Day: December 28, 2020

Délit de blasphème médical sous contrôle inquisiteur du conseil de l’ordre des médecins ?

En ce mois qui rappelle les sacrifices de l’équipe de Charlie hebdo pour la liberté d’expression, et pendant que le gouvernement proclame que celle-ci est la première valeur de la France, le premier ministre a décidé de bâillonner les médecins. La propagande n’ayant pas réussi à convaincre suffisamment du bien-fondé de sa politique sanitaire (qui nous a placé dans le top 5 européen des plus fortes mortalités attribuées au Covid19), il tente de recourir à la répression accrue des opposants.

Le 21 décembre, il avait présenté un projet de loi donnant le pouvoir aux autorités administratives (les préfets), de supprimer la liberté de circuler, de travailler des citoyens.[1] Devant le tollé soulevé par son projet de loi, il l’a transitoirement retardé en espérant l’imposer à la prochaine occasion, le projet étant sur le bureau de l’assemblée nationale pour les 19 et 20 janvier 2021.

Le 24 décembre, jour symbolique s’il en est, il s’est attaqué à la liberté d’expression des médecins en publiant un décret modifiant l’Article R. 4127-19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle (celle entérinée par le conseil de l’Ordre des médecins).

Il restera à savoir quelle est la doxa du conseil de l’ordre, celui-ci n’ayant aucune fonction scientifique ou médicale, et ne devant trancher théoriquement que les problèmes déontologiques entre médecins et entre praticiens et/ou patients. Qui sortira du chapeau la doxa autorisée ?

Le décret du Premier ministre Castex instaurant la censure des médecins

1° L’article R. 4127-13 du code de la santé publique est remplacé par les dispositions suivantes :

« Art. R. 4127-13. – Lorsque le médecin participe à une action d’information du public à caractère éducatif, scientifique ou sanitaire, quel qu’en soit le moyen de diffusion, il ne fait état que de données confirmées, fait preuve de prudence et a le souci des répercussions de ses propos auprès du public. Il ne vise pas à tirer profit de son intervention dans le cadre de son activité professionnelle, ni à en faire bénéficier des organismes au sein desquels il exerce ou auxquels il prête son concours, ni à promouvoir une cause qui ne soit pas d’intérêt général. »

2° Le second alinéa de l’article R. 4127-19 est supprimé ;

3° Après l’article R. 4127-19, sont insérés les articles R. 4127-19-1 et R. 4127-19-2 ainsi rédigés :

« Art. R. 4127-19-1. – I. – Le médecin est libre de communiquer au public, par tout moyen, y compris sur un site internet, des informations de nature à contribuer au libre choix du praticien par le patient, relatives notamment à ses compétences et pratiques professionnelles, à son parcours professionnel et aux conditions de son exercice.

« Cette communication respecte les dispositions en vigueur et les obligations déontologiques définies par la présente section. Elle est loyale et honnête, ne fait pas appel à des témoignages de tiers, ne repose pas sur des comparaisons avec d’autres médecins ou établissements et n’incite pas à un recours inutile à des actes de prévention ou de soins. Elle ne porte pas atteinte à la dignité de la profession et n’induit pas le public en erreur.

« II. – Le médecin peut également, par tout moyen, y compris sur un site internet, communiquer au public ou à des professionnels de santé, à des fins éducatives ou sanitaires, des informations scientifiquement étayées sur des questions relatives à sa discipline ou à des enjeux de santé publique. Il formule ces informations avec prudence et mesure, en respectant les obligations déontologiques, et se garde de présenter comme des données acquises des hypothèses non encore confirmées.

« III. – Les communications mentionnées au présent article tiennent compte des recommandations émises par le conseil national de l’ordre.

Ignore-t-il que la liberté d’expression est un droit constitutionnel ?

Consacré par l’ONU en 1948 et la cour de justice européenne, elle représente le marqueur essentiel des pays démocratiques.

