Day: December 24, 2020

L’OMS modifie la définition de “l’immunité collective” pour affirmer qu’elle ne peut être obtenue que par la vaccination.

L’Organisation mondiale de la santé a modifié la définition de “l’immunité collective”, éliminant le consensus qui existait avant le COVID, selon lequel on pouvait y parvenir en laissant un virus se propager dans une population, et insistant sur le fait que l’immunité collective provient uniquement des vaccins.

Ce changement est intervenu dans une section du site web de l’OMS intitulée “Coronavirus (COVID-19) : Sérologie, anticorps et immunité”.

La définition originale de l’OMS (archivée ici) indique que l’immunité collective “se produit lorsqu’une population est immunisée soit par la vaccination, soit par une immunité développée par une infection antérieure. Cela signifie que même les personnes qui n’ont pas été infectées, ou chez qui une infection n’a pas déclenché de réponse immunitaire, sont protégées car les personnes immunisées de leur entourage peuvent servir de tampon entre elles et une personne infectée”.

La définition originale ne parvient pas à identifier le consensus pré-Covid sur ce que l’on entend par “immunité collective”, c’est-à-dire lorsqu’une population est protégée contre un virus parce qu’un nombre suffisant de personnes ont été infectées par celui-ci pour créer une immunité de la communauté.

Cependant, la nouvelle version de l’OMS est encore plus radicale, insistant sur le fait que l’immunité collective ne peut être obtenue que par des programmes de vaccination de masse.

“L’immunité collective, également appelée “immunité des populations”, est un concept utilisé pour la vaccination, selon lequel une population peut être protégée contre un certain virus si un seuil de vaccination est atteint”, indique le site web de l’OMS, qui ajoute : “L’immunité collective est obtenue en protégeant les personnes contre un virus, et non en les exposant à celui-ci”.

“L’immunité collective existe lorsqu’un pourcentage élevé de la population est vacciné”, déclare le site web, omettant complètement la signification originale de “l’immunité collective”, qui est le moment où une population devient immunisée contre un virus en y étant exposée.

En changeant la définition de l'”immunité collective”, l’OMS réécrit littéralement des centaines d’années de compréhension scientifique de la signification réelle de ce terme, dans un effort apparent pour faire taire tout argument selon lequel l’immunité collective aurait été une meilleure approche pour lutter contre la COVID-19 que le confinement et la distanciation sociale.

Source : https://summit.news/2020/12/23/who-changes-definition-of-herd-immunity-to-eliminate-pre-covid-consensus/

Le masque obligatoire à l’école jugé illégal par la Cour constitutionnelle autrichienne

“Deux enfants et leurs parents avaient fait appel devant la Cour constitutionnelle, faisant valoir que le masque obligatoire et les cours en alternance violaient le principe d’égalité, le droit à la vie privée et le droit à l’éducation”

« En Autriche, certains écoliers avaient cours le lundi et le mardi et les autres le mercredi, le jeudi et le vendredi seulement. Ils devaient rester à la maison le reste de la semaine. Mais le port obligatoire du masque à l’école et l’enseignement en alternance, deux mesures prises par le gouvernement autrichien au printemps afin de tenter d’endiguer la pandémie de coronavirus, sont des dispositions « illégales », a estimé mercredi la Cour constitutionnelle.

« Pour faire face aux conséquences de la Covid-19 dans le système scolaire, un décret publié par le ministre de l’éducation en mai 2020 a ordonné que les classes soient divisées en deux groupes et enseignées alternativement à l’école », a écrit la Cour dans un communiqué.

« Dans sa décision publiée aujourd’hui, la Cour constitutionnelle a jugé que les dispositions contestées étaient illégales », ont fait savoir les juges. Deux enfants et leurs parents avaient fait appel devant la Cour constitutionnelle, faisant valoir que ces dispositions violaient le principe d’égalité, le droit à la vie privée et le droit à l’éducation. […] »

Lire l’intégralité de l’article :
– 20 Minutes : Autriche : La cour suprême juge illégal le masque obligatoire à l’école et les cours en alternance

Test Covid rapide : 63% des patients diagnostiqués faussement positifs selon les laboratoires Biogroup

Les laboratoires Biogroup (1er réseau français de laboratoires privés) ont mené entre le 23 novembre et le 15 décembre une étude permettant de jauger l’efficacité des tests antigéniques dit “rapides”.

