Day: December 20, 2020

Selon les données, le nouveau variant anglais du Covid est moins mortelle

Ce qui suit est un message d’Anthony J. Brookes, professeur de génétique à l’université de Leicester.

Cette nouvelle variante n’est très probablement qu’une “variante asymptomatique”, c’est-à-dire une souche qui ne provoque aucune maladie ou une maladie très légère. C’est exactement ce que la sélection naturelle aurait produit et ce qui aurait été un avantage massif lorsqu’on a essayé de maîtriser le virus par des confinements, des tests et le suivi des contacts.

C’est donc probablement une bonne chose, car cela nous aidera à obtenir plus rapidement une immunité collective, avec beaucoup moins de maladies. Par la suite, le virus disparaîtra tout seul.

Tous les virus évoluent naturellement vers des souches plus transmissibles, mais qui ne provoquent pas ou peu de maladie. Un tiers des exemples détectés de cette souche se trouvent dans l’Essex, un tiers à Londres et un tiers ailleurs au Royaume-Uni. Cela ne correspond pas à une nouvelle souche présentant un avantage de transmission massif, qui apparaît en un endroit (comme l’Essex) et se propage à partir de là. Ainsi, ce premier graphique “effrayant” prouve en fait que la nouvelle variante n’est pas la cause de l’augmentation de la prévalence dans les régions dites “à problèmes”. Début novembre, elle avait le même pourcentage de représentation dans trois régions très différentes. En revanche, s’il s’agissait d’une nouvelle variante avec un avantage de propagation rapide, elle aurait plutôt été en tête dans une région et se serait répandue dans les autres régions plus tard.

En bref, la nouvelle souche se répand partout, comme une variante de fond qui ne provoque pas de maladie ou en provoque une légère.

Quelque chose d’autre est à l’origine de l’augmentation apparente des zones dites “à problèmes”. La ” recrudescence ” dans ces régions est plutôt en grande partie un artefact de l’augmentation massive des tests. La mesure appropriée à examiner est le taux de positivité (c’est-à-dire le pourcentage de personnes testées qui ont obtenu un résultat positif). Et voilà que pour Havering, l’une des principales régions “à problèmes” de Londres, les cas augmentent avec les tests, mais le taux de positivité va dans la direction opposée.

Ce tableau du gouvernement, qui montre les nouvelles admissions dans les hôpitaux des zones “à problèmes”, reflète simplement le fait qu’ils ont massivement augmenté les tests dans ces régions du pays au cours des dernières semaines – créant ainsi davantage de positifs. La mesure des “nouvelles admissions à l’hôpital” consiste simplement à compter combien (et non pas quelle fraction) de nouvelles admissions ont eu un test positif au cours des 14 derniers jours. Il s’agit donc exactement du même artefact que l’artefact du taux de cas. Vous pouvez le constater en comparant la courbe des admissions à la quantité de tests effectués à Havering.

Source : https://lockdownsceptics.org/2020/12/20/latest-news-229/#new-kent-covid-variant-is-less-deadly-data-suggest Traduction : https://cv19.fr

Comment la Biélorussie dévoile le mensonge du confinement
Foules célébrant le jour de la Victoire à Minsk, le 9 mai 2020

La plupart des gouvernements européens ont institué la fermeture des économies, des restrictions à la liberté de mouvement et d’autres politiques connues sous le nom de “confinement”. Cette mesure aurait été prise en réaction à la propagation du Sars-Cov-2, un dangereux virus respiratoire originaire de Wuhan, en Chine.

Peu de pays ont rejeté cette approche ; la Suède est le plus connu d’entre eux. Cependant, un cas plus intéressant de dissidence par rapport au récit officiel est celui du Belarus et de son leader Alexandre Loukachenko.

Cet article présente l’approche de Loukachenko face à la prétendue pandémie, suivie d’une analyse des chiffres de la mortalité et de la façon dont le cas biélorusse expose les mensonges des partisans du verrouillage.

L’approche bélarussienne du Covid 19

La prétendue pandémie a éclaté en Europe en mars 2020, et la plupart des gouvernements européens ont suivi la stratégie sévère consistant à imposer des mesures de confinement. La réponse de Loukachenko a été beaucoup plus limitée. Un communiqué de presse biélorusse du 25 mars parle des quarantaines mises en place pour les personnes qui entrent en Biélorussie :

Des stations de quarantaine ont été installées à tous les points d’entrée. Les mesures de dépistage comprennent des contrôles de température. Ce système de contrôle fonctionne vraiment, a noté Vladimir Karanik, ministre de la santé. Cela a permis d’identifier les symptômes d’une infection virale chez plus de 250 personnes, mais la majorité absolue d’entre elles avaient la grippe, la parainfluenza et l’adénovirus. Si une personne est testée positive au coronavirus, les travailleurs de la santé mettent leurs contacts sous observation médicale. “Une telle approche ciblée contribue à freiner la propagation du virus”, a déclaré le ministre.