La liberté d’expression est définie ainsi par la Déclaration universelle des droits de l’homme de l’ONU en 1948 :

 « tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

L’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) réaffirme la liberté d’expression en disposant que « toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontière. »

Le Conseil constitutionnel français a précisé en 1994 que la liberté d’expression est une « liberté fondamentale » d’autant plus précieuse que son existence est une des garanties essentielles du respect des autres droits et libertés. »

Ainsi, selon ces textes fondamentaux, chacun a le droit d’avoir son opinion, ses idées et de l’exprimer par n’importe quel moyen et sous n’importe quel format, sous réserve qu’il ne soit ni diffamatoire, ni négationniste, ni qu’il appelle au crime.

Un médecin ne peut pas être déchu de ses droits constitutionnels

L’ordre des médecins n’a aucune compétence, ni légalement aucun droit, d’émettre des recommandations autres que déontologiques. Il ne peut donc pas être érigé en censeur d’opinions qui ne plairaient pas au gouvernement. Le décret antidémocratique du premier ministre J. Castex qui instaure une telle censure parait donc s’opposer aux droits et à la constitution. Selon la hiérarchie des normes, ce décret s’opposant au contenu d’une loi qui lui est supérieure ne semble pas pouvoir être validée par le conseil constitutionnel. De plus, il établirait une discrimination entre citoyens français, ceux qui auraient le droit de s’exprimer et les autres.

La censure que prône J. Castex s’oppose à l’esprit scientifique et au progrès

Les progrès de la science reposent sur des débats contradictoires et libres.

Sans le courage de Galilée, nous croirions peut -être encore que le terre est au centre de l’univers et que le soleil tourne autour d’elle. Sans le génie d’Einstein pourtant largement considéré comme fou par la majorité des savants de son époque, nous ignorerions le fonctionnement de l’atome.

Tous les grands progrès, ceux qui marquent des ruptures fondamentales dans les connaissances, sont apparus à l’issue de controverses importantes parfois passionnées. La création d’une « science officielle » comme parait vouloir l’instaurer J Castex a été imposée en URSS par Trofim Denissovitch Lyssenko et a stérilisé la recherche dans ce pays pendant près de 40 ans. Est-ce le modèle que veut suivre notre premier ministre ?

Le glissement vers la dictature est souvent insidieux par des mesures d’aspect anodin. C’est à ce stade que la défense de la liberté est essentielle. Battons-nous pour faire respecter les droits de l’homme, la liberté d’expression et la tenue de débats contradictoires. Sans débats contradictoires, plus de liberté, plus de justice, plus de science, plus de progrès.

Je réitère ici mes dénonciations de la politique sanitaire infondée que nous subissons :

le confinement aveugle[2], la propagande terrorisante, le renvoi des infectés à domicile, l’interdiction de la chloroquine et des antibiotiques et les prescriptions de Rivotril ont lourdement aggravé la mortalité en France.

Près de 35000 morts supplémentaires attribuées au covid19 (par comparaison à l’Allemagne), 5000 morts liées aux urgences non traitées pendant le confinement, 10000 à 30000 morts à venir dans les 5 ans secondaires aux mois de retard de diagnostic et de traitements des maladies chroniques et des cancers apparus pendant le confinement, 10000 suicides à venir dus aux angoisses créées par la propagande catastrophe, le chômage et la misère qu’a entraînés le confinement.

L’efficacité de la chloroquine administrée précocement devient chaque jour de plus en plus évidente malgré les études truquées qui tentent de faire croire le contraire. Les pays d’endémie de paludisme dont les populations prennent chaque jour de la chloroquine souffrent infiniment moins de Covid que nous (mortalité 15 à 100 fois moindre). L’Inde qui est le pays qui comptabilise le plus grand nombre mondial de contaminations (plus de 10 millions) mais qui a utilisé l’HCQ largement, et même en prévention pour les soignants et les personnes les plus exposées, compte huit fois moins de morts par million d’habitants que nous (113/M vs 948/M), la Russie 3 fois moins…

Le port du masque en extérieur ne protège pas ceux qui les portent. La seule étude prospective randomisée publiée (étude DanMasq19) sur le sujet par des médecins danois qui voulaient démontrer son utilité, a néanmoins montré qu’il n’apportait aucune protection statistiquement significative.

– Chez les personnes asymptomatiques, les tests PCR actuels lorsqu’ils sont positifs ne permettent d’affirmer ni l’infection ni la contagiosité. Plutôt que de ruiner la sécurité sociale par des tests trompeurs, il eut été beaucoup plus efficace d’isoler réellement les malades (ceux qui souffrent, qui toussent…).

