Category: Mortalité

Grippe VS Covid, qui est vraiment le plus mortel ?

Nous sommes en 2021 et on n’en a pas encore fini avec le coronavirus. La menace d’un nouveau confinement arrive. Tout le monde regarde vers l’Angleterre et leur nouveau variant. Ce qu’on va voir dans cette vidéo c’est si l’épidémie de COVID-19 est vraiment plus mortelle que la grippe de 2017 et de combien est l’écart. Je vous annonce tout de suite qu’en faisant tous les calculs j’ai complètement halluciné.

Miroir : https://odysee.com/@InfoGrandReveil:9/GrippeVsCovid:2

En comparant l’épidémie de grippe de 2017 au covid-19 de 2020 (première vague) sur 64 jours, on observe 1750 morts de plus en 2020.

Mais il faut également prendre en compte l’âge de la population en France

Quand on compare le taux de mortalité par âge de la grippe de 2017 avec le covid-19 de 2020, il y a plus de décès en 2017.

Royame-Uni – Seules 44 personnes en bonne santé âgées de moins de 40 ans sont mortes du coronavirus depuis le début de la « pandémie »

Le virus qui a prétendument provoqué le plus grand désastre dans le monde occidental n’a tué que 44 personnes de moins de 40 ans sans comorbidités en Angleterre.

Daily Mail :

Seulement 377 personnes de moins de 60 ans sans conditions de santé sous-jacentes sont mortes du Covid-19 dans les hôpitaux d’Angleterre depuis le début de la « pandémie », selon les données du NHS.

Les chiffres montrent que 1 911 personnes précédemment en bonne santé sont mortes dans les hôpitaux en Angleterre après avoir été testées positives pour le Covid-19 entre le 2 avril et le 23 décembre.

Seulement 338 de ces personnes étaient âgées de 40 à 59 ans, 44 autres avaient entre 20 et 39 ans, et seulement six avaient moins de 19 ans, selon les données.

Entre-temps, 45 770 décès ont été enregistrés parmi les personnes présentant des conditions préexistantes, dont 21 avaient moins de 20 ans, 263 avaient entre 20 et 39 ans et 2 926 avaient entre 40 et 59 ans.

Le nombre de décès de personnes de moins de 40 ans ayant des conditions de santé préexistantes est de 263, donc un total de 307 personnes de moins de 40 ans seraient mortes de coronavirus.

Cela nous apprend deux choses :

  • Les mesures de confinement et de distanciation sociale n’ont jamais vraiment été nécessaires
  • Vacciner les personnes de moins de 40 ans en bonne santé est une idée absurde

Bien que ce virus ait à peine tué 44 jeunes gens en bonne santé en un an, le gouvernement a pris le pouvoir total sur la vie de chacun.

Ils sont maintenant dans une situation où la police peut imposer à n’importe qui une sorte d’assignation à résidence et les magasins peuvent empêcher les gens d’entrer s’ils ne portent pas de masque.

Il est clair que ce n’est pas une question de santé publique. Cela n’a jamais été le cas.

L’objectif est la soumission et le contrôle de nos vies.

source : https://www.aubedigitale.com/

La vaccination contre la grippe aurait-elle un lien avec l’augmentation des décès de nos aînés atteints de Covid-19 ?

Dès le début de l’été, un rapport original, avait été établi à titre personnel par le Dr Juan F. Gastón Añaños, du Service de Pharmacie de l’hôpital espagnol de Barbastro (province de Huesca) daté du 18 juin 2020 intitulé : « liens et causes possibles de la pandémie avec le vaccin contre la grippe actualisés», faisait état d’une interrogation sur le lien entre le vaccin contre la grippe saisonnière et les décès imputés à la Covid-19, en particulier chez nos aînés.

