Documentaire français de 2009 reprenant l’expérience de Milgram – soumission à l’autorité.
Cette excellente production n’a finalement pas été diffusée malgré la participation de France Télévisions, et vous allez vite comprendre pourquoi.
De l’état actuel des médias au conformisme, que vous connaissiez l’expérience originale ou pas, c’est un documentaire à voir et partager dont le contenu est édifiant.
La phase la plus importante et la plus significative des essais du vaccin CV-19 a à peine commencé, et encore moins été achevée.
Les essais du vaccin COVID 19 semblent avoir provoqué une certaine confusion. Nous espérons que cet article pourra contribuer à clarifier un peu les choses. Les gens semblent vraiment croire que les vaccins COVID 19 ont été soumis à des essais cliniques et qu’ils ont prouvé leur innocuité et leur efficacité. Cette croyance est tout simplement erronée.
Le point principal est le suivant. Si vous décidez d’utiliser le vaccin expérimental à base d’ARNm de Pfizer et BioNTech, le BNT162b2 (BNT), ou tout autre vaccin COVID 19 déclaré à cet effet, vous êtes un sujet d’essai dans un essai pharmaceutique.
L’ARNm du vaccin BNT a été séquencé à partir de la 3ème itération du génome SARS-CoV-2 publié par WUHAN (MN908947.3). Cependant, les protocoles de l’OMS utilisés par Pfizer pour produire l’ARNm ne semblent pas identifier de séquences nucléotidiques propres au virus du SRAS-CoV-2. Lorsque l’enquêteur Fran Leader a interrogé Pfizer, ils ont confirmé :
La séquence d’ADN ne provient pas directement d’un virus isolé provenant d’une personne infectée.
Il n’y a pas non plus d’essais cliniques achevés pour ces vaccins. Des essais sont en cours. Si vous êtes piqué avec un de ces vaccins, vous êtes un cobaye. Cela vous convient peut-être, mais ce n’est pas un acte de foi que mes proches ou moi-même souhaitons accomplir. Cependant, tout le monde est différent.
Le 8 décembre, la BBC a fait état d’une étude dans le Lancet et a déclaré catégoriquement :
Le vaccin Oxford/AstraZeneca Covid est sûr et efficace et offre une bonne protection, ont confirmé les chercheurs
La BBC n’avait aucune raison de faire cette affirmation. L’étude publiée dans le Lancet n’a rien confirmé de tel. Les chercheurs ont écrit :
Le ChAdOx1 nCoV-19 a un profil de sécurité acceptable et s’est révélé efficace contre le COVID-19 symptomatique dans cette analyse intermédiaire des essais cliniques en cours.
Il s’agissait d’une analyse intermédiaire financée, entre autres, par la CEPI et la Fondation Bill et Melinda Gates. L’analyse était basée sur des essais qui sont à des années de l’achèvement et n’ont rien révélé. Les chercheurs ont également déclaré :
Il n’existe aucune publication évaluée par des pairs sur l’efficacité des vaccins contre le syndrome respiratoire aigu sévère à coronavirus 2 (SRAS-CoV-2)…
Il n’existe pas de preuves scientifiques claires établissant la sécurité ou l’efficacité des vaccins COVID 19 proposés. Les rapports de la BBC et d’autres médias de masse qui affirment que ces preuves existent sont faux.
Nous allons nous concentrer sur le vaccin BNT de Pfizer et BioNTech, mais tous les fabricants ont essentiellement exploité le même schéma. Les régulateurs et les gouvernements ont travaillé avec les sociétés pharmaceutiques pour confondre les données limitées des essais initiaux, ou de la première phase, avec la collecte incomplète et continue de données des essais substantiellement plus importants des deuxième et troisième phases. Les médias de masse ont ensuite prétendu à tort que les essais de phase 1, 2 et 3 étaient complets et ont insinué que les données non testées démontraient l’efficacité et la sécurité du vaccin.
En réalité, non seulement les rapports sur les données existantes ont été manipulés pour montrer une efficacité qui n’est pas évidente dans les données brutes elles-mêmes, mais les phases les plus importantes et les plus significatives des essais ont à peine commencé, et encore moins été achevées.
Récemment, le Financial Times britannique a rapporté que les autorités réglementaires britanniques ( MHRA) doivent approuver le vaccin AZD1222 [ChAdOx1] COVID 19 d’Astrazeneca/Oxfords. Le Financial Times a révélé une déclaration anonyme du ministère britannique de la santé :
Le régulateur des médicaments examine les données finales des essais cliniques de phase 3 de l’Université d’Oxford/AstraZeneca afin de déterminer si le vaccin répond à leurs normes strictes de qualité, de sécurité et d’efficacité.
Ainsi, le public a l’impression que les essais sont terminés et que les régulateurs ont des normes de sécurité strictes. L’essai de phase 1,2,3 pour l’AZD1222 a été enregistré auprès du Centre américain de contrôle des maladies sous le nom d’essai clinique NCT04516746 [Archivé le 29 décembre 2020]. Il est incomplet et la date de fin estimée est le 21 février 2023. Le CDC déclare :
Aucun résultat d’étude publié
Astrazeneca est à des années de la déclaration de toute “donnée finale”. Il est impossible pour le ministère britannique de la santé de les examiner, car elles n’existent pas.
Le NCT04516746 est l’un des quatre essais de l’AZD1222. Une autre branche russe de l’essai AZD1222 a été suspendue après la survenue d’un effet indésirable grave inattendu présumé (Suspected Unexpected Serious Adverse Reaction – SUSAR). Cette réaction s’est produite au Royaume-Uni après qu’une femme de 37 ans a développé une inflammation de la moelle épinière. Il semble que le ministère russe de la santé n’ait pas encore rétabli sa participation à l’essai Astrazeneca/Oxford, alors que celui-ci a repris au Royaume-Uni et ailleurs.
Quels essais cliniques ?
Le 18 novembre, Pfizer et BioNTech ont annoncé qu’ils avaient terminé leur essai de phase 3 sur le BNT. Ils avaient démontré une efficacité de 95% et l’étape des données de sécurité de l’autorisation d’utilisation d’urgence (Emergency Use Authorization, EUA) de la Food and Drug Administration (FDA) américaine avait été franchie.
La seule partie de cette affirmation qui était vraie était la conformité aux étapes de données de sécurité d’urgence de la FDA. Ils n’ont pas terminé leurs essais de phase trois. Ils n’ont même pas complètement terminé la phase un.
En vertu de la section 564 de la loi fédérale sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques (FD&C Act), les médicaments dits “non approuvés” sont autorisés sur le marché en cas d’urgence. De même, au Royaume-Uni, l’autorisation prévue par le règlement 174 des Human Medicine Regulations 2012 (tel qu’amendé) le permet.