Baser une politique sanitaire sur des estimations totalement fausses[3] de mathématiciens qui ne prennent pas en compte les effets secondaires des mesures qu’ils proposent a été catastrophique. Continuer à suivre leur schéma prévu de confinement jusqu’en décembre 2021 est diabolique.

Les pays qui n’ont pas confiné aveuglément sont dans une bien meilleure situation que nous. Il est urgent de changer de politique, rassurer la population, et stopper ces mesures délétères qui aggravent la situation sanitaire et économique.

Que pouvons-nous faire ?

Dénonçons partout et toujours l’instauration de cette censure.

Informons tous nos représentants (maires, députés, sénateurs) du caractère illégal et anticonstitutionnel de ce décret Castex et de sa gravité.

Préparons les plaintes judiciaires en France et à l’étranger devant les juridictions compétentes comme celles qui se multiplient en Allemagne sous l’impulsion de l’avocat Reiner Fuellmich qui a fait plier Volkswagen, a déposé une plainte le 23 Novembre à Berlin visant le caractère fallacieux des tests PCR[4], complété par une plainte en décembre contre C Drosten le père de la commercialisation de ce test PCR pour le covid en janvier 2020. Rappelons que Drosten[5] est le conseiller direct de Mme Merkel et donc de l’OMS qui impose ses choix au monde occidental.

En France, diverses plaintes sont déposées par des cabinets d’avocat[6], et en particulier par maitre Alberto Brusa contre les masques et contre le vaccin génique imposé en l’absence d’études scientifiques approfondies sur les effets positifs, mais surtout sur les effets inconnus d’une thérapie génique jamais appliquée à l’homme comme prévention[7].  Dans d’autres pays, des plaintes se multiplient, parfois se coordonnent comme au Québec. Des juridictions internationales ont déjà tranché des anomalies majeures comme en Autriche : la Cour suprême juge illégal le port obligatoire du masque à l’école.[8]

On peut légitimement se demander ce qui justifie cette avalanche de décrets et de textes législatifs entre le 23 décembre et le 26 décembre. L’inquiétude sur l’effet des vaccins et les informations que les médecins pourraient révéler ?

La note du 23 décembre du directeur général de la santé est à la fois surprenante et inquiétante ; cette note appelée « Message d’Alerte Rapide Sanitaire » rédigée par Jérôme Salomon demande aux hôpitaux de s’approvisionner en « adrénaline pour faire face aux effets graves et immédiats de la campagne de vaccination »[9].   Sur le site de maitre Brusa vous trouverez la « Déclaration de responsabilité civile et pénale à faire signer à celle ou celui qui veut vous administrer le « vaccin ». Allez la lire et l’imprimer afin de la faire signer à celui qui voudrait vous vacciner ou vacciner votre proche en EHPAD, cela en calmera certains.

Mais l’offensive provaccin continue : ce 26 décembre, on apprend par annonce du gouvernement français la création d’un fichier national des vaccinés, ne doutons pas que ce fichier a vocation à devenir international et être utilisé pour faire fonctionner l’apartheid sanitaire. Nous en reparlerons.

REFERENCES
[1] Voir le projet de loi n° 3714, déposé le 21 décembre 2020 par Jean Castex, pour vote en urgence par l’assemblée nationale pour instituer, en procédure accélérée, ” un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires “. 

Cette loi, si elle est votée, permet de subordonner les déplacements des personnes ou leurs activités (…) à l’administration d’un vaccin en France.
 
On peut lire notamment dans la section 2 “ État d’urgence sanitaire ” au paragraphe 6 :
 Le Premier ministre peut, le cas échéant dans le cadre des mesures prévues aux 1° à 5°, subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif. Le décret mentionné au deuxième alinéa du présent article précise l’étendue de cette obligation ainsi que ses modalités d’application s’agissant notamment des catégories de personnes concernées.”
 Il reste inscrit au calendrier de l’assemblé national pour le 19 et 20 janvier, et pire que cela, certains passages les plus préoccupants de ce projet de loi vont être repris et cachés dans d’autres lois qui devraient être discutées dès les premiers jours de janvier. La mobilisation reste urgente. Écoutez à ce propos la vidéo de Louis Fouché. Louis Fouché – Proposition de loi Castex : faire du problème une opportunité – YouTube

[2][2] Voir notre ouvrage : autopsie d’un confinement aveugle chez Fauves éditions septembre 2020

[3] Rappelons que Ferguson avait prédit 70000 morts en Suède si elle ne confinait pas ; elle n’a pas confiné et ne compte au 25/12/2020 que 8279 morts attribuées au Covid, que les Pays -Bas menacés de 100000 n’en déplorent que 10828 et qu’aucun des pays qui n’ont pas confiné n’a vu ses services hospitaliers saturés.

