Category: Passeport immunitaire

Manifestations dans toute la France contre le Pass Sanitaire

Manifestations dans toute la France ce mercredi 14 juillet.

Plusieurs milliers de manifestants ont défilé partout en France pour dire non au pass sanitaire ce mercredi 14 juillet. De fortes tensions ont eu lieu à Paris, où l’un des cortèges a été rapidement dispersé, mais aussi à Lyon ou à Annecy.

Paris

Et partout ailleurs en France

Manifestation importante prévue à Paris ce week-end.

Le projet de loi de Floride interdisant les passeports vaccinaux autorise les vaccinations de force

Le projet de loi 2006 du Sénat de Floride, adopté par l’assemblée législative de Floride et signé par le gouverneur Ron DeSantis le 3 mai de cette année, a interdit le passeport vaccinal dans tout l’État, dans un triomphe très remarqué du gouvernement de l’État.

Selon un communiqué de presse du bureau du gouverneur, DeSantis aurait déclaré le jour de la signature de la loi à St. Petersburg : “En Floride, votre choix personnel concernant les vaccinations sera protégé et aucune entreprise ou entité gouvernementale ne pourra vous refuser des services en fonction de votre décision.”

Mais est-ce vraiment le cas ? Qualifier la présentation du projet de loi vanté par le législateur et le gouverneur comme une interdiction du passeport vaccinal (et les commentaires ultérieurs omniprésents des médias acceptant universellement comme vraie cette supposée réalité, élevant et légitimant ainsi l’affirmation) de simplement trompeuse serait presque aussi trompeur que le projet de loi lui-même : la législation représente un appât et un changement de cap sur la population conservatrice fiable, combiné à une tromperie incessante et généralisée masquant l’utilisation réelle du projet de loi.

Le SB 2006, selon sa propre formulation, prévoit que l’État “peut utiliser tous les moyens nécessaires pour vacciner ou traiter” les résidents de Floride porteurs du coronavirus contre leur gré. La faille, dont la portée est manifestement très large, est bien cachée par les législateurs, puisqu’elle apparaît tout au bas du document de 10 000 mots, à la ligne 1111.

Une longue citation du site officiel “.gov” du Sénat de Floride est nécessaire pour justifier pleinement la clause secrète d’injection obligatoire de vaccins insérée dans la législation. Plus précisément, l’amendement du projet de loi à la section 315 du chapitre 381 de la loi sur la santé publique de Floride, titre XXIX, se lit en partie comme suit :

Le responsable de la santé publique, après avoir déclaré une urgence de santé publique, peut prendre les mesures nécessaires pour protéger la santé publique. Ces mesures comprennent, sans s’y limiter, les suivantes :

4. Ordonner qu’un individu soit examiné, testé, vacciné, traité, isolé ou mis en quarantaine pour des maladies transmissibles qui ont une morbidité ou une mortalité significative et présentent un grave danger pour la santé publique. Les personnes qui ne peuvent ou ne veulent pas être examinées, testées, vaccinées ou traitées pour des raisons de santé, de religion ou de conscience peuvent être soumises à l’isolement ou à la quarantaine.

a. L’examen, le test, la vaccination ou le traitement peuvent être effectués par toute personne qualifiée autorisée par le responsable de la santé publique.

b. Si l’individu présente un danger pour la santé publique, le State Health Officer peut le soumettre à l’isolement ou à la quarantaine. S’il n’existe aucune méthode pratique pour isoler ou mettre en quarantaine l’individu, le State Health Officer peut utiliser tous les moyens nécessaires pour vacciner ou traiter l’individu.

Après examen du libellé du document, il apparaît que non seulement la législature de Floride et le gouverneur DeSantis confèrent au chirurgien général de Floride (appelé “le responsable de la santé de l’État”) Scott Rivkees la capacité absolue et incontestable d’injecter un vaccin contre le coronavirus aux résidents de Floride qui résistent, mais qu’ils confèrent également à Rivkees le pouvoir total et unique d’isoler en isolement tout individu à volonté, même ceux qui sont physiquement incapables de supporter un tel traitement et ceux qui ont des objections religieuses à cette procédure parfois mortelle.

