Category: Tests PCR

La police emmène une voyageuse en isolement obligatoire au Canada – elle ne dit pas à la famille où elle est détenue

Un pasteur de Calgary dit que sa femme a été mise en quarantaine obligatoire au Canada après l’arrivée de son vol à Calgary. Les fonctionnaires ont dit à Nikki Mathis qu’elle serait mise en quarantaine pendant deux semaines. Et les autorités ne dévoileront pas où elles ont emmené la femme.

Peu après que l’histoire ait éclaté que Nikki Mathis a été transportée sous surveillance policière dans un lieu non divulgué pour y être mise en quarantaine depuis l’aéroport de Calgary (bien qu’elle ait été testée négativement avant son vol), le Centre de Justice a annoncé son intention de soumettre une lettre au gouvernement fédéral, qualifiant cette ligne de conduite d’inconstitutionnelle et exigeant sa libération immédiate.

Western Standard a rapporté :

Un pasteur d’Edmonton a peut-être découvert jeudi soir les nouvelles restrictions de voyage du Premier ministre Justin Trudeau pendant la pandémie COVID-19.

Trudeau a annoncé vendredi matin que tous les voyageurs rentrant dans le pays doivent se rendre dans un centre d’isolement gouvernemental où un autre test COVID-19 sera effectué. Si le test est négatif, le passager sera autorisé à rentrer chez lui pour une période supplémentaire de 11 jours strictement appliquée. Ceux dont le test est positif seront emmenés dans un autre centre gouvernemental pour le reste de leur quarantaine de 14 jours.

Selon M. Trudeau, il en coûtera environ 2 000 dollars à chaque voyageur pour le test, l’hébergement et la nourriture.

Les nouvelles règles n’ont même pas encore été annoncées jeudi soir, mais il semble que les responsables du YYC étaient prêts.

Voir aussi : Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont peu fiables et contraires à la loi pour mettre les personnes en quarantaine

(“Ma femme Nikki”) est arrivée à Calgary ce soir et, à son arrivée, elle a été accueillie par un officier de police et un fonctionnaire de l’AHS”, a écrit le pasteur Chris Mathis sur sa page Facebook.

“Ils ont rejeté ses résultats et lui ont dit qu’elle devait se rendre immédiatement dans un centre d’isolement. On lui a dit que si elle résistait, elle serait arrêtée. Elle m’a appelé, et j’ai immédiatement demandé à parler avec l’officier. J’ai parlé avec un officier de police et le responsable de l’AHS, ils ont réitéré ce qu’elle m’avait dit. J’ai demandé l’adresse de l’endroit où elle se trouverait, ils m’ont dit qu’ils ne pouvaient pas me donner l’adresse du lieu car elle était confidentielle.

“J’ai demandé leurs noms, encore une fois ils ne voulaient me donner aucune information ni leurs noms. J’ai poussé, j’ai interrogé, j’ai essayé de me battre mais ils ont dit qu’ils l’arrêteraient si elle résistait. Ils ne voulaient me donner aucune information sur l’endroit où ils emmenaient ma femme.

Source : https://www.thegatewaypundit.com/2021/01/police-take-traveling-woman-mandatory-covid-isolation-canada-wont-tell-family-holding/
Traduction par https://cv19.fr

L’OMS met à jour les directives sur les tests PCR : Recommande de refaire les tests pour confirmer les résultats positifs

L’Organisation mondiale de la santé a mis à jour ses directives sur les tests PCR afin de garantir leur utilisation correcte.

Public cible : professionnels de laboratoire et utilisateurs de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro.

Objet du présent avis : clarifier les informations précédemment fournies par l’OMS. Le présent avis remplace l’avis d’information de l’OMS à l’intention des utilisateurs de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (DIV) 2020/05 version 1, publié le 14 décembre 2020.

Description du problème : l’OMS demande aux utilisateurs de suivre le mode d’emploi (IFU) lorsqu’ils interprètent les résultats d’échantillons testés selon la méthode PCR.

Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d’emploi afin de déterminer si le fabricant recommande un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR.

Les lignes directrices de l’OMS sur les tests de diagnostic du SARS-CoV-2 stipulent qu’il faut interpréter avec soin les résultats positifs faibles. Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et testé à nouveau en utilisant la même technologie TAN ou une technologie différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; lorsque la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente. Cela signifie que la probabilité qu’une personne qui a un résultat positif ( SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue au fur et à mesure que la prévalence diminue, indépendamment de la spécificité revendiquée.

La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic, par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent prendre en compte tout résultat en combinaison avec le moment du prélèvement, le type d’échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.

Depuis des mois maintenant, les sceptiques sont ridiculisés parce qu’ils mettent en doute l’exactitude du test PCR, font référence au risque de faux positifs lorsque la prévalence est faible et demandent avec insistance au gouvernement d’effectuer des seconds tests de confirmation sur les personnes dont le test est positif. Ces conseils actualisés de l’OMS justifient notre position. Nous attendons avec impatience que les gouvernements et les autorités sanitaires mettent leurs pratiques en conformité avec cet avis.

Source : https://lockdownsceptics.org/2021/01/21/latest-news-261/#who-updates-guidance-on-pcr-tests-recommends-re-testing-to-confirm-positives
Traduction par https://cv19.fr

Test Covid rapide : 63% des patients diagnostiqués faussement positifs selon les laboratoires Biogroup

Les laboratoires Biogroup (1er réseau français de laboratoires privés) ont mené entre le 23 novembre et le 15 décembre une étude permettant de jauger l’efficacité des tests antigéniques dit “rapides”.

« Cette étude a été menée auprès de 1.666 patients venus effectuer un test PCR en laboratoire, et affirmant avoir réalisé un test antigénique dans les dernières 24 heures.

Sur 1.327 personnes négatives au test rapide, 111 se sont alors révélées positives au test PCR, soit 8,3%. Un pourcentage «certainement minoré car seuls les patients ayant des doutes et des signes cliniques ont contrôlé leur résultat», souligne Biogroup.

Mais ce sont les résultats des patients positifs aux tests antigéniques qui ont interrogé et surpris le groupe. En effet, sur les 339 patients positifs, 214 étaient en fait négatifs au test PCR , soit 63 %. Une proportion plus importante «que ce nous attendions», attribué aux «défauts d’utilisation et d’interprétation de ces tests par du personnel sans “culture de la biologie médicale”».

test covid
Capture du site Biogroup.fr

Censée donner «une image réelle du terrain», cette étude contraste avec les évaluations des fabricants de tests antigéniques «réalisées dans des conditions strictes de maîtrise des procédures».

Par exemple, «de nombreux tests sont réalisés dans des barnums à l’extérieur, avec des températures très basses. Or, ces tests sont basés sur une réaction antigène/anticorps qui ne peut se faire qu’à une température donnée», a expliqué le biologiste Laurent Kbaier, cité dans un communiqué du groupe. […] »


Sources :
– Biogroup : Les tests antigéniques à l’épreuve du réel : étude comparative des résultats
– CNews : Coronavirus : La fiabilité des tests rapides mise en doute par un groupe de laboratoires

Que savons-nous vraiment des virus ?

Avez-vous entendu parler de la théorie émergente sur la nature des virus : les exosomes ? Êtes-vous absolument certain que le COVID-19 est contagieux ? Quel est votre niveau de confiance dans les résultats du test ?