Y aurait-il un lien entre les décès de nos aînés atteints de Covid-19 et la vaccination contre la grippe saisonnière ? Unsplash

Un rapport qui apparait puis disparait pour revenir modifié

De façon étonnante, le lien vers le rapport original (18 juin 2020) est introuvable depuis le 28 juin, sauf sur Wayback machine. Ce service scanne le web de manière continue et garde en mémoire des « images » de ce qui est publié.  Ce qui permet, en cas de suppression, de retrouver la plupart des articles. Hormis bien sur en cas d’un nettoyage plus approfondi de la mémoire d’internet.

Publié le 28 juin 2020, il a été supprimé dès le lendemain sur le site elarconte.com, cependant nous pouvons le retrouver grâce aux archives web. Il a ensuite été modifié le 29 juin 2020 et republié sans que ne soient précisées les modifications effectuées. 

Il est néanmoins probable que cette modification soit  en lien avec un article de démenti de l’association de vaccination espagnole (AEV) qui nie catégoriquement les informations sur l’association entre le polysorbate 80 (vaccin contre la grippe) et l’infection par le SRAS-CoV-2. Une experte en microbiologie nous dit : “ce démenti était peu convaincant”.

Et elle ajoute : « pourtant, cette étude théorique concluait à l’hypothèse d’un mécanisme d’interférence immunologique théorique possible pour expliquer que les patients qui tombent malades de la COVID-19 et qui ont reçu le vaccin antigrippal meurent plus que les patients avec COVID-19 qui n’ont pas été vaccinés contre la grippe lors de la dernière campagne dans cette province d’Espagne, en se concentrant sur un adjuvant (excipient), le Polysorbate 80, pour lequel il existe des réactions immunologiques indésirables décrites. »

Une interférence existe entre divers virus

Le 15 septembre, une publication dans Nature, qui semble être passée inaperçue, s’intéressait à l’interférence entre les rhinovirus (coronavirus des rhumes bénins) et le virus influenza A (IAV), c’est-à-dire le H1N1, responsable de la pandémie de 2009. Rappelons ici que le virus de la grippe saisonnière est aussi un virus influenza. Les auteurs ont fait en parallèle une analyse rétrospective de données cliniques (1) et une étude expérimentale (2) pour investiguer :

– la co-occurrence des rhinovirus et des para-et influenza virus chez des adultes de plus de 21 ans aux USA testés par PCR Multiplex pendant 3 saisons de novembre à mars 2016-17, 207-19 et 2018-19 et comparer ce qui a été observé par rapport à ce qui était  attendu (1).

– l’interférence entre ces 2 types de virus, par infection expérimentale de cultures cellulaires d’épithélium respiratoire par H1N1 puis par rhinovirus suivie d’une quantification séquentielle de l’infection en présence ou non d’un inhibiteur de la production d’interféron (2).

Leurs observations ont conduit à l’hypothèse qu’un seul virus respiratoire peut bloquer l’infection par un autre à travers la stimulation des défenses anti virales (ici, production d’interféron par l’induction de l’expression du gène ISG) par la muqueuse respiratoire.

Cela pourrait expliquer l’idée que l’interférence entre H1N1 et les rhinovirus saisonniers aurait permis l’extinction de l’épidémie de 2009 et que cette hypothèse devrait être prise en considération pour les stratégies d’intervention entre les épidémies de grippe saisonnière en présence de la « pandémie » de SARS-Cov2 sévissant actuellement. Autrement dit, les rhinovirus saisonniers (coronavirus communs), en entrant en compétition avec la grippe saisonnière, pourraient fonctionner comme des protecteurs en bloquant l’infection par d’autres virus respiratoires plus pathogènes, et permettraient l’extinction de cette dernière chaque année. A cette compétition, s’ajoute donc maintenant un autre coronavirus, le SARS-CoV2, qui par extrapolation de ces conclusions, pourrait également participer à l’extinction de l’épidémie de grippe saisonnière, et inversement.