[4] L’objectif des 5000 cas par jour : encore une énorme arnaque – (ripostelaique.com)

« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)

Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de…

RAPPORT-DICTATURE-2020.pdf

[5] Christian Drosten : l’heure des comptes ? (Francesoir.fr)

[6] Espoir pour les restaurateurs : le judiciaire international (economiematin.fr)

[7] Actions juridiques et judiciaires pour lutter contre la pandémie du Covid-19 – Réaction 19 (reaction19.fr)

[8] https://planetes360.fr/autriche-la-cour-supreme-juge-illegal-le-port-obl…

[9] A la suite de nombreux accidents anaphylactiques survenus après injection de vaccin anticovid. L’un est survenu lors d’une émission de propagande vaccinale en direct ou on voit une des infirmières volontaires tituber et tomber environ 15 minutes après l’injection (il n’a plus été possible de la revoir depuis.)

Auteur(s): Dr Gerard Delépine pour FranceSoir

L’Espagne va tenir un registre des personnes qui refusent le vaccin Covid

Madrid – L’Espagne va mettre en place un registre des personnes qui refusent d’être vaccinées contre le nouveau coronavirus et le partager avec les autres États membres de l’Union européenne, bien qu’il ne soit pas rendu public, a déclaré lundi le ministre de la Santé, Salvador Illa.

Lors d’une interview à la télévision La Sexta, M. Illa a réitéré que la vaccination contre le virus – qui, comme dans la plupart des pays de l’UE, a commencé en Espagne le week-end dernier – ne serait pas obligatoire.

“Ce qui sera fait, c’est un registre, qui sera partagé avec nos partenaires européens… des personnes à qui on l’a proposé et qui l’ont simplement refusé”, a-t-il déclaré.

“Ce n’est pas un document qui sera rendu public et ce sera fait dans le plus grand respect de la protection des données”, a-t-il ajouté, en précisant que les employeurs ou le grand public n’y auraient pas accès.

La proportion d’Espagnols refusant de prendre un vaccin Covid-19 a chuté à 28 % en décembre, contre 47 % le mois dernier, selon un sondage publié le mois dernier.

L’enquête menée par l’institut de recherche du CIS, financé par l’État, a révélé que 40,5 % des personnes interrogées sont prêtes à se faire vacciner, tandis que 16,2 % le feraient si le vaccin s’avérait “fiable”.

L’Espagne a été l’un des pays européens les plus touchés par la pandémie, le nombre de décès dus au virus ayant franchi la barre des 50 000 lundi, selon le ministère de la santé.

Près de 1,9 million de personnes ont été infectées.

Le gouvernement s’attend à ce que 15 à 20 millions de personnes soient vaccinées contre le virus d’ici juin, sur une population de 47 millions d’habitants.

“Le moyen de vaincre le virus est de tous nous vacciner, ou plus il y en aura, mieux ce sera”, a déclaré Illa.

La France prévoit des mesures similaires, voir : Covid-19 : un fichier de données créé pour les personnes vaccinées

L’objectif est “la mise en œuvre, le suivi et le pilotage des campagnes vaccinales”, qui débutent dimanche en France. La pseudonymisation des données est prévue dans certains cas. 

Source : https://www.thepeninsulaqatar.com/article/28/12/2020/Spain-to-keep-registry-of-people-who-refuse-Covid-vaccine

La pandémie de SPARS, 2025-2028

En 2017, le Johns Hopkins Center of Health Security a effectué une simulation d’une pandémie de coronavirus connue sous le nom de SPARS. Que pouvons-nous apprendre de cet exercice ?