La plupart des études de cas proviennent de cet article de David Crowe (décédé le 12 juillet 2020), dont toutes les citations se trouvent à la fin : https://theinfectiousmyth.com/book/CoronavirusPanic.pdf

Miroir : BayFiles Videopress Odysee

Vidéo originale : https://www.youtube.com/watch?v=V1Im7jsW9_Y Traduction https://cv19.fr

Note : une voix française permettrait de toucher plus de monde, si un lecteur veut participer et à un bon micro vous pouvez lire les sous-titres et donner l’audio dans les commentaires ou par mail et ce sera ajouté sur la vidéo.
Petit conseil, écouter l’audio avec un casque tout en parlant dans le micro pour une synchronisation optimale.
Merci d’avance !

L’OMS admet (enfin) que les tests PCR créent des faux positifs

Les avertissements concernant la valeur élevée du CT des tests arrivent des mois trop tard… alors pourquoi apparaissent-ils maintenant ? L’explication possible est d’un cynisme révoltant…

L’Organisation mondiale de la santé a publié une note d’orientation le 14 décembre, avertissant que des seuils de cycle élevés pour les tests PCR entraîneront des faux positifs.

Bien que ces informations soient exactes, elles sont également disponibles depuis des mois. Nous devons donc nous demander pourquoi elles sont rapportées maintenant. Est-ce pour faire croire que le vaccin fonctionne ?

Les tests “étalon-or” de dépistage du Sars-Cov-2 sont basés sur la réaction en chaîne par polymérase (PCR). La PCR fonctionne en prenant des nucléotides – de minuscules fragments d’ADN ou d’ARN – et en les répliquant jusqu’à ce qu’ils deviennent quelque chose d’assez gros pour être identifié. La réplication se fait par cycles, chaque cycle doublant la quantité de matériel génétique. Le nombre de cycles nécessaires pour produire quelque chose d’identifiable est connu sous le nom de “seuil de cycle” ou “valeur CT”. Plus la valeur CT est élevée, moins vous avez de chances de détecter quelque chose d’important.

Ce nouveau mémo de l’OMS indique que l’utilisation d’une valeur CT élevée pour tester la présence du Sars-Cov-2 entraînera des faux positifs dans les résultats.

Pour citer leurs propres mots :

Les utilisateurs des réactifs RT-PCR doivent lire attentivement la notice explicative pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est nécessaire pour tenir compte de tout bruit de fond qui pourrait conduire à interpréter comme positif un échantillon dont le résultat présente une valeur de seuil de cycle (Ct) élevée.

Ils poursuivent en expliquant [encore une fois, c’est nous qui soulignons] :

Le principe de conception de la RT-PCR signifie que pour les patients présentant des niveaux élevés de virus en circulation (charge virale), relativement peu de cycles seront nécessaires pour détecter le virus et donc la valeur Ct sera faible. À l’inverse, lorsque les échantillons présentent une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir.

Bien entendu, rien de tout cela n’est nouveau pour quiconque a été attentif. Le fait que les tests PCR étaient facilement manipulables et potentiellement très imprécis a été l’un des cris de guerre souvent répétés par ceux d’entre nous qui s’opposent au récit de la “pandémie” et aux politiques qu’elle sert à vendre.

De nombreux articles ont été écrits à ce sujet, par de nombreux experts du domaine, des journalistes médicaux et d’autres chercheurs. Il est de notoriété publique, depuis des mois, que tout test utilisant une valeur CT supérieure à 35 est potentiellement dénué de sens.

Le Dr Kary Mullis, qui a reçu le prix Nobel pour avoir inventé le procédé PCR, a clairement indiqué que ce n’était pas un outil de diagnostic :

avec la PCR, si vous le faites bien, vous pouvez trouver presque tout chez n’importe qui”.

Et, commentant les seuils de cycle, il a dit un jour

Si vous devez faire plus de 40 cycles pour amplifier un gène en une seule copie, il y a quelque chose qui cloche sérieusement avec votre PCR.”

Les lignes directrices du MIQE pour l’utilisation de la PCR indiquent :

Les valeurs CT supérieures à 40 sont suspectes en raison de la faible efficacité implicite et ne doivent généralement pas être signalées,”

Tout cela est de notoriété publique depuis le début du confinement. Le propre site web du gouvernement australien a admis que les tests étaient défectueux et un tribunal portugais a jugé qu’ils n’étaient pas adaptés à leur objectif.

Même le Dr Anthony Fauci a publiquement admis qu’un seuil de cycle supérieur à 35 permettait de détecter des “nucléotides morts”, et non un virus vivant.

Malgré tout cela, on sait que de nombreux laboratoires dans le monde entier utilisent des tests PCR avec des valeurs CT supérieures à 35, même dans la petite quarantaine.

Alors pourquoi l’OMS a-t-elle finalement décidé de dire que c’est une erreur ? Quelle raison pourrait-elle avoir pour choisir finalement de reconnaître cette simple réalité ?

La réponse à cette question est potentiellement d’un cynisme choquant : nous disposons maintenant d’un vaccin. Nous n’avons plus besoin de faux positifs.

En théorie, le système a produit son remède miracle.

Ainsi, une fois que tout le monde aura été vacciné, tous les tests PCR effectués le seront “selon les nouvelles directives de l’OMS”, et en effectuant seulement des cycles de 25-30 au lieu de 35+.

Et voilà que le nombre de “cas positifs” va chuter, et nous aurons la confirmation que notre vaccin miracle fonctionne.

Après des mois à inonder le bassin de données de faux positifs, à compter à tort les décès “par accident”, à ajouter “décès lié au Covid19” à tous les autres certificats de décès… ils peuvent cesser. La machine à créer une pandémie peut être remise à zéro.

…tant que nous faisons tous ce qu’on nous dit. Tout signe de dissidence – des masses de personnes refusant le vaccin, par exemple – et la valeur CT pourra recommencer à grimper, et la maladie magique se remanifestera à nouveau.

Source: Off-Guardian, le 20 décembre 2020Traduction par Aube Digitale

Campagne de tests massifs

Face aux examens inutiles, j’ai toujours essayé de diffuser une doctrine : « Avant de prescrire un examen, pose toi deux questions. La première, est-ce que le résultat va changer ton diagnostic ? La seconde, est-ce que le résultat va changer ton traitement ? Si la réponse aux deux questions est non, alors ne le fais pas, c’est inutile.

J’ai l’impression que la vaste campagne de tests engagée à grands renforts publicitaires rentre dans ce cadre, et n’est qu’une vaste opération de communication, donner l’impression qu’on s’occupe du problème alors que ce n’est que du vent.

DANS QUEL BUT ?

Tester massivement dans une ville, OK, mais après ? Pour faire quoi ensuite ? A quoi cela sert ? Si cette démarche a un sens au tout début de l’épidémie, tester-isoler, comme on le fait pour Ebola, comme le font les Chinois en traquant un cas pour isoler une ville, mais quand le virus est partout, quand ce n’est pas pour isoler la ville derrière, et si là-dessus vient le rush des vacances de Noël, quel est le but de ces opérations qui ne déboucheront sur rien de concret, en tous cas rien de plus que ce qui est fait aujourd’hui ? Le tester-isoler (contact tracing) à la française a déjà été lancé quand il y avait moins de cas, cela a été un échec à plusieurs niveaux, et n’a en rien empêché la seconde vague. Le refaire de manière ponctuelle dans les conditions actuelles a-t-il un sens ?

