Day: February 12, 2021

12 films de science-fiction prophétiques

L’Île oubliée (1990)

A la suite d’une alerte nucléaire, les autorités anglaises procèdent à l’évacuation des écoles, et un avion transportant des enfants s’écrase, peu après, sur une île déserte. Livrés à eux-mêmes, les enfants survivent et forment rapidement deux clans autour de Ralph et de Jack, deux personnalités antagonistes….

https://www.gloria.tv/post/Eh3KSSiF7bo71PS4aTgtp8xnH

1984 (1956 et 1984)

Dans le monde futuriste de 1984, le monde est gouverné par une dictature, représentée par la figure de Big Brother. Winston Smith, simple fonctionnaire, se rebelle, entraîné par Julia…

https://www.youtube.com/watch?v=Wl4kt4kUE88 (1956 – VO colorisé)

https://www.stream-complet.biz/1984/ (1984)

Soleil vert (1973)

En 2022, les hommes ont épuisé les ressources naturelles. Seul le « Soleil vert » nourrit la population, qui ne sait comment est créé un tel aliment.

https://01streaming.org/film/soleil-vert/

Orange mécanique (1971)

Dans une Angleterre futuriste et inhumaine, un groupe d’adolescents se déchaînent chaque nuit, frappant et violant d’innocentes victimes. Alex, le leader du gang est arrêté et condamné à 14 ans de prison. Il accepte de se soumettre à une thérapie de choc destinée à faire reculer la criminalité.

https://www.stream-complet.biz/orange-mecanique/

La Ferme des animaux (1954)

Lassés des mauvais traitements, les animaux se révoltent contre le fermier. Ils le chassent et proclament une nouvelle société les animaux sont égaux.

https://gloria.tv/post/2F2m9YUSZ2Zv4de4TPxRpuQkf

Le Meilleur des mondes (1998)

L’adaptation cinématographique du roman d’Aldous Huxley : Le Meilleur des mondes.

https://www.vfcomplet.cc/5361-le-meilleur-des-mondes.html

Bienvenue à Gattaca (1997)

Dans un futur proche, la science a vaincu les secrets de la génétique. Gattaca est un centre d’études et de recherches spatiales pour des jeunes gens au patrimoine génétique parfait. Jérôme, candidat idéal, voit sa vie détruite par un accident. Tandis que Vincent, enfant naturel mais au capital génétique « imparfait », rêve de partir pour l’espace. Chacun des deux va permettre à l’autre d’obtenir ce qu’il souhaite en déjouant les lois de Gattaca.

https://hds-streaming.net/film-streaming-vf/bienvenue-a-gattaca-streaming/

Fahrenheit 451 (1966)

Guy, pompier zélé, a pour mission de détruire les livres qui sont devenus interdits. Mais Clarisse, une institutrice, le fait douter de sa fonction.

https://putlockers.fm/watch/QG32NKxo-fahrenheit-451.html

Matrix (1999)

Neo, un des pirates les plus recherchés du cyber-espace, reçoit de mystérieux messages cryptés d’un certain Morpheus. Celui-ci l’exhorte à aller au-delà des apparences et à trouver la réponse à la question qui hante constamment ses pensées : qu’est-ce que la Matrice ?

https://www.cpasmieux.tv/films/2777-matrix.html

Brazil (1985)

Sam est un employé du Ministère de l’Information. Il vit sans ambition. Il suivra par amour une révolutionnaire dans sa lutte idéaliste contre l’Etat.

https://www.stream-complet.biz/brazil/

L’Âge de cristal (1976)

Si les sujets vivent surtout de plaisirs, ils doivent mourir à trente ans pour éviter la surpopulation. Mais deux personnes se rebellent et s’enfuient.

https://www.vfcomplet.cc/21465-l-age-de-cristal.html

La Servante écarlate (1990)

A la fin du XXe siècle, les Etats-Unis sont gouvernes par un mouvement intégriste de droite. La pollution, les accidents nucléaires et les experiences génétiques ont rendu la plupart des femmes steriles. Celles qui sont encore fécondes sont placees comme reproductrices auprès des chefs de la nation, les “Commandants”. C’est ainsi que Kate, qui voulait s’enfuir, est enlevée a sa famille pour servir de reproductrice au Commandant Fred…

https://01streaming.org/film/la-servante-ecarlate/

Covid-19 : dans le Lot, deux mairies prennent un arrêté contre le port du masque à l’école

À Cahus et Laval-de-Cère, rassemblés par un RPI, les parents d’élèves ont saisi leurs élus pour dénoncer “l’aberration du port du masque par les enfants”. Les deux mairies concernées ont pris des arrêtés municipaux inédits en ce sens.

Les parents d’élèves du RPI Cahus-Laval de Cère ont fait part de leur incompréhension à leurs élus..

Les parents d’élèves du RPI de Cahus – Laval-de-Cère se sont retrouvés, lundi 2 novembre, dès 8h30, jour de rentrée des classes, pour manifester leur mécontentement lié au nouveau protocole sanitaire, malgré la présence dissuasive de la gendarmerie.

Ils étaient 68 pour une quarantaine d’enfants scolarisés dans ce RPI de village à dire leur indignation sur le port du masque non obligatoire pour les maternelles mais obligatoire pour les plus de 6 ans qui fréquentent tous les mêmes locaux.

“À Cahus, nous avons les niveaux CE2 à CM1, mais à Laval-de-Cère, les maternelles jusqu’au CE1. Les uns avec masques, les autres sans”, fait remarquer une des mamans. Absurde selon les familles qui ont lancé une pétition et interpellé l’inspecteur de circonscription de l’Éducation nationale. “Il nous a conseillé de voir ça avec la mairie ce que l’on a fait.”

Source : https://www.ladepeche.fr/2020/11/05/inedit-un-arrete-municipal-contre-le-masque-dans-leurs-ecoles-du-rpi-du-nord-du-lot-9184602.php

Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !

Je n’irai pas par quatre chemins : l’article que je m’apprête à partager avec vous est aussi remarquable qu’explosif ! Il figure au rang de ce que j’ai lu de plus perspicace, rigoureux et éclairant au cours de l’année écoulée.

A partir de sa maîtrise des statistiques ainsi que d’une éthique personnelle et scientifique évidentes, l’auteur extrait des données disponibles certains tenants et aboutissants fondamentaux et occultés de la « crise sanitaire » que nous vivons depuis une année. Et, cela étonnera sans doute peu les lectrices et lecteurs de ce blog, les conclusions de son analyse de haut vol atterrissent à des années-lumière du narratif officiel.

L’auteur est mathématicien et non pas médecin ou chercheur en santé publique. Dans notre mouchoir de poche suisse romand, Fabien Balli Frantz (lui aussi inscrit dans ce domaine d’expertise) a pareillement découvert à partir de sa maîtrise des statistiques des motifs fondamentaux de l’épidémie. Qu’il a fait connaître dans différents articles publiés dans Bon pour la tête, hélas aucunement repris par les médias « mainstream » dont la priorité obsessionnelle paraît être d’affoler la population à tout prix.

On relèvera pareille effondrement chez la Task Force, l’OFSP et les centres hospitalo-universitaires helvétiques. L’indigence de l’analyse et la médiocrité des publications de ces pseudo « centres d’excellence » (en corruption systémique assurément mais au-delà, on ne voit vraiment pas…) détonne et choque, surtout quand on la compare par exemple avec la qualité de l’article que je partage ici.