L’opération de quarantaine est définie dans le projet de loi comme : “la séparation d’un individu dont on a des raisons de penser qu’il est infecté par une maladie transmissible des individus qui ne le sont pas, afin de prévenir la propagation éventuelle de la maladie.”

Lorsque le chef d’un organisme médical à but non lucratif de Floride du nom de R. Shawn McBride a soulevé des préoccupations concernant la tromperie choquante et monumentale perpétrée par tous les aspects du gouvernement de Floride et les médias nationaux sur le peuple américain, le Tallahassee Democrat, un journal local, a rapporté que le bureau du gouverneur DeSantis a donné la réponse lâche : “M. McBride a le droit d’exprimer ses opinions juridiques à qui bon lui semble”.

Il devient douloureusement évident que la clause d’injection enterrée éliminant le droit supposé des Floridiens de décider si et quand ils doivent se faire vacciner contre le coronavirus est essentielle pour ceux qui élaborent la législation, car un projet de loi de la Chambre des représentants de Floride qui modifie effectivement le SB 2006 est passé à la trappe en commission trois jours seulement avant que la législation historique ne soit promulguée par DeSantis.

Le projet de loi 6003 de la Chambre des représentants, déposé par le représentant Anthony Sabatini, “retire expressément au responsable de la santé de l’État le pouvoir d’ordonner des vaccinations en cas de déclaration d’urgence de santé publique”, mais il a rapidement été rejeté par le comité chargé des pandémies et des urgences publiques et n’a jamais été voté.

Déposé à l’origine en novembre dernier au plus fort des spéculations sur le passeport coronavirus, l’impopulaire HB 6003, qui a ensuite été supprimé, visait à modifier la formulation de longue date de la section 315 pour se conformer à la promesse de M. DeSantis selon laquelle l’État n’exigera pas de vaccinations obligatoires, supprimant ainsi son autorité légale explicite.

Lors de l’épidémie de SRAS en 2002, la loi a été modifiée pour permettre la vaccination massive et forcée de la population de Floride à la seule discrétion de l’État, une disposition qui a perduré jusqu’à aujourd’hui. En 2001, la section 315 ne contenait que des lignes directrices générales définissant les modalités de notification et de consultation entre l’État et les autorités locales dans le contexte des urgences de santé publique.Une entreprise coordonnée impliquant les membres du gouvernement de Floride – de la Chambre au Sénat en passant par la maison du gouverneur – et les médias nationaux est ainsi mise en évidence par le discours grandiloquent et la mauvaise interprétation des personnes chargées d’élaborer et d’adopter le projet de loi et par l’abdication totale de la responsabilité journalistique de base de la part des personnes chargées de rendre compte de la législation, ce qui donne lieu à ce qui ressemble davantage à une vaste opération de dissimulation exécutée par les éléments les plus puissants de la société qu’à une simple ignorance de la part des personnes intimement impliquées.

Source : https://redpilled.ca/column-florida-bill-banning-vaccine-passports-contains-hidden-clause-allowing-for-mass-forced-vaccinations-mandatory-solitary-confinement-quarantine-of-residents-with-covid-19/

Voici les données que comprendra votre “Certificat de Vaccination”

Présenté comme un “Réseau de cybersanté européen”, le réseau eHealth est mis en place en vertu de l’article 14 de la directive 2011/24 / UE. Il vise à obtenir les preuves de vaccination, selon lequel “les États membres ou d’autres parties peuvent décider de les mettre en œuvre ou de les utiliser.”  Les directives ciblent principalement la vaccination COVID-19, mais pourra être utilisée à l’avenir comme base pour affirmer d’autres vaccinations. Le terme “certificat de vaccination” fait référence à une preuve de vaccination fiable et vérifiable qui peut être présentée par son titulaire sur demande des autorités.

Le projet de “Certificat de Vaccination” est piloté par le Comité de la sécurité sanitaire, l’EMA (Agence Européenne des médicaments), l’ECDC (Centre européen de prévention et de contrôle des maladies) et l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).