M. Loukachenko a également préconisé de rester chez soi si l’on présente des symptômes du virus. Il a également fait des commentaires célèbres – largement repris dans les médias occidentaux – donnant des conseils de santé :

Je suis abstinent, mais ces derniers temps, je dis en plaisantant qu’il faut non seulement se laver les mains avec de la vodka, mais aussi probablement que [consommer] 40 à 50 grammes d’alcool pur par jour – [peut] “empoisonner” [entre guillemets dans le texte original] ce virus. Mais pas au travail”. Il dit ensuite : “Aujourd’hui, allez au sauna. Mais si vous y allez deux ou trois fois par semaine, c’est encore plus sain. Les Chinois nous ont dit que ce virus ne peut pas supporter des températures de plus de 60 degrés”.

Dans l’ensemble, l’approche bélarussienne a été la moins autoritaire en Europe. Le football bélarussien s’est déroulé normalement et les supporters ont pu continuer à assister aux matchs. Les théâtres, les cafés et autres événements sociaux ont continué et l’économie n’a pas été paralysée. Les défilés du jour de la Victoire ont également eu lieu le 9 mai, bien qu’ils aient été annulés dans des pays comme la Russie. Loukachenko n’a pas non plus retardé les élections prévues, contrairement à la Néo-Zélandaise Jacinda Ardern.

Les médias occidentaux ont traité l’approche de Loukachenko comme une curiosité risible (dans les cas où ils ne l’ont pas entièrement ignorée). Ils se sont moqués des commentaires de Loukachenko sur la vodka et les saunas, utilisant cette méthode pour éviter de poser des questions plus profondes.

Selon le récit officiel, la Biélorussie aurait dû être une zone de mort, de destruction et de désastre. La modélisation de Neil Ferguson – l’une des pièces maîtresses de la propagande utilisée pour mettre la Grande-Bretagne en quarantaine – a prédit que si l’on ne prenait pas en compte le Covid 19, il tuerait entre 54 090 et 71 616 Bélarussiens.

Quels sont donc les faits ?

Les décès Covid et la Biélorussie

La population du Belarus est d’environ 9,5 millions d’habitants. Sur cette population, au 12 décembre 2020, un total de 1.263 décès sont enregistrés comme étant dus au Covid 19. Il semble que le premier décès en Biélorussie attribué à cette maladie ait été le 31 mars, avec entre 2 et 11 décès enregistrés chaque jour jusqu’au 12 décembre.

Il va sans dire que 1.263 décès sur une population de 9,5 millions d’habitants est minuscule et n’indique guère qu’une pandémie mortelle balaie le pays. Mais les critiques de l’approche bélarussienne peuvent prétendre que Loukachenko cache la réalité des 19 décès de Covid dans le pays.

La manière la plus logique d’examiner cette question est de voir s’il y a un excès de décès au Belarus en général au cours de cette période, et si oui, combien. Bien sûr, ce n’est pas parce qu’il y a eu un excès de décès que l’on peut prouver que les décès ont été causés – ou non – par des cas cachés de Covid 19. Mais un nombre relativement faible de décès excédentaires révélerait que l’affirmation selon laquelle Loukachenko cache des décès en masse du Covid 19 n’est pas plausible.

Selon les données, il y a eu quelques excès de décès au Belarus au cours du deuxième trimestre 2020 (avril, mai et juin). 35 858 personnes sont mortes au Belarus au cours de cette période, soit 5606 de plus qu’en 2019. En examinant les données, nous pouvons voir que la grande majorité de ces décès excédentaires ont eu lieu en juin, avec pratiquement aucun en avril et un léger excédent en mai.

Ce chiffre est plutôt faible par rapport aux prévisions de malheur et de destruction avancées par des personnes comme Neil Ferguson.

Biélorussie vs Angleterre et Pays de Galles

Une comparaison avec un autre pays qui a mis en place des mesures de confinement prouve que les prédictions alarmistes concernant les conséquences d’un non confinement ne sont pas fondées.

Cette analyse a été réalisée en prenant le nombre de décès excédentaires pour le Belarus et en calculant ensuite les mêmes chiffres pour l’Angleterre et le Pays de Galles à partir des données hebdomadaires sur les décès de 2019 et 2020. Le Bélarus a enregistré 5605 décès supplémentaires en avril, mai et juin 2020 pour une population de 9,5 millions d’habitants. L’Angleterre et le Pays de Galles ont eu 54 798 décès excédentaires au cours de la même période pour une population de 59,5 millions d’habitants.

La population de l’Angleterre et du Pays de Galles est 6,26 fois plus importante que celle du Bélarus, donc en divisant le chiffre de 54 798 par 6,26, on obtient un résultat de 8754. Si le Bélarus avait eu le même taux de mortalité excédentaire que l’Angleterre et le Pays de Galles, on aurait observé 3 149 décès supplémentaires au Bélarus. Ou pour formuler ces données autrement, si l’Angleterre et le Pays de Galles avaient le même taux de mortalité excédentaire que le Bélarus, il y aurait eu 19 711 décès de moins sur la période.

L’article du BMJ sur la Biélorussie : Saving the Case for Lockdowns ?

