Day: December 16, 2020

Épidémie de maladies chroniques — Une étude révolutionnaire révèle que les enfants non vaccinés sont en meilleure santé que les enfants vaccinés

Selon une nouvelle étude publiée le 22 novembre 2020 dans l’International Journal of Environmental Research and Public Health, les enfants non vaccinés sont en meilleure santé que ceux qui le sont. L’étude — « Incidence relative des visites au cabinet médical et taux cumulatifs des diagnostics facturés dans le cadre de la vaccination » — de James Lyons-Weiler, doctorant, et Paul Thomas, médecin, a été menée auprès de 3 300 patients dans le cabinet pédiatrique du Dr Thomas en Oregon, « Integrative Pediatrics ».

Cette étude s’ajoute à une liste croissante d’articles publiés et évalués par des pairs (Mawson, 2017; Hooker and Miller, 2020) qui comparent la santé des enfants vaccinés à celle des enfants non vaccinés. Ces études suggèrent que nous avons longtemps sous-estimé l’ampleur des dommages causés par les vaccins, et que l’épidémie de maladies chroniques chez les enfants n’est plus guère un mystère.

L’étude que le CDC a refusé de faire

Depuis 1986, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) sont légalement tenus de mener des études portant sur l’innocuité des vaccins et d’émettre tous les deux ans un rapport relatif à cette innocuité en ce qui concerne les vaccinations des enfants. En 2018, il a été établi qu’ils ne l’avaient jamais fait. Il incombe donc aux groupes non gouvernementaux de faire le travail que le CDC refuse de faire.

En tant que première organisation gouvernementale à promouvoir la vaccination des Américains, le CDC refuse de s’incriminer dans l’épidémie de maladies chroniques infantiles. Nous avons affaire ici au cas classique dans lequel on demande au renard de surveiller le poulailler. Pour ne pas risquer de voir le public se détourner de la vaccination, ils contribuent à créer un vide de preuves.

Puisque l’étude de Lyons-Weiler et Thomas démontre que les enfants vaccinés souffrent davantage de maladies chroniques et sont également plus susceptibles de contracter des infections respiratoires, ceux qui minimisent les risques liés au vaccin devront se livrer à une nouvelle série de machinations apoplectiques pour tenter d’invalider les résultats.

Malgré la rigueur avec laquelle cette étude a été menée, on imagine très bien que les critiques ne citeront que des données scientifiques opposées. Toutefois, ces mêmes études scientifiques n’ayant jamais été faites, ils ne pourront pas les citer. En lieu et place, et pour détourner l’attention des résultats scientifiques de la présente étude, on peut s’attendre à ce que les critiques s’inspirent d’une tactique éculée consistant à diriger des attaquesad hominemcontre les auteurs de l’étude, à critiquer la revue dans laquelle elle a été publiée et à prétendre que sa méthodologie n’était pas fiable.

Lorsque la recherche met en évidence des anomalies qui divergent d’un paradigme scientifique dominant, il est important de se rappeler que ce qui fait la force de la science n’est pas la preuve, mais l’accumulation de preuves qui renforcent un paradigme émergent. L’étude de Lyons-Weiler et Thomas renforce ce paradigme émergent selon lequel les vaccins peuvent causer encore plus de dommages que ceux déjà documentés et caractérisés par le passé.

La pédiatrie pratique est idéale pour étudier les résultats de santé parmi les différents taux de vaccination

La pratique pédiatrique de Thomas suit le plan de vaccination approuvé par le Dr Paul, qui permet aux parents deconsentir en toute connaissance de cause et de prendre des décisions concernant les choix de vaccination pour leurs enfants. Ce plan a été élaboré pour réduire l’exposition aux vaccins contenant de l’aluminium et pour permettre aux parents d’arrêter ou de retarder les vaccinations s’ils constatent certains signes révélateurs d’une lésion vaccinale. Des affections telles que des allergies, de l’eczéma, un retard dans le développement ou l’apparition de maladies auto-immunes sont des signes typiques qui indiquent que le système immunitaire d’un enfant ne réagit pas aux vaccins de manière normale.

Ces conditions servent d’indicateurs précoces pour aider le parent et le pédiatre à envisager le ralentissement ou l’arrêt de la vaccination. Ainsi, le cabinet pédiatrique du docteur Thomas compte un nombre incroyable d’enfants — qui sont aussi bien complètement vaccinés que partiellement vaccinés ou pas vaccinés du tout — ce qui en fait le cabinet pédiatrique idéal pour recueillir des informations sur les effets secondaires de la vaccination.