Le Conseil européen s’est réuni à plusieurs reprises entre début décembre 2020 et fin février 2021. L’objectif était d’approuver rapidement “un Certificat de Santé Européen” appelé “Pass Sanitaire” par Emmanuel Macron.


Le “Certificat de Vaccination” se présentera sous format numérique et non numérique (Carte-Jaune ou autre papier). Chaque États membres pourront l’utiliser à des fins médicales, mais pourraient envisager son utilisation à “d’autres utilisations” comme on peut le lire dans le rapport de conclusions

Le certificat de vaccination sera délivré pour confirmer qu’une personne a été vaccinée; il pourra être émis à tout moment; et sa validité pourra différer de celle attendue selon la période de vaccination et fera état de cycles de vaccination : “terminé ou partiel”, qui peut couvrir une ou plusieurs doses.

Un identifiant unique de certificat de vaccination (UVCI) infalsifiable

Le certificat de vaccination devra être présenté au moins en anglais pour permettre le partage d’un ensemble de données à dimension transfrontalière en matière de vaccination.

Stocké sur une base de données partagées, Certains champs pourront ou non être montrés au destinataire du certificat. À moyen et à plus long terme, toutes les informations sur la vaccination devront être partagées via MyHealth. Cependant, les “Certificats de Vaccination” seront aussi utilisés en dehors de l’UE.

Effectivement, l’ECDC (Centre européen de prévention et de contrôle des maladies) et le NITAG (National Immunization Technical AdvisoryGroup) collaborent ensemble dans le cadre d’un plan d’action mondial pour les vaccins.

Le Certificat de vaccination, comprendra un UVCI (Identifiant Unique de Certificat de Vaccination). Cet UVCI devra être inclus dans toute publication originale qui renseignera le Certificat de Vaccination.

L’UVCI pourra être utilisé, à des étapes ultérieures, pour vérifier le certificat et également comme clé de liaison vers des informations complémentaires sur la vaccination, une fois les modalités et les plateformes développé et déployé. L‘UVCI est un moyen de contrôler la véracité du certificat et, si nécessaire, le lien vers un système d’enregistrement (par exemple, le réseau eHealth). Ces identifiants permettront également des affirmations (papier et numérique) par les États membres, que les individus ont été vaccinés ou pas et permettre ainsi aux autorités sanitaires des États membres, de vérifier le statut vaccinal de l’individu.

Pour éviter la falsification de certificats ou la réutilisation de certificats valides émis pour d’autres personnes, des codes QR seront utilisés.

Le Certificat de Vaccination comprendra l’identité du professionnel de santé qui a procédé à l’injection, la date de la prochaine vaccination, le nom de l’émetteur de la base de donnée, l’UVCI, la validité de période de vaccination…

Source : https://sentinellecitoyenne.fr/actualites/officiel-voici-les-donnees-que-comprendra-votre-certificat-de-vaccination/

Les Israéliens doivent désormais présenter leur “certificat de vaccination” avant de faire leurs courses

Alors que la campagne vaccinale commence à faire ses effets, les Israéliens s’apprêtent à un retour à la normalité ce dimanche avec la réouverture des magasins, des salles de sports et des événements culturels qui constitue une phase prépondérante du déconfinement. Mais attention : pour certaines activités jugées non essentielles ils devront montrer patte blanche, ou plutôt verte. 

« Tav yarok », la vignette verte, c’est en fait un code barre sophistiqué et, paraît-il, infalsifiable que l’on peut désormais télécharger sur le site du ministère israélien de la Santé. À l’aide d’un simple numéro d’identité et à condition d’avoir reçu depuis au moins une semaine la double dose du vaccin ou alors d’être détenteur d’un certificat de guérison du Covid-19, on peut obtenir ce document par courriel ou directement sur un téléphone portable.

Un passe-partout virtuel qui devrait ouvrir à partir de ce dimanche les portes des activités sportives et culturelles et des centres commerciaux. Et plus tard aussi celles des restaurants, des cafés et des salles de fêtes.

