Category: Passeport immunitaire

Prochaine étape du Grand Reset : Les passeports sanitaires

Dans une courte vidéo troublante (ci-dessous), le “leader allemand charismatique” du Forum économique mondial, Klaus Schwab, décrit le Grand Reset en termes de recherche de “cohésion sociale, d’équité, d’inclusion et d’égalité” à travers les principes marxistes.

En d’autres termes, il s’agit d’une campagne massive de relations publiques et de propagande visant à détruire le capitalisme et à faire passer le contrôle de vos mains à celles de ceux qui cherchent le pouvoir et le contrôle.

Le 10 novembre 2016, le Forum économique mondial a publié un article dans Forbes intitulé ” Bienvenue en 2030 : je ne possède rien, je n’ai pas de vie privée et la vie n’a jamais été aussi belle ” .

Ils y décrivent la vie dans un monde où vous ne posséderez rien, n’aurez pas de vie privée et serez reconnaissant du fait que votre dignité humaine vous ait été enlevée.

Le plus révélateur est un court paragraphe vers la fin de ce sinistre tableau de la vie sous le contrôle des dirigeants marxistes :

“De temps en temps, le fait de n’avoir aucune véritable vie privée m’ennuie. Je ne peux aller nulle part et ne pas être enregistré. Je sais que, quelque part, tout ce que je fais, pense et rêve est enregistré. J’espère juste que personne ne l’utilisera contre moi”.

C’est le thème du ” Grand Reset “, de la ” Quatrième révolution industrielle ” ou de ” Build Back Better “, qui sont autant de termes utilisés pour décrire comment vous devriez vouloir que votre vie change afin que les autres puissent contrôler ce que vous pensez, ce que vous voulez, ce que vous achetez et votre mode de vie. Ce n’est que de cette manière que vous ferez l’expérience de la “cohésion sociale, de l’équité, de l’inclusion et de l’égalité”.

Cependant, comme l’a écrit un observateur : “Il parle d’une réinitialisation mais je peux vous parier que sa richesse et sa position ne seront pas réinitialisées”.

Et un autre de souligner : “La grande réinitialisation semble être une bonne solution, une société plus juste avec des chances égales pour tous, mais elle sera dirigée par les mêmes personnes… dans quelle mesure pensez-vous qu’elle sera vraiment juste ?

Comme pour la plupart des changements sociaux, il doit y avoir un catalyseur, et ceux qui font pression pour le Grand Reset utilisent la pandémie COVID-19 comme un moyen d’encourager le public à changer son comportement et à accepter le contrôle “pour le plus grand bien”.

Le cadre de référence est le suivant : si vous ne changez pas votre comportement, vous ne vous souciez pas de votre voisin, de votre famille, de vos amis et de vos proches.

Cela signifie que, si vous vous en souciez, vous voudriez que tout le monde porte des masques, se fasse vacciner et utilise un passeport de santé afin de “contrôler” la propagation d’un virus omniprésent et de ramener la vie à la “nouvelle normalité”.

À première vue, l’utilisation de contrôles sanitaires numériques peut sembler inoffensive et même sensée, mais ne vous y trompez pas, c’est l’étape suivante pour façonner votre comportement.

Ce n’est pas lié à la transmission des maladies

Comme l’illustre le journaliste James Corbett, le Grand Reset “fonctionne comme une sorte d’outil de marketing pour les très vieilles idées de centralisation du contrôle dans un nombre réduit de mains, de mondialisation [et] de transformation de la société par des technologies de surveillance orwelliennes“.

Il ne s’agit pas de réduire la transmission des maladies, de faire baisser le taux de mortalité ou d’assurer la santé publique.

Lié à la prise de contrôle de votre santé et de vos finances est aussi le désir de lire dans vos pensées pour contrôler votre comportement.

Lors d’une réunion du Forum économique mondial en 2016, les participants ont discuté de la scintigraphie et de la cartographie du cerveau à utiliser par le système judiciaire, un processus qui a été utilisé en Inde où une scintigraphie du cerveau a été utilisée pour condamner quelqu’un au pénal .

J. Peter Rosenfeld, psychologue et neuroscientifique à l’Université Northwestern, qualifie cela “d’incroyable”.

“Les technologies qui ne sont ni sérieusement évaluées par les pairs ni reproduites de manière indépendante ne sont pas, à mon avis, crédibles.

“Le fait qu’une société démocratique avancée et sophistiquée comme l’Inde condamne en fait des personnes sur la base d’une technologie non validée est encore plus incroyable”.

