Day: January 6, 2021

Covid-19 : le paracétamol aurait -il tué ?

L’essence du médecin est de soigner, soigner avant tout. La science vient ensuite ; le soin s’aide de la science, pas l’inverse.

La pandémie de la COVID 19 serait -elle la première maladie que les médecins auraient décidé de ne pas soigner ? Ecoutez le Professeur Chabrières ! Si, à l’IHU, la bithérapie hydroxychloroquine et azithromycine a présenté une incontestable efficacité, d’ailleurs publiée dans moult articles, une clef de leurs résultats, bien meilleurs que dans les autres centres français, réside également dans le soin du malade, qui n’est pas renvoyé chez lui avec un peu de paracétamol pour attendre l’asphyxie.

Rappelons les armes médicamenteuses dont nous disposons contre le coronavirus : le traitement antiviral, les adjuvants, et le vaccin.

La bithérapie hydroxychloroquine et azithromycine a montré son efficacité dans de nombreuses études, souvent observationnelles, attirant par la même la foudre des adeptes du dogme de la randomisation double aveugle. Rappelons que les études randomisées peuvent présenter des biais (par exemple ici, le fait de donner ce traitement a des patients hospitalisés, donc en fin de phase virale ou début de phase inflammatoire, ce qui constitue un contresens) ; et que les études observationnelles décrivent au mieux la réalité et toute la finesse d’une prise en charge. Rappelons aussi que la fameuse méta-analyse de Fiolet et al sur le sujet demeurera un modèle de brigandage, de part ses erreurs statistiques et en raison de la mécompréhension évidente des étapes de la maladie.

Parlons brièvement du Remdesivir, à qui on peut attribuer, même avant toute étude un carton rouge. Les études n’ont du reste pas montré d’efficacité de ce médicament, de surcroît particulièrement toxique en particulier pour les reins. Il est évident qu’on ne peut donner à grande échelle un tel médicament, dangereux et d’administration difficile (voie intra veineuse), très coûteux, en phase virale précoce, sachant que la maladie est bénigne dans plus de 90 % des cas, et que donner ce médicament plus tard, en phase inflammatoire (où il n’y a plus de virus) est un contresens (encore).

Les vitamines, en particulier la vitamine D, et le zinc (intervenant dans l’immunité), peuvent avoir leur place. Laissons braire les apôtres de la zététique et autres médecins “fakemed” enfonceurs de portes ouvertes. A défaut d’efficacité, ces compléments ne feront pas de mal.

Plus récemment, l’ivermectine (médicament antiparasitaire habituellement employé dans la gale ou l’onchocercose) semble être particulièrement efficace. Il s’agit d’un médicament peu onéreux, bien toléré, et pris pendant peu de temps (de un à quatre jours). De nombreuses études sont en faveur d’une réduction drastique du nombre de patients hospitalisés et de formes graves.

Nous ne nous étendrons pas plus, car tout dans l’article, un traitement efficace existe mais il est ignoré, et ce traitement peut s’associer à l’hydroxychloroquine.

Un bref mot sur le Rivotril (clonazepam) employé en EHPAD dans des situations non palliatives ainsi que le stipule le décret. Ce médicament est un dépresseur respiratoire : l’employer pour le traitement d’une maladie pulmonaire asphyxiante est un contresens (encore et encore), et nous pensons, un acte qualifiable d’euthanasie active.

II. – Par dérogation à l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril ® sous forme injectable peut faire l’objet d’une dispensation, par les pharmacies d’officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie sur présentation d’une ordonnance médicale portant la mention « Prescription Hors AMM dans le cadre du covid-19 ».

Lorsqu’il prescrit la spécialité pharmaceutique mentionnée au premier alinéa en dehors du cadre de leur autorisation de mise sur le marché, le médecin se conforme aux protocoles exceptionnels et transitoires relatifs, d’une part, à la prise en charge de la dyspnée et, d’autre part, à la prise en charge palliative de la détresse respiratoire, établis par la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs et mis en ligne sur son site.