Ayant également été approuvés au Royaume-Uni, c’est pourquoi l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) déclare :
Ce médicament ne dispose pas d’une autorisation de mise sur le marché au Royaume-Uni
Le fait qu’il n’y ait pas d’essais cliniques achevés pour le vaccin BNT de Pfizer et BioNTech explique également pourquoi la FDA l’affirme :
D’autres effets indésirables, dont certains peuvent être graves, pourraient apparaître avec l’utilisation plus répandue du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19.
La FDA a également noté :
Il n’y a actuellement pas assez de données pour tirer des conclusions sur la sécurité du vaccin dans des sous-populations telles que les enfants de moins de 16 ans, les femmes enceintes et allaitantes, et les personnes immunodéprimées….. le risque de maladie aggravée par le vaccin au fil du temps, potentiellement associé à une immunité décroissante, reste inconnu.
Pourtant, les premières personnes à recevoir ce vaccin sont les plus vulnérables de la société, dont beaucoup sont immunodéprimées. Le principe de précaution semble avoir été abandonné. L’idée que l’objectif du déploiement du vaccin BNT est de sauver des vies semble intenable.
L’annonce de Pfizer a permis aux politiciens de faire semblant de pleurer à la télévision nationale alors que d’autres étaient vraiment enthousiastes. Le Premier ministre britannique Boris Johnson a déclaré que c’était une “nouvelle fantastique”, et la BBC a déclaré que c’était une “bonne nouvelle” et “vraiment encourageante”. Tout le monde a été très impressionné par la déclaration d’efficacité à 95%.
Toutefois, cette mesure était fondée sur une réduction relative des risques. Il s’agit de la différence de pourcentage déclarée entre les 8/18310 chances (0,044%) du groupe vacciné de développer le COVID 19 et les 162/18319 (0,88%) chances de développer les symptômes du COVID 19 sans le vaccin. Comme ce groupe plus important de 43 000 personnes n’a pas encore été testé, cette affirmation n’est pas fondée. Mais c’est ce qu’il en est, et nous pouvons utiliser ces chiffres officiels ici.
Il convient de noter que cela ne concerne qu’une prétendue réduction des symptômes du COVID 19 chez les personnes atteintes du virus. Les critères d’évaluation testés ne démontrent pas que le vaccin réduira la propagation de l’infection ou sauvera des vies. Il convient également de noter que ces chiffres suggèrent que la menace liée au COVID 19 est de plus en plus faible.
En utilisant les chiffres de Pfizer, la réduction du risque relatif est de 100(1 – (0,044/0,88)). Ce qui correspond à 95%. Et voilà !
Cela semble fantastique et constitue une bien meilleure stratégie de marketing que de rapporter la réduction absolue des risques. Le risque absolu de développer les symptômes du COVID 19 sans le vaccin est supposé être de 0,88% et avec le vaccin de 0,044%. En termes absolus, l’efficacité du vaccin est de (0,88-0,044) %.
Une réduction du risque de 0,84%. Une “efficacité” à peine perceptible.
En utilisant la réduction de risque relative plutôt qu’absolue, les grands médias (MSM) ont été libres de commercialiser le vaccin à ARNm pour Pfizer et BioNTech (et d’autres parties intéressées) avec des allégations impressionnantes. Celles-ci n’étaient pas du tout véridiques, non seulement parce qu’elles reposaient sur des manipulations statistiques, mais aussi parce que personne n’avait la moindre idée de la sécurité ou de l’efficacité du BNT. À ce jour, il n’existe aucun résultat d’essai clinique.
Les essais cliniques qui n’existent pas
Une analyse des tests RT-PCR positifs disponibles et des résultats de mortalité a conduit l‘Oxford Centre for Evidence Based Medicine à estimer un taux de létalité très provisoire d’environ 1,4% pour le COVID 19. Sur la base des chiffres communiqués à la FDA par Pfizer et BioNTech, cela indique un risque de mortalité de 1,4 (0,88/100) pour l’ensemble de la population, soit 0,012 %.
Veuillez garder ce risque incroyablement lointain à l’esprit alors que nous discutons des premières indications de la menace apparente pour la santé publique présentée par le vaccin à ARNm.
Il est raisonnable de travailler en termes de risque pour la population car, si le risque de mortalité par COVID 19 semble augmenter avec l’âge, l’âge moyen de décès étant de 82 ans et la distribution de la mortalité ne pouvant être distinguée de la mortalité standard, l’intention est de donner le vaccin à tout le monde.
Si l’on examine la “V-Safe Active Surveillance for COVID 19 Vaccines” rapportée par le Centre américain de contrôle des maladies (CDC), les premières indications d’événements indésirables enregistrés révèlent un niveau inquiétant d’effets indésirables du vaccin à ARNm. Le CDC définit un événement indésirable comme :
Incapable d’effectuer ses activités quotidiennes normales, incapable de travailler, nécessitant les soins d’un médecin ou d’un professionnel de santé
Le 18 décembre, 112 807 personnes ont reçu une injection du vaccin Pfizer/BioNTech aux États-Unis. Parmi elles, 3 150 ont été par la suite incapables d’effectuer leurs activités quotidiennes normales, incapables de travailler, nécessitant les soins d’un médecin ou d’un professionnel de santé. Il s’agit d’un taux d’événements indésirables de 2,8 %.
Cela suggère que parmi les 10 premiers millions de personnes à avoir reçu le vaccin au Royaume-Uni, environ 280 000 pourraient se trouver dans l’incapacité d’effectuer des activités quotidiennes normales, de travailler et de nécessiter des soins médicaux en conséquence. Comme ce sont les plus vulnérables qui sont les premiers à recevoir ce vaccin, étant donné le risque minime de mortalité lié à la maladie COVID 19, il n’est pas du tout évident que ce risque vaille la peine d’être pris.
Les autres vaccins ne semblent pas être meilleurs. Jusqu’à présent, le CDC a noté plus de 5 000 événements indésirables pour l’ensemble des vaccins testés sur la population. Il est clair que ces vaccins pourraient contribuer à un plus grand nombre de décès que la maladie contre laquelle ils sont censés protéger les personnes vulnérables.
L’essai Pfizer/BioNTech a été enregistré sous le numéro d’essai clinique NCT04368728 auprès du CDC. Ayant récemment discuté de ce que je vais partager avec vous avec des personnes qui ont simplement refusé de croire les preuves de leurs propres yeux, je pense qu’il est important de souligner qu’il s’agit de l’essai clinique de phase 3 que Pfizer a déclaré avoir conclu dans son communiqué de presse. Il n’y en a pas d’autre. Il s’agit de celui-ci.
Le CDC déclare :
Lorsqu’elles sont disponibles, les informations sur les résultats de l’étude sont incluses dans le dossier de l’étude sous l’onglet Résultats de l’étude…….Après que les informations sur les résultats de l’étude ont été soumises à ClinicalTrials.gov, mais avant qu’elles ne soient affichées, l’onglet des résultats dans le dossier de l’étude est intitulé “Résultats soumis”.