Le Pr Raoult a mille fois raison de relever qu’il n’y a pratiquement plus aucune science dans les productions des autorités de santé, alors que certaines de celles réalisées à leurs heures perdues par des penseurs compétents et diffusées sur le net surpassent haut la main cette navrante pseudoscience. Pourtant payée -avec largesse- par nos impôts avec des salaires plus que dodus, complétés tant qu’à faire par les contributions de donateurs désintéressés comme un certain « philanthrope » américain, adoré par chez nous, et accessoirement en train de devenir le plus gros propriétaire agricole des États-Unis. Où, nous n’en doutons pas, il s’en donnera à cœur joie avec l’agriculture OGM intensive qui constitue, avec la vaccination (désormais OGM elle aussi) sa principale obsession…

L’auteur a souhaité rester anonyme, choix que je respecte évidemment. Son article est bien sûr plus ardu que ce dont on a l’habitude, mais reste remarquablement agréable à lire. C’est un autre talent, lui aussi rare, que de savoir restituer clairement le fruit d’analyses complexes. Le résultat, ici,  est ô combien décoiffant. Et rappelle accessoirement l’importance fondamentale de faire bon usage des données et statistiques.

La presse en a hélas donné un contre-exemple assez lamentable, en combinant l’obsession de l’anecdotique et du spectaculaire avec l’enfumage générique. Ce que l’on a pu constater par exemple sur la page web dédiée aux statistiques Covid de la Tribune de Genève, objectivement une des meilleures et des plus complètes de Suisse, mais dont les données les plus importantes étaient reléguées en toute fin de liste, noyées après des tartines et des tartines de données peu pertinentes.

Maniant l’art de décoder les chiffres et de les interpréter avec pertinence, l’auteur fait émerger des motifs puissants, que je résumerai ici à partir de quelques citations. Avec un préambule épistémologique qui est tout sauf secondaire :

« Nous comprenons aisément le rôle du vieillissement dans l’évolution de la mortalité. Les progrès de la science moderne nous permettent aujourd’hui de savoir que plus on vieillit, plus on a de chances de mourir. De plus, en attendant suffisamment longtemps tout le monde finit toujours par décéder. La connaissance du mécanisme sous-jacent à la statistique, c’est-à-dire le rôle des classes d’âges dans la constitution des agrégats statistiques, est l’élément primordial qui permet d’interpréter les résultats quantitatifs. Sans elle nous ne saurions pas quelles sous-populations étudier pour donner du sens aux données. La statistique, malgré les apparences, est incapable de se substituer à la démarche hypothético-déductive exacte qui forme la base de toute méthode scientifique.

En médecine, la primauté de la logique sur les statistiques n’est plus considérée. La médecine basée sur les faits – qu’il vaudrait mieux appeler médecine basée sur les statistiques – a complètement abandonné l’idée de comprendre les mécanismes biologiques avant d’interpréter les données. Ce faisant, elle affirme n’importe quoi et elle le sait. John Ioannidis, professeur de médecine à l’université Stanford, a jeté un pavé dans la mare en publiant en 2005 un article intitulé « Pourquoi la plupart des résultats de recherche scientifique publiés sont faux. » Depuis, la communauté des chercheurs ose avouer son impuissance : le prestigieux journal Nature a publié en 2016 un article signalant l’impossibilité de reproduire des recherches biomédicales majeures pourtant publiées dans les règles de l’art, citant par exemple un taux d’échec ahurissant de 89% en oncologie.

On n’insistera jamais assez sur l’importance des disciplines fondamentales. Accusées d’être inutiles, elles sont pourtant les garde-fous qui permettent de savoir de quoi on parle et de comprendre ce que l’on fait : elles sont la conscience qui manque à la science. L’enseignement scientifique supérieur, quel que soit le pays, ne dispense plus de cours de philosophie ni d’épistémologie à l’attention des scientifiques : ils ne savent plus ce qu’est la science, d’où elle vient ni sur quoi elle s’appuie. Ils sont par la force des choses devenus de simples techniciens ignorant les bases de leur propre discipline. On entend dire partout que la médecine est une science : il n’y a rien de plus faux. La médecine est un art, l’art de soigner dans le but de guérir. Elle s’appuie sur des sciences comme par exemple la biochimie ou la physique de particules ; mais on ne peut pas réduire l’humain qui vient consulter à un ensemble de paramètres conformes. Une thérapie qui soignera l’un tuera peut-être l’autre. Le savoir-faire, le talent et même l’instinct du médecin participent à la qualité des soins tout autant que son savoir technique. Il est une sorte d’ingénieur de la santé ; mais il n’est pas un scientifique. Un mécanicien n’est pas un scientifique ; mais je conseille chaudement à quiconque de ne pas faire réviser sa voiture par un physicien, fût-il détenteur d’un prix Nobel. »

 Ceci posé, les analyses et les résultats s’enchaînent ! Premier constat : la mortalité est dans l’ensemble comparable à celle des épisodes grippaux habituels (une fois pondérée du vieillissement important de la population sous l’effet de la génération des baby-boomers). Avec pourtant la singularité d’une mortalité inhabituellement faible pour les tranches d’âge inférieure à 50 ans et normale au possible jusqu’ à… 80 ans !

Voici par exemple un diagramme présentant les courbes de mortalité (en valeur pour mille) pour les deux catégories « âge inférieur à l’espérance de vie » et « âge supérieur à l’espérance de vie ». Pour faire paniquer la population avec cela et lui imposer des mesures totalitaires et destructrices, il faudrait vraiment se lever de bonne heure…

L’inconfortable vérité pour l’idéologie (ou l’agenda) totalitaire est que la COVID-19 n’a quasiment pas concerné (en termes de mortalité) les personnes en dessous de l’espérance de vie : il n’y a eu statistiquement aucune différence significative entre mourir de la COVID-19 et mourir de vieillesse.

Déni de soins et mortalité

L’auteur développe ensuite une percutante analyse à partir des données relatives à la prise en charge (hospitalière puisque le rideau des généralistes a été, contrairement à toutes les recommandations en la matière, mis sur le carreau). Pourquoi cela importe-t-il ?

«  De deux choses l’une : on meurt soit à l’hôpital, soit en dehors. Dans le premier cas, c’est le signe que la prise en charge a permis au malade de recevoir des soins. Il est certes mort ; mais bien plus nombreux sont ceux qui survivent. Cependant, dans le second cas, la prise en charge n’a pas été assez efficace pour hospitaliser le malade puis tenter de le sauver. Quand la cause de la mort est rapide, il n’est pas toujours possible d’arriver à temps sur les lieux pour soigner le patient. Mais quand la mort est lente, plusieurs jours à plusieurs semaines comme dans le cas de la COVID-19, la mort en dehors de l’hôpital signifie un abandon de soins. »

Or c’est bel et bien ce paramètre (qui se dégrade régulièrement mais à bas bruit depuis 2014) qui a explosé l’année passée, atteignant :

« (…) des hauteurs himalayennes en 2020. La COVID-19 est nettement visible, non pas en tant que drame sanitaire mais comme un moment de profonde désorganisation du système de santé, incapable de faire accéder aux soins les personnes qui en avaient besoin. »

La prise en soins apparaît en effet, toutes catégories confondues, comme le principal prédicteur de mortalité ! Ce qui nous renvoie incontournablement et à nouveau à la péjoration des capacités hospitalières, particulièrement en soins intensifs, au cours des deux décennies écoulées.

