Category: Légal

Le masque obligatoire à l’école jugé illégal par la Cour constitutionnelle autrichienne

“Deux enfants et leurs parents avaient fait appel devant la Cour constitutionnelle, faisant valoir que le masque obligatoire et les cours en alternance violaient le principe d’égalité, le droit à la vie privée et le droit à l’éducation”

« En Autriche, certains écoliers avaient cours le lundi et le mardi et les autres le mercredi, le jeudi et le vendredi seulement. Ils devaient rester à la maison le reste de la semaine. Mais le port obligatoire du masque à l’école et l’enseignement en alternance, deux mesures prises par le gouvernement autrichien au printemps afin de tenter d’endiguer la pandémie de coronavirus, sont des dispositions « illégales », a estimé mercredi la Cour constitutionnelle.

« Pour faire face aux conséquences de la Covid-19 dans le système scolaire, un décret publié par le ministre de l’éducation en mai 2020 a ordonné que les classes soient divisées en deux groupes et enseignées alternativement à l’école », a écrit la Cour dans un communiqué.

« Dans sa décision publiée aujourd’hui, la Cour constitutionnelle a jugé que les dispositions contestées étaient illégales », ont fait savoir les juges. Deux enfants et leurs parents avaient fait appel devant la Cour constitutionnelle, faisant valoir que ces dispositions violaient le principe d’égalité, le droit à la vie privée et le droit à l’éducation. […] »

Lire l’intégralité de l’article :
– 20 Minutes : Autriche : La cour suprême juge illégal le masque obligatoire à l’école et les cours en alternance

Le test PCR en justice

Des actions en justice ayant pour but d’exposer l’utilisation incorrecte et abusive du test PCR commencent à être déposées dans plusieurs pays européens.

Lire aussi: Le test PCR actuel a-t-il une utilité?

Le test PCR est suspendu comme une épée de Damoclès sur des millions de citoyens depuis des mois, influençant, selon le résultat, la vie personnelle et professionnelle lourdement.

Ce test a maintenant trouvé son chemin vers les tribunaux : une action a été déposée auprès du tribunal régional de Berlin le 23 novembre pour infections non détectables [1]. L’Autriche est également dans les starting-blocks avec un procès avec le même contenu. D’autre part, la cour d’appel du Portugal a statué le 11 novembre que le processus PCR n’est pas un test fiable pour le Sars-Cov-2. En outre, l’arrêt a laissé entendre que toute quarantaine forcée appliquée à des personnes en bonne santé pourrait constituer une violation de leur droit fondamental à la liberté. Plus important encore, les juges ont décidé qu’un seul test PCR positif ne peut pas être utilisé comme un diagnostic efficace de l’infection [2].

Rappelons que les experts ont confirmé que le test PCR n’est pas adapté pour poser le diagnostic de Covid-19[3]. Ce jugement critique est confirmé par le CDC – la plus haute autorité sanitaire américaine. Le test PCR recherche des extraits de virus et “La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou ni que le COVID-19 est l’agent causal des symptômes cliniques.” a déclaré le CDC. L’agence conclut qu’une « grande proportion de décisions lourdes sont très probablement basées sur des résultats de tests incorrects ».

Ces actions en justice ont donc pour but essentiellement d’exposer l’utilisation incorrecte et abusive du test PCR. Les principales conclusions juridiques sont :

  • le test n’est ni adapté ni destiné à la détection d’une infection
  • la chaîne : test positif – infecté – contagieux- danger –est fausse
  • Le diagnostic d’une infection doit être posé par un médecin inscrit à l’ordre et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire
  • La justice n’a pas vocation à poser un diagnostic en lieu et place d’un médecin
  • Le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins
  • Le diagnostic posé sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens.
  • Elle n’est pas respectée car il n’a pas eu de consentement éclairé des personnes.

References

[1]https://www.google.com/Plainte du Dr. med. Wolfgang Wodarg

[2] Arrêt n° 1783/20.7T8PDL.L1-3 de la Cour d’appel de Lisbonne, 11 novembre 2020 :

https://tribunal-relacao.vlex.pt/vid/851822033

Jugement complet en portugais :

http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30

Jugement complet traduit en anglais :

https://translate.google.com/translate?hl=&sl=pt&tl=en&u=http%3A%2F%2Fwww.dgsi.pt%2Fjtrl.nsf%2F33182fc732316039802565fa00497eec%2F79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30

[3] https://cormandrostenreview.com/report/

Source : https://reinfocovid.fr/science/test-pcr-justice/

Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir

Tribune : Les principales conclusions juridiques sont 

Le diagnostic d’une infection doit être posé par un médecin inscrit à l’ordre et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire La justice n’a pas vocation à poser un diagnostic en lieu et place d’un médecin Le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins

Le diagnostic posé sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens. Elle n’est pas respectée car il n’a pas eu de consentement éclairé des personnes.

Nous avons informé les lecteurs de France Soir[1] de l’aventure portugaise de quatre touristes allemands isolés sous contrainte dans un hôtel sous le fallacieux prétexte que l’un d’entre eux avait un test PCR positif à l’arrivée de l’avion (alors qu’il était négatif au départ). La plainte de ces personnes retenues et isolées de force en raison d’un simple test positif a été très utile à l’ensemble des populations de la planète soumise à cette hégémonie d’un test que son inventeur H Mullis[2] estimait lui-même absolument inadapté pour poser un diagnostic d’une infection virale.

La justice a donc statué sur l’enfermement des plaignants, l’a jugé illégal et ordonné leur libération[3]. Curieusement l’agence de santé, imbue de ses pouvoirs inquisitoriaux comme les françaises, a fait appel. Nous vous résumons ici les principaux enseignements à retenir de ce jugement qui pourrait bien faire jurisprudence au bénéfice de tous et à  terme faire cesser cette pratique injustifiée médicalement et extrêmement coûteuse, (plus de deux milliards d’€ imputés au budget de la sécurité sociale) pour des tests inutiles, dangereux pour la vie quotidienne interrompue et pour le moral et l’angoisse des personnes auxquelles on a beau répété depuis cet été que ces tests dans leur très grande majorité sont faux, le doute entretenu par les médias persiste.

Mister Bean, notre cher (très cher de fait) remboursera -t-il ces milliards indus à la sécurité sociale ?  En tous cas comment pourra-t-il réparer les dégâts psychiques des étudiants etc… Rappelons s’il en est besoin que les mesures liberticides qui entrainent fermetures et faillites des restaurants, des bars, des petits commerçants des discothèques, des artisans sans salariés et sans aide etc.,  reposent sur la publication emphatique de ces résultats de tests fallacieux par le ministre, le directeur général de la santé, le premier ministre (qui met les grands parents à la cuisine pour la bûche de Noel) et in fine le président.