Dans les mois qui ont suivi la déclaration de la pandémie de SARS-CoV-2, les chercheurs et les journalistes ont passé d’innombrables heures à rechercher des informations pertinentes susceptibles de faire la lumière sur les origines de ce qui est connu sous le nom de COVID-19.

Ces recherches ont conduit certains à un certain nombre de simulations et d’exercices qui ont “joué à la guerre” avec une éventuelle épidémie virale et ont permis de se demander comment les gens et les institutions du monde entier allaient réagir.

Comme TLAV l’a largement documenté, les exercices de lutte contre les pandémies sont nombreux. La simulation la plus connue est probablement Event 201, un exercice de pandémie de haut niveau organisé par la Fondation Bill et Melinda Gates en partenariat avec le Johns Hopkins Center for Health Security et le Forum économique mondial le 18 octobre 2019.
L’Event 201 a simulé la réaction du monde à une pandémie fictive de coronavirus, connue sous le nom de CAPS, qui se serait propagée sur toute la planète.
La simulation a imaginé 65 millions de morts, des fermetures massives, des quarantaines, la censure de points de vue alternatifs sous le couvert de la lutte contre la “désinformation”, et a même émis l’idée d’arrêter les personnes qui remettent en cause le récit de la pandémie.

Un autre exercice connu sous le nom de “Crimson Contagion” a simulé une épidémie d’un virus respiratoire originaire de Chine. Du 13 au 16 août 2019, le département de la santé et des services sociaux (HHS) de Trump, dirigé par Alex Azar, s’est associé à de nombreuses organisations nationales, étatiques et locales pour cet exercice.
Selon les résultats du projet de rapport d’octobre 2019, la propagation de la nouvelle grippe aviaire (H7N9) a entraîné 110 millions d’Américains infectés, 7,7 millions d’hospitalisations et 586 000 décès.

Une autre simulation connue sous le nom de Clade X a eu lieu en mai 2018. Cet événement a examiné la réponse à une pandémie résultant de la libération d’un virus fictif connu sous le nom de Clade X.
Dans la simulation, le virus a été libéré par un groupe terroriste appelé A Brighter Dawn. Alors que l’épidémie se propageait aux États-Unis, les participants ont demandé ce qui serait nécessaire si le président décidait d’imposer une quarantaine fédérale, notant que les autorités devraient “déterminer (le) niveau de force autorisé pour maintenir la quarantaine”.
L’exercice Clade X a également conduit le gouvernement fédéral à nationaliser le système de santé.

Un exercice moins connu, impliquant le Johns Hopkins Center for Health Security, a eu lieu en 2017.
Cet exercice a également impliqué une pandémie de coronavirus qui a balayé le monde entre 2025 et 2028. Bien que l’exercice ait été très peu médiatisé, les détails et les résultats de la simulation sont extrêmement pertinents pour COVID-19.

La pandémie de SPARS, 2025-2028

En octobre 2017, le Johns Hopkins Center for Health Security a publié son rapport, SPARS Pandemic, 2025-2028 : A Futuristic Scenario for Public Health Risk Communicators.

Le rapport est rédigé du point de vue d’une personne en 2030 qui se penche sur une pandémie qui a balayé le monde entre 2025 et 2028.

Le document indique que les créateurs ont identifié les principales tendances socio-économiques, démographiques, technologiques et environnementales qui, selon eux, sont susceptibles d’apparaître au cours de cette période.

Les deux tendances qui, selon eux, sont susceptibles d’influencer les urgences de santé publique sont “des degrés variables d’accès aux technologies de l’information” et une “fragmentation accrue des populations selon des critères sociaux, politiques, religieux, idéologiques et culturels”.

Le document indique :
“En fin de compte, un monde composé de communautés isolées et très fragmentées ayant un large accès aux technologies de l’information – surnommé ” la chambre d’écho ” – a été choisi comme l’avenir dans lequel le scénario prospectif se déroulerait.

“À partir de ce point, des scénarios spécifiques ont ensuite été élaborés, en s’appuyant sur l’expertise en la matière, les comptes rendus historiques des crises passées liées aux contre-mesures médicales, les rapports des médias contemporains et la littérature scientifique en sociologie, en préparation aux situations d’urgence, en éducation sanitaire et en communication des risques et des crises. Ces sources ont été utilisées pour identifier les défis de communication susceptibles d’apparaître lors de futures urgences de santé publique”.