« Les moyens alloués à la santé publique baissent constamment depuis la fin du XXe siècle. La figure 14 et la figure 15 montrent que les hôpitaux publics en France sont en déficit depuis 2006 (à l’exception de 2012) et que leur dette dépasse 50% de leurs ressources stables depuis 2013. Les investissements chutent comme l’illustre la figure 16, malgré l’importante augmentation de la population âgée, la plus fragile. Mais le plus grave est le manque de lits d’hôpitaux, dont le nombre diminue depuis le siècle dernier pour atteindre aujourd’hui moins de 6 lits pour 1000 habitants alors qu’il était de 11 lits en 1980. La figure 17 exhibe cette funeste chute sur la période 1997-2018. Mais la raréfaction des ressources hospitalières a commencé bien avant et elle continue encore en 2021 malgré la COVID-19 qui, paraît-il, aurait révélé le manque criant de lits disponibles dans les services de réanimation. »

Il y a donc largement de quoi expliquer la hausse des abandons de soins depuis 2014 ainsi que son pic pendant la crise de la COVID-19, en fait principalement un pic de confusion des instances sanitaires.

L’auteur conclut dès lors que les abandons massifs de soins en 2020 ont été le fait d’un affaiblissement généralisé du système de santé publique », ajoutant avec une douce-amère ironie : « quand on ne soigne pas les gens, ils ont tendance à mourir. » Ce qui permet de pondérer et mettre en perspectives les données :

« Pour mesurer la violence relative de la COVID-19 en tant que pathogène, il conviendrait donc de corriger la surmortalité en lui soustrayant le nombre de personnes décédés d’abandon de soins et non pas de la COVID-19.

En appliquant les profils de mortalité des années précédentes à la population de 2020, on découvre que la COVID-19 a une gravité de l’ordre des grippes de 2016 et 2017. Sachant que les années 2018 et 2019 ont été plutôt tranquilles, la conclusion s’impose : la COVID-19 et ses dérivés constituent des maladies de saison dans la norme : elles ne battent aucun record. Le véritable fléau est organisationnel : l’hôpital public est démantelé depuis des années. En 2020, le système a lâché. »

« Quand on tue les gens, ils guérissent beaucoup moins bien. »

Tout le monde se souviendra comment, au moment même où il prohibait d’une manière injustifiée et sans précédent l’hydroxychloroquine, le gouvernement français libéralisait et recommandait la prescription de Rivotril, en particulier dans les Ehpad, aux patients âgés en détresse respiratoire, que l’on soupçonnait d’être atteints du Covid. Si l’affaire a fait couler -à juste titre- beaucoup d’encre, il convient encore de rappeler que « sa notice officielle précise pourtant qu’il n’est absolument pas indiqué dans les cas d’infection par coronavirus. Le Rivotril est uniquement un antiépileptique. »

« Selon la notice de ce produit et les injonctions des autorités de santé, l’état clinique du patient atteint de la COVID-19 ne devrait donc jamais justifier l’injection de Rivotril, bien au contraire : son utilisation dans les cas de détresse respiratoire relève de la faute médicale grave. La notice précise bien que l’âge avancé est un facteur de risque et que l’insuffisance respiratoire est une contre-indications majeure à son utilisation :

« N’utilisez jamais Rivotril 1 mg/1 ml, solution à diluer en ampoules : Si vous avez une insuffisance respiratoire grave. »

« Ce médicament peut provoquer chez certaines personnes, en particulier chez les enfants et les personnes âgées, des réactions contraires à l’effet recherché. »

La notice du VIDAL précise en outre [22] :

« Il convient d’utiliser la plus faible dose possible chez le sujet âgé. »

Parmi les effets indésirables, on trouve précisément les cas de complications de la COVID-19 :

‒ insuffisance cardiaque (défaillance du cœur), arrêt cardiaque ;

‒ dépression respiratoire (importantes difficultés à respirer), arrêt respiratoire.

Il faut se rendre à l’évidence que le Rivotril est le pire médicament à administrer dans un cas de COVID-19, au point qu’on en vient immédiatement à penser que ses effets indésirables sont en réalité les effets désirés par les rédacteurs du décret du 28 mars 2020. En effet, le Rivotril n’est pas un analgésique. La lettre aux prescripteur précitée insiste sur ce point :

« L’efficacité et la sécurité d’emploi de RIVOTRIL® ne sont en effet pas établies dans le traitement de la douleur (notamment céphalées, douleurs osseuses, neuropathiques, articulaires, analgésie postopératoire), ni dans les indications habituelles des autres benzodiazépines (notamment anxiété et troubles du sommeil). »

Au sens strict, l’utilisation du Rivotril ne relève pas de l’euthanasie car le produit utilisé n’est pas un analgésique. Pire encore, elle a toutes les qualités pour précipiter la mort de ceux à qui on préconise de l’injecter. Enfin, le consentement formel et éclairé du patient ou de sa famille n’est pas requis. Ainsi, en toute rigueur, son administration suivant la note de l’ARS Île-de-France et le décret du 28 mars 2020, en plus de constituer un refus de soins caractérisé, entre dans le champ de l’homicide. »

Une autre donnée choquante émerge de l’analyse de la variation des quantités de Rivotril délivrés non seulement en Ehpad mais aussi, de manière importante, en hôpital !

« L’usage du Rivotril pour euthanasier les patients a eu lieu non seulement hors de l’hôpital mais également à l’hôpital, ce qui jette un doute sur la réalité de la mortalité de la COVID-19 en hôpital, peut-être même supérieur à sa mortalité naturelle, sans prise en charge. Quand un patient est laissé sans soins, il lui reste une chance de guérir par ses propres moyens ; mais si on lui injecte du Rivotril, il a alors la certitude de mourir. Le nombre d’ampoules surnuméraires délivrées à l’occasion de la COVID-19 est de l’ordre de celui des abandons de soins évalués à 29’866. Il faut cependant noter que même en hôpital le Rivotril a été administré : ses morts ne sont pas comptabilisées dans les abandons de soins et viennent donc diminuer encore l’impact réel de la COVID-19 en faisant porter la responsabilité des décès sur des choix funestes de santé publique. »

« Confinez ! » qu’ils disaient 

Mais les choses ne s’arrêtent pas là : ainsi que je l’ai moi-même abondamment souligné depuis mars 2020, les mesures coercitives imposées (au premier rang desquelles le confinement) doivent aussi être questionnées quant à leur impact sur l’épidémie et la mortalité de la Covid !

