Day: October 23, 2020

Covid-19 : l’Agence du médicament refuse d’autoriser massivement l’hydroxychloroquine

Covid-19 : l’Agence du médicament refuse d’autoriser massivement l’hydroxychloroquine

Le professeur Didier Raoult avait envoyé à l’ANSM une demande d’utilisation plus étendue de cette molécule, qui n’a toujours pas fait la preuve de son efficacité.

Pas question d’autoriser largement l’hydroxychloroquine en France contre le Covid-19 : l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a refusé au professeur Didier Raoult une utilisation plus étendue de cette molécule, qui n’a toujours pas fait la preuve de son efficacité.

« Nous ne pouvons pas répondre favorablement à la demande de RTU [recommandation temporaire d’utilisation] de l’hydroxychloroquine dans la prise en charge de la maladie Covid-19, de la part de l’IHU [Institut hospitalo-universitaire] de Marseille », a annoncé l’ANSM sur son site Internet, vendredi 23 octobre. « A ce jour, les données disponibles, très hétérogènes et inégales, ne permettent pas de présager d’un bénéfice de l’hydroxychloroquine, seule ou en association, pour le traitement ou la prévention de la maladie Covid-19 », tranche-t-elle.

L’hydroxychloroquine est commercialisée en France par le laboratoire Sanofi sous le nom de Plaquenil, mais pour des rhumatismes ou certains lupus.

La prescription d’un médicament hors des indications prévues par l’autorisation de mise sur le marché (AMM) doit se faire au cas par cas, en informant le patient des risques encourus et du non-remboursement, et la mention « hors AMM » doit figurer sur l’ordonnance. La RTU, qui donne accès au remboursement, vise une prescription hors AMM massive, au-delà de la prescription au cas par cas.

Un « deux poids deux mesures », a réagi Didier Raoult sur Twitter après ce refus, accusant l’ANSM de favoriser l’antiviral remdesivir (du laboratoire Gilead) au détriment de l’hydroxychloroquine.

Dominique Martin, directeur de l’ANSM, refuse toute RTU pour l’hydroxychloroquine mais autorise l’envoi de mails pr… https://t.co/Ox7t344nft— raoult_didier (@Didier Raoult)

« Consensus scientifique »

Le Veklury, marque commerciale du remdesivir, a reçu début juillet une autorisation conditionnelle de mise sur le marché européen pour les formes graves de Covid-19. Il bénéficie en France d’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU) de cohorte, une autre procédure permettant à certaines catégories de malades d’utiliser des médicaments pas encore mis sur le marché. Les études publiées montrent qu’il pourrait réduire la durée d’hospitalisation des patients, mais qu’il a peu ou pas d’effet sur la mortalité.

L’ANSM publie également une lettre de huit pages envoyée à Didier Raoult, en réponse à sa demande. Elle y retrace l’historique des utilisations et des essais dans le monde de ce médicament que le directeur de l’IHU de Marseille défend bec et ongles pour traiter le Covid-19, soulignant qu’ils n’ont pas démontré son efficacité :

« En conclusion, lorsque l’on fait un point de situation des études publiées (…) depuis le rapport du HCSP [Haut Conseil de la santé publique] du 23 juillet, il n’est pas identifié de données de nature à remettre en question les conclusions de ce rapport, non en faveur de l’utilisation de l’hydroxychloroquine seule ou en association avec l’azithromycine [un antibiotique], en traitement ou en prévention. »

L’ANSM évoque aussi « les recommandations thérapeutiques internationales traduisant un consensus scientifique » allant dans le même sens.

L’ANSM relève par ailleurs que, dans son courrier de demande d’élaboration d’une recommandation temporaire d’utilisation, daté du 3 août, le professeur Didier Raoult cite l’hydroxychloroquine « sans préciser les modalités envisagées de son utilisation (en termes de population cible, de schéma d’administration, de potentielle association avec l’azithromycine) » et qu’il a par ailleurs « adressé par mail des publications dont toutes ne sont pas validées par un comité de lecture de revue ».

L’agence sanitaire précise que « cette position pourra être révisée », si on lui apportait de nouvelles études cliniques probantes.

L’Etat veut voler l’épargne des Français – JT du vendredi 23 octobre 2020

L’Etat veut voler l’épargne des Français – JT du vendredi 23 octobre 2020

Au sommaire de ce journal de fin de semaine, l’association Contribuables et associés alerte sur le risque de voir l’Etat s’attaquer à l’épargne des Français. Nous reviendrons ensuite sur les nouvelles mesures dévoilées par Jean Castex. Jeudi, le premier ministre a annoncé l’extension du couvre-feu à 38 départements. Une nouvelle étape avant un éventuel reconfinement. Et enfin, à dix jours de l’élection présidentielle, les Etats-Unis ont assisté au dernier débat entre les deux candidats. Nous reviendrons sur ce duel et sur l’hypothèse “sécessionniste” étasunienne.

Mensonges de l’AFP sur l’essai Discovery et la chloroquine – ma réponse

Mensonges de l’AFP sur l’essai Discovery et la chloroquine – ma réponse

Réfutation de l’article bidon de l’AFP un peu difficile à suivre mais implacable. Finalement l’AFP dont les dépêches sont reprises et enrobées par la plupart des media est la première source de « fake news officielles ».

La semaine dernière, j’ai frappé fort et, je crois, touché juste.

Je vous disais qu’il était criminel d’avoir arrêté brutalement deux essais clinique français sur l’hydroxychloroquine, alors qu’ils tendaient à montrer l’efficacité de ce médicament.

Eh bien cela n’a pas plus à tout le monde.

L’AFP a pris la peine de publier un article entier pour réfuter mon argumentaire[1].

Voici ce que clame l’AFP, en tête de son article :

« La gestion de Discovery par les autorités sanitaires françaises serait « un scandale », dénonce un article de santé-corps-esprit.com publié le 14 octobre, repris par de nombreuses pages et partagé plus de 7.000 fois sur Facebook.

Parmi les quatre traitements évalués c’est « l’hydroxychloroquine du Pr. Raoult qui obtient les meilleurs résultats », affirme l’article.

Mais, alors que Discovery « était en train de démontrer la supériorité de l’hydroxychloroquine ! », les autorités sanitaires françaises ont interdit d’inclure de nouveaux patients, rendant « statistiquement » contestables ces résultats pourtant « saisissants », accuse-t-il.

« Tout cela est faux », conclut l’AFP.

En réalité, je vais vous démontrer que tout cela est vrai.

Cet article de l’AFP est une grossière manipulation, et je vais vous en donner la preuve.

Cela sera peut-être un peu technique par moments, car je suis obligé d’être très précis.

Mais cela vaut vraiment la peine de voir jusqu’où ils vont pour maquiller les faits et censurer la vérité.

Car savez-vous ce qui se passe quand l’AFP décrète qu’un article est faux ?

Eh bien le réseau social Facebook vous empêche de partager l’article !

Voilà une belle manière d’empêcher que les Français lisent mes révélations, au moment où elles commençaient à faire le tour d’Internet (plus de 7 000 partages, selon l’AFP) !

Mais venons-en aux faits :

L’AFP donne la parole aux accusés qui, ô surprise, se déclarent innocent !

Dans ma lettre, j’ai formulé une accusation : ceux qui ont arrêté Discovery et Hycovid ont eu une attitude criminelle, ou en tout cas anti-scientifique.

Cette accusation faisait écho à l’appel du Pr Raoult sur CNews :

« Je fais appel aux journalistes d’investigation, je voudrais bien savoir pourquoi les deux essais comparatifs avec l’hydroxychloroquine faits dans ce pays, Discovery et l’essai fait à Angers (Hycovid) ont été arrêtés prématurément tous les deux, alors que l’hydroxychloroquine donnait des résultats supérieurs au placebo ».[2]

Dans cette affaire, il y a deux grands coupables :

  • L’Agence du Médicament (ANSM), aiguillonnée par le ministre Olivier Véran, pour avoir décidé de stopper les essais cliniques français sur l’hydroxychloroquine le 26 mai, notamment Discovery;
  • Et les auteurs de l’étude Discovery, pour avoir décidé d’arrêter définitivement leur étude sur l’hydroxychloroquine le 17 juin, alors qu’elle était plutôt favorable à ce médicament.

J’ai expliqué dans ma lettre pourquoi ces décisions d’arrêter Discovery étaient absurdes.

Mais savez-vous qui l’AFP a interrogé pour me contredire ?

Je vous le donne en mille : les auteurs de Discovery !

Oui, ceux-là même que j’accusais dans ma lettre d’avoir eu une attitude criminelle !

Je disais aussi que les auteurs de Discovery étaient biaisés depuis le début, puisqu’ils ne voulaient même pas tester l’hydroxychloroquine au départ !

Tout s’est passé comme s’ils avaient voulu favoriser le traitement à 2 000 euros de Gilead, contre le médicament à 5 euros du Pr Raoult.

D’ailleurs, plusieurs auteurs de Discovery et membres du Haut Conseil ont eu, ou ont encore aujourd’hui des liens avec le laboratoire Gilead, qui commercialise le fameux médicament à 2 000 euros, le remdésivir.[3]

Donc, pour l’AFP, il n’est pas sérieux de se contenter d’interroger ces gens.

Ils sont clairement juges et parties, et il aurait fallu interroger aussi des experts indépendants.