Au moment de la rédaction (21 décembre 2020), comme on peut le voir par la date de la page web archivée de ClinicalTrials.gov, l’onglet Résultats de l’étude indique “Aucun résultat publié”. Cela s’explique par le fait qu’aucun résultat n’a été publié ou soumis dans le cadre de l’essai de Pfizer BioNTech sur le vaccin BNT162b2 :
Aucun résultat d’étude publié sur ClinicalTrials.gov pour cette étude
Les rapports des médias de masse, donnant l’impression que ces vaccins ont été jugés efficaces et sûrs, ne sont pas des preuves et ne sont pas fondés sur la science. Ils sont basés sur la stratégie politique et rapportent de dangereux bavardages pseudo-scientifiques, se faisant passer pour du journalisme scientifique.
Il y aura bien sûr des anti-rationnalistes sans cervelle qui qualifieront cette dangereuse ineptie d’antivaxxer. Tout en insistant sur le fait qu’il est parfaitement sûr d’administrer un vaccin au profil de sécurité douteux, pour lequel il n’existe pas d’essais cliniques achevés, aux personnes les plus vulnérables de notre société.
Je suis à court de patience avec ces gens.
Sécurité des vaccins ?
La date de début du projet NCT04368728 était le 29 avril et la date d’achèvement des essais est estimée au 27 janvier 2023. La date de fin estimée de l’essai primaire ou de la première phase d’un essai en trois phases est le 13 juin 2021.
Selon les mesures actuelles des résultats préliminaires, le délai minimum pour que Pfizer puisse évaluer les effets indésirables graves (serious adverse events, SAE) est de “6 mois après la dernière dose”. C’est le délai minimum pour évaluer les effets indésirables graves au cours de la première phase de l’essai.
La phase 1 est la seule partie de l’essai NCT04368728 à avoir été achevée et publiée. Elle a été publiée le 14 octobre, soit 5 mois et deux semaines après la date de début de l’essai. La plus grande partie de cette période a été consacrée au recrutement et à l’attribution. La durée minimale d’évaluation des effets indésirables graves n’a pas été respectée durant la première phase.
Au cours de la première phase, 195 participants ont été répartis en 13 groupes de 15 personnes. Dans chaque groupe, 12 personnes ont reçu un des deux candidats potentiels au vaccin à ARNm (soit BNT162b1 ou BNT162b2) et 3 un placebo.
39 personnes âgées de 18 à 55 ans et 39 autres personnes âgées de 65 à 85 ans ont reçu le vaccin BNT, dont la distribution mondiale est désormais approuvée. La menace du COVID 19, bien que minime dans l’ensemble, est statistiquement nulle pour les 18-55 ans. Les personnes présentant un risque mesurable de COVID 19 appartenaient à la tranche d’âge supérieure.
Sur les 39 personnes âgées qui ont reçu deux doses de BNT, la moitié environ ont ressenti de la “fatigue”, 15% environ ont eu des “frissons” et trois d’entre elles ont eu de la fièvre. Les effets secondaires les plus fréquents du BNT sont les nausées, les maux de tête (un trouble du système nerveux induit par le BNT très fréquent), l’arthralgie et la myalgie (très fréquentes), la fatigue, les frissons et la fièvre (là encore très fréquents.) À part la fatigue, personne dans le groupe placebo n’a souffert de ces problèmes.
L’étude indique :
Pfizer était responsable de la conception de l’essai, de la collecte, de l’analyse et de l’interprétation des données, ainsi que de la rédaction du rapport.
Par conséquent, il est raisonnable de conclure que si Pfizer considère que les effets secondaires de son vaccin sont la fatigue, les frissons et la fièvre, le CDC les qualifie de personnes qui ne peuvent pas travailler et qui ont besoin de soins médicaux.
L’Agence britannique de réglementation des produits médicaux et de santé (MHRA) a approuvé le vaccin BNT, qui doit être administré aux britanniques vulnérables, sur la base d’une étude portant sur 39 personnes âgées. Cette étude a fait état d’un taux d’effets indésirables assez élevé. Il a été produit exclusivement à partir de la R&D du fabricant du vaccin. La MHRA n’a rien remis en question.
Elle a “approuvé” le BNT en sachant pertinemment qu’aucun essai clinique n’avait été réalisé pour ce vaccin. Dans leur rapport d’évaluation publique, ils déclarent :
Au moment de la rédaction du présent document, la principale étude clinique est toujours en cours…. Il a été conclu que le BNT162b2 s’est avéré efficace dans la prévention du COVID-19. En outre, les effets secondaires observés avec l’utilisation de ce vaccin sont considérés comme similaires à ceux observés avec d’autres vaccins. Par conséquent, la MHRA a conclu que les bénéfices sont plus importants que les risques.
Non seulement cette conclusion et cette validation manquent de preuves justificatives, mais elles sont en contradiction totale avec le flou qui entoure le BNT. Alors que Pfizer et BioNTech n’ont réalisé des essais du vaccin que sur 39 sujets pertinents, les résultats, même de cet effort pratiquement sans conséquence, suggèrent que le risque du vaccin est plus important que le risque présenté par COVID 19. Par une marge considérable.
Cela explique sans doute pourquoi la MHRA a commandé un logiciel à des fournisseurs européens pour faire face à la multitude d’effets indésirables du vaccin qu’ils anticipent probablement. Ils ont déclaré :
La MHRA recherche d’urgence un outil logiciel d’intelligence artificielle (IA) pour traiter le volume élevé attendu d’effets indésirables du vaccin Covid-19….. Il n’est pas possible d’adapter les systèmes existants de la MHRA pour traiter le volume d’effets indésirables qui sera généré par un vaccin Covid-19.
La manière dont les fabricants, les politiciens, les régulateurs et les médias de masse ont abordé la sécurité des vaccins montre clairement qu’ils font collectivement preuve d’un mépris total pour le bien-être des personnes vulnérables. Nous devons vraiment mettre de côté cette notion infantile selon laquelle “les autorités” se soucient de nous ou de nos proches. Nous ne signifions rien pour eux.
Le COVID 19 n’est qu’un risque appréciable pour les plus vulnérables de la société. Il s’agit d’un risque pour les personnes âgées infirmes et les personnes dont la vie est déjà menacée.
Si nous examinons les critères d’exclusion de la phase 1, ces personnes ne faisaient pas partie de la population testée. Toute personne souffrant d’hypertension, d’asthme, de diabète ou ayant un IMC élevé a été exclue de l’essai de sécurité présumé. Mais le vaccin est administré en priorité aux plus vulnérables.
Sur les 39 personnes âgées les plus à risque dans l’étude de la phase 1, aucune d’entre elles ne présentait les graves comorbidités que possède l’écrasante majorité des personnes qui meurent “avec” COVID 19. Les personnes réellement exposées au risque de COVID 19 ont participé aux essais du BNT en phase 2 et 3. Cependant, il semble que tous les efforts aient été faits pour limiter, voire supprimer complètement leur nombre. Les “immunodéprimés ou les personnes présentant une immunodéficience connue ou suspectée” ont été exclus.