Combien de complices dits scientifiques à Mister Bean et quand répondront-ils de leurs crimes contre le peuple ? Probablement jamais … Comme d’habitude …

A lire aussi : Vers le faire part de décès des tests PCR

 La décision portugaise de première instance du 26 aout stipule

« La demande d’habeas corpus a été accordée, car il était illégal de les détenir, déterminant la restitution immédiate de la liberté des demandeurs ».

Dires de la cour d’appel de Lisbonne

L’ARS locale digne des nôtres dans sa volonté hégémonique a fait appel, et le 11 novembre 2020, la décision de la 3ème chambre pénale de la cour d’appel de Lisbonne est tombée.

Nous vous en donnons ici les extraits les plus informatifs pour le grand public, renvoyant les experts juridiques à la totalité du document disponible en portugais sur le web[4].

Première affirmation : l ’agence régionale de santé n’est pas habilitée à faire appel d’une décision d’habeas corpus pour n’avoir aucune légitimité à agir

L’extrait 2 concerne l’absence de valeurs du test PCR indépendamment de la détention des plaignants

« Cependant, au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test est, en soi, incapable de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SARS-CoV-2, par plusieurs raisons, dont nous en soulignons deux (à laquelle s’ajoute la question de l’étalon-or que, en raison de sa spécificité, nous n’aborderons même pas) :

–  Pour cette fiabilité dépendent du nombre de cycles qui composent le test ;

– Pour cette fiabilité dépendent de la quantité de charge virale présente.  »

Extrait 3 (extrait spécifique)

Il est très important que la cour portugaise rappelle que le diagnostic de malade du covid devrait être posé par un médecin inscrit à l’ordre des médecins et non pas un simple test pratiqué et interprété par des non-médecins. Le médecin se doit d’examiner son patient, prescrire des examens complémentaires éventuels, de l’interroger, avant de poser un diagnostic[5].

Poser un diagnostic sans un acte médical réalisé par un médecin inscrit à l’ordre viole également la disposition de l’article 97 du Statut de l’Ordre des médecins (portugais), article 358 al. B (Usurpation de fonctions) du code Pénal.

Poser ce diagnostic sans médecin, « viole également n ° 1 de l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme, que le Portugal a souscrit et est tenu de respecter en interne et en externe, car aucun document prouvant que le consentement éclairé qu’impose cette Déclaration n’a été présenté dans le dossier ».

Dans l’Extrait 4 (extrait spécifique) la cour revient sur l’absence de fiabilité des tests PCR

 » la fiabilité éventuelle des tests PCR réalisés dépend, d’emblée, du seuil de cycles d’amplification qu’ils contiennent, de telle sorte que,

– jusqu’à la limite de 25 cycles, la fiabilité du test sera d’environ 70% ;

– si 30 cycles sont effectués, le degré de fiabilité tombe à 20% ;

– si 35 cycles sont atteints, le degré de fiabilité sera de 3%.  »

Extrait 5 (extrait global) la cour portugaise s’étonne que l’agence de santé fasse appel en justice d’une affaire médicale, alors que c’est son job.

« Depuis quand revient-il à un tribunal de poser des diagnostics cliniques, de sa propre initiative et sur la base d’éventuels résultats de tests ? Ou l’ARS ? Depuis quand le diagnostic d’une maladie est-il posé par décret ou par loi ? »  Et insiste sur le fait que poser un diagnostic est un acte médical et rappelle le règlement portugais : règlement n ° 698/2019, du 5.9 (règlement qui définit les actes propres des médecins),
Et rappelle que
« -Les médecins actuellement enregistrés auprès de l’Association médicale portugaise sont les seuls professionnels qui peuvent pratiquer les actes des médecins, conformément aux dispositions du statut de l’Association médicale portugaise, approuvé par le décret-loi n ° 282/77 du 5 juillet, avec les modifications introduites par la loi 117/2015 du 31 août et le présent règlement ».  Et la cour précise que l’internement obligatoire ne peut être effectué que par des médecins [6]

Il est fort réconfortant de lire que «  tout diagnostic ou tout acte de surveillance de la santé (comme c’est le cas pour la détermination de l’existence d’une infection virale et d’un risque élevé d’exposition, qui se révèlent couverts par ces concepts) posé sans observation médicale préalable des demandeurs, sans l’intervention d’un médecin inscrit à l’Ordre des Médecins qui a procédé à l’évaluation de ses signes et symptômes, ainsi qu’aux examens qu’elle jugeait appropriés à son état), viole ce règlement, ainsi que la disposition de l’article 97 du Statut de l’Ordre des médecins.

Il viole également n ° 1 de l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme, que le Portugal a souscrit et est tenu de respecter en interne et en externe, car aucun document prouvant que le consentement éclairé qu’impose cette Déclaration n’a été présenté dans le dossier.

Donc la justice n’est pas là pour remplacer le médecin qui lui, en particulier obtiendra selon son serment et les conventions signées par le Portugal (et aussi par la France) son consentement éclairé. Un acte et un diagnostic médical ne peuvent qu’être posés que par un médecin inscrit à l’ordre, enlevant tout caractère légal aux décisions prises arbitrairement par des médecins « virtuels » de nos ARS imposant isolement, arrêt de travail, information sur cas contacts et persécution de ceux-ci pour qu’ils passent ce fameux test.

Regardez le paragraphe suivant de conséquences capitales

« Il est donc clair que la prescription de méthodes diagnostiques auxiliaires (comme c’est le cas des tests de détection d’une infection virale), ainsi que le diagnostic de l’existence d’une maladie, vis-à-vis de chaque personne, est une question qui ne peut être effectuer par la loi, la résolution, le décret, le règlement ou toute autre voie normative, car ce sont des actes que notre système juridique réserve à la compétence exclusive d’un médecin, étant sûr que, en conseillant son patient, il doit toujours essayer d’obtenir son consentement éclairé. »

Revenant sur l’enfermement des allemands, la cour s’étonne qu’aucun médecin ne les ait seulement rencontrés ! « En effet, ce qui découle des faits tenus pour acquis, ce n’est qu’aucun des requérants n’a même été vu par un médecin, ce qui est franchement inexplicable compte tenu de la gravité alléguée de l’infection ».

Et la cour revient sur le fait que seul un test PCR par ailleurs non fiable a été réalisé !