Cette preuve semble accablante pour les partisans du confinement. Cependant, il y a une tentative d’expliquer le faible taux de mortalité en Biélorussie malgré le fait qu’il n’y ait pas eu de verrouillage là-bas, publiée dans le British Medical Journal. L’article avance quatre raisons pour lesquelles le Belarus a un faible taux de mortalité, dont certaines offrent des données comparatives avec le Royaume-Uni.*

La première raison donnée dans l’article est que le Belarus a un nombre de lits par habitant beaucoup plus élevé – 11 pour 1000 contre 2,5 pour 1000 au Royaume-Uni.

Les services de santé trouvent généralement un équilibre entre le fait d’avoir suffisamment de lits disponibles pour faire face à une crise et le fait de ne pas en gaspiller l’argent pour des lits inutiles. On peut faire valoir que le NHS se trompe d’équilibre et penche vers un nombre insuffisant de lits par habitant. Par exemple, le Royaume-Uni a connu un grand nombre de cas de grippe pendant la saison 2017-2018, les hôpitaux ayant un taux d’occupation des lits élevé.

Toutefois, le taux d’occupation des lits au Royaume-Uni a considérablement diminué en raison du confinement et de la politique du NHS consistant à faire sortir autant de patients que possible. Le 13 avril, quelques semaines après le verrouillage, les lits de soins intensifs étaient inoccupés à 40 %. Cela ne laisse pas présager un service de santé qui aurait été totalement débordé s’il n’avait pas été verrouillé (à titre de comparaison, les lits du NHS sont généralement remplis à 90 %). Il se peut en fait que le confinement ait coûté des vies en annulant le traitement, en expulsant des personnes des hôpitaux et en promouvant un message basé sur la peur qui décourageait les gens de chercher un traitement.

Un autre argument principal de l’article est que le Belarus a un petit nombre de personnes âgées dans les maisons de soins (il en a 203 pour 100 000, contre 854 pour 100 000 au Royaume-Uni). Il est vrai qu’un agent pathogène respiratoire se propage plus facilement dans un environnement comme une maison de soins en raison de la proximité des personnes vulnérables. Il est également vrai que le Royaume-Uni a connu un grand nombre de décès dans les maisons de soins au cours de cette période.

Cependant, la politique du gouvernement britannique à l’égard des maisons de soins a probablement contribué à une partie au moins de l’excès de décès causés pendant cette période. Les personnes placées dans des maisons de soins se voyaient systématiquement refuser un traitement hospitalier et ne pouvaient pas avoir accès à un médecin généraliste. Le manque de visites de la famille a poussé de nombreux patients âgés à abandonner mentalement et leur état s’est détérioré. Les décès qui en ont résulté ne peuvent donc pas être attribués entièrement à un virus, mais aussi à la politique du gouvernement.

L’argument échoue également en tant que motif de confinement. Si la majorité des décès se produisent dans un environnement relativement confiné comme une maison de soins, le confinement de l’ensemble de la société, comme la fermeture de magasins et d’événements sportifs, n’aura aucun effet sur la transmission dans cet environnement.

Deux autres raisons données dans l’article – le meilleur système de test bélarussien et le manque d’intérêt pour le Belarus comme destination de voyage – n’ont pas non plus d’influence sur l’efficacité de la stratégie de confinement.

Il n’y a pas de preuve que les personnes ayant un test positif mais aucun symptôme soient infectieuses. Il s’ensuit que le fait de tester plus de personnes ne va pas entraîner moins de décès, ce qui ne peut donc pas expliquer le faible taux de mortalité au Belarus sans verrouillage. La Biélorussie a mis en place des mesures de quarantaine, alors que le Royaume-Uni a continué à autoriser les vols dans le pays.

L’article affirme qu’il est plus facile pour le Belarus (que pour le Royaume-Uni) de fermer ses frontières parce que ce n’est pas une destination de voyage importante, ce qui est vrai, mais on ne peut pas sérieusement affirmer que la mise en place de mesures de quarantaine coûte plus cher que la fermeture de tout le pays. Une fois qu’un virus hypothétique est également présent dans un pays en nombre important, la quarantaine devient également sans objet.

Conclusion

Le cas bélarussien est un problème important pour les personnes qui affirment que des mesures de confinement étaient nécessaires pour prévenir les décès massifs dus à la pandémie mortelle de Covid 19. Les mesures limitées prises au Belarus ont entraîné un taux de mortalité plus faible que le confinement qui a soutenu l’Angleterre et le Pays de Galles. Il n’y a pas non plus d’arguments clairs pour expliquer pourquoi le Belarus est si unique qu’il pourrait se passer de confinement alors que d’autres pays en ont mis en place.

Compte tenu du coût pour l’économie et le bien-être mental de l’imposition de mesures de confinement, ainsi que des restrictions draconiennes des libertés fondamentales, ces faits suggèrent fortement que les dirigeants qui ont imposé des mesures de confinement doivent répondre de leurs actes devant leurs citoyens.

Source : https://off-guardian.org/2020/12/19/how-belarus-exposes-the-lockdown-lie/

Passeports Covid : L’Irlande envisage d’accorder des libertés supplémentaires aux détenteurs de certificats de vaccination

Malgré la controverse dans d’autres pays sur la possibilité de créer une société à deux vitesses où ceux qui ont des papiers de vaccination ont plus de libertés que ceux qui n’en ont pas, l’Irlande envisage de créer des passeports pour le coronavirus, permettant à leurs détenteurs d’échapper au confinement.