L’immunodéficience est causée par un large éventail de problèmes de santé. Des affections telles que la dénutrition, les polytraumatismes, le stress après une opération, le diabète et le cancer entraînent une immunodéficience. Les personnes présentant les comorbidités associées aux décès dits COVID 19 ont été pratiquement exclues des essais du vaccin BNT.
Le NCT04368728 a été conçu comme un essai 1,2,3 dont toutes les phases se déroulent simultanément. En ce qui concerne l’évaluation de la sécurité, Pfizer a décrit les événements systémiques comme suit :
Fièvre, fatigue, maux de tête, frissons, vomissements, diarrhée, douleurs musculaires nouvelles ou aggravées, et douleurs articulaires nouvelles ou aggravées, signalés dans les journaux de bord électroniques.
Les 360 premiers sujets randomisés dans les essais de phase 2 et 3 ont fait l’objet d’une surveillance des événements systémiques pendant moins d’une semaine, après chaque dose :
Dans les 360 premiers participants randomisés dans la phase 2/3, pourcentage de participants signalant des événements systémiques [ Délai : Pendant 7 jours après la dose 1 et la dose 2 ]
Le même groupe de 360 sujets a également fait l’objet d’un suivi des événements indésirables graves (EIG) pendant une période allant jusqu’à 6 mois au cours des phases 2 et 3 :
Sur les 360 premiers participants randomisés dans la phase 2/3, pourcentage de participants ayant signalé des effets indésirables graves [ Calendrier : de la dose 1 à 6 mois après la dernière dose].
Pfizer a également l’intention de communiquer le pourcentage de tous les sujets testés qui souffrent d’effets indésirables graves :
Pourcentage de participants à la phase 2/3 ayant signalé des effets indésirables [ Calendrier : de la dose 1 à 6 mois après la dernière dose ].
Mais aucun résultat n’a été communiqué pour les phases 2 et 3. Personne n’a la moindre idée des risques sanitaires du BNT, en particulier pour ceux qu’il est censé protéger, et les autorités s’en moquent. Les essais cliniques de la phase 2/3 sont de toute façon devenus un point discutable.
Les organismes de réglementation ont déjà approuvé le vaccin et les services de santé ont commencé à injecter le BNT aux personnes concernées. Ils le font après que les fabricants n’aient pas correctement testé son innocuité sur 39 personnes qui faisaient partie du groupe à risque mais qui n’avaient pas la comorbidité qui a conduit au décès du COVID 19.
La mesure dans laquelle les gens ont été amenés à croire que ces vaccins sont connus pour être sûrs ou efficaces dépasse presque l’imagination.
Malheureusement, nous n’avons pas besoin d’imagination. Les preuves sont claires.
PARIS (Reuters) – Le ministre français de la Santé, Olivier Véran, a annoncé jeudi l’ouverture de centres de vaccination dans les villes ainsi que l’accélération de la vaccination pour les personnels soignants, en réponse aux critiques sur le faible nombre de personnes vaccinées contre le COVID-19 depuis le début de la campagne dimanche.
“Avant le début février, de premiers centres de vaccination ouvriront en ville, pour commencer à vacciner les personnes âgées de 75 ans et plus, puis les 65 ans et plus, etc.”, a-t-il déclaré sur Twitter.
“Nous avons décidé, en parallèle, d’accélérer la protection des publics prioritaires. Dès lundi, les soignants de 50 ans et plus qui le souhaitent, pourront se faire vacciner dans les centres disposant déjà de vaccins”, a-t-il ajouté.
Ces décisions interviennent alors que le gouvernement essuie depuis plusieurs jours les critiques des partis d’opposition et d’une partie du corps médical face à la lenteur de la campagne de vaccination lancée dimanche, qui n’a concerné à ce stade que quelques centaines de personnes dans l’Hexagone, contre plusieurs dizaines de milliers au Royaume-Uni et en Allemagne.
Jeudi, l’Académie nationale de médecine (ANM) française a appelé les autorités de santé à simplifier et accélérer la campagne de vaccination, en regrettant des précautions “excessives”.
“Soyez rassurés. La campagne vaccinale va bientôt prendre de l’ampleur”, a indiqué jeudi Olivier Véran face aux critiques, rappelant la stratégie du gouvernement de vacciner en priorité les résidents des Ehpad, ce qui engendre des difficultés logistiques.
“Dans quelques semaines, la vaccination aura été proposée à l’ensemble des personnes âgées, et nous serons au même niveau que les pays qui ont procédé différemment”, assure le ministre de la Santé.
En 2021, va-t-on vers l’abolition de la propriété privée pour le plus grand nombre ?
À l’heure ou nos politiques et dirigeants parlent sans cesse de Grand Reset (Grande Réinitilisation) pour résoudre les problèmes d’endettement colossaux et de dépression mondiale, nous sommes en droit de nous interroger sur la motivation profonde de ce programme.
La tendance de numérisation des devises, de promotion du malthusianisme écologique et d’accroissement de la toute-puissance des Banques centrales et des Banques d’investissement, au détriment des banques commerciales moribondes, pourrait bien inaugurer un nouveau système capitalo-communiste version 2.0. Ce système hybride à la fois socialiste et néo-libéral s’articulant à l’échelle mondiale, ce fameux « Monde d’Après » est déjà en train de prendre forme sous nos yeux, à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Ainsi en complément des restrictions toujours plus grave contre les libertés publiques, le droit de propriété est désormais en passe d’être remis en cause, au moins pour la grande majorité d’entre nous. J’en vois déjà se réjouir à ces mots, néanmoins cette perspective n’est en rien enthousiasmante pour les peuples.
Droit de propriété et liberté
En effet, par l’intermédiaire des conséquences politiques et sociales de la crise covidienne, le capitalisme financier apatride va lancer un véritable plan d’expropriation dans les mois qui viennent pour ensuite mieux nous esclavagiser. De nos jours, il existe un consensus objectif (lié à l’observation) qui considère que le fait d’être ou non propriétaire de biens de valeur significative (usage concret) comme un logement, des terres ou d’autres moyens de production, etc. est un discriminant social essentiel dans nos sociétés et cela depuis des siècles.
Et il est évident qu’un individu qui se trouve dans une situation économique confortable est naturellement plus libre pour s’opposer à des décisions qui viennent d’une autorité politique illégitime et parasite. Les prolétaires et sous-prolétaires (individus qui ne peuvent vendre que leur force de travail et ceux qui vivent de maigres subsides du système) sont évidemment dans une situation plus difficile quand il s’agit de ne pas subir des décisions politiques ineptes comme celles adoptées depuis la crise du Covid-19.