« Cependant, au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test est, en soi, incapable de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SARS-CoV-2. »

Suivent ensuite les explications basées sur les connaissances scientifiques des tests PCR et la pratique courante de ces tests ne respectant pas le nombre faible d’amplifications des débris de virus détectés et aboutissant à des surdiagnostics innombrables comme en France avec les conséquences sanitaires dramatiques et arbitraires prises par les autorités.
C’est le résultat, entre autres, de l’étude de corrélation très récente et complète entre 3790 échantillons positifs de PCR et cultures de cellules positives dont 1941 isolats de SRAS-CoV-2  [7]

Cette étude conclut « A un seuil de cycle (ct) de 25, environ 70% des échantillons restent positifs dans la culture cellulaire (c’est-à-dire qu’ils étaient infectés) : dans un ct de 30, 20% des échantillons sont restés positifs ; dans un ct de 35, 3% des échantillons sont restés positifs ; et à un ct supérieur à 35, aucun échantillon n’est resté positif (infectieux) en culture cellulaire (voir diagramme).
« Si une personne a un test PCR positif à un seuil de cycle de 35 ou plus (comme dans la plupart des laboratoires aux États-Unis et en Europe), les chances qu’une personne soit infectée sont inférieures à 3%. La probabilité qu’une personne reçoive un faux positif est de 97% ou plus ».

Or en France comme au Portugal, y compris aux Açores et à Madère le nombre de cycles d’amplification avec lesquels les tests PCR sont effectués, est inconnu, car nous n’avons pas pu trouver de recommandation ou de limite à cet égard et l’état n’autorise pas les laboratoires à afficher les taux d’amplification.
Insistons sur le fait que cette étude est parue en septembre et que nos gouvernants qui ont continué à nous terroriser, isoler, avec arrêt de travail, fermetures d’écoles, d’atelier, de chaines de production etc. ne pouvaient pas ne pas connaitre ces études et leur bonne foi ne peut être en aucun cas alléguée. La cour rapporte une autre publication importante : [8]
« Tout test de diagnostic doit être interprété dans le contexte de la possibilité réelle de la maladie, existant avant sa réalisation.

Pour Covid-19, cette décision d’effectuer le test dépend de l’évaluation préalable de l’existence des symptômes, des antécédents médicaux de Covid 19 ou de la présence d’anticorps, de toute exposition potentielle à cette maladie et de l’absence d’un autre diagnostic possible. »

« L’une des raisons potentielles de présenter des résultats positifs peut résider dans l’excrétion prolongée d’ARN viral, qui est connue pour se prolonger pendant des semaines après la guérison, chez ceux qui ont déjà été exposés au SRAS-CoV-2.

Cependant, et ce qui est plus pertinent, il n’existe aucune donnée scientifique suggérant que de faibles niveaux d’ARN viral par RT-PCR équivalent à une infection, à moins que la présence de particules virales infectieuses n’ait été confirmée par des méthodes de culture en laboratoire »

TOUT Y EST et aucune justification à la poursuite de la pratique des tests PCR, aveugle et multiple n’est acceptable depuis ces publications. Les décisions politiques qui en ont découlé sont criminelles et devront être jugées.

Ainsi au vu de ces informations scientifiques solides et en l’absence de tout acte médical, le recours formé est jugé irrecevable, faute de légitimité et de désintérêt à agir de la part du requérant, ainsi que manifestement non fondé, il devra être rejeté, [9]  le recours formé par l’Autorité régionale de la santé , représentée par la Direction régionale de la santé de la région autonome des Açores , est rejeté .

Ces conclusions de la cour d’appel de Lisbonne contre l’enfermement abusif de quatre personnes n’ayant pas vu un médecin alors que la propagande médiatique plaide pour ces mesures en raison d’une maladie qui serait grave, sont majeures et serviront, nous l’espérons à étoffer, par sa jurisprudence, les nombreux procès qui s’élèvent de par le monde contre la pratique de ces tests. Et particulièrement par l’utilisation qui en est faite par les gouvernants qui adoptent ces ukases pour priver les populations des pays, de leurs droits fondamentaux, de leur liberté et d’humanité (distanciation, limite du nombre de convives à Noel etc.).

Il est évidement que toutes ces mesures plus aberrantes les unes que les autres reposent vis-à-vis du peuple sur l’existence de ces clusters qui menaceraient notre santé. Pourtant la létalité du covid19 est faible, comparable aux autres grippes et ne concerne pas plus de 0,05% de la population, toutes dans l’âge où l’on va quitter ce monde. Bloquer les universités, les stations de ski pourtant innocentées par l’étude de l’INSERM aux Contamines[10], ruiner les restaurants, les bars, les spectacles etc. ne relèvent pas d’une politique sanitaire mais d’une volonté totalitaire, dont les sources sont à étudier à Davos et dans le livre de klaus Schwab en juillet 2020 (covid19 la grande réinitialisation). Il est grand temps que le peuple si prompt à aller se faire gratter le nez malgré toutes les mises en garde sur le caractère fallacieux du test PCR, se réveille avant que la situation ne soit irréversible ou au prix de monstrueux dégâts.

La prise de conscience semble arriver, en témoigne ce reportage de Paris Match pourtant très fidèle au pouvoir : Covid-19 : les tests PCR contestés (parismatch.com)   Dr Philippe Gorny

« L’usage à grande échelle d’un test aussi sensible génère un grand nombre de résultats inexacts

Ce test requiert de grandes quantités de réactifs, des équipements de laboratoire coûteux, des professionnels hautement qualifiés travaillant avec des masques, une double paire de gants, des surchaussures et mille autres précautions. Les possibles biais techniques sont légion et une source importante de résultats erronés : mauvais prélèvement, erreurs d’étiquetage, contamination d’un réactif, mauvais pipetage, faute d’interprétation, etc. Un laboratoire bostonien a suspendu ses tests de dépistage après la découverte de 400 faux positifs en une seule journée. Des écouvillons n’ayant jamais servi envoyés à des laboratoires pour analyse sont revenus positifs (signifiant qu’ils y furent contaminés). Le président de la Tanzanie, John Magufuli, a fait savoir à la terre entière qu’il avait secrètement envoyé des échantillons provenant d’une papaye, d’un mouton et d’une chèvre à un laboratoire de dépistage du Covid. Tous sont revenus positifs ! Doit-on en rire ? Pas vraiment. Le fait est que l’usage à grande échelle d’un test aussi sensible génère un grand nombre de résultats inexacts ».

On sait tout cela depuis plusieurs mois mais question à cent sous, les gens et en particulier les jeunes ont continué à jouer à la roulette du test PCR y retournant quatre à cinq fois (toujours test gratuit pour eux mais payé par notre sécu et nos impôts) afin d’avoir enfin un test positif et là l’ars s’en donne à cœur joie pour persécuter les contacts dénoncés leur faisant croire qu’ls sont « obligés » de subir un test. Quelle soumission de notre jeune génération, comme celle de jupe trop courte, etc.