DES TESTS DOUTEUX ?

De plus en plus d’experts remettent en cause l’exactitude de la situation reflétée par les résultats du dépistage de masse. De plus la France dépiste avec des cycles d’amplification des tests de 35 voire 40 fois. Avec ces chiffres, plus de 75% des positifs ne sont pas contagieux, beaucoup n’ont que des fragments d’ADN, pas de virus actif. D’autres en ont trop peu pour être contagieux. Seule la charge virale devrait dicter la conduite à tenir, isoler ou non. La réponse oui ou non des tests, ne suffit pas d’après les experts. Dans les positifs, il y a de tout, et beaucoup moins de contagieux que de non contagieux.

Avec 40 cycles d’amplification, 95% des positifs ne seraient pas contagieux ou pas malades. Même si on a un peu baissé l’amplification, cela explique le nombre très important de positifs détectés actuellement, alors que les entrées en réanimations sont 10 fois inférieures à celles de la première vague. Sur les 30 derniers jours, la moyenne est de 13 000 positifs par jour, celles des entrées en réanimation de 200 par jour, soit 1,5%. Tester plus ne fait qu’affoler, va conduire à un reconfinement, mais ne reflète pas la réalité concernant les vrais malades.

LA QUALITÉ PLUS QUE LA QUANTITÉ

Au lieu de se noyer dans des chiffres qui ne veulent plus dire grand-chose, on ferait mieux de se concentrer sur la détection des seuls patients contagieux. Tester massivement à 25 cycles a un sens, à 35 ou 40, non. Et plutôt que de tester massivement, ce qui pose des problèmes logistiques, encombre les centres (au détriment des autres pathologies), retarde les résultats, mieux vaut s’organiser pour tester très rapidement dès les premiers symptômes, le jour même de ces symptômes si possible (on peut être contagieux en 48H), avec résultat immédiat pour isoler. Tester massivement pour isoler des non contagieux n’a pas de sens, ce n’est pas dans les parkings qu’il faut tester, mais ce doit être chez le généraliste, lorsqu’il voit le patient, et au lieu de dire aux patients d’attendre et d’appeler le 15 quand cela va mal, on devrait leur dire d’aller consulter au premier signe. Tout à l’envers.

Tester en masse va nous coûter en temps et en argent, sans résultat, mais ce n’est sans doute pas perdu pour tout le monde . Pour être efficaces, ce n’est pas la masse des tests qui compte, c’est la rapidité et la qualité, or on a choisi la masse. Un coup d’épée dans l’eau.

19/12/20 : 10H. Au passage, voir ce qui se passe sur Ivermectine avec mon commentaire sur le billet correspondant.

Source : https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/12/19/campagne-de-tests-massifs/

Le scandale du coronavirus éclate dans l’Allemagne de Merkel. Faux positifs et test PCR

Un article de William Engdahl par sur globalresearch.ca, et traduit ci-dessous en français, met au déf l’approche allemande de la gestion de la crise. Et pourtant, l’Allemagne déplore 21 567 décès covid-19 soit un peu moins de 3 fois que la France.

Le modèle allemand largement salué du régime d’Angela Merkel pour faire face à la pandémie de COVID-19 est maintenant englouti dans une série de scandales potentiellement dévastateurs allant au cœur même des tests et des conseils médicaux utilisés pour déclarer des fermetures économiques draconiennes et ensuite, vaccinations obligatoires de facto. Les scandales impliquent un professeur au cœur du groupe consultatif corona de Merkel. Les implications vont bien au-delà des frontières allemandes – jusqu’à l’OMS elle-même et ses recommandations mondiales.

L’ensemble des arguments en faveur du confinement d’urgence mandaté par l’OMS des entreprises, des écoles, des églises et d’autres arènes sociales dans le monde repose sur un test introduit, étonnamment tôt, dans la saga des coronavirus de Wuhan, en Chine.

Le 23 janvier 2020, dans la revue scientifique Eurosurveillance, du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, le Dr Christian Drosten, ainsi que plusieurs collègues de l’Institut de virologie de Berlin à l’hôpital Charite, ainsi que le chef d’une petite société de biotechnologie berlinoise, TIB Molbiol Syntheselabor GmbH, ont publié une étude affirmant avoir développé le premier test efficace pour détecter si une personne est infectée par le nouveau coronavirus identifié les premiers jours à peine à Wuhan. L’article de Drosten était intitulé «Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel» (Eurosurveillance 25 (8) 2020).

La nouvelle a été immédiatement approuvée par le directeur général corrompu de l’OMS, Tedros Adhanom , le premier médecin non médical à diriger l’OMS. Depuis lors, le test de dépistage du virus soutenu par Drosten, appelé test en temps réel ou RT-PCR, s’est propagé via l’OMS dans le monde entier, en tant que protocole de test le plus utilisé pour déterminer si une personne pourrait avoir le COVID-19, la maladie.

Le 27 novembre, un groupe très respecté de 23 virologues, microbiologistes et scientifiques du monde entier a publié un appel à  Eurosurveillance  pour retirer l’article de Drosten du 23 janvier 2020. Leur analyse minutieuse de la pièce originale est accablante. Le leur est un véritable « examen par les pairs ». Ils accusent Drosten d’incompétence scientifique « fatale » et de failles dans la promotion de leur test.

Pour commencer, comme le révèlent les scientifiques critiques, le document qui a établi le test Drosten PCR pour la souche de coronavirus de Wuhan qui a ensuite été adopté avec une hâte indécente par le gouvernement Merkel avec l’OMS pour une utilisation mondiale – ce qui a entraîné de graves confinements dans le monde et une catastrophe économique et sociale – n’a jamais fait l’objet d’un examen par les pairs avant sa publication par la revue Eurosurveillance. Les critiques soulignent que :

« L’article de Corman-Drosten a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne. »

Plus incroyable encore, le protocole de test Drosten, alors qu’il avait déjà envoyé à l’OMS à Genève le 17 janvier, a été officiellement recommandé par l’OMS comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus de Wuhan, avant même que l’article ne soit publié .

Comme le soulignent les auteurs critiques, pour un sujet si complexe et important pour la santé et la sécurité dans le monde, un « examen par les pairs » sérieux de 24 heures par au moins deux experts dans le domaine n’est pas possible. Les critiques soulignent que Drosten et son co-auteur, le Dr Chantal Reusken, n’ont pas révélé de conflit d’intérêts flagrant. Tous deux étaient également membres du comité de rédaction d’Eurosurveillance. Plus loin, comme le rapportent la BBC et Google Statistics, le 21 janvier, il y avait un total mondial de 6 décès attribués au virus de Wuhan. Ils demandent : « Pourquoi les auteurs ont-ils présumé un défi pour les laboratoires de santé publique alors qu’il n’y avait aucune preuve substantielle à ce moment-là pour indiquer que l’épidémie était plus répandue qu’on ne le pensait initialement ? »Un autre co-auteur de l’article Drosten qui a donné une couverture de crédibilité scientifique apparente à la procédure de PCR Drosten était le chef de la société qui a développé le test commercialisé aujourd’hui, avec la bénédiction de l’OMS, par centaines de millions, Olfert Landt, de tib-MOLBIOL à Berlin, mais Landt n’a pas révélé ce fait pertinent dans le document Drosten.

