Category: Traitements

Les Etats-Unis achètent pour 5 milliards de dollars de pilules COVID Pfizer (10 millions de dollars de vitamine D suffiraient)

Les États-Unis prévoient d’acheter suffisamment de pilules antivirales Covid Pfizer pour 10 millions de personnes. (New York Times – 16 nov. 2021)

4 comprimés de vitamine D (total de 200 000 UI) peuvent apporter un bénéfice similaire à un coût bien moindre.
Environ 20 doses par flacon de 20 $ = 1 $ par dose
Donc, 10 millions de doses = 10 millions de dollars

Quelques études sur la vitamine D et le COVID, évaluées par des pairs.

(liens en anglais, google translate disponible sur les pages)

Comparaison des options de traitement précoce

Vitamine D
>100 entreprises
Molnupiravir
Merck – breveté
Paxlovid
Pfizer – breveté
Coût par traitement 1 $ 700 $ <700 $
Expérience
avec le médicament
>100.000.000 de personnes
sur plus de 70 ans
400 personnes dans un essai contrôlé
randomisé sur quelques mois
1200 personnes
1 mois
Études COVID
du traitement
100 revues par les pairs pas d’examen par les pairs Communiqué de presse
Réduction du risque
d’hospitalisation
>2X jusqu’à 8X 2X 6X
Vacciné ? sans importance les participants à l’essai
étaient NON-vaccinés
les participants à l’essai
étaient NON-vaccinés
Problèmes de santé
traités
COVID-19, rhumes, grippe,
coronavirus, +64 autres
COVID-19 COVID-19
Prévention des
problèmes de santé
avec dosage périodique
26 problèmes de santé
aucun aucun

Article original (anglais), contient énormement de ressources sur la vitamine D, une référence en la matière : https://vitamindwiki.com/

Covid-19 – Manque de zinc, de sélénium… L’alimentation est-elle un facteur aggravant ?

Par Martial Mehr

Des scientifiques de l’université de Gand en Belgique ont publié une étude indiquant que les personnes qui sont tombées gravement malades de la Covid-19 ont un point commun, à savoir une carence alimentaire. 

“Presque tous les patients qui finissaient par tomber gravement malades ou même mourir à l’hôpital présentaient une grave carence en sélénium et en zinc dans leur sang à l’admission”. Voilà les résultats insolites d’une étude menée par les scientifiques de l’université de Gand. Pour arriver à de tels résultats, ils ont étudié le sang de 138 malades du virus ayant été admis l’année dernière dans deux hôpitaux. “Nous voulions vérifier le niveau de certains nutriments dans le sang des patients“, explique le professeur Gijs Du Laing au média belge 7sur7. “Nous savions, grâce à des études antérieures, que les personnes présentant des carences en certains nutriments sont beaucoup plus gravement atteintes par certaines infections virales. Nous voulions savoir s’il en était de même pour le Covid-19“, indique le chercheur. 

Une carence en sélénium ou en zinc dans le sang au moment de l’admission à l’hôpital s’est même avérée être un facteur de risque plus important que le diabète, du cancer, de l’obésité ou des maladies cardiovasculaires.

Parmi les patients atteints de Covid qui sont décédés dans les unités de soins qu’ils ont étudiés, sept sur dix présentaient donc une grave carence en sélénium et en zinc, comme le rapporte le scientifique. “Les patients qui ne présentaient pas cette carence, ou chez qui elle était moins prononcée, ont quant à eux plus souvent survécu au Covid-19 et se sont rétablis plus rapidement. Ils sont tombés nettement moins gravement malades“, ajoute le professeur.

Une carence en sélénium ou en zinc dans le sang au moment de l’admission à l’hôpital s’est même avérée être un facteur de risque plus important que le diabète, du cancer, de l’obésité ou des maladies cardiovasculaires.

Food for thought @sciensano! We have proven that blood selenium & zinc status relate to course & survival of #COVID19 patients with comorbidities https://t.co/OhDhxytqtv @ugent @uzgent @azJanPalfijn @FbwUGent @louis_ide @MartheDeBoevre @carllachat @saeger_sarah @MirkoPe41401841

— Gijs Du Laing (@gdulaing) September 22, 2021

Le professeur Du Laing et ses collègues ne sont pas les seuls à partager cette théorie. Une étude similaire a été publiée en Allemagne.

Enfin, pour le chercheur, il est urgent de travailler sur l’alimentation dans les centres de soins comme les Ehpad. D’où l’hypothèse avancée : “Si vous savez qu’il y a beaucoup de personnes vulnérables, il faut accorder une attention particulière au sélénium et au zinc dans l’alimentation. Un grand nombre de personnes âgées ne mangent pratiquement plus de viande, parce qu’ils ont des problèmes de mastications et qu’ils la laissent donc de côté, par exemple. Actuellement, les personnes âgées vivant dans des centres de soins résidentiels reçoivent principalement des suppléments de fer ou de vitamine D en plus de leur régime alimentaire, alors que beaucoup ont également besoin de sélénium et de zinc pour le bon fonctionnement de leur système immunitaire“.

Source : https://www.lindependant.fr/2021/10/11/covid-19-manque-de-zinc-de-selenium-lalimentation-est-elle-un-facteur-aggravant-des-chercheurs-belges-font-une-decouverte-fracassante-9844957.php

Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène

Par Xochipelli

Tous ceux qui ne sont pas enclins à confronter la vérité du génocide vaccinal, au parfum d’oxyde de graphène – parce qu’ils ont les viscères trop perméables – peuvent, toujours, considérer que ce dossier présente un spectre d’anti-oxydants qui, pour la plupart, ont été validés à l’encontre du tableau de symptômes dénommés Covidiens.

Aujourd’hui, la mission de tout être humain, qui se respecte, c’est de guérir, quotidiennement, la Nature, en lui, qui est, perpétuellement, assaillie par les vecteurs génocidaires de la Techno-Culture Transhumaniste. La question est, maintenant, de savoir si toute personne refusant de confronter la vérité du génocide vaccinal est, authentiquement, capable de “se guérir”.

Tous ceux qui sont enclins à se réveiller peuvent, aisément, commencer à concevoir que la Mafia Pharmacratique n’a pas attendu d’agrémenter les injections anti-CoqueVide/19, avec de l’oxyde de graphène, pour contaminer les “vaccins”, depuis de nombreuses années, avec une foultitude de nécro-nano-particules.

Aujourd’hui, le vecteur de l’Ennemi, c’est la graphénisation par le biais du Syndrome de la Couronne Nécro-Moléculaire – en l’occurence, la Spike de l’Oxyde de Graphène.

Aujourd’hui, la vaccination graphénisante représente, très clairement, la ligne de démarcation entre, d’une part, ceux qui optent pour le suicide collectif et, d’autre part, ceux qui veulent survivre, et vivre en Paix, dans la Beauté qui Vient.

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Sommaire

* Le Glutathion

* La Cystéine

* La Glycine

* L’Acide Glutamique

* La N-AcétylCystéine

* La Mélatonine

* La Vitamine D et la Fortification du Système Endocannabinoïde

* La Vitamine C

* La Nicotine et le Tabac

* Les Artémisias

* Les Plantes Médicinales très Anti-Oxydantes

* Le Charbon de Bois Activé

* Les Zéolithes

* Les Micro-Organismes Efficaces du Professeur Teruo Higa

* Le Dioxyde de Chlore

* Le Zinc

* L’Acide Shikimique

* Les Protocoles Anti-Graphène

* Autres Substances Anti-Oxydantes et Réductrices de l’Oxyde de Graphène

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Le Glutathion

Le glutathion constitue la protéine de jouvence – par excellence. C’est un protecteur cellulaire, un adaptogène, un anti-oxydant, un détoxifiant, un promoteur du système dénommé immunitaire, un nutriment essentiel, une substance énergisante, anti-vieillissement et médicinale…

La supplémentation, ou la stimulation de la production endogène, de glutathion est conseillée pour ces diverses conditions ou pathologies: lactation, stress, performances athlétiques, detoxication, fatigue, épilepsie, troubles du sommeil, maladies neuro-dégénératives (Parkinson, Alzheimer…), maladies cardiaques, digestion, troubles rénaux, pathologies stomacales et intestinales, maladies pulmonaires, traumatismes, brulures, hépatites, diabètes, sinusites, problèmes d’audition, etc, etc.

La supplémentation directe en glutathion n’est pas très métabolisable et disponible – car il est détruit, en grande partie, par les sucs digestifs.

Pour une sélection et une analyse des divers produits de supplémentation de glutathion proposés dans le commerce, voir les articles du site de médecines naturelles, Doctonat. [1343]  [1344]

Un adulte en bonne santé possède, environ, 10 grammes de glutathion dans le corps. L’apport quotidien, provenant de l’alimentation, constitue seulement de 1 à 1,5% du glutathion corporel total en circulation.

Le glutathion est le principal anti-oxydant dans l’organisme. Il en existe deux formes: le glutathion réduit (GSH) – qui est la forme biologiquement active – et le glutathion oxydé (GSSG). Dans les cellules et les tissus sains, le glutathion réduit représente plus de 90% du glutathion total. Le ratio de glutathion réduit/glutathion oxydé constitue l’un des marqueurs les plus essentiels du stress oxydatif.

Sur le site du gouvernement US, PubMed, il existe plus de 100 000 articles en référence au glutathion. L’élévation, dans l’organisme, du taux de glutathion a été cliniquement validée dans le soulagement des pathologies suivantes: tous les cancers, maladies neuro-dégénératives (Parkinson, Alzheimer…), asthme, brulures, cataractes, maladies dénommées auto-immunes, pathologies du foie, du coeur, des reins, des poumons, du système digestif, la sclérose en plaques, l’hépatite, l’épilepsie, les problèmes dermatologiques, les tumeurs, les glaucomes, les fibromyalgies, les grippes…

Même si l’apport quotidien de glutathion, au travers de l’alimentation, est faible, il participe, néanmoins, à la détoxication quotidienne des intestins car ce sont les cellules de l’intestin qui, en premier, le métabolisent – et, plus particulièrement, les cellules de la lumière de l’intestin. De ce fait, sa présence dans les intestins permet, également, d’améliorer l’absorption globale de tous les nutriments.

Chez le nouveau-né, le lait maternel constitue la seule source de glutathion – parce qu’il est composé, à 60%, de lactosérum extrêmement riche en cystéine. Le lait maternel perd 80% de son glutathion après deux heures de réfrigération ou de congélation et il perd 73% de son glutathion après deux heures de température ambiante.

Les fruits et légumes qui contiennent le plus de glutathion sont les suivants par ordre d’importance: avocats et asperges (avec près de 30 mg/100 g); noix et pommes de terre (avec 15 mg/100 g); épinards et gombos (avec près de 12 mg/100 g); brocolis, tomates, melons, carottes, pamplemousses, oranges, courges, fraises, pastèques, papayes, piments, pêches (entre 5 et 10 mg/100 g); citrons, mangues, bananes, choux, concombre, piments immatures, pommes, raisins (entre 3 et 5 mg/100 g). [1268] En ce qui concerne le glutathion dans les viandes de poulet, de boeuf, de porc, de veau, etc, elles en possèdent, en moyenne, de 13 à 30 mg/100 g – en fonction des viandes et en fonction des processus de cuisson.

Les taux de glutathion, présentés ci-dessus, concernent des fruits et des légumes qui sont consommés crus. En effet, la cuisson détruit une bonne partie de cet anti-oxydant.

Le reste du glutathion s’élabore, dans le corps, à partir de trois acides aminés: la cystéine, l’acide glutamique et la glycine. Ainsi, pour augmenter le taux de glutathion dans le corps, il est, surtout, conseillé de consommer des aliments qui contiennent une abondance de ces trois acides aminés – qui en sont les précurseurs.

La Cystéine

La cystéine est un acide aminé soufré. C’est l’élément constitutif le plus essentiel de ces trois acides aminés car elle contribue au groupe sulfhydryle du glutathion – d’où l’abréviation de celui-ci en GSH pour Glutathion SulfHydryle.

Il existe, même, une étude, de 2011, portant sur la réduction (écologique) de l’oxyde de graphène avec la cystéine. [1491]

Dans l’apport quotidien de nourriture, elle constitue le facteur limitant en ce qui concerne un taux élevé de glutathion dans l’organisme. En effet, elle doit se présenter sous une forme qui puisse survivre le transit de la bouche aux cellules – à savoir qu’elle doit être incluse dans une plus grosse molécule.

En fonction des sources nutritionnelles, l’apport quotidien conseillé, de cystéine/méthionine, pour un adulte de 70 kgs, est d’environ de 1200 à 3000 mg.

La cystéine endogène. La cystéine peut être produite par l’organisme à partir d’un autre acide aminé soufré: la méthionine. La méthionine est l’un des 22 acides aminés protéinogènes, et l’un des 9 acides aminés essentiels (à savoir ne provenant que de la nourriture).

On trouve, principalement, de la méthionine dans: toutes les viandes et poissons, les oeufs, les produits laitiers, la quinoa, l’amaranthe à grains, le sarrasin, le sésame, les noix de Brésil, les graines de chanvre/cannabis. Il s’en trouve également dans les haricots secs, et autres légumineuses, mais en trop petite quantité, généralement, pour qu’elle puisse contribuer, de façon conséquente, à la production endogène de cystéine.

La métamorphose de la méthionine, en cystéine, requiert un processus relativement laborieux impliquant la présence de certains enzymes et vitamines B. Ce processus s’avère facilement perturbé lorsque il prévaut des maladies du foie et autres faiblesses du système métabolique.

De plus, on ne peut pas considérer la méthionine comme la source principale de cystéine, afin d’élaborer le glutathion, car elle se transforme, également, en homocystéine – un acide aminé non protéinogène dont l’excès, dans l’organisme, peut induire des maladies cardiovasculaires graves: athérosclérose, infarctus du myocarde, accidents vasculaires cérébraux, thromboses, etc.

La cystéine exogène. La cystéine est présente dans tous les aliments hautement protéinés: viandes, poissons, fruits de mer, produits laitiers, oeufs, quinoa, avoine, amaranthe à grains… Elle se trouve, également, en moindres quantités dans certains légumes tels que: brocolis, chou de Bruxelles, piments doux, oignons, ail, graines de tournesol, dattes, graines de chanvre/cannabis, levure de bière, germes de blé, beurre d’amande, champignons Shiitake.

Une portion de 100 grammes de porc, boeuf, poulet, contient 350 mg de cystéine. Une portion de 100 grammes d’avoine en contient 100 mg. Une portion de 100 grammes d’oeuf en contient 290 mg. Une portion de 100 grammes de graines de tournesol en contient 390 mg. Une portion de 100 grammes de gruyère en contient 300 mg. Une portion de 100 grammes de lentilles en contient 180 mg.

En fait, c’est le petit lait, le lactosérum, qui recèle le plus de cystéine car il contient diverses protéines sériques très riches en cystéine: β-lactoglobuline, α-lactalbumine, sérum albumine, lactoferrine et immunoglobulines. La lait cru contient de 5 à 10 % de protéines dont la caséine constitue 80% et le petit lait 20%.

Il existe diverses méthodes de réduction de l’oxyde de graphène par le biais des bactéries lactiques telles que Lactococcus lactis [1465], Lactobacillus plantarum [1466].

Il existe une étude, de 2020, sur l’action thérapeutique du petit lait à l’encontre du CoqueVide/19 – donc à l’encontre de l’oxyde de graphène. [1467]

La Glycine

La glycine est produite, dans le corps, à partir des acides aminés sérine et thréonine. En sus d’être l’un des trois composants du Glutathion, elle participe, également, à l’absorption harmonieuse du calcium ainsi qu’à l’édification d’un système immunitaire robuste. C’est un acide aminé important pour la santé de la prostate.

La glycine est présente dans les aliments suivants: viandes, poissons, fruits de mer, produits laitiers, oeufs, légumineuses et noix, amandes, noisettes, bananes séchées, oranges, choux, algues, asperges, épinards…

L’Acide Glutamique

L’acide glutamique, en sus d’être l’un des trois éléments constitutifs du glutathion, est une molécule-clé dans le métabolisme cellulaire et, également, le neuro-transmetteur excitateur le plus abondant dans le cerveau. C’est un acide aminé non essentiel car il est, également, produit par l’organisme. Il en existe deux formes: une forme liée, en tant que composant de protéines, et une forme libre.

Le lait maternel contient 10 fois plus d’acide glutamique que le lait de vache.

L’acide glutamique libre est présent dans les aliments suivants: produits laitiers non pasteurisés, algues, fruits de mer, poissons, viandes, sauce fermentée au soja, champignons.

Les légumes qui en contiennent le plus sont: sojas, petits pois, graines de courges et de tournesols, arachides, amandes, pistaches, oignons, lentilles, tomates, choux, etc.

La N-AcétylCystéine

En juillet 2020, la FDA, aux USA, initia un processus de prohibition de la N-Acétylcystéine et menaça de poursuites légales sept grandes sociétés de compléments alimentaires. [477] En mai 2021, le géant Amazon a décidé de discontinuer tout produit contenant de la N-Acétylcystéine. [478] Aujourd’hui, aux USA, la FDA n’a pas encore prohibé, officiellement, [480] la N-Acétylcystéine.

La N-Acétylcystéine (NAC) est un dérivé synthétique – qui n’existe, donc, pas dans la Nature – de la cystéine. La cystéine est un précurseur du glutathion, l’un des deux anti-oxydants les plus puissants dans le corps.

Pourquoi, donc, la FDA tente-t-elle de prohiber la N-Acétylcystéine (qui possède de très nombreuses qualités thérapeutiques) dans les compléments alimentaires, alors qu’elle est utilisée, aux USA, depuis 57 années – en tant que remède et en tant que complément alimentaire?

Pour mémoire, la recherche sur la N-Acétylcystéine produit 549 études listées sur le site Clinicaltrials.gov du gouvernement US. [479]

Tout simplement parce que la N-Acétylcystéine constitue le troisième traitement (allopathique) des symptômes du dénommé CoqueVide/19 – à la suite de l’Hydroxychloroquine et de l’Ivermectine. Ces deux dernières substances ont été interdites par l’OMS, et/ou leurs valets politiques corrompus, afin que la FDA, et les Agences de Sécurité Européenne, donnent des autorisations d’urgence à des injections, prétendument “expérimentales”, jusqu’en 2023.

Les études sur le traitement du CoqueVide/19 avec la N-Acétylcystéine ont commencé à émerger au printemps 2020. Une première étude a été publiée, en avril 2020, dont l’intitulé est: “N-acetylcysteine: A rapid review of the evidence for effectiveness in treating COVID-19”. [484]

Trois études ont, ensuite, été publiées, durant l’été 2020: “Efficacy of N-Acetylcysteine (NAC) in Preventing COVID-19 From Progressing to Severe Disease” [476]; “Rationale for the use of N-acetylcysteine in both prevention and adjuvant therapy of COVID-19” [485]; “N-acetylcysteine as a potential treatment for novel coronavirus disease 2019”. [487]

Une autre étude, intitulée “N-Acetylcysteine to Combat COVID-19: An Evidence Review”, fut publiée, en novembre 2020, afin de mettre en exergue les qualités thérapeutiques de la N-Acétylcystéine à l’encontre du CoqueVide/19. Les conclusions de cette étude sont que la N-Acétylcystéine possède les fonctions les suivantes: elle est antivirale (pour ceux qui croient aux virus pathogènes); elle est immuno-modulatrice; elle réduit l’émergence des pneumonies; elle fait baisser la mortalité en soignant les poumons. [482]

Une autre étude fut publiée, en avril 2021, qui est intitulée “The efficacy of N-Acetylcysteine in severe COVID-19 patients: A structured summary of a study protocol for a randomised controlled trial”. [483]

Une autre étude fut publiée, en juin 2021, qui est intitulée “A pilot study on intravenous N-Acetylcysteine treatment in patients with mild-to-moderate COVID19-associated acute respiratory distress syndrome”. [486]

Voici un extrait de l’introduction de l’une des études pharmacologiques – préconisant l’usage de la N-Acétylcystéine à l’encontre du CoqueVide/19 – afin de présenter l’identité, et donc les fonctions, de la N-Acétylcystéine.

« La N-Acétylcystéine fut introduite dans les années 1960 comme remède mucolytique dans le cas de maladies respiratoires chroniques. Elle se caractérise par une fiche de sécurité bien établie et elle est encore communément utilisée, oralement, à raison de doses de 600mg/jour en tant que mucolytique. Dans le cadre hospitalier, elle est également utilisée comme antidote aux overdoses de paracétamol (avec des formulations contenant jusqu’à 150 mg/kg) et sous mode nébulisé chez les patients souffrant de maladie bronchopulmonaire aigüe (pneumonie, bronchite, trachéo-bronchite). La N-Acétylcystéine rend les muqueuses bronchiques moins visqueuses. In vitro, les dérivés de la cystéine agissent en cassant les liaisons disulphure entre les macromolécules – ce qui induit une réduction de la viscosité des muqueuses.

Cependant, à des doses supérieures (≥ 1200mg), la N-Acétylcystéine agit, également, comme antioxydant au travers de mécanismes complexes qui peuvent combattre des conditions de stress oxydatif. La N-Acétylcystéine est un dérivé de l’acide aminé naturel, la cystéine, qui sert de précurseur à la synthèse du glutathion dans le corps avec une activité anti-oxydante. Cela permet de réduire la formation de cytokines pro-inflammatoires, telles que la IL-9 et la TNF-α et cela possède, aussi, des propriétés vasodilatatrices en accroissant les taux de GMP (guanosine monophosphate) cycliques et en contribuant à la régénération du facteur relaxant dérivé de l’endothélium. C’est ce mécanisme potentiel anti-oxydant qui a suscité de l’intérêt de par la pandémie actuelle du Covid-19 et de par son utilité thérapeutique potentielle dans les communautés».  Traduction de Xochi. [484]

Le dosage conseillé est de 1200 à 2400 mg par jour – sur un estomac vide.