Les citoyens irlandais devront peut-être présenter des documents prouvant qu’ils ont été vaccinés contre le coronavirus pour pouvoir sortir, participer à des activités sociales et entrer dans des lieux de rencontre à l’avenir, a déclaré le ministre de la santé du pays, Stephen Donnelly.

M. Donnelly a comparé les passeports corona aux plans envisagés par l’industrie aérienne, où une preuve de vaccination pourrait être exigée pour monter à bord d’un avion.

La décision d’aller de l’avant avec ce projet dépendrait de l’évaluation de l’efficacité réelle des vaccinations et de la capacité du vaccin à réduire la transmission du coronavirus dans la communauté. Le gouvernement irlandais a déclaré que “rien n’était exclu” en termes de passeports de vaccin à ce stade.

Le ministre a déclaré mercredi : “Le certificat de vaccination fait partie du plan de mise en œuvre et ce que nous devons voir, c’est exactement quel sera l’impact de ces vaccins… Nous pourrons alors porter un jugement éclairé”, rapporte l’Irish Times.

La discussion sur la restriction de la liberté de ceux qui se font faire une injection a eu lieu alors que l’Irlande envisageait la possibilité que l’organisme de réglementation de la santé de l’Union européenne approuve le vaccin de Pfizer. Contrairement au Royaume-Uni, qui a utilisé ses propres protocoles de sécurité médicale pour approuver l’injection il y a quinze jours, l’Irlande s’est appuyée sur le système européen centralisé pour tester l’innocuité du vaccin.

Au Royaume-Uni – le voisin proche de l’Irlande dans les îles britanniques – le gouvernement a fait la une à plusieurs reprises sur la question de savoir si le prix à payer pour que les personnes regagnent la liberté perdue au cours de l’année 2020 est de se faire vacciner, puis de porter les papiers pour le prouver.

Le ministre britannique de la vaccination, Nadim Zahawi, a déclaré au début du mois que, bien que le gouvernement n’ait pas l’intention de rendre la vaccination obligatoire, il prévoit toujours une situation où des entreprises et des lieux privés utiliseraient les outils que le gouvernement mettrait à leur disposition pour vérifier si les clients potentiels ont reçu l’injection ou non.

Zahawi a cité “les restaurants, les bars et les cinémas… les salles de sport” comme exemples d’endroits qui pourraient vouloir faire de la discrimination basée sur le statut de vaccination.

Claire Fox, ancienne députée européenne du Brexit Party, a répondu aux remarques de M. Zahawi, en faisant remarquer qu’empêcher toute personne qui n’a pas encore été vaccinée de mener une vie normale revenait à la rendre obligatoire. La baronne Fox a déclaré : Lorsque Boris nous a assuré que personne ne serait obligé de se faire vacciner, il a oublié d’ajouter : “mais si vous ne le faites pas, vous serez effectivement empêché de faire partie de la sphère publique, jamais”. La honte publique suivante ? Je veux être un défenseur enthousiaste des vaccins. Cette COERCION n’aide en rien”.

Source: Breitbart, le 18 décembre 2020Traduction par Aube Digitale

La Cour suprême du Brésil juge que le vaccin COVID peut être obligatoire

La Cour suprême du Brésil a émis un jugement qui pourrait obliger les États et les collectivités locales à rendre le vaccin contre le coronavirus obligatoire, avec le pouvoir d’imposer des amendes et/ou des restrictions à ceux qui le refusent.

Reuters rapporte que “les Brésiliens pourraient être “obligés, mais pas forcés” par les autorités civiles à se faire vacciner.

Le rapport ajoute :

Le juge de la Cour suprême Ricardo Lewandowski a écrit dans l’arrêt majoritaire que les personnes refusant de se faire vacciner pourraient être sanctionnées, comme l’impossibilité de participer à certaines activités ou de fréquenter certains lieux.

Dix juges sur les onze que compte la cour ont voté en faveur de l’inoculation obligatoire, un seul ayant voté contre jeudi.

Bien qu’un vaccin n’ait pas encore été approuvé dans le pays, les sondages indiquent qu’environ un cinquième des Brésiliens n’ont pas l’intention de se faire vacciner.

Parmi les sceptiques figure le président Jair Bolsonaro, qui a mis en garde à plusieurs reprises contre les effets secondaires des vaccinations et a déclaré qu’il s’y opposait.

“Personne ne peut forcer qui que ce soit à prendre le vaccin”, a déclaré M. Bolsonaro après la décision de la cour, ajoutant : “Nous avons affaire à des vies, où est notre liberté ?”

Un grand nombre de Brésiliens ont continué à protester contre la perspective de vaccinations obligatoires, Bolsonaro s’engageant à n’acheter aucun vaccin contre le coronavirus, alors que le ministère fédéral de la santé a annoncé en octobre qu’il avait l’intention de se procurer 46 millions de doses.