Jack Gallant, directeur du Gallant Lab à l’université de Berkeley, pense que ce n’est qu’une question de temps avant qu’il y ait une technologie portable de décodage du cerveau qui “décode le langage aussi vite que vous pouvez envoyer un texte sur votre téléphone portable” :

“Tout le monde en portera, car les gens ont montré qu’ils sont tout à fait prêts à renoncer à leur vie privée par commodité“.

Le processus par lequel tout cela est canalisé a été mis au point par Robert Cialdini, docteur en psychologie, qui a étudié et perfectionné les techniques de vente. Sa théorie consiste à amener les gens à dire “oui”.

Plus vous dites “oui”, plus il est probable que vous répondiez oui à la prochaine demande. Il a postulé et prouvé qu’il est plus facile d’obtenir l’accord de quelqu’un si vous commencez petit.

Colin Shaw, fondateur et PDG de Beyond Philosophy LLC, décrit le processus de la manière suivante :

“Supposons que je veuille que vous me donniez 100 dollars. Si je vous demande 100 dollars, vous allez probablement dire non. Vous avez probablement une règle qui interdit de donner 100 dollars aux gens qui les demandent.

“Cependant, si je vous demande 1 $, vous allez probablement dire oui. Mais si vous me donnez plus d’un dollar, vous vous habituerez à l’idée de me donner de l’argent quand je le demanderai.

Ensuite, une fois que nous avons établi que vous me donneriez de l’argent, je vous en demande plus la fois suivante, par exemple 20 dollars.

Puisque vous m’aviez déjà donné un dollar, vous pourriez vous dire : “Eh bien, qu’est-ce qu’un peu plus ? Petit à petit, je travaille jusqu’à 100 dollars, en commençant par obtenir votre engagement plus tôt, à un montant inférieur”.

Chaque petit pas semble raisonnable et peut être une action que vous pourriez soutenir. Mais, en fin de compte, l’objectif est plus grand que d’obtenir un dollar, de porter un masque ou de télécharger un passeport santé.

En fin de compte, l’objectif est d’amener le public à accepter de renoncer à ses droits fondamentaux, de vivre sous un régime marxiste où vous n’avez aucun contrôle et où l’intelligence artificielle vous connaît mieux que vous ne vous connaissez vous-même.

Ne vous y trompez pas, en matière de vaccination, c’est un scénario probable, qui peut créer des préjugés juridiques et une ségrégation, isolant ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner – on est loin de la description de Schwab de “cohésion sociale, équité, inclusion et égalité”.

Comment résister au Grand Reset ?

Si cela vous semble trop proche de Star Wars et impossible de votre vivant, il vous suffit d’écouter Klaus Schwab décrire comment “nous pouvons construire un nouveau contrat social intégrant en particulier la prochaine génération” ou de comprendre que la technologie permettant de créer un tel monde existe déjà et que “les gens ont montré qu’ils sont tout à fait disposés à renoncer à leur vie privée par commodité“.

Dans la courte vidéo ci-dessus, Corbett interviewe Howard Lichtman de ThickRedLine.org qui explique succinctement comment les citoyens peuvent s’engager auprès de la police pour exercer leurs droits.

Comme le souligne Lichtman, “un droit non exercé est un droit perdu”. Il incombe à chaque citoyen de décider pour lui-même et d’agir ensuite de manière responsable en fonction de cette décision.

Il met l’accent sur la fin de l’application par la police des crimes sans victimes, tels que le port de masques et le confinement, tout en attirant l’attention sur la bonne application de la loi pour les crimes impliquant des victimes, tels que le vol, le meurtre et le viol.

“Le plus grand problème de la police n’est pas la police. Ce sont les politiciens et les bureaucrates qui utilisent la législation et les décrets, forçant la police à prélever des revenus sur leurs amis et voisins, à arrêter des personnes pacifiques pour des crimes sans victimes, et à voler de l’argent, des véhicules et des biens en utilisant la confiscation des biens civils”.

Dans son interview avec Corbett, Lichtman souligne que ce ne sont pas les services de police qui sont responsables de la plupart des mauvaises relations avec le public mais plutôt les politiciens dont l’intention d’ingénierie sociale est d’accélérer la société vers le monde idéal du Forum économique mondial de 2030.

“Ce sont vraiment les politiciens qui essaient de forcer la police à recourir à la violence et à être immorale, soit pour augmenter les recettes, soit pour faire de l’ingénierie sociale ou ce que j’appellerais une guerre économique basée sur des modèles épidémiologiques dont il est déjà prouvé qu’ils sont imparfaits et incorrects”.

Je vous encourage également à regarder l’une des vidéos les plus puissantes que j’ai vues avec Barbara Loe Fisher, qui vous inspire à prendre la cause en main et à vous joindre à la lutte pour la liberté et l’indépendance en matière de vaccination. Pour plus d’informations sur la façon dont vous pouvez participer, voir “Le passeport mondial pour le vaccin sera exigé pour les voyages”.