Ici le sujet n’est pas l’immunité croisée, puisque la grippe et le rhume n’appartiennent pas à la même famille de virus (influenza et coronavirus, respectivement), mais du déclenchement de la production d’interféron, glycoprotéine de la famille des cytokines, puissant antiviral naturellement produit par les cellules de notre système immunitaire et par d’autres cellules, dont les cellules de l’épithélium respiratoire. En d’autres termes du fonctionnement complexe, mais d’une adaptation exceptionnelle de notre système immunitaire

La vaccination contre la grippe étudiée a une association avec le virus de la Covid 19

Enfin, tout récemment, une publication scientifique du 1er octobre 2020, s’est intéressée à la corrélation possible entre le taux de vaccination contre la grippe et les décès de la Covid-19 dans 39 pays du monde de plus d’un demi-million d’habitants, chez les personnes âgées.

Les résultats ont montré une association positive entre les décès de la Covid-19 et le taux de vaccination contre la grippe saisonnière chez les personnes âgées de plus de 65 ans, avec une augmentation significative des décès de la Covid-19 des régions de l’Est vers les régions de l’Ouest dans le monde. En clair, cela signifie que les personnes âgées ayant été vaccinées préalablement contre la grippe sont davantage décédées de la Covid-19 que celles ne l’ayant pas été.

Là aussi, l’auteur conclut à la nécessité d’autres recherches afin d’expliquer ces observations et de prévenir ces décès potentiels associés à la Covid-19.

On conviendra qu’il serait donc urgent de faire une étude indiscutable d’un lien supposé entre l’administration d’un vaccin contre la grippe saisonnière et les cas « confirmés » de COVID-19 qui ont conduit à un décès. La publication des chiffres de décès dus au SARS-CoV2 (en ne testant presque personne à l’époque et en l’attribuant automatiquement à la COVID-19) n’avait-elle que pour objectif de brouiller les pistes et de réduire la corrélation entre les deux ? Ne pas chercher à éliminer ce lien de causalité éventuel semble être un risque pour la population lors de la prochaine campagne vaccinale antigrippale (imminente) qui se verra peut-être associée à un nouvel épisode épidémique sévère de ce virus, voire un nouveau confinement et beaucoup plus de décès à la clef.

D’ailleurs, en date du 3 octobre, le Lazio TAR (Italie) a annulé l’ordonnance du président de la région du Latium, Nicola Zingaretti, datant du 17 avril et par laquelle il imposait l’obligation de la vaccination contre la grippe saisonnière pour toutes les personnes âgées de plus de 65 ans. Aurait-il eu vent de cette étude ?

Au regard de tout ceci, et à l’heure où de nombreux médecins appellent à tous nous faire massivement vacciner contre la grippe, cette étude permettrait d’établir une stratégie vaccinale avec une population ciblée en ce qui concerne la grippe : peut-être vaudrait-il mieux vacciner en priorité  les enfants (évoqué par le Pr Raoult, ainsi que la vaccination anti pneumocoque), plutôt que leurs grands-parents, afin de limiter les chaînes de transmission de la grippe et de préserver ainsi le capital de défense de nos aînés face à la Covid-19 afin qu’ils n’en meurent pas plus ?

Un médecin nous dit :

« cette position fera surement débat et entrainera des incompréhensions, car si on vaccine les enfants, les personnes âgées n’auront pas le virus influenza, et donc ne bénéficieront pas de l’interférence virale influenza – coronavirus par le biais de sécrétion d’interféron. Le problème ne serait donc pas le vaccin lui-même, mais le fait qu’il « prive » l’individu (enfants et personnes âgées par conséquent) de l’infection par influenza. »

Une analyse plus complexe de ce sujet découle de l’efficacité du vaccin contre la grippe et de la couverture vaccinale. En effet, l’efficacité du vaccin est fonction des souches du virus qui sont visées et des mutations de ce virus. Comme la couverture vaccinale n’est jamais de 100% de la population, il subsiste toujours un doute sur la circulation du virus et la restriction des cibles en fonction de la couverture vaccinale.  Dans les faits, on ne priverait donc pas forcement les gens vaccinés d’attraper le virus, mais on permet l’atténuation de cette grippe voire de la passer sous les radars. On limite donc les chaines de transmission.

