Day: February 5, 2021

Promesse non tenue: pendant la pandémie, les suppressions de lits d’hôpital se poursuivent

Les promesses d’Olivier Véran de ne plus réduire le nombre de lits d’hôpital se font attendre. Certaines suppressions sont toujours programmées. Avec les risques de troisième vague, l’hôpital public pourrait se retrouver de nouveau submergé. L’économiste Philippe Murer revient pour Sputnik sur cette «catastrophe comptable de réduction des coûts».

«On aurait pu espérer que ça se calme» avec «les erreurs» de la crise sanitaire, «mais non!», s’étrangle l’économiste Philippe Murer.

Car malgré l’engagement du gouvernement, qui promettait en décembre 2020 une sortie du «dogme de la réduction des lits», la logique de «rentabilité» et d’efficience semble perdurer au sein de l’hôpital public, en dépit de la menace constante de saturation.

11.093 nouvelles hospitalisations (avec 1.811 en réanimation) ont d’ailleurs été enregistrées sur les sept derniers jours. Ainsi Les Échos évoquaient-ils le 21 janvier le projet de fusion des hôpitaux Beaujon (Clichy) et Bichat (Paris), toujours en cours. Le futur hôpital Grand Paris-Nord, qui s’installera à Saint-Ouen d’ici 2028, devrait faire disparaître plus de 300 lits. De quoi faire bondir les soignants épuisés depuis le début de la crise sanitaire.

Des suppressions de lits sur tout le territoire

Le virage à 360 degrés annoncé par Olivier Véran faisait suite à la polémique ouverte au mois d’avril 2020 par le directeur de l’Agence régionale de santé du Grand-Est. Alors que la région était frappée de plein fouet par la première vague, ce dernier déclarait ne pas voir «de raison de remettre en cause» le plan de réorganisation de l’hôpital de Nancy. Celui-ci prévoyait la suppression de 174 lits et de 598 postes. Quelques jours plus tard, le haut fonctionnaire était limogé. Olivier Véran redressait la barre et promettait la suspension de «tous les plans de réorganisation».

Olivier Véran

© AFP 2020 BERTRAND GUAYOlivier Véran

Depuis, les promesses n’ont pas vraiment été tenues. À Nantes, Marseille ou Nancy, les projets en cours, déjà amorcés par les fameux plans Copermo, n’ont visiblement pas été entravés par la pandémie. Le mois dernier, Le Monde publiait un long article pour évoquer «l’inquiétude» des soignants et des syndicats devant la poursuite de ces restructurations d’hôpitaux.

«Il y a eu une suppression de lits de réanimation incroyable entre le début de la crise du Covid en mars 2020 et aujourd’hui, ajoute l’économiste Philippe Murer au micro de Sputnik. C’est vraiment catastrophique, alors qu’on a besoin de lits pour soigner les gens du Covid et […] ne pas détruire notre économie.»

Et l’économiste de rappeler l’information diffusée au mois d’octobre 2020 par Le Canard enchaîné, mentionnée récemment par l’économiste Gaël Giraud sur son compte Twitter. Le journal satirique avait révélé que le nombre de lits de réa en Île-de-France avait chuté depuis mars 2020, de 2.500 places –«très difficilement atteintes» soulignait le palmipède– à 1.700, soit une baisse de 30%.

Le @canardenchaine nous apprend que le nombre de lits de réa en Ile-de-France est passé de 2.500 en mars 2020 à … 1700 aujourd’hui. La bonne question est donc : pourquoi le gouvernement a-t-il délibérément laissé le nombre de lits diminuer ? 2/2 — Gaël Giraud (@GaelGiraud_CNRS) January 30, 2021

Réduire les coûts par l’ambulatoire

Selon Le Monde, si le ministère de la Santé est revenu de son «pur objectif financier d’économies», le voici toutefois qui opte pour une approche «projet par projet». Entendre par là que si des suppressions de lits sont toujours pertinentes, elles seront maintenues. L’option «ambulatoire» sera ainsi privilégiée quand elle le pourra. Cette prise en charge par l’hôpital sans hospitalisation justifie une diminution du nombre de lits disponibles et donc… une réduction des coûts. Un modèle critiqué par les soignants et profondément mis à mal par la surcharge des hôpitaux au moment de l’épidémie, comme à chaque grippe hivernale, d’ailleurs.