Il semble donc que l’ordo-libéralisme des Lagarde, Powell, Draghi, Yelen, Carney et cie soit désormais en mesure de contester les conceptions libérales traditionnelles. Là ou une Ayn Rand (véritable maîtresse à penser de nos néo-libéraux modernes) écrivait encore il y a quelques décennies « que l’homme ne peut exister sans son corps, aucun droit ne peut exister sans le droit de traduire ses droits dans la réalité, à penser, à travailler et à en conserver le produit, ce qui signifie : le droit de propriété », ses enfants (technocrates et financiers internationaux du 21ème siècle) sont en passe de faire muter le capitalisme au détriment de cette conception pourtant libérale du droit de propriété.
En effet, depuis 2008 nous sommes entrés dans une décennie de folie financière pure (taux d’intérêts négatifs et politiques de quantitatif easing colossales) qui a fait de la démence politique et des illusions économiques les bases structurantes du nouveau système dans lequel nous vivons désormais. Certes ce paradigme économique promu par la doctrine monétariste de Milton Friedman est en place depuis les années 70 (accords de la Jamaïque officialisant l’instauration d’un système international de change flottant), mais depuis début 2020, cette ère inique et truquée de l’Argent/Dette connaît son paroxysme. Le coronavirus n’a fait que consacrer cet état de fait.
Depuis un peu moins d’une année, nos démocraties de marché sont en réalité officiellement sorties de la conception classique de la propriété que nous connaissons depuis plus deux siècles en Occident. En effet, la propriété pourtant considérée dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 comme l’un des quatre « droits naturels et imprescriptibles de l’Homme », ne semble plus vraiment être respectée par l’establishment et il est même très probable que ce droit soit totalement anéanti pour le plus grand nombre, dans les mois et semaines à venir.
Impossible me direz-vous ? Rien n’est moins sûr. Certains qui ont mal lu Proudhon et qui répètent sa caricaturale citation « La propriété c’est le vol » pourraient se réjouir de ces propos, mais néanmoins, l’anéantissement prochain du droit de propriété va exclusivement s’appliquer à la masse. Nous allons ainsi glisser progressivement vers une conception féodale de la propriété. Ce droit sera alors réservé à une caste.
Mais ne nous trompons pas, ces nouvelles féodalités financières ne sont pas un retour des grands féodaux médiévaux et elles ne s’inscrivent pas du tout dans les conceptions doctrinales de l’Église catholique, qui d’ailleurs en tant que véritable tradition française, avait toujours respecté la propriété, sans pour autant la sacraliser de manière excessive. Ainsi, le pape Léon XIII expliquait encore au début du XXème siècle : « Il est incontestable que, quand un homme s’engage dans un travail rémunérateur, la raison et la motivation qui le poussent à son travail est d’en obtenir la propriété et de la tenir par la suite comme son propre bien ». Et dans son encyclique Laborem exercem de 1981, le pontife Jean-Paul II rappelait que le droit de propriété devait être encadré sans pour autant être nié, tout en rappelant sa fonction dans la société : « La tradition chrétienne n’a jamais reconnu le droit à la propriété privée comme absolu ni intouchable. Au contraire, elle l’a toujours entendu dans le contexte plus vaste du droit commun de tous à utiliser les biens de la création entière. Le droit à la propriété privée est subordonné à celui de l’usage commun, à la destination universelle des biens ».
Cette position, qui est celle du monde latin depuis des siècles, ne semble même plus être partagée par le pape « New Age » François, qui depuis quelques mois, travaille de manière active, en partenariat avec Mme Lynn Forester De Rothschild, fondatrice du Council for Inclusive Capitalism, (Conseil pour le capitalisme inclusif) à faire comprendre à l’opinion publique mondiale qu’il est maintenant urgent d’instaurer un « système économique juste, digne de confiance et capable de relever les défis les plus profonds auxquels l’humanité est confrontée », sous-entendu : un système économique malthusien prenant en compte la terrible et frauduleuse question écologique.
Il est assez cocasse de voir le « successeur de Saint-Pierre » s’associer avec les PDG d’Allianz, de Bank of America, BP, Dupont, Estée Lauder, EY, The Ford Foundation, Mastercard, The Rockefeller Foundation, pour sauver le monde de la destruction… Car avant le modernisme et le monétarisme contemporain, comme nous l’avons vu, la conception latine du droit de propriété connaissait évidemment des limites de bon sens, contrairement à ce que consacre la vision viciée à l’anglo-saxonne (de ses partenaires) qui tend vers un droit de propriété absolu illusoire (et qui protège in fine la propriété des plus riches.), mais elle ne visait en aucun cas à une éradication programmée de ce droit pour la multitude. Car, par le plan d’asservissement du Grand Reset, il s’agit de sacraliser la propriété absolue d’un tout petit nombre d’individus face à l’anéantissement de la propriété pour la majorité. La crise Covidienne puis le Great Reset vont ainsi remettre en cause de manière radicale les visions classiques du droit de propriété.
L’hyperclasse par le programme défendu par son porte-parole Klaus Schwab (dans son livre) et plus généralement le Forum économique de Davos depuis plusieurs mois, pose d’ailleurs clairement la question de la propriété absolue pour une petite caste et la question de la servitude pour la grande majorité d’entre nous. Et ils le savent depuis longtemps : s’attaquer à la propriété des peuples c’est en réalité en finir définitivement avec leur souveraineté. Les hypernomades veulent maintenant déraciner concrètement les masses de sédentaires encore trop grasses et riches, qui ne redistribuent pas encore assez les fruits de leur travail vers la caste des 1%.
En réalité, par la fin de la propriété pour le plus grand nombre, l’oligarchie veut tout simplement liquider ce qu’il nous reste de liberté, mais aussi nous déraciner définitivement (nous les peuples et nations) de nos terres. Ainsi, à l’heure où les fortunes des milliardaires explosent à travers le monde à l’occasion de la crise du Covid. La question de la conservation des richesses pour la majorité de la population va littéralement se poser dans quelques mois/semaines. Plus concrètement, par leur projet, nos élites semblent vouloir faire de nous des locataires dans la perspective de la future grande économie verte. Ce Green New Deal que nos dirigeants brandissent comme un étendard leur permettant de cacher leur abyssale incapacité politique ou dissimuler leur véritable mission (servir les intérêts de l’hyperclasse cosmopolite) va en effet leur permettre de faire muter nos systèmes politico-économiques… Entendons-nous bien et répétons-le, la fin de la propriété privée pour les Bezos, Gates, Zuckerberg and cie, n’est pas au programme. Ce qui est planifié c’est bien la fin de la propriété pour vous et moi (classe moyenne, classe populaire…). Dans ce grand jeu de Monopoly, il ne restera plus que de grands hôtels et croyez-moi, vous devrez payer pour avoir le droit d’y séjourner…
Illusion monétaire et misère
En effet, bien que les politiques monétaires soient très accommodantes depuis plusieurs années (2008 crise des subprimes) et que les taux d’intérêt soient nuls, voire négatifs, et qu’ils permettent à certains d’emprunter sur 25-27ans sans pour autant avoir des revenus et un travail solides, le piège va se refermer tout doucement sur ce qu’il reste de la classe moyenne française et de la classe active occidentale en général (petite classe moyenne, classes populaires productives). Ainsi, dans les mois de 2021-2022 qui viennent, à la crise sanitaire, va succéder la crise financière, une fois que le vaccin nous sera solidement imposé par nos gouvernements. Et cet effondrement financier (bien plus grave que les subprimes) va tout emporter sur son passage et il va avoir pour conséquence la plus grande crise de solvabilité de l’histoire.