L’exercice décrit le monde de 2025 comme “plus connecté, mais plus divisé” avec un accès quasi universel à l’internet sans fil.

Le rapport traite d’une nouvelle technologie connue sous le nom de technologie d’accès à l’internet (IAT), qui est décrite comme “des écrans fins et flexibles qui peuvent être temporairement attachés à des porte-documents, des sacs à dos ou des vêtements et utilisés pour diffuser du contenu sur internet”.

Les nouvelles plateformes de réseaux sociaux affectent également le paysage numérique, notamment ZapQ, une plateforme qui “permet aux utilisateurs d’agréger et d’archiver des contenus médiatiques sélectionnés sur d’autres plateformes et de communiquer avec des groupes sociaux basés sur le cloud en fonction d’intérêts communs et de l’actualité”.

Bien que cela ait permis d’augmenter et de faciliter le partage des nouvelles, de nombreuses personnes choisissent de “restreindre elles-mêmes les sources vers lesquelles elles se tournent pour obtenir des informations”, créant ainsi les chambres d’écho.

À la mi-octobre 2025, trois décès ont été signalés dans une église de St. Paul, dans le Minnesota. Deux membres de l’église sont revenus récemment d’un voyage aux Philippines.

Alors que leurs décès ont été initialement supposés être dus à la grippe, les résultats de laboratoire ont par la suite réfuté cette théorie.

Finalement, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont confirmé que les trois patients étaient infectés par un nouveau coronavirus, connu sous le nom de Coronavirus du Syndrome respiratoire aigu de St Paul (SPARS-CoV, ou SPARS).

Il est intéressant de noter que le rapport note que “les estimations de mortalité précoce ont été gonflées”, les CDC estimant le taux de mortalité des cas de SPARS à 4,7%, et l’OMS disant 14-15% et plus de 50% pour les personnes âgées de plus de 64 ans. Des études ultérieures fourniraient une estimation plus précise de seulement 0,6 %. Ce scénario simulé imite ce que nous avons vu avec le COVID-19.

Les CDC et l’OMS ont tous deux affirmé au départ que le taux de mortalité était beaucoup plus élevé, avant d’admettre plus tard que le taux était inférieur à 1 %.

Le rapport explique ensuite en détail comment la santé publique et les professionnels de la santé n’ont pas réussi à stopper la propagation du SPARS.

Avec l’arrivée de Thanksgiving et du Black Friday, la transmission du SPARS s’est accélérée en raison des déplacements de personnes asymptomatiques. À la mi-décembre, des cas de SPARS ont été signalés dans 26 États, ainsi qu’au Mexique, au Canada, au Brésil, au Japon et dans plusieurs pays européens.

Finalement, un vaccin animal est considéré comme une solution potentielle. Des éleveurs ont utilisé le vaccin pour traiter une maladie respiratoire à coronavirus de type SPARS chez les vaches et les porcs aux Philippines.

Le fabricant du vaccin, GMI, a affirmé que le vaccin serait utile, mais les essais cliniques révèlent des effets secondaires, notamment des jambes gonflées, de graves douleurs articulaires et une encéphalite entraînant des convulsions ou la mort.

Il n’y avait pas de données disponibles sur les effets à long terme du vaccin GMI. Malgré cette controverse, CynBio, une société pharmaceutique américaine, a développé un vaccin SPARS basé sur la technologie GMI.

Tout comme dans la vie réelle, la simulation indique que le ministère de la santé a accepté de fournir une protection de responsabilité au fabricant de vaccins CynBio dans le cas où quelqu’un serait blessé par le vaccin.

C’est la même situation que celle que nous avons observée avec le COVID-19, où les responsables du gouvernement américain ont reconnu que les sociétés de vaccins allaient être indemnisées pour les responsabilités potentielles découlant de leurs produits.

La simulation montre clairement que les responsables de la santé ont prévu les risques de blessures liés aux vaccins et l’objection aux mandats de vaccination.

Dans une section du rapport, on peut se demander “comment les autorités sanitaires fédérales pourraient répondre aux critiques qui proposent que la protection de la responsabilité des fabricants de vaccins SPARS compromette la liberté et le bien-être des individus”.

