Traitements

Deuxième vague : plus de 120 000 patients traités avec succès.

Plus de 120 000 patients ont été traités en phase précoce lors de la seconde vague, et Macron, Véran, Castex et Salomon ne voient toujours rien, refusent de se pencher sur le traitement précoce du Covid. Ces patients traités n’existent pas, rappelez-vous Castex devant les députés : « je ne sais pas de quoi vous parlez ». Seuls les patients passant par la case hôpital les intéressent.

120 000 patients, ce n’est pas moi qui le dit, mais la Sécurité Sociale, publication téléchargeable ici. Si vous faites le décompte du surplus de consommation d’Azithromycine dans le tableau ci-dessous, vous constaterez que près de 120 000 patients en ont reçu sur les 3 derniers mois, sans compter les autres antibiotiques, Hydroxychloroquine, Ivermectine et autres thérapeutiques possibles.

Périodes de 15j, de janvier au 22 novembre

Il semble que de plus en plus de médecins ne suivent pas les consignes régulièrement envoyées par Monsieur Salomon et toutes ces sommités médicales qui ne sont pas au contact des patients.

Pourquoi « avec succès » ? La seconde vague, plus importante que la première, a conduit à moins d’hospitalisations et de passages en réanimation.

Plus importante ? Le nombre de patients traités est indiscutable, le nombre de passages en réanimation est indiscutable, mais si on est passé de 164 000 cas pour la première vague à 2 326 000 cas pour la seconde, ces chiffres ne permettent pas de comparer objectivement l’importance des 2 vagues, car il dépend surtout du nombre de tests pratiqués.

Par contre les taux de positivité, d’incidence et le R effectif, permettent peut-être d’en montrer l’importance, le taux de positivité étant 8 fois plus important dans la seconde vague, alors qu’il aurait dû l’être dans la première vague, puisqu’on ne testait que des malades positifs, qui rentraient à l’hôpital ! La seconde vague a été plus forte que la première, plus supportable par le système grâce aux médecins désobéissants.

Par contre en ce qui concerne la mortalité, on peut constater que le résultat n’est pas à la hauteur : 30 000 morts pour la première vague, 30 000 morts pour la seconde. Ce chiffre n’a pas baissé. Peut et doit mieux faire. Il y a toutefois un chiffre à considérer : les décès en Ehpad représentaient le tiers des décès en première vague, sans doute près de la moitié en seconde vague. Le nombre de décès hors Ehpad semble donc avoir diminué, et d’après les renseignements que j’ai, s’il y a bien un endroit où on applique les consignes gouvernementales, c’est bien les Ehpad.

Ces 120 000 traités, sachant que tous les témoignages de médecins qui traitent, sans aucune exception, font état de moins de 1% d’hospitalisations, contre 10% chez les non traités (nous ne parlons dans les deux cas que des symptomatiques, pas des positifs), cela fait 12 000 hospitalisations évitées, 1 500 à 2 000 réanimations évitées, 7 à 800 décès en moins.

Médecins de France, ne démissionnez pas face à la maladie, traitez. Il n’y a pas de fatalité, et si vous êtes sceptiques, essayez au moins, et vous jugerez par vous-même, c’est le meilleur moyen de vous faire votre propre opinion.

A propos de notre Président touché par la maladie, vous posez tous la question, est-ce qu’il prend quelque chose, et quoi ? Je crois que nous avons la réponse avec le communiqué laconique du 6 éme jour, « en voie d’amélioration ». S’il avait eu Ivermectine + AZI ou AZI seule, 48 heures après il était à l’Elysée en pleine forme, selon tous les témoignages de soignants et de soignés. Il n’a probablement rien pris.

J’en profite pour vous souhaiter de bonnes fêtes, et une idée de cadeau, tout à fait d’actualité et qui fera très plaisir : quelques boîtes d’AZI, d’IVER ou d’HCQ, surtout pour papi et mamie, à mettre sous le sapin, afin de ne pas finir dans le sapin

24 décembre, dernière minute : petit cadeau de Noël pour taire les prescripteurs (et moi ?), de la part de Castex. Modification du code de déontologie du 22 décembre, paru au JO le 24 :

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042731060

Extrait de l’Article 1 :

« Art. R. 4127-13. – Lorsque le médecin participe à une action d’information du public à caractère éducatif, scientifique ou sanitaire, quel qu’en soit le moyen de diffusion, il ne fait état que de données confirmées, fait preuve de prudence et a le souci des répercussions de ses propos auprès du public.

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