Par le Dr Joseph Mercola, auteur de Fat for Fuel : A Revolutionary Diet to Combat Cancer, Boost Brain Power, and Increase Your Energy

Source : https://humansarefree.com/2021/01/great-reset-health-passports.html
Traduction par https://cv19.fr

Covid-19 – La CNIL valide le fichage des personnes vaccinées

La Commission nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL) promet des contrôles sur l’utilisation des données.

Un fichier regroupant des informations appartenant à toutes les personnes vaccinées contre la Covid-19 va être créé à partir du 4 janvier. Ce fichage baptisé « SI Vaccin Covid » servira à assurer « la mise en œuvre, le suivi et le pilotage des campagnes vaccinales contre la Covid-19 », énumère un décret publié au journal officiel. Il contiendra les noms, prénoms et dates de naissance des personnes vaccinées mais aussi la date et le lieu de la vaccination, le modèle de vaccin utilisé et l’identité du soignant qui a réalisé l’injection.

Ce système de fichage a reçu l’accord de la Commission nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL), a indiqué son directeur de la conformité, Thomas Dautieu, à Franceinfo. Il a notamment déclaré que « la CNIL s’est attachée à bien vérifier les finalités », « que les données utilisées correspondent bien à la vaccination de la population et ensuite aux modalités d’information des personnes » et « qu’il y a notamment le droit, pour les personnes qui ne souhaiteront pas se faire vacciner, de pouvoir demander à être effacées du fichier ».

Ce fichier est essentiel pour suivre de près la campagne de vaccination et notamment « donner la possibilité aux patients et aux soignants d’alerter si on constate des effets secondaires inattendus », a souligné le docteur Alain Fischer, le « Monsieur vaccin » du gouvernement en a assurant que ce registre ne remettait « pas en cause le secret médical ».

La CNIL a annoncé qu’elle mettrait en place des contrôles afin de « vérifier que les données ne sont pas utilisées à faire autre chose », comme par exemple restreindre les activités des personnes ne pouvant pas prouver qu’elles sont vaccinées, ce qui serait « illégal », rappelle Thomas Dautieu.

source : http://www.observateurcontinental.fr

Un certificat de vaccination électronique sera à la disposition des Belges

On le sait, certains pays ou certaines compagnies aériennes exigent une preuve de vaccination contre le covid-19. Un document que pourront se procurer les Belges vaccinés.

Son petit nom sera ‘Vaccin-net+’, explique la porte-parole du commissariat corona du gouvernement fédéral, dans La Dernière Heure. Et il sera accessible via votre dossier sur masanté.be. Il vous faudra vous connecter via l’application très pratique Itsme.

Il s’agira d’une petite carte digitale, où seront stockées vos données relatives aux vaccins de manière générale. Un attestation spéciale pourra être imprimée concernant le vaccin contre le Covid-19. C’est aussi un moyen d’avoir une aperçu rapide et direct de votre situation vaccinale.

Ce système existait déjà en Flandre pour les autres vaccins. Il sera élargi à Bruxelles et à la Wallonie.

Inquiétudes

Plusieurs inquiétudes entourent cette attestation. Sera-t-elle obligatoire pour accéder à certains lieux publics ou événements? La porte-parole affirme qu’elle ne sera pas réclamée en Belgique, en tout cas pas ‘à ce stade’.

Pour les grands voyageurs, on sait que certains pays en dehors de l’Union européenne et certaines compagnies aériennes peuvent exiger cette certification. L’OMS pousse elle-même à ce qu’un certificat de vaccination électronique et identifiable par tous soit mis en place.

L’autre grande inquiétude est relative à la protection des données. À ce sujet, la Belgique prévoit de lister les personnes vaccinées au sein d’un fichier avec nom, prénom, sexe, âge, date et lieu de naissance. Là encore, l’objectif n’a pas encore été vraiment précisé. Un flou épinglé par l’Autorité de protection des données.

En Belgique aussi, les personnes vaccinées seront listées

Source : https://fr.businessam.be/un-certificat-de-vaccination-sera-a-la-disposition-des-belges/

Singapore Airlines lance officiellement le passeport COVID avant son “déploiement mondial”

“L’expérience acquise aide à préparer l’éventuel déploiement mondial du Travel Pass”.
Singapore Airlines est le premier transporteur à lancer officiellement un passeport COVID, qui affichera le statut de vaccination et les résultats des tests de dépistage du COVID des passagers.

