Le professeur Jean-Bernard Fourtillan, l’un des intervenants du documentaire “Hold Up” qui avait été placé en hospitalisation d’office, est libre. Ce mercredi 17 décembre, à Uzès, le juge des libertés de la détention a considéré que cet homme n’avait pas sa place à l’hôpital psychiatrique.
A Uzès, au Mas Careiron, le juge des libertés et de la détention a considéré, ce jeudi 17 décembre, que Jean-Bernard Fourtillan n’avait plus sa place dans un hôpital psychiatrique.
Ce septuagénaire est l’un des intervenants du documentaire Hold-Up. Il était recherché par la justice et faisait l’objet d’un mandat d’amener valable pendant quatre jours. Le 7 décembre, il avait été interpellé et placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Nîmes. Il devait être transféré pour être entendu par un juge d’instruction parisien qui lui reprocherait, entre autres, d’avoir administré des traitements médicaux expérimentaux à des personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer, dans une clinique sauvage.
Mais le 10 décembre, alors qu’il était incarcéré, son état de santé et surtout psychique avait soulevé des inquiétudes. Et le professeur Fourtillan avait alors été placé en hospitalisation d’office au Mas Careiron.
Luc Montagnier a choisi FranceSoir pour s’exprimer et relever “le défi de la vérité”, c’est donc au micro de Richard Boutry qu’il revient sur la tourmente qui a agité le monde scientifique ces derniers mois.
STOCKS – Jean Castex a communiqué à nouveau ce mercredi 16 décembre sur la quantité de vaccins commandée par la France. Et force est de constater que le nombre de doses interroge tant il est supérieur à la population du pays.
Aux députés, Jean Castex a détaillé ce mercredi 16 décembre la campagne de vaccination lancée d’ici la fin du mois et communiqué de nouveau sur le nombre de doses de vaccins qui pourraient arriver progressivement sur le sol français. Dans le cadre d’un accord européen, “la France a précommandé près de 200 millions de doses permettant de vacciner 100 millions de personnes, puisque pour la plupart des vaccins, deux injections seront nécessaires”, a-t-il indiqué avant d’ajouter : “Nous serons livrés au fur et à mesure que les vaccins obtiendront leur autorisation de mise sur le marché.”
La France comptant “seulement” 67 millions d’habitants, cet objectif de vacciner 100 millions de personnes interroge forcément. Début décembre, au moment de présenter la stratégie vaccinale du gouvernement, le Premier ministre avait eu l’occasion de s’expliquer sur ce choix : “C’est plus que nos besoins, ce d’autant que tout le monde ne souhaitera pas être vacciné, mais c’est une marge de sécurité que nous prenons car certains des vaccins en cours de développement pourraient ne pas obtenir in fine leur autorisation et qu’un taux de perte doit être pris en compte.”
Inefficacité et casse envisagées
Deux aléas ont été pris en compte dans la gestion des stocks. D’abord, le fait que parmi les six contrats passés par l’Union européenne avec des laboratoires pour recevoir leur vaccin, tous pourraient ne pas être honorés. Ici, on parle non pas de commandes réelles mais de précommandes de la part de l’Europe (et donc de la France). En effet, certains de ces candidats vaccins n’obtiendront peut-être pas l’autorisation de mise sur le marché de la part de l’Agence européenne du médicament. À ce stade, l’agence doit seulement se prononcer d’ici quelques jours sur la commercialisation des vaccins de Pfizer/BioNTech et de Moderna.
“Nous ne paierons à la fin que ce qui nous sera effectivement livré”, a assuré en ce sens le chef du gouvernement. Un aléa qui concernera également les vaccins déjà sur le marché. Comme nous le confiait début décembre une source européenne, “il est possible que certains vaccins se révèlent dans les mois qui viennent pas assez efficaces pour être utilisés à grande échelle”.
Ensuite, la logistique de livraisons de ces millions de doses est telle que de la casse est à prévoir. C’est ce qu’entend le Premier ministre par “taux de perte”. L’acheminement des vaccins à ARNm, comme celui développé par Pfizer et BioNTech, nécessite de les conserver à très basse température, à -70 degrés, et de ne surtout pas rompre la chaine du froid, sans quoi ils ne seraient plus efficaces. Cela suppose d’y ajouter de la glace carbonique lors de leur trajet en avion et une fois arrivés en France, de les stocker dans des entrepôts adaptés.