Suite à la prescription sauvage de Paracétamol – pour soulager les symptômes Covidiens ou prévenir les effets adverses post-vaccinaux – c’est, également, la N-Acétylcystéine qui permet de soigner la toxicité au paracétamol dans le corps. [512]

Il est à noter, de plus, que le paracétamol (qui est le médicament allopathique le plus prescrit en France) réduit les taux de glutathion, dans le foie, de 70 à 80%. [490] Par conséquent, de par le fait que, déjà, l’oxyde de graphène détruit le glutathion dans le corps, il semble suicidaire de continuer à prescrire le paracétamol, avant et après les injections anti-CoqueVide/19, afin d’en atténuer les effets secondaires ainsi que certains pharmaciens le conseillent – telle que Marianne Gazzano, pharmacienne biologiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière de Paris [488] ou tel que le psychopathe, Alain Fisher, en charge de la stratégie vaccinale de la PharMacronie. [1116]

Alerte: la plus grande partie de la N-Acétylcystéine, disponible sur le marché, provient de Chine. Elle est confectionnée à partie de soies de porcs, de plumes de volaille… et de cheveux humains – qui sont récupérés chez les coiffeurs. Il est donc important de vérifier, avant tout achat, la provenance et l’origine physique de ce complément alimentaire.

Alerte: l’usage fréquent de la N-Acétylcystéine, sans supervision médicale, n’est pas très conseillé car elle peut provoquer la manifestation de: vomissements, diarrhées, douleurs épigastriques, brûlures d’estomac, saignements rectaux, dyspepsie, nausées, etc.

La Mélatonine

La mélatonine est sécrétée par la glande pinéale du cerveau (épiphyse) de la tombée de la nuit à la levée du jour. La mélatonine est réputée synchroniser les oscillateurs périphériques et permet, ainsi, une organisation harmonieuse des fonctions biologiques au travers des rythmes circadiens. La mélatonine constitue une substance thérapeutique primordiale en ce qui concerne sa détoxification des radicaux libres, son action anti-oxydante, les troubles psychiatriques, les problèmes cardio-vasculaires, les pathologies du système de reproduction, les dysfonctions neuronales, les troubles gastro-intestinaux, les septicémies, etc.

La mélatonine est un anti-oxydant qui, de plus, joue un rôle dans l’activation d’autres anti-oxydants. La capacité de la mélatonine d’accroitre le taux de glutathion dans le corps – en particulier dans les tissus du foie, du cerveau, des muscles et du sérum sanguin – a été validée scientifiquement.

Une requête, sur le site PubMed du Ministère de la Santé US, avec les termes “Melatonin” et “Covid”, renvoie vers 128 études – pour les seules années 2020 et 2021. [1307] Selon ces études, dont certaines cliniques, la mélatonine est très efficace à l’encontre du tableau de symptômes du CoqueVide/19: inflammations, oxydation, problèmes respiratoires, tempêtes de cytokines, anxiétés, troubles du sommeil, délirium, fibroses pulmonaires, problèmes cardiaques, myocardites [1308], problèmes neurologiques [1309], troubles du rythme circadien [1310], apoptosis, perméabilité des vaisseaux sanguins, etc.

Une étude, d’octobre 2020, intitulée “Melatonin restores neutrophil functions and prevents apoptosis amid dysfunctional glutathione redox system”, a mis en exergue les capacités de la mélatonine a régénérer le niveau de glutathion dans le corps. [1311]

Comme de nombreux scientifiques ne peuvent pas s’empêcher de jouer avec le feu, il existe, même, quelques études sur la faisabilité de véhiculer, prétendument plus efficacement, de la mélatonine dans le corps… en la fusionnant avec des nano-particules solides aux lipides ou des nano-particules polymériques. [1312]   [1314] Il existe, par exemple, une étude récente, de 2020, proposant un traitement anti-cancéreux composé de doxorubicine et de mélatonine véhiculées par des nano-particules de graphène et de magnétite ( Fe3O4). [1313]

Par exemple, une étude Allemande, publiée en juin 2020, a mis en exergue les capacités thérapeutiques de la mélatonine à l’encontre des inflammations pulmonaires. «Les capacités protectrices de la mélatonine ont été mises en exergue en raison, principalement, de ses propriétés anti-inflammatoires et anti-oxydantes. Cette protection a été validée dans des pathologies aussi diversifiées que: inflammations allergiques des voies aériennes, lésions pulmonaires aiguës induites par des toxines ou des radiations, pathologies respiratoires telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive, apnées obstructives du sommeil, syndrome néonatal de détresse respiratoire, asphyxie et dysplasie bronchopulmonaires, problèmes respiratoires induits par une septicémie, fibroses pulmonaires idiopathiques et hypertension pulmonaire?. Les résultats prévalant ont été une protection ou une amélioration grâce à la mélatonine conjointement à une réduction de l’expression et de la libération de cytokines pro-inflammatoires, telles que IL-1β, IL-2, IL-6, IL-8 et TNFα, qui est souvent explicitée de par l’interférence avec les récepteurs de type toll, l’inhibition de l’activation  de l’inflammasome NLRP3 et la suppression des signaux NF-κB». Traduction de Xochi. [1315]

Selon Stephen Harod Buhner, dans son ouvrage “Herbal Antivirals”, les plantes médicinales permettant de réduire les tempêtes de cytokines TNF-α incluent: Sureau (Sambucus nigra), Réglisse (Glycyrrhiza glabra), Gingembre officinal (Zingiber officinale), Kudzu (Pueraria montana), Polygale de Virginie (Polygala tenuifolia), la Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baicalensis), Poivre de Chine (Houttuynia cordata), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum).

Selon Stephen Harod Buhner, les plantes médicinales permettant de réduire les tempêtes de cytokines IL-1β incluent: Scutellaire du Baikal (Scutellaria baikalensis), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum), Kudzu (Pueraria lobata), Sénéga Chinois (Polygala tenuifolia). Les plantes médicinales permettant de réduire les tempêtes de cytokines IL-6 et IL-8 incluent: Pastel des Teinturiers (Isatis sp.), Scutellaire du Baikal (Scutellaria baikalensis) et Astragale (Astragalus membranaceus). Sont, également, très bénéfiques, pour ces types de tempêtes de cytokines, les champignons Cordyceps.

Selon Stephen Harod Buhner, les plantes médicinales permettant de moduler la protéine NF-κB (impliquée dans la réponse immunitaire et les tempêtes de cytokines) incluent: Astragale (Astragalus membranaceus), Réglisse (Glycyrrhiza glabra), Gingembre officinal (Zingiber officinale), Kudzu (Pueraria montana), Scutellaire du Baikal (Scutellaria baikalensis), Poivre de Chine (Houttuynia cordata), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum).

La mélatonine est synthétisée à partir de la sérotonine qui est, elle-même, constituée à partir du tryptophane, un acide aminé essentiel, que l’on trouve, principalement, dans: poissons, produits laitiers, céréales, viandes, légumineuses noix et graines, chocolat, fruits… [1481]

La Vitamine D et la Fortification du Système Endocannabinoïde

En 1918/1920, alors que des dizaines de millions de personnes mourraient de pneumonie bactérienne – et non point d’une grippe prétendument Espagnole – les médecins prirent conscience que le taux de mortalité était considérablement diminué lorsque les patients étaient installés au grand air (de par la capacité purificatrice intrinsèque de l’Atmosphère Vivante) et au Soleil – à savoir en situation de réception de Vitamine D.

Voir l’étude, publiée par Richard Hobday,  intitulée “The Open-Air Treatment of Pandemic Influenza”. [1316]  [1317]

Aujourd’hui, c’est une centaine d’études, rédigées en 2021 et 2021, portant sur le soulagement des symptômes Covidiens à l’aide de la Vitamine D3, qui ont été analysées dans une méga-étude intitulée “Vitamin D for Covid-19: real-time meta analysis of 101 studies”. [1320] Selon PubMed, il existe, en fait, des centaines d’études portant sur les relations entre la Vitamine D et le CoqueVide/19. [1321]

Je ne puis que conseiller une étude, de 2017, qui est intitulée “Vitamin D supplémentation to prevent acute respiratory tract infections: systematic review and meta-analysis of individual participant data”. Cette étude met, strictement, en lumière que la supplémentation en Vitamine D réduit l’incidence des “grippes”, et autres pathologies respiratoires, de 50%. [1318]

Que se passe-t-il, de plus, donc, lorsqu’un Coup d’État assigne toute une population à résidence, en tout début de printemps, avec interdictions de promenades? Il s’ensuit, tout simplement, qu’à la sortie de l’hiver (sans vitamine D de par l’inclinaison du Soleil et des jours courts), cette population ne peut bénéficier des largesses de notre étoile, le Soleil, dispensant une générosité de vitamine D – au fil des semaines croissantes en intensité solaire.

Vers la fin de sa vie, le philosophe Rudolf Steiner – après avoir gaspillé 20 années à promouvoir la soupe christo-centrique – donna l’un de ses cycles de conférences, les plus authentiquement Païens, qui fut intitulé “Le Cours aux Agriculteurs” et qui fut à l’origine de l’Agriculture Biodynamique. Ce Cours aux Agriculteurs fut offert, en 1924, suite à la requête de paysans, Suisses et Allemands, effarés que leurs sols agricoles soient complètement oxydés par les intrants chimiques. En effet, l’Agriculture chimique avait déjà sévi, en Europe, depuis 1844 – l’année de publication du “Précis de Chimie” de Justus Liebig-Möser.

Le déficit en Vitamine D tue… d’autant plus que cela fait plus d’un siècle que l’agriculture industrielle, et excessivement toxique, produit une alimentation dont le ratio Omega 3/Omega 6 est de 1/12 à 1/15 alors qu’il devrait être de 1/1 à 1/3. Il en résulte, alors, une oxydation de l’organisme induisant moult pathologies et cancérisations.

Depuis janvier 2011, et la publication dans la revue Nature des recherches réalisées par une équipe Français, nous savons qu’une déficience en acides gras Omega 3 invalide totalement le fonctionnement harmonieux du système des endocannabinoïdes. [1403]

«Les cannabinoïdes affectent puissamment les réseaux neuronaux et ils jouent des rôles neuro-modulateurs essentiels au niveau du système immunitaire et des systèmes nerveux central et périphérique dans le corps humain. Nos corps produisent naturellement des cannabinoïdes (endocannabinoïdes) et les utilisent dans toutes les parties du corps où ils participent aux communications intracellulaires. Les cannabinoïdes (endo- ou ecto-) jouent des rôles modulateurs au niveau des neurotransmetteurs tels que GABA, 5HT, glutamate, acétylcholine, noradrénaline et dopamine, à partir d’un certain nombre de structures du système nerveux central telles que le cervelet, l’hippocampe, le striatum, la substance grise et le cortex. Ils agissent tel un mécanisme autorécepteur présynaptique en modulant le GABA tout autant que l’acide glutamique dans le système neuronal. Les récepteurs au glutamate induisent, en fait, la synthèse d’endocannabinoïdes en réponse à des indices environnementaux (ou internes) afin de réguler la libération de GABA et les niveaux de système. La production d’endocannabinoïdes altère l’architecture neurocognitive, stimulant la plasticité neuronale et les réponses aux perturbations environnementales. Durant des périodes de stress intense, ils sont généralement produits en très forte quantité». Stephen Harrod Buhner. Plant Intelligence and the Imaginal Realm. Traduction de Xochi.

C’est le Professeur Raphael Mechoulam de l’Université Hébraïque de Jérusalem – celui-là même qui a impulsé toute la recherche Israëlienne sur le cannabis thérapeutique depuis 1962 – qui, en 1964, a découvert le principe actif principal du cannabis, le THC. C’est le Professeur Raphael Mechoulam, de nouveau, qui découvrit l’existence du système des cannabinoïdes endogènes – ou endocannabinoïdes – lorsque son équipe isola, en 1992, l’Anandamine – une dénomination résolument Védique! Notons, en effet, que cette appellation est dérivée du terme Sanskrit Ananda, signifiant “joie, félicité suprême”. Dans le corps humain, le système des endocannabinoïdes est vraisemblablement le système physiologique le plus important pour le maintien de la santé humaine. Il garantit l’homéostasie.

Selon l’INSERM, «Dans les pays industrialisés, les régimes alimentaires se sont appauvris en acides gras essentiels depuis le début du XXème siècle. Ainsi, le rapport entre les quantités d’acides gras polyinsaturés Oméga 6 et d’acides gras polyinsaturés Oméga 3 dans les rations alimentaires n’a cessé d’augmenter au cours du XXème siècle. Ces acides gras sont des lipides “essentiels” car l’organisme ne peut les synthétiser de novo. Ils doivent donc être apportés par le régime alimentaire». 

Ainsi, d’une part, le système des endocannabinoïdes est totalement dysfonctionnel chez une grande partie des êtres humains tandis que l’alimentation industrielle est archi-toxique et de plus en plus dépourvue des constituants les plus élémentaires pour la santé de l’humanité – tel qu’un ratio adéquat d’acides gras Omega 3. D’autre part, les Autorités – sous le prétexte insensé de nous protéger contre nous-mêmes – ont criminalisé une source avérée de cannabinoïdes naturels, le Cannabis, depuis les années 1940, pour protéger les industriels du papier, du nylon, des fertilisants de synthèse, etc… et maintenant pour protéger les Cartels de la Pharmacie.

D’ailleurs, en avril 2021, le squatter menteur de l’Élysée – le Guide du Coviet Suprême – a décidé de lancer force répressions policières contre “la consommation de drogue”: «On se roule un joint dans son salon et à la fin on alimente la plus importante des sources d’insécurité…»  Sans plaisanter? C’est le même Macron pour lequel, en juillet 2019, la légalisation du Cannabis pouvait devenir une proposition de sa campagne présidentielle pour 2022.  C’est le même Macron qui, le 4 septembre 2016, déclarait: «Cannabis: je crois que la légalisation a une forme d’efficacité». 

La Vitamine C

La Vitamine C a été validée, de très nombreuses fois, comme extrêmement thérapeutique à l’encontre du tableau de symptômes du CoqueVide/19… tout autant que comme réducteur “vert” de l’oxyde de graphène.

Un étude clinique a mis en valeur une augmentation de 50% du taux de glutathion, chez des personnes en bonne santé, à la suite d’une prise de 500 mg de Vitamine C, quotidiennement, pendant deux semaines. Caveat: la Vitamine C, tout comme la Vitamine E, agissent en tant que co-facteurs, et non pas en tant que source principale, dans la production de glutathion: à savoir qu’ils n’agissent qu’en cas de présence des trois acides aminés que sont la cystéine, la glycine et l’acide glutamique.

A l’encontre du CoqueVide/19, elle a été prescrite en très hautes doses par intraveineuse [1451]  [1452]  [1453] et a été utilisée ainsi dans de nombreux pays.

Les très hautes doses signifient de 50 à 200 milligrammes par kilo de poids.

En tant que réducteur non toxique de l’oxyde de graphène, elle a été validée lors de diverses études [1455]  [1456]  [1457]  dont une de 2018, intitulée “Green reduction of graphene oxide by ascorbic acid”. [1454]

La Nicotine et le Tabac

Le fait que la nicotine participe à l’inactivation de l’oxyde de graphène – et donc à la protection du système neuronal – est d’autant plus  intelligible que de nombreuses études ont prouvé que les fumeurs étaient protégés à l’encontre de le symptomatologie dénommée CoqueVide/19.

Pour mémoire, voici quelques extraits de ce que j’ai présenté, en avril 2021, dans ma très longue monographie médicinale sur le Tabac, “Les Qualités Extrêmement Médicinales et Enthéogéniques des Tabacs”.  [590]

La dernière étude, en date, vient d’être publiée, dans la Revue Nature, le 10 septembre 2021.“Inhibiting SARS-CoV-2 infection in vitro by suppressing its receptor, angiotensin-converting enzyme 2, via aryl-hydrocarbon receptor signal”. [1483]  [1484]

Au printemps 2020, des chercheurs Chinois s’aperçurent très rapidement, que le pourcentage de fumeurs de Tabac dans les hôpitaux Chinois, accueillant les patients supposément atteints par le CoqueVide/19, était très faible – à savoir, environ 6%. [659]  [660]  [661]  [662]  [663] Il s’avéra que la situation était identique aux USA, en Allemagne (avec 6%) [664] et en France (avec 5%) [665]. En effet, aux USA, le CDC rapporta un taux minime de 1,3% de fumeurs parmi les patients hospitalisés pour cause de CoqueVide/19 [667] – alors que les hôpitaux de New-York rapportaient un taux de fumeurs de l’ordre de 5,2%.

Le 20 avril 2021, une équipe de chercheurs, en Inde, a publié une étude affirmant, de même, que les fumeurs de ce pays étaient très peu impactés par la grippette Covidienne. [669] Certains chercheurs suggérèrent, même, et continuent de le suggérer, que la nicotine pharmaceutique pourrait être considérée comme une thérapie privilégiée dans le traitement de toutes les pneumonies cataloguées sous la dénomination CoqueVide/19. [713]  [714]  [715]

En fait, la nicotine promeut la survie des neurones et protège donc à l’encontre des Maladies d’Alzheimer ou de Parkinson, en dégradant ou en inhibant le gène SIRT6 qui code pour la protéine sirtuine 6 – une histone de la famille des sirtuines. [1404]  [1405]  [1406]

Diverses études ont mis en lumière le fait que les chances de contracter la Maladie de Parkinson sont inversement proportionnelles à la quantité de Tabac fumé. Il est, ainsi, estimé que les fumeurs de Tabac ont 50% de chances en moins de succomber à cette pathologie.

Une étude récente, de 2019, a mis en exergue que des gommes à mâcher, à base de Nicotine, augmentait la pression sanguine, en l’espace de 10 mn, chez les patients souffrant de la Maladie de Parkinson – dont la moitié, généralement, sont sujets à de l’hypotension. 

Selon les recherches d’une équipe de l’Université de Caroline du nord, le Tabac désactiverait le gène NOS2A, en diminuant ainsi la destruction cellulaire. Ce gène est présent dans toutes les cellules et sa fonction est de générer de l’oxyde nitrique.

Il est à noter que la nicotine, la caféine et la niacine – toutes substances ayant la capacité de diminuer l’impact de ces pathologies – se caractérisent par leur capacité de liaisons au fer.  Ainsi, une étude récente, de 2019, a mis en exergue que, dans le cas de toxicité induite par une teneur élevée en fer et en manganèse, provoquant des troubles neurodégénératifs, la nicotine possède une capacité neuroprotectrice en protégeant les cellules dopaminergiques – à savoir en chélatant ces métaux en excès. [1407]

Dans la lutte contre la graphénisation, le Tabac constitue une thérapie de première ligne. C’est pour cela que les ayahuasqueros, les guérisseuses, les hommes-médecine, les femmes-Bison Blanc et autres shamanes, dans les trois Amériques, soufflent le Tabac: afin de purifier l’atmosphère matérielle, à savoir physique et psychique.

D’ailleurs, le processus shamanique consistant à souffler la fumée du Tabac, sur toutes les parties du corps des patients, n’est pas sans rappeler les pratiques Asiatiques de moxibustion par le biais desquelles les points d’acupuncture sont chauffés grâce à des moxas – confectionnés avec de l’Artemisia argyi, de l’Artemisia vulgaris, ou d’autres plantes médicinales. En effet, l’un des produits de la combustion des moxas est la fumée de moxa qui possède des propriétés anti-microbiennes et dont les applications thérapeutiques ont été validées dans le cas de blessures infectées, de vaginites, de prolapsus utérins, de verrues, de fistules anales, etc.

Les Artémisias

En mars 2020, j’écrivis au très sympathique Professeur Didier Raoult afin de m’enquérir de ce qu’il pensait de l’usage des Artemisias – des plantes anti-paludiques millénaires – dans la mesure où il promouvait l’hydroxychloroquine, un médicament anti-paludique, pour soulager le tableau de symptômes du CoqueVide/19.

Le Professeur Didier Raoult ne m’a jamais répondu. Au mois de mars 2020, au sujet de l’arnaque des Tests de positivité/négativité, qui étaient très promus, d’ailleurs, par le Professeur Didier Raoult, je posais les questions suivantes: Quels Tests???? Puisque le Coronavirus ID/2019 n’existe pas…? S’agit-il d’un immense théâtre de dupes avec des histoires imbriquées les unes dans les autres et toutes aussi FAKE les unes que les autres? Afin de générer une pléthore de dissonances cognitives, au sein de la population, en en accroissant d’autant la psychose?

Au vu des prises de position du Professeur Didier Raoult – sur les sujets criminels des tests PCR, des injections et de la mythologie pernicieuse des Variants du CoqueVide/19 – il fait, résolument, partie de l’Opposition Contrôlée. N’est-ce pas affligeant?

Les Artemisias font partie des Plantes Médicinales Maîtresses: elles sont extrêmement anti-oxydantes, anti-inflammatoires et anti-cancers – en sus d’être anti-microbiennes, anti-parasitaires, etc. Artemisia annua est l’un des plantes médicinales les plus anti-oxydantes et anti-inflammatoires de la planète.

Je renvoie le lectorat vers mes diverses monographies médicinales sur les Artemisia, rédigées en 2018: “Pour prévenir et guérir la Malaria: les Armoises d’Artémis ou les vaccins chimériques de la Pharmacratie? Dossier n°1” [1283]; “Pour prévenir et guérir la Malaria: les Armoises d’Artémis ou les vaccins chimériques de la Pharmacratie? Dossier n°2” [1284]; “L’Artemisia annua dans la Pharmacopée Familiale” [1282].

Il existe quelques dizaines d’études (publiées en 2020 et 2021) portant sur les capacités extrêmement thérapeutiques de l’Artemisia annua à l’encontre des symptômes du CoqueVide/19 – donc, à l’encontre des symptômes de l’empoisonnement au graphène: “Artemisia and Artemisia-based products for COVID-19 management: current state and future perspective”, “An overview of the anti-SARS-CoV-2 properties of Artemisia annua, its antiviral action, protein-associated mechanisms, and repurposing for COVID-19 treatment”, etc, etc. [1408]  [1409]  [1410]  [1411] [1412]  [1413]  [1414]  [1415]  [1416].