Le docteur Mike Yeadon, ex-directeur scientifique de Pfizer pendant seize ans, a récemment déclaré : « Plus de la moitié des positifs sont susceptibles d’être des faux, voire potentiellement tous. » Eh oui ! Ce que la PCR détecte réellement n’est que la présence de séquences partielles de l’ARN du virus intact. Elles peuvent être un morceau de virus mort ou d’un virus non viable. Leurs porteurs n’ont alors aucun symptôme, ne sont pas contaminants, mais néanmoins dits positifs.     ALORS STOP TESTS !

« On imagine les conséquences que le confinement inutile de telles personnes faussement positives peut avoir sur l’économie et leur vie professionnelle ou sociale » …conclue le journaliste de Paris Match.

Même le célèbre docteur Anthony Fauci, [11]directeur de l’Institut national américain des allergies et maladies infectieuses « a expliqué qu’au-delà de 35 cycles d’amplification, tous les PCR sont des faux positifs, liés à des débris viraux, non cultivables en laboratoire et non contagieux.

Pour le siège des Centers for Disease Control and Prevention, à Atlanta, il est rarissime de détecter du virus vivant au-delà de 33 cycles. Aux Etats-Unis, pourtant, la routine pousse souvent l’amplification au-delà de 40 cycles, et c’est la même chose en France ! Dans son avis du 18 septembre 2020 notre Haute Autorité de santé a recommandé de rester entre 35 et 40 cycles, c’est-à-dire au-dessus du seuil de 35.

Autrement dit, la stratégie sanitaire actuelle a pour base des résultats qui ne reflètent pas la réalité ! Certains experts s’en inquiètent : la PCR serait-elle intentionnellement utilisée pour multiplier le nombre de cas ? Et si oui, dans quel but ? » conclue le dr Gorny.

« Avec la pratique des tests actuels, il se peut que le Covid-19 ne disparaisse jamais. » C’est de l’humour anglais. Les Français apprécieront » conclue Gorny.

Surtout si leur premier ministre reste en place et empêche les étudiants de retourner à la fac et de profiter de leur jeunesse.

De quel droit priver les sportifs de leur sport préféré dont la dernière trouvaille est d’ouvrir les stations de ski, mais pas les remonte pentes. Ces énarques ont peut-être une belle carrière sur le papier mais cela ne les rend pas gai…. Bûche de Noel dans la cuisine… Elle va rester célèbre, celle-ci. Plus que sa tragique mise en place de la tarification à l’activité dont Mr Castex fut l’artisan et qui a fini de ruiner les hôpitaux et l’organisation du système de santé. Il se plaint maintenant du manque de lits…

[1] Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

[2] Kary Mullis : « Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade » (laveritesansmasque.blogspot.com)

[3] Lisbonne, le 11 novembre 2020 Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés

[4]http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30

[5]  » Ainsi, tout diagnostic ou tout acte de surveillance de la santé (comme c’est le cas pour la détermination de l’existence d’une infection virale et d’un risque élevé d’exposition, qui se révèlent couverts par ces concepts) posé sans observation médicale préalable des demandeurs, sans l’intervention d’un médecin inscrit à l’OM (qui a procédé à l’évaluation de ses signes et symptômes, ainsi qu’aux examens qu’elle jugeait appropriés à son état), viole ce règlement »

[6]« Même en vertu de la loi sur la santé mentale, loi n ° 36/98 du 24 juillet, le diagnostic de la pathologie pouvant conduire à l’internement obligatoire est obligatoirement effectué par des médecins spécialistes et leur jugement technique et scientifique – inhérent à l’évaluation clinique-psychiatrique – est exclue de l’évaluation gratuite du juge (voir articles 13, 3, 16 et 17 de ladite loi). »

[7] Par Rita Jaafar, Sarah Aherfi, Nathalie Wurtz, Clio Grimaldier, Van Thuan Hoang, Philippe Colson, Didier Raoult, Bernard La Scola, Maladies infectieuses cliniques, ciaa1491, https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491,em https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093 / cid / ciaa1491 / 5912603, publié fin septembre de cette année, par Oxford Academic, réalisé par un groupe qui rassemble certains des plus grands experts européens et mondiaux dans le domaine.

[8] Elena Surkova et al  https://www.thelancet.com/journals/lanres/article/PIIS2213-2600(20)30453-7/fulltext The Lancet, Respiratory Medicine

[9] Aux termes de la dans les articles 401 nº1 al. A), 417 nº6 al. b) et artº420 nº1 als. a) et b), tous les CP pénaux. Lisbonne, le 11 novembre 2020 Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés – décision. Compte tenu de ce qui précède et conformément aux dispositions de l’article 417, paragraphe 6, al. b) et 420 nº1 als. a) et b), tous deux du Code de procédure pénale,

[10] L’enfant positif revenant de Singapour n’a contaminé aucune des personnes avec lesquelles il était en contact, même pas ses frères et sœurs.

[11] Le 30 octobre dernier, lors d’une interview

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir

Modèles professionnels de référés libertés fondamentales

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Plainte pénale pour génocide des Français contre Macron, ses ministres et son administration

Après les saisies chez divers ministres ou ancien ministres (Edouard Philippe, Olivier Véran, Agnès Buzyn), ce 1er décembre, une plainte au pénal pour “génocide du peuple français” a été déposée par Mme Bonny, ancien médecin militaire aux maladies infectieuses, contre le président de la République, ses ministres et son administration.

Pierre-Alain Depauw, de medias-presse.info, rapporte que Mme Bonny encourage chacun à adresser copie de cette plainte aux parlementaires, à son député et son sénateur.

La plainte a été transmise en français avec traduction dans six autres langues : allemand, anglais, espagnol, italien, danois, néerlandais.

La plainte complète est reproduite ci-dessous.


A Mesdames et Messieurs les parlementaires, 

à Monsieur François Molins, Procureur général près la Cour de cassation,
à Monsieur Rémy Heitz, Procureur de la République près le tribunal judiciaire de Paris,

Je soussignée, Madame Marion BONNY, née le 9 décembre 1980 à Nice (06), de nationalité française, thérapeute domiciliée xxxxxxx.

Ancien médecin militaire formée aux maladies infectieuses et à la prise en charge de catastrophes sanitaires. Suite à une blessure de guerre j’ai été réformée le 14 juillet 2020, à cause de mes séquelles d’un syndrome de stress post traumatique suite à une mission de cinq mois en Afghanistan.