Car qui dit Dette, dit Créanciers, mais aussi Débiteurs, et vous l’imaginez bien, à entendre le gouverneur de la Banque de France Villeroy de Galhau, il va bien falloir payer l’addition… Et ce n’est pas Monsieur Villeroy de Galhau avec ses 283 129 euros brut mensuels qui paiera les pots cassés : c’est vous ! Et là où certains se verront appliquer le principe du « Too Big too fail » d’autres (la très grande majorité) vont subir le « too small to save » c’est-à-dire trop petits pour être sauvés. Les « petits » et les « moyens » ne seront donc pas aidés et ils seront même achevés et rachetés à bas prix. En effet, lorsque les Prêts garantis par l’État (PGE) se termineront et que les Banques réclameront leur dû, la vague titanesque de liquidations et de faillites sera proche. L’objectif final étant (par la crise sanitaire et la vraie fausse pandémie actuelle) d’opérer et de finaliser la plus grande opération de rachat et de monopolisation des moyens de production de l’Histoire.
Même les Soviétiques du XXème siècle avec leurs sovkhozes-kolkhozes et leur chasse aux Koulaks (petits propriétaires indépendants) vont apparaitre comme des « petits joueurs » en comparaison de l’hyperclasse du XXIème siècle siégeant comme toujours à la City de Londres, et disposant de succursales à Wall Street ou encore Francfort… Ce que nous allons vivre (et que nous vivons déjà) est tout simplement la plus grande phase de destruction et spoliation de richesses de l’Histoire !
La location pour payer l’addition
Mais alors quel va être notre avenir proche ? En réalité il nous est déjà clairement annoncé si l’on s’intéresse aux publications du Forum économique mondial depuis quelques mois. En l’an 2030, l’establishment nous souhaite donc la bienvenue dans un monde où rien ne nous appartient. Ni voiture, ni maison, ni vêtements…
Depuis quelques années déjà, cette tendance a été enclenchée. Un simple exemple permet de justifier cet argument : le marché de l’automobile actuel. En effet, depuis la crise de 2008, le marché de l’automobile a progressivement muté pour se changer en une gigantesque boutique de location de voitures. Là ou avant on cherchait à vendre des véhicules, maintenant on cherche à les louer.
D’ailleurs, la location (le leasing) si elle peut paraître, au départ, attrayante pour certains d’un point de vue financier, revient en réalité à payer un prix plus élevé pour une simple location plutôt qu’un achat. Le seul et unique avantage étant simplement l’accès à un véhicule d’une gamme supérieure, c’est-à-dire un service. Mais vous le comprenez bien, cet avantage provient simplement du fait qu’on vous endette pour vous permettre de rouler dans la voiture de vos rêves…
D’après l’Association des Sociétés financières, « la part de la LOA dans le total des financements d’automobiles neuves est passée de 42% en 2013 à 73% en 2017 ». Et on estime aujourd’hui qu’il y a une explosion du nombre de véhicules acquis via le leasing auto, le secteur ayant explosé dans les deux dernières années. Mais cela n’a rien de surprenant, car dans un monde occidental qui a entamé sa phase de décroissance depuis la crise des subprimes de 2007-2008, nos élites intellectuelles et politiques nous préparent doucement un avenir débarrassé du « fardeau de la propriété », mais bien sûr uniquement pour les petits (les inutiles, les gens qui ne sont rien).
Agenda 2030 : tu ne possèderas rien et tu seras heureux
En effet, nos « savants » du Forum économique mondial ont déjà pensé la société de demain, le célèbre « Monde d’Après » post Covid est envisagé depuis quelques années déjà. Ainsi, l’auteure socialiste, Ida Auken, jeune dirigeante danoise et membre du Global Future Council on Cities and Urbanization du Forum économique mondial, a explicitement présenté sa vision du monde en 2030 :
« Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun appareil ni aucun vêtement. (…) Tout ce que vous considérez comme un produit est maintenant devenu un service. (…) Une par une, toutes ces choses sont devenues gratuites, donc cela n’a plus de sens pour nous de posséder beaucoup ». Également en 2016, la Directrice associée et rédactrice en chef de l’Agenda du Forum économique mondial, Ceri Parker, publiait elle aussi un article intitulé « 8 prévisions pour le Monde de 2030 » dans lequel elle écrivait : « Imaginer les sociétés de demain peut nous donner une nouvelle perspective sur les défis et les opportunités d’aujourd’hui ».
Ces expertes admettent néanmoins qu’il y aura une contrepartie à tout cela : le renoncement à la vie privée, puisque tous nos faits et gestes seront enregistrés. « Il faut espérer que personne ne l’utilisera contre nous », ose déclarer naïvement la jeune Madame Auken. Selon elle, les personnes qui ne pourront pas s’adapter à ce nouveau mode de vie partiront vivre à la campagne, où certaines formeront de petites communautés indépendantes. Son article fut alors repris un an plus tard sur le site Futurism, sous le titre : « Bienvenue en 2030. Je ne possède rien, je n’ai pas d’intimité et la vie n’a jamais été meilleure » (alors que les oligarques possèderont tout), titre qui connait une certaine célébrité dans les milieux de la réinformation.
Liquidation du patrimoine national
Évidemment pour faire accepter aux gens l’idée de ne plus rien posséder, il est plus simple de leur faire perdre ce qu’ils ont. Le consentement des populations ne figurant pas dans le programme de l’Hyperclasse, l’effondrement, la misère et le chaos contrôlé vont aider les peuples à accepter ce nouveau paradigme.
Ainsi, en France, le mouvement de liquidation de nos derniers fleurons industriels et notre patrimoine national va encore naturellement s’accentuer. Bien qu’étant très avancée, une nouvelle étape va être prochainement validée. Les Pechiney, Arcelor, Alcatel, Les Chantiers de l’Atlantique, Alstom (liquidation bien aidée par Macron) déjà bradés, vont avoir de nombreux successeurs. Et ce n’est pas les « demandes » de notre ministre de l’Économie Lemaire qui changeront grand-chose à cette triste réalité. Il n’est d’ailleurs pas insensé de dire que dans une courte période (2-3ans) le riche patrimoine français (notre patrimoine commun) va lui aussi être littéralement mis en vente.