Il existe, même, une étude de 2018, “Facile synthesis of graphene via reduction of graphene oxide by artemisinin in ethanol”, [1417] portant sur la réduction de l’oxyde de graphène avec de l’artémisinine – l’une des substances les plus actives de certaines espèces d’Artemisia… Car Artemisia afra n’en contient pas malgré qu’elle soit éminemment anti-paludique.

Cette étude sur la réduction de l’oxyde de graphène avec de l’artémisinine contient de magnifiques photos d’oxyde de graphène.

Les Plantes Médicinales très Anti-Oxydantes

Je vais tout d’abord présenter les Plantes Médicinales, ou les complexes de Plantes Médicinales, émanant de diverses pharmacopées, qui ont été validées efficaces à l’encontre de l’ensemble des symptômes de ce qui a dénommé “CoqueVide/19” – donc, très vraisemblablement, à l’encontre du tableau de symptômes générés par l’empoisonnement à l’oxyde de graphène.

La Réglisse est, médicinalement, efficace à l’encontre de la Covidette (de même qu’à l’encontre de toutes les grippes et grippettes) selon une pléthore d’études récentes et publiées, depuis 2020, en Chine, en Italie, en Allemagne, en Inde, en Turquie, en Corée…  So Sweet! [695]  [696]  [697]  [698]  [699]  [701]  [702]

Une étude Chinoise, publiée en mai 2020, a mis en exergue que la liquiritine, de la Réglisse, inhiberait le développement, du prétendu CoqueVide/19, en se faisant passer pour de l’interféron de type 1. [703]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de décembre 2020, sur les Réglisses: “Les Réglisses : une Panacée Suprêmement Médicinale”. [1269]

La Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baikalensis) s’avère, médicinalement, efficace à l’encontre de la Covidette (comme à l’encontre de toutes les grippes et grippettes) selon une pléthore d’études récentes publiées, depuis 2020, en Chine, et ailleurs. [704]  [705]  [706]  [707]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de novembre 2020, sur les Scutellaires: “Les Qualités Médicinales des Scutellaires”. [1270]

En 2020, le gouvernement Chinois a promu six complexes de la Médecine Traditionnelle Chinoise [710]  [711] pour lutter contre la Pandémie Covidienne, donc à l’encontre la couronne nécro-moléculaire d’oxyde de graphène. Le premier complexe est dénommé “Lianhua Qingwen JiaoNang”. En hommage à la Médecine Traditionnelle Chinoise multi-millénaire, voici la recette car ce complexe médicinal qui peut, même, servir pour les grippes diverses et variées ou pour tout problème pulmonaire ou respiratoire. [712]

Le “Lianhua Qingwen JiaoNang” contient: Isatis indigotica, Forsythia suspensa, Lonicera japonica, Rhodiola rosea, Glycyrrhiza glabra,  Ephedra sinica, Houttuynia cordata, Dryopteris crassirhizoma, Pogostemon cablin, Rheum officinale, Prunus armeniaca, Mentha haplocalyx et Gypse.

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de novembre 2020, sur les Isatis: “Les Qualités Extrêmement Médicinales du Pastel des Teinturiers”. [1271]

Le second complexe se nomme “Granules de Jinhua Qinggan” et il fut développé lors de la fausse pandémie de grippe de 2009.

“Jinhua Qinggan” est constitué par la somme de deux complexes traditionnels. Le premier est une décoction dénommée “Maxing Shigan” mentionnée dans le Traité “Shanghan Lun” de Zhang Zhongjing – au 3 ème siècle. “Maxing Shigan” est constitué de Glycyrrhiza glabra (Réglisse), Ephedra sinica (Ephedra chinois), Prunus armeniaca (Noyau d’abricot), et Mentha haplocalyx. Le second est la “Poudre de Yinqiao” mentionnée dans le Traité “Wenbing Tiaobia” de Wu Jutong – en 1798. “Yinqiao” est constitué de Ephedra sinica (Ephedra chinois), Lonicera japonica (Chèvrefeuille du Japon), Forsythia suspensa, Platycodon grandiflorus (Campanule à grands fleurs), Arctium lappa (Grande Bardane), Mentha haplocalyx, Lophatherum gracile, Schizonepeta tenuifolia, Phragmites communis, Glycyrrhiza glabra (Réglisse) et Glycine soya (Soja).

Le troisième complexe se nomme “Injection de Xuebijing”. Il est, même, référencé par l’organisation Cochrane afin de traiter l’empoisonnement au paraquat – un toxique très violent de la multinationale criminelle Syngenta. [1273]

“L’injection de Xuebijing” est composée des espèces médicinales suivantes: Salvia miltiorrhiza, Angelica sinensis, Carthamus tinctorius, Ligusticum wallichi et Paeonia rubra.

Au-delà des plantes médicinales promues en Chine, durant la fausse pandémie, il existe une très grande diversité d’espèces de plantes médicinales anti-oxydantes dans la Médecine Traditionnelle Chinoise. Une étude, de 2003, intitulée “Antioxidant activity and phenolic compounds of 112 traditional Chinese medicinal plants associated with anticancer” décline 112 espèces médicinales possédant une activité anti-oxydante et des composés phénoliques. [1274]

Voici quelques-unes des ces espèces médicinales Chinoises cultivées, ou disponibles (dans le commerce en bio), en Europe: Artemisia annua, Artemisia argyi, Arctium lappa, Lonicera japonica, Dianthus superbus, Terminalia chebula, Carthamus tinctorius, Chrysanthemum indicum, Isatis indigotica, Trichosanthes kirilowii, Juglans regia, Prunella vulgaris, Salvia miltiorrhiza, Scutellaria baicalensis, Scutellaria barbata, Cinnamomum cassia, Astragalus mongholicus, Glycyrrhiza uralensis, Magnolia officinalis, Schisandra chinensis, Polygonum multiflorum, Polygonum cuspidatum, Portulaca oleracea, Punica granatum, Paeonia lactiflora, Rosa chinensis, Rubia cordifolia, Houttuynia cordata, Hyoscyamus niger, Solanum nigrum, Lycium barbarum, Camellia sinensis, Angelica sinensis, Foeniculum vulgare, Curcuma longa, Zingiber officinale.

Je renvoie le lectorat vers mes monographies médicinales, de 2018, sur les Artemisia. [1282]  [1283]  [1284] Au sujet des capacités des plantes (et des médications) anti-paludiques, il est à signaler une étude, d’août 2021, intitulée “Profound and persistent disparity in COVID-19 mortality rates between USA / Western Europe and sub-Saharan Africa: A crossover effect of antimalarial drugs?” [1291]. Cette étude présente l’hypothèse selon laquelle la mortalité attibuée aux symptômes du CoqueVide est très basse en Afrique sub-sahélienne (par rapport à l’Europe de l’ouest et de l’Amérique du nord) de par le fait que ces pays se soignent, communément, à l’encontre de l’impact de la malaria – soit avec des plantes médicinales (telles que Artemisia annua ou Artemisia afra), soit avec des médications conventionnelles anti-malariales (telle que l’Hydroxychloroquine).

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de juin 2020, sur les Angéliques: “Les Angéliques: des Messagères de la Terre pour Réanimer les Terriens”. [1285]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de février 2019, sur les Dianthus: “Les Oeillets, et autres Dianthus, dans la Pharmacopée et dans la Magiacopée Familiales”. [1286]

Une autre étude, de 2003, intitulée “Antioxidant and anti-inflammatory activities of selected Chinese medicinal plants and their relation with antioxidant content” décline 44 espèces médicinales possédant une activité anti-oxydante. [1278]

Voici quelques-unes des ces espèces médicinales Chinoises cultivées, ou disponibles (dans le commerce en bio), en Europe – non mentionnées dans l’étude précédente: Leonurus japonicus, Artemisia vulgaris, Sanguisorba officinalis, Pogostemon cablin, Platycodon grandiflorus.

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de juin 2020, sur les Leonurus: “Les Qualités Médicinales des Leonurus aux Queues de Lions”. [1281]

Une étude, de 2005, intitulée “Antioxidant Capacity of 26 Spice Extracts and Characterization of Their Phenolic Constituents” [1287] a analysé le potentiel anti-oxydant de 26 épices ou plantes condimentaires – de divers continents. Les espèces en possédant le plus sont les suivantes, par ordre décroissant: Syzygium aromaticum (Clou de Girofle), Cinnamomum zeylanium (Cannelle de Ceylan), Origanum vulgare (Origan), Cinnamomum cassia (Cannelle de chine), Salvia officinalis (Sauge officinale), Thymus vulgaris (Thym officinal), Laurus nobilis (Laurier noble), Rosmarinus officinalis (Romarin officinal), Mentha canadensis (Menthe du Canada) et Ocimum basilicum (Basilic).

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de décembre 2017, sur les Basilics et Tulsi: “Tulsis et autres Vérités Basilico-moléculaires pour se libérer de la Terreur Pharmacratique”. [1288]

Les plantes médicinales, de la Pharmacopée Ayurvédique, possédant une activité anti-oxydante sont, également, très nombreuses. En voici quelques-unes cultivées, ou disponibles (dans le commerce en bio), en Europe: Withania somnifera (Ashwagandha), Centella asiatica, Asparagus racemosus, Bacopa monnieri, Curcuma longa (Curcuma), Camellia sinensis (Thé), Cinnamomum verum (Cannelle), Emblica officinalis, Ocimum tenuifolium (Tulsi), Terminalia bellerica, Zingiber officinalis (Gingembre). [1289]

Concernant le Camellia sinensis, il existe une étude de 2020, portant sur une méthode “écologique” de réduire l’oxyde de graphène avec du thé vert. [1419]

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de février 2018, sur le Withania: “L’Ashwagandha: une pharmacopée millénaire, naturelle et très puissante”. [1290]

Il existe, d’ailleurs, une étude, de 2016, portant sur une méthode “écologique” de réduire un composé d’oxyde de graphène/oxyde de fer/palladium avec un extrait de Withania coagulans – une espèce d’importance médicinale, et économique, en Inde – qui, tout comme Withania somnifera, possède de fortes capacités anti-oxydantes. Les Withania sont les Ginsengs de l’Inde. [1496]

Le Charbon de Bois Activé

Nous invitons le lectorat à consulter deux excellents articles de Jean-Baptise Loin dont le dernier, qui porte sur le charbon traditionnel Japonais, est intitulé – à très juste titre: “Le plus puissant des charbons actifs adsorbe les nanoparticules”. [1292]  [1293] En ce qui concerne ce présent dossier, le charbon actif est thérapeutique en ce qui concerne les pollutions vaccinales et médicamenteuses; la purification des voies sanguines, hépatiques, intestinales, digestives et urinaires; l’accumulation des métaux lourds, nano-particules et autres isotopes radioactifs.

Certaines études préconisent, dans des cas d’intoxication aiguë, d’administrer une très grosse dose dans l’heure qui suit l’empoisonnement – par exemple, une injection vaccinale. Dans ce cas, la posologie est de 0,5 à gramme par kilo de poids corporel – donc, à savoir, environ 50 grammes pour un adulte. [1294]

Tout comme pour les zéolithes, et autres formes d’argiles, il est fortement conseillé de manipuler les charbons de bois actifs avec une cuillère en bois ou en plastique – et non pas en métal – afin de ne pas désactiver les vertus thérapeutiques de ces substances.

Si le Charbon de bois activé est efficace dans le traitement des eaux usées, afin de les décontaminer de la présence de nano-particules, il en est de même pour le corps de la Terre ou le corps humain. Il existe une étude récente, publiée en 2021, dont l’intitulé est: “Preparation of biochar and biochar composites and their application in a Fenton-like process for wastewater decontamination: A review”. [1295]

Avec le charbon de bois activé, nous avons une substance naturelle, à base de carbone, qui est extrêmement médicinale et qui nous permet de lutter contre l’empoisonnement généré par des formes, non naturelles, et synthétiques, de carbone – à savoir tous les produits industriels à base de graphène.

Il est à signaler, d’ailleurs, que les scientifiques ne possèdent aucune limite dans leurs expérimentations criminelles. Il existe, même, des études portant sur des composés de biochar (charbon actif) enrobé d’oxyde de graphène – prétendument pour éliminer le strontium, le chromium, le plomb, le cuivre – et même le biocide atrazine. [1296]  [1297]  [1298]  [1299]  [1300]

Les Zéolithes

Les Zéolithes constituent des substances éminemment thérapeutiques pour décontaminer le corps animal ainsi que le sol des jardins et des champs. En effet, les Zéolithes constituent des substances médicinales extrêmement efficaces, et antioxydantes, pour éliminer les radicaux libres, les métaux lourds et les isotopes radioactifs. Il existe trois sortes principales de zéolithes: fibreuse, feuillée ou cristalline. L’usage médical concerne la zéolithe cristalline qui contient des quantités élevées de clinoptilolithe.

Au printemps 2011, à la suite du désastre nucléaire de Fukushima, j’ai proposé mes traductions de quelques textes ayant trait à leur action thérapeutique: “Zéolithes Médicinales pour se Décontaminer et se Déshalluciner le Mental”. [716]

«La zéolithe est une roche cristalline étonnante qui est capable d’adsorber et d’absorber de nombreux types différents de gaz, d’humidité, de pétrochimiques, de métaux lourds et d’éléments faiblement radioactifs et une multitude de composés divers. Les canaux dans la zéolithe pourvoient de très larges surfaces sur lesquelles des réactions chimiques peuvent prendre place. Les cavités et les canaux à l’intérieur de la zéolithe peuvent occuper jusqu’à 51 % de son volume. La zéolithe peut adsorber et absorber de larges quantités de substances, tels que des ions ou des molécules gazeuses.

La zéolithe se caractérise par une structure extrêmement dure, microporeuse et en nid d’abeille. Ces cavités et ces canaux constituent des ouvertures en lesquelles des minéraux ou des métaux lourds peuvent se lier. L’atome de silice possède une charge électrique neutre tandis que l’atome d’aluminium possède une charge électrique négative: il en résulte des sites chargés au sein de la structure cristalline. Le processus d’équilibrage, qui est à l’oeuvre afin de maintenir la neutralité électrique dans la clinoptilolithe, attire des minéraux de charge positive tels que le calcium, le magnésium, le potassium, le sodium et le fer. Ces cations communs (à savoir des ions chargés positivement) peuvent être aisément déplacés par des métaux lourds (tels que le cadmium, le mercure, le nickel et l’arsenic) pour être ensuite délogés du corps. La zéolithe possède une affinité élevée pour piéger le plomb, le cadmium, l’arsenic, le mercure et d’autres métaux potentiellement dangereux. Au travers du processus d’échange de cations, la zéolithe peut abaisser l’exposition totale aux métaux lourds chez un individu. Cela permettrait d’influer, de manière conséquente, sur la réduction de certains cancers et de pathologies cardiaques.

L’ingestion de la zéolithe peut être comparée à la consommation d’argile considérée, dans la médecine traditionnelle, comme un remède pour diverses maladies. En raison des propriétés d’échanges d’ions, la zéolithe peut modifier le contenu ionique, le pH, la capacité de protection des sécrétions gastro-intestinales et affecter le transport au travers de l’épithélium intestinal. La zéolithe peut avoir également une influence positive sur la flore bactérienne et la résorption des vitamines et des oligoéléments.» Nature’s Heavy Metal Detoxifier. 2006. Dr Howard Peiper. Traduction de Xochi.

Les Micro-Organismes Efficaces du Professeur Teruo Higa

On peut, également supputer que certaines soupes de micro-organismes – tels que les micro-organismes efficaces du Professeur Teruo Higa – soient capables de désintégrer l’oxyde de graphène, et autres formes de carbone/graphène, s’ils sont capables de digérer les métaux lourds dans le sol

Cf. l’étude, de 2017, intitulée “Biodegradation of graphene oxide-polymer nanocomposite films in wastewater” portant sur la dégradation d’oxyde de graphène par les micro-organismes des eaux usées. [1156]

Le Dioxyde de Chlore

Il existe, de plus, de par le monde un très grand nombre de thérapeutes prescrivant du dioxyde de chlore à l’encontre des symptômes, prétendument Covidiens.  Au Mexique,  par exemple, le Dr. Pedro Chávez est le président d’une organisation, la Comusav, regroupant 5000 médecins, dont l’objectif est de soigner tous ceux souffrant de symptômes, prétendument Covidiens, avec le dioxyde de chlore. [686]

En Espagne, le célèbre exposant du dioxyde de chlore est le pionnier Josep Pamies – à Ballaguer. Et si le dioxyde de chlore fonctionne à l’encontre du CoqueVide/19… c’est qu’il fonctionne à l’encontre de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène.

Le Zinc

Les chercheurs de la Quinta Columna ont découvert que le graphène détruit le zinc dans le corps humain… ce qui n’est pas une bonne nouvelle car lorsque le zinc est déficient, le corps humain ne possède pas les enzymes adéquates pour synthétiser le glutathion.

Ils ont, également, mis en exergue qu’il existe de nombreuses études analysant le dysfonctionnement érectile de personnes qui ont été supposément contaminées par le CoqueVide/19. [592]  [593]  [594]  [595]  [596] Certains auteurs tentent d’expliquer que ce dysfonctionnement érectile Covidien pourrait être induit par un blocage de la circulation sanguine vers le pénis; ou induit par du stress, de l’anxiété et de la dépression provoqués par le virus; ou induit par un mauvais état de santé généralisé provoqué par des complications Covidiennes. [591] En fait, ce dysfonctionnement érectile est induit par l’empoisonnement au graphène.

L’Acide Shikimique

L’acide shikimique peut, également, être utilisé pour réduire l’oxyde de graphène: il possède une activité anti-oxydante, anti-coagulante et anti-inflammatoire.

Depuis l’émergence de la fausse pandémie – et l’hystérie concernant le protéine Spike du coronavirus inexistant – de nombreux articles, commentaires et vidéos ont évoqué l’utilisation des aiguilles de conifères afin d’en extraire l’acide shikimique.

Une étude intitulée “Content Analysis of Shikimic Acid in the Masson Pine Needles and Antiplatelet-aggregating Activity” a mis en valeur son potentiel anti-coagulant du sang: il inhibe, en effet, l’agrégation plaquettaire, la thrombose artério-veineuse et la thrombose cérébrale. [1443] Selon cette étude, le Pin (Pinus Massoniana), le Thuya d’Orient (Platycladus orientalis)  et la Badiane de Chine (Illicium verum) contiennent de l’acide shikimique, respectivement, à hauteur de 5,71%, 1,74% et 8,95%.

Dans les conifères, on trouve une abondance d’acide shikimique:

Dans les Pins: par exemple, Picea koraiensis, Picea meyeri, Pinus elliottii [1517] et Pinus banksiana qui sont les espèces de pins Chinois les plus médicinales en ce qui concerne l’extraction de l’acide shikimique. [1509] Pin de Mason (Pinus massoniana) [1514]. Pin rouge du Japon (Pinus densiflora) [1510]. Pin Mugo (Pinus mugo) [1511]. Pin Sylvestre (Pinus sylvestris) [1512]. Pin Chilgoza (Pinus gerardiana) [1513]. Pin d’Armand (Pinus armandi) [1515]. Pin du Yunnan (Pinus yunnanensis) [1516]. Pin blanc (Pinus strobus) [1518]. Pin maritime (Pinus pinaster) [1519]. Pin de Meyer (Picea meyeri) [1521]. Epicea bleu (Picea pungens) [1522]. Epicea blanc. (Picea glauca) [1522]. Pin rouge (Pinus resinosa) [1523].

Dans les Thuya: par exemple, Thuya d’Orient (Platycladus orientalis). [1520]

Dans les Cèdres: par exemple, Cédre de l’Himalaya (Cedrus deodara) [1508].

L’acide shikimique se trouve, également, dans: les graines de Fenouil (Foeniculum vulgare), les graines de Coquelicot rouge (Papaver rhoeas); les graines et l’écorce d’Anis étoilé ou Badiane de Chine (Illicium verum); les graines, les feuilles et l’écorce de la Badiane Japonaise (Illicium anisatum); les feuilles d’Absinthe (Artemisia absynthium) [1444]; l’écorce et les graines de Liquidambar (Liquidambar styraciflua) [1445]; dans les tubercules du Topinambour (Helianthus tuberosus); dans les rhizomes de l’Iris des marais (Iris pseudoacorus); dans le phloème du Thuya géant (Thuya plicata); dans les Dattes (Phoenix dactylifera); dans les tubercules du Dahlia (Dahlia variabilis); dans les fruits du Pommier microcarpe de Sibérie (Malus baccata); dans les fruits du Poirier (Pyrus communis); dans les fruits des Groseillers (Ribes sp.); dans les feuilles de Ginkgo (Ginkgo biloba); l’écorce et les feuilles de Magnolia (Magnolia grandiflora); dans toutes les parties du Poivre de Chine (Houttuynia cordata); dans les tiges et feuilles du Saxifrage araignée (Saxifraga stolonifera); dans les graines de l’Arjuna (Terminalia ajurna); dans toutes les parties du Pistachier (Pistacia lentiscus); dans les feuilles de Consoude (Symphytum officinalis); dans toutes les parties de l’Agastache (Agastache urticifolia); dans les feuilles de l’Inule (Inula helenium); dans toutes les parties du Millepertuis (Hypericum sp.); dans les feuilles du Gymnema sylvestre (Gymnema sylvestris); dans les graines du Myrobalan noir (Terminalia chebula); dans les fleurs et feuilles de la Grande Camomille (Tanacetum parthenium); dans le jus de feuilles du Blé (Triticum aestivum); dans les parties aériennes de la Chélidoine (Chelidonium majus); dans les racines de Carotte (Daucus carota); dans les feuilles de Vératre vert (Viratrum viride); dans les fruits du  Schisandra (Schisandra chinensis). [1449]

Parmi toutes ces espèces végétales, les plus grandes quantités d’acide shikimique se trouvent dans les Badianes, dans les Pins, dans le Poivre de Chine.