J’avais vérifié, après que le Pr Goetzsche m’ait mis sur la piste, que la connaissance épidémiologique suggère bel et bien que les virus se propagent d’avantage au sein d’un population confinée. Ce fut également…

« … la conclusion d’une grande étude séro-épidémiologique menée par le Ministère de la santé espagnol en collaboration avec l’Institut de santé Carlos III, les services de santé des communautés autonomes et l’Institut national des statistiques. Les taux de contamination au SARS-CoV-2 ont été mesurés dans différentes catégories de population. Les contaminés ne tombaient par forcément malades ; mais tous ont croisé le virus de manière à développer des anticorps caractéristiques. Les populations actives confinées ont été contaminés par le virus dans une proportion de 6,3%, tandis que les travailleurs l’ont été à 5,3%. La différence est significative ; elle montre que le SARS-CoV-2, à l’instar de la rougeole, est plus virulent dans une population confinée. Nous constatons a posteriori que le confinement des populations accroît la diffusion du virus SARS-CoV-2. »

Une seconde vérification s’offrait par la comparaison entre la France (ayant confiné) et la Suède (qui y a renoncé) :

« Pour savoir si vraiment le confinement a eu un impact sur la dangerosité de la COVID-19, observons la mortalité dans deux pays qui ont adopté des politiques différentes de ce point de vue : la France et la Suède. En effet la Suède est l’un des rares pays européens à avoir refusé de confiner sa population. On ne constate aucune différence significative. »

Après avoir présenté les conclusions comparables de l’étude récente de Ioannidis et Battacharya, l’auteur conclut que :

«  (…) d’un point de vue purement épidémiologique, le confinement semble donc inutile. Mais d’un point de vue politique, il répond aux angoisses habituelles des pouvoirs inquiets. Les techniques efficaces pour contrôler les maladies infectieuses sont toutes fondées sur la séparation des personnes saines et des malades. Le but est de diluer le virus et non pas de le concentrer, ce que font les méthodes agrégatives que sont le confinement et le couvre-feu. Le confinement concentre spatialement les personnes dans leur domicile et le couvre-feu concentre temporellement l’activité dans des tranches horaires rigides. Dans les deux cas, ces démarches concentrent le virus en plaçant les populations dans des situations de promiscuité. Elles répondent à un désir de contrôle politique des populations en soumettant les activités individuelles à l’autorité de l’État ; mais elles n’ont ni a priori, ni a posteriori un quelconque rapport avec la médecine. »

Une analyse, donc, remarquable, et dont les conclusions doivent impérativement être reprises et discutées. Certes, l’auteur me l’a indiqué dans notre échange, il serait possible en reproduisant ses calculs de trouver des chiffres différents en raison des variations induites par les techniques d’interpolation et d’extrapolation des données, mais sans que cela ne change quoi que ce soit dans l’analyse qualitative.

De tels questionnements, avec des propositions d’interprétation divergentes, font et doivent naturellement faire partie du débat scientifique. Or ce qu’il y a de tragique à l’heure actuelle, c’est  d’une part que nous faisons bel et bien face à ce qu’il faut bien appeler une prostitution scientifique massive conduisant des chercheurs à produire des résultats à la demande, comme le diagnostic en a été posé de longue date par les éditeurs de revue scientifique eux-mêmes et comme nous en avons vu à nouveau d’innombrables exemples ; d’autre part qu’il y a actuellement une véritable suppression du débat scientifique, avec des autorités (comme le Conseil scientifique en France ou la Task Force en Suisse) qui édictent des dogmes fumeux et ne reposant sur aucune science solide, qui influencent pourtant mécaniquement les politiques et sont repris comme « vérité » absolue par des médias qui débunkeront ensuite de manière forcenée tout ce qui s’éloigne de cette doxa… J’ai eu l’occasion de le relever à de nombreuses reprises : si un pareil fonctionnement s’était maintenu au cours des siècles écoulés, nous en serions restés à la certitude que la Terre est plate !

La Task Force ose ainsi asséner que le confinement a sauvé des milliers de vies ou que la moitié des contaminations sont le fait de porteurs asymptomatiques sans que cela repose sur quoi que ce soit de sérieux, de solide ou de probant. Ce sont des croyances, à fortes connotations superstitieuses, mais qui constituent une imposture évidente dès lors qu’elles sont assénées comme constituant une réalité “scientifique”.

Ce qui nous ramène, sinon à la prostitution, en tout cas à une dérive très grave et aux conséquences désastreuses sur l’ensemble de la population dont il est essentiel qu’elles trouvent tôt ou tard une traduction pénale.

Pour l’instant c’est avec une joie profonde et une vigoureuse gratitude envers son auteur que je rends disponible sont article en fichier pdf, à télécharger ici.

Source : https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2021/02/10/covid-du-mythe-aux-statistiques-les-verites-cachees-312823.html
via : https://reseauinternational.net/covid-du-mythe-aux-statistiques-les-verites-cachees/

Simulation de cyberpandémie : Cyber Polygone 2021

Cyber Polygone 2021 sera-t-il aussi prophétique que l’événement 201 dans la simulation d’une réponse à une pandémie ?

Le Forum économique mondial (FEM) organisera un autre exercice de cyber-attaque alors qu’il continue à se préparer à une éventuelle cyber-pandémie qui, selon le fondateur Klaus Schwab, sera pire que la crise mondiale actuelle.

Le piratage de SolarWinds a réveillé les vulnérabilités d’attaque de la chaîne d’approvisionnement encore présentes dans les organisations publiques et privées, et a servi d’avertissement que la prochaine brèche pourrait être pire de manière exponentielle en se propageant à travers tout appareil connecté à Internet.

Dans le prolongement de l’exercice de cyberattaque Cyber Polygon de l’année dernière et de l’événement visant à prévenir une pandémie numérique, le FEM a annoncé que l’édition 2021 aura lieu le 9 juillet.

“Une cyber-attaque avec des caractéristiques semblables à celles du COVID se répandrait plus vite et plus loin que n’importe quel virus biologique” – Forum économique mondial

Cette année, Cyber Polygone 2021 simulera une cyber-attaque fictive avec des participants de dizaines de pays répondant à “une attaque ciblée de la chaîne d’approvisionnement sur un écosystème d’entreprise en temps réel”.

Selon le FEM, le COVID-19 était connu comme un risque prévisible, tout comme son équivalent numérique.

De plus, “une cyber-attaque avec des caractéristiques semblables au COVID se répandrait plus vite et plus loin que n’importe quel virus biologique. Son taux de reproduction serait environ 10 fois plus élevé que celui que nous avons connu avec le coronavirus”.

“Il est important d’utiliser la crise COVID-19 comme une occasion opportune de réfléchir aux leçons de la communauté de la cybersécurité pour tirer et améliorer notre impréparation à une éventuelle cyberpandémie” – Klaus Schwab

Nous examinons ici trois tendances qui se dégagent de Cyber Polygone 2020 afin de découvrir les mesures que les secteurs public et privé pourraient prendre en prévision d’une pandémie numérique.

Mais d’abord, d’où vient la notion de cyberpandémie ?

Une cyberpandémie attendue

Dans son discours de bienvenue à Cyber Polygone 2020, le fondateur du FEM, Klaus Schwab, a mis en garde contre une “cyber-pandémie” à venir qui serait pire que la crise mondiale actuelle.

“Nous sommes tous conscients, mais nous n’y prêtons pas encore suffisamment attention, du scénario effrayant d’une cyber-attaque globale, qui mettrait un terme complet à l’approvisionnement en électricité, aux transports, aux services hospitaliers, à notre société dans son ensemble”, a-t-il déclaré.

“La crise COVID-19 serait considérée à cet égard comme une petite perturbation par rapport à une cyber-attaque majeure”.

Schwab a ajouté : “Il est important d’utiliser la crise COVID-19 comme une occasion opportune de réfléchir aux leçons de la communauté de la cybersécurité pour tirer et améliorer notre impréparation à une éventuelle cyberpandémie”.