Aube Digitale

L’OMS admet (enfin) que les tests PCR créent des faux positifs

Les avertissements concernant la valeur élevée du CT des tests arrivent des mois trop tard… alors pourquoi apparaissent-ils maintenant ? L’explication possible est d’un cynisme révoltant…

L’Organisation mondiale de la santé a publié une note d’orientation le 14 décembre, avertissant que des seuils de cycle élevés pour les tests PCR entraîneront des faux positifs.

Bien que ces informations soient exactes, elles sont également disponibles depuis des mois. Nous devons donc nous demander pourquoi elles sont rapportées maintenant. Est-ce pour faire croire que le vaccin fonctionne ?

Les tests “étalon-or” de dépistage du Sars-Cov-2 sont basés sur la réaction en chaîne par polymérase (PCR). La PCR fonctionne en prenant des nucléotides – de minuscules fragments d’ADN ou d’ARN – et en les répliquant jusqu’à ce qu’ils deviennent quelque chose d’assez gros pour être identifié. La réplication se fait par cycles, chaque cycle doublant la quantité de matériel génétique. Le nombre de cycles nécessaires pour produire quelque chose d’identifiable est connu sous le nom de “seuil de cycle” ou “valeur CT”. Plus la valeur CT est élevée, moins vous avez de chances de détecter quelque chose d’important.

Ce nouveau mémo de l’OMS indique que l’utilisation d’une valeur CT élevée pour tester la présence du Sars-Cov-2 entraînera des faux positifs dans les résultats.

Pour citer leurs propres mots :

Les utilisateurs des réactifs RT-PCR doivent lire attentivement la notice explicative pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est nécessaire pour tenir compte de tout bruit de fond qui pourrait conduire à interpréter comme positif un échantillon dont le résultat présente une valeur de seuil de cycle (Ct) élevée.

Ils poursuivent en expliquant [encore une fois, c’est nous qui soulignons] :

Le principe de conception de la RT-PCR signifie que pour les patients présentant des niveaux élevés de virus en circulation (charge virale), relativement peu de cycles seront nécessaires pour détecter le virus et donc la valeur Ct sera faible. À l’inverse, lorsque les échantillons présentent une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir.

Bien entendu, rien de tout cela n’est nouveau pour quiconque a été attentif. Le fait que les tests PCR étaient facilement manipulables et potentiellement très imprécis a été l’un des cris de guerre souvent répétés par ceux d’entre nous qui s’opposent au récit de la “pandémie” et aux politiques qu’elle sert à vendre.

De nombreux articles ont été écrits à ce sujet, par de nombreux experts du domaine, des journalistes médicaux et d’autres chercheurs. Il est de notoriété publique, depuis des mois, que tout test utilisant une valeur CT supérieure à 35 est potentiellement dénué de sens.

Le Dr Kary Mullis, qui a reçu le prix Nobel pour avoir inventé le procédé PCR, a clairement indiqué que ce n’était pas un outil de diagnostic :

avec la PCR, si vous le faites bien, vous pouvez trouver presque tout chez n’importe qui”.

Et, commentant les seuils de cycle, il a dit un jour

Si vous devez faire plus de 40 cycles pour amplifier un gène en une seule copie, il y a quelque chose qui cloche sérieusement avec votre PCR.”

Les lignes directrices du MIQE pour l’utilisation de la PCR indiquent :

Les valeurs CT supérieures à 40 sont suspectes en raison de la faible efficacité implicite et ne doivent généralement pas être signalées,”

Tout cela est de notoriété publique depuis le début du confinement. Le propre site web du gouvernement australien a admis que les tests étaient défectueux et un tribunal portugais a jugé qu’ils n’étaient pas adaptés à leur objectif.

Même le Dr Anthony Fauci a publiquement admis qu’un seuil de cycle supérieur à 35 permettait de détecter des “nucléotides morts”, et non un virus vivant.

Malgré tout cela, on sait que de nombreux laboratoires dans le monde entier utilisent des tests PCR avec des valeurs CT supérieures à 35, même dans la petite quarantaine.

Alors pourquoi l’OMS a-t-elle finalement décidé de dire que c’est une erreur ? Quelle raison pourrait-elle avoir pour choisir finalement de reconnaître cette simple réalité ?

La réponse à cette question est potentiellement d’un cynisme choquant : nous disposons maintenant d’un vaccin. Nous n’avons plus besoin de faux positifs.

En théorie, le système a produit son remède miracle.

Ainsi, une fois que tout le monde aura été vacciné, tous les tests PCR effectués le seront “selon les nouvelles directives de l’OMS”, et en effectuant seulement des cycles de 25-30 au lieu de 35+.

Et voilà que le nombre de “cas positifs” va chuter, et nous aurons la confirmation que notre vaccin miracle fonctionne.

Après des mois à inonder le bassin de données de faux positifs, à compter à tort les décès “par accident”, à ajouter “décès lié au Covid19” à tous les autres certificats de décès… ils peuvent cesser. La machine à créer une pandémie peut être remise à zéro.

…tant que nous faisons tous ce qu’on nous dit. Tout signe de dissidence – des masses de personnes refusant le vaccin, par exemple – et la valeur CT pourra recommencer à grimper, et la maladie magique se remanifestera à nouveau.