On trouve, également, de l’acide shikimique dans les graines germées de légumineuses, Haricots, Mung, Soja, Luzerne…

C’est, peut-être, en partie, en raison de la présence de cet acide shikimique que l’oxyde de graphène peut être réduit avec l’eau de trempage des Mung Bean (Vigna radiata). [1423]

Selon l’étude “Shikimic acid: review of its analytical, isolation, and purification techniques from plant and microbial sources” [1446], les feuilles de Consoude contiendraient 12,5% de leurs poids sec en acide shikimique, les feuilles de Ginkgo 10%, les feuilles d’Agastache à feuilles d’ortie 8,5%.

Il existe une étude, de 2018, sur la réduction de l’oxyde de graphène avec l’acide shikimique: “Green Synthesis of Reduced Graphene Oxide Nanosheets Using Shikimic Acid for Supercapacitors”.

Selon un brevet déposé en  2015, “Isolation and Purification of Shikimic Acid” [1447], l’acide shikimique se trouve non seulement dans les feuilles d’Agastache urticifolia mais, également, dans les feuilles d’Agastache rugosa et d’Agastache foeniculum.

Les Agastaches constituent des Plantes Médicinales Maîtresses et je renvoie le lectorat vers ma monographie intitulée “Les Agastaches pour soigner la malaria, la dépression, les cancers, les hépatites”. [1448]

Les Protocoles Anti-Graphène

Le protocole anti-CoqueVide/19 – donc, en vérité, le protocole anti-Graphène – proposé par le site de la Médecine Fonctionnelle comprend: la curcumine, la Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baikalensis), le Sureau (Sambucus nigra), la Réglisse (Glycyrhiza sp.), la Chirette verte (Andrographis paniculata),  une Astragale (Astragalus membranaceus), la Mélatonine, les Vitamines A, C et D, le Zinc, la Quercétine, la Lutéoline, la N-Acétylcystéine, le Resveratrol, le Gallate d’épigallocatéchine, le Palmitoylethanolamide, les Champignons médicinaux (Shiitake, Lentinula edodes; Lion’s Mane, Hericium erinaceus; Maitake, Grifola frondosa; Reishi, Ganoderma lucidum), la berbérine et les  β-glucanes. [707]  [708]  [709]

Selon une étude, de 2014, il est possible de réduire l’oxyde de graphène avec les champignons Ganoderma. [1418]

Le protocole du Dr Vladimir Zelenko comprend la quercétine, la vitamine D3, la vitamine C, le zinc, l’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine. [1301] C’est ce médecin US qui a introduit l’Hydroxychloroquine auprès du président Trump.

Dr Vladimir Zelenko, un médecin Juif orthodoxe d’origine Ukrainienne, a été complètement censuré par les GAFAM [1319] parce qu’il affirme que les injections anti-CoqueVide/19 constituent un vecteur de génocide global. Le Dr. Vladimir Zelenko a même évoqué, dernièrement, le génocide, et donc l’Holocauste, du Peuple d’Israël – par le biais des injections anti-CoqueVide/19 – devant un comité de rabbins Juifs orthodoxes anti-vaccinalistes… que Rudy Reichstadt, le conspirationniste [1131], qualifierait, assurément, de rabbins “anti-sémites” et complotistes. [1129]  [1130]

Très récemment, lorsqu’interviewé par Stew Peters, aux USA, le Dr Vladimir Zelenko a déclaré que le CoqueVide/19: «est une arme biologique conçue pour isoler l’Humanité et pour induire une peur pathologique et pathogénique qui est, subséquemment, instrumentalisée par les financiers afin de manipuler le comportement humain et de l’entrainer dans une course d’actions irrationnelles.» Il est convaincu que le CoqueVide/19 ne représente aucune menace car c’est une psyops – à savoir, une opération psychologique spéciale. Pour lui, l’objectif est de génocider des milliards d’individus.   [1302]

Autres Substances Anti-Oxydantes et Réductrices de l’Oxyde de Graphène

Le Chénopode Blanc (Chenopodium album). Une étude, de juin 2020, a été publiée portant sur la réduction de l’oxyde de graphène au moyen d’un extrait de Chénopode Blanc. [1485]

Le Chénopode Blanc possède de fortes capacités anti-oxydantes et il existe une pléthore d’études le démontrant. [1486]  [1487]  [1488]  [1489]

L’Hespéridine. Selon l’Institut de Cardiologie de Montréal – et selon une étude Egyptienne publiée en novembre 2020 – l’hespéridine, un bio-flavonoïde, constituerait un puissant anti-CoqueVide/19!! [693]  [694] On trouve de l’hespéridine dans les pétales de Dahlia, dans les Citrus et dans la Menthe poivrée.

Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale sur les Dahlias: “Les Qualités Médicinales des Dahlias”. [1524]

L’hespéridine possède des propriétés neuro-protectrices, anti-inflammatoires, anti-oxydantes, anti-athérosclérotiques, cardio-protectrices, anti-carcinogéniques, anti-mutagéniques, anti-diabétiques, anti-hyperlipidémiques, anti-hypertensives, veino-toniques.

Le Raifort. Dans le registre de la dégradation de l’oxyde de graphène par la myéloperoxydase, et d’autres peroxydases, [1157]  [1158] on peut signaler la peroxydase du raifort [1160]

L’Oxyde nitrique. Une étude a été récemment publiée, en août 2021, qui s’intitule “Clinical efficacy of nitric oxide nasal spray (NONS) for the treatment of mild COVID-19 infection” qui affirme que l’oxyde nitrique, ou  monoxyde d’azote, en spray nasal, est capable de détruire la charge Covidienne de 95% en 24 heures et de 99% en 72 heures. [1150] Si on laisse de côté le fait que personne ne puisse déterminer la charge virale d’un virus inexistant, il reste à s’enquérir du fait de savoir si le monoxyde d’azote permet de désintégrer l’oxyde de graphène dans le corps.

Selon une étude récente, de 2020, intitulée “Nitric oxide-dependent biodegradation of graphene oxide reduces inflammation in the gastrointestinal tract”, c’est le cas. [1153] L’oxyde nitrique peut participer à la bio-dégradation de l’oxyde de graphène.

Il existe quelques étude – telles que “The green reduction of graphene oxid” [1420] ou “Green reduction of graphene oxide by aqueous phytoextracts” [1426] –  qui font le point sur les diverses méthodes “vertes” (à savoir non polluantes et non toxiques) de réduire l’oxyde de graphène.

Il est à noter que, selon cette étude, l’un des agents réducteurs les plus rapides est l’épinard, Spinacia oleracea. [1525] 

L’épinard a, déjà, fait parler de lui, en octobre 2016, dans l’étude intitulée “Nitroaromatic detection and infraredcommunication from wild-type plants using plant nanobionics” – publiée dans Nature. Il s’agit d’un domaine dénommé nano-bioniques végétales dont la mission  est d’insérer des fonctions, non-originelles, dans des plantes en les interfaçant avec certaines nano-particules. En l’occurence, il s’agit d’une étude portant sur un épinard, manipulé génétiquement, qui se transforme en pré-concentrateur auto-propulsé, en plate-forme de communication infra-rouge, etc – et qui peut envoyer des messages à un téléphone mobile. [1527] Tout va bien?

Il paraitrait, même, que les épinards, ainsi génétiquement modifiés avec des nano-particules, seraient capables de nous prévenir au niveau du “changement climatique”. [1528] Si cette étude était récente, on pourrait croire qu’il s’agisse d’un cas désespéré de CoqueVide psychiatrique…

Au fait, les nano-particules insérées dans les épinards, branchés sur téléphone mobile, sont à base de graphène – et plus spécifiquement de nano-tubes de carbone. [1529]

Les substances, plantes, minéraux, etc, capables d’opérer cette réduction y sont déclinés. En voici une liste partielle afin d’initier de nouvelles pistes de recherches quant à la destruction, dans l’organisme, des diverses formes de graphène:

Glutathion, cystéine, valine, lysine, alanine [1433], bicarbonate de soude, bêta-carotène, dopamine [1482]  [1462], acide cafféique [1422], racines de carottes sauvages [1429], caséine,  mélasse [1460], cannelle, clou de girofle, eau de noix de coco [1501], curcumine, acide formique, jus de raisin, thé vert [1425], vitamine C [1427]  [1428], mélatonine [1430], zinc, acide oxalique, jus de grenade [1502], eau de rose, levures nutritionnelles, urine de vache [1436], feuilles d’Erable du Japon (Acer palmatum); feuilles du Platane d’Orient (Platanus orientalis), feuilles de Pomme Cannelle (Annona squamosa). [1450]

Il est, également, possible de réduire l’oxyde de graphène avec de l’amidon: de pomme de terre, de patate douce ou bien de maïs. [1459] Et avec du resvératrol[1463] que l’on trouve dans:  raisins, arachides crues, mûres, myrtilles, cassis, framboises, canneberges, fèves de cacao, pistaches, Renouée du Japon (Polygonum cuspidatum / Fallopia japonica). Ainsi qu’avec de l’acide fulvique. [1526]

Ainsi que les espèces botaniques suivantes: Terminalia chebula (Myrobalan noir), Hibiscus sabdariffa (Oseille de Guinée), Spinacia oleracea (Epinard), Ginkgo biloba (Arbre aux quarante écus) [1432], Colocasia esculenta (Oreilles d’Elephant), Citrus sinensis (Oranger) [1431], Prunus serrulata (Cerisier), Magnolia grandiflora (Magnolia), Salvadora persica (Arak) [1434], Citrus grandis (Pamplemousse), Tamarindus indica (Tamarinier) [1435], Salvia spinosa. [1500]

De plus, il existe d’autres études pour réduire l’oxyde de graphène, avec diverses espèces végétales: de 2014, avec l’eau de trempage des Mung Bean (Vigna radiata) [1423]; de 2019, avec l’Ortie (Urtica sp.) [1421]; de 2020, avec les écorces du fruit de citron lime (Citrus hystrix) [1424]; avec les feuilles d’Eucalyptus [1490]; avec le Gros Thym Antillais (Plectranthus amboinicus) [1494]; l’extrait de Radis (Raphanus sativus) [1495]; le jus de Figues (Ficus carica) [1497]; l’extrait d’Oignon (Allium cepa) [1498]; l’extrait de Chou-Rave (Brassica oleracea var. gongylodes). [1499]; l’extrait de Tridax procumbens [1461].

Il existe une méthode “écologique” de réduire l’oxyde de graphène par le jus de l’espèce Calotropis gigantea. [1492] Il fait d’ailleurs signaler que Calotropis gigantea, tout comme Calotropis procera, possèdent des qualités anti-oxydantes. Calotropis procera constitue, de plus, une plante anti-paludique en Afrique de l’ouest. J’aime beaucoup cette Famille des Apocynacées (anciennement Asclépiadacées) et je possède, d’ailleurs, une belle collection de photos d’Asclepias, des USA, que je n’ai pas eu le temps de toutes mettre en ligne. [1493]

Il n’est nul besoin de préciser que si toutes ces espèces végétales sont utilisées pour réduire l’oxyde de graphène, c’est qu’elles ont été amplement étudiées, in vitro ou in vivo, depuis de nombreuses années, pour leurs capacités extrêmement anti-oxydantes. Il en est ainsi, du jus de Figue, de l’extrait d’Oignon, de l’extrait de Chou-Rave, de l’Epinard, etc, etc.

Xochi. Le 12 septembre de l’An 03 des Gilets Jaunes Ce contenu a été publié dans Monographies par xochipelli.

Source : http://xochipelli.fr/2021/09/sources-danti-oxydants-pour-detruire-la-couronne-necro-moleculaire-doxyde-de-graphene/

La FDA conseille au Dr Mercola de ne plus parler de la vitamine D

Écrit par le Dr Joseph Mercola

Au cours de l’été 2020, le Center for Science in the Public Interest (CSPI) [Centre pour la science dans l’intérêt public]- un groupe de défense des consommateurs associé au groupe de relations publiques de Bill Gates dans le domaine de l’agrochimie, la Cornell Alliance for Science[1], et financé par des milliardaires ayant des liens avec Monsanto, la Fondation Gates, la Fondation Rockefeller, le Rockefeller Family Fund et Bloomberg Philanthropies[2] – a lancé une campagne sur les réseaux sociaux pour mettre un terme à Mercola.com.

Le 21 juillet 2020, le CSPI a publié un communiqué de presse[3] dans lequel il m’accuse d’avoir faussement prétendu “qu’au moins 22 vitamines, suppléments et autres produits disponibles à la vente sur son site web peuvent prévenir, traiter ou guérir l’infection au COVID-19”. Ceci en dépit du fait que leur annexe des allégations illégales[4] montre clairement qu’aucune allégation relative au COVID-19 n’existe sur aucun des liens vers les produits.

Le groupe a également témoigné lors d’une audience du Sénat sur le sujet des arnaques au COVID-19 et a exhorté la Food and Drug Administration et la Federal Trade Commission des États-Unis à prendre des mesures réglementaires à mon encontre.

Dans un courriel daté du 12 août 2020, le président du CSPI, le Dr Peter Lurie[5] – un ancien commissaire associé de la FDA6 – a affirmé de manière fallacieuse que je “profite de la pandémie de COVID-19” par le biais d’un “discours alarmiste anti-vaccins” et de la diffusion d’une alimentation fondée sur la science ayant un impact sur le risque de maladie.

Un ancien fonctionnaire de la FDA tire les ficelles pour cibler la médecine naturelle

Étant donné que Lurie est un ancien fonctionnaire de la FDA, il est décourageant, mais pas surprenant, que la FDA nous ait maintenant envoyé une lettre d’avertissement[7] pour “produits non approuvés et mal étiquetés liés au COVID-19”. Lurie s’est publiquement attribué le mérite de l’action de la FDA[8], établissant ainsi la possibilité que le CSPI tire les ficelles sous la nouvelle administration grâce à des relations qu’il n’avait pas en août lorsqu’il a lancé son premier assaut contre ma liberté d’expression.

Selon la FDA, les produits à base de vitamine C, de vitamine D3 et de quercétine sont des “nouveaux médicaments non approuvés vendus en violation de la section 505(a) du Federal Food, Drug, and Cosmetic Act”. L’agence cite également Mercola.com sur sa page consacrée aux produits frauduleux du COVID-19.

M. Lurie semble laisser entendre qu’il souhaite également que les autorités fédérales suppriment mon site StopCOVIDCold, où vous pouvez télécharger un rapport scientifique gratuit détaillant les avantages du maintien de niveaux appropriés de vitamine D pour se protéger des infections virales. Il exhorte également “les procureurs généraux des États à étudier comment ils pourraient protéger davantage les consommateurs contre le marketing illégal de Mercola “[9].

“Les Américains s’inquiètent à juste titre d’être infectés par le coronavirus et de contracter le COVID-19. Le fait d’être induit en erreur en croyant que les compléments alimentaires peuvent prévenir ou traiter le COVID-19 pourrait amener les consommateurs à ne pas prendre de mesures de protection, comme le port d’un masque, ce qui les mettrait en danger, eux et les autres, ou à ne pas chercher un véritable traitement médical s’ils sont malades”, écrit Lurie.[10]

Il est ironique que M. Lurie rejette d’un revers de main les données scientifiques publiées et évaluées par des pairs qui démontrent que certains nutriments peuvent renforcer votre fonction immunitaire et contribuer à réduire votre risque d’infection grave – qu’il s’agisse du SARS-CoV-2, de la grippe saisonnière ou d’autre chose – et qu’il vante le port du masque, dont l’utilisation universelle ne repose sur aucune preuve scientifique publiée, comme l’une des stratégies de prévention les plus importantes contre le COVID-19.

Malheureusement, c’est là où nous en sommes aujourd’hui. “Faites confiance à la science”, disent-ils, tout en promouvant simultanément des affirmations scientifiquement non vérifiées et en essayant d’éradiquer toute personne qui se contente de rapporter les résultats réellement publiés dans la littérature médicale et susceptibles d’avoir un impact négatif sur l’industrie pharmaceutique.

Le CSPI et la FDA ne peuvent pas censurer

Le CSPI tente de censurer mes efforts pour éduquer les gens sur la manière d’éviter une carence en vitamine D qui, sans aucun doute, les expose à un risque beaucoup plus élevé de complications et de décès dus à des infections respiratoires. Eh bien, je ne vais pas permettre que des gens meurent de COVID-19 et d’autres infections respiratoires à cause d’une carence en vitamine D.

En octobre 2020, j’ai coécrit un article avec William Grant, Ph.D.,[11] et le Dr Carol Wagner,[12] qui font tous deux partie du groupe d’experts en vitamine D de GrassrootsHealth, démontrant le lien évident entre la carence en vitamine D et les cas graves de COVID-19. Cet article a été publié dans la revue médicale à comité de lecture Nutrients.[13]

Cela étant, j’ai établi mon mérite médical et scientifique, et je continuerai à exprimer mes opinions professionnelles, fondées sur les données scientifiques disponibles, et à défendre ma liberté d’expression, comme le prévoit la Constitution des États-Unis.

La lettre d’avertissement de la FDA met en évidence des déclarations contenues dans des articles de mon site Web qui sont entièrement référencées et soutenues par des données scientifiques publiées. Je m’engage à fournir des informations véridiques, gratuitement, à quiconque le souhaite, et je suis tout à fait favorable à un débat scientifique rigoureux lorsque cela est nécessaire. Le CSPI s’est attribué le mérite d’avoir fait pression sur la FDA pour qu’elle émette cette lettre d’avertissement afin de supprimer la liberté d’expression. La lettre d’avertissement de la FDA n’est qu’une nouvelle tentative de CSPI de me salir avec de fausses accusations.
Si les scientifiques et les chercheurs publient ces études, comment peut-on considérer comme un crime le fait de rapporter leurs résultats ? En fin de compte, les attaques du CSPI contre ce site Web constituent un effort pour supprimer la science elle-même.

Comme le CSPI le sait très bien, grâce à la constitution américaine et au premier amendement, j’ai tout à fait le droit de m’exprimer publiquement sur les questions de santé, ce n’est donc rien d’autre qu’une nouvelle tentative de me “déprogrammer” tout en dissimulant sa propre duplicité. Pour mémoire, nous avons pleinement répondu à la lettre d’avertissement ; la FDA ne peut pas simplement arrêter la liberté d’expression que le CSPI n’apprécie pas.

Ce n’est pas la première fois que le CSPI met en danger la santé publique

Le CSPI continue de nier l’existence de la vitamine D, même si des preuves accablantes montrent qu’elle permet de réduire le risque de développer un COVID-19 grave. Ce n’est pas surprenant, venant d’une organisation financée par Rockefeller qui a poussé les acides gras trans mortels sur le public américain jusqu’à ce que les faits deviennent indéniables, après quoi ils ont simplement réécrit l’histoire de l’organisation sur ce sujet pour cacher leur position passée.

En 1986, le CSPI décrivait les gras trans comme ” une grande bénédiction pour les artères des Américains “.[14] Deux ans plus tard, en 1988, il faisait encore l’éloge des gras trans,[15] en affirmant ” qu’il n’y a guère de preuves solides que les gras trans causent plus de dommages que les autres gras ” et que ” l’anxiété suscitée par les gras trans provient en grande partie de leur réputation de ” non naturels ” “. Pendant ce temps, dans le monde réel, la campagne très réussie du CSPI sur les gras trans a entraîné une épidémie de maladies cardiaques.

Le rôle du CSPI dans la promotion des acides gras trans et son influence sur l’industrie alimentaire ont été abordés dans l’article de David Schleifer intitulé “The Perfect Solution : How Trans Fats Became the Healthy Replacement for Saturated Fats “[16], dans lequel il note que :

“Les universitaires soutiennent régulièrement que les entreprises contrôlent la production alimentaire américaine, avec des conséquences négatives pour la santé… Cependant, le passage des graisses saturées aux graisses trans montre comment les militants peuvent contribuer à inciter les entreprises à changer.”

Ce n’est que dans les années 1990 que le CSPI a commencé à revenir sur sa position concernant les gras trans synthétiques, mais le mal était déjà fait, et il n’a jamais admis son erreur. En fait, plutôt que d’admettre ouvertement qu’il avait induit le public en erreur par des affirmations erronées, le CSPI a tout simplement supprimé de son site Web certaines sections de son soutien antérieur aux gras trans.[17] Remarquez comment sa chronologie historique18 des gras trans commence en 1993 – l’année où le CSPI a compris que le jeu était fait et qu’il devait soutenir l’élimination des gras trans.

Le CSPI a alors commencé à collecter des fonds pour des campagnes visant à stopper la substance causant des maladies cardiaques dont il avait fait la promotion. N’est-ce pas diabolique ? Créer le problème et ensuite prendre l’argent des autres pour la solution.

Cette dissimulation a été relevée par Mary Enig, Ph.D., dans un article de 2003, dans lequel elle écrit :[19]

“Le 20 octobre 1993, le CSPI a eu le culot d’organiser une conférence de presse à Washington, DC, et de fustiger les grandes chaînes de restauration rapide pour avoir fait ce que le CSPI les avait forcées à faire, à savoir utiliser des huiles végétales partiellement hydrogénées dans leurs friteuses.

À cette date, le CSPI, ardent défenseur des huiles partiellement hydrogénées pendant de nombreuses années, même lorsque leurs effets néfastes sur la santé étaient évidents, a changé de position après une avalanche de rapports médicaux défavorables liant les acides gras trans contenus dans ces huiles transformées aux maladies coronariennes et au cancer…

Grâce au CSPI, les graisses traditionnelles saines ont presque complètement disparu de l’approvisionnement alimentaire, remplacées par des graisses trans manufacturées connues pour provoquer de nombreuses maladies. En 1990, la plupart des chaînes de restauration rapide avaient adopté l’huile végétale partiellement hydrogénée …

Qui en profite ? Le soja, bien sûr… [et] dans le bulletin d’information du CSPI de janvier 1991, Jacobson note que “notre effort a finalement été rejoint… par l’American Soybean Association”.