Cela me rappelle le journal 20 minutes, qui, pour réfuter (faussement) ma lettre sur les dangers du paracétamol, avait interrogé les représentants de l’industrie du médicament[4] !

Bref, vous le voyez, cet article de l’AFP commence mal, sur la méthode.

Mais sur le fond, la manipulation est encore plus grossière :

Discovery montre-t-elle un avantage à l’hydroxychloroquine, oui ou non ?

L’AFP et les auteurs de Discovery nient catégoriquement que l’étude était favorable à l’hydroxychloroquine :

« Les premiers résultats ne montrent en réalité « aucun effet » du traitement à l’hydroxychloroquine sur la maladie, expliquent des responsables de Discovery à l’AFP ».

Aucun effet ??

Voici la preuve que l’hydroxychloroquine avait bien un effet :

Graphique publié par les auteurs de l’étude Discovery, montrant leurs résultats préliminaires

Ce n’est pas une image très facile à lire, mais voici ce qu’elle nous révèle.

On y apprend que les patients sous hydroxychloroquine ont davantage survécu que ceux des autres groupes, 15 jours et 29 jours après le début du traitement.

On n’a pas le détail des chiffres (ce qui est en soi scandaleux), mais une analyse fine des pixels[5] permet de dire qu’il y a eu :

  • 19 morts sur 151 dans le groupe de contrôle, qui n’a pas reçu de médicament ;
  • 13 morts sur 150 dans le groupe qui a reçu l’hydroxychloroquine.

Cela fait 31 % de morts en moins, ce qui est encourageant pour l’hydroxychloroquine !

Le seul problème, c’est qu’il n’y a pas assez de patients pour que ce résultat soit « significatif » d’un point de vue statistique.

Mais comme je le disais dans ma lettre, c’est une raison de continuer l’essai et d’inclure plus de patients !

Surtout que l’hydroxychloroquine montre aussi un effet positif sur la sévérité de la maladie, ce qui est cohérent avec son effet sur la mortalité.

Sur une échelle de 7 points, l’étude montre une réduction de 17 % de la sévérité des symptômes, là encore non significative statistiquement, faute de patients en nombre suffisant.

Mais si vous en croyez l’AFP, ces résultats ne veulent rien dire :

« Toutes les « interprétations » tirées de ce visuel sont « ridicules » ou de « mauvaise foi » s’insurge Dominique Costagliola (NDLR : un des auteurs de Discovery). On ne conclut rien sur ce graphique car l’étude n’a pas la puissance pour juger sur le critère clinique”, explique-t-elle à l’AFP.

Discovery n’a pu en effet analyser que 150 patients par groupe au lieu des 600 prévus dans le protocole publié fin mars.

Cet échantillon est bien trop faible pour « conclure quoi que ce soit sur un critère clinique », explique Dominique Costagliola de l’Inserm.

Encore une fois, cet argument est « fort de café ».

Ceux qui nous disent que le nombre de patients est trop faible pour pouvoir conclure…

…sont les mêmes qui ont décidé d’arrêter l’étude, et de ne plus inclure de nouveaux patients !

Mais reprenons leur argument « massue », selon lequel on ne pourrait pas « conclure quoi que ce soit » de ces résultats – je cite à nouveau l’AFP :

« La première question qu’on se pose devant un résultat c’est « est-il significatif ? », autrement dit, « est-ce que ce résultat est lié au hasard ? » », explique à l’AFP, Nathan Peiffer-Smadja infectiologue aux hôpitaux de Paris.

« Si c’est lié au hasard, on ne regarde pas le reste. C’est une règle de base dans la statistique et les essais cliniques. Ici, Discovery ne montre aucun effet de l’hydroxychloroquine ».

Mais c’est de la mauvaise foi : les résultats montrent que ce traitement est encourageant !

Quand on est un statisticien honnête, voici comment on devrait réagir : « c’est un début intéressant, il y a moins de morts avec le traitement actuellement, il faut absolument poursuivre l’étude pour confirmer (ou infirmer) l’existence de l’effet »[6].

Surtout que les auteurs de Discovery devaient savoir que l’autre grande étude française menée à Angers montrait une réduction de près de 50 % de la mortalité avec l’hydroxychloroquine – là encore non significatif statistiquement, faute de patients en nombre suffisant.

Cela faisait deux signaux extrêmement encourageants pour l’hydroxychloroquine, et d’excellentes raisons d’aller au bout de ces études, au lieu de les stopper !

Cela, l’AFP et les auteurs de Discovery le savent pertinemment.

Alors ils essaient de dévier la discussion sur une question totalement hors sujet :

L’AFP vous parle de « charge virale » : ce serait drôle si ce n’était pas tragique

L’AFP consacre un quart de son article à parler de « charge virale ».

C’est du grand comique, car le protocole de l’étude Discovery ne prévoit pas du tout d’étudier cela !

Parmi les objectifs affichés de l’étude, il y a la sévérité de la maladie, le besoin du patient en oxygène, son placement ou non sous ventilation mécanique, la durée de son hospitalisation et sa mortalité.

Bref, que des critères cliniques qui nous disent si le patient va mieux ou non.

La « charge virale » est un critère biologique, qui n’a aucun intérêt ici !

Mais comme les auteurs de Discovery ont des résultats significatifs sur ce sujet, ils s’en donnent à cœur joie, avec la complicité de l’AFP :

« Il n’y a aucune différence d’évolution de la charge virale, quel que soit le groupe », explique le 15 octobre à l’AFP Dominique Costagliola, membre du comité de décision de Discovery et directrice de recherche à l’Inserm.

« Sur plus de 300 patients étudiés, dont plus de 150 sous hydroxychloroquine il est clair que l’hydroxychloroquine n’a aucun effet sur la charge virale » ajoute cette spécialiste en recherche clinique.

« L’hydroxychloroquine n’a aucun effet » confirme, par courriel, le 16 octobre, le professeur Bruno Lina, un des responsables de Discovery et membre du Conseil scientifique ».

Et l’AFP conclut en m’enfonçant un poignard dans le dos :

« Affirmer comme sante-corps-esprit, que l’hydroxychloroquine « obtient les meilleurs résultats » dans Discovery est donc faux concernant la charge virale ».

Mais je n’ai JAMAIS dit une chose pareille, car la charge virale est hors sujet !

Je rappelle que Discovery étudie des patients hospitalisés, donc à un stade relativement avancé de la maladie.

A ce moment-là, ce n’est plus tellement le virus qui fait des dégâts, mais une réaction inflammatoire incontrôlée, ainsi que des thromboses et des troubles de la coagulation.

Or l’hydroxychloroquine a des effets reconnus pour régulerl’inflammation, réduire les problèmes de coagulation et limiter les thromboses (dans le lupus).

C’est ce que rappelle un excellent éditorial publié tout récemment dans le prestigieux International Journal of Infectious Disease[7] :

« Pour comprendre les effets positifs de l’hydroxychloroquine obtenus dans les grandes études observationnelles, l’hypothèse d’une action anti-inflammatoire ne doit pas être écartée ».

Donc, parler de charge virale ici est ridicule et hors sujet.

Pourquoi l’AFP le fait, alors ?

Parce que cela leur permet de vous manipuler !

Avec ce segment hors sujet sur la charge virale, l’AFP se permet d’utiliser 5 fois la citation « aucun effet » de l’hydroxychloroquine dans les premières lignes de l’article !

Le lecteur pressé n’y verra que du feu, et pensera que l’hydroxychloroquine n’a pas montré d’effet sur la mortalité ou la sévérité de la maladie !

Et si vous comparez au remdésivir, le médicament à 2 000 euros de Gilead, vous voyez que la mauvaise foi est totale !

Car le remdésivir ne montre pas non plus le moindre effet sur la charge virale dans l’essai Discovery !

C’est assez sidérant, quand on sait que le remdésivir est un anti-viral pur (contrairement à l’hydroxychloroquine qui a un effet anti-inflammatoire) : s’il ne baisse pas la charge virale, il a donc très peu de chances de marcher !

Et pourtant, le 17 juin dernier, c’est bien l’hydroxychloroquine que les auteurs de Discovery décident d’arrêter…

…et le remdésivir du laboratoire Gilead qu’ils décident de continuer à tester – alors que ce médicament n’avait « aucun effet » sur la charge virale !

On aimerait bien savoir pourquoi les auteurs ont pris cette décision « deux poids, deux mesures », mais bizarrement, l’AFP a oublié de leur poser la question !

Ce niveau d’incompétence et de désinformation est grave, très grave de la part de l’AFP.

En publiant un article à charge, l’AFP atteint à mon honneur, ainsi que celui de toute l’équipe de Santé Corps Esprit.

Et surtout, c’est le traitement prometteur du Pr Raoult que l’AFP assassine, une fois de plus !

Alor s’il vous plaît, transmettez cette lettre à tout votre entourage, par email et par les réseaux sociaux.

Rétablissons la vérité, contre ces mensonges médiatiques. Cela n’a jamais été aussi urgent !

PS : pour être 100 % complet, je précise que l’AFP conclut son article avec une autre manipulation.

Elle porte sur une question moins cruciale, mais tout de même intéressante :

Qui a décidé d’arrêter l’étude : Olivier Véran, l’Agence du Médicament, ou les auteurs de Discovery ?