Certainement rien de suspect ou d’incorrect jusqu’ici.  Il serait pertinent de savoir si Drosten, le conseiller scientifique en chef de Merkel pour COVID-19, le « Tony Fauci » allemand de facto, obtient un pourcentage sur les ventes de chaque test vendu par Tib-Molbiol dans leur accord de marketing mondial avec Roche.

Faux positifs ?

Depuis fin janvier 2020, les médias grand public du monde entier nous inondent tous de mises à jour effrayantes toutes les heures sur «l e nombre total de coronavirus infectés ». Habituellement, ils ajoutent simplement chaque augmentation quotidienne à un total mondial de « cas confirmés », actuellement plus de 66 millions. Alarmant, mais pour le fait que, comme le soulignent Pieter Borger et ses collègues collaborateurs scientifiques, les «cas confirmés» sont un nombre qui n’a aucun sens. Pourquoi ?

Le rapport Borger identifie ce qu’ils appellent « dix problèmes mortels » dans l’article Drosten de janvier dernier. Nous reprenons ici le plus flagrant qui puisse être facilement saisi par la plupart des profanes.

Drosten & co. a donné des séquences d’amorce et de sonde non spécifiées déroutantes. Les critiques notent : «Ce nombre élevé de variantes est non seulement inhabituel, mais il est également très déroutant pour les laboratoires. Ces six positions non spécifiées pourraient facilement aboutir à la conception de plusieurs séquences d’amorces alternatives différentes qui ne se rapportent pas au SARS-CoV-2. la description confuse et non spécifique dans l’article de Corman-Drosten ne convient pas comme protocole opérationnel standard. Ces positions non précisées auraient dû être conçues sans équivoque. » Et ajoutent que : 

«La RT-PCR n’est pas recommandée pour le diagnostic primaire de l’infection. C’est pourquoi le test RT-PCR utilisé en routine clinique pour la détection du COVID-19 n’est pas indiqué pour le diagnostic du COVID-19 sur une base réglementaire  . »

Cycles d’amplification

Mais ce qui est encore plus accablant pour Drosten, c’est le fait qu’il n’a mentionné nulle part qu’un test soit positif ou négatif, ni ce qui définit un résultat positif ou négatif !

Le rapport Borger note :

«Ces types de tests de diagnostic virologique doivent être basés sur un SOP (Standard Operational Protocol), comprenant un nombre validé et fixe de cycles PCR (valeur Ct) après lequel un échantillon est jugé positif ou négatif. 

La  valeur  Ct maximale raisonnablement fiable est de 30 cycles. Au-dessus d’un Ct de 35 cycles, il faut s’attendre à un nombre rapidement croissant de faux positifs. Des études scientifiques montrent que seuls les virus non infectieux (morts) sont détectés avec des valeurs de Ct de 35. » .

L’OMS et Drosten recommandent un Ct de 45 cycles et, semble-t-il, actuellement, les responsables de la Santé allemands le font également. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les « positifs » PCR en Allemagne et ailleurs explosent. Comme le soulignent les auteurs critiques, si les autorités sanitaires devaient spécifier 35 cycles maximum, selon l’article de Jaafar à l’IHU à 35 cycles, il ne resterait plus que 3% de vrais positifs ! Ils notent, « un résultat analytique avec une valeur Ct de 45 est scientifiquement absolument dénué de sens (une valeur Ct raisonnable ne doit pas dépasser 30). Tout cela doit être communiqué très clairement.

C’est une erreur importante que l’article de Corman-Drosten ne mentionne pas la valeur Ct maximale à laquelle un échantillon peut être considéré sans ambiguïté comme un résultat de test positif ou négatif. Cette limite de seuil de cycle importante n’est pas non plus spécifiée dans les soumissions de suivi à ce jour. Les auteurs ajoutent :

«Le fait que ces produits de PCR n’aient pas été validés au niveau moléculaire est une autre erreur frappante du protocole, rendant  tout test basé sur celui-ci inutile en tant qu’outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SARS-CoV-2. »  

En clair, tout l’édifice de la fondation Gates, du gouvernement Merkel, de l’OMS et du WEF ainsi que le cas des vaccins de facto forcés non testés, repose sur les résultats d’un test PCR pour le coronavirus qui ne vaut pas une « cacahuète ». Le test de Drosten et de l’OMS est plus ou moins de la merde scientifique.

Une absence de preuve de son doctorat ?

Cette critique dévastatrice de vingt-trois scientifiques de premier plan, y compris des scientifiques titulaires de brevets liés à la PCR, à l’isolement et au séquençage de l’ADN, et d’un ancien scientifique en chef de Pfizer, est accablante, mais ce n’est pas le seul problème auquel le professeur Christian Drosten est confronté aujourd’hui. Lui et les fonctionnaires de l’Université Goethe de Francfort, où il affirme avoir obtenu son doctorat en médecine en 2003, sont accusés de fraude au diplôme. Selon le Dr Markus Kühbacher, un spécialiste enquêtant sur la fraude scientifique telle que le plagiat de thèse, la thèse de doctorat du Dr Drosten devait être déposée à une certaine date auprès des autorités académiques de son université, qui signent ensuite un formulaire juridique, « Revisionsschein », avec une signature authentique, un cachet de l’Université et la date, avec le titre de la thèse et l’auteur, afin qu’elle soit envoyée aux archives de l’Université. Trois exemplaires originaux de la thèse devraient y être déposés.

Kühbacher accuse l’Université de Goethe d’être coupable de dissimulation en affirmant, à tort, que le Revisionsschein (formulaire juridique) de Drosten était au dossier. Le porte-parole de l’université a ensuite été contraint d’admettre qu’il n’avait pas été déposé, du moins pas qui soit localisable par eux. De plus, sur les trois copies de dossier obligatoires de sa thèse de doctorat, très pertinent compte tenu de l’importance mondiale du rôle de Drosten dans la gestion de la crise de coronavirus, deux copies ont «disparu» et la copie unique restante est endommagée par l’eau. Kühbacher dit que Drosten va probablement faire face à des poursuites judiciaires pour un titre de doctorat frauduleux.

De plus, le médecin allemand bien connu et critique, Dr Wolfgang Wodarg, a engagé une procédure judiciaire pour calomnie et diffamation contre deux personnes responsables du site de média allemand, Volksverpetzer.de. Le Dr Wodard demande 250 000 € de dommages et intérêts pour diffamation au site ainsi qu’à d’autres médias allemands, affirmant qu’ils ont vicieusement et sans preuve, diffamé Wodarg, le qualifiant de « covid-denier », le qualifiant à tort d’extrémiste de droite (il est un ancien député du Parti social-démocrate depuis toujours) et de nombreuses autres accusations fausses et préjudiciables .

L’avocat du Dr Wodarg est le Dr Reiner Fuellmich, avocat germano-américain bien connu. Dans ses accusations contre la partie adverse, Fuellmich cite intégralement les accusations portées contre le test Drosten pour le coronavirus du Dr Pieter Borger et al notées ci-dessus. Cela oblige en fait les mis en cause à réfuter l’article de Borger. C’est une étape majeure sur la voie de la réfutation de toute la fraude au test PCR COVID-19 de l’OMS. Déjà une cour d’appel à Lisbonne, au Portugal, a statué le 11 novembre que le test PCR de Drosten et de l’OMS n’était pas valide pour détecter une infection à coronavirus et qu’il n’était pas fondé d’ordonner des confinements partiels ou à l’échelle nationale.