Après huit ans de psychothérapie, je me suis spécialisée dans la prise en charge des traumatismes psychiques. Désormais je n’exerce plus la médecine. Je préfère, dans ma thérapeutique, faire le lien que je crois essentiel entre l’histoire émotionnelle du patient et la survenue d’une maladie, car l’environnement socio-économique et le contexte émotionnel sont des facteurs importants de notre état de santé global.

Forte de mon expérience, je veux contribuer à mettre un terme aux abus du gouvernement dans le cadre de la crise sanitaire, épidémie ou pandémie dite du « coronavirus », puis du « covid-19 ».

La population de notre pays subit depuis le mois de janvier 2020 une insupportable persécution faite de terreur alimentée par des informations floues ou contradictoires et par des mesures en tous sens : « gestes barrières », masque déconseillés puis obligatoire, confinements à échelle variable, couvre-feu, obligation de rester chez soi sans soins en cas de symptômes, drame des EPHAD, fermeture administrative des magasins, des bars, des restaurants et des dancings, des cinémas et des théâtres, interdiction de se réunir, mises au chômage, travail et enseignement à distance etc.

Cela se paie d’une épouvantable casse économique, sociale, culturelle, spirituelle, éducative et scientifique. Toutes ces mesures sont sources de traumatismes psychiques qui auront toujours plus de conséquences (isolement, violence, burn-out, dépression, intoxications médicamenteuses, usages de stupéfiants, suicide). En particulier, les jeunes générations sont privées d’un accès au savoir qu’elles ne rattraperont jamais, et spécialement les tout petits sont en danger, parce qu’ils sont privés de phases essentielles à l’humanisation (depuis leur premier souffle jusqu’aux années d’apprentissage de la parole et de la socialisation).

L’argument du protocole sanitaire doit être sérieusement interrogé. Nombre de scientifiques se sont élevés, en vain, contre l’absurdité des mesures prises. Derrière l’irresponsabilité d’un appareil administratif aveugle, il ne faut écarter ni l’œuvre de corruption d’une industrie pharmaceutique orientée exclusivement par la soif de profit, ni la possibilité de la volonté délibérée d’un ennemi invisible qui se sert de la crise sanitaire comme d’un prétexte.

Il est nécessaire d’établir ce fait par une enquête indépendante, sérieuse et objective, notamment en clarifiant les conflits d’intérêts entre gouvernants, administratifs et lobby pharmaceutique.

Parmi les nombreuses infractions en cause, la principale et la plus claire à établir est celle qui figure à l’article 211-1 du code pénal :

Constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants :

– atteinte volontaire à la vie ;
– atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;
– soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;
– mesures visant à entraver les naissances ;
– transfert forcé d’enfants.

Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.

C’est pourquoi

Vu que d’après l’article 68 de la Constitution et la Loi organique du 24 novembre 2014, dans le cas de manquement aux devoirs d’un Président de la République manifestement incompatible avec l’exercice d’un mandat, une Haute Cour peut prononcer la destitution du chef de l’Etat. L’initiative de cette procédure appartient à un dixième des parlementaires de l’une ou l’autre chambre qui déposent sur le bureau de leur assemblée une proposition motivée de résolution portant mise en accusation et tendant à la réunion de cette Haute Cour.

Vu l’article 68-2 de la Constitution du 4 octobre 1958 et les articles 13 et suivants de la loi n°93-1252 du 23 novembre 1993 sur la Cour de justice de la République, étant donné que pour la saisine de la Cour de Justice de la République, s’agissant de la responsabilité de ministres, le procureur général près la Cour de cassation peut agir d’office.

Vu l’article 40 du code de procédure pénal et la compétence des magistrats judiciaires, s’agissant de voie de fait et de crime commis par des fonctionnaires dans l’exercice de leurs fonctions.

J’ai l’honneur de porter plainte, en tant que victime individuelle directe, contre le chef de l’Etat, contre ses ministres et contre son administration, et par conséquent, la chaîne de commandement et la spécialisation des procédures commandant une action trine,

De demander

Au parlementaire, de prendre l’initiative de déposer une proposition de résolution portant mise en accusation du président de la République, Emmanuel MACRON,

A Monsieur le Procureur Général près la cour de cassation, de saisir d’office la Cour de justice de la République concernant les premiers ministres, les ministres de la santé et de l’intérieur en exercice depuis janvier 2020 jusqu’à aujourd’hui. Nommément Madame Agnès BUZYN et Messieurs Edouard PHILIPPE, Jean CASTEX, Gérald DARMANIN, Olivier VERAN ainsi que tous ceux dont l’enquête déterminera la responsabilité,

A Monsieur le Procureur de la République, d’ouvrir une enquête afin de déterminer les négligences et les intentions, et, en fonction des résultats de cette enquête, de requérir les mises en examen nécessaires.

Sous toutes réserves

Le 30 novembre 2020

Marion BONNY
 

Madame ou Monsieur le sénateur

Palais du Luxembourg

15, rue de Vaugirard

75291 PARIS Cedex 06
 

Madame ou Monsieur le député

Assemblée nationale

126 rue de l’Université

75355 Paris 07 SP

Monsieur le Procureur près la Cour de cassation

Cour de cassation

5 quai de l’Horloge – TSA 19201

75055 Paris Cedex 01

Monsieur le Procureur de la République

Parvis du Tribunal de Paris

75017 PARIS

Auteur(s): FranceSoir

Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont peu fiables et contraires à la loi pour mettre les personnes en quarantaine

Une cour d’appel portugaise a statué que les tests PCR ne sont pas fiables et qu’il est illégal de mettre des personnes en quarantaine sur la seule base d’un test PCR.

La Cour a déclaré que la fiabilité du test dépend du nombre de cycles utilisés et de la charge virale présente. Citant Jaafar et al. 2020, la cour conclut que :

“si une personne est testée positive par PCR lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est la règle dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que ladite personne soit infectée est inférieure à 3%, et la probabilité que ledit résultat soit un faux positif est de 97%”.

La Cour constate en outre que le seuil de cycle utilisé pour les tests PCR actuellement effectués au Portugal est inconnu.

Les cycles seuils utilisés dans les tests PCR en Inde se situent entre 37 et 40, ce qui fait que la fiabilité du test PCR est inférieure à 3 % et le taux de faux positifs atteint 97 %.

Cette affaire concernait le fait que quatre personnes avaient été mises en quarantaine par l’autorité sanitaire régionale. L’une d’entre elles avait été testée positive au COVID à l’aide d’un test PCR ; les trois autres étaient considérées comme ayant subi un risque élevé d’exposition. En conséquence, l’Autorité sanitaire régionale a décidé que les quatre étaient infectieuses et présentaient un risque pour la santé, ce qui a nécessité leur mise en isolement.