La compagnie aérienne a annoncé que son “processus de vérification numérique de la santé” est le premier au monde à s’inspirer du cadre de l’Association internationale du transport aérien (IATA) pour le Travel Pass (des laissez-passer pour pouvoir voyager).

La compagnie aérienne a déclaré qu’elle avait pris la décision de commencer à tester le processus car elle s’attend à ce que ces “cartes d’immunité” deviennent la norme pour tous les voyages aériens dans le monde.

La compagnie a déclaré que les tests de dépistage du COVID et les vaccinations feront certainement “partie intégrante” des voyages aériens dans un avenir prévisible et que les certificats sont le moyen le plus efficace de “valider les titres de santé d’un passager”.

La compagnie a déclaré que le passeport santé offrira une “expérience plus fluide” aux clients et fera partie de “la nouvelle normalité”.

La compagnie aérienne a indiqué que tous les passagers voyageant de Jakarta ou de Kuala Lumpur vers Singapour seront obligés de passer des tests de dépistage du COVID dans des cliniques spécifiques de ces villes.

Selon le communiqué de presse de la compagnie aérienne, les passagers recevront un “certificat de santé” numérique ou papier avec un code QR, qui sera utilisé dans le cadre de l’enregistrement et du contrôle de l’immigration.

“Ensemble, nous démontrerons que les gens peuvent retourner dans leur pays en ayant la certitude qu’ils remplissent toutes les conditions d’entrée imposées par le gouvernement concernant le Covid-19”, a commenté Nick Careen, vice-président principal de l’IATA pour la sécurité des aéroports, des passagers et du fret.

“Cela permettra de s’assurer que les clients de la SIA seront parmi les premiers à en bénéficier lorsque les gouvernements rouvriront leurs frontières avec des exigences de tests ou de vaccination. Et l’expérience acquise grâce à cette collaboration aide à préparer le déploiement mondial éventuel du Travel Pass de l’IATA”, a ajouté M. Careen.

Comme nous l’avons indiqué le mois dernier, l’IATA, le plus grand groupe de pression du transport aérien au monde, s’attend à ce que son application sur le COVID soit entièrement déployée au cours des premiers mois de 2021.

Des dizaines de dirigeants de compagnies aériennes et de représentants de l’industrie du voyage ont indiqué que la preuve de vaccination, par le biais des “passeports COVID”, deviendra obligatoire pour pouvoir prendre l’avion.

Un autre système de type “passeport COVID”, le CommonPass, parrainé par le Forum économique mondial, est également en cours d’élaboration.

Une autre application de type “passeport COVID”, appelée AOKpass, de la société de sécurité des voyages International SOS, est actuellement en cours d’essai entre Abu Dhabi et le Pakistan.

Des centaines d’entreprises technologiques se démènent pour mettre au point des systèmes de passeport COVID.

“L’expérience acquise dans le cadre de cette collaboration aide à préparer le déploiement mondial éventuel du passeport de voyage d’IATA.”

Source : https://www.nouvelordremondial.cc/2020/12/26/singapore-airlines-lance-officiellement-le-passeport-covid-avant-son-deploiement-mondial/

Passeport sanitaire et vaccination obligatoire : Projet de loi nº 3714

« 6° Le Premier ministre peut, le cas échéant dans le cadre des mesures prévues aux 1° à 5°, subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif. Le décret mentionné au deuxième alinéa du présent article précise l’étendue de cette obligation ainsi que ses modalités d’application s’agissant notamment des catégories de personnes concernées. »

Que dit le projet de loi déposé par le premier ministre Jean Castex le 21 décembre (en procédure accélérée) et « instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires » ?    Le texte qui soulève d’ores et déjà une levée de boucliers a tout d’abord vocation à créer un nouveau régime dans le Code de la santé publique, l’état de crise sanitaire. Il viendrait compléter (avant ou après) l’état d’urgence sanitaire. Ce dernier est, rappelons-le, en vigueur jusqu’au 16 février 2021.   Première constatation, l’état de crise sanitaire tel qu’il est exposé dans les motifs du projet de loi se passe de tout accord du parlement, à l’inverse de l’état d’urgence dont la prorogation exige un vote. Que les députés et sénateurs se rassurent, ils auront droit à une « information » si cet état de crise sanitaire se prolonge après six mois.