Si l’enjeu n’était pas si mortel pour l’humanité, tout serait de nature à être considéré comme une comédie absurde. Le tsar de la santé mondiale, le chef de l’OMS (Organisation mondiale de la Santé) Tedros n’est pas un médecin mais il conseille le gouvernement Merkel sur les mesures COVID-19. L’OMS est pour sa part financée en grande partie par la fondation Gates.

Le gouvernement Merkel utilise le test PCR de Drosten et Drosten comme un expert « avec beaucoup de sagesse » pour justifier d’imposer des mesures aux conséquences économiques les plus draconiennes hors temps de guerre. Son ministre de la Santé, Jens Spahn, est un ancien banquier qui n’a pas de diplôme de médecine, seulement un passage en tant que lobbyiste pour Big Pharma. Le chef du CDC allemand, appelé Institut Robert Koch, Lothar Wieler, n’est pas un virologue, mais un médecin animalier, Tierarzt. 

Avec cette équipe, les Allemands voient leur vie détruite par des confinements et des mesures sociales jamais imaginés auparavant. Il y a la science et puis il y a la science. Cependant, toute la «science» n’est pas valable. 

Les Allemands, avec trois fois moins de décès que la France, semblent bien plus critiques de la gestion de la crise que ne le sont les Français.  Un réveil attendu en France ?

Source : http://www.francesoir.fr/amp/article/politique-monde/le-scandale-du-coronavirus-eclate-dans-lallemagne-de-merkel-faux-positifs-et-test

Le test PCR en justice

Des actions en justice ayant pour but d’exposer l’utilisation incorrecte et abusive du test PCR commencent à être déposées dans plusieurs pays européens.

Lire aussi: Le test PCR actuel a-t-il une utilité?

Le test PCR est suspendu comme une épée de Damoclès sur des millions de citoyens depuis des mois, influençant, selon le résultat, la vie personnelle et professionnelle lourdement.

Ce test a maintenant trouvé son chemin vers les tribunaux : une action a été déposée auprès du tribunal régional de Berlin le 23 novembre pour infections non détectables [1]. L’Autriche est également dans les starting-blocks avec un procès avec le même contenu. D’autre part, la cour d’appel du Portugal a statué le 11 novembre que le processus PCR n’est pas un test fiable pour le Sars-Cov-2. En outre, l’arrêt a laissé entendre que toute quarantaine forcée appliquée à des personnes en bonne santé pourrait constituer une violation de leur droit fondamental à la liberté. Plus important encore, les juges ont décidé qu’un seul test PCR positif ne peut pas être utilisé comme un diagnostic efficace de l’infection [2].

Rappelons que les experts ont confirmé que le test PCR n’est pas adapté pour poser le diagnostic de Covid-19[3]. Ce jugement critique est confirmé par le CDC – la plus haute autorité sanitaire américaine. Le test PCR recherche des extraits de virus et “La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou ni que le COVID-19 est l’agent causal des symptômes cliniques.” a déclaré le CDC. L’agence conclut qu’une « grande proportion de décisions lourdes sont très probablement basées sur des résultats de tests incorrects ».

Ces actions en justice ont donc pour but essentiellement d’exposer l’utilisation incorrecte et abusive du test PCR. Les principales conclusions juridiques sont :

  • le test n’est ni adapté ni destiné à la détection d’une infection
  • la chaîne : test positif – infecté – contagieux- danger –est fausse
  • Le diagnostic d’une infection doit être posé par un médecin inscrit à l’ordre et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire
  • La justice n’a pas vocation à poser un diagnostic en lieu et place d’un médecin
  • Le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins
  • Le diagnostic posé sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens.
  • Elle n’est pas respectée car il n’a pas eu de consentement éclairé des personnes.

References

[1]https://www.google.com/Plainte du Dr. med. Wolfgang Wodarg

[2] Arrêt n° 1783/20.7T8PDL.L1-3 de la Cour d’appel de Lisbonne, 11 novembre 2020 :

https://tribunal-relacao.vlex.pt/vid/851822033

Jugement complet en portugais :

http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30

Jugement complet traduit en anglais :

https://translate.google.com/translate?hl=&sl=pt&tl=en&u=http%3A%2F%2Fwww.dgsi.pt%2Fjtrl.nsf%2F33182fc732316039802565fa00497eec%2F79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30

[3] https://cormandrostenreview.com/report/

Source : https://reinfocovid.fr/science/test-pcr-justice/

Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir

Tribune : Les principales conclusions juridiques sont 

Le diagnostic d’une infection doit être posé par un médecin inscrit à l’ordre et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire La justice n’a pas vocation à poser un diagnostic en lieu et place d’un médecin Le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins

Le diagnostic posé sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens. Elle n’est pas respectée car il n’a pas eu de consentement éclairé des personnes.

Nous avons informé les lecteurs de France Soir[1] de l’aventure portugaise de quatre touristes allemands isolés sous contrainte dans un hôtel sous le fallacieux prétexte que l’un d’entre eux avait un test PCR positif à l’arrivée de l’avion (alors qu’il était négatif au départ). La plainte de ces personnes retenues et isolées de force en raison d’un simple test positif a été très utile à l’ensemble des populations de la planète soumise à cette hégémonie d’un test que son inventeur H Mullis[2] estimait lui-même absolument inadapté pour poser un diagnostic d’une infection virale.

La justice a donc statué sur l’enfermement des plaignants, l’a jugé illégal et ordonné leur libération[3]. Curieusement l’agence de santé, imbue de ses pouvoirs inquisitoriaux comme les françaises, a fait appel. Nous vous résumons ici les principaux enseignements à retenir de ce jugement qui pourrait bien faire jurisprudence au bénéfice de tous et à  terme faire cesser cette pratique injustifiée médicalement et extrêmement coûteuse, (plus de deux milliards d’€ imputés au budget de la sécurité sociale) pour des tests inutiles, dangereux pour la vie quotidienne interrompue et pour le moral et l’angoisse des personnes auxquelles on a beau répété depuis cet été que ces tests dans leur très grande majorité sont faux, le doute entretenu par les médias persiste.

Mister Bean, notre cher (très cher de fait) remboursera -t-il ces milliards indus à la sécurité sociale ?  En tous cas comment pourra-t-il réparer les dégâts psychiques des étudiants etc… Rappelons s’il en est besoin que les mesures liberticides qui entrainent fermetures et faillites des restaurants, des bars, des petits commerçants des discothèques, des artisans sans salariés et sans aide etc.,  reposent sur la publication emphatique de ces résultats de tests fallacieux par le ministre, le directeur général de la santé, le premier ministre (qui met les grands parents à la cuisine pour la bûche de Noel) et in fine le président.

Combien de complices dits scientifiques à Mister Bean et quand répondront-ils de leurs crimes contre le peuple ? Probablement jamais … Comme d’habitude …

A lire aussi : Vers le faire part de décès des tests PCR

 La décision portugaise de première instance du 26 aout stipule

« La demande d’habeas corpus a été accordée, car il était illégal de les détenir, déterminant la restitution immédiate de la liberté des demandeurs ».

Dires de la cour d’appel de Lisbonne

L’ARS locale digne des nôtres dans sa volonté hégémonique a fait appel, et le 11 novembre 2020, la décision de la 3ème chambre pénale de la cour d’appel de Lisbonne est tombée.

Nous vous en donnons ici les extraits les plus informatifs pour le grand public, renvoyant les experts juridiques à la totalité du document disponible en portugais sur le web[4].