De plus, de nombreuses publications scientifiques montrent le rôle majeur de l’activation des lymphocytes T (immunité à médiation cellulaire), plus important que celui des anticorps spécifiques (immunité à médiation humorale), et participant à l’immunité croisée, dans la lutte de l’organisme contre l’infection au SARS-CoV2. Ne serait-il donc pas plus judicieux de renforcer cette immunité naturelle, diminuée par l’âge chez nos aînés, par exemple à l’aide de supplémentation en Vitamine D et en zinc (dont ils sont souvent déficitaires) mais également de Vitamine C, par exemple ?

Une réflexion globale sur la stratégie d’anticipation concernant les personnes à risque, dont les personnes âgées, face à la Covid-19 s’impose de façon urgente !

Auteur(s): Le Collectif Citoyen pour FranceSoir

L’année 2020 connaît la plus faible incidence d’infections respiratoires aiguës depuis 1984 (Covid-19 inclus)

Le réseau Sentinelles (www.sentiweb.fr) est un réseau de recherche et de veille en soins de premiers recours (médecine générale et pédiatrie) en France métropolitaine. Créé en 1984, il est développé sous la tutelle conjointe de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et de Sorbonne Université.
Il met à disposition le suivi de l’incidence des syndromes grippaux depuis 1984.
Ces données peuvent-elles nous donner des indications utiles concernant la crise sanitaire actuelle ?
Il est indiqué que “A partir de la semaine 2020s12 les incidences de cet indicateur sont estimées à partir de l’indicateur Infections Respiratoires Aiguës, l’interprétation par rapport aux valeurs historiques doit se faire avec prudence.”
Les infections respiratoires aiguës comprennent COVID-19, GRIPPE et autres virus respiratoires.

Le premier pic de 2020 de ce graphique ne correspond pas à la première vague de mortalité liée au Covid mais au 20 janvier 2020, soit aux grippes de l’hiver. Le deuxième plus petit coïncide avec la deuxième vague de mortalité liée au Covid-19.


Graphique de mortalité de l’Insee.

https://www.insee.fr/fr/statistiques/4923977?sommaire=4487854

Si pour la première vague de mortalité les directives incitants tout patients présentant des symptômes à rester chez lui et à prendre du Doliprane (substance qui diminue la fièvre, le plus puissant outil du système immunitaire), le nombre de patients ayant consulté pour une infection respiratoire aiguë a pu être au plus bas depuis 35 ans, on voit même qu’il diminue presque totalement pendant la première vague (pendant le confinement).

Mais pour la deuxième vague de mortalité (début vers le 18 octobre), les médecins généralistes n’étaient pas fermés et recevaient des consultations, on ne conseillait pas aux patients de rester chez eux, des unités Covid ont remplacé des services entiers d’hôpitaux, les traitements se sont affinés que ce soit en médecine de ville ou à l’hôpital.
Et pourtant, toujours la plus faible incidence d’infections respiratoires aiguës depuis 35 ans.

Comment expliquer ces chiffres ?

Ce qu’on doit retenir de ce graphique, c’est que de donner des chiffres bruts sans explications et prise en compte des différents paramètres en jeu est rarement significatif. Selon les chiffres officiels, nous avons une augmentation dramatique de cas à partir de méthodes de test problématiques, et toujours selon les chiffres officiels, il n’y a jamais eu d’épidémie de Covid-19 en France à partir d’un des indicateurs les plus importants dans toutes épidémies, le nombre de consultations chez le médecin généraliste.

Sources : http://www.sentiweb.fr/france/fr/?page=table
https://archive.vn/I1aaX
http://www.sentiweb.fr/france/fr/?page=maladies&mal=25
https://archive.vn/kcIzn


L’étude de la Johns Hopkins explose le canular des décès COVID

“Ce patient qui est mort a eu une crise cardiaque ordinaire. Plus maintenant. Nous le reclassons dans la catégorie COVID.”

Par Jon Rappoport

Ne clignez pas. Johns Hopkins peut supprimer ou retirer son analyse à tout moment. L’étude de leur auteur est dévastatrice, trop brûlante.