Une fois de plus, l’AFP dit que j’ai « faux », alors que j’ai dit la stricte vérité :

« Pourquoi alors Discovery n’a pas inclus plus de patients pour permettre une telle analyse ? Car « nos autorités sanitaires l’ont interdit ! » ou « n’ont jamais donné le feu vert », assure l’auteur de l’article de santé-corps-esprit.com. Cette affirmation est fausse ».

Je ne comprends pas comment ils osent dire une chose pareille.

C’est un fait incontestable que c’est l’Agence du Médicament qui a décidé de stopper tous les essais cliniques français sur l’hydroxychloroquine, le 26 mai dernier – y compris Discovery.

Cette décision faisait suite à la publication d’un article frauduleux du Lancet, qui concluait faussement au danger de l’hydroxychloroquine.

Et il est clair que cette décision de l’Agence du Médicament a été inspirée par Olivier Véran.

Dès la publication de l’article du Lancet, le ministre a saisi le Haut Conseil pour qu’il revoie sa position sur l’hydroxychloroquine.

Pour le Ministre, c’est une manière habile de se cacher derrière un collège d’experts, mais l’intention était claire.

Et le résultat espéré a eu lieu : l’essai Discovery et les autres essais français sur l’hydroxychloroquine ont tous été stoppés le 26 mai dernier, par une décision de l’Agence du Médicament[8].

Maintenant, que s’est-il passé par la suite ?

Début juin, la fraude du Lancet a éclaté au grand jour, et il n’y avait plus aucun prétexte pour ne pas tester l’hydroxychloroquine.

Logiquement, Le 3 juin, l’Organisation Mondiale de la Santé a décidé de reprendre l’évaluation de ce médicament dans son grand essai Solidarity.

En France, c’est aussi ce qui aurait dû se produire.

De fait, le 4 juin, voici ce qui est annoncé dans la presse :

« Le comité directeur de Discovery (…) va envisager de reprendre les inclusions dans le bras hydroxychloroquine », a indiqué jeudi l’Inserm, qui chapeaute l’étude».[9]

Donc, des experts indépendants ont recommandé de reprendre l’étude sur l’hydroxychoroquine.

Le problème, c’est qu’ils ne peuvent pas le décider de leur propre chef.

C’est l’Agence du Médicament qui a suspendu les essais – elle seule peut les autoriser à reprendre !

Voici au moins deux éléments qui le prouvent :

  • Le communiqué de l’INSERM du 4 juin : « L’hydroxychloroquine pourra être réintroduite dans Discovery après le feu vert des autorités compétentes» (c’est à dire l’Agence du Médicament) [10] ;
  • Et cette déclaration dans le journal Le Monde de Yazdan Yazdanpanah, le père de Discovery : « Il faut attendre l’avis de l’ANSM, mais je ne pense pas que cela pose problème »[11].

Et pourtant, cela a bien dû poser problème.

Car je n’ai trouvé aucune trace, nulle part, d’un avis favorable de l’ANSM à la reprise des essais.

Jusqu’à preuve du contraire, j’avais donc raison de dire que les autorités sanitaires n’ont jamais donné leur feu vert à cette reprise !

Si l’AFP veut me contredire sur ce point, j’attends qu’ils me présentent l’avis de l’ANSM en ce sens !

Ce qui est vrai, c’est que cela n’aurait pas changé grand-chose, car les auteurs de Discovery ont décidé d’eux-mêmes d’arrêter l’hydroxychloroquine, le 17 juin.

Et c’est purement scandaleux :

Arrêt de Discovery : les arguments fallacieux de ceux qui ont pris cette décision

Comment peut-on arrêter de tester l’hydroxychloroquine, qui était en train de montrer une possible baisse de 30 % de la mortalité et de 17 % de la sévérité ?

Évidemment, c’est très, très difficile à justifier.

On peut toujours répondre que ce résultat n’était pas significatif statistiquement, mais comme je l’ai déjà dit, c’est une raison d’inclure davantage de patients, pas d’arrêter l’étude !

Donc, les auteurs de Discovery sont gênés aux entournures pour justifier leur décision du 17 juin.

Alors ils sont allés chercher un « argument » invraisemblable, repris par l’AFP sans le moindre esprit critique :

« La décision d’arrêter les inclusions pour le groupe hydroxychloroquine est prise par la direction de Discovery le 17 juin sur la base des recommandations de son étude mère Solidarity, et non sur un blocage des autorités françaises ».

Voyons ensemble si cela se tient.

Solidarity, c’est le grand essai de l’Organisation mondiale de la Santé, auquel a fini par se raccrocher Discovery.

Selon l’AFP, les auteurs de Discovery auraient décidé d’arrêter de tester l’hydroxychloroquine, au motif que ce traitement n’aurait pas montré d’efficacité dans Solidarity.

Mais cela n’a aucun sens.

Car l’essai Solidarity n’utilise pas du tout les mêmes dosages d’hydroxychloroquine que Discovery.

Dans Solidarity, comme d’ailleurs dans l’essai britannique Recovery, on a donné aux patients des doses toxiques d’hydroxychloroquine !

Tenez-vous bien : ces deux grands essais ont donné à des malades graves 2 grammes d’HCQ le premier jour (et même 2,4 grammes pour Recovery), puis 800 milligrammes par jour[12].

Ce sont des doses dangereuses, quand on sait que le manuel médical de référence recommande l’hospitalisation d’urgence en cas d’ingestion de 2 grammes d’HCQ sur 24 heures !

Alors vous imaginez l’effet que ça peut avoir sur des patients gravement malades de la Covid ?

Avec ces doses toxiques, il n’est pas surprenant que Recovery et Solidarity aient conclu à l’inefficacité de l’hydroxychloroquine.

Mais l’étude Discovery, elle, utilisait des doses raisonnables : 800 mg le premier jour, puis 400 mg.

C’est beaucoup moins que Solidarity… et il était donc absurde de s’appuyer sur les piètres résultats de Solidarity pour arrêter l’hydroxychloroquine dans Discovery.

Surtout que dans Discovery, rappelons-le, les premiers résultats étaient favorables à l’hydroxychloroquine !

Et qu’il n’a jamaisété prévu de s’appuyer sur Solidarity pour prendre la moindre décision !

En réalité, le protocole de Discovery prévoyait d’arrêter l’essai dans seulement deux cas : si un médicament semble dangereux, ou s’il semble manifestement inefficace (« futility »)[13].

Or les résultats préliminaires de Discovery ne remplissent aucune de ces deux conditions, au contraire (avec un intervalle d’efficacité allant jusqu’à 1,81 – bien au-dessus des 1,25 qui était la borne supérieure prévue pour conclure à la « futilité »).

Donc, l’arrêt de l’hydroxychloroquine était stupide, criminel… et contraire au protocole.

Et d’ailleurs, même si je n’ai pas de preuve sur ce point, cela m’étonnerait que le Ministre de la Santé Olivier Véran n’ait pas eu son mot à dire dans l’arrêt de Discovery le 17 juin.

C’est une étude essentiellement française, menée sous l’égide d’un organisme public (l’INSERM), donc il paraît peu probable qu’une décision aussi importante ait été prise sans l’aval du Ministre.

Peut-être qu’on en aura la preuve, avec la perquisition judiciaire qui vient d’être menée au Ministère de la Santé ?

En tout cas, la Justice est notre dernier espoir d’obtenir la vérité sur cette affaire.

Car manifestement, les médias officiels, comme l’AFP, ont décidé de l’étouffer.

Et au passage, de vous désinformer.

Voilà pourquoi il est urgent de réagir : transmettez cette lettre vérité à tous vos contacts !

Sources:

[1] https://factuel.afp.com/non-lessai-clinique-discovery-ne-demontre-pas-la-superiorite-de-lhydroxychloroquine-comme-traitement

[2] https://planetes360.fr/didier-raoult-je-voudrais-bien-que-des-journalistes-dinvestigations-interrogent-les-gens-responsables-de-ces-essais/

[3] https://www.sante-corps-esprit.com/leffroyable-puissance-tentaculaire-de-gilead/

[4] https://www.sante-corps-esprit.com/alerte-journal-20-minutes-intox/

[5] https://c19study.com/c19study.pdf

[6] https://twitter.com/joex92_/status/1313825883581566979

[7] https://www.ijidonline.com/article/S1201-9712(20)32236-0/fulltext

[8] https://www.ansm.sante.fr/S-informer/Points-d-information-Points-d-information/COVID-19-l-ANSM-souhaite-suspendre-par-precaution-les-essais-cliniques-evaluant-l-hydroxychloroquine-dans-la-prise-en-charge-des-patients-Point-d-Information

[9] https://www.20minutes.fr/monde/2792623-20200604-coronavirus-etude-europeenne-discovery-envisage-reprendre-tests-hydroxychloroquine

[10] https://presse.inserm.fr/lhydroxychloroquine-pourra-etre-reintroduite-dans-discovery-apres-le-feu-vert-des-autorites-competentes/39700/

[11] https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/06/03/l-oms-reprend-ses-essais-sur-l-hydroxychloroquine-comme-traitement-potentiel-contre-le-coronavirus_6041672_3244.html

[12] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20209817v1.full.pdf

[13] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7507250/

Source : https://www.sante-corps-esprit.com/ma-bombe-sur-letude-discovery-ne-plait-pas-a-tout-le-monde-voici-ma-reponse/#sources

Gestion des épidémies

Gestion des épidémies

Un ami médecin, fidèle lecteur de Profession-Gendarme, nous transmet un très long document de 84 pages que nous n’allons pas vous « imposer » ici.