Source: Off-Guardian, le 20 décembre 2020Traduction par Aube Digitale

Campagne de tests massifs

Face aux examens inutiles, j’ai toujours essayé de diffuser une doctrine : « Avant de prescrire un examen, pose toi deux questions. La première, est-ce que le résultat va changer ton diagnostic ? La seconde, est-ce que le résultat va changer ton traitement ? Si la réponse aux deux questions est non, alors ne le fais pas, c’est inutile.

J’ai l’impression que la vaste campagne de tests engagée à grands renforts publicitaires rentre dans ce cadre, et n’est qu’une vaste opération de communication, donner l’impression qu’on s’occupe du problème alors que ce n’est que du vent.

DANS QUEL BUT ?

Tester massivement dans une ville, OK, mais après ? Pour faire quoi ensuite ? A quoi cela sert ? Si cette démarche a un sens au tout début de l’épidémie, tester-isoler, comme on le fait pour Ebola, comme le font les Chinois en traquant un cas pour isoler une ville, mais quand le virus est partout, quand ce n’est pas pour isoler la ville derrière, et si là-dessus vient le rush des vacances de Noël, quel est le but de ces opérations qui ne déboucheront sur rien de concret, en tous cas rien de plus que ce qui est fait aujourd’hui ? Le tester-isoler (contact tracing) à la française a déjà été lancé quand il y avait moins de cas, cela a été un échec à plusieurs niveaux, et n’a en rien empêché la seconde vague. Le refaire de manière ponctuelle dans les conditions actuelles a-t-il un sens ?

DES TESTS DOUTEUX ?

De plus en plus d’experts remettent en cause l’exactitude de la situation reflétée par les résultats du dépistage de masse. De plus la France dépiste avec des cycles d’amplification des tests de 35 voire 40 fois. Avec ces chiffres, plus de 75% des positifs ne sont pas contagieux, beaucoup n’ont que des fragments d’ADN, pas de virus actif. D’autres en ont trop peu pour être contagieux. Seule la charge virale devrait dicter la conduite à tenir, isoler ou non. La réponse oui ou non des tests, ne suffit pas d’après les experts. Dans les positifs, il y a de tout, et beaucoup moins de contagieux que de non contagieux.

Avec 40 cycles d’amplification, 95% des positifs ne seraient pas contagieux ou pas malades. Même si on a un peu baissé l’amplification, cela explique le nombre très important de positifs détectés actuellement, alors que les entrées en réanimations sont 10 fois inférieures à celles de la première vague. Sur les 30 derniers jours, la moyenne est de 13 000 positifs par jour, celles des entrées en réanimation de 200 par jour, soit 1,5%. Tester plus ne fait qu’affoler, va conduire à un reconfinement, mais ne reflète pas la réalité concernant les vrais malades.

LA QUALITÉ PLUS QUE LA QUANTITÉ

Au lieu de se noyer dans des chiffres qui ne veulent plus dire grand-chose, on ferait mieux de se concentrer sur la détection des seuls patients contagieux. Tester massivement à 25 cycles a un sens, à 35 ou 40, non. Et plutôt que de tester massivement, ce qui pose des problèmes logistiques, encombre les centres (au détriment des autres pathologies), retarde les résultats, mieux vaut s’organiser pour tester très rapidement dès les premiers symptômes, le jour même de ces symptômes si possible (on peut être contagieux en 48H), avec résultat immédiat pour isoler. Tester massivement pour isoler des non contagieux n’a pas de sens, ce n’est pas dans les parkings qu’il faut tester, mais ce doit être chez le généraliste, lorsqu’il voit le patient, et au lieu de dire aux patients d’attendre et d’appeler le 15 quand cela va mal, on devrait leur dire d’aller consulter au premier signe. Tout à l’envers.

Tester en masse va nous coûter en temps et en argent, sans résultat, mais ce n’est sans doute pas perdu pour tout le monde . Pour être efficaces, ce n’est pas la masse des tests qui compte, c’est la rapidité et la qualité, or on a choisi la masse. Un coup d’épée dans l’eau.

19/12/20 : 10H. Au passage, voir ce qui se passe sur Ivermectine avec mon commentaire sur le billet correspondant.

Source : https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/12/19/campagne-de-tests-massifs/

« Vaccin » anti-Covid — Que disent les résultats publiés par Pfizer et quelles conclusions pouvons-nous en tirer ?

Les résultats complets de la phase deux sur trois des tests cliniques pour le « vaccin » Covid-19 de Pfizer-BioNTech ont été publiés jeudi dernier dans le New England Journal of Medicine. Un éditorial lié à l’article scientifique décrit les résultats des essais comme « suffisamment impressionnants pour tenir la route dans n’importe quelle analyse imaginable. C’est un triomphe. » Rentrons un peu dans le détail de ces résultats présentés comme triomphants.

Selon le même éditorial publié dans le New England Journal of medicine qui annonce un « triomphe », voici ce que les auteurs de l’étude, dans un euphémisme flagrant, écrivent par ailleurs :

« Le nombre de cas graves de Covid-19 — un dans le groupe du vaccin et neuf dans le groupe placebo — est trop faible pour que l’on puisse tirer des conclusions quant à savoir si les rares cas qui surviennent chez les personnes vaccinées sont réellement plus graves.