MISE À JOUR : Oui, j’ai écrit cet article quelques heures avant que Johns Hopkins n’intervienne et ne se rétracte. Boom. [1] [2] [3] [4]

Hopkins affirme que l’article a été utilisé pour diffuser des informations erronées sur la pandémie et qu’il contient des erreurs factuelles. Le CDC est pourtant cité comme une source de faits correcte. Hmm.

Quoi qu’il en soit, voici mon article, terminé avant la rétractation de Johns Hopkins. Depuis lors, je l’ai seulement un peu peaufiné à plusieurs endroits, pour plus de clarté :

Il y a quelques mois, je vous ai dit ceci, dans un certain nombre d’articles : Le pourcentage écrasant de personnes qui “meurent du virus” sont en fait en train de mourir de maladies traditionnelles.
Ces personnes ont été rebaptisées et renommées “COVID-19”.
Cela n’a rien à voir avec “le virus”.

Une nouvelle analyse de Johns Hopkins le confirme à merveille.
L’article de la Johns Hopkins News-Letter, dans une publication étudiante, est intitulé “A closer look at US deaths due to COVID-19”. Il expose les arguments de “Geneviève Briand, directrice adjointe du programme de maîtrise en économie appliquée à Hopkins”.

En poursuivant votre lecture, gardez ceci à l’esprit : Si la soi-disant augmentation de la mortalité due au COVID est compensée, presque exactement, par une diminution des décès dus à toutes les autres maladies majeures…

En indiquant que les décès dits COVID ne sont rien de plus qu’un exercice de réétiquetage, alors…
On peut dire qu’il existe un nouveau coronavirus, mais il est encore moins nocif que la grippe, car pratiquement tout le monde s’en remet…
Ou bien vous pouvez dire que toute l’histoire d’un nouveau coronavirus est un faux récit. Il n’y a pas de nouveau virus.
Mes lecteurs savent que j’ai fourni de nombreuses preuves pour cette dernière conclusion.
Voici les principales citations de l’article de la Johns Hopkins News-Letter :

“Ces analyses de données suggèrent que, contrairement aux hypothèses de la plupart des gens, le nombre de décès par COVID-19 n’est pas alarmant. En fait, il n’a relativement aucun effet sur les décès aux États-Unis”.

“Cela est un choc pour beaucoup de gens. Comment se fait-il que les données soient si éloignées de notre perception ?”

“Lorsque Briand a examiné les données de 2020 pendant cette saison, les décès liés à la COVID-19 ont dépassé les décès dus aux maladies cardiaques. C’était très inhabituel puisque les maladies cardiaques ont toujours été la principale cause de décès. Cependant, en examinant de plus près les chiffres des décès, elle a noté quelque chose d’étrange. En comparant le nombre de décès par cause pendant cette période en 2020 à 2018, elle a remarqué qu’au lieu de l’augmentation drastique attendue pour toutes les causes, il y avait une diminution significative des décès dus aux maladies cardiaques. Plus surprenant encore, comme le montre le graphique ci-dessous, cette baisse soudaine des décès est observée pour toutes les autres causes”.

“Cette tendance est totalement contraire à la tendance observée au cours de toutes les années précédentes. Il est intéressant de noter que, comme le montre le tableau ci-dessous, la diminution totale des décès par d’autres causes est presque exactement égale à l’augmentation des décès par COVID-19. Cela suggère, selon Briand, que le nombre de décès par COVID-19 est trompeur. Briand pense que les décès dus aux maladies cardiaques, aux maladies respiratoires, à la grippe et à la pneumonie pourraient plutôt être reclassés comme étant dus au COVID-19”.

“Le CDC a classé tous les décès liés au COVID-19 simplement comme étant des décès dus au COVID-19. Même les patients qui meurent d’autres maladies sous-jacentes mais qui sont infectés par COVID-19 comptent comme des décès dus au COVID-19. C’est probablement la principale explication de l’augmentation drastique des décès par COVID-19 alors que les décès par toutes les autres maladies ont connu une diminution significative”.