Néanmoins ce document semble très intéressant aussi nous le mettons à la disposition de celui  qui veut vraiment s’informer.

N’oublions pas que :

« c’est un devoir en tant que citoyen du monde de nous tenir informer » 

« En ne respectant pas notre droit de savoir les médias assassinent la liberté d’informer. »

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21 oct. 2020   –   # pages : 84

1. Résumé
 1.1. Version courte (3 points)
 1.2. Version longue (15 points)
2. Introduction
 2.1. Auteur
 2.2. Objectif
 2.3. Conseils de lecture
3. Modèles mathématiques
 3.1. Principes
 3.2. Limites des modèles mathématiques
 3.2.1. Stochasticité
 3.2.2. Sensibilité
 3.2.3. Irréductibilité
 3.2.4. Réalité
 3.3. Modèles et idéologies
 3.3.1. Interprétations abusives
 3.3.2. Neil Ferguson
4. Modèle SIR
 4.1. Système d’équations
 4.2. Hypothèses
 4.3. Taux de reproduction
 4.4. Immunité collective
 4.5. Stratégies
 4.6. Hospitalisations
 4.7. Décès
 4.8. Valeur scientifique du « R zéro »
 4.8.1. Le fumigène R0
 4.8.2. Calcul du R0
 4.8.3. Utilisations du R0
5. SIR et la grippe
6. SIR et covid-19
 6.9. Paramétrage en début de confinement
 6.10. Paramétrage en fin de confinement
 6.11. Rebond de l’enfermement cognitif
 6.12. Typologie des facteurs d’inefficacité
7. Stratégies anti-épidémiques
 7.1. Principes de gestion anti-épidémique
 7.2. Immunité
 7.2.1. Immunité individuelle
 7.2.2. Immunité collective
 7.3. Stratégie non pharmaceutique (SNP)
 7.3.1. Principes
 7.3.2. Efficacité de la SNP
 7.3.3. Effets pervers de la SNP
 7.3.4. Conclusion
 7.4. Stratégie pharmaceutique (SP)
 7.4.1. Traitements
 7.4.2. Tests
 7.5. Principe de précaution
 7.6. Quelle stratégie appliquer ?
8. Indicateurs et suivi épidémique
 8.1. Ressources
 8.2. Définitions
 8.3. Mesure
 8.3.1. Infections
 8.3.2. Hospitalisations
 8.3.3. Dècès
 8.3.4. Comparaisons internationales
 8.3.5. Évolution temporelle
 8.3.6. Conclusion
9. Covid-19 : analyse statistique
 9.1. Charge hospitalière
 9.2. Mortalité toutes causes
 9.3. Différences entre pays
10. Covidisme
 10.1. Principes
 10.2. Forces politiques
 10.2.1. Presse
 10.2.2. Scientifiques
 10.2.3. OMS
 10.2.4. Gouvernements
 10.3. Forces économiques
 10.3.1. Pharma et Data business
 10.3.2. Atlantisme anti-chinois
 10.4. Forces idéologiques
 10.4.1. Sanitarisme
 10.4.2. Écologisme
11. Neutraliser le covidisme
 11.1. L’action individuelle
 11.2. L’action collective
 11.2.1. Actions pour réaliser l’objectif à court terme
 11.2.2. Méthodologie des com-K
 11.2.3. Objectif à long terme

Résumé

https://konfedera.org/gestion-epidemies#resume

Version courte (3 points)

  • Les modèles épidémiologiques prévisionnels sont bancals et surestiment dans des proportions gigantesques le risque épidémique et infectiologique.
  • Les effets de l’imposition de la stratégie non pharmaceutique (SNP : confinement, distanciation, masque, lavages) à l’ensemble de la population sont illusoires : il n’a jamais pu être démontré qu’une telle politique draconienne aurait effectivement pour effet de reculer et abaisser le sommet de la courbe épidémique.
  • Les effets pervers de la SNP ajoutent une surmortalité à la mortalité saisonnière habituelle.

Version longue (15 points)