Yuli Edelstein, le ministre israélien de la Santé est très explicite : la vaccination, proclame-t-il, est un devoir moral. Ceux qui la refusent resteront en arrière. Une politique donc de bâton et de carotte.

La campagne vaccinale se poursuit en Israël. Après une période de ralentissement, elle repart de plus belle en raison, selon les experts, précisément grâce à l’entrée en vigueur de la vignette verte.

Un petit groupe d’Israéliens s’est réuni lundi devant la Knesset pour protester contre la campagne de vaccination accélérée de la majorité de la population contre le COVID-19.

Sources : https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20210220-covid-19-isra%C3%ABl-fait-entrer-en-vigueur-un-passeport-vaccinal
https://gab.com/BeachMilk/posts/105767966484026542
https://www.israeltoday.co.il/read/israelis-protest-against-covid-vaccine-so-called-green-passport/

Demain, un carnet de vaccination sous la peau ?

MONDE DE DEMAIN – Des chercheurs ont développé une technologie qui permet, grâce à un tatouage invisible incrusté sous la peau, de faire apparaître le carnet de santé d’une personne via la caméra d’un smartphone. De quoi fournir aux médecins, notamment dans les pays en voie de développement, la preuve que la personne a été vaccinée.

Le but de ce marquage invisible et indolore est d’établir sur le corps lui-même la preuve du vaccin. − Science Translational Medicine.

Les implants technologiques sous-cutanés, utilisés dans le monde entier pour le bétail et les animaux domestiques, commencent à se répandre chez l’homme, comme en Suède où plusieurs milliers de personnes les utilisent déjà comme clé, ticket de train ou carte bancaire. Dans le domaine de la santé, cette fois, une équipe de scientifiques du Massachusetts Institute of Technology (MIT) a annoncé avoir mis au point un procédé révolutionnaire : au lieu d’implanter une puce électronique entre l’index et le pouce, des nanoparticules sont injectées sous la peau via une seringue spéciale.

Ces nanoparticules ont la particularité d’émettre une lumière fluorescente imperceptible à l’œil nu, mais visible depuis l’écran d’un smartphone. Concrètement, l’idée est d’établir sur le corps lui-même la preuve du vaccin, notamment dans les pays en voie de développement où les cartes de vaccination en papier sont souvent erronées ou incomplètes et où les dossiers médicaux électroniques inexistants. Pour l’instant, la technologie a été testée uniquement sur des rats, mais les chercheurs espèrent les tester sur des humains en Afrique dans les deux prochaines années.

Des nanocristaux à base de cuivre

Les scientifiques ont passé beaucoup de temps à trouver des composants à la fois sûrs pour l’organisme, stables et capables de durer plusieurs années. La recette finale est composée de nanocristaux à base de cuivre, appelées “boîtes quantiques” (en anglais, “quantum dots”), mesurant 3,7 nanomètres de diamètre. Ces nanocristaux sont ensuite encapsulés dans des microparticules de 16 micromètres (1 micromètre égale un millionième de mètre, ndlr), détaillent les chercheurs dans un article paru mercredi 18 décembre dans la revue Science Translational Medicine.

L’implantation, qui se fait grâce à une seringue spéciale dotée d’un patch de microaiguilles de 1,5 millimètre de longueur, est presque indolore. Une fois appliquées sur la peau pendant deux minutes, les microaiguilles se dissolvent et laissent sous la peau les petits points, répartis par exemple en forme de cercle ou bien d’une croix. Ils apparaissent sous l’effet d’une partie du spectre lumineux invisible pour nous, proche de l’infrarouge. Par le biais de la caméra d’un smartphone modifié, pointé sur la peau, apparaissent, fluorescent sur l’écran, le cercle ou la croix. 

Ce symbole apparaît en fluorescence sur l’écran lorsqu’on pointe la caméra du smartphone − K.J. MCHUGH ET AL., SCIENCE TRANSLATIONAL MEDICINE (2019)/AFP – K.J. MCHUGH

Les chercheurs voudraient que l’on puisse injecter le vaccin contre la rougeole en même temps que ces petits points. De ce fait, un médecin pourrait des années plus tard vérifier si la personne a été vaccinée. La technique est censée être plus durable que le marquage par feutre indélébile. Dans le compte-rendu de leurs travaux, les scientifiques indiquent qu’ils ont simulé cinq années d’exposition au Soleil au cours de tests en laboratoire. Autre avantage de ce dispositif, il requiert moins de technologie qu’un scan de l’iris ou que la maintenance de bases de données médicales.