Petit Rappel pour les Médias Fake News : Chaque année, il n’y a plus assez de lit en réa, surtout en cette période de l’année ! Cette année nous n’avons pas encore vu des images de patients dans les brancards dans les couloirs alors que si positif on vous dit prenez 1 Doliprane ! pic.twitter.com/uFDAyazLh0 — SILVANO (@silvano_trotta) January 28, 2021

​Philippe Murer rappelle également une autre information, diffusée cette fois-ci par le collectif Inter-Urgences, association composée d’aides-soignants et d’infirmiers. Celui-ci partageait sur son compte Twitter le 28 janvier dernier une carte tirée d’une enquête du site Bastamag répertoriant l’ensemble des fermetures d’hôpitaux sur tout le territoire français.

La fermeture des lits à l’hôpital «est venue se fracasser sur l’épidémie».

La 3e vague semble inéluctable et les suppressions de lits continuent. En pleine pandémie les autorités sanitaires continuent de fermer des centaines de lits. pic.twitter.com/6Src5lFCfC — L’Inter-Urgences (@InterUrg) January 28, 2021

Le collectif n’en est pas à sa première dénonciation des conditions de travail et des économies dans l’hôpital public. Son action militante avait abouti à structurer la grève nationale de 2019. Face à la pression de la rue, Agnès Buzyn, à l’époque ministre de la Santé, annonçait un plan d’urgence au service des hôpitaux publics.

La catastrophe, c’est la faute à l’Europe?

Cette tendance à la réduction des coûts ne date pas d’hier. «65.000 lits ont été supprimés entre 2011 et 2018», ajoute Philippe Murer. Une logique «catastrophique» qui aura contraint l’État, devant la hausse des hospitalisations, à faire «l’erreur d’une gestion par le confinement.» L’économiste s’appuie sur l’étude parue au début du mois de janvier 2021 dans la prestigieuse revue European Journal of Clinical Investigation. Signée par l’éminent épidémiologiste de l’université de Stanford, le Pr John Loannidis, elle conclut à l’inefficacité du confinement.

[@andrebercoff] 🗣️@raoult_didier “John Ioannidis, grand épidémiologiste mondial le dit, les contrôles sociaux mis en place ne servent à rien : le confinement, la fermeture des #restaurants etc. On se contamine en famille à la maison, pas dans la rue”

📺https://t.co/OU0dSaeXsg pic.twitter.com/uRKPixh7Pf — Sud Radio (@SudRadio) January 29, 2021

​Une erreur qui aura coûté la bagatelle de «400 milliards d’euros» à la France, estime Philippe Murer, qui dénonce cette «caste stupide de financiers et de comptables qui nous dirige!» Une caste qui n’aurait fait que respecter «les ordres de l’Union européenne», en quête «de petites économies au jour le jour, de centaines de millions d’euros par an.»

«Il y a eu 63 demandes de l’Union européenne dans les dernières années pour supprimer des dépenses de santé dans tous les pays d’Europe, conclut notre interlocuteur. Pour elle, tout ce qui est privatisé devient un marché privé européen. C’est une vision ultralibérale des choses, selon laquelle le privé est toujours mieux que le public.»

Source : https://fr.sputniknews.com/france/202102021045167132-promesse-non-tenue-pendant-la-pandemie-les-suppressions-de-lits-dhopital-se-poursuivent/

BCE : l’opération « Grand Reset » est lancée !

L’avènement programmé d’un euro numérique pourrait bien marquer le coup d’envoi d’un gigantesque coup de pied dans la fourmilière donné par la BCE, estime Philippe Béchade.

Christine Lagarde a annoncé ce dimanche le lancement d’une enquête d’opinion concernant l’émission d’un euro numérique qui serait géré par une blockchain. Ainsi la présidente de la BCE aura-t-elle décidé de ne pas attendre les déconfinements envisagés pour début 2021 (à cet égard, la Chancelière allemande Angela Merkel a pour sa part évoqué hier un maintien des mesures sanitaires exceptionnelles en vigueur outre-Rhin jusqu’à la mi-mars) pour lever le voile sur les projets de transformation du système financier de l’institution.