  1. Officielle. La thèse officielle concernant l’épidémie de covid-19 est la suivante : covid-19 est un virus nouveau. Il en résulte que (i) il n’existe ni médicament spécifique ni vaccin ; (ii) personne n’est immunisé (absence d’anticorps) ⇒ il n’existe pas de barrière physiologique à sa propagation, qui est alors rapide. Par conséquent, pour éviter le risque de surcharge du système hospitalier, il faut imposer le port du masque voire le confinement des populations, ce qui aura pour effet de retarder et d’abaisser le sommet de la courbe épidémique. On gagnerait ainsi du temps pour augmenter la capacité hospitalière et développer des médicaments/vaccins spécifiques avant le pic épidémique.
  2. Réfutation. La thèse officielle peut à priori sembler imparable, et pourtant un simple fait démontre qu’elle est totalement erronée : en 2020 cela faisait plus d’un siècle qu’on avait imposé la SNP aux populations lors des régulière pandémies de virus « nouveaux ». Et cela pour des raisons évidentes :
    • on sait aujourd’hui qu’une partie de la population est immunisée de naissance et/ou par immunité croisée, de sorte que l’immunité collective serait nettement plus élevé que celle mesurée par les tests sérologiques spécifiques à SARS-CoV-2 ⇒ le seuil d’immunité collective serait donc atteint beaucoup plus rapidement que supposent les prévisions catastrophistes ;
    • certains médicaments non spécifiques sont efficaces ;
    • il est n’est pas possible de développer les capacités hospitalières de façon substantielle et des médicaments/vaccins spécifiques réellement efficaces en moins de dix ans.
    • pour freiner substantiellement la propagation d’un virus le coût des mesures à appliquer (confinement, distanciation, masques, lavages) est tellement élevé que même en milieu hospitalier – pourtant équipé de tout le matériel nécessaire et où les règles sanitaires sont strictement appliquées par des professionnels avec un haut niveau de formation – on n’arrive pas à neutraliser les infections nosocomiales ; de nombreuses mesures sanitaires en milieu hospitalier sont en réalité appliquées pour des raisons juridiques et d’image de marque (la concurrence joue aussi dans le secteur hospitalier).
  3. Extinction. Les épidémies ont une évolution dont la courbe a la forme d’une cloche, ce qui signifie qu’au début elles montrent en général une croissance exponentielle. Or toutes les épidémies s’éteignent naturellement (plus exactement disparaissent des « radars statistiques ») avant d’avoir contaminé 100% de la population. Et la plupart avant même d’avoir atteint le taux théorique d’immunité collective, pour des raisons encore inconnues mais très probablement liées au virus lui-même et/ou aux écosystèmes dans lesquels il évolue.
  4. Modèles. Le recours à des modèles mathématiques à des fins de suivi épidémique et de prévision est irrationnel car :
    • dans le cas des virus « nouveaux », leur paramètres sont inconnus et ne peuvent être correctement évalués en temps réel (c-à-d en cours d’épidémie) en raison de biais de mesure ne pouvant être corrigés qu’au moins douze mois après le début de l’épidémie;
    • quant aux virus en général, c-à-d connus ou non, leurs caractéristiques (les valeurs attribuées aux paramètres des modèles) ne sont pas stables dans le temps (voire même non plus dans l’espace), en raison de la nature écosystémique et complexe des phénomènes infectiologiques.
    On constate d’ailleurs une très forte propension de ces modèles à produire des « prévisions » qui s’avèrent in fine de gigantesques surestimations du taux de mortalité des épidémies.
  5. Rebonds. En raison de biais statistiques et de mesure, induisant généralement une forte surestimation de la gravité épidémique, le nombre de cas positifs est un très mauvais indicateur épidémique. Notamment il suffit que le nombre de tests augmente (par exemple suite à la surmédiatisation de « prévisions » catastrophiques) pour qu’augmente le nombre de « cas positifs ». D’autre part, en raison de la très grande difficulté de distinguer entre décès par le virus et décès avec le virus, le meilleur indicateur, aussi bien pour mesurer l’évolution que la létalité d’une épidémie, c’est la mortalité toutes causes (en fonction de la population totale). Or celle-ci révèle une situation qui ne diffère pas substantiellement des années précédentes. En outre sa forme sinusoïdale montre que les rebonds annuels sont habituels et s’expliquent par l’influence du facteur saisonnier (notamment la température et l’humidité) sur la répartition annuelle des décès.
  6. Surmortalité. En Europe, région du monde la plus touchée par covid-19, la mortalité toutes causes sur l’ensemble de l’année 2020 aurait probablement été la plus basse des quatre dernières années s’il n’y avait eu les décès attribués à covid-19, mais principalement causés par les effets pervers de la stratégie non pharmaceutique (SNP : confinement, distanciation, masques, lavages).
  7. Causes. Les pouvoirs médiatique, académique et politique ne s’en sont jamais cachés : pour qu’un maximum de gens appliquent les mesures de la SNP il faut apeurer à la population (sic). La SNP implique donc la terreur, or celle-ci provoque de graves effets délétères :
    • la panique, qui inhibe les capacités cognitives :
      • des décideurs politiques : ainsi pour libérer des lits d’hôpitaux en prévision d’une prétendue « possible explosion » (sic) du nombre de malades sévères de la covid-19 il a été décidé d’isoler un maximum de vieillards dans les maisons de repos … qui ne disposent ni du matériel ni de personnel pour soigner les cas graves;
      • des médecins hospitaliers : ainsi plus de 50% de la mortalité hospitalière attribuée à covid-19 serait causée par les intubations abusives.
    • le stress psychique, qui inhibe le système immunitaire (NB : ces effets sont démultipliés par l’isolement qu’implique le confinement général);
    • la peur de la contamination, qui inhibe la demande et l’offre de services médicaux.
    D’autre part des effet d’entraves ont encore accru la mortalité attribuée à covid-19 :
    • dans certains pays une réglementation médicale décourageant voire interdisant l’utilisation de médicaments « non spécifiques » ;
    • le confinement général entrave la production & distribution de biens et services indispensables à la lutte contre l’épidémie (médicaments, respirateurs, …) ;
    • il y a une corrélation forte entre PIB et mortalité : la baisse du développement économique provoque systématiquement une hausse de la mortalité.
  8. Précaution. L’invocation du principe de précaution par les conseillers scientifiques de nombreux gouvernements pour « justifier » l’imposition de la stratégie préventive dite « non pharmaceutique » (SNP : confinement, distanciation, masques, lavages) est fallacieuse. En effet le principe de précaution ne consiste pas à appliquer une mesure incertaine sous prétexte qu’elle pourrait peut-être fonctionner, mais au contraire à ne pas appliquer une mesure sans être certain que ses effets pervers ne l’emportent pas sur ses supposés effets positifs.
  9. Dépistage. Le dépistage est utile mais très coûteux :
    • en termes financiers ⇒ il doit être limité aux groupes à risque;
    • en termes démocratiques ⇒ information sans coercition (donc pas de traçage).
  10. Médias. Au cours des dernières décennies, comme de tout temps, des virus considérés comme « nouveaux » se sont répandus sur la quasi totalité de la planète (pandémie). Dans la plupart des cas on a également assisté à une hystérie collective, mais jamais avec une intensité telle que pour covid-19. La perte d’audience des médias « d’information », suite à la concurrence d’Internet, pousse ces entreprises à toujours plus de catastrophisme afin de booster l’audimat. Pour ce faire elles n’ont aucune peine à trouver des scientifiques prêts à cautionner le catastrophisme afin de briller sous les spotlights des plateaux TV, ou encore des médecins hospitaliers pour qui le catastrophisme est l’occasion de revendiquer plus de financement public.
  11. Big pharma. Des articles scientifiques sérieux qui réfutent la vision catastrophiste de la situation sont censurés tandis que des articles d’une médiocrité manifeste sont publiés par les revues scientifiques les plus reconnues. Ces articles propagent des affirmations mensongères : prévisions catastrophistes, prétendue absence de traitement, prétendue efficacité de la SNP. Cela n’est pas étranger au fait que de nombreux chercheurs sont intoxiqués par des sources d’informations « scientifiques » produites par l’industrie pharmaceutique, et souvent ont carrément des conflits d’intérêt avec celle-ci.
  12. Surfeurs. D’autres forces économiques ou politiques ont pu « surfer » sur la vague médiatique, et ainsi l’amplifier, en considérant de façon délirante que le coût économique de la SNP est inférieur aux gains récurrents d’un changement de paradigme économique permis par le choc émotionnel :
    • la croyance écologiste dans la nécessité d’imposer une décroissance économique a facilité l’avènement du covidisme ;
    • le potentiel financier et politique du « Big data » est tel (il concerne la quasi totalité des secteurs économiques) que de très fortes pressions ont pu être exercées sur les décideurs politiques afin que ceux-ci exploitent la vague médiatique catastrophiste pour amener les populations à accepter le traçage de leur vie privée ;
    • alors que jusqu’au début des années 2000 le libre-échange international était la pierre angulaire de l’idéologie atlantiste, on assiste à un rétro-pédalage intégral de la part des pays atlantistes depuis que cette logique se retourne contre eux (concurrence de la Chine) ⇒ la théorie du « nouveau risque épidémique » est l’occasion de « justifier » ce revirement idéologique.
  13. Démocratie. Étant donné que l’on découvre régulièrement de « nouveaux » virus en raison du développement des techniques de détection, il en résulte logiquement que si les populations ne se révoltent pas contre la SNP et le traçage de nos relations, ces pratiques irrationnelles deviendront la norme. Prenons garde que ne s’installe un peu partout sur la planète des régimes qui, au nom de la protection d’autrui ou de l’environnement, justifieraient notamment le traçage des individus, les vaccins obligatoires et la répression de la contestation.
  14. Responsabilités. Dans le délire collectif autour de covid-19 il y a une immense responsabilité des entreprises « d’information » ainsi que des scientifiques qu’elles médiatisent. D’autre part de nombreux scientifiques conscients de la supercherie ont fait preuve de suivisme en se taisant (ce qui n’est pas sans rappeler la coupable passivité de l’élite allemande lors de la montée en puissance du nazisme durant les années 1930).
  15. Réaction. Des psychoses telles que celle de 2020 se reproduiront s’il n’y a pas de prise de conscience :
    • au niveau individuel : de la nuisibilité de l’info-dépendance;
    • au niveau collectif : de la nécessité d’une prise de contrôle démocratique des moyens de production de l’information et du savoir.

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et en ajoutant le texte de présentation :
Étude sur l’exploitation médiatique, commerciale ou politique de la peur, et sur l’avènement d’un totalitarisme « sanitaire ».

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Pour lire la suite : Konfedera.org – gestion-epidemies

Source : http://www.profession-gendarme.com/gestion-des-epidemies/

Les 7 péchés scientifiques de la crise sanitaire

Les 7 péchés scientifiques de la crise sanitaire

La crise sanitaire qui secoue la planète met en lumière une désinformation massive sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Cette désinformation est facilitée par la digitalisation et la paresse intellectuelle d’une grande partie de la population, terrorisée par un sujet qu’elle ne maitrise pas.  Basé sur des opinions et 7 péchés ou fraudes scientifiques majeurs, le matraquage médiatico-politique mérite un décryptage raisonné, dépassionné.
Examinons les faits et les réalités scientifiques.

Péché scientifique, quel diable se cache derrière ces fraudes ?

1. Une maladie pas si dramatique

  • Taux de mortalité très faible (– de 0.5% des malades et seulement quelques % de malades, i.e. que 99,9 % de la population ne présente aucun risque de mortalité du Covid sur la base de faits avérés depuis un an et non sur la base de projections mathématiques fantaisisistes des universités financées par l’industrie !)
  • Taux de comorbidité très élevé (+90%)
  • Mortalité très majoritairement liée aux séniors affaiblis et aux forts immunodéprimés (malades chroniques, diabète, obésité, inactivité physique, etc.)
  • Aucune surmortalité constatée !
  • Le taux de mortalité est le seul indicateur de la gravité d’une pandémie. [0]

Il y a 99,7% des gens qui sont ni positifs, ni malades.
– Dr Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’Inserm, le 5 octobre sur Sud Radio [8]

2. BigPharma, conflit d’intérêts et illégitimité scientifique

  • Les industriels de la chimie-pharmacie-énergie financent l’OMS (80% du budget), les experts scientifiques, les politiques, les médias…[1]
  • La pharmacie et la médecine ne sont pas des sciences. Elles ignorent l’essentiel des mécanismes de fonctionnement du vivant – physique quantique, électromagnétisme, épigénétique, rôle de l’eau et du codage de l’information, principe de contagion, etc.
  • Leur infirmité à remettre en cause les fausses croyances du 19ème siècle sur les microbes en font des religions, non des sciences.[2]
  • Comment résoudre l’équation santé-maladie-guérison quand on ignore 90% des paramètres en jeu ?

3. Le virus est avant tout une conséquence et non une cause

  • La théorie des microbes de Pasteur et Koch au 19ème siècle, largement admise mais jamais démontrée, a été prouvée fausse par le Pr Béchamp et d’autres : les virus et bactéries sont créés par chaque être vivant dans un cadre d’adaptation-régulation pour éliminer et servir de messager. Ils sont donc une conséquence et moins une cause des maladies infectieuses.[3]
  • Le corps humain comporte 500 000 milliards de microbes pour 50 000 milliards de cellules et Pasteur croyait le corps stérile ! [4]
  • Les tests PCR, peu fiables sont donc totalement inutiles, car virus et anti-corps ne sont pas systématiquement synonymes de maladie. C’est le B.A.ba de la connaissance médicale. [5]

Il est impossible de calculer le niveau d’exactitude (du test PCR), je dirais donc que la marge d’erreur est de 100% pour ce test.
– Dr Andrew Kaufman,  23/08/2020 [5]

4. La contagion est avant tout ondulatoire

  • Une cellule est sensible et réagit à son environnement par des signaux :
    • Vibratoires, énergétiques et en particulier électromagnétique dont la vitesse de propagation est de 300 000 km/s,
    • Chimiques, donc physiques, dont la vitesse de propagation est de moins de 1 cm/s !
  • Le contact physique n’est pas nécessaire pour influencer la vie d’une cellule [6]
  • La joie, la peur, le rire, l’amour n’ont pas besoin de contact physique pour être contagieux.