« Cette étude a été menée auprès de 1.666 patients venus effectuer un test PCR en laboratoire, et affirmant avoir réalisé un test antigénique dans les dernières 24 heures.

Sur 1.327 personnes négatives au test rapide, 111 se sont alors révélées positives au test PCR, soit 8,3%. Un pourcentage «certainement minoré car seuls les patients ayant des doutes et des signes cliniques ont contrôlé leur résultat», souligne Biogroup.

Mais ce sont les résultats des patients positifs aux tests antigéniques qui ont interrogé et surpris le groupe. En effet, sur les 339 patients positifs, 214 étaient en fait négatifs au test PCR , soit 63 %. Une proportion plus importante «que ce nous attendions», attribué aux «défauts d’utilisation et d’interprétation de ces tests par du personnel sans “culture de la biologie médicale”».

test covid
Capture du site Biogroup.fr

Censée donner «une image réelle du terrain», cette étude contraste avec les évaluations des fabricants de tests antigéniques «réalisées dans des conditions strictes de maîtrise des procédures».

Par exemple, «de nombreux tests sont réalisés dans des barnums à l’extérieur, avec des températures très basses. Or, ces tests sont basés sur une réaction antigène/anticorps qui ne peut se faire qu’à une température donnée», a expliqué le biologiste Laurent Kbaier, cité dans un communiqué du groupe. […] »


Sources :
– Biogroup : Les tests antigéniques à l’épreuve du réel : étude comparative des résultats
– CNews : Coronavirus : La fiabilité des tests rapides mise en doute par un groupe de laboratoires

Covid-19 : les premiers vaccins seront distribués dimanche à Sevran et à Dijon

Selon les informations du « Monde », le vaccin fabriqué par Pfizer et BioNTech sera inoculé, dimanche 27 décembre, à des patients de l’hôpital René-Muret de Sevran, en Seine-Saint-Denis. D’autres vaccinations sont prévues le même jour à Dijon.

Olivier Véran dans l’un des centres où seront entreposés les vaccins contre le Covid-19, à Chanteloup-en-Brie (Seine-et-Marne), le 22 décembre. GEOFFROY VAN DER HASSELT / REUTERS

Le lieu n’a pas été choisi au hasard. Les premières injections, en France, du vaccin Pfizer-BioNTech contre le Covid-19 seront pratiquées, selon nos informations, en Seine-Saint-Denis, département où la surmortalité liée au virus a été la plus forte en Ile-de-France, la région qui a payé le plus lourd tribut à l’épidémie depuis mars. Il sera inoculé, dimanche 27 décembre, à quelques patients de l’unité de séjour de longue durée (USLD) au sein de l’hôpital René-Muret à Sevran.

Ce service, qui dépend de l’AP-HP, comprend 90 malades très âgés atteints de plusieurs pathologies, dont une grande partie souffrent de troubles neurocognitifs. Choisir de les vacciner en priorité est « une décision juste », approuve un professeur de gériatrie, bon connaisseur du profil des malades en USLD. Le vaccin Pfizer-BioNTech, qui protège contre les formes graves de la maladie, est, de fait, indiqué pour des sujets très vulnérables dont le pronostic vital pourrait être engagé s’ils contractaient le virus.

L’information n’a pas été révélée par Olivier Véran mardi 22 décembre. « Ce sera du côté de Paris, pas très loin de Paris », s’est contenté de préciser le ministre de la santé sur TF1, ajoutant que « deux ou trois établissements pour personnes âgées, dès dimanche », organiseront la vaccination. Le deuxième serait « du côté de la Bourgogne-Franche-Comté ». Selon nos sources, il s’agirait du centre gériatrique du CHU de Dijon. Un troisième établissement « est en discussion », a dit aussi M. Véran. Soit, au total, « quelques dizaines de résidents » vaccinés dimanche, pour faire en sorte que la France entame sa campagne vaccinale « le même jour » que « tous les pays de l’Union européenne », s’est réjoui le ministre.