D’autres questions se posent, notamment celle de savoir si des problèmes inattendus d’innocuité peuvent survenir lorsque le nombre de personnes vaccinées atteint des millions, voire des milliards.

On ignore également si les effets secondaires seront plus nombreux avec un suivi plus long [dans le temps – NdT], combien de temps le vaccin reste efficace, s’il limitera la transmission et comment il fonctionnera chez les enfants, les femmes enceintes et les patients immunodéprimés. »

Donc, en gros, ils ne savent pas grand chose et les essais cliniques menés par Pfizer qui ont conduit aux approbations de la FDA et à des milliards de ventes ne permettent en rien de déterminer :

  • Si les cas graves sont plus graves ou non chez les personnes vaccinées ;
  • Quel sera l’ampleur des effets secondaires une fois le vaccin administré à des millions de personnes ;
  • Quels seront les effets secondaires à long terme ;
  • Quelle est la durée de son efficacité.

Cela signifie qu‘il est tout à fait possible que le vaccin Pfizer aggrave les symptômes du Covid-19, qu’il produise un certain nombre d’effets secondaires à long terme, qu’il engendre de graves effets à court terme et qu’il soit inefficace peu après son administration — et totalement inefficace contre d’autres variantes du Sras-CoV-2 qui n’ont pas été testées.

Et ce sombre tableau n’est basé que sur les données collectées et publiées par Pfizer ! Ne doutez pas un instant qu’ils n’ont publié que ce qu’ils voulaient bien publier.

Afin d’illustrer le fait que le Sras-CoV-2 mute énormément — et qu’il est donc très probable que les vaccins ne seront, au mieux, efficaces que contre une seule souche — voici deux graphiques du sous-échantillonnage mondial de l’épidémiologie génomique de ces nouveaux coronavirus, qui montre 3 527 des 3 527 génomes échantillonnés entre décembre 2019 et décembre 2020. Le premier concerne la phylogénie — étude de parenté entre les souches du Sras-CoV-2 — et le second la répartition mondiale de ces souches.

Selon le site Nexttrain qui suit en temps réel l’évolution des agents pathogènes, voici ce qu’il en est pour ce qui concerne le Sras-CoV2 :

« Cette phylogénie montre les relations évolutives des virus hCoV-19 (ou Sras-CoV-2) de la pandémie actuelle du nouveau coronavirus Covid-19. Cette phylogénie montre une émergence initiale à Wuhan, en Chine, en novembre-décembre 2019, suivie d’une transmission interhumaine soutenue conduisant à des infections échantillonnées. Bien que les relations génétiques entre les virus échantillonnés soient assez claires, il existe une grande incertitude quant aux estimations des dates de transmission spécifiques et à la reconstruction de la propagation géographique. Il faut savoir que les modes de transmission spécifiques déduits ne sont qu’une hypothèse.

Il existe aujourd’hui des milliers de génomes complets disponibles et ce nombre augmente par centaines chaque jour. Pour des raisons de performance et de lisibilité, cette visualisation ne peut traiter qu’environ 3 000 génomes en une seule vue. C’est la raison pour laquelle, et afin de distinguer ces analyses, nous devons sous-échantillonner les données disponibles sur les génomes. Notre analyse globale primaire sous-échantillonne 120 génomes par division administrative et par mois. Cela permet une distribution plus équitable des séquences globales, mais cela cache des échantillons disponibles dans des régions qui font beaucoup de séquençage. »

Selon ces données mondiales, la diffusion des variantes du Sras-CoV-2 est spécifique au temps et au pays. On peut se demander si la fermeture des frontières nationales a favorisé le développement de variantes spécifiques à un pays, rendant le profil du Sras-CoV-2 encore plus hétérogène à l’échelle mondiale. Une hétérogénéité qui rendrait tout à fait illusoire l’efficacité pour le monde entier d’un « vaccin » élaboré sur la base d’une seule souche.

Pour rappel, le « vaccin » à ARN messager BNT162b2 de Pfizer BioNTech est un « vaccin » lipidique à base d’ARN modifié par des nucléosides et formulé sous forme de nanoparticules, qui code pour la protéine Spike du Sras-CoV-2. Par ailleurs, les vaccins qui par définition stimulent l’immunité naturelle contre le Sras-CoV-2 seront probablement inefficaces car cette même immunité naturelle ne réussit pas à empêcher une réinfection. Selon un article publié le 12 octobre dernier dans TheLancet :

« Le degré d’immunité protectrice conféré par l’infection par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (Sras-CoV-2) est actuellement inconnu. La possibilité d’une réinfection par le Sras-CoV-2 n’est donc pas bien comprise. »

Les scientifiques de l’étude ont donc souhaité trouver des réponses et ont orienté leurs recherches vers l’étude d’un cas de réinfection au Sras-CoV-2 chez un patient qui

« a subi deux tests positifs pour le Sras-CoV-2, le premier le 18 avril 2020, et le second le 5 juin 2020, séparés par deux tests négatifs effectués lors du suivi en mai 2020. »

« L’analyse génomique du Sras-CoV-2 a montré des différences génétiquement significatives entre chaque variante associée à chaque cas d’infection. La deuxième infection était symptomatiquement plus grave que la première. »