5. Un masque inutile et contreproductif

  • Le virus n’est pas la cause, la contagion est avant tout vibratoire et mécaniquement un masque ne peut arrêter un virus dont la taille est largement inférieure à celle de la maille du filet, de quoi protège donc le masque ?
  • Le masque arrête très bien les bactéries et les empêche d’être éliminées par le nez et la bouche. Il devient donc un nid à bactéries qui prolifèrent dans ce milieu chaud et humide pour être réinjectées dans le corps, bloquant ainsi une partie de sa phase d’élimination/ménage indispensable à la santé. [7]

Le confinement[…] ils sont complètement fous. Ca n’existe pas en matière d’épidémiologie. […] C’est une innovation.
– Dr Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’Inserm, le 5 octobre sur Sud Radio [8]

6. Un confinement inutile et contreproductif

  • La maladie dépend surtout de l’état de santéforce/faiblesse du système immunitaire – lié au mode de vie d’un individu.
  • Priver des gens sains de leurs libertés, de s’aérer, d’être joyeux, de faire de l’exercice physique, d’avoir des relations et des contacts physiques est le meilleur moyen d’affaiblir le système immunitaire.
  • Le Pr Didier Raoult a conclut selon ses données que les gens confinés avaient été plus touchés que les gens non confinés.
    La Suède a prouvé par ailleurs que le confinement était inutile.
    Attention à ne pas commettre cette fraude scientifique classique qui consiste à ne considérer qu’un seul paramètre pour expliquer un mécanisme multifactoriel comme la santé. Si le contre-exemple peut démonter une théorie, aucune justification scientifique ne peut se faire en considérant un seul facteur corrélé : par exemple, l’Asie et son port du masque…

Il n’existe aucune relation entre l’intensité de ce confinement dans les 188 pays du monde qui l’ont utilisé, ou pas utilisé, et le taux de mortalité à la fin.
– Pr Jean-François Toussaint, in Conférence Futurapolis Santé, octobre 2020 [0]

7. La Peur est le p lus grand Virus

  • Il n’y a pas de plus grand virus que la peur, en particulier la peur de la mort. [8]
  • Les cellules sont directement sensibles à nos pensées et angoisses. Réalité scientifique encore ignorée de la plupart des médecins.
  • La peur paralyse l’esprit critique, interdit toute lucidité et favorise toutes les maladies. Le surplus d’énergie absorbée par le cerveau pour gérer ce type d’émotion ne permet plus au corps-esprit de disposer de suffisamment d’énergie pour toutes ses autres fonctions, dont réflexion, mais aussi créativité, amour, assimilation, régénération, etc.

Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé.
– Albert Einstein, physicien et théoricien, 1879-1955 

Les fraudes scientifiques sont devenues une pratique courante et nécessaire pour les lobbies industriels qui financent et contrôlent politiques et médias.

Aussi, l’ignorance du citoyen ne constitue en aucun cas un obstacle à la Vie et au bonheur si ce dernier conserve comme horizon le respect de la nature et du vivant, contraire aux intérêts des lobbies.
Cette ignorance devient par contre l’alliance des manigances et de la maltraitance dès lors qu’elle cautionne par aveuglement idéologique tous les ingrédients de la dictature dite sanitaire : censure, désinformation, privation des libertés fondamentales, interdiction de tout débat contradictoire,  répression policière, destruction de l’économie, maltraitance et affaiblissement de la santé par l’isolement, la terreur et l’interdiction de s’exprimer.

N’est-il pas venu le temps d’abandonner ses préjugés ? D’observer les faits ? De sortir de sa torpeur idéologique et médiatique ? De découvrir les vraies sciences du vivant ? De réfléchir ?

Quel est le réel danger ? Une maladie très peu mortelle, qui ne touche durement que les plus faibles et pour laquelle des traitements existent ? Ou une dictature au prétexte d’obscurantisme scientifique du 19ème siècle ?

Quelle est ma responsabilité de citoyen pour protéger la santé, les libertés et surtout, le respect de la nature et du vivant ?

Ressources

[0] Dr Louis Fouché, médecin réanimateur remet à sa place la maladie Covid, https://youtu.be/e8MvH7oCzE0

Futurapolis Santé : Pr Jean-François Toussaint, Comment suivre l’épidémie et anticiper son évolution, https://youtu.be/rNx49oIadug

[1] L’influence des lobbies sur les gouvernements : https://lecourrier-du-soir.com/corruption-au-sommet-de-letat-le-conseil-de-leurope-denonce-linfluence-des-lobbys-sur-macron/

Les conseillers des politiques reçoivent des rémunérations et avantages de la part des industriels de la pharmacie : https://www.medias-presse.info/coronavirus-neuf-experts-de-macron-sont-lies-financierement-a-lindustrie-pharmaceutique-qui-veut-nous-vendre-un-vaccin-obligatoire/

Faut-il s’inquiéter des liens entre laboratoires pharmaceutiques et conseils scientifiques ? https://www.marianne.net/societe/118000-euros-de-msd-116000-euros-de-roche-faut-il-s-inquieter-des-liens-entre-labos-et

Les experts du conseil scientifique sont payés par les industriels : http://jlduret.ecti73.over-blog.com/2020/07/france-soir-publie-la-liste-des-professeurs-payes-par-gilead.ils-sont-tous-contre-la-chloroquine-et-contre-le-professeur-raoult.html

Reportage Arte sur l’OMS, « L’OMS dans les griffes des lobbies » : https://youtu.be/N-mL9gX9gws

Pr. Perronne sur RMC: « Un grand délire instrumentalisé par Big Pharma » ! https://www.youtube.com/watch?v=Fco3WUEVbjM&t=315s

[2] Le Pr Marc Henry, scientifique, « Homéopathie, médecine, science, ignorance » https://www.aimsib.org/2020/01/26/homeopathie-medecine-science-et-ignorance-lavis-du-professeur-marc-henry/

[3] Pr Antoine Béchamp, Dr en médecine et en chimie, agrégé de pharmacie. Ses 30 ans de recherche scientifique ont mis en évidence les microzymas, contredisant les fausses théories de Louis Pasteur et Robert Koch.

Cf Dr Eric Ancelet, « Pour en finir avec Pasteur – Un siècle de mystification scientifique », collection Résurgence, Testez éditions

[4] Le microbiome – bactéries, virus, levures et protozoaires – se compose de 10 fois plus de microbes que de cellules. L’ organisme n’est pas stérile, retour sur un siècle d’erreurs scientifiques : https://www.aimsib.org/2019/03/10/et-si-notre-organisme-netait-pas-du-tout-sterile-un-siecle-derreurs-scientifiques/

L’OMS a propos de la contagion sur les porteurs asymptomatiques : https://youtu.be/3-mVxsE6BoE

[5] David Mendels, Dr en physique, à propos des tests sanguins et PCR, https://youtu.be/vrjmY_ffgAg

David Icke, journaliste d’investigation et Dr Andrew Kaufman, « Pourquoi 85% des positifs sont asymptomatiques », la supercherie des tests PCR https://archive.org/details/test-pcrcovid-le-8…-icke-…rien-ne-va-plus

Dr Reiner Fuellmich – avocat – : COVID-19 et tests PCR, le scandale de la fraude Corona https://youtu.be/TRW4EMl16Do

Le Journal Le Monde tente de nier les faits évoqués par le Dr Reiner Fuellmich et par le Dr Andrew Kauffman avec des affirmations totalement gratuites pour discréditer les propos de crime contre l’humanité. Aucune source n’est citée, aucun conflit d’intérêt n’est cité, aucune transparence dans les affirmations et aucune référence à des vrais scientifiques – et non des médecins ou « scientifiques » de l’industrie pharmaceutique – ne sont cités. Alors simple absence de rigueur et de logique ou grossière manipulation du journal Le Monde dont le principal mécène est Bill Gates ?
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/10/13/les-quatre-erreurs-majeures-d-une-video-qui-minimise-la-crise-du-covid-19_6055889_4355770.html

Le prix Nobel de chimie de 1983, le Dr Kary Bank Mullis, inventeur du test PCR, reconnaissait que son test était pour qualifier et non quantifier la présence d’un virus.
http://www.profession-gendarme.com/covid-19-au-plus-pres-de-la-verite-tests-et-immunite/

Une fois de plus, le Journal Le Monde désinforme et jette le discrédit sur ceux qui remettent en cause le test PCR avec des affirmations et conclusion totalement gratuites et sans fondement scientifique. Rappelons, qui plus est, que la présence de virus et d’anti-corps ne signifie pas maladie. Considérer que le nombre de tests positifs est synonyme de maladie est une escroquerie qui sert les intérêts de ceux qui financent le journal Le Monde, notamment Bill Gates, également premier « mécène » privé de l’OMS.
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/10/07/l-inventeur-du-test-pcr-n-a-pas-dit-que-sa-methode-etait-inefficace-pour-detecter-les-virus_6055091_4355770.html

Pr Jean-François Toussaint, 14/09, 9 positifs sur 10 ne sont certainement pas contagieux, https://youtu.be/dobk1WhOcZg

[6] Cf Dr Bruce Lipton, un des pères de l’épigénétique, in « Biologie des croyances », éditions Ariane

[7] S’il n’existe aucune preuve scientifique de l’intérêt du port du masque, de nombreux scientifiques contestent avec des faits son utilité, soulignant même sa dangerosité :

[8] Dr Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’Inserm, invité du Grand Matin Sud Radio, le 5 octobre, « Dès qu’un indicateur n’est pas assez anxiogène, ils changent d’indicateur ! »
https://youtu.be/HAy8IUT2KSE

A propos de désinformation, une vidéo censurées de médecins américains qui dénoncent le caractère alarmiste de la maladie : https://cutt.ly/6fA6zxI

Source : https://etre-vivant.fr/7-peches-fraudes-scientifiques-crise-sanitaire/

Coronavirus : L’OMS revient sur sa position concernant le virus en condamnant les mesures de confinement

Coronavirus : L’OMS revient sur sa position concernant le virus en condamnant les mesures de confinement

Les confinements ont été utilisés pour contrôler le coronavirus dans le monde entier. Un responsable de l’OMS a remis en question leur succès.