Samedi 26 décembre sur le sol français

Le gouvernement avait, dans un premier temps, prévu de commencer au plus tôt début janvier. « Dès lors que les autorités sanitaires européennes ont donné un avis plus rapidement que ce qui était initialement annoncé, nous nous mettons en situation d’engager les opérations sans délai et dans le même tempo que tous les autres », explique Aurélien Rousseau, directeur général de l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France.

De fait, l’autorisation de mise sur le marché du vaccin Pfizer-BioNTech par l’Agence européenne des médicaments a été publiée lundi 21 décembre, alors qu’elle était attendue par l’exécutif français pour la fin du mois. La Haute Autorité de santé (HAS), qui devait rendre son avis début janvier, s’exprimera finalement jeudi 24 décembre. Pfizer se dit capable de livrer plus tôt les doses au terme de la commande unique passée par les vingt-sept pays de l’UE. Les vaccins devraient arriver dès samedi 26 décembre sur le sol français.

Source : https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/12/23/covid-19-les-premieres-vaccinations-en-france-auront-lieu-a-sevran-et-a-dijon_6064308_3244.html

Analyse et résumé des éléments exposés par Jean-Bernard Fourtillan

Le professeur Fourtillan avait publié le 20 août un document mettant en cause l’institut Pasteur pour la fabrication du virus responsable de la crise sanitaire actuelle, le 4 décembre il déposait une plainte contre ce même institut.

Revoyons et analysons plus en détail les documents fournis sur le site verite-covid19.fr

Les allégations du professeur Fourtillan reposent principalement sur trois brevets

– du brevet Européen de 2003 EP 1694 829 B1 (Pièce 2) à la page 3 :

[0001] La présente invention est relative à une nouvelle souche de coronavirus associé au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), issue d’un prélèvement répertorié sous le n° 031589 et prélevé à Hanoi (Vietnam), à des molécules d’acide nucléique issues de son génome, aux protéines et peptides codés par lesdites molécules d’acide nucléique ainsi qu’à leurs applications, notamment en tant que réactifs de diagnostic et/ou comme vaccin.

du brevet Américain de 2003 US 012.8224 A1 (Pièce 3) à la première page :

(57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.

du brevet Américain de 2011 US 8,243,718 B2 (Pièce 4) à la première page : (57) (57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.

Ces brevets proviennent bien de l’institut pasteur, qui a étudié des virus émergents dans le but de produire des méthodes de test et des vaccins pour ces virus potentiellement contagieux et mortels, et donc de breveter ces méthodes.

Mais que s’est-il passé entre 2011 et 2019 ? Le Pr. Fourtillan explique que des séquences du virus du SIDA, le VIH ont été insérées dans le virus du deuxième brevet américain entre 2011 et 2015.

http://d.p.h.free.fr/covid19/docs/Verite_sur_Covid-19_et_les_Vaccins_anti_Covid-19.pdf (Page 5)

À ce stade ces ajouts sont plus des suppositions reposant sur l’analyse du génome de différents chercheurs à travers le monde ayant fait état d’insertions de fragments du VIH dans les premiers séquençages du matériel génétique mis en cause dans l’épidémie de Covid-19.
La possibilité d’un ajout de fragments de VIH est une thèse relayée par de nombreux scientifiques à travers le monde.
Le nouveau coronavirus chinois est-il un avatar d’un coronavirus génétiquement modifié pour fabriquer un vaccin curatif du SIDA ?
L’étude indienne ayant initié cette thèse : Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag
Luc Montagnier : il y a du VIH dans le Covid-19

Si cette hypothèse fut contestée sous prétexte que la nature est capable de faire des choses qu’on ne comprend pas, l’origine du virus, avec ou sans VIH est discutée plus ouvertement aujourd’hui qu’au début de la crise sanitaire comme dans cet article du CNRS paru le 27 octobre 2020 « La question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement ».

Le Pr. Fourtillan n’a pas la preuve irréfutable que l’institut Pasteur a créé le virus responsable de la situation actuelle, mais a de fortes suspicions de la possible implication de cet institut de recherche.

