Robert Francis Kennedy Jr, l’avocat canadien Rocco Galati, le Dr David Martin et la scientifique Judy A. Mikovits se sont réunis pour nous alerter contre la manipulation médiatique et étatique autour du “vaccin” à ARN messager contre le COVID-19.
Les choses semblent fonctionner à l’envers à la maison de retraite The Commons sur St. Anthony à Auburn, New York. La vaccination des personnes est censée réduire ou mettre fin aux décès dus aux coronavirus. N’est-ce pas ?
Mais, à The Commons, ces décès ne se seraient produits qu’après que les résidents aient commencé à être vaccinés contre le coronavirus.
James T. Mulder a écrit samedi sur syracuse.com que jusqu’au 29 décembre, il n’y avait eu aucun décès dû à un coronavirus à The Commons.
Le 29 décembre, date à laquelle les décès de résidents atteints de coronavirus ont commencé à se produire à The Commons, est également, révèle l’article de Mulder, sept jours après que la maison de retraite ait commencé à vacciner les résidents contre le coronavirus, 80 % des résidents ayant été vaccinés jusqu’à présent.
Sur une période de moins de deux semaines depuis le 29 décembre, Mulder rapporte que 24 résidents infectés par le coronavirus dans la maison de retraite de 300 lits sont morts.
Le moment choisi n’est-il qu’une étrange coïncidence ?
Retrouvez l’article de Mulder ici.
C’est l’avant-dernier paragraphe de l’article de Mulder, où il est question des vaccinations à The Commons :
“La maison de retraite a commencé à vacciner les résidents le 22 décembre. Jusqu’à présent, 193 résidents, soit 80%, et 113 employés, soit moins de la moitié du personnel, ont été vaccinés. La maison de retraite prévoit de faire d’autres vaccinations le 12 janvier”.
Serait-ce par ce qu’ils n’avaient pas encore reçu leur deuxième injection ? Certains expliquerons peut-être que c’est une raison d’accélérer la campagne vaccinale.
Sources : https://www.ronpaulinstitute.org/archives/peace-and-prosperity/2021/january/10/a-nursing-home-had-zero-coronavirus-deaths-then-it-vaccinates-residents-for-coronavirus-and-the-deaths-begin/
https://www.syracuse.com/coronavirus/2021/01/covid-19-outbreak-at-auburn-nursing-home-infects-137-residents-kills-24.html
Traduction : https://cv19.fr
Entretien avec Frédérique, une des organisatrices du mouvement.
Qui êtes-vous et qui représentez-vous, comment s’est formé votre mouvement ?
Je suis l’un de ces parents parmi des milliers, une maman engagée pour les enfants, qui donnerais ma vie pour eux, pour qu’ils vivent dans un bon présent, un beau futur pour Oscar, 2 ans, Maxime 7 ans et Lucas 13 ans. Je suis l’un de ces parents d’enfants scolarisés dans les écoles, collèges et lycées de France. Ces parents médecins, enseignants, avocats, parents de tous milieux et tous secteurs d’activité. J’ai rejoint ce rassemblement de parents à la rentrée par le biais des réseaux sociaux.
Ce rassemblement est celui de parents responsables du bien-être et de la santé des enfants, de parents inquiets du protocole sanitaire inadapté mettant la vie de nos petits en danger sur les plans physique, psychique et psychologique au sein des écoles et établissements scolaires, ces parents qui ont pris conscience des dégâts de cette crise, des non-sens et de la déraison qui touchent le quotidien de nos enfants. De nombreux groupes ont donc émergé sur facebook. J’ai rejoint le collectif Parents 2021 qui compte plus de 11 000 membres.
Bien plus que des groupes d’échange sur l’actualité, ces groupes sont des supports de rassemblement, d’écoute, de soutien, d’aide… Aides face aux témoignages alarmants de parents et de spécialistes de l’enfance. Mais cela ne suffit pas ! Parce qu’il faut aller plus loin, plus vite pour se faire voir et entendre pour libérer nos enfants des responsabilités qu’on leur fait endosser, des antennes locales partout en France, en métropole et dans les Dom-Tom, se sont créées offrant aux parents la possibilité de se voir car les réseaux sociaux ne valent pas un échange physique, l’action ne se fait pas sur un mur.
Les collectifs locaux se sont multipliés et ont grossi car nous avons été rejoints par les parents d’enfants de 6 ans et plus, touchés eux aussi par un protocole sanitaire qui ne les concerne pas, jamais masqués jusque là ! (novembre 2020).
De cette énergie locale, départementale, nationale est né Enfance et Libertés.
Vous organisez à une manifestation ce samedi, quelles en sont les modalités et les mots d’ordre ?
Nous appelons les parents, grands-parents, enfants de tous âges, soignants, enseignants, avocats (liste non exhaustive) à se faire entendre et voir. ENTENDRE et VOIR.
Cette manifestation nationale est le signe fort de l’union de nombreux collectifs pour les enfants et pas que des collectifs de parents, je pense aux médecins engagés ainsi qu’aux avocats et aux collectifs d’Enseignants en Résistance. Par exemple, à Nîmes : Maitre Guyon du collectif juridique Click’n’Requete, l’association Action 21 France, les référents du collectif Réinfocovid, des parents, médecins).
Cet événement aux quatre coins de la France sera couvert par de nombreux médias locaux et nationaux ; et même si les médias mainstream ne souhaitent pas nous médiatiser, cela viendra …
Les mots d’ordre sont :
NOS ENFANTS ONT BESOIN DE NOTRE AIDE METTONS UN POINT FINAL A L’OBLIGATION DU PORT DU MASQUE A L’ECOLE !
LAISSEZ NOS ENFANTS RESPIRER, M. LE PRÉSIDENT, NE FAITES PAS SEMBLANT, ENTENDEZ-NOUS !
Avez-vous été entendus des institutions ?
Nous nous sommes portés partie civile dans plusieurs référés-liberté déposés par Maître Séverine Manna, et avons apporté témoignages et synthèses. Aujourd’hui nous sommes organisés en commissions. Nous sommes en contact avancé avec des députés : David Corceiro, Marie-George Buffet ou encore Damien Abad.
Votre combat se concentre-t-il sur une tranche d’âge, s’élargit-il à d’autres maltraitances infligées aux enfants ?
Nous avons concentré notre action sur cette mesure emblématique, qui est la plus rassembleuse. Ensuite, nous sommes parents d’enfants avant tout : les dégâts sont particulièrement dommageables chez les 6-10 ans mais tous les enfants et adolescents méritent de vivre normalement. Les enfants ont des droits qui sont actuellement bafoués par le gouvernement au nom d’un virus qui ne touche pas cette population. Voir les données du réseau Sentinelles par exemple. Nous défendons tous les enfants contraints au port du masque. Des tribunes, témoignages écrits et vidéos, études, réalisés par des professionnels de l’enfance attestent de la dangerosité du port du masque grand public. Nous avons obtenu gain de cause pour la pratique du sport sans masque par le biais d’une avocate.
Liste des manifestations
Communiqué de presse en version PDF
Auteur(s): François Bonacieux