A noter que le passage d’un régime à l’autre est simplifié.      Qu’est-ce que l’état de crise sanitaire ?    Selon ce projet de loi, le premier ministre et le ministre de la Santé auront les coudées franches, dans des domaines tels que les réquisitions de personnes, biens et services, le contrôle des prix et les mesures visant à prévenir la propagation d’une infection.    Cela inclut « le placement et le maintien en isolement » des personnes contaminées ou « susceptibles d’être affectées ou contaminées ».   En somme, l’état de crise sanitaire reprend peu ou prou les mesures de l’actuel état d’urgence sanitaire.    Va-t-on vers une vaccination forcée ?    Les modalités de passage en état d’urgence sanitaire (par décret) et de prorogation après un mois (par le vote d’une loi) ne changent pas.    Mais c’est ici, que l’on trouve un article qui peut faire bondir, sur le sujet brûlant de la vaccination. Promis juré nous a-t-on dit, elle ne sera pas obligatoire. Or il est ici écrit noir sur blanc que le premier ministre peut « subordonner (…) les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transport ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités (…) à l’administration d’un vaccin ou d’un traitement curatif ».

A croire que l’on s’achemine tout droit vers un « passeport vert », tel qu’il avait été défendu dans l’hémicycle par une députée proche de la majorité, et vers une société des vaccinés vs les non vaccinés.   L’instauration de l’isolement obligatoire   Dans la partie consacrée aux « dispositions communes » aux deux régimes, on trouve une autre mesure pouvant susciter l’inquiétude. Les préfets peuvent décider du placement et du maintien en isolement de personnes et la dite décision revêt un caractère obligatoire. Les citoyens concernés auront – rassurons-nous – des voies de recours dont… la saisine du juge des libertés et de la détention !

A noter encore que la « durée initiale » de l’isolement « ne peut excéder 14 jours » (et non plus 7 comme actuellement).   La levée du secret médical ?    Une autre section du projet de loi porte sur un système d’identification des victimes, le contact tracing et donc l’exploitation des données personnelles. Avec un article qui soulève là encore des interrogations, puisqu’il est question de recueillir des données de santé sans le consentement des personnes concernées. 

Et ce dans le cadre du futur état de crise sanitaire, instauré donc par simple décret.    Pour aller plus loin :

Source : https://www.francesoir.fr/politique-france/etat-de-crise-sanitaire-de-lexception-la-regle-un-projet-de-loi-bien-inquietant

Passeports Covid : L’Irlande envisage d’accorder des libertés supplémentaires aux détenteurs de certificats de vaccination

Malgré la controverse dans d’autres pays sur la possibilité de créer une société à deux vitesses où ceux qui ont des papiers de vaccination ont plus de libertés que ceux qui n’en ont pas, l’Irlande envisage de créer des passeports pour le coronavirus, permettant à leurs détenteurs d’échapper au confinement.

Les citoyens irlandais devront peut-être présenter des documents prouvant qu’ils ont été vaccinés contre le coronavirus pour pouvoir sortir, participer à des activités sociales et entrer dans des lieux de rencontre à l’avenir, a déclaré le ministre de la santé du pays, Stephen Donnelly.

M. Donnelly a comparé les passeports corona aux plans envisagés par l’industrie aérienne, où une preuve de vaccination pourrait être exigée pour monter à bord d’un avion.

La décision d’aller de l’avant avec ce projet dépendrait de l’évaluation de l’efficacité réelle des vaccinations et de la capacité du vaccin à réduire la transmission du coronavirus dans la communauté. Le gouvernement irlandais a déclaré que “rien n’était exclu” en termes de passeports de vaccin à ce stade.

Le ministre a déclaré mercredi : “Le certificat de vaccination fait partie du plan de mise en œuvre et ce que nous devons voir, c’est exactement quel sera l’impact de ces vaccins… Nous pourrons alors porter un jugement éclairé”, rapporte l’Irish Times.

La discussion sur la restriction de la liberté de ceux qui se font faire une injection a eu lieu alors que l’Irlande envisageait la possibilité que l’organisme de réglementation de la santé de l’Union européenne approuve le vaccin de Pfizer. Contrairement au Royaume-Uni, qui a utilisé ses propres protocoles de sécurité médicale pour approuver l’injection il y a quinze jours, l’Irlande s’est appuyée sur le système européen centralisé pour tester l’innocuité du vaccin.

Au Royaume-Uni – le voisin proche de l’Irlande dans les îles britanniques – le gouvernement a fait la une à plusieurs reprises sur la question de savoir si le prix à payer pour que les personnes regagnent la liberté perdue au cours de l’année 2020 est de se faire vacciner, puis de porter les papiers pour le prouver.

Le ministre britannique de la vaccination, Nadim Zahawi, a déclaré au début du mois que, bien que le gouvernement n’ait pas l’intention de rendre la vaccination obligatoire, il prévoit toujours une situation où des entreprises et des lieux privés utiliseraient les outils que le gouvernement mettrait à leur disposition pour vérifier si les clients potentiels ont reçu l’injection ou non.