La synthèse de l’affaire :

“Vu l’ampleur des doutes scientifiques – tels qu’exprimés par les experts, c’est-à-dire ceux qui comptent – sur la fiabilité des tests PCR, vu le manque d’informations concernant les paramètres analytiques des tests, et en l’absence d’un diagnostic du médecin confirmant l’existence d’une infection ou d’un risque, il n’y a aucun moyen pour ce tribunal de déterminer si C était effectivement porteur du virus SRAS-CoV-2, ou si A, B et D avaient été exposés à un risque élevé.

Source : https://greatgameindia.com/portuguese-court-pcr-tests-unreliable/

1000 avocats appellent « au déconfinement et à défendre la vie sous tous ses aspects », le JDD publie notre tribune

Plus de 1000 avocats et quasiment 500 professionnels du droit ont désormais répondu à notre appel à signature pour une tribune appelant au déconfinement et à la défense de la vie sous tous ses aspects !

Medias

Cette tribune a été publiée une première fois dans Le Journal du Dimanche et est disponible en cliquant ici.

A l’étranger, elle a été traduite en anglais et publiée par le plus ancien hebdomadaire britannique The Spectator : Liberté! An open letter by 200 French lawyers protesting against lockdown et également reprise par le media américain CNSNews : Hundreds of French Lawyers Blast Macron’s Lockdown Measures

Elle a également été lue par Pascal Praud et débattue par ses chroniqueurs sur CNews.

Le président du Cercle Droit & Liberté est également passé dans la matinale de Sud Radio pour expliquer cette action.

Signature

Avocats, juristes, vous pouvez vous aussi signer cette tribune en cliquant ici.

Tribune

Alors qu’il y a quelques jours encore il n’était « pas question de reconfiner », Emmanuel Macron a finalement annoncé ce que beaucoup craignaient : la mise en place d’un nouveau confinement général et forcé.

Nous, avocats et juristes de toutes spécialités et de tous territoires de France, exerçant notre libre arbitre et notre liberté d’expression, manifestons notre indignation face à l’injustice de cette mesure.

Après la sidération passée du premier confinement, nous pensons qu’un tel consentement aux violations de nos libertés et de nos modes de vies n’est ni viable ni légitime et que cette mise sous cloche de l’ensemble des Français aura des effets collatéraux majeurs qui seront plus délétères que le virus lui-même.

Ayant tout autant à cœur de défendre la vie que les thuriféraires du confinement, nous refusons le mauvais rôle qui nous est assigné et la fausse morale que l’on nous oppose.

Nous rejoignons bien sûr l’avis du Président de la République qui a déclaré que rien n’était « plus important que la vie humaine », mais nous pensons que le confinement général relève d’une approche réduite à la seule biologie de la vie qui oublie que la santé est également, selon la définition de l’OMS, « un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». Protéger la vie implique donc de prendre en compte l’ensemble de ses aspects qui sont tout aussi sociaux, culturels, spirituels, politiques et économiques que sanitaires.

Nous comprenons la colère et les inquiétudes des médecins et personnels de santé et demandons au Gouvernement de leur apporter les moyens nécessaires à l’exercice de leurs professions. Alors que le soutien aux hôpitaux aurait dû être la priorité de l’exécutif ces six derniers mois, ce dernier s’est laissé déborder et préfère brandir la menace d’un effondrement du système de santé lui permettant d’imposer des mesures qu’il qualifie arbitrairement d’ultime recours pour ne pas avoir à étudier d’autres options, qui existent pourtant. C’est ainsi faire offense aux médecins et aux Français en laissant croire qu’ils ne sont pas en mesure de gérer la crise que nous traversons.

Par la mise à l’arrêt d’une bonne partie du pays, le Gouvernement sacrifie les plus courageux d’entre les nôtres : les entrepreneurs, les indépendants, les artisans ceux qui ont pris des risques pour investir et créer, donnant à ce pays couleur et vie, ainsi que leurs salariés. Pourtant la misère humaine et sociale qui découlera de ce reconfinement (faillites, dépressions, suicides, pauvreté, troubles psychologiques, renoncements aux soins) entrainera elle aussi de nombreux morts, mais forcément moins visibles à court terme… Si des mesures de soutien ont bien été annoncées, ces dernières ont été prises au prix d’un endettement inédit de notre pays, qui ruinera, demain, et nos enfants et les marges de manœuvres politiques de notre Nation.

Si nous sommes en guerre comme l’a déclaré maintes fois l’exécutif, c’est de courage dont nous avons besoin et non d’une gouvernance par la peur qui nous pousse à la culpabilisation moralisatrice et à l’acceptation du pire par la crainte. Cette crainte étant d’ailleurs souvent irrationnelle : rappelons que l’âge médian des décès est de 84 ans selon les dernières statistiques de Santé Publique France. Contraindre à l’inactivité la majeure partie de la population, empêcher tout effort de guerre, tout sursaut est une bien curieuse manière de mener un combat !

Nous nous inquiétons ainsi du devenir de cette société du risque zéro qui serait prête à ne plus vivre pour ne pas mourir et sacrifier pratiquement tout, ses conditions normales de vie, les rapports sociaux, le travail, et même les amitiés, les affects et les convictions politiques et religieuses, à la menace de se contaminer.

En tant que juristes nous alertons également tout particulièrement sur la torsion du droit que justifierait la lutte contre la pandémie. Tout état d’exception, même justifié par une situation sanitaire exceptionnelle, implique un risque de dérive. Ainsi notre droit est désormais soumis à l’injonction technico-scientifique des médecins et du Conseil scientifique qui imposent leur vision de spécialistes au détriment d’une vision politique plus globale qui se doit de mettre en balance différents intérêts. Et la santé de devenir une obligation juridique à remplir à tout prix…

Rappelant que l’OMS a souligné les effets délétères du confinement et nous fondant notamment sur les travaux de l’Institut des droits de l’homme des avocats européens et l’Institut des droits de l’homme du barreau de Paris, nous estimons que le confinement forcé général est disproportionné dans son atteinte à nos libertés publiques, injuste, contraire au bien commun et donc illégal. Le Gouvernement se doit d’adapter ses mesures pour protéger les personnes fragiles et celles exposées aux formes les plus graves de la pandémie sans sacrifier l’ensemble des citoyens qui permettent aux pays de survivre.  

Nous joignant à de nombreux entrepreneurs et maires de communes ayant tiré la sonnette d’alarme, nous demandons donc à l’exécutif de permettre le déconfinement des forces vives de notre pays et aux élites de tous bords de faire entendre leurs voix pour protester contre ces mesures qui toucheront le plus durement nos plus humbles concitoyens.