Voici leur conclusion :

« La discordance génétique des deux spécimens de Sras-CoV-2 était plus importante que ce que l’évolution in vivo à court terme pouvait expliquer. Ces résultats suggèrent que le patient a été infecté par le Sras-CoV-2 à deux reprises par un virus génétiquement distinct. Ainsi, une exposition antérieure au Sras-CoV-2 pourrait ne pas garantir une immunité totale dans tous les cas. Toutes les personnes, qu’elles aient ou non reçu un diagnostic positif au Covid-19, doivent prendre des précautions identiques pour éviter l’infection par le Sras-CoV-2. Les implications des réinfections pourraient s’avérer pertinentes dans le cadre du développement et de l’application des vaccins. »

Quelles conclusions pouvons-nous tirer, pour l’heure, de ce qui précède ?

Le Professeur Perronne explique que toutes les mesures dictato-gouvernementales

« […] sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05 % ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices. […] La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus. »

La science, l’éthique médicale et le bon sens semblent avoir depuis longtemps été remisés au placard… Avec l’aide de « techniques de manipulation mentale dignes des régimes totalitaires » servies par une technologie diaboliquement efficace, nous sommes entrés dans l’ère du Covid et de la vaccination obligatoire tant voulue par Bill Gates.

Faisons le point sur ce que nous savons.

Ce que les « vaccins » anti-Covid ne feront pas :

  • Ils ne guériront pas le Covid ;
  • Ils n’empêcheront pas les gens de contracter le Covid ;
  • Ils n’empêcheront pas les hospitalisations liées au Covid ;
  • Ils n’empêcheront pas les décès dus au Covid.

Et puisque, selon les résultats publiés de Pfizer-BioNTech, nous ne savons rien sur la transmission du virus par des personnes vaccinées et néanmoins atteintes de formes asymptomatiques, le respect des gestes barrières et autres port du masque obligatoire, sans oublier les confinements, devront persister en dépit de la vaccination, tant que la pandémie ne sera pas éradiquée. Mais elle ne le sera pas, puisqu’elle est « contrôlée » pour servir les intérêts — parmi ceux dont nous avons connaissance — listés ci-après.

Ce que les « vaccins » anti-Covid feront :

Tout cela avec l’aide d’un virus d’origine humaine et d’une propagande anti-hydroxychloroquine qui prive les populations — au nom du tout-« vaccin » — de l’accès à des remèdes efficaces. Concernant l’hydroxychloroquine, voici le lien de la méta-analyse la plus rigoureuse et approfondie jamais conduite sur les publications scientifiques sur cette molécule : https://hcqmeta.com [en anglais]. Leurs conclusions :

« L’hydroxychloroquine est un traitement efficace contre le Covid-19. La probabilité qu’un traitement inefficace produise des résultats aussi positifs que les 166 études réalisées à ce jour est estimée à 1 sur 1 quadrillion (p = 0,00000000000000099). »

Tous ces éléments traduisent de la part des Pouvoirs en place un désir de domination totale sur des populations généralement prêtes à accepter le « retour de leurs libertés » en échange de « la marque de la Bête » matérialisée par l’obligation d’une vaccination « qui modifie les gènes », et de populations tout aussi généralement ignorantes de la menace que pose les changements terrestres de plus en plus extrêmes, accompagnés par une activité volcanique et sismique accrue et l’augmentation croissante d’objets géocroiseurs qui « effleurent » notre planète, et des comètes qui visitent à une fréquence plus élevée notre Système solaire intérieur.

Toutefois, et comme stipulé dans un de nos derniers Focus,

« Aussi horrifiant que cela puisse paraître à quiconque a un tant soit peu conscience de ce qui est inclus dans ces vaccins, le niveau de concrétisation de leurs plans de « Grande réinitialisation » [ou « Great Reset » – NdT] dépend de la charge de tyrannie que la société est prête à endurer avant qu’un certain nombre de facteurs que les dieux autoproclamés de la santé publique ne peuvent pas contrôler ne commencent à se manifester.
[…]
Aussi puissants que les psychopathes au pouvoir semblent être actuellement, ils ont très probablement déjà creusé leurs propres tombes. La catastrophe guette ceux qui les suivent passivement, mais si vous percevez la réalité des événements et que vous renforcez activement votre système immunitaire contre les attaques physiques et votre psyché contre les mensonges, alors l’avenir n’est pas pour vous gravé dans le marbre. La connaissance est la clé sur les deux plans. »

Autres articles de Scott sur le sujet :

Source : https://fr.sott.net/article/36398-Vaccin-anti-Covid-Que-disent-les-resultats-publies-par-Pfizer-et-quelles-conclusions-pouvons-nous-en-tirer

Lettre du Professeur Perronne : le vaccin est inutile et risqué !

« Chers amis,

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.

En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique. Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie.

Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’État.

Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première.

Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Elysée, le Pr Jean-François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.

Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-CoV.L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence.

Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place.

La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement.

Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter.Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin.

Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile.

De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules.

On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN.

Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement.

Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes. Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés).

Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie. C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.

Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.

Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

Christian PERRONNE

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