“‘Tout cela ne prouve en rien l’existence d’un excès de décès dû au COVID-19. Le nombre total de décès n’est pas supérieur au nombre normal de décès. Nous n’avons trouvé aucune preuve du contraire”, a conclu Briand.

“Si [le nombre de décès dus à la COVID-19] n’était pas du tout trompeur, ce que nous aurions dû observer est une augmentation du nombre de crises cardiaques et des chiffres de la COVID-19. Mais une diminution du nombre de crises cardiaques et de toutes les autres causes de décès ne nous laisse pas d’autre choix que de signaler une classification [un réétiquetage] erronée”, a répondu Briand.

“En d’autres termes, l’effet du COVID-19 sur les décès aux États-Unis n’est considéré comme problématique que lorsqu’il augmente le nombre total de décès ou la charge de mortalité réelle d’une quantité significative en plus des décès prévus par d’autres causes. Puisque le nombre brut de décès totaux, toutes causes confondues, avant et après l’annonce de COVID-19 est resté le même, on peut difficilement dire, selon Briand, que les décès dus à COVID-19 sont préoccupants”.

Bien sûr, l’article fait un retour en arrière. Le virus est mortel et la pandémie est réelle, etc. Mais les données sont les données.

Toute l’opération COVID est un canular.

Si je pensais que d’autres chercheurs honnêtes enquêteraient et recalculeraient l’analyse de Hopkins, je dirais, voyons ce qu’ils trouveront. Mais d’après mon expérience, il y aura, au mieux, une brève rafale d’articles dans la presse sur cette découverte extraordinaire, puis les scientifiques et les journalistes passeront à autre chose, comme si de rien n’était. C’est leur façon de faire. Ils exposent brièvement un scandale et ensuite ils se défilent pour couvrir le scandale.

L’autre possibilité est la suivante : Hopkins se rétractera sur l’analyse, prétendant qu’elle était erronée.

Voilà, c’est fait.

Un canular. Escroquerie. Faux.

Comme je ne cesse de le répéter, le virus (dont l’existence n’a jamais été prouvée) est la couverture du véritable objectif de la première phase : la destruction de l’économie.
Si le virus était réel, s’il attaquait les gens à gauche et à droite, les chiffres de mortalité toutes causes confondues exploseraient.
Mais ce n’est pas le cas.

“J’ai une idée géniale, Bill. Déclarons une fausse pandémie. Nous allons rapporter toutes sortes de chiffres de mortalité élevés. Mais en réalité, nous ne ferons que soustraire les chiffres des autres maladies traditionnelles qui causent des décès, et nous ajouterons ces chiffres à notre fausse pandémie”.

“Ça a l’air génial, Tony. Tu peux y arriver ? Je veux dire, c’est assez évident.”

“Bien sûr, on peut y arriver. Et si un journaliste avec une réputation grand public ou une institution développe soudainement une brève infection ÉTHIQUE, nous appellerons son travail une erreur ou un manque de jugement.”

“Vous voulez dire une institution comme l’Organisation Mondiale de la Santé ou Johns Hopkins ?”

“Exact. Nous dirons que l’institution n’a pas publié l’étude, qu’il s’agissait juste d’un de ses membres, un chercheur isolé. Et si nécessaire, l’institution, sous la pression, fera marche arrière. Mais cela suppose que quelqu’un ait remarqué l’étude en premier lieu. Normalement, ces “révélations” font surface pendant un moment puis s’enfoncent comme une pierre. Personne ne s’en soucie. Une pandémie est une cascade d’argent. Les bénéficiaires ne sacrifieront pas leurs résultats financiers, ni leur réputation…”

SOURCES:

[1] https://www.jhunewsletter.com/article/2020/11/a-closer-look-at-u-s-deaths-due-to-covid-19

[2] https://web.archive.org/web/20201126163323/https://www.jhunewsletter.com/article/2020/11/a-closer-look-at-u-s-deaths-due-to-covid-19

[3] https://drive.google.com/file/d/1iO0K75EZAF8dkNDkDmM3L4zNNY0X-Xw5/view

[4] https://www.youtube.com/watch?v=3TKJN61aflI

L’euthanasie au Rivotril en chiffres

L’euthanasie au Rivotril en chiffres

Mise en relation entre le nombres de boites d’ampoules de Rivotril (clonazepam) remboursées par la sécurité sociale et la surmortalité pendant l’épidémie de Covid19.