L’Organisation mondiale de la santé est revenue sur sa position initiale sur le COVID-19 après avoir demandé aux dirigeants mondiaux de cesser de confiner leurs pays et leurs économies.

Le Dr David Nabarro, de l’OMS, a lancé un appel aux dirigeants mondiaux hier, leur disant de cesser « d’utiliser le confinement comme principale méthode de contrôle » du coronavirus.

Il a également affirmé que la seule chose que les mesures de confinement ont permis d’obtenir est la pauvreté, sans aucune mention des vies potentielles sauvées.

« Les confinements ont une seule conséquence qu’il ne faut jamais rabaisser, c’est-à-dire rendre les pauvres beaucoup plus pauvres », a-t-il déclaré.

« Nous, à l’Organisation mondiale de la santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle de ce virus », a déclaré le Dr Nabarro au journal The Spectator.

« La seule fois où nous pensons qu’un confinement est justifié, c’est pour vous permettre de gagner du temps pour vous réorganiser, vous regrouper, rééquilibrer vos ressources, protéger vos agents de santé qui sont épuisés, mais dans l’ensemble, nous préférons ne pas le faire. »

La principale critique du Dr Nabarro à l’égard des confinements concernait l’impact mondial, expliquant comment les économies les plus pauvres avaient été indirectement touchées.

« Il suffit de voir ce qui est arrivé à l’industrie du tourisme dans les Caraïbes, par exemple, ou dans le Pacifique parce que les gens ne prennent pas leurs vacances », a-t-il déclaré.

« Regardez ce qui est arrivé aux petits exploitants agricoles dans le monde entier. … Regardez ce qu’il advient des niveaux de pauvreté. Il semble que nous pourrions bien voir la pauvreté mondiale doubler d’ici l’année prochaine. Il se pourrait bien que la malnutrition infantile ait au moins doublé. »

Le confinement de Melbourne a été salué comme l’un des plus stricts et des plus longs au monde. En Espagne, en mars, les gens n’étaient pas autorisés à sortir de la maison, sauf pour promener leur animal de compagnie. En Chine, les autorités ont soudé les portes fermées pour empêcher les gens de quitter leur maison. L’OMS estime que ces mesures étaient largement inutiles.

Le Dr Nabarro préconise plutôt une nouvelle approche pour contenir le virus.

« Et donc, nous lançons un véritable appel à tous les dirigeants du monde : arrêtez d’utiliser le confinement comme principale méthode de contrôle. Développez de meilleurs systèmes pour le faire. Travaillez ensemble et apprenez les uns des autres. »

Son message est opportun. En début de semaine, en première mondiale, un certain nombre d’experts de la santé du monde entier se sont réunis pour demander la fin du confinement.

Ils ont créé une pétition, appelée « Déclaration de Great Barrington », qui affirme que les confinements causent des « dommages irréparables ».

« En tant qu’épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques de la santé publique, nous sommes très préoccupés par les effets néfastes sur la santé physique et mentale des politiques COVID-19 en vigueur, et nous recommandons une approche que nous appelons la protection ciblée », peut-on lire dans la pétition.

« Les politiques actuelles de confinement produisent des effets dévastateurs sur la santé publique à court et à long terme. »

La pétition a reçu 12 000 signatures jusqu’à présent.

Elle a été rédigée par Sunetra Gupta de l’université d’Oxford, Jay Bhattacharya de l’université de Stanford et Martin Kulldorff de l’université Harvard.

Interrogé sur la pétition, le Dr Nabarro n’a eu que de bonnes choses à dire. « Point très important du professeur Gupta », a-t-il déclaré.

Lire aussi : La Suède est proche de la victoire sur le coronavirus ; elle n’a jamais eu de confinement ou de masque

Source : News.com.au – Traduit par Anguille sous roche

L’Observatoire des droits de l’homme déclare que les gouvernements exploitent la pandémie pour réprimer la dissidence en ligne

L’Observatoire des droits de l’homme déclare que les gouvernements exploitent la pandémie pour réprimer la dissidence en ligne

Les gouvernements du monde entier exploitent la pandémie actuelle pour réprimer la dissidence en ligne, selon un organisme de surveillance des droits de l’homme.

Freedom House, basé à Washington, a déclaré que des dizaines de pays ont cité le Covid comme un moyen “de justifier des pouvoirs de surveillance étendus et le déploiement de nouvelles technologies autrefois considérées comme trop intrusives”. Ils ont ajouté qu’il s’agit du dixième déclin annuel consécutif de la liberté de l’internet, a rapporté Barron’s.

L’expansion des systèmes technologiques permet le contrôle social des gouvernements, selon le rapport.

“La pandémie accélère la dépendance de la société aux technologies numériques à un moment où l’internet devient de moins en moins libre”, a déclaré Michael Abramowitz, président du groupe à but non lucratif.

“Sans garanties adéquates pour la vie privée et l’État de droit, ces technologies peuvent facilement être réorientées vers la répression politique”.

La Chine a été pointée du doigt dans le rapport, notant que les autorités chinoises “ont combiné des outils de basse et de haute technologie non seulement pour gérer l’épidémie de coronavirus mais aussi pour dissuader les internautes de partager des informations provenant de sources indépendantes et de contester le récit officiel”.

Selon le rapport, cela montre une tendance croissante à l’”autoritarisme numérique” de type chinois dans le monde entier et un “éclatement” de l’internet, chaque gouvernement imposant ses propres réglementations aux citoyens.

Freedom House a déclaré que sur les quelque 3,8 milliards de personnes qui utilisent l’internet, seuls 20 % vivent dans des pays où l’internet est libre, 32 % dans des pays “partiellement libres”, tandis que 35 % se trouvent dans des endroits où les activités en ligne ne sont pas libres. Les autres vivent dans des pays qui ne font pas partie des 65 pays évalués.

Le rapport fait état d’un recul dans les pays où les autorités ont imposé des fermetures d’Internet, notamment au Myanmar, au Kirghizstan et en Inde, ainsi qu’au Rwanda pour son utilisation de “logiciels espions sophistiqués pour surveiller et intimider les dissidents en exil”.

Activist Post a déjà signalé que des pays utilisaient la pandémie pour fermer l’accès à la dissidence en ligne en mai de cette année. Il a déclaré que les gouvernements du monde entier utilisaient les fake news pour se cacher derrière leurs efforts de censure en ligne.

La Hongrie est l’un des pays qui ont commencé à arrêter des citoyens pour avoir prétendument diffusé de fausses nouvelles liées à la pandémie de Covid, comme l’avait ordonné le Premier ministre Viktor Orban.

La Hongrie n’est pas le seul pays qui utilise la crise du Covid pour imposer des lois draconiennes à ses citoyens. Activist Post avait déjà signalé, au début de la crise du Covid, que deux personnes avaient été arrêtées par le nouveau “Anti-Fake News Center” de Thaïlande pour avoir diffusé de fausses informations sur le coronavirus. La Malaisie a également procédé à quatre arrestations de ses citoyens pour diffusion de rumeurs et “désinformation”, selon un rapport du South China Morning Post de Hong Kong. Parmi ces “suspects” figuraient un tuteur, deux assistants en pharmacie et un étudiant universitaire qui, s’il est reconnu coupable, sera passible d’une amende de 12 000 dollars et d’une peine de prison pouvant aller jusqu’à un an.

Ensuite, il y a la Chine, qui a arrêté 8 personnes qui ont été accusées d’avoir répandu des rumeurs sur le virus avant que le coronavirus ne soit connu du public. Au-delà de cela, la Chine a récemment mis en évidence ce que l’on peut faire avec une telle loi en censurant un média, Caijing, qui est l’un des plus réputés du pays. Dans cet article, les auteurs affirment que la Chine sous-estime considérablement le nombre de cas et de décès, en particulier chez les personnes âgées. (archives) (traduction)

Un autre pays, Singapour, a proposé le 1er avril une loi pour lutter contre les fausses nouvelles en ligne. Selon ce projet de loi, ceux qui diffusent des fausses nouvelles en ligne dans l’intention malveillante de nuire à l’intérêt public pourraient être condamnés à des peines de prison allant jusqu’à 10 ans, a rapporté Reuters.