Résultats de l’étude basés sur l’incidence relative des visites au cabinet pédiatrique

L’étude de Lyons-Weiler et Thomas a été menée parmi les dossiers de patients pédiatriques sur une période de 10 ans, à partir du cabinet pédiatrique de Thomas dans l’Oregon. Au lieu d’utiliser les risques relatifs rapprochés des diagnostics dans les deux groupes, les auteurs ont constaté que l’incidence relative des visites en cabinet pédiatrique était plus puissante. Même après avoir contrôlé l’exposition aux soins de santé, l’âge, les antécédents familiaux d’auto-immunité et le sexe, les liens entre la vaccination et de nombreux problèmes de santé étaient substantiels.

Les enfants non vaccinés ont moins de fièvre et nécessitent 25 fois moins de soins pédiatriques hors les suivis médicaux d’enfants en bonne santé

Les résultats de ces recherches montrent que les enfants vaccinés ayant participé à l’étude consultent le médecin plus souvent que les enfants non vaccinés. Le CDC recommande 70 doses de 16 vaccins avant qu’un enfant n’atteigne l’âge de 18 ans. Plus un enfant participant à l’étude a reçu de vaccins, plus il risque de présenter de la fièvre lors d’une visite au cabinet pédiatrique.

L’étude disposait de données uniques qui ont permis aux chercheurs d’étudier les raisons pour lesquelles une consultation pédiatrique était demandée par les parents. À la différence du lien de causalité accepté entre l’augmentation des prises vaccinales et l’augmentation des montées de fièvre qui en découlent, l’augmentation au consentement vaccinal n’a pas été accompagnée d’une augmentation importante des visites médicales pour les enfants en bonne santé. En fait, quel que soit le nombre de vaccinations que les parents décidaient de faire administrer à leurs enfants, le nombre de visites d’enfants en bonne santé était à peu près le même.

Toute crainte que les enfants non vaccinés ou moins vaccinés évitent le médecin est donc infondée et met en perspective la différence stupéfiante des raisons pour lesquelles les parents demandaient une consultation au cabinet pédiatrique. En dehors du suivi médical d’enfants en bonne santé, les enfants qui ont reçu 90 à 95 % des vaccins recommandés par le CDC pour leur groupe d’âge avaient environ 25 fois plus de chances que le groupe non vacciné de consulter le pédiatre pour un rendez-vous lié à la fièvre.

L’axe des y (vertical) équivaut à l’incidence relative au nombre de visites au cabinet pédiatrique
L’axe des x (horizontal) équivaut au nombre de vaccins acceptés (en percentile). Parmi ces vaccinés, les visites de suivi d’enfants en bonne santé sont en vert et celles d’enfants fiévreux sont en rouge.Par rapport à leurs homologues non vaccinés, les enfants vaccinés dans le cadre de l’étude avaient 3 à 6 fois plus de chances de se présenter chez le pédiatre pour un traitement lié à l’anémie, l’asthme, les allergies et la sinusite. Les graphiques frappants ci-dessous montrent le nombre cumulé de visites au cabinet pédiatrique en fonction de l’âge et pour diverses affections chez les enfants entièrement vaccinés par rapport aux enfants non vaccinés.
© James Lyons-Weiler & Paul ThomasPas de TDAH chez les non-vaccinés

Dans une découverte étonnante qui ne manquera pas de bouleverser la communauté psychiatrique, pas un seul enfant non vacciné de l’étude n’a été diagnostiqué comme souffrant de trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH), alors que 0,063 % du groupe vacciné a été diagnostiqué comme souffrant de TDAH. Probablement en raison de la prise de décision de la dyade [lien spécial de confiance – NdT] parents-médecins du cabinet pédiatrique du Dr Thomas, les taux globaux de TDAH et d’autisme étaient environ deux fois moins élevés que dans la population générale des enfants américains.

Faible taux de varicelle et de coqueluche chez les enfants vaccinées et non vaccinées

En ce qui concerne la question de savoir si les vaccins préviennent ou non les infections qu’ils sont censés prévenir, un quart de pour cent des enfants vaccinées ont été diagnostiquées avec la varicelle ou la coqueluche, tandis qu’un demi pour cent de ceux qui étaient non vaccinées ont été diagnostiquées avec la varicelle, la coqueluche ou le rotavirus.

Il est significatif qu’aucun cas de rougeole, d’oreillons, de rubéole, de tétanos, d’hépatite ou d’autres infections ciblées par le vaccin n’ait été enregistré chez les personnes vaccinées ou non vaccinées pendant les 10,5 années de l’étude.

Les enfants vaccinés ont 70 % plus de chances de contracter une infection respiratoire

Les vaccinations semblent bien d’une manière générale rendre les receveurs plus susceptibles de développer des infections. Il est donc ironique, mais pas surprenant, que les enfants vaccinés dans l’étude se soient présentés au cabinet pédiatrique pour des infections respiratoires 70 % plus souvent que les enfants non vaccinés. Cette constatation explique probablement la raison pour laquelle les enfants vaccinés se présentent si souvent chez le pédiatre avec de la fièvre. Votre grand-mère avait raison lorsqu’elle a demandé pourquoi les enfants semblent de nos jours être tout le temps malades, en dépit du fait qu’ils soient massivement vaccinés.