Source du graphique :

Sources 2019
https://www.ameli.fr/l-assurance-maladie/statistiques-et-publications/donnees-statistiques/medicament/medicaments-pharmacies-de-ville-par-prescripteur/medic-am-2019.php
https://www.ameli.fr/fileadmin/user_upload/documents/Medic_AM_mensuel_2019_-1er_semestre_tous_regimes.zip https://www.ameli.fr/fileadmin/user_upload/documents/Medic_AM_mensuel_2019-_2e_semestre_tous_regimes.zip

Sources 2020
https://www.ameli.fr/l-assurance-maladie/statistiques-et-publications/donnees-statistiques/medicament/medicaments-pharmacies-de-ville-par-prescripteur/medic-am-2020.php
https://www.ameli.fr/fileadmin/user_upload/documents/Medic_AM_mensuel_2020_-1er_semestre_tous_regimes.zip https://www.ameli.fr/fileadmin/user_upload/documents/Medic_AM_mensuel_2020-_2e_semestre_tous_regimes.zip

Insee :
https://www.insee.fr/fr/statistiques/4487861?sommaire=4487854#graphique-figure_evol

Graphique utilisé disponible ici au format excel

Autres données et documents à propos du Rivotril :

(tirés de https://cv19.fr/ressources/#cure )

Le décret dans lequel on parle d’injection de rivotril en premier (vers le 29 mars 2020)
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000041763328
https://archive.vn/jCJhc

Puis le 16 octobre 2020
Par dérogation à l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril ® sous forme injectable peut faire l’objet d’une dispensation, par les pharmacies d’officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie sur présentation d’une ordonnance médicale portant la mention « Prescription Hors AMM dans le cadre du covid-19 ».
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042430554
https://archive.vn/mY0M7

Le Rivotril étant un médicament fortement déconseillé en cas de depression respiratoire
https://www.drugs.com/disease-interactions/clonazepam,klonopin.html#respiratory_depression

Les posologies préconisées pour les patients suspectés Covid (recommandation de la SFAP Société Française d’accompagnement et de soins palliatifs)
Perfusion : clonazépam bolus d’induction à 1 mg (IV ou SC), puis en relais à la dose de 3 mg/24h soit en IV SE (seringue électrique) ou SC SE, soit dans un soluté sur 24h ;
Sans perfusion : dose de charge contenant morphine 10 mg + clonazépam (1 mg) en SC directe, à renouveler aux bout d’une heure si besoin, puis administration de morphine 10 mg + clonazépam 1 mg en SC directe systématiquement matin et soir (possibilité de laisser un cathlon en place durant 5 jours).
http://www.sfap.org/actualite/outils-et-ressources-soins-palliatifs-et-covid-19
http://www.sfap.org/system/files/propositions_therapeutiques_dyspnee_asphyxie_covid_0.pdf
Article de blog traitant du sujet :
http://www.brujitafr.fr/2020/04/euthanasie-rendue-legale-en-ehpad-c-est-acte-rivotril-clonazepam-et-paracetamol-injectables-utilisation-derogatoire-dans-le-cadre-de
https://archive.vn/4IJ28

Tout traitements autres que le Doliprane n’était pas recommandé durant la gestion de cette épidémie
Covid 19 : des attitudes criminelles ? Posté le 12 juin 2020 par Gérard Maudrux (Chirurgien urologue)
https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/06/12/covid-19-des-attitudes-criminelles/
https://archive.vn/bQ9A5

Articles traitant du sujet :