Il est encore plus flagrant que le CSPI continue de recommander de consommer des graisses insaturées comme les huiles de soja et de canola[20] et d’éviter le beurre et les autres graisses saturées saines, en affirmant que “changer de graisses ne réduit pas le risque de mourir “[21]

Cette affirmation ne tient absolument pas compte des preuves irréfutables montrant que les huiles végétales industrielles, et en particulier l’acide linoléique oméga-6, présentent des risques importants pour la santé et contribuent aux maladies chroniques. Et les maladies chroniques, à leur tour, ont un impact sur la mortalité.

Le CSPI protège principalement les grandes entreprises

Cette tendance à s’aligner sur la science et la propagande de l’industrie est devenue une tendance au sein du CSPI. Par exemple, ce n’est qu’en 2013 que le CSPI a finalement déclassé l’édulcorant artificiel Splenda de son ancienne catégorie “sûre” à celle de “prudence”.[22]

En 2016, il l’a de nouveau déclassé, passant de “prudence” à “éviter”.[23] Malgré cela, le CSPI continue de promouvoir les sodas light comme une alternative plus sûre aux sodas ordinaires, affirmant qu’ils “ne favorisent pas le diabète, la prise de poids ou les maladies cardiaques comme le font les sodas riches en calories”.[24]

Le groupe a également adopté une position ferme en faveur des OGM et a activement sapé le mouvement d’étiquetage des OGM,[25] ce qui a fait des États-Unis le seul pays au monde à ne pas avoir d’étiquetage clair des OGM. En août 2001, l’organisation a même exhorté la FDA à prendre des mesures coercitives à l’encontre des entreprises alimentaires utilisant des étiquettes non OGM, affirmant que ces étiquettes pouvaient ” tromper les consommateurs “.[26]

Dans la même veine, le groupe s’oppose à un étiquetage clair de la fausse viande ultra-transformée. Dans une lettre adressée en mai 2018 à la FDA[27], le CSPI a exhorté l’agence à “rejeter les efforts de l’Association des éleveurs de bétail des États-Unis visant à interdire l’utilisation des termes “viande” ou “bœuf” sur les protéines végétales et de culture commercialisées comme alternatives à la viande traditionnelle.” Dans l’ensemble, il semble que le CSPI soit complètement opposé à l’idée d’un public bien informé.

Le CSPI a également été un promoteur du mythe de la faible teneur en matières grasses, totalement démystifié. En 1995, il a lancé une campagne intitulée “1 % ou moins” qui invitait tous les enfants de plus de 2 ans à passer du lait entier et du lait 2 % au lait écrémé (également appelé lait écrémé ou sans matière grasse) afin de réduire leur consommation de graisses saturées[28],[29],[30].

Cette campagne a également été couronnée de succès et a permis de doubler les ventes de lait écrémé.[31] Cependant, tout comme la campagne sur les gras trans, cette campagne était également malavisée, car les recherches[32],[33] montrent que les produits laitiers entiers réduisent en fait le risque de décès dû au diabète et aux causes cardiovasculaires telles que les accidents vasculaires cérébraux.

Le CSPI a constamment bafoué sa mission

Si l’on considère les risques sanitaires suspectés, et dans certains cas bien vérifiés, des graisses trans, des édulcorants artificiels, du soja, des OGM, du régime pauvre en graisses et de la fausse viande, l’intention du CSPI de protéger et de faire progresser la santé publique est pour le moins douteuse.

Il semble qu’ils soient plus intéressés par la protection d’industries rentables, et les efforts du CSPI pour détruire les entreprises qui vendent des vitamines et des suppléments ayant des effets antiviraux naturels[34] en sont une preuve supplémentaire.

Le fait est qu’ils cherchent à mettre un terme à Mercola.com parce que nous représentons une menace sérieuse pour leur programme et qu’ils veulent éliminer le plus grand nombre possible de ceux qui disent la vérité.

Sources et références

Sources : https://www.lewrockwell.com/author/joseph-mercola/
https://www.lewrockwell.com/2021/03/joseph-mercola/fda-warns-dr-mercola-to-stop-writing-about-vitamin-d/
Traduction par https://cv19.fr

Flavia Groșan, pneumologue roumaine : c’est le protocole Covid appliqué dans les hôpitaux qui tue les malades !

Article paru le 19 mars 2021 sur le site Erdély Ma.

« Une pneumologue roumaine fait des miracles : elle a guéri 100% de ses malades du Covid » – C’est sous ce titre que vient de paraître un article assez long dans le quotidien roumain Național, vendu dans tout le pays. Le secret de cette femme médecin d’Oradea ? Pour guérir ses patients, elle n’applique pas le protocole médical dont l’usage est devenu obligatoire presque partout.

Couverture du Național du 18 mars 2021.

L’entretien publié par le Național a aussi été mise en ligne en langue hongroise sur ce site, qui reprend, concernant l’épidémie, diverses nouvelles alternatives que la presse de grand chemin refuse de publier. Nous ne sommes pas en mesure de vérifier la crédibilité des matériaux souvent touffus que reprend le site, mais nous pouvons, en revanche, évaluer celle de la traduction hongroise de l’entretien : le contenu de la traduction hongroise correspond bien à l’original. Voici donc cette traduction, à laquelle nous n’avons ajouté que d’infimes améliorations stylistiques :

« Le portail d’informations national.ro vient de publier un entretien intéressant, dans lequel une pneumologue d’Oradea nous explique que, décidant de ne pas tenir compte du protocole Covid officiellement en vigueur [en Roumanie], elle a préféré se baser sur sa propre expérience de la pneumologie pour traiter de façon traditionnelle ceux de ses patients atteints de pneumonie suite à une infection virale – y compris ceux qu’on dit « souffrant du Covid », méthode débouchant sur un succès impressionnant : pratiquement 100% de ses patients ont guéri sans le moindre soin hospitalier. D’après ce médecin, c’est en réalité le protocole Covid actuellement appliqué que tue les patients dans les hôpitaux.

Capture d’écran de l’article du Național en date du 17 mars 2021.

Le docteur Flavia Groșan, pneumologue à Oradea (département du Bihor). Elle est l’un de ces médecins qui ne sont pas d’accord avec le protocole de guérison actuellement prescrit par le ministère [roumain] de la Santé, et en fonction duquel sont censés être traités les malades infectés par le Covid-19. Laissant de côté cette prescription, elle guérit les patients infectés avec ses propres méthodes, en partant des connaissances qu’elle doit à son expérience de médecin, et tout semble indiquer qu’elle s’y prend très bien : son traitement a été appliqué à presque mille patients arrivant chez elle à des stades différents de la maladie causée par le SarS-CoV-2. 100% de ses patients ont guéri, sans la moindre prise en charge hospitalière.

Le docteur Groșan traite les conséquences de l’infection par le virus SARS-CoV-2 comme une pneumonie atypique. Elle a aussi déclaré que les hôpitaux commettent d’énormes erreurs, et que c’est en réalité le protocole Covid qui tue les patients.

Le Covid est une pneumonie – certes atypique, mais une pneumonie – et doit être traité comme tel » – a-t-elle affirmé.

« Dès l’annonce de la pandémie, mon but a été qu’aucun patient ne finisse intubé, car c’est un procédé qui entraîne la mort. J’applique mes traitement classiques, médicamenteux, qui incluent la clarithromycine, un antibiotique de la famille des macrolides. Cette famille ne compte que trois antibiotiques : l’érythromycine, que tout le monde connaît, l’azithromycine et la clarithromycine. Je n’aime pas trop l’azithromycine, qui est une copie affaiblie de la clarithromycine. J’ai participé à des recherches cliniques très intéressantes sur les pneumonies, au cours desquelles j’ai pu constater le pouvoir qu’a la clarithromycine de réduire l’inflammation comme aucun autre antibiotique ne sait le faire. »

La pneumologue fait remarquer que les surdoses d’oxygène administrées en milieu hospitalier provoquent des œdèmes cérébraux, qui constituent l’une des causes de mortalité des patients.

À ce sujet, elle a tenu les propos suivants :

« Au-dessus de 80% de saturation, je n’administre que de très petites doses d’oxygène à mes patients, de l’ordre de 2-3 litres par minute, sous la forme d’administrations quotidiennes courtes, de 4 à 5 heures tout au plus. Il faut en effet savoir qu’un excès d’oxygène inhibe le cerveau, car en général, c’est le cerveau qui contrôle notre corps, et non un appareil. Sur ce point, j’ai été en total désaccord avec le protocole Covid en vigueur : les fortes doses d’oxygène qu’il prescrit, de l’ordre de 20 litres, conduisent à l’acidose, provoquant des œdèmes cérébraux chez les patients… lesquels, à leur tour, conduisent bien entendu à leur décès. »

Flavia Groșan voit comme une lourde erreur l’administration aux malades de Covid de Kaletra et de codéine, qui ne peuvent qu’aggraver les symptômes de la maladie.

« Heureusement, il y a eu quelques infirmières – celles que je considère comme de vraies héroïnes – qui ont observé les malades, et les ont avertis, leur conseillant de ne pas avaler le Kaletra et de jeter les médicaments. Après quoi, les médecins venant procéder à leur contrôle s’étonnaient de l’absence de diarrhée, et du fait qu’ils se sentent bien. La raison en était qu’ils n’avaient pas pris les médicaments prescrits par le protocole. C’est ainsi que ces soignantes ont véritablement sauvé la vie de leurs patients. »

« En cas d’utilisation de la codéine, la toux étant bloquée, le malade ne peut pas cracher les sécrétions qui se forment dans les poumons, et ce sont ces sécrétions qui l’étouffent – pas les caillots sanguins, mais l’accumulation des sécrétions. Arrivés à ce point, les malades, comme on pouvait s’y attendre, entrent en état de panique, car ils n’arrivent plus à respirer : du coup, on leur administre des calmants et on les place sur respirateur – à partir de là, il n’y a plus que la miséricorde divine pour les sauver ! »

Cette méthode couronnée de succès et cette attitude intrépide ont aussitôt assuré à cette pneumologue d’Oradea une popularité nationale. D’innombrables organes de presse ont rendu compte de la méthode qu’elle applique. Sur cette vidéo, elle répond aux questions d’une chaîne nationale basée à Bucarest, dont les journalistes adoptent à son égard un ton plutôt hostile et accusatoire, mais madame le docteur reste inébranlable. Voici un résumé de l’entretien télévisé :

Flavia Groşan

La pneumologue applique son propre protocole. Elle consulte en ligne, et traite ses patients en partant du principe qu’ils souffrent d’une pneumonie atypique. Elle a par exemple guéri les cinq membres d’une même famille, dont les âges allaient de 37 à 97 ans ; le traitement a eu tant de succès que cette famille a déjà pu fêter Noël réunie. Les malades ont très peur – affirme-t-elle –, tout le monde veut être hospitalisé, alors qu’on peut guérir en restant chez soi et en prenant des médicaments. Elle a déjà été dénoncée par l’un de ses collègues pour ne pas suivre le protocole prescrit, mais cela la laisse indifférente, car elle voit que le protocole prescrit n’est pas correct, et que son protocole à elle, en revanche, est le bon – le principe de ce dernier étant que, dès l’apparition des premiers symptômes, même avec une température de 37.1°, elle place ses patients sous clarithromycine. Elle se déclare perplexe en voyant les sommités médicales se succéder à la télévision pour effrayer la population, car pour elle, il était clair d’entrée de jeu qu’elle a à faire à une pneumonie, et que c’est cette constatation qui doit aussi déterminer la mise au point du traitement.

Traduit du hongrois par le Visegrád Post

Source : https://visegradpost.com/fr/2021/03/22/flavia-grosan-pneumologue-roumaine-cest-le-protocole-covid-applique-dans-les-hopitaux-qui-tue-les-malades/

La vitamine D est sûre – Pas les vaccins

[Note cv19 : la Vitamine D semble être à ce jour l’une des meilleures préventions contre le covid-19, mais son utilisation sous forme de cholécalciférol orale (vitamine D3 – forme la plus courante en supplémentation) n’auras qu’un faible impact chez les personnes déjà malades, les concentrations n’augmentant significativement qu’après quelques semaines de traitements, et plus vous êtes carencé, plus il faut de temps pour que les effets se fassent sentir. Le calcitriol est la forme hormonalement active de la vitamine D qui pourrait agir plus rapidement, également disponible sous forme orale, il a fait l’objet d’étude en tant que traitement prophylactique, le calcifediol a également fait l’objet d’étude en association avec HCQ + AZI montrant de bons résultats]


Par David Ash

Le mouton vit sa vie en craignant le loup pour finir par être mangé par le berger.

Proverbe africain

La vitamine D est sans danger, peu coûteuse – le soleil est gratuit – et elle devrait être efficace contre les variants du coronavirus, car les recherches révèlent que la cause sous-jacente du Covid-19 est un dysfonctionnement immunitaire et non l’action du coronavirus lui-même et, quoi qu’en disent le gouvernement et les médias, les vaccins, surtout lorsqu’ils sont mis sur le marché à la hâte, ne sont pas sûrs. Pour citer un rapport de toxicologie sur le développement des vaccins :

“Les études bibliographiques montrent que les vaccins sont rarement testés pour leurs effets indésirables à moyen terme, et certainement pas pour leurs effets indésirables à long terme. Ils ne sont pas testés pour les combinaisons telles qu’administrées au fil du temps selon un calendrier prescrit, et ils ne sont pas testés en laboratoire en combinaison avec d’autres substances toxiques. Il semble que les fabricants ou les chercheurs ne soient guère intéressés par la découverte ou l’identification de ces effets indésirables. Ce désintérêt est particulièrement marqué dans les efforts actuels pour mettre sur le marché un vaccin Covid-19, peut-être rendu obligatoire, dans l’année qui suit le début du développement. Il ne peut y avoir aucun test de sécurité crédible dans le cadre d’un tel calendrier. Il existe de nombreux effets négatifs potentiels sur la santé qui peuvent résulter des mécanismes induits par le vaccin, comme l’a montré notre étude actuelle, et ces effets pourraient apparaître à court ou à long terme. Il est injustifiable d’exiger des jeunes (qui ne sont pas exposés aux conséquences les plus graves du Covid-19) qu’ils prennent de tels vaccins ayant potentiellement de graves conséquences à long terme.”(1)

Pour comprendre le Covid-19, imaginez les coronavirus comme des étincelles et le Covid-19 comme des incendies domestiques que ces virus allument. Les maisons protégées contre le feu ne sont pas endommagées par les étincelles, tandis que les maisons où la protection contre le feu a été négligée prennent feu et brûlent. Les étincelles ne sont pas la seule cause des incendies de maison, aussi, plutôt que de se concentrer uniquement sur la lutte contre les étincelles, il serait judicieux d’installer des extincteurs et de prendre d’autres mesures préventives pour protéger les maisons contre toutes sortes d’incendies.

La Covid-19 est une maladie auto-immune déclenchée par le coronavirus

Dès mars 2020, des avertissements ont été émis indiquant que le Covid-19 était une maladie auto-immune, déclenchée par le coronavirus. Ce virus semble provoquer un choc cytokinique inflammatoire chez les personnes dont le système immunitaire est affaibli par une carence en vitamine D.(2)

Au lieu de se voir conseiller de compter uniquement sur les nouveaux vaccins pour vaincre le Covid-19, les autorités sanitaires auraient dû conseiller aux gouvernements de prendre des mesures de précaution immédiates, avant l’arrivée des vaccins, pour encourager chacun à prendre de la vitamine D et d’autres nutriments essentiels afin d’optimiser le fonctionnement de son système immunitaire, en particulier pendant les mois d’hiver.

Les chercheurs ont déclaré :

“En résumé, il est difficile de voir comment des vaccins Covid-19 sûrs peuvent être mis au point et faire l’objet de tests complets de sécurité sur des échelles de temps de développement d’un ou deux ans, comme cela est proposé actuellement. La seule véritable protection contre une future pandémie de Covid-19 ou toute autre pandémie/épidémie virale est celle dont l’efficacité a été démontrée lors des pandémies/épidémies de SRAS, de MERS et de Covid-19, ainsi que lors des pandémies/épidémies annuelles de grippe : un système immunitaire sain capable de neutraliser les virus entrants comme la nature l’a prévu.” (1)

La carence en vitamine D est à l’origine de nombreuses maladies

La limite des vaccins contre le coronavirus est que, s’ils peuvent contribuer à renforcer l’immunité contre le coronavirus, ils ne contribuent pas au bon fonctionnement normal du système immunitaire comme le fait la vitamine D :

“De nouvelles données sur la vitamine D sont apparues au cours des quinze dernières années et continuent de s’étoffer pratiquement chaque jour…(3a)…La carence en vitamine D a été clairement liée aux principales maladies chroniques associées au stress oxydatif, à l’inflammation et au vieillissement, notamment les maladies cardiovasculaires et neurodégénératives, le diabète et le cancer. En particulier, le système cardiovasculaire semble être très sensible à la carence en vitamine D…De nombreuses recherches ont montré que la vitamine D joue également un rôle régulateur dans l’auto-immunité, l’inflammation…Récemment, la carence en vitamine D a été associée à divers facteurs de risque de maladies cardiovasculaires, notamment l’obésité, l’hypertension, la dyslipidémie, la résistance à l’insuline et le syndrome métabolique. (3b) La carence en vitamine D, définie par un taux sérique de 25(OH)D compris entre 20 et 29 ng/mL, est endémique chez l’homme, avec plus d’un milliard de personnes affectées dans le monde, et peut nécessiter des actions de santé publique, telles que l’enrichissement systématique des aliments en vitamine D. De plus, la “carence en vitamine D” (< 20 ng/mL) est prévalente dans près de la moitié de la population en bonne santé des pays développés, est fréquente chez les patients atteints de MCV (maladie cardio-vasculaire) et est associée de manière indépendante à un risque plus élevé de futurs événements cardiovasculaires. En outre, la carence en vitamine D est probablement associée à un âge avancé, à une pigmentation de la peau plus foncée, à une moindre exposition au soleil et à un faible apport alimentaire en vitamine D, et a été liée à un risque accru de morbidités liées à l’âge qui incluent les maladies neurodégénératives et les dysfonctionnements cérébrovasculaires.(3c) “

Les vaccins contre le coronavirus traitent les symptômes de la maladie du Covid-19. Ils ne s’attaquent pas à la cause sous-jacente de cette pénible maladie, qui peut également être à l’origine d’autres maladies. Selon Robert Verkerk, PhD, de l’Alliancefor Natural Health International, “si vous aidez les populations à améliorer leur statut nutritionnel et leur fonction métabolique afin de réduire la vulnérabilité au Covid-19, vous réduisez simultanément le risque de presque toutes les maladies chroniques et auto-immunes” (4).

Des données cliniques révèlent que le Covid-19 est lié à une carence en vitamine D

Le Covid-19 est une maladie respiratoire et les maladies respiratoires semblent réagir à des niveaux optimisés de vitamine D “soleil”. Des preuves cliniques indiquent qu’avec des niveaux sériques adéquats de vitamine D, les gens sont moins susceptibles de souffrir d’infections respiratoires en général et du Covid-19 en particulier. (5) Roger Seheult M.D. (cofondateur de MedCram), spécialiste des soins intensifs et des maladies pulmonaires, a déclaré catégoriquement que “le supplément qui présente le meilleur niveau de preuve pour renforcer le système immunitaire contre le Covid-19 est la vitamine D.” (6)

Trois ans avant le début de la pandémie de Covid-19, le BMJ a publié en février 2017 une analyse de 25 études différentes portant sur 11 000 patients qui montrait que la supplémentation en vitamine D était sûre et efficace pour protéger contre les infections des voies respiratoires. (7) Cela se reflète dans la tendance de la population à souffrir davantage de rhumes et de grippes pendant les mois d’hiver, lorsque l’ensoleillement et donc les niveaux de vitamine D sont les plus bas. Cette tendance s’est manifestée lors de la pandémie de Covid-19, où le plus grand nombre de cas a été enregistré en janvier 2021. Nonobstant d’autres facteurs, tels que le relâchement de la distance sociale le jour de Noël 2020, les niveaux élevés de Covid-19 en hiver confirment le volume croissant de preuves qu’il existe un lien entre le Covid-19 et les faibles niveaux de vitamine D sérique.

La susceptibilité des personnes âgées au Covid-19 reflète leur carence en vitamine D

Le système immunitaire s’affaiblit avec l’âge, ce qui se reflète dans les décès dus au Covid-19, qui sont de 0,003 % chez les moins de 20 ans, 0,456 % chez les 60-64 ans, 3,2 % chez les 75-79 ans et 8,3 % chez les plus de 80 ans.(8)

La susceptibilité des personnes âgées à l’altération de la fonction immunitaire est en corrélation avec la baisse des taux sériques de vitamine D, avec l’âge (9) et les décès dus au Covid-19 ont été les plus fréquents chez les patients – en particulier les personnes âgées – dont les taux sériques de vitamine D étaient faibles. (10) Un grand nombre d’études ont révélé l’existence d’un lien entre la carence en vitamine D et les décès dus au Covid-19 chez les personnes âgées. (3d) (11) (12) (13)

Le Covid-19 est plus grave sous les climats nordiques où l’ensoleillement est le plus faible

Les décès dus au Covid-19 sont liés à la latitude. La corrélation entre le Covid-19 et la carence en vitamine D est étayée par le fait que les décès dus au Covid-19 sont moins nombreux dans les régions méridionales plus ensoleillées que dans les régions septentrionales où les niveaux d’ensoleillement sont plus faibles. (14) (15)

Tout au long de l’été 2020, de plus en plus d’articles sont parus dans les journaux médicaux, renforçant ainsi les preuves que le Covid-19 semble être une maladie liée à une carence en vitamine D. (16) (17) (18) (19) (20) (20a) (20b) Malgré cela, il n’a pas été conseillé à la population britannique de prendre plus de vitamine D ou de passer plus de temps au soleil pour se protéger du Covid-19.