Première affirmation : l ’agence régionale de santé n’est pas habilitée à faire appel d’une décision d’habeas corpus pour n’avoir aucune légitimité à agir

L’extrait 2 concerne l’absence de valeurs du test PCR indépendamment de la détention des plaignants

« Cependant, au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test est, en soi, incapable de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SARS-CoV-2, par plusieurs raisons, dont nous en soulignons deux (à laquelle s’ajoute la question de l’étalon-or que, en raison de sa spécificité, nous n’aborderons même pas) :

–  Pour cette fiabilité dépendent du nombre de cycles qui composent le test ;

– Pour cette fiabilité dépendent de la quantité de charge virale présente.  »

Extrait 3 (extrait spécifique)

Il est très important que la cour portugaise rappelle que le diagnostic de malade du covid devrait être posé par un médecin inscrit à l’ordre des médecins et non pas un simple test pratiqué et interprété par des non-médecins. Le médecin se doit d’examiner son patient, prescrire des examens complémentaires éventuels, de l’interroger, avant de poser un diagnostic[5].

Poser un diagnostic sans un acte médical réalisé par un médecin inscrit à l’ordre viole également la disposition de l’article 97 du Statut de l’Ordre des médecins (portugais), article 358 al. B (Usurpation de fonctions) du code Pénal.

Poser ce diagnostic sans médecin, « viole également n ° 1 de l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme, que le Portugal a souscrit et est tenu de respecter en interne et en externe, car aucun document prouvant que le consentement éclairé qu’impose cette Déclaration n’a été présenté dans le dossier ».

Dans l’Extrait 4 (extrait spécifique) la cour revient sur l’absence de fiabilité des tests PCR

 » la fiabilité éventuelle des tests PCR réalisés dépend, d’emblée, du seuil de cycles d’amplification qu’ils contiennent, de telle sorte que,

– jusqu’à la limite de 25 cycles, la fiabilité du test sera d’environ 70% ;

– si 30 cycles sont effectués, le degré de fiabilité tombe à 20% ;

– si 35 cycles sont atteints, le degré de fiabilité sera de 3%.  »

Extrait 5 (extrait global) la cour portugaise s’étonne que l’agence de santé fasse appel en justice d’une affaire médicale, alors que c’est son job.

« Depuis quand revient-il à un tribunal de poser des diagnostics cliniques, de sa propre initiative et sur la base d’éventuels résultats de tests ? Ou l’ARS ? Depuis quand le diagnostic d’une maladie est-il posé par décret ou par loi ? »  Et insiste sur le fait que poser un diagnostic est un acte médical et rappelle le règlement portugais : règlement n ° 698/2019, du 5.9 (règlement qui définit les actes propres des médecins),
Et rappelle que
« -Les médecins actuellement enregistrés auprès de l’Association médicale portugaise sont les seuls professionnels qui peuvent pratiquer les actes des médecins, conformément aux dispositions du statut de l’Association médicale portugaise, approuvé par le décret-loi n ° 282/77 du 5 juillet, avec les modifications introduites par la loi 117/2015 du 31 août et le présent règlement ».  Et la cour précise que l’internement obligatoire ne peut être effectué que par des médecins [6]

Il est fort réconfortant de lire que «  tout diagnostic ou tout acte de surveillance de la santé (comme c’est le cas pour la détermination de l’existence d’une infection virale et d’un risque élevé d’exposition, qui se révèlent couverts par ces concepts) posé sans observation médicale préalable des demandeurs, sans l’intervention d’un médecin inscrit à l’Ordre des Médecins qui a procédé à l’évaluation de ses signes et symptômes, ainsi qu’aux examens qu’elle jugeait appropriés à son état), viole ce règlement, ainsi que la disposition de l’article 97 du Statut de l’Ordre des médecins.

Il viole également n ° 1 de l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme, que le Portugal a souscrit et est tenu de respecter en interne et en externe, car aucun document prouvant que le consentement éclairé qu’impose cette Déclaration n’a été présenté dans le dossier.

Donc la justice n’est pas là pour remplacer le médecin qui lui, en particulier obtiendra selon son serment et les conventions signées par le Portugal (et aussi par la France) son consentement éclairé. Un acte et un diagnostic médical ne peuvent qu’être posés que par un médecin inscrit à l’ordre, enlevant tout caractère légal aux décisions prises arbitrairement par des médecins « virtuels » de nos ARS imposant isolement, arrêt de travail, information sur cas contacts et persécution de ceux-ci pour qu’ils passent ce fameux test.

Regardez le paragraphe suivant de conséquences capitales

« Il est donc clair que la prescription de méthodes diagnostiques auxiliaires (comme c’est le cas des tests de détection d’une infection virale), ainsi que le diagnostic de l’existence d’une maladie, vis-à-vis de chaque personne, est une question qui ne peut être effectuer par la loi, la résolution, le décret, le règlement ou toute autre voie normative, car ce sont des actes que notre système juridique réserve à la compétence exclusive d’un médecin, étant sûr que, en conseillant son patient, il doit toujours essayer d’obtenir son consentement éclairé. »

Revenant sur l’enfermement des allemands, la cour s’étonne qu’aucun médecin ne les ait seulement rencontrés ! « En effet, ce qui découle des faits tenus pour acquis, ce n’est qu’aucun des requérants n’a même été vu par un médecin, ce qui est franchement inexplicable compte tenu de la gravité alléguée de l’infection ».

Et la cour revient sur le fait que seul un test PCR par ailleurs non fiable a été réalisé !

« Cependant, au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test est, en soi, incapable de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SARS-CoV-2. »

Suivent ensuite les explications basées sur les connaissances scientifiques des tests PCR et la pratique courante de ces tests ne respectant pas le nombre faible d’amplifications des débris de virus détectés et aboutissant à des surdiagnostics innombrables comme en France avec les conséquences sanitaires dramatiques et arbitraires prises par les autorités.
C’est le résultat, entre autres, de l’étude de corrélation très récente et complète entre 3790 échantillons positifs de PCR et cultures de cellules positives dont 1941 isolats de SRAS-CoV-2  [7]

Cette étude conclut « A un seuil de cycle (ct) de 25, environ 70% des échantillons restent positifs dans la culture cellulaire (c’est-à-dire qu’ils étaient infectés) : dans un ct de 30, 20% des échantillons sont restés positifs ; dans un ct de 35, 3% des échantillons sont restés positifs ; et à un ct supérieur à 35, aucun échantillon n’est resté positif (infectieux) en culture cellulaire (voir diagramme).
« Si une personne a un test PCR positif à un seuil de cycle de 35 ou plus (comme dans la plupart des laboratoires aux États-Unis et en Europe), les chances qu’une personne soit infectée sont inférieures à 3%. La probabilité qu’une personne reçoive un faux positif est de 97% ou plus ».

Or en France comme au Portugal, y compris aux Açores et à Madère le nombre de cycles d’amplification avec lesquels les tests PCR sont effectués, est inconnu, car nous n’avons pas pu trouver de recommandation ou de limite à cet égard et l’état n’autorise pas les laboratoires à afficher les taux d’amplification.
Insistons sur le fait que cette étude est parue en septembre et que nos gouvernants qui ont continué à nous terroriser, isoler, avec arrêt de travail, fermetures d’écoles, d’atelier, de chaines de production etc. ne pouvaient pas ne pas connaitre ces études et leur bonne foi ne peut être en aucun cas alléguée. La cour rapporte une autre publication importante : [8]
« Tout test de diagnostic doit être interprété dans le contexte de la possibilité réelle de la maladie, existant avant sa réalisation.