Qu’en est -il du vaccin ? Il est tout à fait raisonnable de penser que le vaccin n’aurait pas eu lieu d’être si l’on avait soigné cette maladie et si l’on n’avait pas fabriqué un formidable incubateur de mutation par le confinement, prolongeant l’épidémie. Mais nous adopterons le principe de réalité : le soin a été empêché, et il faut bien lutter contre l’épidémie. Nous ne serons donc pas « anti-vaccin », comme certains le prétendent trop rapidement. Il est en effet d’ailleurs idiot d’être « pro » ou « anti-vaccin » : un vaccin est tout simplement un médicament qui s’évalue et qui au terme de l’évaluation présente des bénéfices et des risques. Et justement, il faut bien reconnaître que les vaccins ont été peu évalués (avec une communication émanant principalement des firmes pharmaceutiques, donc emplies de conflits d’intérêt), que le vaccin ARN est méconnu (utilisé pour la première fois chez l’homme), et que des complications sont à redouter :

  • « maladie aggravée associée à la vaccination » (VAED, vaccine-associated enhanced disease)
  • En médecine vétérinaire, certains vaccins (VRSB et coronavirus) sont contre indiqués chez les animaux malades ! Que pourrait -il se passer si l’on vaccine sans discernement la population française ?

La presse spécialisée pour les animaux indique clairement qu’il ne faut pas vacciner en urgence les veaux infectés par le VRSB. Ce qui est confirmé dans la notice de santé publique du Rotavec un vaccin contre les coronavirus à destinations des bovins.

Bien évidemment, si le vaccin est efficace, s’il évite les formes graves, et ne présente pas d’effet secondaire rédhibitoire, nous n’aurions qu’à nous en féliciter. Pour l’heure, évitons le panurgisme bêlant, attendons prudemment, et observons.

Venons-en à ce qui pourrait être L’UN DES CLOUS DU SCANDALE SANITAIRE. Souvenez-vous que les patients malades de la COVID ont été renvoyés chez eux avec un traitement par PARACETAMOL. Le paracétamol est un médicament abondamment prescrit et loin d’être anodin en raison de sa toxicité hépatique. Il est en effet le premier pourvoyeur de greffe de foie d’origine médicamenteuse.  Etait-ce soigner ? Peut-être, dans la mesure où le paracétamol fait tomber la fièvre et améliore le confort des patients. Cependant, la fièvre a une raison d’être : il s’agit d’un mécanisme de défense bien connu de l’organisme face à l’infection. D’ailleurs, en pédiatrie, les nouvelles recommandations HAS ne préconisent plus de faire “tomber” systématiquement la fièvre, sauf cas particuliers :

Prise en charge de la fièvre chez l’enfant – recommandations HAS : Rôle physiopathologique de la fièvre

La fièvre est un des moyens de réponse de l’organisme aux infections. Elle est également présente dans les maladies inflammatoires, rares chez l’enfant. La fièvre peut avoir un effet bénéfique lors d’infections invasives sévères (purpura infectieux, septicémie) et il a été observé que des infections graves non fébriles étaient associées à une augmentation de la mortalité. Par ailleurs, quelques publications indiquent que l’utilisation d’antipyrétiques pourrait retarder la guérison de certaines infections virales

Le paracétamol, en faisant baisser la température diminue le taux et l’activité de l’interféron, molécule antivirale produite par l’organisme.

« Nos résultats suggèrent que la température d’incubation élevée potentialise l’antiviral et les activités antiprolifératives … » Influences de la température sur différentes activités humaines d’interféron alpha. (Hirai N, Hill NO, Osther K.)

Des températures plus basses réduisent l’activité de l’interféron de type I et favorisent l’arthrite alphavirale (Prow NA, Tang B, Gardner J, et al.. PLoS Pathog).

Il est par ailleurs publié qu’un bas taux d’interféron est associé aux formes graves de la maladie (Activité altérée d’interféron de type I et réponses inflammatoires dans les patients graves de COVID-19 Hadjadj J, Yatim N, Barnabei L, et al.).

