de l’activation des lymphocytes T (immunité à médiation cellulaire), plus important que celui des anticorps spécifiques (immunité à médiation humorale), et participant à l’immunité croisée, dans la lutte de l’organisme contre l’infection au SARS-CoV2. Ne serait-il donc pas plus judicieux de renforcer cette immunité naturelle, diminuée par l’âge chez nos aînés, par exemple à l’aide de supplémentation en Vitamine D et en zinc (dont ils sont souvent déficitaires) mais également de Vitamine C, par exemple ?

Une réflexion globale sur la stratégie d’anticipation concernant les personnes à risque, dont les personnes âgées, face à la Covid-19 s’impose de façon urgente !

Auteur(s): Le Collectif Citoyen pour FranceSoir

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