Pour Covid-19, cette décision d’effectuer le test dépend de l’évaluation préalable de l’existence des symptômes, des antécédents médicaux de Covid 19 ou de la présence d’anticorps, de toute exposition potentielle à cette maladie et de l’absence d’un autre diagnostic possible. »

« L’une des raisons potentielles de présenter des résultats positifs peut résider dans l’excrétion prolongée d’ARN viral, qui est connue pour se prolonger pendant des semaines après la guérison, chez ceux qui ont déjà été exposés au SRAS-CoV-2.

Cependant, et ce qui est plus pertinent, il n’existe aucune donnée scientifique suggérant que de faibles niveaux d’ARN viral par RT-PCR équivalent à une infection, à moins que la présence de particules virales infectieuses n’ait été confirmée par des méthodes de culture en laboratoire »

TOUT Y EST et aucune justification à la poursuite de la pratique des tests PCR, aveugle et multiple n’est acceptable depuis ces publications. Les décisions politiques qui en ont découlé sont criminelles et devront être jugées.

Ainsi au vu de ces informations scientifiques solides et en l’absence de tout acte médical, le recours formé est jugé irrecevable, faute de légitimité et de désintérêt à agir de la part du requérant, ainsi que manifestement non fondé, il devra être rejeté, [9]  le recours formé par l’Autorité régionale de la santé , représentée par la Direction régionale de la santé de la région autonome des Açores , est rejeté .

Ces conclusions de la cour d’appel de Lisbonne contre l’enfermement abusif de quatre personnes n’ayant pas vu un médecin alors que la propagande médiatique plaide pour ces mesures en raison d’une maladie qui serait grave, sont majeures et serviront, nous l’espérons à étoffer, par sa jurisprudence, les nombreux procès qui s’élèvent de par le monde contre la pratique de ces tests. Et particulièrement par l’utilisation qui en est faite par les gouvernants qui adoptent ces ukases pour priver les populations des pays, de leurs droits fondamentaux, de leur liberté et d’humanité (distanciation, limite du nombre de convives à Noel etc.).

Il est évidement que toutes ces mesures plus aberrantes les unes que les autres reposent vis-à-vis du peuple sur l’existence de ces clusters qui menaceraient notre santé. Pourtant la létalité du covid19 est faible, comparable aux autres grippes et ne concerne pas plus de 0,05% de la population, toutes dans l’âge où l’on va quitter ce monde. Bloquer les universités, les stations de ski pourtant innocentées par l’étude de l’INSERM aux Contamines[10], ruiner les restaurants, les bars, les spectacles etc. ne relèvent pas d’une politique sanitaire mais d’une volonté totalitaire, dont les sources sont à étudier à Davos et dans le livre de klaus Schwab en juillet 2020 (covid19 la grande réinitialisation). Il est grand temps que le peuple si prompt à aller se faire gratter le nez malgré toutes les mises en garde sur le caractère fallacieux du test PCR, se réveille avant que la situation ne soit irréversible ou au prix de monstrueux dégâts.

La prise de conscience semble arriver, en témoigne ce reportage de Paris Match pourtant très fidèle au pouvoir : Covid-19 : les tests PCR contestés (parismatch.com)   Dr Philippe Gorny

« L’usage à grande échelle d’un test aussi sensible génère un grand nombre de résultats inexacts

Ce test requiert de grandes quantités de réactifs, des équipements de laboratoire coûteux, des professionnels hautement qualifiés travaillant avec des masques, une double paire de gants, des surchaussures et mille autres précautions. Les possibles biais techniques sont légion et une source importante de résultats erronés : mauvais prélèvement, erreurs d’étiquetage, contamination d’un réactif, mauvais pipetage, faute d’interprétation, etc. Un laboratoire bostonien a suspendu ses tests de dépistage après la découverte de 400 faux positifs en une seule journée. Des écouvillons n’ayant jamais servi envoyés à des laboratoires pour analyse sont revenus positifs (signifiant qu’ils y furent contaminés). Le président de la Tanzanie, John Magufuli, a fait savoir à la terre entière qu’il avait secrètement envoyé des échantillons provenant d’une papaye, d’un mouton et d’une chèvre à un laboratoire de dépistage du Covid. Tous sont revenus positifs ! Doit-on en rire ? Pas vraiment. Le fait est que l’usage à grande échelle d’un test aussi sensible génère un grand nombre de résultats inexacts ».

On sait tout cela depuis plusieurs mois mais question à cent sous, les gens et en particulier les jeunes ont continué à jouer à la roulette du test PCR y retournant quatre à cinq fois (toujours test gratuit pour eux mais payé par notre sécu et nos impôts) afin d’avoir enfin un test positif et là l’ars s’en donne à cœur joie pour persécuter les contacts dénoncés leur faisant croire qu’ls sont « obligés » de subir un test. Quelle soumission de notre jeune génération, comme celle de jupe trop courte, etc.

Le docteur Mike Yeadon, ex-directeur scientifique de Pfizer pendant seize ans, a récemment déclaré : « Plus de la moitié des positifs sont susceptibles d’être des faux, voire potentiellement tous. » Eh oui ! Ce que la PCR détecte réellement n’est que la présence de séquences partielles de l’ARN du virus intact. Elles peuvent être un morceau de virus mort ou d’un virus non viable. Leurs porteurs n’ont alors aucun symptôme, ne sont pas contaminants, mais néanmoins dits positifs.     ALORS STOP TESTS !

« On imagine les conséquences que le confinement inutile de telles personnes faussement positives peut avoir sur l’économie et leur vie professionnelle ou sociale » …conclue le journaliste de Paris Match.

Même le célèbre docteur Anthony Fauci, [11]directeur de l’Institut national américain des allergies et maladies infectieuses « a expliqué qu’au-delà de 35 cycles d’amplification, tous les PCR sont des faux positifs, liés à des débris viraux, non cultivables en laboratoire et non contagieux.

Pour le siège des Centers for Disease Control and Prevention, à Atlanta, il est rarissime de détecter du virus vivant au-delà de 33 cycles. Aux Etats-Unis, pourtant, la routine pousse souvent l’amplification au-delà de 40 cycles, et c’est la même chose en France ! Dans son avis du 18 septembre 2020 notre Haute Autorité de santé a recommandé de rester entre 35 et 40 cycles, c’est-à-dire au-dessus du seuil de 35.

Autrement dit, la stratégie sanitaire actuelle a pour base des résultats qui ne reflètent pas la réalité ! Certains experts s’en inquiètent : la PCR serait-elle intentionnellement utilisée pour multiplier le nombre de cas ? Et si oui, dans quel but ? » conclue le dr Gorny.

« Avec la pratique des tests actuels, il se peut que le Covid-19 ne disparaisse jamais. » C’est de l’humour anglais. Les Français apprécieront » conclue Gorny.

Surtout si leur premier ministre reste en place et empêche les étudiants de retourner à la fac et de profiter de leur jeunesse.