Activist Post avait précédemment souligné que la pandémie de Covid serait utilisée comme un cheval de Troie pour nous enlever nos droits et serait utilisée pour pousser à une surveillance numérique accrue via nos smartphones. Mais ce n’est pas tout, il s’agit aussi d’un moyen pour que d’autres technologies de reconnaissance faciale soient plus fréquemment utilisées. Top10VPN continue de surveiller l’augmentation de l’état policier et la diminution de nos droits numériques et physiques en notant les chiffres suivants.

  • 120 applications de recherche de contacts sont disponibles dans 71 pays
  • 45 applications utilisent désormais Google et l’API d’Apple
  • Les États-Unis disposent de 23 applications, soit plus que tout autre pays au monde
  • 19 applications, avec 4 millions de téléchargements combinés, n’ont pas de politique de confidentialité

Mesures de suivi numérique :

  • 60 mesures de suivi numérique ont été introduites dans 38 pays
  • Les fournisseurs de télécommunications ont partagé les données des utilisateurs dans 20 pays

Initiatives de surveillance physique :

  • 43 mesures de surveillance physique ont été adoptées dans 27 pays
  • Des drones ont été utilisés dans 22 pays pour aider à faire respecter les mesures de confinement
  • L’Europe a introduit plus de mesures de surveillance que toute autre région

Comme l’a précédemment écrit Activist Post alors qu’il discutait de l’augmentation de la surveillance policière, les mesures mises en place aujourd’hui resteront probablement en vigueur longtemps après que la pandémie se soit arrêtée et que le virus ait suivi son cours. C’est là l’impact durable que le COVID-19 aura sur notre société. Le coronavirus pourrait très bien être une préoccupation légitime pour la santé de chacun d’entre nous dans le monde entier. Mais c’est la réponse du gouvernement qui devrait nous inquiéter davantage à long terme.

Source : Traduction de Activist Post par Aube Digitale

Nouvelle incohérence de Santé Publique France et du ministre de la Santé ou bien erreur volontaire ?

Nouvelle incohérence de Santé Publique France et du ministre de la Santé ou bien erreur volontaire ?

Souvent les petits détails font une grande différence, surtout quand il s’agit de prendre des décisions sur base des indicateurs. Les incohérences sur le nombre de cycles utilisés lors des tests PCR pour détecter les personnes infectées par la Covid19 ont été largement couvertes.  En effet, le seuil de cycles actuellement utilisé serait trop important et donc seraient détectées des personnes n’ayant que des fragments résiduels de l’ARN du virus (donc ni malades ni contagieuses), ou ayant des quantités de virus extrêmement faibles, ce qui fausserait les statistiques de la réalité de l’épidémie.

Un second indicateur utilisé est le nombre de nouveaux cas en réanimation.  En mars, en l’absence de disponibilité des tests, c’est cet indicateur qui avait été considéré pour justifier le confinement. En effet, la raison invoquée par cette mesure de confinement serait qu’elle permettrait de réduire la pression sur les hôpitaux et les services de réanimation. Rappelons qu’au plus haut, en avril 2020, le nombre de personnes en réanimation ou soins intensifs était de 7019.  Il est à ce jour de 2168 patients.  

Sur le site de Santé publique, quand on choisit l’indicateur il nous est donné trois possibilités de sélection dans la section choix des indicateurs. Les trois font mention des Réanimations et Soins intensifs. Un premier problème apparait : le tableau de rendu de résultats, que ce soit sous forme de carte ou de synthèse, fait état de patients en Réanimation alors qu’est sélectionné le nombre de nouveaux patients admis en Réanimation ou Soins intensifs.  Ce chiffre pour le 20 octobre est de 278.

Le nombre de patients en réanimation est ce 2168 patients indiqués sur la carte, mais si on regarde le bilan général (dernière image), ce même chiffre (2168) est mentionné pour les patients « en réanimation ou en Soins intensifs ».

Pourtant Santé Publique différencie bien les lits de réanimations et de soins intensifs puisqu’ils ont des caractéristiques différentes dans les hôpitaux principalement en termes de personnels. Le nombre de lits en réanimation en France en date de 2018 est de 5432 lits (source ministère de la Santé) et le même rapport fait état de 5832 lits de soins intensifs. La France dispose d’un total de 5 800 lits de réanimation, a indiqué le ministre de la Santé, Olivier Véran, jeudi dernier.

Si l’on regarde le taux d’occupation des lits de réanimation publié sur le site du gouvernement celui-ci est de 41,3% au 18 octobre 2020. Ce même 18 octobre il y avait 1939 patients en réanimation, ce qui voudrait donc dire que l’on a 1939/41,3% soit 4695 lits de réanimation et non quelque 5432 tel qu’annoncé dans le rapport de 2018 ou 5800 tel qu’on a pu le lire dans divers médias. Ceci ne serait pas étonnant car plusieurs médias ont annoncé la fermeture de lits de réanimations, ce qui est dénoncé depuis un moment par l’association Santé en Danger présidé par le Dr Arnaud Chiche.

En soit ceci est déjà un problème puisque l’écart de lits est important de 5800 à 4694 soit 19% de lits en moins et par conséquent, le chiffre annoncé par le ministre de la Santé Olivier Véran est donc incorrect

Mais le problème le plus important est le ratio en lui-même car Geodes nous donne 2168 patients en réanimation ou soins intensifs pour la date du 20 octobre et c’est là que le bas blesse, car si le gouvernement utilise le chiffre publié sur son site de 41,3% de taux d’occupation des lits de réanimation, ce chiffre comprend aussi les patients en soins intensifs.  Pour calculer le bon taux d’occupation il faudrait rajouter le chiffre des lits de soins intensifs soit 5832. 

Le taux d’occupation deviendrait donc 2168 /( 4695 + 5832) = 20,6% ou si l’on prend le chiffre annoncé par le ministre de la Santé de 5800 lits de soins intensifs,  le taux d’occupation devient 2168 /( 5800 + 5832) = 18,6%.

Il y a donc deux erreurs possibles 

  • Le nombre de lits de réanimation n’est pas de 5800 comme l’a déclaré Olivier Véran mais de 4695,
  • Le taux d’occupation des lits de réanimation ou soins intensifs n’est pas de 41,3% mais de 18,6% ou 20,6% si l’on considère le déclaratif du ministre comme correct ou pas. 

« Au final les chiffres parleront » a dit le Pr Raoult, cependant en attendant les chiffres utilisés par le gouvernement sont vraisemblablement sur estimés. Espérons que le gouvernement utilise des chiffres corrects pour ses décisions et que ceci est une erreur de reporting.  Dans le cas contraire, cela s’apparenterait à une véritable désinformation et manipulation de l’opinion publique.

En refaisant les calculs avec les derniers chiffres mis à jour c’est à dire maintenant un taux d’occupation de 42,9% pour 2168 patients en réanimation et soins intensifs, on obtiendrait une base de 5054 lits de réanimation.  Le ratio recalculé sur la base des lits de réanimation et de soins intensifs (5054+5832 = 10 886) serait de 2168/10886 = 19,9% ou de 18,6% si l’on prend en considération le nombre de lits de réa déclaré par le ministre.  C’est toujours un écart du simple au double.

Sollicité ce jour à ce sujet, le ministre de la Santé Olivier Véran n’était pas disponible.

ndlr : une coquille s’était glissé dans l’article original d’hier. Il était écrit malencontreusement 1839 plutot que 1939 patients en réanimation à la date du 18/10.  Nous remercions le lecteur qui nous en a fait part)

Auteur(s): FranceSoir

Source : http://www.francesoir.fr/societe-sante/nouvelle-incoherence-de-sante-publique-france-et-du-ministre-de-la-sante-ou-bien

Montpellier: un avocat conteste en justice l’obligation du port du masque en extérieur

Montpellier: un avocat conteste en justice l’obligation du port du masque en extérieur

Un collectif vient de se monter dans l’Hérault avec Maitre Guyon avocat.

D’abord pour attaquer les arrêtés préfectoraux concernant le port du masque à l’extérieur, qui est nuisible, puis entamer des actions auprès du conseil d’état.

Ce collectif commence à s’étoffer par un petit nombre de Citoyens « responsables » et a besoin de l’aide d’autres citoyens pour couvrir les frais d’avocat nécessaires pour engager ces procédures.

Si vous désirez apporter votre aide et participer à ce collectif, je vous invite à me contacter ici sur Profession-Gendarme et je me chargerai de transmettre aux responsables de ce collectif.

RMC 195 k abonnés

Invité de RMC ce jeudi, Me David Guyon explique pourquoi il a déposé un référé contre l’arrêté imposant le port du masque dans tous les espaces extérieurs du centre de Montpellier.

Mise en ligne le 20/08/2020

Source : Youtube

Voir également :

David Guyon, avocat des anti-masques

Un montpelliérain d’une cinquantaine d’années, père de 5 enfants, a été le premier en France à attaquer en justice l’arrêté du préfet de l’Hérault imposant de porter le masque dans le centre ville de Montpellier. Cet homme, qui vit avec les minimas sociaux considère qu’il n’a pas les moyens de s’équiper en masque, lui et toute sa famille.
L’audience, prévue ce jeudi, a finalement été annulée.
Son avocat, Me David Guyon, était notre invité ce mercredi.

Source : Dailymotion

Source : http://www.profession-gendarme.com/montpellier-un-avocat-conteste-en-justice-lobligation-du-port-du-masque-en-exterieur/

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