Vous aussi signez cette tribune en cliquant ICI

Article et liste des signataires : https://www.cercledroitetliberte.fr/le-jdd-publie-notre-tribune-appelant-au-deconfinement-et-a-defendre-la-vie-sous-tous-ses-aspects/

TRIBUNE. 200 avocats et juristes appellent “au déconfinement et à défendre la vie sous tous ses aspects”

TRIBUNE. 200 avocats et juristes appellent “au déconfinement et à défendre la vie sous tous ses aspects”

Des dizaines d’avocats, professeurs de droit et juristes ont signé un appel piloté par les avocats Thibault Mercier et René Boustany pour mettre fin au confinement des forces vives du pays.

Voici la tribune des 200 avocats et juristes appelant au déconfinement : “Alors qu’il y a quelques jours encore il n’était ‘pas question de reconfiner’, Emmanuel Macron a finalement annoncé ce que beaucoup craignaient : la mise en place d’un nouveau confinement général et forcé. Nous, avocats et juristes de toutes spécialités et de tous territoires de France, exerçant notre libre arbitre et notre liberté d’expression, manifestons notre indignation face à l’injustice de cette mesure.

Après la sidération passée du premier confinement, nous pensons qu’un tel consentement aux violations de nos libertés et de nos modes de vies n’est ni viable ni légitime et que cette mise sous cloche de l’ensemble des Français aura des effets collatéraux majeurs qui seront plus délétères que le virus lui-même.

Le confinement général relève d’une approche réduite à la seule biologie de la vie

Ayant tout autant à cœur de défendre la vie que les thuriféraires du confinement, nous refusons le mauvais rôle qui nous est assigné et la fausse morale que l’on nous oppose.

Nous rejoignons bien sûr l’avis du Président de la République qui a déclaré que rien n’était ‘plus important que la vie humaine’, mais nous pensons que le confinement général relève d’une approche réduite à la seule biologie de la vie qui oublie que la santé est également, selon la définition de l’OMS, ‘un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité’. Protéger la vie implique donc de prendre en compte l’ensemble de ses aspects qui sont tout aussi sociaux, culturels, spirituels, politiques et économiques que sanitaires.

Nous comprenons la colère et les inquiétudes des médecins et personnels de santé et demandons au Gouvernement de leur apporter les moyens nécessaires à l’exercice de leurs professions. Alors que le soutien aux hôpitaux aurait dû être la priorité de l’exécutif ces six derniers mois, ce dernier s’est laissé déborder et préfère brandir la menace d’un effondrement du système de santé lui permettant d’imposer des mesures qu’il qualifie arbitrairement d’ultime recours pour ne pas avoir à étudier d’autres options, qui existent pourtant. C’est ainsi faire offense aux médecins et aux Français en laissant croire qu’ils ne sont pas en mesure de gérer la crise que nous traversons.

Contraindre à l’inactivité la majeure partie de la population, empêcher tout effort de guerre est une bien curieuse manière de mener un combat!

Par la mise à l’arrêt d’une bonne partie du pays, le Gouvernement sacrifie les plus courageux d’entre les nôtres : les entrepreneurs, les indépendants, les artisans ceux qui ont pris des risques pour investir et créer, donnant à ce pays couleur et vie, ainsi que leurs salariés. Pourtant la misère humaine et sociale qui découlera de ce reconfinement (faillites, dépressions, suicides, pauvreté, troubles psychologiques, renoncements aux soins) entrainera elle aussi de nombreux morts, mais forcément moins visibles à court terme… Si des mesures de soutien ont bien été annoncées, ces dernières ont été prises au prix d’un endettement inédit de notre pays, qui ruinera, demain, et nos enfants et les marges de manœuvres politiques de notre Nation.

Si nous sommes en guerre comme l’a déclaré maintes fois l’exécutif, c’est de courage dont nous avons besoin et non d’une gouvernance par la peur qui nous pousse à la culpabilisation moralisatrice et à l’acceptation du pire par la crainte. Cette crainte étant d’ailleurs souvent irrationnelle : rappelons que l’âge médian des décès est de 84 ans selon les dernières statistiques de Santé Publique France. Contraindre à l’inactivité la majeure partie de la population, empêcher tout effort de guerre, tout sursaut est une bien curieuse manière de mener un combat!

Nous nous inquiétons ainsi du devenir de cette société du risque zéro qui serait prête à ne plus vivre pour ne pas mourir et sacrifier pratiquement tout, ses conditions normales de vie, les rapports sociaux, le travail, et même les amitiés, les affects et les convictions politiques et religieuses, à la menace de se contaminer.

Tout état d’exception, même justifié par une situation sanitaire exceptionnelle, implique un risque de dérive

En tant que juristes nous alertons également tout particulièrement sur la torsion du droit que justifierait la lutte contre la pandémie. Tout état d’exception, même justifié par une situation sanitaire exceptionnelle, implique un risque de dérive. Ainsi notre droit est désormais soumis à l’injonction technico-scientifique des médecins et du Conseil scientifique qui imposent leur vision de spécialistes au détriment d’une vision politique plus globale qui se doit de mettre en balance différents intérêts. Et la santé de devenir une obligation juridique à remplir à tout prix…

Rappelant que l’OMS a souligné les effets délétères du confinement et nous fondant notamment sur les travaux de l’Institut des droits de l’homme des avocats européens et l’Institut des droits de l’homme du barreau de Paris, nous estimons que le confinement forcé général est disproportionné dans son atteinte à nos libertés publiques, injuste, contraire au bien commun et donc illégal. Le Gouvernement se doit d’adapter ses mesures pour protéger les personnes fragiles et celles exposées aux formes les plus graves de la pandémie sans sacrifier l’ensemble des citoyens qui permettent aux pays de survivre.  

Nous joignant à de nombreux entrepreneurs et maires de communes ayant tiré la sonnette d’alarme, nous demandons donc à l’exécutif de permettre le déconfinement des forces vives de notre pays et aux élites de tous bords de faire entendre leurs voix pour protester contre ces mesures qui toucheront le plus durement nos plus humbles concitoyens.”

Source : https://www.lejdd.fr/Societe/Justice/tribune-200-avocats-et-juristes-appellent-au-deconfinement-et-a-defendre-la-vie-sous-tous-ses-aspects-4003339?fbclid=IwAR25AtPLPVPPW9qRvgbDw0WLifoM0957AqywDglRZgvKZDjA_gtLBEEy7Y0

Une des plus éminentes neurologues européennes affirme que les masques sont dangereux et explique pourquoi (+ lettre pour parents d’élèves)

Une des plus éminentes neurologues européennes affirme que les masques sont dangereux et explique pourquoi

Voici ce que nous dit le Dr Margareta Griesz-Brisson sur les effets du port du masque sur notre cerveau dans une récente interview. Pour info Mme Margareta Griesz-Brisson est docteur en médecine, neurologue consultante et neurophysiologiste.