Car la crise de solvabilité des ménages, des entreprises et de l’État va évidemment entrainer un énorme transfert d’actifs pour satisfaire la voracité des grands créanciers qui vont exiger d’être remboursés (au moins partiellement) avec de la richesse concrète (que l’on peut toucher et pas une énième reconnaissance de Dette). Et vous l’imaginez bien, nos créanciers vont s’empresser de racheter nos châteaux, nos forêts, nos monuments historiques, nos tableaux, œuvres d’art, notre mobilier national, etc. pour éponger les dettes françaises. Pour ce qui est du mobilier national, le Golem financier Macron (par l’intermédiaire de sa femme Brigitte) a déjà commencé à liquider, avec pour motif la crise du coronavirus (évidemment).
Nos forêts, comme l’eau désormais cotée à Wall Street, sont elles aussi devenues les proies du capitalisme transnational. Mais il n’y a pas qu’au sommet de l’État que l’on retrouve « les collaborateurs » des hypernomades. Depuis quatre décennies l’autorité et la souveraineté ayant été totalement démantelées, les différents échelons locaux regorgent aussi d’agents serviles prévaricateurs et corruptibles, qui vont s’empresser d’exécuter la basse besogne d’asservissement de leurs congénères.
Collectivités locales et nouveau système féodal
En effet, dans l’Agenda 2030 promu par le Forum économique mondial ce sont les collectivités locales qui doivent s’approprier le développement durable et qui vont servir de relais naturels pour achever nos vieilles nations.
Exprimé dans des termes plus simples, ce sont les nouveaux élus locaux (président de région, communautés de communes…) responsables de la gabegie des finances publiques due à la décentralisation lancée depuis les années quatre-vingts, qui vont être les garants du programme du Grand Reset à l’échelle locale. Mise en concurrence des territoires, corruption, incompétence, clientélisme, etc. les mois qui viennent ne vont pas manquer de nous offrir de nouveaux moments douloureux. Et c’est en toute logique que les politiques décentralisateurs qui nous ont déjà entrainés dans la spirale de la dette publique vont nous conduire dans cette nouvelle ère. Ainsi, les grandes servitudes financières vont s’appuyer concrètement sur leurs plus médiocres vassaux politiques (les Valérie Pécresse, Anne Hidalgo, Xavier Bertrand, Martine Aubry, en étant de parfaites illustrations) pour appliquer leur programme d’expropriation-spoliation et de décroissance verte appliquée aux plus modestes, et cela sur l’ensemble du territoire national. Pour illustrer cette thèse, deux arguments s’offrent à nous.
Le premier étant la communication orwellienne du comité 21 et la promotion de l’Agenda 2030 pour les collectivités, comme le stipule le guide : « L’Agenda 2030 est un outil complet et concret, composé de 17 Objectifs de développement durable, 169 cibles et 232 indicateurs de suivi, pour guider nos territoires dans des trajectoires durables, sans laisser personne de côté. Cet Agenda pour les « Partenariats, la Paix, la Prospérité, la Planète et les Peuples », est l’instrument indispensable aux collectivités territoriales pour lier leurs territoires aux engagements internationaux. Elles peuvent faire entendre leurs voix au Forum politique de haut niveau (instance de reporting annuel au niveau international où les collectivités territoriales ont toute leur place). Cette partie permet de mettre en perspective l’Agenda 2030, adopté à l’échelle internationale, avec l’échelon territorial, notamment en mettant en exergue les intérêts pour les collectivités de s’approprier un tel outil, mais aussi en décryptant la feuille de route nationale et en mettant en perspective Agenda 21 et Agenda 2030 ».
Le deuxième élément probant se trouve dans une expérience et un rapport parlementaire de 2019 d’un certain Jean-Luc Lagleze (membre de la majorité LREM à l’Assemblée) qu’il a remis au premier ministre de l’époque et à qui il recommande (toujours dans cette même logique de développement durable et d’urbanisation verte) de séparer le foncier du bâti dans les zones tendues des grandes métropoles. Pour faire simple, le projet Lagleze (élaboré en haut lieu) vise progressivement à nous exproprier de nos terres. Dans cette nouvelle perspective, le terrain resterait aux mains d’organismes « fonciers » publics, d’abord dans les grandes villes, puis ce principe finira par s’appliquer sur tout le territoire lorsque l’effondrement sera total. Ainsi, comme je l’ai indiqué en introduction, il s’agit là d’une remise en cause radicale de la conception du droit de propriété héritée de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789.
Et le Grand Reset qui arrive, va permettre très prochainement à plusieurs mesures d’être traduites dans la loi. Ainsi plusieurs mesures législatives, vont également renforcer le pouvoir des grands élus locaux (président de région et de communautés de communes : grands féodaux modernes) pour soi-disant limiter les prix du logement, mais en réalité il s’agira d’une attaque dirigée et ciblée contre le droit de propriété. Précisons-le quand même, les départements et communes structures territoriales traditionnelles vont progressivement se dissoudre dans ce nouveau découpage imposé par l’Euromondialisme. D’ailleurs on va y revenir, mais l’Hyperclasse qui souhaite instaurer la distinction entre la possession d’un terrain (foncier), qui serait publique, et celle du logement bâti sur ce terrain, laissée au propriétaire, ne souhaite que généraliser une pratique courante usitée outre-Manche. Des expériences ont même déjà été menées dans ce sens, notamment dans le Nord de la France et plus précisément dans l’agglomération Lilloise.
Ainsi, la soviétisation néo-libérale de notre pays est bien en marche, et la crise covidienne ne va faire qu’aggraver les choses. La question est de savoir comment vont-ils faire pour racheter les propriétés de la grande majorité des petits propriétaires ?
Fausse annulation des dettes contre droit de propriété
La crise de solvabilité future qui va entraîner une multitude de faillites permettra de légitimer encore une hausse de la fiscalité (augmentation des impôts), mais également une destruction des différentes protections (baisse où fin des pensions de retraites, abolition de la sécurité sociale, etc.). Les vieux devront payer et les malades aussi pour espérer guérir. Il n’est donc pas impossible que l’État annule les dettes privées, notamment les crédits immobiliers, en contrepartie de votre droit de propriété sur le foncier et d’un loyer pour occuper le bâti.
La réponse est donc simple : comme dans l’Antiquité, notre servitude se fera par le moyen de la dette. Car pour répondre à la plus grande vague de faillites et de chômage de masse de l’Histoire, en plus du revenu universel, l’hyperclasse va donc proposer un programme d’annulation des dettes (restructuration partielle) en échange de notre droit de propriété.
Bien sûr, avec la numérisation des devises, l’euro numérique et les autres CBC qui avancent, le contrôle sur les individus sera alors total. Et même si actuellement la BCE ne veut pas entendre parler d’annulation des dettes, car le timing n’est pas bon, l’effondrement financier mondial contrôlé amènera inévitablement les gouvernements chaperonnés par le Fonds monétaire international à proposer un allègement total de la dette.
Mais dans un premier temps ce seront les dettes personnelles (hypothèques, prêts des entreprises et particuliers) qui seront ciblées puisqu’elles pousseront les masses à accepter la servitude et a abandonner leur droit de propriété, pour tout simplement maintenir provisoirement l’illusion du statut quo actuel. Un véritable programme mondial de réinitialisation des dettes sera alors lancé à l’échelle internationale. Comme ce fut le cas avec les mesures sanitaires prises en conséquence du Coronavirus. L’année 2020 était bel et bien l’étape numéro un du programme.