« Alors que les Européens se tournent de plus en plus vers le numérique dans la manière dont ils dépensent, économisent et investissent, nous devons être prêts à émettre un euro numérique, si nécessaire. Je souhaite également connaître votre point de vue à ce sujet », a déclaré l’ancienne patronne du FMI. Et de spécifier : « Nous venons de lancer une consultation publique afin que les consommateurs et les Européens puissent réellement exprimer leur préférence, et nous dire s’ils seraient heureux d’utiliser un euro numérique de la même manière qu’ils utilisent une pièce en euros ou un billet en euros, sachant que c’est la monnaie de la banque centrale qui est disponible et sur laquelle ils peuvent compter. »

Sauf que la décision est en réalité déjà entérinée, et que tout l’enjeu des prochains mois consistera à rendre la transition vers l’usage d’un euro numérique acceptable, sinon désirable. Les médias auront ici un rôle à jouer en se voyant confier la lourde tâche d’une évangélisation des populations. Et en cas de rejet du grand public, ce sera, à n’en pas douter, le chantage à la peur de l’effondrement d’un système qui est effectivement condamné depuis 2008.

De son côté, le monde de la finance sait que ce projet est à l’étude au plus haut niveau depuis des mois, probablement depuis bientôt un an et la désignation d’un « Monsieur Crypto », en l’occurrence Benoît Cœuré, à la tête de la BRI (Banque des règlements internationaux), la banque centrale des banquiers centraux.

Alors que le lancement de la monnaie numérique « grand public » ferait aussi de la BCE une banque de détail (CBDC), l’euro « 2.0 » ne serait plus seulement une monnaie destinée à être utilisée entre les banques – ce qui constituerait un profond changement dans le fonctionnement de la finance depuis la fin des années 1990 -, mais par l’ensemble des particuliers et entreprises.

Dit plus explicitement, c’est la banque centrale qui prendrait (ou plutôt prendra) le contrôle de l’inscription numérique de l’épargne des citoyens et qui gérera(it) les transactions du quotidien. Dès lors, peu importe, fondamentalement, que le support soit une blockchain ou une évolution d’un système « peer to peer » actuel.

Une (r)évolution qui soulève des questions de fond

Cette évolution majeure soulève par ailleurs de sérieuses questions : comment nos dépenses resteront-elles de l’ordre du privé ? Qui peut le garantir ? Qui supervisera le crédit ? Qui pourra prêter à qui ? Qui remboursera quoi, à quel prix et sous quel délai ?

La BCE n’est cependant pas seule dans la boucle : Benoit Cœuré, le responsable du pôle d’innovation à la BRI et pourtant « cryptosceptique », a confirmé dans un récent article paru dans CoinDesk que les discussions internes sont désormais très avancées en vue de la mise en œuvre d’une “CBDC de détail” (monnaie numérique de détail) qui marginaliserait encore plus la monnaie fiduciaire, c’est-à-dire la monnaie matérielle sous la forme que l’humanité utilise depuis trois millénaires (billets, pièces, titres de créance etc.).

Sous prétexte de commodité, de « sécurité » des transactions (plus de piratage des cartes de crédit), le citoyen renoncera à détenir de l’argent sur son compte (certes, ce n’est plus depuis longtemps qu’une simple inscription numérique, mais elle reste transférable d’un établissement à un autre). Surtout, il n’aura plus la possibilité de convertir ses avoirs en cash en tirant des billets dans des distributeurs qui se font déjà de plus en plus rares.

L’argument massue est que, ce faisant, toutes les transactions seront dématérialisées, dans une recherche de simplicité et de rapidité, et la question de l’argent occulte ou sale s’en trouvera résolue. Plus de cash donc, et par extension plus de travail au noir, plus de trafics, ni de corruption.

Dans un deuxième temps viendra la propagande : si vous détenez du cash et ne réalisez que peu de transactions « traçables », vous serez potentiellement suspect puisque vous chercherez à échapper à la surveillance du « système qui voit presque tout » et qui se méfie légitimement de ce qu’il ne voit pas.