Le rapport poursuit en évoquant la création d’un produit thérapeutique appelé Kalocivir et la manière dont un nombre croissant d’individus commencent à contester l’utilisation des produits pharmaceutiques et des vaccins.

Ces personnes qui faisaient la promotion de “remèdes naturels tels que l’ail et les vitamines” étaient moins susceptibles de prendre du Kalocivir ou de consulter un médecin pour des symptômes semblables à ceux du SPARS.

Les inquiétudes concernant le Kalocivir se sont accrues en février 2026, lorsqu’une vidéo virale montre un garçon de trois ans en train de vomir après avoir pris une dose du produit thérapeutique. Le clip est partagé à travers les États-Unis avec les hashtags #NoKalocivir et #NaturalIsBetter.

Les activistes des réseaux sociaux ont commencé à utiliser les groupes ZapQ pour partager la vidéo et aussi à placer des écrans IAT au dos de leurs vestes et sacs à dos tout en mettant la vidéo en boucle.

En été, la vidéo est le “clip Zap” le plus partagé par les élèves du secondaire.

Une autre ligne directrice du rapport du Center for Health Security note que même si les cas de SPARS ont commencé à diminuer, “le buzz persistant des réseaux sociaux autour de la pandémie a fait en sorte que l’anxiété du public est restée élevée”.

Encore une fois, cela reflète ce que nous constatons dans le cas du COVID-19.

En mai 2026, le CDC a admis que le SPARS n’était fatal que dans 0,6 % des cas aux États-Unis. Cette réalité s’est reflétée dans les réseaux sociaux, où une grande partie du public a commencé à reconnaître que le SPARS n’était pas aussi dangereux qu’on le leur avait dit.

“Combiné aux doutes persistants sur le Kalocivir et à l’absence d’un vaccin SPARS disponible dans le commerce, la nouvelle estimation du taux de mortalité des cas les plus faibles a conduit le public à devenir de plus en plus hostile à la poursuite des messages du SPARS”, indique le rapport.

Le rapport explique en détail comment le CDC, la FDA et d’autres agences gouvernementales ont travaillé avec des “experts des réseaux sociaux” pour mettre au point des campagnes de messages de santé publique sur le SPARS, le Kalocivir et le futur vaccin, le Corovax.

Tout comme dans l’exercice Event 201, la simulation SPARS a fait appel à des “scientifiques, des célébrités et des responsables gouvernementaux de renom” pour réaliser des vidéos et donner des interviews afin de promouvoir les campagnes de communication du gouvernement.

Le public n’a pas bien réagi à ces campagnes et s’est plutôt tourné vers les réseaux sociaux pour exprimer sa désapprobation.

Les médias grand public ont même commencé à remettre en question le discours du gouvernement et la sécurité du Corovax. L’opposition au Corovax a fusionné avec le mouvement anti-vaccination croissant qui est apparu sur les réseaux sociaux.

Ces groupes étaient composés de musulmans qui s’opposaient au vaccin, d’Afro-Américains qui ne faisaient pas confiance au gouvernement par crainte d’expérimentation sur la communauté noire, de la communauté de la médecine alternative et de la communauté “anti-vaccination”.

Ces opposants au vaccin ont diffusé des informations prétendant que le Corovax n’avait pas été correctement testé et qu’il avait des effets secondaires inconnus.

Des sondages nationaux réalisés à la mi-août 2026 ont montré que 68 % des citoyens américains avaient vu un message ou lu un commentaire d’une personne exprimant des sentiments anti-Corovax.

Même le gouvernement japonais a rejeté le Corovax, ce qui a donné lieu à des clips vidéo viraux de conférences de presse japonaises.

En réponse à l’opposition au Corovax, le gouvernement américain a commencé à travailler avec les réseaux sociaux et les sociétés de recherche pour cibler les publicités sur les personnes recherchant des “sites web anti-vaccination”.

Le CDC a également commencé à extraire des données des réseaux sociaux publics des “histoires positives” qu’il pourrait promouvoir via les réseaux sociaux.

Le gouvernement américain a également demandé aux prestataires de soins de santé de donner accès aux dossiers médicaux électroniques (DSE) des patients afin de déterminer le nombre de personnes faisant partie des populations à haut risque dans des régions particulières.