Les personnes à la peau foncée qui bloquent les rayons UV sont plus sensibles au Covid-19

L’un des indicateurs les plus clairs d’un lien entre le Covid-19 et la carence en vitamine D est la manière dont cette maladie a frappé les groupes ethniques noirs, asiatiques et minoritaires (BAME) de manière disproportionnée par rapport à leurs homologues blancs, à tel point que le 23 novembre, Channel 4 TV a diffusé un programme intitulé ” Le Covid est-il raciste ? “. ( 21)

Dans ‘Frontiers in Public Health’, le 22 janvier 2021, un article rapporte :

“De plus en plus de preuves suggèrent que les personnes issues des groupes ethniques noirs (principalement africains) et asiatiques (principalement les Asiatiques du Sud/Asiatiques du Sud-Est) sont touchées de manière disproportionnée par le Covid-19, ce qui entraîne de moins bons résultats (mortalité et morbidité plus élevées) par rapport aux Britanniques ou Américains blancs. Public Health England (en août 2020) a signalé que les Noirs sont 2 à 3 fois plus susceptibles d’être infectés par le Covid-19 que les Blancs, après ajustement en fonction de l’âge. Une étude menée dans 260 hôpitaux d’Angleterre, d’Écosse et du Pays de Galles a révélé que les personnes d’origine noire et sud-asiatique étaient, respectivement, 36 et 28 % plus susceptibles d’être admises en soins intensifs, après ajustement en fonction de l’âge, du sexe et de la pauvreté de la zone habitée. Les données provenant des unités de soins intensifs ont montré que les personnes issues de groupes ethniques noirs et asiatiques représentaient plus de 25 % de toutes les admissions dans le cadre du programme Covid-19 (jusqu’à fin juillet 2020), alors qu’elles ne constituent qu’environ 11 % de la population totale du Royaume-Uni. Les décès liés au Covid-19 au sein des groupes ethniques noirs et asiatiques travaillant dans les établissements de santé au Royaume-Uni étaient encore plus élevés (63 %)… Diverses raisons ont été avancées pour expliquer pourquoi les personnes issues de groupes ethniques minoritaires noirs et asiatiques sont plus exposées au risque d’infection et de mortalité par le coronavirus. Il s’agit notamment de facteurs sociodémographiques, de problèmes de santé sous-jacents, de ménages surpeuplés, de la vie dans des zones défavorisées, de la difficulté d’accès aux soins de santé en raison de la barrière de la langue, de modes de vie malsains et de l’exécution de tâches essentielles ou de soins de santé de première ligne “à haut risque”. Cependant, les recherches suggèrent que, même après ajustement en fonction de l’âge, du sexe, du mode de vie, des facteurs socio-économiques, des barrières linguistiques, des conditions de santé et d’invalidité déclarées, les personnes issues des groupes ethniques noirs et asiatiques sont toujours plus susceptibles d’être infectées et de mourir du Covid-19 que les personnes blanches. Au Royaume-Uni, les données montrent que les décès liés au Covid-19 étaient 1,9 fois plus élevés chez les Noirs et 1,6-1,8 fois plus élevés chez les Asiatiques que chez les Blancs, après ajustement en fonction de l’âge, des caractéristiques socio-économiques et des mesures de santé/d’invalidité autodéclarées… En explorant ces déterminants sanitaires et sociaux de l’inégalité dans les minorités ethniques, les différences dans d’autres facteurs tels que les faibles niveaux de vitamine D n’ont pas été abordées de manière adéquate. La carence en vitamine D constitue un facteur de risque potentiel pour le Covid-19.” (22)

Au début des années 1970, alors que j’étais étudiant à la faculté de nutrition de John Yudkin à l’Université de Londres, on m’a appris que les personnes venant de régions plus ensoleillées du monde et s’installant au Royaume-Uni étaient plus susceptibles de souffrir d’une carence en vitamine D en raison du climat britannique et que cela pouvait avoir un impact sérieux sur leur santé. Un demi-siècle plus tard, je me demande pourquoi cette information vitale concernant la vitamine du soleil n’a pas été communiquée au personnel du NHS et des maisons de soins du groupe BAME qui combat le Covid-19 en première ligne. Tant de vies auraient pu être sauvées grâce à ce conseil simple et judicieux.

Dans l’émission de Chanel 4 ” Le Covid est-il raciste ? “, le présentateur, le Dr Ronx Ikharia, a souligné que 100 % des patients britanniques décédés à cause du Covid-19 appartenaient au groupe BAME. Comment est-il possible que des patients meurent par manque des connaissances les plus élémentaires sur leur besoin en vitamine D ? Est-ce à cause d’une résistance obstinée des autorités de régulation médicale à accepter la valeur de la vitamine D pour la prévention du Covid-19 ou parce que les vitamines ne sont pas considérées comme importantes dans le cadre de la formation médicale ?

Si la vitamine D était distribuée à la place du vaccin, les autres pathologies diminueraient

La véritable tragédie de la pandémie est que des millions de décès à travers le monde auraient pu être évités si, à l’été 2020, le Covid-19 avait été reconnu comme une maladie due à une carence en vitamine D. L’incidence d’autres maladies mortelles aurait également pu chuter. Le Covid-19 semble être un signal indiquant une carence endémique en vitamine D dans le monde entier, qui est responsable d’une foule d’autres maladies inflammatoires. “Il a également été démontré que la carence en vitamine D est corrélée à l’hypertension, au diabète, à l’obésité et à l’origine ethnique – autant de caractéristiques associées à un risque accru de Covid-19 sévère.” (14)

Il est bien établi que la carence en vitamine D est liée à la présentation d’une détresse respiratoire sévère, et aux séquelles de la tempête de cytokines, qui comprend également le Covid.

Il s’agit d’une petite étude, mais bien étayée par la littérature scientifique. Tous les facteurs de risque pour le Covid sont également des facteurs de risque de carence en vitamine D. Nous avons une pandémie de carence en vitamine D dans de nombreux climats tempérés. Plus de deux cents scientifiques ont demandé instamment que l’on envisage une supplémentation en vitamine D pour la prévention et le traitement du Covid.

Le ministre britannique de la santé veut utiliser la vitamine D pour le Covid-19 mais le NICE dit NON

Au Royaume-Uni, les députés et les ministres se sont inquiétés de savoir pourquoi les preuves cliniques liant le Covid-19 à une carence en vitamine D n’avaient pas été portées à la connaissance du gouvernement par leurs conseillers scientifiques et médicaux. (23) Lorsque David Davis MP a présenté au ministre de la santé les preuves disponibles, Matt Hancock, a approché Public Health England (PHE) et le National Institute for Health and Care Excellence (NICE) – les organismes chargés de conseiller le gouvernement britannique sur la façon de s’attaquer à la pandémie – demandant pourquoi il n’avait pas été informé que la vitamine D pouvait sauver des milliers de vies, la réponse a été “preuves insuffisantes”. (24)

Compte tenu du volume de preuves disponibles, la réponse semble être intransigeante, d’autant plus que l’insuffisance de preuves n’avait jamais été un problème dans la pandémie. Dans l’urgence de trouver une solution, les vaccins du coronavirus ont été déployés sans les années d’essais normalement requises pour les nouveaux vaccins afin de fournir des preuves suffisantes de leur efficacité et de leur sécurité. Il semblerait qu’il y ait deux ensembles de règles, l’un pour les vaccins, l’autre pour les vitamines. S’il n’y avait qu’un seul ensemble de règles, le volume de preuves en faveur de la vitamine D, disponible à l’automne 2020, aurait été suffisant pour que ceux qui conseillent le gouvernement recommandent que tout le monde prenne un supplément de vitamine D pendant la période hivernale, comme mesure de précaution pour sauver des vies et épargner le NHS avant le déploiement des vaccinations. Cela aurait pu éviter le troisième confinement et sauver des dizaines de milliers de vies. Mais aucun conseil général de supplémentation en vitamine D, pour se protéger contre le Covid-19, n’a été donné.

Le déploiement de la vitamine D est trop lent et trop tardif pour prévenir la vague hivernale de Covid-19

Avec le soutien de Public Health England, Matt Hancock a proposé de la vitamine D à 3,5 millions de personnes parmi les plus vulnérables, mais il n’a pas été autorisé à mentionner le lien entre la vitamine et le Covid-19. La vitamine a été distribuée en janvier 2021, à raison de 400 UI par jour au minimum, afin de compenser la perte d’exposition au soleil lors du premier confinement. C’était trop peu, trop tard. Un avertissement a été donné pour ne pas dépasser la dose de 400 UI, insuffisante pour les personnes âgées – la majorité du groupe vulnérable – qui ont besoin d’un minimum de 800 UI par jour. La limite supérieure de sécurité de la vitamine D a été fixée à 4000 UI par jour. Ce chiffre est arbitraire car une étude menée sur 10 ans auprès de 20 000 personnes a montré qu’une dose quotidienne de vitamine D dix fois supérieure à ce chiffre était sans danger. Une seule personne a montré des signes de toxicité de la vitamine D lorsque des doses quotidiennes de 50 000 UI pendant 3 mois ont été administrées.(25) Compte tenu du niveau des effets indésirables des vaccins du coronavirus, cela reflète la résistance obstinée à déployer la vitamine D dans la pandémie de Covid. (1) (26)

La principale préoccupation concernant la prise de niveaux élevés de vitamine D est la calcification des tissus mous. Cependant, cette mauvaise orientation du calcium a été liée à une carence en vitamine K. (27)

La vitamine D est sans danger à haute dose

Il est évident que des doses de vitamine D supérieures à 4000 UI sont sûres car il a été démontré que 30 minutes d’exposition du corps entier au soleil de midi, en plein été, en Norvège, génèrent l’équivalent de la prise de 10 000 à 20 000 UI de vitamine D par voie orale.(27) Et pour ceux qui s’inquiètent du danger de cancer de la peau dû à l’exposition au soleil, les bénéfices de la production de vitamine D dépassent de loin les dangers des mélanomes :

“Les avantages pour la santé des UVB solaires sont bien plus importants que les effets néfastes représentés par les taux de mortalité liés au mélanome et au CSNM (cancer de la peau sans mélanome). La conclusion de cette étude est similaire à celle d’un rapport commandé par l’Organisation mondiale de la santé : “L’exposition aux UV (rayonnements ultraviolets) contribue peu à la charge de morbidité mondiale, causant une perte annuelle estimée à 1,6 million d’AVCI (année de vie corrigée de l’incapacité), soit 0,1 % de la charge de morbidité mondiale totale. Une réduction de l’exposition mondiale aux UV à des niveaux très bas pourrait entraîner une charge de morbidité annuelle nettement plus importante, soit 3,3 milliards d’AVCI. Les avantages pour la santé des UVB solaires sont beaucoup plus importants que les effets négatifs représentés par les taux de mortalité liés au mélanome et au CSNM. La conclusion de cette étude est similaire à celle d’un rapport commandé par l’Organisation mondiale de la santé : ” L’exposition aux rayons UV contribue de façon mineure à la charge de morbidité mondiale, causant une perte annuelle estimée à 1,6 million d’AVCI, soit 0,1 % de la charge de morbidité mondiale totale. Une réduction de l’exposition mondiale aux rayons UV à des niveaux très bas pourrait entraîner une charge de morbidité annuelle nettement plus importante, soit 3,3 milliards d’AVCI “(28).

La vitamine D prévient la progression des cancers

Dans un essai clinique impliquant près de 26 000 personnes, sur une période de cinq ans, certaines ont reçu 2000 UI de vitamine D par jour tandis que d’autres ont reçu un placebo. L’étude a montré que la probabilité de contracter des cancers malins qui se propagent ( métastase), comme les mélanomes de la peau, était réduite de 38 % chez les participants non obèses qui prenaient de la vitamine D par rapport au groupe témoin et aux participants obèses. (29) (La vitamine D étant liposoluble, elle a tendance à se perdre dans les tissus adipeux. Les personnes en surpoids ont besoin de niveaux plus élevés que les personnes de poids normal pour obtenir le même bénéfice). Il semblerait que le danger de contracter un cancer de la peau par l’exposition au soleil soit atténué par l’action de la vitamine D générée par l’exposition au soleil.

L’exposition limitée au soleil, suffisante pour la production de vitamine D, devrait être insuffisante pour endommager la peau, ce qui dépend du type de peau. Les personnes ayant une peau claire qui brûle facilement peuvent se baigner dans un soleil fort sans crème solaire pendant de courtes périodes. Les personnes à la peau bronzée sont en sécurité au soleil pendant une période plus longue. Les personnes à la peau foncée ont besoin de beaucoup plus de temps au soleil pour augmenter leur taux de vitamine D.

Les confinements renforcent le Covid-19 en privant les gens de la lumière du soleil

Conseiller aux gouvernements d’enfermer les populations dans leurs maisons, alors que des études cliniques montraient que les gens avaient besoin de sortir et de s’exposer au soleil pour se protéger du Covid-19, n’était rien de moins qu’une action criminelle de la part des autorités sanitaires et de santé publique.

Notre besoin d’exposition au soleil pour développer la vitamine D peut être apprécié dans le contexte de notre évolution. Nous avons évolué pour vivre au soleil et non dans des habitations. Les maisons, les usines, les bureaux, les véhicules et le fait de s’habiller de la tête aux pieds nous privent de soleil. Et si nous nous exposons au soleil, l’évolution n’a pas prévu de crème solaire. Sans un ensoleillement adéquat ou une supplémentation en vitamine D, la sélection naturelle pourrait nous anéantir.

Un argument de poids pour poursuivre les autorités sanitaires pour crimes contre l’humanité

Des études ont révélé que la majorité des patients atteints du Covid sont déficients en vitamine D (30) et un nombre croissant d’essais cliniques ont montré que l’utilisation de doses régulières allant jusqu’à 60 000 UI de vitamine D chez les patients hospitalisés pour le Covid-19 réduira le taux de mortalité (31) (32) et d’autres essais cliniques sont en cours (33) mais il existe un danger que les études cliniques soient ignorées car de nombreuses études et essais cliniques en faveur de la médecine nutritionnelle ont été sous-estimés depuis les années 1920. C’est à cette époque que, au nom de la philanthropie, John D. Rockefeller a réussi à détourner l’enseignement médical de certaines disciplines, comme la nutrition, au profit de la “médecine scientifique”, ce qui a conduit à la pharmacologie et, finalement, à la nanotechnologie qui sous-tend les vaccins du coronavirus. Un siècle plus tard, nous payons encore le prix de sa stratégie commerciale consistant à vendre du pétrole pour fabriquer des médicaments. (34)

L’industrie pharmaceutique Big Pharma et les investisseurs “philanthropiques” qui la soutiennent sont très puissants. Pour eux, la carence en vitamine D peut être une vérité gênante à un moment où le Covid-19 représente une opportunité sans précédent de déployer les vaccins nanotechnologiques dans lesquels ils ont largement investi. Est-il possible qu’ils aient “influencé” les régulateurs du secteur pharmaceutique pour qu’ils ignorent les preuves cliniques soutenant la vitamine D dans la prévention et le traitement du Covid-19 ?

Les preuves de la vitamine D ont-elles été cachées au gouvernement britannique ? Le défi lancé par Matt Hancock au NICE et au PHE d’expliquer pourquoi on ne lui a pas dit que la vitamine D pouvait sauver des milliers de vies, le laisse penser. Si c’est le cas, il pourrait y avoir un cas prima facie pour poursuivre le NICE et d’autres autorités de réglementation médicale pour ne pas avoir recommandé une supplémentation universelle en vitamine D, avant le déploiement des vaccins à l’automne 2020 comme mesure de précaution pour éviter le pic anticipé d’une deuxième vague de Covid-19 en janvier 2020. Les informations disponibles avant septembre 2020 étaient suffisantes pour justifier cette action, surtout si l’on considère que les résultats d’un essai clinique contrôlé par placebo, suggérant que la vitamine D peut réduire significativement les décès dus au Covid-19, bien qu’il s’agisse d’une étude pilote, ont été publiés en ligne le 29 août 2020 (35).

L’incapacité des conseillers médicaux du gouvernement américain à agir en faveur de la supplémentation en vitamine D a entraîné la mort de dizaines de milliers de personnes des deux côtés de l’Atlantique au cours de l’hiver 2020/21. Au lieu d’encourager la prise de vitamine D protectrice, la FDA (Food and Drug Administration) y a fait obstacle. La FDA a demandé à un tribunal fédéral américain d’ordonner à une entreprise de Géorgie de cesser de vendre de la vitamine D comme moyen de prévention ou de traitement du Covid-19. (36)

Au lieu de recommander la vitamine D comme solution provisoire jusqu’à ce que les vaccinations soient déployées, le NICE, la FDA et les autorités de réglementation des médicaments de l’UE ont exclusivement encouragé le programme de vaccination contre le coronavirus, ce qui, à long terme, pourrait alourdir la charge sanitaire. En outre, la politique de vaccination a ajouté des milliers de milliards à la charge fiscale des citoyens des deux côtés de l’Atlantique. Seuls Big Pharma et l’industrie biotechnologique, ainsi que leurs investisseurs “philanthropiques”, y trouvent leur compte, car les preuves cliniques en faveur de la vitamine D suggèrent que nous pouvons vaincre Covid-19 avec le soleil d’été, et le soleil est gratuit.

Si tout cela est vrai, la tactique de Big Pharma et de ses investisseurs ne serait rien de moins que du bioterrorisme. La propagande incessante du Codid-19 a terrorisé la population alors qu’en réalité, la maladie a révélé la carence endémique en vitamine D dans la société. Si cette carence avait été corrigée, le virus aurait pu traverser la population comme un simple rhume ou une grippe bénigne et, dans son sillage, non seulement le Codid-19 mais aussi le diabète de type 2, le cancer, les maladies cardiaques et une foule d’autres maladies auraient pu diminuer.

Résumé

Au lieu de faire le plein de vitamine D, la grande majorité des gens dépendent désormais entièrement des vaccins pour se protéger du Covid-19. Si nous restons les bras croisés et ne faisons rien, ils seront entraînés plus profondément dans le cycle des médicaments et des vaccins de Big Pharma qui augmentent les niveaux de maladie et de décès au lieu de les réduire. Comme des moutons gardés par le grand fermier, l’humanité est à la merci de l’anticipation par Big Pharma des retours massifs de l’opération vaccinale. Bill Gates a ouvertement proclamé qu’il espérait un retour vingt fois supérieur à son investissement de 10 milliards de dollars dans les vaccins, soit 200 milliards de dollars (37). Une bonne partie de cette somme proviendra du budget du NHS, la population britannique faisant la queue pour recevoir son vaccin annuel. Le coronavirus est connu pour faire muter de nouvelles souches. Personne ne sait avec certitude s’il est apparu à la suite d’une mauvaise manipulation d’animaux sauvages sur les marchés alimentaires chinois ou dans un laboratoire, mais une chose est sûre, chaque mutation du coronavirus profitera aux profits des vaccinations répétées nécessaires pour le vaincre.

L’industrie pharmaceutique internationale doit être démasquée ainsi que ses agents et ses investisseurs doivent être traduits en justice et tenus responsables des décès et des dommages collatéraux causés depuis la première vague de Covid pour avoir tourné le dos aux preuves de l’efficacité de la vitamine D contre Covid. Si Big Pharma a des agents au sein du NICE, de la FDA et d’autres organismes de réglementation médicale similaires ailleurs dans le monde, ils doivent être démasqués. Toute personne à la solde de Big Pharma qui influence le gouvernement devrait être obligée de déclarer ses intérêts. En Colombie, les barons de la drogue soudoient des fonctionnaires corrompus. En Europe et en Amérique, Big Pharma octroie de somptueuses subventions de recherche aux universités et les professeurs sont maintenus dans leurs griffes par de généreux postes de consultants. Le pouvoir de Big Pharma doit être limité.

Grâce au Covid-19, le jour viendra peut-être où les nutritionnistes d’aujourd’hui deviendront les médecins de demain. L’histoire pourrait considérer l’arrivée du coronavirus comme une bénédiction plutôt qu’une malédiction, car il pourrait être le catalyseur d’un changement qui mettrait fin non seulement au Covid-19, mais aussi au diabète, aux maladies cardiaques et au cancer, qui ont été les principales causes de maladie et de décès dans les pays développés pendant la majeure partie du siècle dernier. La leçon que nous devrions tirer du Covid-19 est que la médecine allopathique ne devrait être utilisée qu’en dernier recours et que la nature devrait être autorisée à redevenir la source de la santé. Le fardeau de la maladie sera allégé des épaules de l’humanité lorsque nous reviendrons à la raison qui consiste à considérer le soleil, l’air frais, l’eau propre, l’exercice et une bonne alimentation comme la source de notre bien-être.

Le professeur Roger Seheult explique le lien entre la vitamine D et le Covid-19 (en anglais) : https://www.youtube.com/watch?v=ha2mLz-Xdpg

Notes

1. R N. Kostoff, D Kanduc, A L. Porter,Y Shoenfeld, D Calina, M B. Briggs, D A. Spandidos, and A Tsatsakis Vaccine- and natural infection-induced mechanisms that could modulate vaccine safety. Toxicol. Rep.2020;7:1448 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7581376/

2. A Daneshkhah, V Agrawal, A Eshein, H Subramanian, H K Roy, V Backman. The Possible Role of Vitamin D in Suppressing Cytokine Storm and Associated Mortality in COVID-19 Patients. medRxiv, April 30, 2020 https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.08.20058578v3.full.pdf

3a.C Jorge,Vitamin D – new insights into an old molecule 3b. H A Kim, A Perrelli, A Ragni, F Retta & S F Retta, Vitamin D Deficiency and the Risk of Cerebrovascular Disease Vitamin D and Vitamin D Receptor: New Insights in the Treatment of Hypertension 

3c. M Almehmadi et al, Prevalence of vitamin D deficiency in early-diagnosed cancer patients: A cross-sectional study

3d. Baktash, T Hosack, N Patel, et al. Vitamin D status and outcomes for hospitalised older patients with COVID-19. Postgrad Med J. 2020 doi: 10. 1136/postgradmedj-2020-138712. 