L’obstacle de l’adoption par la population

La limite du concept est que la technique ne sera utile pour identifier les enfants non-vaccinés que si elle devient l’outil exclusif. En outre, les gens accepteront-ils de multiples marquages sous la peau, pour chaque vaccin ? Et qu’adviendra-t-il des points quand le corps des enfants grandira ? 

La Fondation Bill et Melinda Gates, qui finance ce projet, mène actuellement des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour déterminer si les populations seront prêtes à adopter ces microscopiques boîtes quantiques ou préféreront en rester aux vieilles cartes de vaccination.

Source : https://www.lci.fr/sciences/il-devient-fluorescent-lorsqu-on-pointe-un-smartphone-demain-un-carnet-de-vaccination-sous-la-peau-2140786.html

PDG de United Airlines : Les vaccins obligatoires “deviendront la norme pour la plupart des compagnies”.

Les passeports vaccinaux “donnent aux gens une motivation assez forte, parce que c’est comme ça qu’ils peuvent retrouver leur vie”.

Scott Kirby, PDG de United Airlines

Dans un discours prononcé devant des chefs d’entreprise à Chicago, le PDG de United Airlines, Scott Kirby, a déclaré qu’il s’attendait à ce que les entreprises exigent que leurs employés soient vaccinés, et que les gens l’accepteront tout comme ils ont accepté de porter des masques.

S’exprimant devant l’Economic Club de Chicago mardi, M. Kirby a insisté pour que les employés soient obligatoirement vaccinés, déclarant que “cela deviendra simplement ce que l’on attend d’eux et ce que font la plupart des compagnies”.

“Une fois que la balle aura roulé, elle ira jusqu’au fond”, a-t-il déclaré, ajoutant qu'”une deuxième grande vague” d’entreprises rendra les vaccins obligatoires dans un effet boule de neige.

“Je suis suffisamment réaliste, même si je pense que c’est la bonne chose à faire, pour savoir que United Airlines ne peut pas le faire seule et que cela ne peut pas marcher. Il n’est pas nécessaire qu’il y ait une tonne d’autres compagnies, mais il faut qu’il y en ait d’autres”, a insisté M. Kirby.

Kirby a également souligné que les entreprises peuvent exiger que les travailleurs se fassent vacciner en vertu d’une décision de la Commission pour l’égalité des chances dans l’emploi.

Kirby a également déclaré qu’il soutenait l’introduction de passeports pour le vaccin non seulement pour les voyages en avion, mais aussi pour les activités quotidiennes comme assister à des concerts ou aller au cinéma.

“Cela donne aux gens une motivation assez forte, car c’est ainsi qu’ils peuvent retrouver leur vie”, a proclamé M. Kirby, ajoutant : “Nous pensons que c’est une clé pour ouvrir non seulement les frontières internationales et l’aviation, mais aussi l’économie”.

Comme nous l’avons souligné, un grand nombre d’acteurs de l’industrie du voyage et du tourisme ont réclamé des passeports-vaccins, et de nombreux pays ont entrepris de mettre en place ces systèmes.

Les mondialistes, tels que l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair, ont exprimé leur inquiétude face à l’émergence de trop nombreux systèmes disparates et ont appelé à une normalisation à l’échelle mondiale.

Source : https://summit.news/2021/02/03/united-airlines-ceo-mandatory-vaccines-will-become-what-most-companies-do/
Traduction par https://cv19.fr

Le Danemark prévoit un passeport numérique qui permettra aux personnes ayant reçu le vaccin Covid de voyager

Le Danemark prévoit de mettre en place un passeport numérique qui permettra aux personnes ayant reçu le vaccin covid de voyager.