De quel droit priver les sportifs de leur sport préféré dont la dernière trouvaille est d’ouvrir les stations de ski, mais pas les remonte pentes. Ces énarques ont peut-être une belle carrière sur le papier mais cela ne les rend pas gai…. Bûche de Noel dans la cuisine… Elle va rester célèbre, celle-ci. Plus que sa tragique mise en place de la tarification à l’activité dont Mr Castex fut l’artisan et qui a fini de ruiner les hôpitaux et l’organisation du système de santé. Il se plaint maintenant du manque de lits…

[1] Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

[2] Kary Mullis : « Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade » (laveritesansmasque.blogspot.com)

[3] Lisbonne, le 11 novembre 2020 Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés

[4]http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30

[5]  » Ainsi, tout diagnostic ou tout acte de surveillance de la santé (comme c’est le cas pour la détermination de l’existence d’une infection virale et d’un risque élevé d’exposition, qui se révèlent couverts par ces concepts) posé sans observation médicale préalable des demandeurs, sans l’intervention d’un médecin inscrit à l’OM (qui a procédé à l’évaluation de ses signes et symptômes, ainsi qu’aux examens qu’elle jugeait appropriés à son état), viole ce règlement »

[6]« Même en vertu de la loi sur la santé mentale, loi n ° 36/98 du 24 juillet, le diagnostic de la pathologie pouvant conduire à l’internement obligatoire est obligatoirement effectué par des médecins spécialistes et leur jugement technique et scientifique – inhérent à l’évaluation clinique-psychiatrique – est exclue de l’évaluation gratuite du juge (voir articles 13, 3, 16 et 17 de ladite loi). »

[7] Par Rita Jaafar, Sarah Aherfi, Nathalie Wurtz, Clio Grimaldier, Van Thuan Hoang, Philippe Colson, Didier Raoult, Bernard La Scola, Maladies infectieuses cliniques, ciaa1491, https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491,em https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093 / cid / ciaa1491 / 5912603, publié fin septembre de cette année, par Oxford Academic, réalisé par un groupe qui rassemble certains des plus grands experts européens et mondiaux dans le domaine.

[8] Elena Surkova et al  https://www.thelancet.com/journals/lanres/article/PIIS2213-2600(20)30453-7/fulltext The Lancet, Respiratory Medicine

[9] Aux termes de la dans les articles 401 nº1 al. A), 417 nº6 al. b) et artº420 nº1 als. a) et b), tous les CP pénaux. Lisbonne, le 11 novembre 2020 Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés – décision. Compte tenu de ce qui précède et conformément aux dispositions de l’article 417, paragraphe 6, al. b) et 420 nº1 als. a) et b), tous deux du Code de procédure pénale,

[10] L’enfant positif revenant de Singapour n’a contaminé aucune des personnes avec lesquelles il était en contact, même pas ses frères et sœurs.

[11] Le 30 octobre dernier, lors d’une interview

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir

Les personnes asymptomatiques ne propagent pas le COVID-19

Résumé :

  • La grande majorité des personnes dont le test de dépistage du SARS-CoV-2 est positif sont asymptomatiques. Ils ne sont tout simplement pas malades. Le test PCR ne fait que détecter les particules virales inactives (non infectieuses).
  • Dans une étude portant sur les femmes enceintes admises pour l’accouchement, 87,5 % des femmes dont le test de dépistage du SARS-CoV-2 s’est révélé positif n’avaient aucun symptôme
    Une étude portant sur les données des tests PCR de près de 10 millions d’habitants de la ville de Wuhan a révélé que pas un seul de ceux qui ont été en contact étroit avec une personne asymptomatique n’a été testé positif.
  • Sur les 34 424 résidents ayant des antécédents de COVID-19, 107 personnes ont été testées positives une deuxième fois, mais aucune n’était symptomatique et aucune n’était infectieuse.
  • Lorsque des patients asymptomatiques ont été testés pour les anticorps, ils ont découvert que 190 des 300, soit 63,3 %, avaient en fait eu une infection “chaude” ou productive entraînant la production d’anticorps. Pourtant, aucun de leurs contacts n’avait été infecté.

Analyse par le Dr Joseph Mercola

Selon les médias, les “cas” COVID-19, c’est-à-dire les résultats positifs des tests PCR, sont en plein essor aux États-Unis et dans le monde entier, ce qui conduit à la mise en œuvre de mesures qui, dans certains cas, sont plus strictes que ce que nous avons enduré lors de la vague initiale.

Cependant, comme le montrent plusieurs articles récents, notamment “Why COVID-19 Testing Is a Tragic Waste“, les tests PCR sont utilisés de manière incorrecte, ce qui donne l’impression fausse d’une transmission généralisée.

En réalité, la grande majorité des personnes qui se retrouvent avec un test positif ne développent pas de symptômes et ne sont pas contagieuses. Il va sans dire que si vous n’êtes pas contagieux, vous ne présentez aucun risque pour la santé de quiconque, et le fait d’être placé en résidence surveillée n’est rien d’autre qu’une punition cruelle et inappropriée.

Les taux de tests positifs n’ont aucune incidence sur les taux de mortalité

Dans le rapport Highwire ci-dessus, Del Bigtree explique comment une sensibilité excessive des tests conduit à des chiffres faussement élevés de “cas” qui, en réalité, ne nous disent rien sur la situation en question. Comme l’a noté Bigtree, ce qui manque dans la communication sur le COVID-19, c’est le taux de mortalité réel.

“Si le COVID est un virus mortel, que devrions-nous voir lorsque les cas augmentent”, demande-t-il. La réponse, bien sûr, est une augmentation des décès. Cependant, ce n’est pas ce qui se passe.

À part une petite bosse au début, lorsque les médecins n’étaient pas sûrs du traitement approprié et que certains États envoyaient de façon imprudente et irresponsable des patients infectés dans des maisons de retraite mal équipées, le taux de mortalité est resté relativement stable alors que les taux de tests positifs ont augmenté et diminué de façon spectaculaire par intervalles.

Dans la vidéo, Bigtree présente un tweet[1] du 4 novembre 2020 du Dr Scott Atlas, conseiller en matière de coronavirus à la Maison Blanche, montrant le nombre de tests positifs (alias “cas”) en bleu et les décès liés à la COVID-19 en rouge, depuis le début de la pandémie jusqu’à la fin octobre 2020. Comme vous pouvez le constater, il n’y a pas de corrélation entre le taux de tests positifs et les décès ultérieurs.

La grande majorité des patients “COVID-19” sont asymptomatiques

L’une des raisons pour lesquelles les taux de tests positifs et la mortalité ne vont pas de pair est le simple fait qu’une grande majorité des personnes dont le test est positif pour le SARS-CoV-2 sont asymptomatiques. Ils ne sont tout simplement pas malades. Le test PCR ne fait que capter les particules virales inactives (non infectieuses).

Dans une étude[2], qui portait sur des femmes enceintes admises pour l’accouchement, 87,9 % des femmes dont le test était positif pour la présence du SARS-CoV-2 ne présentaient aucun symptôme. Une autre étude[3] s’est intéressée à un grand refuge pour sans-abri à Boston. Après y avoir observé un groupe de cas de COVID-19, les chercheurs ont procédé à une évaluation des symptômes et à des tests parmi tous les clients résidant dans le refuge pendant deux jours.

Sur les 408 personnes testées, 147, soit 36%, étaient positives, mais les symptômes étaient manifestement absents. La toux n’est apparue que dans 7,5 % des cas, l’essoufflement dans 1,4 % et la fièvre dans 0,7 %. Tous les symptômes étaient “peu fréquents chez les personnes positives au COVID”, ont noté les chercheurs.

La transmission asymptomatique est très rare

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