4. R Verkerk, Alliancefor Natural Health International, October 28th 2020.

5. A A Ginde , J M Mansbach, C A Camargo Jr., Association between serum 25-hydroxyvitamin D level and upper respiratory tract infection in the Third National Health and Nutrition Examination Survey, Arch Intern Med, 2009 Feb;169(4):384-90. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19237723/

6. R Seheult, MedCram Medical Lectures, Jan 2nd 2012 (You Tube)

7. A R Martineau, D A Jolliffe, R L Hooper, L Greenberg, J F Aloia, P Bergman, G Dubnov-Raz, S Esposito, D Ganmaa, A A Ginde, E C Goodall, C C Grant, C J Griffiths, W Janssens, I Laaksi, S Manaseki-Holland, D Mauger, D R Murdoch, R Neale, J R Rees, S Simpson Jr, I Stelmach, G Trilok Kumar, M Urashima, C A Camargo Jr, Vitamin D supplementation to prevent acute respiratory tract infections: systematic review and meta-analysis of individual participant data, BMJ, 15 Feb 2017; 356:i6583. https://www.bmj.com/content/356/bmj.i6583

8. Centre for Evidence Based Medicine, https://www.cebm.com

9. L Alvarez-Rodriguez , M Lopez-Hoyos, M Garcia-Unzueta, J A Amado, P Muñoz Cacho, V M Martinez-Taboada, Age and low levels of circulating vitamin D are associated with impaired innate immune function, J Leukoc Biol, May 2012;91(5):829-38. 

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22345707/

10. A K. Mandal, V Baktash, T Hosack, C G. Missouris, Vitamin D status and COVID-19 in older adults. AgingClinExpResp 2020;32:dgaa733 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7465887/

11. D A, Agrawal V, Eshein et al. Evidence for possible association of vitamin D status with cytokine storm and unregulated inflammation in COVID-19 patients. Aging Clin Exp Res. 2020 doi: 10.1007/s40520-020-01677-y. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32876941/

12. R Munshi, M H Hussein, E A Toraih, et al. Vitamin D insufficiency as a potential culprit in critical COVID-19 patients. J Med Virol. 2020 doi: 10.1002/jmv.26360. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32716073/

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14. J M Rhodes , S Subramanian, E Laird , R A Kenny , Editorial: low population mortality from COVID-19 in countries south of latitude 35 degrees North supports vitamin D as a factor determining severity, Aliment Pharm Ther. 2020;51:1434-7 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32311755/

15. N Liu, H Li, Letter: population mortality from COVID-19 and latitude-data from China.Aliment Pharmacol Ther. 2020 Oct;52(7):1259-1260. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33016550/

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18. P Zemb, P Bergman, CA Camargo Jr, E Cavalier, C Cormier, M Courbebaisse, B Hollis, F Joulia, S Minisola, S Pilz, P Pludowski, F Schmitt, M Zdrenghea, JC Souberbielle. Vitamin D deficiency and the COVID-19 pandemic. J Glob Antimicrob Resist. 2020 Sep;22:133-134. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32474141/

19. F Mitchell. Vitamin-D and COVID-19: do deficient risk a poorer outcome? 

Lancet Diabetes Endocrinol. 2020 Jul;8(7):570. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32445630/

20. A R Martineau, N G Forouhi, Vitamin D for Covid-19: a case to answer? Lancet Diabetes Endocrinol. 2020 Aug;3, www.thelancet.com › PIIS2213-8587(20)30268-0 

Related Articles listed on: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32758429/

20a.Ebadi M, Montano-Loza AJ.,Eur Perspective: improving vitamin D status in the management of COVID-19, J Clin Nutr. 2020 Jun;74(6):856-859. doi: 10.1038/s41430-020-0661-0. Epub 2020 May 12.PMID: 32398871 Review. No abstract available.

20b. Annweiler C, Cao Z, Sabatier JM.Maturitas. Point of view: Should COVID-19 patients be supplemented with vitamin D? 2020 Oct;140:24-26. doi: 10.1016/j.maturitas.2020.06.003. Epub 2020 Jun 8.PMID: 32972631 Free PMC article. Review.

20c. Infante M, Buoso A, Pieri M, Lupisella S, Nuccetelli M, Bernardini S, Fabbri A, Iannetta M, Andreoni M, Colizzi V, Morello M. Low Vitamin D Status at Admission as a Risk Factor for Poor Survival in Hospitalized Patients With COVID-19: An Italian Retrospective Study. 

J Am Coll Nutr. 2021 Feb 18:1-16. doi: 10.1080/07315724.2021.1877580.

20d. Murai IH, Fernandes AL, Sales LP, Pinto AJ, Goessler KF, Duran CSC, Silva CBR, Franco AS, Macedo MB, Dalmolin HHH, Baggio J, Balbi GGM, Reis BZ, Antonangelo L, Caparbo VF, Gualano B, Pereira RMR Effect of a Single High Dose of Vitamin D3 on Hospital Length of Stay in Patients With Moderate to Severe COVID-19: A Randomized Clinical Trial. JAMA. 2021 Feb 17:e2026848. doi: 10.1001/jama.2020.26848. Online ahead of print.PMID: 33595634Yadav D, 20e. Birdi A, Tomo S, Charan J, Bhardwaj P, Sharma P. Indian Association of Vitamin D Status with COVID-19 Infection and Mortality in the Asia Pacific region: A Cross-Sectional Study. J Clin Biochem. 2021 Feb 3:1-6. doi: 10.1007/s12291-020-00950-1. Online ahead of print.PMID: 33551585 

21. https://www.channel4.com/programmes/is-covid-racist

22. S Pardhan, L Smith, R P Sapkota, Vitamin D Deficiency as an Important Biomarker for the Increased Risk of Coronavirus (COVID-19) in People From Black and Asian Ethnic Minority Groups. Frontline Public Health, 22 January 2021

https://doi.org/10.3389/fpubh.2020;613462

23. David Davis MP, Matt Ridley, Correcting Britain’s Vitamin D deficiency could save thousands of lives, The Telegraph, 26 September 2020

24. https://www.theguardian.com/lifeandstyle/2021/jan/10/does-vitamin-d-combat-covid

25. D V Dudenkov , B P Yawn , S S Oberhelman , P R Fischer , R J Singh, S Cha , J A Maxson , S M Quigg , T D Thacher, Changing Incidence of Serum 25-Hydroxyvitamin D Values Above 50 ng/mL: A 10-Year Population-Based Study,MayoClinProc,2015;90:577-86

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26. https://practio.co.uk/coronavirus/articles/coronavirus-vaccine-side-effects

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28. William B. Grant, In defense of the Sun, DermEndo, 2009;1:4, 207-214. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2835876/

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34. https://meridianhealthclinic.com/how-rockefeller-created-the-business-of-western-medicine

35. M E Castillo, L M E Costa, J M V Barrios, J F A Díaz, J L Miranda, R Bouillon,  J M Q Gomez, “Effect of calcifediol treatment and best available therapy versus best available therapy on intensive care unit admission and mortality among patients hospitalized for COVID-19: A pilot randomized clinical study” J Steroid Biochem Mol Biol. 2020 Oct; 203: 105751. Published online 2020 Aug 29. doi: 10.1016/j.jsbmb.2020.105751  https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7456194/

36. USDepartment of Justice, Jan 8 2021

37. C. McGovern, A Long Shot, WDDTY, July/August 2020; p.34 https://www.wtddty.com

Remerciements

Je voudrais remercier David Davis (médecin), Rupa Huq (médecin) et Matt Hancock (médecin) pour leurs efforts pour encourager la population britannique à prendre des compléments de vitamine D. Je remercie l’équipe de WDDTY pour ses preuves bien documentées en faveur de la vitamine D et pour les nombreuses références utilisées ci-dessus. Je remercie Nalini Blossom pour m’avoir envoyé le proverbe africain. Enfin, je remercie Suzie Thompson pour son amour et son soutien et son abonnement à WDDTY.

Source : https://thecovidcure.co/the-covid-scandal/f/the-covid-scandal
Traduction par https://cv19.fr

Covid : quand l’ANSM danse le bambalaba avec Lilly

Quand l’ANSM danse le bambalaba avec Lilly, elle risque de perdre toute crédibilité si elle ne fait pas de même avec l’Ivermectine, après avoir accordé une surprenant ATU pour le Bamlanivimab.

Rappelons que l’ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation), délivrée pour le Bamlanivimab, s’adresse aux médicaments nouveaux, qui n’ont encore jamais été mis sur le marché. La délivrance d’une ATU doit être beaucoup plus prudente, rigoureuse et difficile que la délivrance d’une RTU (Recommandation temporaire d’Utilisation), qui elle, concerne les médicaments déjà utilisés dans d’autres indications, avec déjà une AMM. En effet, pour ces médicaments, utilisés depuis des années, on en connaît bien les effets secondaires, les risque à long terme, contrairement aux premiers pour lesquels on n’a aucune expérience pratique.

Les critères pour obtenir ces autorisations, sont au nombre de deux :

  1. Les faibles risques
  2. Une bonne présomption d’efficacité.

Innocuité :

Pour l’Ivermectine, on connaît les risques : aucun. 16 morts en 30 ans sur 4 milliards de prescriptions, dont sans doute 15 qui sont dus à une autre cause. Pour les effets secondaires divers, Merck cite une étude où ces effets semblent moins fréquents qu’avec un placebo ! La base de données OMS en donne 10 fois moins que l’Aspirine ou la Pénicilline. On sait aussi qu’à 10 fois la dose, rien ne se passe. On sait que la prise répétée, ne pose aucun problème. 

Pour le Bambalaba les risques sur le long terme sont totalement inconnus, pas contre le risque de faire émerger de nouveaux variants est cité par nombre de pharmacologues et infectiologues.  Les experts de l’ANRS-maladies infectieuses émergentes (ANRS-MIE), qui conseillent le gouvernement sur le choix des traitements innovants, consultés avant, l’ont signalé par écrit. Le laboratoire n’a pas contesté.

Le Pr Gilles Pialoux, chef de service d’infectiologie de l’hôpital Tenon regrette aussi « que ce médicament n’ait pas été testé sur la population ciblée : dans un des essais, seul 10% des patients inclus ont plus de 65 ans, alors que ce produit s’adresse pour l’instant notamment aux plus de 80 ans » ! 

Efficacité :

S’il y a plus de 60 études sur l’Ivermectine, toutes réalisées par des médecins indépendants, sans liens avec les laboratoires, ce n’est pas le cas pour le Bambalaba, à priori 3 études du laboratoire, à la fois juge et partie. 1 étude interrompue avant son terme, et les deux autres, (qui en fait n’en sont qu’une), uniquement phase 2 ! Maigre, très maigre. La seule étude qui pourrait montrer un petit quelque chose est une étude écrite et payée par le labo.

Pour l’Ivermectine, toute les études en prophylaxie montrent une efficacité entre 80 et 100%. En thérapeutique, 80% des études montrent une disparition des troubles deux fois plus rapides que dans les groupes placebo, et une mortalité réduite de 80 %. Pour les sceptiques, voici un rapport de 107 pages de Tess Lawrie sur le sujet, pour l’OMS. Pour les septiques, je ne peux rien !

Pour le Bambalaba, selon la Sociéte Française de Pharmacologie et Thérapeutique : « Aucune différence statistiquement significative n’a été obtenue sur le critère principal ou sur le critère le plus cliniquement pertinent, et ce quelle que soit la dose. Il est donc impossible de conclure à un quelconque bénéfice clinique ». Pour le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux, « Une autorisation temporaire d’utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c’est probablement du jamais-vu ». La messe est dite.

Le discours qui a suivi l’ATU montre « l’extrême rigueur » d’un dossier « bien étudié » qui conduit à cette autorisation. 2 jours après, message de la DGS : « le Bambalaba est indiqué pour le traitement des formes symptomatiques légères à modérées chez les adultes non hospitalisés et à risques ». « Pour garantir un minimum d’efficacité, ce traitement doit être initié dans un délai maximum de 5 jours après les premiers symptômes ». « L’efficacité de ce traitement sur les variantes sud-africaine et brésilienne n’est pas démontrée ». Deux jours plus tard, nouvelles consignes : ce n’est plus un traitement en ambulatoire, mais les patients doivent être hospitalisés.

Voici un traitement miracle, salué par toute la presse « compétente » qui critique l’Ivermectine, qui devait éviter les hospitalisations, mais qui fait l’inverse, devant hospitaliser les patients qui n’en ont pas besoin, qui nécessite une perfusion, qui a priori ne marche pas ou si peu, qui a 14% d’effets secondaires, et dont on sait qu’il ne marche pas sur les variants qui se développent.

Alors comment l’ANSM a pu être séduite par le Bambalaba, dont la présomption d’efficacité est très inférieure à tous les autres traitements ambulatoires, en perfusion au lieu de comprimés, et pour 1 000 euros au lieu de 10 ? Aurait-elle été séduite par le blabla de Lilly ? Et comment expliquer aussi ces commandes avant autorisation, cette distribution à marche forcée dans les hôpitaux qui n’en veulent pas ?

Quand on ne comprend pas la décision sur le plan médical, on en cherche ailleurs les raisons. Dans la « belle famille » de Lilly, il y a la mère, « commerciale » de Lilly France, le père, député LREM, il y a la fille, actuellement cheffe du pôle santé du cabinet du Premier Ministre après l’avoir été à l’Elysée, il y a le mari directeur ARS Ile de France et le frère, adjoint de cabinet à l’Elysée. Les complotistes vont se poser des questions, totalement déplacées ! Non, les critères pour obtenir une ATU sont purement médicaux.

Espérons que l’ANSM saura être honnête, en reconnaissant que l’Ivermectine a plus d’atouts que le Bambalaba, si elle veut avoir encore un peu de crédit. Si ce n’est pas le cas, l’affaire sera portée devant la justice, pour avoir l’explication d’une telle inégalité de traitement, avec sanctions à la clé si elle ne peut être justifiée.

Quant à notre ministre brillant médecin, il a fanfaronné avec la même précipitation sur ce produit de la même manière que pour le fumeux article du Lancet. Un véritable expert en traitements du Covid.

De la part de mg55mg, les paroles de la chanson pour danser le Bambalaba sur un air de Pierre Perret 

Source : https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2021/03/04/covid-quand-lansm-danse-le-bambalaba-avec-lilly/

La lysine à l’étude comme traitement largement disponible et abordable pour le covid

Une équipe de virologistes qui a passé sa vie à étudier les causes sous-jacentes des infections virales a confirmé l’existence d’un traitement pour le COVID-19, largement disponible et abordable, même pour les personnes les plus pauvres de la planète.

S’appuyant sur des décennies de recherche et de données sur la prévention des virus de la famille de l’herpès, des chercheurs américains de Bio-Virus Research Inc, à Reno (Nevada), font état du traitement réussi des 30 premiers médecins et infirmiers de première ligne et de plus d’un millier de patients à qui l’on a administré l’acide aminé lysine pour prévenir et même supprimer les infections à coronavirus COVID-19 dans une clinique de la République dominicaine. Étonnamment, les symptômes du COVID-19 se seraient dissipés dans les heures qui ont suivi ce traitement naturel.

Le personnel médical d’une clinique en République dominicaine enregistrait deux cas de coronavirus par mois avant que la thérapie par lysine ne soit instaurée.

Les virologistes, les docteurs Christopher Kagan, Bo Karlicki et Alexander Chaihorsky, ont vivement suggéré aux professionnels de santé de première ligne de se lancer dans un traitement quotidien à la lysine en raison de leur exposition quotidienne au virus. Leur rapport est publié en ligne sur ResearchGate.net.

Équilibre argine/lysine

La thérapie à la lysine interrompt la réplication des virus, y compris le coronavirus COVID-19, en contrant l’arginine, un acide aminé qui favorise l’éruption des virus dormants. La lysine est utilisée en toute sécurité depuis des décennies pour réprimer les épidémies d’herpès virus qui provoquent des boutons de fièvre sur les lèvres (herpès labial), un traitement mis au point par l’un des membres de l’équipe de recherche sur les bio-virus en 1974.

La lysine est disponible dans l’alimentation et sous forme concentrée dans des compléments alimentaires peu coûteux (250 comprimés de lysine de 500 milligrammes peuvent être achetés pour moins de 5 dollars américains ou 2 cents par comprimé), ce qui rend possible une thérapie à la lysine à un prix abordable.

Le déséquilibre lysine/arginine expliquerait pourquoi les patients qui ont été infectés par le COVID-19 ont des infections récurrentes, même après la vaccination.

Lysine Rx en République dominicaine

Le régime quotidien de suppléments thérapeutiques pour le personnel médical en République dominicaine consistait de 2000 milligrammes de capsules de lysine ainsi que d’une consommation alimentaire limitée d’aliments riches en arginine tels que les noix, le chocolat, le jus d’orange, le potiron, les graines de sésame, le germe de blé.

L’équipe de recherche sur les bio-virus a constaté que des doses de lysine supplémentaires allant jusqu’à 4000 milligrammes étaient sûres et efficaces.

Les aliments qui présentent un rapport élevé de lysine par rapport à l’arginine, tels que les œufs, le tofu, le poisson (non cru), les sardines, le fromage, les viandes comme le porc, la volaille et la viande rouge, et le yaourt) fournissent un rapport élevé de lysine par rapport à l’arginine, bloquant ainsi la réplication de tous les coronavirus, y compris le COVID-19.

Selon les virologistes interrogés par ce journaliste, plus de 1000 patients ont été traités avec succès, avec une dissolution étonnamment rapide des symptômes et un retour à la santé. Selon les médecins, même les patients gravement infectés par le COVID-19 ont été capables de débrancher le respirateur grâce à une thérapie à la lysine.

Validation par des tiers pour la thérapie à la lysine

Dans un article publié dans l’International Journal of Infectious Diseases, une autre équipe de recherche basée à New York et au Texas rapporte que la diminution de l’arginine est une stratégie pour réprimer à la fois les coronavirus et les autres virus de la famille des herpès.

En 2016, des chercheurs ont documenté que la lysine entrave la croissance des coronavirus en laboratoire.

Un rapport, publié dans le Journal of Antivirals & Antiretrovirals, est à l’origine de la découverte actuelle qui a été mise en pratique clinique en République dominicaine. La science était déjà en place avant l’annonce qu’un coronavirus muté balayait le globe, contre lequel personne n’était immunisé.

Alimentation

L’apport alimentaire quotidien recommandé de lysine est de 2660 milligrammes pour un adulte de 70 kilos (154 livres) ; 3640 milligrammes pendant la grossesse.

L’apport alimentaire de lysine dans les populations occidentales varie entre 40 et 180 milligrammes par jour par kilogramme de poids corporel, soit 2 800 à 12 600 milligrammes pour un adulte de 70 kg.

C’est l’équilibre entre l’arginine et la lysine qui permet de contrôler le développement des virus latents dans l’organisme. L’apport moyen d’arginine est estimé à 4000-6000 milligrammes par jour.

Autres avantages pour la santé

La lysine en supplément présente également d’autres avantages pour la santé. La lysine augmente l’absorption du calcium, soulage les périodes d’anxiété, favorise la cicatrisation des plaies et est utile pour d’autres affections. Le cholestérol est déposé dans les sites de liaison des artères coronaires. Lorsque la lysine (et la vitamine C) occupent ces sites de liaison, le cholestérol ne se dépose pas dans les artères.

Prévalence des infections par le virus de l’herpès

Dans le monde entier, plusieurs milliards de personnes abritent des herpès virus dormants qui se manifestent de temps en temps. En 2016, on estime que 3,7 milliards de personnes ont été porteuse du virus de l’herpès simplex, soit environ 66,6 % de la population mondiale âgée de 0 à 49 ans.

Disponibilité de la lysine

La lysine est produite en grande partie à la tonne pour l’alimentation animale. Environ 2.200.000 tonnes de lysine sont produites chaque année. Il n’y a pas de pénurie.

Des milliards peuvent en bénéficier

L’application médicale la plus fréquente de la thérapie à la lysine a été la suppression des infections actives d’herpès (sur la peau, les lèvres, etc.), et l’éradication de l’infection d’Epstein-Barr, de la paralysie de Bell, etc.

Les chercheurs déplorent que la thérapie à la lysine ne soit pas devenue un pilier du traitement des infections herpétiques qui touchent ~80 % de la population mondiale, par rapport aux médicaments antiviraux coûteux et problématiques, car elle ne génère pas suffisamment de profits pour attirer des fonds pour les essais cliniques chez l’homme. La lysine est supérieure à divers médicaments antiviraux.

En raison de l’innocuité à long terme de cet acide aminé alimentaire, le public peut prendre de la lysine comme “médicament” préventif sans ordonnance.

Combiné à une supplémentation en vitamine D, la lysine pourrait permettre de prévenir simplement une grande partie des infections covid avec un meilleur ratio bénéfice/risque que les vaccins disponibles actuellement.

Il est bien établi que la carence en vitamine D est liée à la présentation d’une détresse respiratoire sévère, et aux séquelles de la tempête de cytokines, qui comprend également le Covid.

Il s’agit d’une petite étude, mais bien étayée par la littérature scientifique. Tous les facteurs de risque pour le Covid sont également des facteurs de risque de carence en vitamine D. Nous avons une pandémie de carence en vitamine D dans de nombreux climats tempérés. Plus de deux cents scientifiques ont demandé instamment que l’on envisage une supplémentation en vitamine D pour la prévention et le traitement du Covid.

Voir aussi : COVID-19 ou carence en vitamine B1 ? Connaissez la différence, cela peut vous sauver la vie !
Taux de vitamine C chez les patients atteints du syndrome de détresse respiratoire aiguë associé au SARS-CoV-2

Source : https://www.lewrockwell.com/2021/02/no_author/virologists-report-poor-mans-amino-acid-cure-for-covid-19-would-abolish-need-for-vaccines/
Traduction et adaptation par https://cv19.fr

La vitamine D est plus efficace que le vaccin contre la grippe

Les autorités sanitaires traditionnelles affirment que se faire vacciner contre la grippe chaque année est le meilleur moyen de se prémunir contre la grippe. Mais où sont les données scientifiques qui étayent cette affirmation ?