Alors que le monde numérique empiète sur nos mondes physique et biologique, une cyber-attaque efficace pourrait compromettre tout ce qui est connecté à l’internet, y compris :

  • Des dispositifs médicaux qui maintiennent les gens en vie
  • L’Internet des objets (IoT), écosystème de dispositifs connectés qui font fonctionner les maisons intelligentes (c’est-à-dire les caméras, les microphones, les capteurs, etc.)
  • L’internet des corps (IoB) écosystème d’êtres humains connectés numériquement
  • Systèmes financiers mondiaux
  • Réseaux d’énergie
  • Installations de traitement de l’eau
  • Systèmes informatiques du gouvernement
  • Infrastructure militaire et de défense
  • Et plus encore

Actuellement, “La seule façon d’arrêter la propagation exponentielle d’une menace de cyber-attaque de type COVID”, selon le FEM, “est de déconnecter complètement les millions de dispositifs vulnérables les uns des autres et de l’Internet”.

Mais, “un seul jour sans Internet coûterait à nos économies plus de 50 milliards de dollars, et ce avant d’envisager les dommages économiques et sociétaux si ces dispositifs étaient liés à des services essentiels, tels que les transports ou les soins de santé”.

“La crise COVID-19 serait considérée à cet égard comme une petite perturbation par rapport à une cyber-attaque majeure” – Klaus Schwab

Il va sans dire qu’une cyberpandémie ferait des ravages dans presque tous les aspects de la société.

Mais le diable est dans les détails, et les solutions recommandées pour une cyberpandémie pourraient être bien plus préjudiciables à la liberté individuelle que la cyberattaque elle-même.

Cyber Polygone 2020 : tendances émergentes

Le thème central de l’exercice Cyber Polygone 2020 était “pandémie numérique : comment prévenir une crise et renforcer la cybersécurité à tous les niveaux”.

L’objectif de l’événement Cyber Polygone de l’année dernière était de :

  • Développer les compétences des équipes pour repousser les cyberattaques
  • Engager la direction des organisations et des entreprises mondiales dans le dialogue sur la cybersécurité
  • Sensibiliser le public à la cybersécurité

L’exercice comportait deux volets parallèles : un flux en direct pour un public de masse et une formation technique pour les spécialistes de la cybersécurité. 120 des plus grandes organisations russes et internationales de 29 pays se sont jointes à la formation technique pour s’entraîner à réagir à une attaque ciblée, visant à pirater les données d’une entreprise et à porter atteinte à sa réputation.

Alors que la partie formation technique de l’événement était consacrée à la réponse à une seule attaque, les conversations des parties en direct ont fourni le plus d’informations pour faire face aux retombées potentielles de l’attaque – la pandémie numérique.

Voici trois tendances qui se dégagent des discussions en direct et du rapport sur les résultats de Cyber Polygone 2020.

1) Les gouvernements évolueront inévitablement vers des systèmes d’identité numérique

S’exprimant à Cyber Polygone 2020, l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair a déclaré avec confiance que les gouvernements se dirigent “absolument, inévitablement” vers l’adoption de l’identité numérique.

“”L’identité numérique représente pour moi une part très importante de l’avenir” – Tony Blair

L’identité numérique est une composante majeure du programme de Grand Reset du FEM, car elle est liée aux technologies de transition qui alimentent la quatrième révolution industrielle.

Une identité numérique enregistre tout ce que vous faites en ligne, y compris ce que vous partagez sur les réseaux sociaux, les sites web que vous visitez et la géolocalisation de votre smartphone, et elle peut contenir toutes les données d’identification que vous trouvez normalement dans un portefeuille physique, comme votre permis de conduire, votre carte d’assurance et vos cartes de crédit.

Dans son exposé, M. Blair n’a pas expliqué pourquoi il était nécessaire d’avoir une identité numérique pour prévenir une cyberpandémie, mais plutôt que les identités numériques seraient une partie inévitable de l’écosystème numérique, et que les gouvernements devraient donc travailler avec les entreprises technologiques pour protéger et réglementer leur utilisation.

“L’identité numérique représente pour moi une part très importante de l’avenir”, a déclaré M. Blair.

“Inévitablement, les gouvernements vont aller dans cette direction – absolument, inévitablement”, a-t-il ajouté.

“Et donc, ce qui me semble le plus important, c’est que nous, du côté politique, nous réveillions au potentiel de la technologie et que nous nous engagions avec les créateurs de changement qui inventent la technologie, afin que nous la comprenions et que nous puissions la réglementer de manière sensée et non stupide”.

Source : World Economic Forum

Si un hacker parvenait à contrôler l’identité numérique d’une personne, il pourrait fondamentalement l’empêcher de participer à la société civile en l’effaçant complètement ou en exploitant ses informations de manière à empêcher les victimes de prouver qu’elles ont de l’argent en banque, un passeport qui leur permet de voyager, un permis de conduire valide, une preuve d’immunité et tout autre justificatif nécessaire aux citoyens pour accéder aux biens et aux services.

Et si les identités numériques sont susceptibles d’améliorer les moyens de subsistance de millions de personnes lorsqu’elles sont gérées de manière éthique, elles sont également utilisées par des gouvernements autoritaires pour profiler et contrôler le comportement des citoyens dans le cadre d‘un système de crédit social.

Que les données soient sécurisées ou non, la liberté individuelle dépendra de la manière dont la technologie est utilisée et du niveau de confiance accordé à ceux qui la gouvernent.

Selon un rapport du FEM de 2018, “l’identité numérique détermine les produits, les services et les informations auxquels nous pouvons accéder – ou, à l’inverse, ce qui nous est interdit” – dont le niveau sera déterminé par notre comportement en ligne.

Si Blair a raison et que les gouvernements adopteront inévitablement des identités numériques, alors une cyber-attaque bien coordonnée affectant les systèmes d’identité numérique conduirait à une cyber-pandémie affectant l’ensemble de la société.

2) Les “Fake News” sont une pandémie numérique et la majorité des citoyens sont incapables de penser de manière critique

Cyber Polygone 2020 a consacré l’une de ses sessions de streaming en direct au concept de “Fake News” comme étant une pandémie numérique mortelle qui sévit en 2020.

“Si vous parlez de quelqu’un qui […] n’a pas beaucoup lu, dont les connaissances sont limitées – cette personne est beaucoup plus facile à tromper et beaucoup plus prête à accepter tout ce qu’on lui dit” – Vladimir Pozner, Journaliste

À la fin de leur conversation, le présentateur de BBC World News, Nik Gowing, et le journaliste chevronné Vladimir Pozner sont arrivés à la conclusion que la personne moyenne en âge de voter n’était pas capable de penser de manière critique pour elle-même et était plus susceptible d’avaler n’importe quelle information diffusée que quelqu’un qui a fait des études universitaires.

Gowing et Pozner ont tous deux reconnu que la majorité des citoyens n’étaient pas instruits, n’étaient pas bien informés et n’avaient pas suffisamment voyagé pour faire la différence entre ce qui était faux et ce qui était réel.

Pozner : “Vous lancez votre argumentation en partant du principe que le téléspectateur, l’auditeur, le lecteur moyen a un regard critique dès le départ.

“Je pense qu’il y a beaucoup de gens qui n’ont pas ce sens critique et qui ne font qu’avaler le tout.