À ce titre, 50 “super-congélateurs” ont été achetés par le gouvernement, a précisé mi-novembre Olivier Véran, qui seront “reliés à des alarmes” et “entreposés dans des endroits sécurisés à partir desquels des équipes pourront se déployer pour ensuite alimenter tous ceux qui seront amenés à être vaccinés”.
Si le feu vert de l’Agence européenne du médicament est donné le 21 décembre, la vaccination doit débuter en France la dernière semaine du mois de décembre et concerner d’abord un million de personnes dans les Ehpad. 1,16 million de doses du vaccin Pfizer/BioNTech devraient arriver dans le pays d’ici la fin décembre, selon Jean Castex.
Dans cette interview exclusive que j’ai réalisée le 08/12/2020, le docteur Christian Vélot commence par expliquer le principe des différents vaccins, des plus anciens aux plus récents. Puis il pointe les dangers potentiels de ces vaccins “nouvelle génération”. Pour finir, notre professeur nous montre que le Covid-19 est loin d’être le virus extrêmement dangereux présenté par les médias de masse. Rappelons au passage que que Christian Vélot est aujourd’hui président du conseil scientifique du CRIIGEN (Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le génie Génétique) fondé le 1er juin 1999.
L’Unicef Norvège a maintenant l’impudence d’utiliser des outils du monde de l’industrie de la mode dans sa nouvelle campagne de Noël, pour promouvoir étrangement le vaccin Covid-19. « Le vaccin devient un produit de luxe pour les plus riches ».
À première vue, cela peut ressembler à une autre publicité de parfum, et les photos ont également été prises par la célèbre photographe de mode Lindsay Adler. Mais c’est l’Unicef qui est à l’origine de la campagne qui se déroule à Oslo ces jours-ci et qui devrait être clairement visible dans le paysage urbain de la capitale jusqu’à Noël. Le vaccin contre le coronavirus est présenté comme un produit de luxe, et cela peut devenir une réalité si nous n’agissons pas, affirme l’organisation.
Si cette stratégie de communication peut être intéressante, beaucoup d’internautes pointent sa résonance avec la symbolique de la femme écarlate apocalyptique.
L’Unicef s’est vu confier la responsabilité principale de l’achat et de la distribution de deux milliards de vaccins aux pays pauvres en 2021. « Tout le monde peut contracter le Covid-19, mais tout le monde ne peut pas se faire vacciner », déclare la campagne. « Ils ont pris des produits de luxe typiques dans le but de provoquer », affirme le directeur de la communication Jean-Yves Gallardo de l’agenge Kampanje, pour l’Unicef, « J’espère et je crois que cela incitera les gens à s’arrêter et à réfléchir à combien cela est injuste — que ceux qui ont le plus d’argent se verront garantir plus fortement le droit à la vie et à la santé. Et qu’ils voudront contribuer à une distribution plus juste. »
L’agence de publicité Tante Randi et l’agence média Mindshare sont à l’origine de la campagne. « On nous a confié la tâche de créer une campagne de Noël pour l’Unicef avec un accent sur la distribution équitable du vaccin, précisément parce que l’Unicef s’est vu confier la tâche principale de distribuer le vaccin à 92 des pays les plus pauvres du monde », explique le rédacteur de Tante Randi, Glenn Haugen. L’agence de publicité a remarqué que 13 pour cent de la population mondiale, c’est-à-dire les pays les plus riches, ont déjà obtenu 51 pour cent des vaccins qui sortent en premier lieu. « Il y a une large distribution asymétrique dès le départ. Cela signifie que le vaccin devient un produit de luxe pour les plus riches, et ensuite nous pouvons le dramatiser en présentant le vaccin comme un produit de luxe. La route à partir de là était assez courte à faire comme nous l’avons fait », poursuit Haugen.
Le parolier ne cache pas qu’il est particulièrement difficile d’atteindre les gens à cette période de l’année. « C’est un jour férié pour tous les organismes de bienfaisance. Tout le monde devrait sortir et essayer d’amener les gens à acheter des cadeaux. C’est dur de passer. », dit Haugen. La campagne sera présentée à Oslo S et à Oslo City, entre autres. La publicité est également imprimée à KK, Aftenposten, Dagbladet et Klassekampen. « Nous l’avons placée là où les gens achètent des cadeaux de Noël lorsqu’ils doivent sortir pour la première fois. Mais nous l’avons également placée à l’extérieur car il prend plus de place dans l’attention des gens », dit Haugen.