Le ministre des finances, Morten Boedskov, a déclaré aujourd’hui que “dans trois ou quatre mois, un passeport numérique sera prêt à être utilisé, par exemple, pour les voyages d’affaires”.

L’Initiative d’accréditation en matière de vaccination (VCI) vise à aider les personnes à obtenir des copies numériques cryptées de leurs dossiers de vaccination, stockées dans un portefeuille numérique. L’initiative s’appuie sur le CommonPass de la Commons Project Foundation (photo)

Il est absolument crucial pour nous de pouvoir relancer la société danoise afin que les entreprises puissent se remettre sur les rails”, a-t-il déclaré. De nombreuses entreprises danoises sont des entreprises mondiales qui ont le monde entier comme marché.

Une technologie similaire est développée aux États-Unis par de grands noms comme Microsoft et Oracle pour donner aux voyageurs des portefeuilles numériques cryptés pour conserver leurs certificats de vaccination.

Avant la fin du mois de février, les citoyens danois pourront consulter – sur un site web de santé danois – la confirmation officielle de leur vaccination.

M. Boedskov a déclaré : “Ce sera le passeport supplémentaire que vous pourrez avoir sur votre téléphone portable qui attestera que vous avez été vacciné.

Nous pouvons être parmi les premiers au monde à l’avoir et à le montrer au reste du monde”.

La présentation a été faite avec des représentants des principales organisations d’entreprises, de la Confédération des industries danoises, qui représente les principales entreprises du Danemark, et de la Chambre de commerce danoise.

Entre-temps, la Commission européenne a examiné des propositions visant à délivrer des certificats de vaccination pour aider les voyageurs à se rendre plus rapidement sur leur lieu de vacances et éviter un autre été désastreux pour le secteur du tourisme européen.

Mais l’exécutif de l’UE a déclaré que pour l’instant, ces certificats ne seraient utilisés qu’à des fins médicales, pour surveiller les éventuels effets indésirables des vaccins par exemple.

D’autres passeports numériques similaires sont en cours d’élaboration pour aider les voyageurs à montrer de manière sûre qu’ils se sont conformés aux exigences des tests Covid-19.

L’un d’eux, appelé CommonPass, a déclaré qu’il pouvait également permettre de suivre les vaccinations et est actuellement testé par les compagnies aériennes américaines, United Airlines et JetBlue.

Le CommonPass travaille en collaboration avec l’Initiative pour les certificats de vaccination (VCI) pour fournir des copies cryptées des dossiers de vaccination dans un portefeuille numérique.

La VCI regroupe des géants comme Microsoft, Salesforce et Oracle, ainsi que la clinique Mayo, une organisation de soins de santé américaine à but non lucratif.

Paul Meyer, directeur général de The Commons Project, a déclaré : “L’objectif de l’initiative d’accréditation en matière de vaccination est de donner aux individus un accès numérique à leur dossier de vaccination afin qu’ils puissent utiliser des outils tels que CommonPass pour retourner en toute sécurité dans leurs déplacements, leur travail, leurs études et leur vie, tout en protégeant la confidentialité de leurs données”.

Les normes ouvertes et l’interopérabilité sont au cœur des efforts de l’IVE et nous nous réjouissons de soutenir l’Organisation mondiale de la santé et d’autres acteurs mondiaux dans la mise en œuvre et le développement de normes mondiales ouvertes pour l’interopérabilité des données de santé”.

Toutefois, les passeports numériques et les documents d’identité sur papier suscitent des inquiétudes parmi les groupes de défense de la vie privée qui estiment que “tant que tout le monde n’aura pas accès à un vaccin efficace, tout système exigeant un passeport pour l’entrée ou le service sera injuste”, comme l’a déclaré Privacy International.

Le vaccin est un exercice de santé publique et ne doit pas être un nouveau facteur de discrimination”, a déclaré le groupe sur son site web.

Le groupe convient que de tels registres sont “probablement nécessaires”, mais s’inquiète de ce qu’ils puissent “ouvrir une boîte de Pandore”.

Dans quelle mesure faut-il faire confiance à ces documents pour qu’ils soient examinés par d’autres prestataires ? Et qui d’autre voudra y avoir accès ? C’est là que les choses se compliquent. Et c’est là que se situent les ambitions”, déclare Privacy International.