De plus, ce ne serait pas la première fois que cet institut trafique des coronavirus dans le cadre de recherches opaques : l’Institut Pasteur a ramené illégalement des fioles de Mers Coronavirus en 2015

Les allégations du professeur s’appuient sur un deuxième point

En Février 2017, une délégation du gouvernement français et de l’Institut Pasteur s’est rendue à Wuhan afin d’inaugurer le nouveau laboratoire P4 de Wuhan dans le cadre d’une collaboration entre la France et la Chine. Sur la photo suivante on reconnaît Elizabeth Guigou, Marisol Touraine, alors ministre de la Santé, Yves Lévy, l’époux d’Agnès Buzyn, qui était directeur de l’INSERM, à cette époque, Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur, et un directeur de l’Institut Pasteur.
On ajoutera aussi qu’Agnès Buzyn, qui était ministre de la santé en France lorsque la crise du COVID-19 a éclaté est également à l’origine de la signature du décret qui a interdit la vente libre d’hydroxychloroquine en France le 13 janvier 2020, 8 jours avant l’annonce officielle du début de l’épidémie.

L’institut Pasteur avait donc les moyens et la possibilité d’étudier des virus à Wuhan, ville dans laquelle le virus a été observé pour la première fois.

Troisième point

Le professeur fait aussi mention d’un article d’une revue spécialisée publié en 2005 dans VIRAL IMMUNOLOGY (voir p.50) dans lequel le docteur Frédéric Tangy mentionne la possibilité de développer un vaccin à ARN atténué ayant des applications sur le VIH et le virus du Nil occidental.

Des internautes ont par la suite fait le liens entre les déclarations de Fourtillan et le fait que des Australiens aient été testés faux-positifs au VIH après s’être fait vacciner contre le Covid-19.


Suivant ce cheminement, il est possible que l’institut Pasteur ait une responsabilité dans la crise sanitaire actuelle bien qu’il n’existe pas de preuves formelles mais des suspicions.
C’est pourquoi Fourtillan avait déposé une plainte pour investiguer plus largement le rôle potentiel de l’institut, délibéré ou accidentel.

La stratégie agressive du professeur à sûrement participé à la diffusion de ses thèses, ce qui mènera nous l’espérons à un travail plus approfondi et a une enquête si la plainte émise est jugée recevable.

Il est aussi fait mention du brevet WO2020060606A1 CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA dans les recherches de Fourtillan.
Une hypothèse selon laquelle les nanoparticules des vaccins pourraient être utilisées comme systèmes d’identification et de traçage des individus est émise, mais il n’y a pas de mention de l’utilisation de nano-particules ou d’injections d’une quelconque technologie dans le corps humain dans ce brevet (?). Les systèmes d’identification élaborés seraient plus sur la forme d’une montre connectée voir d’un implant cérébral permettant de scanner les fonctions corporelles et ondes cérébrales (voir page 22 chapitre 25).

Il existe des recherches sur l’utilisation de nano-particules pour pouvoir imprimer des puces RFID à bas coût et les intégrer dans un plus large panel d’objets ou de les intégrer à des produits pour prévenir la contrefaçon (par exemple). Si l’utilisation de nano-particules injectées dans le corps humain pourrait théoriquement créer une sorte de puce RFID en fonction des méthodes d’excrétion de ces composants, rien ne montre que cela est possible à large échelle aujourd’hui.


Son internement récent avait suscité l’indignation aussi bien en France qu’à l’international. Libéré, il a répondu à l’invitation de FranceSoir pour une interview au micro de Richard Boutry, qui lui offre l’occasion de raconter ce qu’il lui est arrivé et de s’exprimer.

Le professeur de pharmacologie, après l’émoi causé par son internement forcé, répond aux questions de Richard Boutry.

Retrouvez ici la Plainte du Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN contre l’Institut Pasteur.
Ainsi que sa présentation sur ses recherches Toute la Vérité sur Covid-19 et les vaccins anti Covid-19.
http://d.p.h.free.fr/covid19/

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