Bien sûr, la question sous-jacente de l’annulation des dettes à savoir la question de la souveraineté monétaire ne sera pas posée. Évidemment face à cette remise à zéro des dettes, il faudra mettre en place des tractations internationales qui auront pour objectif de traiter également de l’épineuse question de la dédollarisation finale l’économie mondiale. Une monnaie mondiale déclinée en plusieurs monnaies numériques continentales pourrait alors voir le jour. Et il n’est pas exclu que dans un premier temps, bien que numérique(s), elle(s) soi(en)t adossée à l’or pour lancer ce nouveau système monétaire international (le phénix/DTS du FMI) et inaugurer la nouvelle phase du Nouvel Ordre mondial.
Bail emphytéotique et précédent britannique
Ainsi, la Dette va permettre à l’oligarchie transnationale de détruire notre droit de propriété. Mais le système de bail emphytéotique promu par le parlementaire Lagleze n’est pas vraiment une innovation récente. Bien au contraire, ce système existe depuis l’époque médiévale dans le monde anglo-saxon et plus précisément sur les terres britanniques. De nos jours, grâce à ce procédé, la moitié de l’Angleterre est détenue par moins de 1% de la population (évidemment les 1% les plus riches)…
L’hyperclasse, fille des banquiers-marchands médiévaux, souhaite donc simplement généraliser ce paradigme d’oppression à l’ensemble de la planète. Ce qu’il se passe à Londres depuis des décennies va désormais être étendu chez nous. Ainsi, encore une fois par l’intermédiaire du prétexte écologique et par la dimension concrète de faillite et d’endettement, les hypernomades vont nous présenter l’artifice du bail emphytéotique comme une solution.
Comme nos voisins britanniques, et comme pour les voitures en leasing, nous aurons l’illusion de la propriété, mais concrètement nous aurons juste le droit de nous endetter et d’entretenir un immeuble qui se trouve sur une terre qui ne nous appartient pas. Pour celles et ceux qui ne perçoivent pas les inconvénients de ce système et qui se disent que c’est un moindre mal pour « sauver Gaïa », je les invite à se renseigner une seconde sur le destin tragique des paysans irlandais lors de l’incident dit « de Ballinglass ».
En effet, lors de la Grande Famine qui frappa l’Irlande entre 1845 et 1849, la majeure partie des terres en Irlande appartenait à de grands propriétaires anglais. Les paysans irlandais étaient des locataires, produisant des céréales, des pommes de terre et du bétail. Mais seules les pommes de terre restaient comme nourriture pour les paysans eux-mêmes, les autres produits servaient à payer le loyer et étaient exportés vers l’Angleterre. Ces exportations continuèrent même quand la récolte de pomme de terre de l’année 1845 fut désastreuse. Des paysans qui ne pouvaient pas payer le loyer dans cette situation furent ensuite expulsés de leurs maisons et de leurs fermes.
Puis, ce fut au tour de la totalité des 300 habitants du village de Ballinglass d’être expulsée. Ces derniers étaient pourtant relativement « riches » et pouvaient payer leur loyer. Mais ils furent malgré tout expulsés en une journée (13 mars 1846) parce que le propriétaire britannique voulait simplement établir une ferme de pâturage à l’emplacement du village, dans une logique de stratégie d’investissement. Les maisons de Ballinglass furent donc démolies par l’armée et la police. Le premier soir, leurs habitants dormirent dans les ruines, mais le lendemain, la police et l’armée revinrent pour les expulser définitivement. En résumé, la volonté du marché dans ce système prime sur la survie de centaines d’hommes et de femmes malgré leur capacité productive et leur travail concret…
Cette anecdote peut vous paraître anodine, mais en réalité elle symbolise parfaitement ce qui arrive lorsqu’une communauté d’individus n’est pas propriétaire de son logement et de sa source de revenus (moyens de production) à une grande échelle. Car ce qui est arrivé aux paysans irlandais au XIXème siècle va être imposé à l’ensemble des peuples du monde lorsque l’Agenda 2030 et le Grand Reset seront appliqués. Bien sûr, il y aura le vaccin, la surveillance de masse et les persécutions politiques qui s’ajouteront à cela, mais dites-vous bien que lorsqu’un peuple n’est plus propriétaire de sa terre, il n’est plus libre, il est esclave.
La liberté économique est bien souvent la condition sine qua non de la liberté politique. Les politiques (mi-soviétiques mi néo-libéraux) qui gèreront nos vies seront eux toujours dans les mains des financiers et ils appliqueront les programmes imposés par l’hyperclasse, à savoir l’asservissement total de la majorité par et pour une petite minorité.
Il y a plus de 2 000 ans à Rome, déjà les frères Gracques en payant de leur sang leur révolte face à l’oligarchie financière de leur temps, nous avaient pourtant mis en garde : « la possession de ses murs, de son foyer, (sont) la base de toutes sociétés saines. Et la cupidité d’une minorité, l’usure, la monopolisation des terres (font) que les lignes de partage de la terre qui définissent la propriété, elles (disparaissent) et les nations avec » (…) « Si bien que l’homme, le citoyen, finit par ne plus savoir où établir son foyer et qu’il devient, à la fin, l’esclave des puissances financières ».
Ainsi demain (en 2021) nous aurons le choix : défendre notre terre ou mourir en esclave.
Sources :
Faits et Documents (numéros 487, 488, 489, 490)
Le Règne des Marchands du Temple : le Gouvernement des Banquiers
Un patient de Moselle atteint du Covid-19 avait porté plainte contre le CHR Metz-Thionville, le Samu 57 et les deux ministres de la Santé. Le dossier connaît une avancée.
Le dossier vient de connaître une nouvelle avancée. « La Cour de justice de la République m’a répondu : la plainte est recevable et fondée. En conséquence, elle a décidé d’ouvrir une information judiciaire », explique Me Mertz à Lorraine Actu.
Concrètement, cela veut dire qu’« un juge d’instruction va être désigné pour instruire la plainte » contre Agnès Buzyn et Olivier Véran. L’ancienne ministre de la Santé et son successeur sont visés par une plainte « pour l’organisation générale du système de santé par les pouvoirs publics ».
Ainsi, « après examen de la plainte et des pièces le 11 décembre, la commission des requêtes de la Cour de justice de la République a décidé d’ouvrir une instruction contre les ministres », précise l’avocat. Les plaintes avaient déposées le 6 octobre.
La procédure a commencé après que le client de Me Mertz a frôlé la mort après avoir passé plusieurs semaines dans le coma en raison d’une forme grave du coronavirus. Il s’était présenté aux urgences de l’hôpital de Mercy avant d’être renvoyé à son domicile puis finalement hospitalisé d’urgence. Il est encore en convalescence plusieurs mois après.