C’est bien connu : éradiquer les cafards d’un immeuble est une tâche ardue. C’est qu’ils possèdent des caractéristiques qui les rendent extrêmement résistants.
Le cafard est capable de résister à des quantités modérées de radiations et de survivre à environ 300 mètres de l’endroit où la bombe d’Hiroshima a explosé. Cependant, les armes modernes sont beaucoup plus puissantes que la “petite bombe d’Hiroshima”, donc moins de cafards survivraient aux armes nucléaires d’aujourd’hui.
Selon une étude, 10% des cafards ont survécu à leurs tests pour un niveau de 10.000 rads de rayonnement. La “petite” bombe d’Hiroshima a dégagé environ 10.000 rads, il est donc possible que les cafards survivent mais seulement s’ils sont suffisamment loin de l’épicentre du rayonnement.
En revanche, un être humain exposé à 10.000 rads subirait un coma instantané et assez rapidement la mort. La capacité des cafards à survivre est en raison de leur faible taux de croissance. Leurs cellules se reproduisent seulement toutes les 48 heures donc le risque de mutation est moindre.
Et si on testait la 5G sur eux ?