Gowan : “Je suis d’accord […] “Vous devez avoir cet instinct de remise en question.”

Pozner : “Si quelqu’un est bien éduqué, a fait des études universitaires, a lu, a voyagé – la réaction de cette personne à ce qu’elle lit ou écoute est une chose.

“Si vous parlez d’une personne qui a terminé le lycée ou un autre établissement similaire et qui n’en a pas eu l’occasion en raison de ses origines, qui n’a pas beaucoup lu et dont les connaissances sont limitées, cette personne est beaucoup plus facile à tromper et beaucoup plus prête à accepter ce qu’on lui dit.

“Lorsqu’il s’agit de ce mensonge délibéré, à qui s’adresse-t-il principalement ?

À mon avis, il s’adresse principalement à la personne ordinaire – non pas à l’élite intellectuelle, non pas à ceux qui ont la capacité de réfléchir réellement, mais à ceux qui n’ont pas eu cet avantage, aux personnes moins privilégiées qui sont la majorité, et qui sont celles qui votent, et qui sont celles qui, en fin de compte, quand elles disent “le peuple”, elles sont “le peuple”, et je pense que ce sont elles qui sont victimes de cette tendance.

Partant du principe que les gens ordinaires ne sont pas capables de penser de manière critique et que la majorité des citoyens sont donc des “victimes”, les deux journalistes ont orienté la conversation sur la manière de protéger les victimes de la “pandémie des fake news”.

Mais en fin de compte, ils n’avaient aucune idée de la manière de procéder, et les fake news et la désinformation restent des “menaces existentielles”.

Cyber Polygone 2020 n’a pas émis de recommandations concrètes concernant le traitement des fake news ; cependant, la simulation de pandémie de coronavirus de l’événement 201 du FEM a recommandé que “les gouvernements devront s’associer aux entreprises de médias traditionnels et de réseaux sociaux pour rechercher et développer des approches agiles pour contrer la désinformation”.

3) Les partenariats publics et privés fiables devront être renforcés

L’établissement de collaborations fiables entre les secteurs public et privé peut aider à prévenir une pandémie numérique, selon le rapport Polygone 2020.

“Une situation critique ne peut être traitée par une organisation ou un individu isolé”, peut-on lire dans le rapport, qui ajoute : “Dans un monde fortement interconnecté, une seule cyber-attaque peut se propager de manière exponentielle à travers la communauté mondiale.

“Cette situation peut être évitée en encourageant la collaboration entre les secteurs public et privé et les services de maintien de l’ordre.

“En outre, une interaction efficace nécessite la mise en œuvre et la réglementation d’une série de normes, l’échange d’informations et l’établissement de relations de confiance”.

“Lorsque nous verrons la prochaine crise, elle sera plus rapide que ce que nous avons vu avec le COVID, le taux de croissance exponentielle sera beaucoup plus rapide, l’impact sera plus important et, par conséquent, les implications économiques et sociales seront encore plus significatives” – Jeremy Jurgens, directeur général du FEM

Cependant, avec des pays comme la Chine qui volent la propriété intellectuelle, qui parrainent des cyberattaques dirigées par l’État qui ont compromis les informations personnelles de presque tous les adultes américains, et qui réduisent au silence les médecins et les lanceurs d’alerte sur la responsabilité du PCC dans la pandémie de coronavirus, établir la confiance et renforcer les collaborations entre les gouvernements et les entreprises sont des objectifs nobles à fixer.

Lors de la session en direct de Polygone 2020, Jeremy Jurgens, directeur général du FEM, a déclaré que pour prévenir la prochaine crise, il faudra que tous les secteurs de la société et de l’économie se réunissent.

“Je crois qu’il y aura une autre crise”, a-t-il déclaré. “Elle sera plus importante. Nous devons commencer à nous y préparer dès maintenant”.

“Nous devons commencer cette coopération et cette compréhension très tôt, afin que lorsque la crise frappera, nous soyons en mesure d’y répondre efficacement”.

“Je pense que lorsque nous verrons la prochaine crise, elle sera plus rapide que ce que nous avons vu avec le COVID, le taux de croissance exponentielle sera beaucoup plus rapide, l’impact sera plus important, et par conséquent les implications économiques et sociales seront encore plus importantes.

“Je pense qu’il est vraiment important que nous ne sous-estimions pas la gravité d’une crise comme celle-ci – l’impact qu’elle pourrait avoir.

“Il faudra que tous les secteurs de la société et de l’économie se réunissent pour y faire face”, a ajouté M. Jurgens.

Le rapport Cyber Polygone 2020, ainsi que les sessions virtuelles enregistrées pendant la semaine de Davos fin janvier 2021, soulignent tous le besoin/désir de collaboration entre les secteurs public et privé – non seulement comme moyen d’éviter une cyber-pandémie – mais aussi pour remodeler l’ensemble de l’économie mondiale et réorganiser tous les aspects de la société dans le cadre d’une nouvelle forme de capitalisme participatif, issue du grand reset.

Tendances émergeant de l’exercice sur la pandémie numérique

Dans cet article, nous nous sommes penchés sur trois tendances qui se dégagent de Cyber Polygone 2020 :

  • Une plus grande consolidation des ressources et des collaborations entre les entreprises et les États
  • Un plan pour faire face aux fausses nouvelles, aux informations trompeuses et à la désinformation qui n’a pas encore été dévoilée
  • Une évolution vers l’identité numérique qui devra être sécurisée et protégée

Alors que ces observations de base ont été tirées de l’exercice de l’année dernière, le Cyber Polygone de cette année présentera de nouveaux défis dans lesquels les participants répondront à une menace différente – une attaque ciblée de la chaîne d’approvisionnement sur un écosystème d’entreprise en temps réel.

Si les résultats et les recommandations des précédentes simulations de pandémie sont une indication de ce qui pourrait arriver à la société, alors les conclusions et les politiques issues du Cyber Polygone 2021 pourraient avoir un impact sociétal réel dans un avenir très proche.

Par exemple, de nombreux scénarios joués dans les simulations fictives de pandémie soutenues par le FEM, Clade X (mai 2018) et Event 201 (octobre 2019), se sont réalisés par la suite, ainsi que plusieurs recommandations politiques pour faire face à la pandémie COVID-19.

Voir aussi : La pandémie de SPARS, 2025-2028

Ces scénarios ont été décrits :

  • Les gouvernements mettent en œuvre des mesures de confinement dans le monde entier
  • L’effondrement de nombreuses industries
  • Une méfiance croissante entre les gouvernements et les citoyens
  • Une plus grande adoption des technologies de surveillance biométrique
  • Censure des réseaux sociaux au nom de la lutte contre la désinformation
  • La volonté d’inonder les canaux de communication avec des sources “faisant autorité”
  • Chômage de masse
  • Émeutes dans les rues
  • Et bien plus encore !

Lorsque l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré que le coronavirus était une pandémie le 11 mars 2020, les gouvernements du monde entier se sont retrouvés bloqués, ce qui a eu des effets dévastateurs sur l’économie avec des fermetures d’entreprises, des troubles civils qui ont explosé, une hausse du chômage, des saisies de logements à l’horizon et le plus grand transfert de richesse jamais enregistré dans l’histoire de l’humanité.