A partir du moment où l’épargne et les flux financiers personnels (les revenus et salaires, le remboursement des mensualités de crédit etc.) seront « fondus » dans le système numérique global, et non plus atomisés entre de multiples établissements financiers, il suffira à la banque centrale d’appuyer sur la touche « Enter » pour créer de l’argent à volonté ou d’appuyer sur « Suppr. » pour figer les comptes, bloquer tous les virements et toutes sortes d’opérations financières imaginables.

Le Graal des autorités monétaires

C’est le Graal pour des autorités monétaires qui rêvaient depuis 1929 de rendre impossible un « bank run » et, ces dernières années, de généraliser un scénario chypriote dont Christine Lagarde a expliqué qu’il constituait « une source d’inspiration », un exemple pour l’avenir. Nous voici lancés à pleine vitesse vers une éradication du risque de retrait massif de l’épargne bancaire ou de son exportation vers d’autres cieux.

Or, fuir, c’est ce que ferait n’importe quel épargnant rationnel pour éviter la confiscation de ses avoirs ou se voir imposer des intérêts négatifs sur les liquidités comme en Suisse.

La « récompense » pour l’approbation de ce système serait que la banque centrale puisse nous verser directement de l’argent – de type revenu universel, mais avec une appellation différente comme « contribution à la relance économique » – sur chaque « compte numérique » sans avoir à effectuer des démarches administratives compliquées (indiquer quel compte en banque créditer, valider un virement permanent, payer des frais élevés en cas de changement de compte etc.).

Une nouvelle déclinaison du chantage à la peur

Surtout, la BCE pourrait ainsi mesurer immédiatement quel usage est fait de cet « argent magique » et corriger le tir si d’aventure les flux ne prenaient pas la direction escomptée, afin d’y remettre de l’ordre… et même de faire régner l’ordre dans tous les sens du terme…

Car on se dirige également vers une marginalisation du rôle des gouvernements, peu ou prou réduits à orienter l’action des médias dans le sens souhaité, comme à chaque consultation populaire, si cela ne suffit pas à engendrer le consentement ou à museler la colère populaire.

Avec les « états d’urgence » qui s’enchaînent, l’interdiction de manifester dure depuis maintenant huit mois, soit la plus longue suspension d’un de nos droits les plus fondamentaux depuis l’occupation allemande ! La crise sanitaire, dont il a découlé une éradication de nos libertés sans aucun débat parlementaire ainsi que le sacrifice de centaines de milliers d’emplois et de dizaines de milliers d’entrepreneurs sont le prix à payer pour la transformation radicale de notre modèle post-Deuxième Guerre Mondiale adossé à de la « monnaie-dette ».

Les dettes pesant sur les générations futures sont si colossales qu’elles ne sont déjà plus remboursables et cette « monnaie dette » sera progressivement transformée en « unités » de monnaie « banque centrale », à prendre ou à laisser. Sachant que « laisser » équivaudrait à un scénario grec dont on ne manquera pas de nous rappeler qu’il a valeur d’exemple de ce qu’il faut à tout prix éviter.

C’est tellement énorme que personne n’arrive à le concevoir, tout comme personne n’aurait pu imaginer le 3 novembre 2019 qu’il faudrait un an plus tard une attestation dérogatoire pour aller chercher une baguette de pain ou une boîte de Doliprane, ou promener son chien dans un périmètre d’un kilomètre autour de chez soi. Non, personne ne l’aurait imaginé, mais c’est bel et bien ce qui est arrivé grâce à l’effet de sidération associé au chantage à la peur.

Voilà qui illustre à merveille le principe qu’un complot n’est jamais mieux protégé que par l’incrédulité de ceux qui en sont les victimes.

Source : https://www.labourseauquotidien.fr/bce-operation-grand-reset-lancee-christine-lagarde/?fbclid=IwAR2l0KpNQXzxOfH3_5PLpYk00jO3mfhFfNpri3sBf2rhdIJ7N3XH2Uuegs0

Hong Kong veut tester de force les citoyens contre le covid-19

Hong Kong menace de défoncer les portes des résidents qui ne répondent pas aux autorités qui mènent des tests COVID-19 obligatoires, alors que la ville tente de mettre fin à une vague hivernale persistante de cas de coronavirus.