Zahawi a cité “les restaurants, les bars et les cinémas… les salles de sport” comme exemples d’endroits qui pourraient vouloir faire de la discrimination basée sur le statut de vaccination.

Claire Fox, ancienne députée européenne du Brexit Party, a répondu aux remarques de M. Zahawi, en faisant remarquer qu’empêcher toute personne qui n’a pas encore été vaccinée de mener une vie normale revenait à la rendre obligatoire. La baronne Fox a déclaré : Lorsque Boris nous a assuré que personne ne serait obligé de se faire vacciner, il a oublié d’ajouter : “mais si vous ne le faites pas, vous serez effectivement empêché de faire partie de la sphère publique, jamais”. La honte publique suivante ? Je veux être un défenseur enthousiaste des vaccins. Cette COERCION n’aide en rien”.

Source: Breitbart, le 18 décembre 2020Traduction par Aube Digitale

Covid-19 en France : L’État a menti en gonflant les chiffres de téléchargements de l’appli TousAntiCovid

L’État se réjouit que plus de 10 millions de Français aient téléchargé l’appli. Ce chiffre est faux. Seuls 6,5 millions l’ont en réalité téléchargée. Une enquête menée par le média La Tribune et intégralement lue par Lecourrier-du-soir.com est arrivée à la conclusion que le gouvernement français ment sur les chiffres d’utilisateurs de l’application TousAntiCovid.

Après la mise à mort de StopCovid, première application créée par l’Etat français dans sa lutte contre le Covid-19 et qui avait connu un échec lamentable, la nouvelle application TousAntiCovid dont Emmanuel Macron a personnellement fait l’éloge risque de connaître le même sort. Car, d’après une enquête exclusive menée par le journal La Tribune, les chiffres présentés par le gouvernement sont loin de correspondre à la réalité. Autrement dit, ils sont faux.

En effet, le gouvernement s’est récemment targué que le nombre de téléchargements de l’application ait dépassé la barre des 10,6 millions. Ce chiffre, d’après La Tribune, est trompeur. Et le média s’explique. “Contrairement à la confusion entretenue par le gouvernement, il ne s’agit pas du nombre de personnes qui disposent de l’application à ce jour. Et encore moins du nombre d’utilisateurs actifs, c’est-à-dire les personnes qui utilisent vraiment l’application sur une base quotidienne, ce qui est indispensable pour qu’elle soit efficace. Ce chiffre indique simplement le cumul des téléchargements suivis d’une activation depuis le 2 juin.Il ne tient pas compte du nombre de désinstallations”, renseigne La Tribune.

Et d’ajouter : “or, une véritable transparence nécessiterait d’indiquer le nombre réel d’utilisateurs, donc de soustraire les désinstallations. Il faudrait aussi indiquer le nombre d’utilisateurs actifs, car il arrive fréquemment de télécharger une application mais de ne plus l’utiliser au bout de quelques temps…”

“Seuls 6,5 millions de Français utilisent l’application au lieu de 10,6 millions”

Sur le nombre de désinstallations que le gouvernement tente de dissimuler au public, le constat du média est alarmant. “Le chiffre des désinstallations n’est plus communiqué par le gouvernement depuis le lancement de Tous Anti-Covid, fin octobre. Et pour cause : il était élevé. Le 23 juin, lors d’un point d’étape sur StopCovid après son lancement, le secrétaire d’Etat au Numérique, Cédric O, avait dévoilé 1,8 millions de téléchargements mais déjà 460.000 désinstallations, soit 25,5% en seulement trois semaines. Fin octobre, le nombre de désinstallations avait grimpé à 1 million, pour 2,6 millions de téléchargements. Autrement dit, 38,5% des personnes qui avaient téléchargé StopCovid depuis juin avaient désinstallé l’application en octobre”.

Et La Tribune de poursuivre : “si cette proportion est au même niveau actuellement, sur 10,6 millions de téléchargements, il faudrait retrancher 4,1 millions de désinstallations pour obtenir le nombre d’utilisateurs, qui s’élèverait donc à 6,5 millions de Français… soit un peu moins d’un Français sur 10”.

“Les données scientifiques de l’application gardées secrètes par l’Etat”

La révélation est donc explosive mais le plus grave dans cette histoire est que, d’après La Tribune, l’Etat refuse catégoriquement de fournir les données scientifiques pouvant prouver l’utilité de l’application TousAntiCovid. Pire, le média accuse le gouvernement d’avoir modifié secrètement les critères de fonctionnement de l’application.