Les conséquences : Effets secondaires à long terme, poursuites judiciaires et perte de confiance

Le rapport décrit comment les effets secondaires indésirables ont commencé à apparaître à mesure que de plus en plus d’Américains recevaient le vaccin. Les parents ont affirmé que leurs enfants présentaient des symptômes neurologiques similaires à ceux observés chez les animaux auxquels le vaccin GMI avait été injecté.

En mai 2027, les parents ont commencé à intenter des poursuites et à demander la suppression de la responsabilité protégeant les sociétés pharmaceutiques qui ont développé le Corovax.

Le rapport indique que “l’inquiétude était particulièrement forte chez certains parents afro-américains qui continuaient à mettre en doute les motivations du gouvernement concernant la campagne de vaccination par le Corovax”.

Fin 2027, de nouveaux symptômes neurologiques ont commencé à apparaître chez les personnes qui avaient pris du Corovax.

“Après n’avoir présenté aucun effet secondaire indésirable pendant près d’un an, plusieurs personnes vaccinées ont lentement commencé à présenter des symptômes tels qu’une vision floue, des maux de tête et un engourdissement des extrémités”, a écrit le Centre pour la sécurité sanitaire.

Le rapport indique qu’en 2030, il n’était toujours pas clair si les vaccinations étaient responsables des effets secondaires.

La réaction des réseaux sociaux a pris le HHS au dépourvu, car il a été contraint d’indemniser les personnes ayant subi les effets à long terme du vaccin Corovax.

Le public avait de plus en plus d’opinions négatives concernant le vaccin et ce qu’il percevait comme une indifférence à l’égard des victimes.

En conclusion, le rapport examine l’état du monde en 2030, cinq ans après le début de la pandémie de SPARS.

Bien que la pandémie ait officiellement pris fin en 2028, des cas existent dans 14 pays d’Europe, d’Afrique et d’Asie. Les experts de l’OMS prévoient que de nouvelles flambées continueront d’apparaître si les pays ne maintiennent pas une couverture vaccinale étendue.

Lorsque le public retourne enfin à une “vie normale”, il commence à concentrer ses frustrations sur les politiciens et les représentants des agences qu’il blâme pour avoir exagéré la gravité de l’événement.

Finalement, plusieurs hauts fonctionnaires du CDC et de la FDA sont contraints de prendre leur retraite. Cependant, il semble y avoir un manque de responsabilité car il y a “peu de désir” de “ressasser les événements des dernières années”.

Bien sûr, la simulation indique que “les théories du complot ont également proliféré dans les médias sociaux, suggérant que le virus avait été créé et introduit délibérément dans la population par les sociétés pharmaceutiques ou qu’il s’était échappé d’un laboratoire gouvernemental testant secrètement des armes biologiques”.

Ce genre d’accusations a également été porté contre des chercheurs lors de la crise COVID-19 et utilisé pour justifier la censure.

Bien que l’exercice “Echo Chamber” soit un scénario fictif, il est important de comprendre ce que les chercheurs du Johns Hopkins Center for Health Security ont observé.

Bien que ces événements ne soient pas censés être une prédiction des choses à venir, l’histoire a montré que les simulations et les exercices de ce type peuvent souvent offrir une fenêtre sur la façon dont les gouvernements et les institutions privées réagiront en temps de crise à venir.

Source : https://www.thelastamericanvagabond.com/spars-pandemic-2025-echo-chambers-vaccine-opposition/

«Ah faut faire un vaccin ?» Mauricette, 78 ans, première vaccinée de France contre le Covid-19

Le vaccin fabriqué par Pfizer et BioNTech a été inoculé le dimanche 27 décembre à quelques patients de l’unité de séjour de longue durée (USLD) au sein de l’hôpital René-Muret à Sevran.

Ce service, qui dépend de l’AP-HP, comprend 90 malades très âgés atteints de plusieurs pathologies, dont une grande partie souffrent de troubles neurocognitifs.

Mauricette se serait sûrement portée volontaire d’elle-même pour servir de cobaye pour un nouveau vaccin expérimental si elle avait encore toute sa tête.

La maladie d’Alzheimer liée à l’exposition à l’aluminium

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