Au 6 janvier 2021, on dénombre 2 680 239 cas de COVID confirmés, 66 282 décès dont beaucoup n’ont malheureusement pas bénéficié des traitements anti-viraux que nous avons évoqués.

Les courbes de prescription, en particulier chez les personnes âgées montrent en revanche un net pic de consommation de paracétamol pendant le pic épidémique.

La délivrance de paracétamol a augmenté en février 2020 d’un million et demi de personnes (semaines 12 et 13). Ces courbes (rapport ANSM) ont pu être écrêtées par les restrictions à la vente de paracétamol dans les pharmacies suite à la surconsommation.

Le paracétamol, employé à tour de bras chez tous les malades aura pu être délétère, et avoir précipité l’évolution vers la phase inflammatoire mortelle de la maladie. Tout ceci était pourtant connu.

Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise nous demande le Professeur Perronne. Que répondre sinon une de plus…

Auteur(s): Le médecin résistant pour FranceSoir

De l’Internet des objets à l’Internet du corps

Par B.N. Frank

Les experts de la protection de la vie privée et de la sécurité mettent en garde contre la technologie de l’Internet des objets (en anglais (the) Internet of Things ou IoT) depuis de nombreuses années et continuent à le faire (voir 1, 2, 3, 4). La technologie de l’internet du corps (en anglais (the) Internet of Bodies ou IoB) relève de l’IoT et n’est actuellement pas réglementée.

http://www3.weforum.org/docs/WEF_IoB_briefing_paper_2020.pdf Archive

Pour ceux qui ne sont pas familiers avec ce que l’IoT implique, une excellente description est fournie sur le site web Whatis5G.Info :

L’Internet des objets (IoT), tel qu’il est commercialisé et vendu au public, est une vision qui consiste à connecter toutes les “choses” possibles à l’Internet – toutes les machines, appareils, objets, dispositifs, animaux, insectes et même notre cerveau. En outre, L’IoT inclura l’intelligence artificielle (IA), la réalité augmentée (RA), la réalité virtuelle (RV), les robots, les humains micropucés et les humains augmentés (humains avec une certaine forme de technologie implantée ou intégrée dans leur biologie pour “améliorer” les caractéristiques ou les capacités humaines). Les capteurs et les caméras de surveillance de l’IoT vont également être utilisés dans nos communautés. Les nouveaux systèmes cyberphysiques IoT rendront tous les objets “intelligents”, c’est-à-dire connectés au Cloud, permettant ainsi des communications omniprésentes de machine à machine (M2M) et la collecte massive de données, et nous laissant ouverts à des cyber-attaques dévastatrices.

En novembre, Activist Post a fait état d’un article de droit qui a révélé des problèmes juridiques et sociaux liés à la fois à la technologie IoB et IoT. D’autres détails et images effrayants ont été fournis dans un article publié par Truth UnMuted :

L’internet du corps (IoB) et le piratage de votre ADN

Comment des dispositifs implantables connecteront votre corps à l’internet
Rapport sur l’Internet du Corps par la corporation RAND

L’ère de l’Internet des objets (IoT), et bientôt celle de l’Internet du corps (IoB), est maintenant arrivée.

La RAND Corporation, le groupe de réflexion à l’origine de certaines des idées et technologies les plus influentes et les plus effrayantes du monde, a publié un rapport intitulé “L’Internet du corps : Opportunités, risques et gouvernance“.

Vous devriez vous méfier de tout rapport publié par la RAND Corporation. Alex Abella, auteur de Soldiers of Reason : The RAND Corporation and the Rise of American Empire, explique pourquoi :

RAND était, et est toujours, l’organisation incontournable des institutions. Tout au long de son histoire, RAND a été au cœur de cette imbrication de la concupiscence du Pentagone et de la rapacité financière que le président Eisenhower a voulu appeler le complexe militaro-industriel-législatif. RAND a littéralement remodelé le monde moderne – et très peu le savent.

Dans ces conditions, la publication de ce nouveau rapport est très inquiétante.

Qu’est-ce que l’Internet du corps (IoB) ?