Source : https://www.dailymail.co.uk/news/article-9220137/Denmark-plans-digital-passport-allow-people-Covid-vaccines-travel.html
Traduction par https://cv19.fr

L’Espagne et la Grèce vont mettre en place des “passeports de vaccination” pour relancer le tourisme

Les pays invitent l’UE à adopter un “cadre commun” pour les passeports de vaccination.

L’Espagne et la Grèce vont suivre l’exemple des Seychelles et mettre en place un système de “passeport vaccinal” pour permettre aux personnes ayant reçu le vaccin COVID d’entrer dans le pays pour les vacances.

La Grèce a fait pression sur l’UE pour introduire un passeport COVID standardisé à l’échelle du continent, tandis que l’Espagne a annoncé qu’elle soutenait pleinement cette idée.

Lors de la réunion du Conseil exécutif de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), le ministre espagnol de l’Industrie, du Commerce et du Tourisme, Reyes Maroto, a décrit cette initiative comme “un signe d’engagement multilatéral”, ajoutant “qu’elle pourrait contribuer à restaurer la mobilité au niveau européen”.

M. Maroto a insisté sur le fait que, tandis que l’Espagne s’efforcera de “transformer et de numériser” son industrie du tourisme, “un cadre commun” doit être mis en place dans toute l’UE pour permettre aux touristes “d’éviter les mesures indiscriminées, telles que les quarantaines ou les restrictions de voyage”.

La demande doit être débattue par la Commission européenne dans les prochains jours.

“Atteindre l’immunité est une étape clé pour générer la confiance nécessaire pour voyager”, a ajouté M. Maroto, même s’il n’a pas été démontré que la prise du vaccin permettait d’obtenir l’immunité.

L’industrie touristique espagnole est l’une des plus importantes de la planète, il n’est donc pas surprenant qu’elle ait l’intention d’adopter tous les moyens nécessaires pour encourager le retour des touristes dès que possible.

L’UE a déjà fait la promotion des passeports vaccinaux, et les fonctionnaires ont suggéré en avril dernier que les demandeurs de visa soient également tenus de se faire vacciner.

Les pays de l’UE, dont l’Espagne, l’Estonie, l’Islande, le Danemark, la Pologne et la Belgique, ont tous indiqué qu’ils étaient ouverts à l’idée d’une forme quelconque de passports vaccinaux, ainsi qu’au partage des données par-delà les frontières.

De nombreux autres pays ont indiqué qu’ils allaient introduire des passeports vaccinaux, même si l’on craint que cela ne crée une société à deux vitesses pour les personnes qui ont été vaccinées et celles qui ne l’ont pas été.

Source : summit.news
Traduction par https://cv19.fr

Rappel :

Les projets d’utilisation de « cartes vaccinales » à un niveau européen sont en fait déjà planifiés depuis 2018.

La « Feuille de route pour la mise en œuvre des actions de la Commission européenne basées sur la communication de la Commission et la recommandation du Conseil sur le renforcement de la coopération contre les maladies à prévention vaccinale » comprend une proposition de la Commission visant à introduire une carte de vaccination pour les citoyens de l’UE en 2022.
« 3. La Commission envisage-t-elle de lier l’introduction d’une carte de vaccination à l’éventuel retrait de certains droits en cas de non-obtention des vaccins recommandés, ou à l’octroi éventuel de certains droits en cas d’obtention des vaccins recommandés ? »
https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2020-003427_EN.html
https://archive.md/yJt0Q
https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/2019-2022_roadmap_en.pdf
https://archive.md/6GBXi

Le gouvernement va rendre obligatoire les “QR codes” dans les lieux accueillants du public

INFORMATION RMC –  Ce dispositif est amené à devenir une alternative aux “cahiers de rappel” physique qui servaient jusqu’alors à enregistrer la présence dans certains lieux publics considérés à risques par les autorités.