Chronique Covid N°33 – « Combien de morts sur ordonnances dans les EHPADs ou à domicile avec le Rivotril®, à cause du covid et des refus d’hospitaliser ? » (Publié le 22/10/2020)
http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-covid-ndeg33-combien-de-morts-sur-ordonnances-dans-les-ehpads-ou
https://archive.vn/0zA84

Covid-19 : Retour a l’euthanasie dans les EHPAD avec Rivotril par injection. – Décret n° 2020-1262 du 16 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire (19 octobre 2020)
http://www.profession-gendarme.com/75906/
https://archive.vn/dmssQ

L’Euthanasie au Rivotril en chiffres… (ou Mort sur ordonnance ? )
http://www.profession-gendarme.com/leuthanasie-au-rivotril-en-chiffres/
https://archive.vn/NJzcF

Le rivotril à nouveau prescrit aux pensionnaires des EPHAD

Le rivotril à nouveau prescrit aux pensionnaires des EPHAD

Source : https://www.medias-presse.info/le-rivotril-a-nouveau-prescrit-aux-pensionnaires-des-ephad/126057/

Il faut craindre une sévère augmentation de la mortalité dans les EHPAD dans les prochains jours. Non pas en raison d’une prétendue seconde vague de Covid-19 mais parce que le Rivotril est à nouveau prescrit aux pensionnaires des EPHAD ! https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042430554

Décret n° 2020-1262 du 16 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaire s pour faire face à l’épidémie de covid -19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire – Légifrance

Chapitre 2 : Dispositions relatives aux médicaments (Articles 53 à 55)

Article 53

I. – Par dérogation à l’article R. 5121-82 du code de la santé publique, les spécialités pharmaceutiques à base de paracétamol sous une forme injectable peuvent être dispensées dans le cadre de leur autorisation de mise sur le marché, par les pharmacies à usage intérieur autorisées à délivrer des médicaments au public en application du 1° de l’article L. 5126-6 du même code, sur présentation d’une ordonnance émanant de tout médecin portant la mention « Prescription dans le cadre du covid-19 », pour permettre la prise en charge de la fièvre et de la douleur des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 et dont l’état clinique le justifie.
Le pharmacien de la pharmacie à usage intérieur appose sur l’ordonnance le timbre de la pharmacie et la date de délivrance ainsi que le nombre d’unités communes de dispensation délivrées et procède à la facturation à l’assurance maladie de la spécialité au prix d’achat de la spécialité par l’établissement de santé.
Lorsqu’elle est ainsi dispensée, la spécialité est prise en charge sur la base de ce prix par l’assurance maladie avec suppression de la participation de l’assuré prévue à l’article R. 160-8 du code de la sécurité sociale.
Lorsqu’un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes dispose d’une pharmacie à usage intérieur, celle-ci peut se procurer la spécialité auprès de l’établissement pharmaceutique qui en assure l’exploitation ou auprès d’une pharmacie à usage intérieur d’un établissement de santé.
II. – Par dérogation à l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril ® sous forme injectable peut faire l’objet d’une dispensation, par les pharmacies d’officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie sur présentation d’une ordonnance médicale portant la mention « Prescription Hors AMM dans le cadre du covid-19 ».
Lorsqu’il prescrit la spécialité pharmaceutique mentionnée au premier alinéa en dehors du cadre de leur autorisation de mise sur le marché, le médecin se conforme aux protocoles exceptionnels et transitoires relatifs, d’une part, à la prise en charge de la dyspnée et, d’autre part, à la prise en charge palliative de la détresse respiratoire, établis par la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs et mis en ligne sur son site.
La spécialité mentionnée au premier alinéa est prise en charge par les organismes d’assurance maladie dans les conditions du droit commun avec suppression de la participation de l’assuré prévue à l’article R. 160-8 du code de la sécurité sociale.

Pour rappel, les contre-indications du médicament Rivotril rappellent que ce médicament ne doit pas être utilisé en cas d’insuffisance respiratoire grave.

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