Elle est également titulaire d’un doctorat en pharmacologie, avec un intérêt particulier pour la neurotoxicologie, la médecine environnementale, la neurorégénération et la neuroplasticité :

« La réinhalation de l’air que nous respirons va incontestablement générer un déficit en oxygène et une saturation en dioxyde de carbone. Nous savons que le cerveau humain est très sensible à la privation d’oxygène. Il y a des cellules nerveuses, par exemple dans l’hippocampe, qui ne peuvent pas rester plus de 3 minutes sans oxygène – elles ne peuvent pas survivre. Les symptômes d’alerte aigus sont les maux de tête, la somnolence, les vertiges, les problèmes de concentration, le ralentissement du temps de réaction – qui sont des réactions du système cognitif. Cependant, lorsque vous souffrez d’une privation chronique d’oxygène, tous ces symptômes disparaissent, car vous vous y habituez. Mais votre fonctionnement demeure altéré, et la sous-alimentation en oxygène de votre cerveau continue de progresser. Nous savons que les maladies neurodégénératives mettent des années, voire des décennies, à se développer. Si aujourd’hui, vous oubliez votre numéro de téléphone, cela indique que le processus de dégradation de votre cerveau a démarré il y a 20 ou 30 ans. Vous pensez peut-être que vous vous êtes habitué à porter un masque et à inspirer l’air que vous venez d’expirer, mais il n’en reste pas moins que les processus dégénératifs dans votre cerveau s’amplifient à mesure que votre privation d’oxygène se poursuit. Le deuxième problème est que les cellules nerveuses de votre cerveau sont incapables de se diviser normalement. Ainsi, au cas où nos gouvernements seraient assez généreux pour nous autoriser à enlever nos masques et à respirer à nouveau librement de l’oxygène dans quelques mois, les cellules nerveuses perdues ne seront plus régénérées. Ce qui est perdu est perdu. Je ne porte pas de masque, j’ai besoin de mon cerveau pour réfléchir. Je veux avoir les idées claires quand je m’occupe de mes patients, et ne pas être anesthésiée au dioxyde de carbone. Il n’existe pas d’exemption médicale infondée pour les masques faciaux, car la privation d’oxygène est dangereuse pour chaque cerveau. Chaque être humain doit pouvoir décider librement s’il veut porter un masque absolument inefficace pour se protéger contre un virus. Pour les enfants et les adolescents, les masques sont un interdit absolu. Les enfants et les adolescents ont un système immunitaire extrêmement actif et adaptatif, et ils ont besoin d’une interaction constante avec le microbiome de la Terre. Leur cerveau est également incroyablement actif, car il a beaucoup à apprendre. Le cerveau de l’enfant, ou de l’adolescent, a soif d’oxygène. Plus l’organe est métaboliquement actif, plus il a besoin d’oxygène. Chez les enfants et les adolescents, chaque organe est métaboliquement actif. Priver le cerveau d’un enfant ou d’un adolescent d’oxygène, ou le restreindre de quelque manière que ce soit, est non seulement dangereux pour sa santé, mais aussi absolument criminel. Le manque d’oxygène inhibe le développement du cerveau, et les dommages qui en résultent ne PEUVENT PAS être réparés. L’enfant a besoin du cerveau pour apprendre, et le cerveau a besoin d’oxygène pour fonctionner. Nous n’avons pas besoin d’étude clinique pour le savoir. C’est un fait physiologique simple et incontestable. Un manque d’oxygène provoqué consciemment et délibérément est un danger absolu pour la santé, et une contre-indication médicale absolue. En médecine, une contre-indication médicale absolue signifie que ce médicament, cette thérapie, cette méthode ou mesure ne doit pas être utilisé, et n’est pas autorisé à être utilisé. Pour contraindre par la force toute une population à utiliser une contre-indication médicale absolue, il faut qu’il y ait des raisons précises et sérieuses à cela, et ces raisons doivent être présentées à des organismes interdisciplinaires et indépendants compétents, pour être vérifiées et autorisées. Lorsque, dans dix ans, la démence augmentera de manière exponentielle et que les jeunes générations ne pourront pas atteindre leur potentiel inné, cela ne servira à rien de dire que « nous n’avions pas besoin des masques ». Comment un vétérinaire, un distributeur de logiciels, un homme d’affaires, un constructeur de voitures électriques et un physicien peuvent-ils décider des questions concernant la santé d’une population entière ? S’il vous plaît, chers collègues, nous devons tous nous réveiller. Je sais à quel point le manque d’oxygène est dommageable pour le cerveau, les cardiologues savent à quel point il est dommageable pour le cœur, les pneumologues savent à quel point il est dommageable pour les poumons. La privation d’oxygène endommage tous les organes. Où sont nos services de santé, notre assurance maladie, nos associations médicales ? Il aurait été de leur devoir de s’opposer avec véhémence au confinement et d’y mettre fin – dès le début. Pourquoi les autorités médicales infligent-elles des sanctions aux médecins qui accordent des exemptions aux gens ? La personne ou le médecin doivent-ils sérieusement prouver que la privation d’oxygène est nocif pour tous ? Quel genre de médecine nos médecins et nos associations médicales représentent-ils ? Qui est responsable de ce crime ? Ceux qui veulent le faire appliquer ? Ceux qui le laissent se produire et jouent le jeu, ou ceux qui ne l’empêchent pas ? Il ne s’agit pas de masques, ni de virus, et certainement pas de votre santé. Il s’agit de bien plus que cela. Je ne rentre pas dans ce jeu. Je n’ai pas peur. Comme vous pouvez le remarquer, ils nous prennent déjà notre air. L’impératif à l’heure actuelle est la responsabilité personnelle. Nous sommes responsables de ce que nous pensons – pas les médias. Nous sommes responsables de ce que nous faisons – pas nos supérieurs. Nous sommes responsables de notre santé – pas l’Organisation mondiale de la santé. Et nous sommes responsables de ce qui se passe dans notre pays – pas le gouvernement. » Comment: Il n’existe pas de preuves scientifiques de l’efficacité des masques contre la transmission des virus par voie aérienne, mais il existe des preuves scientifiques des dangers inhérents au port du masque.

Interview complète :

Parents d’élèves ? Une lettre rédigée par une avocate pour signifier votre refus face aux nouvelles mesures en place :

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