Christopher Hammond Director of the Sukhothai Thai restaurant in Leeds, uses the Venue Check-in feature of the new NHS Covid-19 mobile phone application, to scan a QR code at Sukhothai, after the app went live on Thursday morning. PA Photo. Picture date: Thursday September 24, 2020. See PA story HEALTH Coronavirus. Photo credit should read: Danny Lawson/PA Wire

Un temps évoqué, la décision est actée: le gouvernement va rendre obligatoire l’installation de “QR codes” dans les lieux accueillant du public. Sont ainsi concernés tous les bars, tous  les restaurants et les salles de sport. Les Maisons France Service seront également équipées prochainement.

L’objectif est clair: les clients ou usagers devront scanner ces codes avec leurs smartphones et remplir leurs informations (identité et numéro de téléphone, notamment). Ce dispositif est amené à devenir une alternative aux “cahiers de rappel” physique qui servaient jusqu’alors à enregistrer la présence dans certains lieux publics considérés à risques par les autorités. 

Le gouvernement vise principalement les lieux à risque élevé de contamination. “C’est un gros chantier pour permettre la réouverture de ces lieux fermés depuis longtemps” nous confirme le cabinet du secrétaire d’Etat chargé du Numérique, Cédric O. 

L’idée du gouvernement est ainsi de favoriser le “traçage” et de remonter les chaînes de contaminations, en particulier lorsque ces lieux de contamination à haut risque rouvriront. 

L’application TousAntiCovid, qui sera au coeur de ce dispositif, a déjà été téléchargée par 12,5 millions de Français. Le gouvernement s’était fixé l’objectif de 15 millions de téléchargements pour que l’application soit totalement efficace. 

A date, 54.000 cas contacts ont été prévenus et 99.000 cas de Covid-19 déclarés sur l’application.

Source : https://rmc.bfmtv.com/emission/le-gouvernement-va-rendre-obligatoire-les-qr-codes-dans-les-lieux-accueillants-du-public-2029812.html?fbclid=IwAR0uQ4ge_BY7NB_5cHh5MV8brFFvkieQ8tZf8a6pOBFYMKOrRlENsfD4DKE#page/contribution/index

“C’est ce qui va se passer de toute façon”: Michel Cymes favorable à un passeport vaccinal

Le médecin et animateur estime que la mise en place d’un certificat de vaccination pour les personnes ayant reçu leurs injections contre le Covid-19 permettrait la réouverture rapide de lieux culturels.

C’est un faux débat à ses yeux. Michel Cymes, invité ce samedi d’Apolline de Malherbe, le rendez-vous sur BFMTV, a estimé que l’instauration d’un “passeport sanitaire” permettant l’accès à certains endroits pour les personnes vaccinées contre le coronavirus est une mesure inévitable pour rouvrir les lieux culturels.

“C’est tout le problème du passeport vaccinal aujourd’hui. On se dit: ‘oulala passeport vaccinal! Il va y avoir une scissure de la nation, cela va être catastrophique’… Mais c’est quoi ce débat?”, s’interroge le médecin.

“Faut arrêter de penser que personne ne va vous le demander”

“On va vous demander un certificat de vaccination. Si vous êtes vaccinés bah vous aurez accès à un avion, mais c’est ce qui va se passer de toute façon!”, estime Michel Cymes, “faut arrêter de penser que personne ne va vous demander le passeport vaccinal”.

Pour l’ancien animateur du magazine de la Santé sur France 5, une telle mesure permettrait, malgré les contraintes, de relancer progressivement l’économie de la culture.

“Bah oui il y aura des gens qui ne pourront pas y aller. Qu’est-ce qu’on fait, on arrête tout pour ça?”, questionne enfin Michel Cymès.

Un avis que ne partage pas de son côté le Pr Alain Fischer. L’immunologue, “Monsieur Vaccin” du gouvernement, invité le 8 janvier dernier chez Jean-Jacques Bourdin, s’est dit non favorable “pour des raisons scientifiques et éthiques” de distinguer les citoyens en fonction de leur état à l’égard de la vaccination. Pour sa part, la ministre de la Culture Roselyne Bachelot, y voit une “idée choquante”.

Hugues Garnier Journaliste BFMTV

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