Hongkong a introduit un dépistage COVID-19 obligatoire parmi ses citoyens dans le cadre de ses efforts pour mettre fin à la vague hivernale de cas de coronavirus. La ville a mis en place des mesures strictes de confinement et de distanciation sociale, bien que le “mini confinement” n’ait permis de découvrir aucun cas de coronavirus jusqu’à présent.

Un confinement surprenant a été décrété dans quatre districts de Hongkong pour les tests obligatoires de dépistage de Covid-19. Environ 17 % des 680 ménages n’ont pas répondu à la visite de porte à porte des agents de santé. Les autorités gouvernementales cherchent maintenant à obtenir un mandat de justice pour pénétrer dans le bâtiment si les résidents résistent aux tests obligatoires.

Des unités mobiles de dépistage ont été installées à Kwun Tong et dans d’autres zones résidentielles afin de tester toute la population résidente.

Dans une déclaration faite mardi, les autorités ont déclaré : “Le gouvernement peut prendre des mesures légales, y compris l’expulsion d’individus ou la demande à un magistrat d’un mandat d’arrêt pour entrer par effraction dans une unité”.

Jusqu’à présent, les autorités de Hongkong ont mené huit opérations et testé environ 10 000 personnes depuis le 23 janvier. Seuls 14 cas de Covid positifs ont été détectés.

Le chef de l’exécutif, Mme Carrie Lam, a déclaré lors d’une réunion d’information hebdomadaire précédant une réunion du conseil exécutif consultatif : “On ne peut pas vraiment mesurer l’efficacité de ces opérations par le nombre de cas identifiés. Je ne pense pas que ce soit un gaspillage de ressources”.

Source : https://greatgameindia.com/hong-kong-forcefully-covid-19-test/
Traduction par https://cv19.fr

PDG de United Airlines : Les vaccins obligatoires “deviendront la norme pour la plupart des compagnies”.

Les passeports vaccinaux “donnent aux gens une motivation assez forte, parce que c’est comme ça qu’ils peuvent retrouver leur vie”.

Scott Kirby, PDG de United Airlines

Dans un discours prononcé devant des chefs d’entreprise à Chicago, le PDG de United Airlines, Scott Kirby, a déclaré qu’il s’attendait à ce que les entreprises exigent que leurs employés soient vaccinés, et que les gens l’accepteront tout comme ils ont accepté de porter des masques.

S’exprimant devant l’Economic Club de Chicago mardi, M. Kirby a insisté pour que les employés soient obligatoirement vaccinés, déclarant que “cela deviendra simplement ce que l’on attend d’eux et ce que font la plupart des compagnies”.

“Une fois que la balle aura roulé, elle ira jusqu’au fond”, a-t-il déclaré, ajoutant qu'”une deuxième grande vague” d’entreprises rendra les vaccins obligatoires dans un effet boule de neige.

“Je suis suffisamment réaliste, même si je pense que c’est la bonne chose à faire, pour savoir que United Airlines ne peut pas le faire seule et que cela ne peut pas marcher. Il n’est pas nécessaire qu’il y ait une tonne d’autres compagnies, mais il faut qu’il y en ait d’autres”, a insisté M. Kirby.

Kirby a également souligné que les entreprises peuvent exiger que les travailleurs se fassent vacciner en vertu d’une décision de la Commission pour l’égalité des chances dans l’emploi.

Kirby a également déclaré qu’il soutenait l’introduction de passeports pour le vaccin non seulement pour les voyages en avion, mais aussi pour les activités quotidiennes comme assister à des concerts ou aller au cinéma.

“Cela donne aux gens une motivation assez forte, car c’est ainsi qu’ils peuvent retrouver leur vie”, a proclamé M. Kirby, ajoutant : “Nous pensons que c’est une clé pour ouvrir non seulement les frontières internationales et l’aviation, mais aussi l’économie”.

Comme nous l’avons souligné, un grand nombre d’acteurs de l’industrie du voyage et du tourisme ont réclamé des passeports-vaccins, et de nombreux pays ont entrepris de mettre en place ces systèmes.

Les mondialistes, tels que l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair, ont exprimé leur inquiétude face à l’émergence de trop nombreux systèmes disparates et ont appelé à une normalisation à l’échelle mondiale.

Source : https://summit.news/2021/02/03/united-airlines-ceo-mandatory-vaccines-will-become-what-most-companies-do/
Traduction par https://cv19.fr

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