RAND définit l’IoB comme “une industrie croissante de dispositifs qui surveillent le corps humain, collectent des informations sur la santé et d’autres informations personnelles, et transmettent ces données sur Internet”. Pour être considérée comme un dispositif IoB, la technologie doit

  • contenir un logiciel ou des capacités informatiques
  • être capable de communiquer avec un appareil ou un réseau connecté à Internet

Un dispositif IoB doit également satisfaire à l’une des conditions suivantes, ou aux deux :

  • collecter des données de santé ou biométriques générées par la personne
  • être capable de modifier la fonction du corps humain

La technologie que Hollywood a présentée au fil des années dans les fantasmes dystopiques de science-fiction est maintenant une réalité. Dans un avenir très proche, les seigneurs technocrates du monde scientifique, de la santé, de la finance et de la Big Tech souhaitent que l’humanité passe d’appareils portables à des appareils intégrés dans notre corps.

Comment l’IoB recoupe l’IoT

Les dispositifs IoT tels que les compteurs intelligents (Linky), les montres intelligentes, les assistants virtuels et les voitures à conduite autonome se connectent directement à l’internet ou via un réseau local. À mesure que les dispositifs IoT se généralisent, les experts prévoient que l’acceptation et le désir de disposer de dispositifs IoB vont également augmenter. C’est ce que prévoit le rapport RAND :

D’ici 2025, il y aura plus de 41 milliards de dispositifs IoT actifs, générant 2,5 quintillions d’octets de données par jour sur l’environnement, les transports, la géolocalisation, l’alimentation, l’exercice, la biométrie, les interactions sociales et la vie quotidienne. Cette explosion des dispositifs IoT va renforcer la popularité des dispositifs IoB.

Produits IoB en cours d’utilisation ou de développement

La figure 1 du rapport RAND montre à quel point la technologie IoB peut devenir invasive et envahissante. Lorsqu’elle est totalement déployée, aucune partie du corps humain n’échappe à ses interférences. Ils prévoient même de connecter nos toilettes à Internet où ils surveilleront nos excréments grâce à la technologie BioBot afin de déterminer ce que nous mangeons, les médicaments que nous pouvons prendre et d’analyser notre matériel génétique !

Voici quelques exemples de la technologie actuellement en cours de développement :

  • Lentilles de contact à réalité augmentée
  • Appareils de lecture et d’écriture pour le cerveau
  • Capteurs implantés dans le corps
  • Vêtements avec capteurs
  • Micropuces implantables (RFID et NFC)
  • Capteurs mentaux et émotionnels
  • Pancréas artificiel
  • Couche-culotte connectée par Bluetooth

Même les bébés ne pourront pas échapper à ce cauchemar où chaque fonction corporelle est constamment suivie et contrôlée. Ce qui est triste, c’est que beaucoup de gens accueilleront favorablement ces technologies intrusives parce qu’elles sont pratiques et font gagner du temps. Cependant, échanger la souveraineté corporelle contre la commodité n’est jamais une transaction équitable. Il profite presque toujours à ceux qui souhaitent avoir plus de contrôle sur notre vie. En adoptant les progrès technologiques, les humains consentent à permettre aux technocrates de dicter toutes les facettes de la vie. Bientôt, les médecins pourront savoir si vous prenez les médicaments qui vous ont été prescrits de manière appropriée, et disposeront d’outils pour vous signaler si vous ne les prenez pas. Des pilules numériques seront utilisées pour enregistrer votre conformité médicale, selon les signaux du rapport RAND :

Lire l’article complet


Comme indiqué dans l’article, la technologie IoB nécessite un rayonnement sans fil (WiFi), 5G et autres champs électromagnétiques (alias “électrosmog“) pour fonctionner. Toutes ces sources sont biologiquement nocives. Il y a donc aussi ce problème.

Source : https://www.activistpost.com/2021/01/more-concerns-and-details-about-how-the-internet-of-bodies-iob-will-literally-connect-you-to-the-internet.html Traduction : https://cv19.fr

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