Sur ce, le média dira : “le 28 novembre, le gouvernement a publié en toute discrétion au Journal Officiel une modification des critères de détection d’un contact potentiellement à risque. Jusqu’à présent, l’appli gardait une trace des contacts uniquement si la personne se tient à moins d’un mètre d’une autre personne équipée de l’application pendant quinze minutes. Désormais, il suffira d’être à une distance inférieure ou égale à un mètre pendant cinq minutes, ou entre un et deux mètres pendant quinze minutes”.

Pour lire l’article dans sa version originale (payante), cliquez ici : La Tribune

Source Le Courrier du Soir

StopCovid : 6,5 millions d’euros pour une app à l’inutilité sanitaire « manifeste »

Le rapport de la mission d’information sur l’impact, la gestion et les conséquences de la COVID-19 n’est pas tendre avec les autorités sanitaires chargées de mener la lutte contre la pandémie en France. Les enseignements du document de 200 pages, fruit de six mois de travaux et de 130 heures d’auditions, ont été présentés ce mercredi par Eric Ciotti, député Les Républicains et rapporteur de la mission1.

La mission a relevé beaucoup de points noirs dans la gestion de l’épidémie : des stocks stratégiques de masques trop bas au début de l’année, du retard dans la prise de décision (un confinement qui intervient 24 jours après celui de l’Italie), la défaillance de la mise à disposition des tests,… « De manière générale, tout au long des premières semaines de la crise sanitaire, les Français ont assisté à une succession précipitée de décisions prises au pied du mur, alors qu’elles étaient indispensables », soulève le rapport.

Le rapport complet est lisible à cette adresse. Pour ce qui nous intéresse plus directement, la mission revient sur l’application StopCovid (devenue TousAntiCovid), qui n’a pas rempli le rôle de soutien au dispositif de traçage : « il n’a pu compter sur les bénéfices escomptés de l’application StopCovid dont l’inutilité sanitaire aura été manifeste ».

Le rapport fait d’ailleurs un joli croc-en-jambe à Cédric O, le secrétaire d’État chargé du numérique qui, au mois de mai, annonçait que le développement de l’application ne coûte que « quelques milliers d’euros par mois » (en juin, Cédric O évoquait « quelques centaines de milliers d’euros »).

La mission a fait les comptes et en réalité, le coût total estimé de StopCovid sur ses cinq mois d’existence (de juin à octobre, ensuite c’est TousAntiCovid qui a pris la main) revient à 6,5 millions d’euros. Certes, l’app a été développée gracieusement par un consortium public/privé, mais il y a quand même des coûts d’exploitation, de licences, de support, d’hébergement, la campagne de communication…

TousAntiCovid constitue « une amélioration très sensible en termes d’ergonomie et de fonctionnalités qui se traduit par des téléchargements en nombre bien supérieur » : 10 millions de téléchargements pour 13 106 notifications. Le rapport, assassin, observe tout de même que l’homologue allemand, Corona-Warn app, a atteint 22 millions de téléchargements à la même date :

Si l’utilisation qui est faite en Asie des outils numériques reste difficilement transposable dans notre pays, l’adhésion de la population allemande à l’application Corona-Warn-App montre qu’une stratégie numérique offensive peut être esquissée en Europe tout en préservant les droits et libertés fondamentaux, incluant le respect de la vie privée et la protection des données personnelles.

Le volume de téléchargements de TousAntiCovid devrait gonfler grâce à une communication plus agressive du gouvernement ; quant aux notifications, elles devraient elles aussi grimper en raison des changements récents apportés dans les critères de détection d’un contact.


  1. Les membres LREM se sont abstenus de voter le document : Julien Borowczyk, le président de la mission d’information, a estimé qu’il s’agissait d’un rapport « partial et partiel » qui ne reflète « absolument pas » la qualité des auditions et des débats.  ↩︎

Source : https://www.igen.fr/app-store/2020/12/stopcovid-65-millions-deuros-pour-une-app-linutilite-sanitaire-manifeste-119321

L’assemblée nationale va débattre des «dépistage systématique de la COVID19» – «carte vitale biométrique» – «revenu universel» et l’«accès universel au vaccin covid19»

Pour ceux qui pensent au «grand reset» : L’Assemblée Nationale va débattre en novembre et décembre des sujets qui ne peuvent être tenus hors du regards des français :

  • «Le revenu universel appelé socle citoyen»
  • «La stratégie de dépistage systématique de la covid-19»
  • «La carte vitale biométrique»
  • «L’accès universel, rapide et équitable vaccin contre le covid-19»

Voir l’ordre du jour de l’Assemblée Nationale pour fin novembre début décembre

Est-ce qu’il y aura encore presque 400 députés absents lors de ces débats cruciaux comme lors du vote de prolongation de l’état d’urgence ?