Encore une fois, la question que nous sommes tous en droit de nous poser est celle-ci : Pourquoi donc l’Unicef a-t-elle l’indécence d’investir de telles sommes d’argent dans une campagne publicitaire de ce genre, alors qu’elle pourrait utiliser ces fonds à bien d’autre choses ? N’oublions pas que l’Unicef fait partie de la même organisation mondialiste qui a créé l’UNESCO en 1945, et dont le premier directeur général fut Julian Huxley, frère de Aldous Huxley, l’auteur du livre « Le Meilleur des mondes ».
Julian Huxley était un partisan de l’eugénisme comme moyen d’amélioration de la population humaine. Il voyait dans l’eugénisme un moyen d’éliminer les variantes indésirables du patrimoine génétique humain dans son ensemble. À la suite des résultats terrifiants résultant de l’abus d’eugénisme, Huxley (1957) utilise le terme « transhumanisme » pour décrire le point de vue selon lequel l’homme pourrait s’améliorer grâce à la science et la technologie, notamment avec l’aide de l’eugénisme :
« L’espèce humaine peut, si elle le souhaite, se transcender – non seulement sporadiquement, un individu ici d’une manière, un individu là d’une autre manière, mais dans son intégralité, en tant qu’humanité. Nous avons besoin d’un nom pour cette nouvelle croyance. Peut-être que le transhumanisme servira: l’homme restant homme, mais se transcendant, en réalisant de nouvelles possibilités de et pour sa nature humaine. «Je crois au transhumanisme» : une fois qu’il y aura assez de gens qui pourront vraiment le dire, l’espèce humaine sera au seuil d’une nouvelle sorte d’existence, aussi différente de la nôtre que la nôtre l’est de celle de l’homme de Pékin. Il accomplira enfin consciemment sa vraie destinée. »
La publicité de l’Unicef Norvège, représentant le vaccin Covid-19 comme étant un parfum de luxe et un produit de la mode, est de très mauvais goût et surtout offensante pour toutes les victimes collatérales de cette crise sociale planifiée. À moins que ce soit tout simplement la signature visible du diable.
L’Unicef est le plus grand acheteur de vaccins au monde, fournissant ce dont le monde a besoin en doses de vaccin pour le compte de près de 100 pays. Cela s’applique à la fois aux programmes de vaccination des enfants et aux épidémies. Ainsi, il était naturel que lorsque l’alliance pour les vaccins Gavi a lancé l’initiative appelée Covax, l’Unicef se soit vu confier le rôle d’acheteur et de distributeur dans 92 pays à revenu faible ou intermédiaire.
Covax est une collaboration vaccinale dont l’OMS fait également partie, et possède le plus grand portefeuille de candidats au monde en son genre. En collaborant avec un certain nombre de candidats vaccins prometteurs, l’Unicef s’assure d’avoir accès à d’énormes quantités de doses dès qu’un vaccin est prêt. En attendant l’approbation, l’Unicef travaille activement pour que tout soit prêt pour que les pays le reçoivent. Il y a une énorme quantité de logistique et de planification des infrastructures qui doivent être en place pour garantir l’accès à tous les coins du monde.
L’Unicef achète des millions de seringues, en plus des sacs isothermes, des moyens de transport et d’autres choses absolument nécessaires qui garantiront que le vaccin est conservé au froid jusqu’au bout et qu’il arrive le plus tôt possible. Plusieurs de ces aides vitales sont déjà en route vers des destinations à travers le monde. L’Unicef vise à acheter et distribuer 2 milliards de doses d’ ici la fin de 2021.
La première phase de dosage est prévue pour aller aux travailleurs sanitaires et sociaux en première ligne. Ils représentent en moyenne 3% de la population d’un pays. Par la suite, des travailleurs supplémentaires dans des rôles critiques seront au premier plan de la file d’attente. Ensuite, les plus vulnérables, ceux qui ont plusieurs maladies, recevront le vaccin. Et ainsi cela continue.
Dans le cadre de la collaboration Covax, l’Unicef conclue également des accords pour sécuriser de nouvelles usines de production, afin que suffisamment de doses puissent être produites le plus rapidement possible. En outre, l’Unicef a estimé qu’au total, les entreprises visent à produire près de 20 milliards de doses par an d’ici 2023.