Cependant, nombre de ces scénarios étaient déjà prévus et pris en compte dans les simulations précédentes, et pourtant ils se sont tous réalisés.

Les conversations issues de Cyber Polygone 2021 se révéleront-elles aussi prophétiques pour le monde numérique que l’événement 201 et Clade X l’ont été pour le monde physique ?

Source : https://sociable.co/technology/prepping-cyber-pandemic-cyber-polygon-stage-supply-chain-attack-simulation/
Traduction par https://cv19.fr

Le dossier (tenu secret) de Christian Drosten

Le Pr. Christian Drosten, virologue allemand, est LE visage de la crise actuelle du coronavirus ! L’hebdomadaire Stern en a même fait sa une en mars 2020 : « Le coronavirus a fait du virologue Christian Drosten l’homme le plus recherché de la République. Et une star. » Car c’est Christian Drosten qui, en janvier 2020, a mis au point le test PCR du coronavirus, qui sert désormais de méthode standard pour détecter le virus de la covid-19 dans le monde entier. En tant que directeur de l’institut de la Charité de Berlin, il est un conseiller très influent du gouvernement allemand et a participé en tant qu’expert à de nombreuses conférences de presse gouvernementales. Ainsi, par ses analyses, il a également influencé de manière significative des décisions politiques de grande envergure, telles que le port obligatoire de masques, la suspension des cours réguliers à l’école ou la fermeture de tout le secteur de la restauration. Parmi une série de décorations, on peut citer l’attribution de la Croix fédérale du mérite avec ruban en 2005 et de la Croix fédérale du mérite de 1ère classe en 2020. Dans cette émission, cependant, un dossier en quatre parties doit maintenant être ouvert, qui montre un visage complètement différent de Christian Drosten et met en lumière des arrière-plans peu connus mais lourd de conséquences :

Source : https://www.kla.tv/Test-PCR/17960&autoplay=true

Le Dr Sherri Tenpenny explique comment les injections d’ARNm peuvent provoquer des décès en masse 3 à 6 mois après l’injection

Le Dr Sherri Tenpenny donne des informations extrêmement importantes ! La réaction hyper-immune chez les animaux de laboratoire pour les tentatives précédentes de vaccins contre les coronavirus, comme le SRAS et le MERS, a posé un problème récurrent.

Tout va bien pendant un certain temps, jusqu’à ce que les animaux soient exposés au virus naturel muté.

Le Dr Tenpenny et d’autres scientifiques ont prévu que des millions de personnes pourraient mourir, et que cela sera imputé à une nouvelle souche de COVID, ce qui plaidera en faveur de vaccins encore plus mortels.

CNN : Ne vous alarmez pas si des personnes commencent à mourir après avoir été vaccinées

Vidéo avec sous-titres FR auto générés :

https://tube.anjara.eu/videos/watch/d8cb0fbc-8a9c-4698-baf3-c21fed039fb4 (auto-gen VOSTFR miroir)
https://www.brighteon.com/a68ca095-0d8c-4dc8-bac4-7ba27207c73d (auto-gen VOSTFR miroir)
https://www.bitchute.com/video/thgHE7VUsDrn/ (VO)
https://www.youtube.com/watch?v=GziGynAo0ek (VO)
Sous-titres en .srt

Voir aussi : Pourquoi les gens commenceront à mourir quelques mois après les premières vaccinations

Dr. Lee Merritt : Dans les études sur les animaux, après avoir été injectés avec la technologie de l’ARNm, tous les animaux sont morts lors de la réinfection

Lien vidéo Bitchute

Source : https://humansarefree.com/2021/02/dr-sherri-tenpenny-explains-how-the-mrna-injections-might-cause-mass-deaths-3-6-months-after-being-injected.html
Traduction par https://cv19.fr

Le taux de suicide chez les jeunes augmente, les services de pédopsychiatrie arrivent à saturation + liste d’articles

Des enfants qui rentrent chez eux en demandant à leurs parents s’il faut qu’ils se suicident. Une augmentation de 20% du passage à l’acte chez les adolescents, rapporte Europe 1.

C’est à Strasbourg que le service de pédopsychiatrie arrive à saturation.

Catherine, en première ligne, alerte sur la détresse psychique des jeunes dans notre pays.

En cause évidemment, les mesures sanitaires inhumaines imposées à notre jeunesse, alors que le Covid ne touche en grande majorité que les personnes âgées.

Elle explique que face à cette surcharge, son service n’est plus en mesure de pouvoir aider et accompagner au mieux les enfants et les adolescents.

Voilà encore un signe de la gestion criminelle de la crise de la part du gouvernement, qui prétend vouloir sauver des vies de personnes âgées en sacrifiant les jeunes… Une façon – une de plus – de diviser (jeunes et vieux cette fois). Les personnes âgées ne sont pourtant pas oubliées puisque si le protocole du Pr Raoult est interdit dans les Ehpad, en revanche le Rivotril est fortement conseillé…

Source : lemediaen442.fr

Voir aussi : En pédopsychiatrie, le tri des patients a commencé… (06-02-21)
– Article du Figaro en novembre : “20 % des Français envisagent de se suicider”https://www.lefigaro.fr/vox/societe/confinement-la-vague-de-depression-qui-arrive-est-inedite-par-son-ampleur-20201123
– Chez les artisans-commerçants, on atteint le chiffre d’une personne sur quatre !  Parmi les artisans-commerçants qui ont envisagé le pire, 42% disent être passés à l’acte, avec une hospitalisation (contre 27 % en moyenne toutes catégories confondues):https://www.lhotellerie-restauration.fr/journal/restauration/2020-12/recrudescence-des-suicides-chez-les-chefs-d-entreprise-et-artisans-commercants.htm
https://fr.sputniknews.com/france/202101311045157880-la-france-connait-une-vague-psychiatrique-face-a-lepidemie-du-covid-19-selon-un-medecin-parisien/

Quelques articles récents sur des suicides liés aux mesures sanitaires :