Par le DR. MERCOLA (Article de 2017)

Si vous êtes tombé dans le panneau de cette campagne de propagande annuelle à plusieurs reprises, vous serez peut-être surpris de découvrir que la littérature médicale suggère que la vitamine D pourrait en fait être une stratégie beaucoup plus efficace, et les preuves en ce sens remontent à au moins une décennie.

Le Dr John Cannell, fondateur du Conseil de la vitamine D, a été l’un des premiers à introduire l’idée que la carence en vitamine D pourrait en fait être une CAUSE sous-jacente de la grippe.

Son hypothèse [1] a été publiée pour la première fois dans la revue Epidemiology and Infection en 2006. Elle a ensuite été suivie d’une autre étude publiée dans la revue Virology Journal en 2008. [3]

L’année suivante, la plus grande étude nationale représentative [4] de ce type à ce jour a découvert que les personnes ayant les taux de vitamine D les plus bas ont en effet déclaré avoir beaucoup plus de rhumes ou de cas de grippe. En conclusion, l’auteur principal, le Dr. Adit Ginde, a déclaré :

“Les résultats de notre étude confirment le rôle important de la vitamine D dans la prévention des infections respiratoires courantes, telles que le rhume et la grippe. Les personnes souffrant de maladies pulmonaires courantes, telles que l’asthme ou l’emphysème, peuvent être particulièrement sensibles aux infections respiratoires dues à une carence en vitamine D”.

La vitamine D est plus efficace que le vaccin contre la grippe si vos taux sont faibles

Depuis lors, un certain nombre d’études sont arrivées à des conclusions similaires. Plus récemment, une revue scientifique [5,6] de 25 essais contrôlés randomisés a confirmé que la supplémentation en vitamine D renforce l’immunité et réduit les taux de rhume et de grippe.

Dans l’ensemble, les études ont porté sur près de 11 000 personnes provenant de plus d’une douzaine de pays. Comme l’a rapporté le Time Magazine : [7]

“… Les personnes qui prenaient des suppléments de vitamine D quotidiennement ou de façon hebdomadaire étaient moins susceptibles de déclarer des infections respiratoires aiguës, comme la grippe ou le rhume, que celles qui n’en prenaient pas…

Pour les personnes présentant les carences en vitamine D les plus importantes (taux sanguins inférieurs à 10 [ng/mL]), la prise d’un complément réduit de moitié le risque d’infection respiratoire.

Les personnes ayant des niveaux de vitamine D plus élevés ont également constaté une légère réduction du risque : environ 10 %, ce qui est à peu près égal à l’effet protecteur du vaccin antigrippal injectable, selon les chercheurs”.

Comme Cannell avant eux, les chercheurs pensent que la vitamine D offre une protection en augmentant les peptides antimicrobiens dans les poumons, et que “c’est peut-être l’une des raisons pour lesquelles les rhumes et les grippes sont plus fréquents en hiver, lorsque l’exposition au soleil (et donc la production naturelle de vitamine D par le corps) est la plus faible…”. [8]

Selon cette équipe de recherche internationale, la supplémentation en vitamine D pourrait prévenir plus de 3,25 millions de cas de rhume et de grippe chaque année rien qu’au Royaume-Uni. Une autre statistique montrant que la vitamine D est une stratégie plus efficace que le vaccin contre la grippe est le “nombre nécessaire pour traiter” (NNT).
Au total, une personne serait épargnée par la grippe pour 33 personnes prenant un supplément de vitamine D (NNT = 33), alors que 40 personnes doivent recevoir le vaccin anti-grippe pour prévenir un cas de grippe (NNT = 40).

Parmi les personnes présentant une grave carence en vitamine D au départ, le NNT était de 4. En d’autres termes, si vous avez une carence en vitamine D au départ, la supplémentation en vitamine D est 10 fois plus efficace que le vaccin contre la grippe.
Optimiser la vitamine D peut être votre meilleure défense contre la grippe

À mon avis, l’optimisation des niveaux de vitamine D est l’une des meilleures stratégies de prévention de la grippe et de santé optimale disponibles. Votre alimentation joue bien sûr aussi un rôle important, car elle constitue la base d’une bonne fonction immunitaire.

Une alimentation riche en sucre [raffinés] est un moyen sûr de diminuer la capacité innée de votre corps à combattre les infections de toutes sortes en altérant radicalement le fonctionnement de votre système immunitaire.

Cependant, je ne suis pas d’accord avec le fait que la meilleure solution consiste à enrichir davantage d’aliments transformés en vitamine D, bien que je sois conscient que cela pourrait avoir un impact plus important chez les personnes qui ne sont pas conscientes des effets bénéfiques du soleil sur la santé en général.

Je pense qu’une exposition solaire raisonnable est la manière idéale d’optimiser votre vitamine D. La prise d’un complément de vitamine D3 n’est recommandée que dans les cas où vous ne pouvez tout simplement pas obtenir une exposition solaire raisonnable en quantité suffisante.

Il est également important de souligner que, contrairement à ce qui est rapporté par la plupart des grands médias, y compris le rapport NPR ci-dessus, la plupart des gens ne peuvent pas optimiser leur taux de vitamine D en prenant les 600 UI de vitamine D recommandées dans les aliments enrichis. La dose dont vous avez besoin dépend en fait de votre taux sanguin actuel de vitamine D.

S’il est très faible, vous pouvez avoir besoin de 8 000 à 10 000 UI de vitamine D3 par jour pour atteindre et maintenir un niveau cliniquement pertinent de 45 à 60 nanogrammes par millilitre (ng/mL). La seule façon de savoir quelle quantité il vous faut est de vous faire tester au moins une ou deux fois par an.

Si vous prenez des suppléments depuis un certain temps et que vos niveaux sont toujours inférieurs à 45 ng/mL, vous savez alors que vous devez augmenter encore votre dose. Si vous utilisez un complément oral, veillez également à augmenter votre apport en vitamine K2 et en magnésium, car ces nutriments contribuent à optimiser les niveaux de vitamine D.
Autres études soutenant le lien entre la carence en vitamine D et la grippe

Dans une étude publiée en 2010 [10], des chercheurs ont étudié l’effet de la vitamine D sur l’incidence de la grippe saisonnière chez les écoliers. L’étude randomisée, en double aveugle et contrôlée par placebo, a porté sur 430 enfants, dont la moitié a reçu 1 200 UI de vitamine D3 par jour et l’autre moitié un placebo.

Dans l’ensemble, les enfants du groupe de traitement avaient 42 % de chances en moins de contracter la grippe. Selon les auteurs de l’étude, les enfants du groupe de traitement avaient 42 % de chances en moins de contracter la grippe : “Cette étude suggère que la supplémentation en vitamine D3 pendant l’hiver peut réduire l’incidence de la grippe A, en particulier dans des sous-groupes spécifiques d’écoliers”.

Une autre étude [11] publiée la même année a conclu que les cellules T luttant contre l’infection ont besoin de l’aide de la vitamine D pour s’activer. Il s’agit là d’un autre mécanisme qui contribue à expliquer pourquoi la vitamine D est si efficace contre les infections.

Lorsqu’une cellule T reconnaît des envahisseurs étrangers comme des bactéries ou des virus, elle envoie des signaux d’activation au gène du récepteur de la vitamine D (VDR).

Le gène VDR commence alors à produire une protéine qui se lie à la vitamine D dans la cellule T. Un effet en aval est la production de la protéine PLC-gamma1, qui permet ensuite à la cellule T de combattre l’infection. À l’époque, le chercheur principal Carsten Geisler a déclaré à Food Consumer : [12]

“Lorsqu’une cellule T est exposée à un agent pathogène étranger, elle étend un dispositif de signalisation ou “antenne” appelé récepteur de vitamine D, avec lequel elle recherche la vitamine D. Cela signifie que la cellule T doit avoir de la vitamine D ou l’activation de la cellule cessera. Si les cellules T ne trouvent pas assez de vitamine D dans le sang, elles ne commenceront même pas à se mobiliser”.

Avec cette perspective, il n’est pas étonnant que les vaccins contre la grippe ne fonctionnent pas. Les vaccins antigrippaux ne font absolument rien pour résoudre le problème sous-jacent de la carence en vitamine D, qui empêche effectivement votre système immunitaire de fonctionner correctement.

En fait, les vaccins antigrippaux ont tendance à détériorer votre fonction immunitaire, et leurs effets secondaires peuvent être importants.

Les études de référence ignorées par les médias traditionnels

L’étalon-or de l’analyse scientifique, la “Cochrane Database Review”, a également publié plusieurs rapports entre 2006 et 2012, qui déciment tous l’affirmation selon laquelle la vaccination antigrippale est la méthode de prévention la plus efficace qui soit. En 2010, Cochrane a publié la conclusion suivante qui a fait l’effet d’une bombe et qui a été complètement ignorée par les médias grand public : [13]

“Les vaccins antigrippaux ont un effet modeste sur la réduction des symptômes de la grippe et des jours de travail perdus. Rien ne prouve qu’ils aient un effet sur les complications, telles que la pneumonie, ou sur la transmission. AVERTISSEMENT : Cette étude porte sur 15 des 36 essais financés par l’industrie (quatre n’ont pas fait l’objet d’une déclaration de financement).

Un examen systématique antérieur de 274 études sur les vaccins antigrippaux publiées jusqu’en 2007 a révélé que les études financées par l’industrie étaient publiées dans des revues plus prestigieuses et qu’elles étaient plus souvent citées que d’autres études, indépendamment de leur qualité méthodologique et de leur taille. Les études financées par des sources publiques étaient nettement moins susceptibles de formuler des conclusions favorables aux vaccins …”.

Ainsi, malgré le fait que 15 des 36 études incluses étaient biaisées par les intérêts de l’industrie, elles ne pouvaient toujours pas fournir de preuves à l’appui de l’affirmation classique selon laquelle les vaccins antigrippaux sont la meilleure et la plus efficace prévention disponible contre la grippe !
Des études scientifiques montrent que la vaccination des enfants et des personnes âgées est inefficace

Cochrane a publié plusieurs rapports sur l’efficacité des vaccins antigrippaux sur les nourrissons et les personnes âgées – deux groupes qui ont tendance à être les plus ciblés par la publicité pour les vaccins antigrippaux – et tous ont eu des résultats négatifs. Pour les enfants :

-1 Une revue systématique à grande échelle [14] de 51 études, publiée dans la base de données Cochrane des revues systématiques en 2006, n’a trouvé aucune preuve que le vaccin contre la grippe est plus efficace qu’un placebo chez les enfants de moins de deux ans. Les études ont porté sur 260 000 enfants âgés de 6 à 23 mois.

-2 En 2008, une autre étude Cochrane [15] a de nouveau conclu que “peu de preuves sont disponibles” que le vaccin contre la grippe est efficace chez les enfants de moins de deux ans. Plus inquiétant encore, les auteurs ont déclaré que :

“Il était surprenant de ne trouver qu’une seule étude sur le vaccin inactivé chez les enfants de moins de deux ans, compte tenu des recommandations actuelles de vacciner les enfants en bonne santé à partir de six mois aux États-Unis et au Canada. Si la vaccination des enfants doit être recommandée en tant que politique de santé publique, il est urgent de mener des études à grande échelle pour évaluer les résultats importants et comparer directement les types de vaccins”.

-3 Dans une étude de 2012[16], Cochrane a conclu que “chez les enfants âgés de deux ans et plus, les vaccins en aérosol nasal fabriqués à partir de virus grippaux affaiblis étaient plus efficaces pour prévenir la maladie causée par le virus grippal que les vaccins injectés fabriqués à partir du virus tué. Aucun des deux types de vaccins n’était particulièrement efficace pour prévenir les “affections pseudo-grippales” causées par d’autres types de virus. Chez les enfants de moins de deux ans, l’efficacité du vaccin inactivé était similaire à celle du placebo”.

Les preuves disponibles en ce qui concerne la protection des personnes âgées sont tout aussi abyssales.

-4 En 2010, Cochrane a conclu que : [17] “Les preuves disponibles sont de mauvaise qualité et ne fournissent aucune indication concernant la sécurité, l’efficacité ou l’efficience des vaccins antigrippaux pour les personnes âgées de 65 ans ou plus”.

-5 Cochrane a également examiné si la vaccination des travailleurs de la santé peut ou non contribuer à protéger les patients âgés avec lesquels ils travaillent. En conclusion, les auteurs ont déclaré que : [18] “Il n’y a aucune preuve que la vaccination des travailleurs de la santé prévienne la grippe chez les personnes âgées résidant dans des établissements de soins de longue durée”.

Les vaccinations annuelles contre la grippe peuvent augmenter le risque d’infections plus graves

D’autres études récentes ont montré qu’à chaque vaccination annuelle successive contre la grippe, la protection offerte par le vaccin semble diminuer. Des recherches publiées en 2014 ont conclu que la protection contre la grippe induite par le vaccin était la plus élevée chez les personnes qui n’avaient PAS reçu de vaccin antigrippal au cours des cinq années précédentes. Le vaccin antigrippal peut également augmenter le risque de contracter d’autres infections grippales plus graves[21].

  • Les données montrent que les personnes qui ont reçu le vaccin contre la grippe saisonnière en 2008 avaient deux fois plus de risques de contracter la “grippe porcine” H1N1 que celles qui n’ont pas reçu de vaccin antigrippal. [22]
  • Par rapport aux enfants qui ne reçoivent pas de vaccin annuel contre la grippe, ceux qui sont vaccinés contre la grippe ont un risque trois fois plus élevé d’être hospitalisés pour cause de grippe. [23]

Les recherches montrent également que les statines – prises par un Américain sur quatre de plus de 45 ans – peuvent affaiblir la capacité de votre système immunitaire à répondre au vaccin contre la grippe. Si l’on considère le faible taux d’efficacité du vaccin antigrippal au cours d’une année donnée, se faire vacciner si l’on prend une statine pourrait bien être un point discutable.

Des études scientifiques indépendantes ont également conclu que le vaccin antigrippal ne semble pas prévenir les affections de type grippal associées à d’autres types de virus responsables d’environ 80 % de toutes les infections respiratoires ou gastro-intestinales au cours d’une saison de grippe donnée. [27,28,29,30]

Outre la vitamine D, il existe un certain nombre d’autres aliments et compléments qui peuvent être bénéfiques pour les rhumes et la grippe, notamment les suivants

L’ail : L’ail a une activité antivirale, antibiotique et antifongique naturelle et a longtemps été salué pour ses effets de renforcement du système immunitaire.

La base de données Cochrane, qui a démontré à maintes reprises que les données scientifiques à l’appui du vaccin contre la grippe sont au mieux fragiles, a également passé en revue les études sur les alternatives, dont l’ail. [32]

Malheureusement, ce type de recherche est plus difficile à obtenir, car il n’y a pas d’incitation financière qui la motive.

Pourtant, dans la seule étude identifiée par le groupe Cochrane, ceux qui ont pris de l’ail quotidiennement pendant trois mois ont eu moins de rhumes que ceux qui ont pris un placebo, et, lorsqu’ils ont attrapé un rhume, la durée de la maladie a été plus courte – en moyenne 4,5 jours contre 5,5 jours pour le groupe placebo.

Bien que cela ne semble pas très impressionnant, c’est tout de même mieux que les résultats obtenus par le médicament contre la grippe le Tamiflu !

Zinc : Une étude de la base de données Cochrane sur la recherche médicale sur le zinc a révélé que lorsqu’il est pris dans la journée suivant les premiers symptômes, le zinc peut réduire le temps que dure un rhume d’environ 24 heures.

Il a également été constaté que le zinc réduit considérablement la gravité des symptômes. Le zinc n’est pas recommandé aux personnes souffrant d’une maladie sous-jacente, comme une fonction immunitaire affaiblie, l’asthme ou une maladie chronique.

Je ne recommande pas de prendre plus de 50 mg par jour, et je ne recommande pas de prendre du zinc quotidiennement à titre préventif car vous pourriez facilement développer un déséquilibre en cuivre de cette manière.

La vitamine C : Un antioxydant très puissant ; utilisez une forme naturelle comme l’acérola, qui contient des micronutriments associés.

Vous pouvez en prendre plusieurs grammes toutes les heures (utilisez la forme liposomale pour ne pas avoir de selles molles), jusqu’à ce que vous alliez mieux.

Thé composé d’une combinaison de fleurs de sureau, d’achillée, d’os, de tilleul, de menthe poivrée et de gingembre ; à boire chaud et souvent pour combattre un rhume ou une grippe. Il vous fait transpirer, ce qui est utile pour éradiquer un virus de votre organisme.

Huile d’origan : Plus la concentration de carvacrol est élevée, plus elle est efficace. Le carvacrol est l’agent antimicrobien le plus actif dans l’huile d’origan.

Champignons médicinaux, tels que le shiitake, le reishi et la queue de dinde.

Propolis : Résine d’abeille et l’un des composés antimicrobiens à spectre le plus large au monde ; la propolis est également la source la plus riche d’acide caféique et d’apigénine, deux composés très importants qui favorisent la réponse immunitaire.

L’extrait de feuilles d’olivier est largement connu comme un adjuvant naturel et non toxique du système immunitaire.

La vitamine D est importante pour une santé optimale et la prévention des maladies tout au long de l’année

Les chercheurs s’intéressent également à la manière dont la vitamine D peut aider à protéger contre les maladies liées à l’âge, comme la maladie d’Alzheimer. La vidéo ci-dessus (ER : voir ici) traite des recherches [33] montrant que la vitamine D prolonge de 30 % la durée de vie des vers nématodes et aide à ralentir, voire à inverser l’accumulation de la protéine bêta-amyloïde, qui est une caractéristique de la maladie d’Alzheimer. La carence en vitamine D a également été liée aux maladies cardiaques, au cancer, au diabète, à la dépression, aux maladies auto-immunes et à de nombreuses autres maladies chroniques. Comme l’indique un récent numéro de Orthomolecular Medicine News : 34] “La recherche sur les bienfaits de la vitamine D pour la santé se poursuit à un rythme rapide. Il y a eu 4 356 articles publiés en 2015 avec la vitamine D dans le titre ou le résumé et 4 388 en 2016 …” Parmi les études les plus percutantes figurent celles qui démontrent :

  • Les bienfaits pour la santé de l’exposition au soleil sans rapport avec la production de vitamine D. Une étude récente a conclu que les avantages de l’exposition au soleil comprennent des taux plus faibles de cancer, de maladies cardiaques, de démence, de myopie, de dégénérescence maculaire, de diabète et de sclérose en plaques. Je pense que la majorité de ces bienfaits sont dus aux longueurs d’onde de l’infrarouge proche, moyen et lointain.

Selon l’auteur : “Le message d’évitement du soleil doit être modifié pour accepter une exposition au soleil non brûlante suffisante pour atteindre des concentrations [de vitamine D] de 30 ng/mL ou plus… et les avantages généraux de l’exposition aux UV au-delà de ceux de la vitamine D.” De plus, alors que l’exposition solaire intermittente est associée à des taux plus élevés de cancer de la peau, “les risques de ces cancers sont minimisés par la réduction des risques de cancers internes dus à l’exposition solaire”, écrit William Grant, Ph.D.

  • Avantages d’un taux de vitamine D plus élevé pendant la grossesse. Les recherches démontrent que les naissances prématurées diminuent régulièrement à mesure que les taux de vitamine D augmentent chez les femmes enceintes. Dans une étude, l’augmentation des concentrations sanguines de vitamine D de 20 à 40 ng/mL a permis de réduire les naissances prématurées de 59 %.
  • Réduction du risque de cancer grâce à la supplémentation en vitamine D. Une analyse groupée a montré que les femmes ayant des taux plus élevés de vitamine D avaient des taux d’incidence de cancer beaucoup plus faibles – de 2 % par an à 18 ng/mL à 0,4 % à 63 ng/mL.

Globalement, maintenir un taux sérique de vitamine D de 45 à 60 ng/mL tout au long de l’année peut être l’un des moyens les plus simples et les plus efficaces de se protéger contre les maladies chroniques et les infections aiguës. En ce qui concerne les rhumes et la grippe saisonniers, le taux de protection que vous obtenez de la vitamine D est en fait plus élevé que celui que vous obtiendriez avec un vaccin contre la grippe, et vous n’avez pas non plus à vous soucier des effets secondaires potentiels – qui, dans le cas du vaccin contre la grippe, peuvent être bien pires que la plainte initiale.

Si la mort et l’invalidité totale dues à un vaccin antigrippal sont rares, il en va de même pour la mort due à la grippe elle-même. Je recommande vivement de peser le risque de souffrir d’un effet secondaire débilitant du vaccin contre la grippe par rapport à la possibilité plus probable de passer une semaine au lit avec la grippe. N’oubliez pas que la plupart des décès attribués à la grippe sont en fait dus à une pneumonie bactérienne, et de nos jours, la pneumonie bactérienne peut être traitée efficacement par des soins médicaux et des thérapies de pointe comme les respirateurs et les antibiotiques parentéraux.

Le rôle de la vitamine D dans la prévention des maladies

Un nombre croissant de preuves montre que la vitamine D joue un rôle crucial dans la prévention des maladies et le maintien d’une santé optimale. Il y a environ 30 000 gènes dans votre corps, et la vitamine D affecte près de 3 000 d’entre eux, ainsi que les récepteurs de la vitamine D situés dans tout votre corps.

Selon une étude à grande échelle, des niveaux optimaux de vitamine D peuvent réduire le risque de cancer jusqu’à 60 %. Maintenir des taux optimaux peut aider à prévenir au moins 16 types de cancer différents, notamment les cancers du pancréas, du poumon, des ovaires, de la prostate et de la peau.

Références

Sources : https://www.europereloaded.com/study-vitamin-d-is-more-effective-than-the-flu-vaccine/
https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2017/02/27/vitamin-d-better-than-flu-vaccine.aspx

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