La prorogation de l’état d’urgence sanitaire a été adoptée au parlement le 7 novembre, elle prévoit la prolongation dudit état d’urgence jusqu’au 16 février 2021, et l’instauration d’un «régime transitoire» jusqu’au 1er avril. Exactement 154 députés ont voté pour, et 38 contre. 385 députés étaient tout simplement absents.

Pour rappel, c’est cet état d’urgence et lui seul qui permet au gouvernement Castex/Véran d’imposer la saison 2 du confinement, c’est aussi cet état d’urgence qui permet d’imposer les multiples interdictions, les auto-attestations et autres délicatesses. Sans état d’urgence, pas de confinement.

On rappellera également que selon le site de l’assemblée lui-même : «l’indemnité parlementaire de base est de : 5 623,23 €, l’indemnité de résidence : 168,70 € et l’indemnité de fonction : 1 447,98 €, soit un total de 7 239.91 €.»

Vous en avez assez des mesures absurdes et liberticides ? Assez de l’état d’urgence et des mensonges ? Ecrivez à votre député. Le site de l’assemblée nationale donne l’adresse mail de chacun d’entre eux via un moteur de recherche par commune ou par département.

Cliquez sur le nom du député et vous aurez son adresse email.

En attendant, voici la liste des parlementaires qui ont voté contre la prorogation de l’état d’urgence, suivie de celle des parlementaires qui ont voté pour. Pour la liste des absents, il faudra procéder par élimination.

Ajouts : La France adopte discrètement la reconnaissance faciale :

La France adopte le système de reconnaissance faciale «Alicem», après avoir débouté les adversaires de cette technologie.

Discrètement, la France s’est dotée le 4 novembre d’un système de reconnaissance faciale, Alicem, après le rejet par le Conseil d’Etat d’un recours déposé par l’association de défense des libertés «La Quadrature du Net». Alicem est application pour smartphones, conçue par l’Etat, utilisant la reconnaissance faciale à l’inscription. Ce procédé doit permettre aux internautes de s’identifier avec fiabilité dans leurs démarches en ligne.

Vers une société façon Orwell ?

Cette décision importante engage la République française vers une technologie qui scanne l’identité faciale des individus et offre de grandes possibilités en matière de traçage de leurs faits et gestes. Les défenseurs de ce technologie estiment qu’il est possible de mettre en place des garde-fous légaux et organisationnels pour éviter toute dérive vers une société rappelant les prophéties de Georges Orwell. La mise en service d’Alicem doit intervenir avant la fin de l’année.

Source :

– http://www.assemblee-nationale.fr/agendas/conference.pdf?refresh=true

– https://www.lesnumeriques.com/vie-du-net/alicem-pourquoi-le-systeme-de-reconnaissance-faciale-de-l-etat-suscite-la-controverse-a142589.html

– https://www.la-clau.net/info/14090/la-france-adopte-discretement-la-reconnaissance-faciale

https://www.lesechos.fr/economie-france/social/covid-une-campagne-de-vaccination-massive-en-preparation-en-france-1265100 – Source : ExoPortail  Source : ZE Journal

Voir agendas du site Assemblée Nationale

Les Nations unies annoncent la création d’un portefeuille d’identité numérique biométrique

Récemment, les Nations unies ont fait de grandes annonces qui sont passées largement inaperçues, notamment le lancement d’un portefeuille numérique biométrique et l’annonce qu’une de ses agences spécialisées, l’Organisation de l’aviation civile internationale, se rapproche d’un titre de voyage numérique reconnu au niveau international.

Comme l’indique Biometric Update, ce portefeuille numérique biométrique particulier des Nations unies est destiné aux employés de l’ONU et peut être utilisé pour des données relatives aux ressources humaines, au statut médical, aux voyages, aux salaires et aux pensions.

J’espère que vous voyez où cela nous mène, chaque aspect de notre vie sera centralisé numériquement en utilisant la biométrie et dans de nombreux cas la chaîne de blocage, l’IA et le 5G.

Je ne peux m’empêcher de soulever la question suivante : quel genre de contrôle social les technocrates pourraient-ils exercer si les gens décident de ne pas respecter certaines restrictions ou exigences ?

Par exemple : Si vous n’avez pas eu votre dernière chance, des personnes peuvent être confrontées à des restrictions de voyage. Ou encore, vous pourriez ne pas pouvoir aller travailler, ou vos paiements pourraient être gelés jusqu’à ce que vous vous conformiez à ces restrictions.

Ils n’auront peut-être rien à exiger s’ils peuvent vous “encourager” à obéir…

Source: Activist Post, le 19 novembre 2020Traduction par Aube Digitale

ajax-loader