A Las Vegas:
– 18 jeunes se sont suicidés à cause de l’arrêt des écoles et universités, le plus jeune avait 9 ans :https://www.nytimes.com/2021/01/24/us/politics/student-suicides-nevada-coronavirus.html
En France :
– Suicide d’un handicapé de 31 ans en France à cause de l’isolement du confinement :https://www.marieclaire.fr/confinement-un-jeune-homme-handicape-s-immole-par-le-feu-a-cause-de-l-isolement,1351318.asp
– Un restaurateur au Pays-Basque:
https://fr.theepochtimes.com/cuisinier-met-fin-a-jours-pays-basque-y-a-enormement-de-suicides-profession-1655107.html
– un étudiant d’HEC (7/04/2021) :https://etudiant.lefigaro.fr/article/un-etudiant-en-confinement-s-est-suicide-sur-le-campus-d-hec_db0d2024-7972-11ea-ae87-f757a46fe2ef/
– une restauratrice bretonne de 36 ans (17/11/2020) :
https://breizatao.com/2020/11/19/plougoumelen-detruite-par-la-politique-de-confinement-gouvernementale-ghislaine-restauratrice-de-36-ans-se-suicide/
– un étudiant à Lyon (défénestration mais vraiment mort ? 9/01/2021) :https://fr.sputniknews.com/france/202101121045057930-il-y-a-eu-trois-suicides-parmi-les-extras-la-perspective-dun-nouveau-confinement-epouvante-/
– 3 suicides d’extras dans l’événementiel et la restauration (12/01/2021) :https://fr.sputniknews.com/france/202101121045057930-il-y-a-eu-trois-suicides-parmi-les-extras-la-perspective-dun-nouveau-confinement-epouvante-/
– une étudiante à Lyon, tentative (12/01/2021), le même article parle de 3 suicides en décembre 2020 :https://www.lefigaro.fr/faits-divers/lyon-une-etudiante-tente-de-se-defenestrer-20210113
– un cafetier dans les Vosges (13/01/2021):https://www.midilibre.fr/2021/01/23/coronavirus-le-suicide-de-rudy-noel-en-fait-la-premiere-victime-officielle-chez-les-cafetiers-9329349.php
– une étudiante à la Sorbonne (13/01/2021) :
https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/suicide-d-une-etudiante-en-medecine-de-la-sorbonne-a-paris-le-covid-19-l-a-isolee_38792362.html
Belgique :
– Alysson, 24 ans, barbière à Liège :https://www.sudinfo.be/id281514/article/2020-11-17/triste-nouvelle-liege-alysson-la-jeune-barbiere-de-24-ans-qui-venait-douvrir-son
– Un restaurateur à Liège :
https://fr.metrotime.be/2020/08/06/must-read/un-restaurateur-liegeois-se-suicide-a-cause-du-coronavirus/
Japon :
– plus de morts liés aux suicides qu’au Covid : https://www.20min.ch/fr/story/le-suicide-a-fait-plus-de-morts-en-octobre-que-le-covid-19-sur-toute-lannee-673640005863

Les vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole ont-ils été mieux évalués que ceux contre le COVID-19 ?

Il n’est pas inutile parfois de faire un bref retour en arrière, un petit regard dans les rétroviseurs ou encore mieux une franche plongée dans les archives, pour comprendre notre présent.

C’est ce que j’ai fait (la plongée dans les archives) à propos des vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole.

Ça donne un livre qui permet de mieux comprendre à la fois ces maladies bénignes et les vaccins qui sont proposés pour nous en protéger.

Dans ce bref message, je vais uniquement discuter la rougeole et son vaccin.

Ça ne veut pas dire qu’il faille négliger les deux autres maladies discutées dans le livre (les oreillons et la rubéole) et leurs vaccins. Elles sont autant révélatrices que la rougeole du niveau calamiteux de la médecine des vaccins aujourd’hui.

Chacun pourra ainsi, par comparaison avec les récents évènements vaccinaux autour de la COVID-19, se faire une idée de ce qu’est la médecine des vaccins ; mais aussi ce qu’est la science des vaccins

Chacun pourra ainsi mieux comprendre tout ce qu’on a raconté à propos de la rougeole et ses vaccins ; et tout ce qu’on raconte aujourd’hui à propos de la COVID-19 et ses multiples vaccins.

En effet (et c’est un premier intérêt du Livre), la rougeole et son vaccin éclairent la COVID-19 et ses vaccins ; et vice versa !

Dit autrement, l’histoire de la médecine et des vaccins est un constant recommencement ; on répète les bêtises d’hier ; on n’apprend pas de ses erreurs ; c’est à mon avis un bon indicateur de l’état de santé de nos nos sociétés : elles sont gravement malades, et pas que du COVID.

Ce livre est le numéro 6 de la Collection Vaccins & Société et il est publié après le numéro 7, celui traitant des vaccins contre la grippe.
En effet, il devait être publié en Février/Mars 2020, juste avant l’annuelle flambée de rougeole ; mais le confinement brutal du printemps 2020 (avec la fermeture des librairies et des distributeurs) nous a contraint à reporter sa publication d’une année.

Avec une question immédiate : aurons-nous une flambée de rougeole à la sortie de l’hiver 2021 ?

Pourquoi cette question ?

Parce que, en raison du confinement (probablement), il n’y a pas eu de flambée de rougeole en 2020 en France.

C’est un point crucial, et ce qui va se passer en 2021 est très intéressant : d’autres facteurs que la vaccination influencent-ils la survenue de flambées de rougeole ?

Si c’était le cas, les argumentaires en faveur de l’obligation de vacciner les bébés contre la rougeole perdraient beaucoup de leur force !

Prétendre que seule la vaccination, et une couverture vaccinale proche de 95%, permettent d’empêcher les flambées est donc en question avec la quasi expérience du confinement en 2020.

En fait, en rédigeant ce Livre 6 (sur le vaccin antirougeole), j’étais déjà arrivé à ces questionnements. Ci-dessous la 4ème de couverture du Livre rédigée à l’automne 2019.

D’où viennent ces certitudes des universitaires, académiciens et autres autorités sanitaires concernant l’efficacité des vaccins contre la rougeole ?

Comme je l’explique dans le Livre, seuls les essais cliniques randomisés en double aveugle permettent de démontrer l’efficacité d’un produit de santé, y compris les vaccins. Nous n’en n’avons pas avec le vaccin contre la rougeole.

Faute d’essai clinique, on peut se contenter de données épidémiologiques faibles comme, par exemple, les concordances entre vaccination et incidence et mortalité due à la rougeole. Je montre qu’il n’y a pas de concordance !

Et je montre aussi que chaque année, on décrit des flambées de rougeole dans des populations hautement vaccinées (à plus de 90%).

Ces multiples interrogations ne trouvent pas de réponse satisfaisante de la part des autorités sanitaires qui ne cessent de rabâcher les mêmes discours cataclysmiques.

Nous pouvons comprendre que l’OMS (qui se préoccupent des grandes maladies contagieuses sur l’ensemble de la Planète) s’inquiètent de la rougeole dans certains pays en développement où pourtant on vaccine de plus en plus (ci-dessous).

Mais pourquoi des titres (des slogans) aussi spectaculaires alors qu’en France, on compte en moyenne (sur les 10 dernières années) un décès par an dû à la rougeole (page 50-51 du Livre).

Utiliser des chiffres (suspects) venant de pays africains (par exemple) pour légitimer les obligations vaccinales en France est de la désinformation.

Il n’y a pas que l’OMS qui s’autorise de telles outrances. Ci-dessous un document concernant l’Ile-de-France.

Ce document date de janvier 2020.
Pas de chance : en 2020, il n’y a pas eu de flambée de rougeole en 2020 et ce n’est pas grâce à la vaccination.

L’épidémiologie est une discipline cruelle pour les amateurs !

Dans ce livre, je discute aussi les effets indésirables de la vaccination contre la rougeole.

Ils ont donné lieu à des controverses brûlantes, notamment aux USA et au Royaume-Uni. Les médias français ne se sont pas privés de participer à ce festival de désinformations pitoyables.

J’en donne quelques exemples et notamment je raconte la véritable histoire de la question vaccin antirougeole/autisme avec comme vedette principal le pédiatre anglais Wakefield.

J’espère que les journalistes francophones iront enfin vérifier les données brutes et cesseront d’accabler ce malheureux collègue.

Voir aussi : Les décès dus aux maladies infectieuses avaient diminué de près de 90 % AVANT l’introduction des vaccins…

Source : https://michel.delorgeril.info/politique-de-sante/les-vaccins-contre-la-rougeole-les-oreillons-et-la-rubeole-ont-ils-ete-mieux-evalues-que-ceux-contre-la-covid-19/

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