Antécédents familiaux d’auto-immunité en corrélation avec une infection de l’oreille et des affections allergiques

Le Dr Yehuda Shoenfeld et d’autres ont décrit un état appelé syndrome auto-immun induit par des adjuvants (ASIA), où la génétique et les antécédents familiaux d’auto-immunité semblent prédisposer les patients vaccinés à un risque plus élevé de développer une maladie auto-immune. Dans cette optique, les auteurs ont comparé les dossiers de patients ayant des antécédents familiaux de maladies auto-immunes — telles que la sclérose en plaques, le diabète de type I ou la thyroïdite de Hashimoto — à ceux de patients dont les familles n’ont pas d’auto-immunité. Les résultats ont été frappants. La vaccination des enfants ayant des antécédents familiaux d’auto-immunité semble augmenter le risque d’infection de l’oreille, d’asthme, d’allergies et d’éruptions cutanées par rapport à ceux qui n’ont pas été vaccinés et qui ont des antécédents familiaux d’auto-immunité.

Des études antérieures ont utilisé une méthode statistique bien moins précise

Les lecteurs de l’étude découvriront les failles des études antérieures effectuées sur l’innocuité des vaccins, comme le biais de sur-ajustement, dans lequel les données sont analysées plusieurs fois dans le but de trouver la bonne combinaison de variables à même de faire disparaître les associations entre les effets néfastes sur la santé et les vaccins. L’une des conclusions les plus importantes de cette étude est que la comparaison du nombre de visites en cabinet médical liées à un état de santé spécifique constitue un outil bien plus précis que la simple utilisation de l’incidence des diagnostics. En fait, les auteurs de l’étude le montrent par simulation — et ils soulignent que les études qui utilisent des risques relatifs en fonction de l’incidence des diagnostics se réfèrent à un cas particulier qui n’a pas beaucoup de valeur pour la méthode présentée dans leur étude à eux — à savoir l’incidence relative des visites en cabinet — parce que les patients ayant un « diagnostic » ont au moins une visite facturée en cabinet médical qui est liée à ce diagnostic. Les auteurs concluent que les futures études sur l’innocuité des vaccins devraient éviter d’utiliser des mesures bien moins précises telles que les risques relatifs en fonction des incidences de diagnostic.

Conclusion

Puisque l’étude a révélé que les raisons pour lesquelles une consultation pédiatrique était demandée par les parents ne pouvait pas expliquer les taux de vaccination, la seule explication qui subsiste pour expliquer pourquoi les patients vaccinés ont besoin de plus de soins pour les symptômes de maladies chroniques associées à la vaccination, c’est que les vaccins ne sont pas seulement associés à des effets néfastes sur la santé — ils sont également associés à des effets néfastes plus graves et plus chroniques sur la santé. Si l’on se rappelle que 54 % des enfants et des jeunes adultes aux États-Unis souffrent de maladies chroniques qui entraînent la prescription de médicaments à vie, il apparaît que la douleur et la souffrance humaines pourraient être réduites en faisant un choix éclairé sur les risques réels de la vaccination et en tenant compte des signes de sensibilité aux vaccins. Bien que les auteurs demandent que d’autres études soient menées selon une méthodologie similaire, cette étude-ci devrait certainement amener les pédiatres à marquer une pause et à se demander s’ils contribuent aux maladies chroniques à vie de certains de leurs patients.

Source de l’article initialement publié en anglais le 7 décembre 2020 : The Defender – Children’s Health Defense
Traduction : Sott.net

Dernières nouvelles de Jean-Bernard Fourtillan : Disparition inquietante de sa femme Marianne

Depuis vendredi dernier, nous n’avons plus de nouvelles de Jean-Bernard Fourtillan et de sa famille.

Sa femme qui est proche de lui a également disparue, elle ne répond plus et c’est très inquiétant car ils étaient ensemble avec leurs amis depuis 5 mois.

Il n’est pas concevable qu’elle soit partie sans en informer ses amis sur place.

En France, un Préfet peut décider de l’internement en psychiatrie de n’importe qui. Une fois hospitalisée, la personne internée a le droit de faire une demande de libération auprès d’un juge des libertés dans les 12 jours.

Cependant si la personne internée est sous l’effet des médicaments, un psychiatre peut facilement décider d’une prolongation. La France a malheureusement une très mauvaise réputation pour interner des personnes saines d’esprit pour des raisons politiques.

L’équipe d’Agora TV s’est rendue au centre hospitalier psychiatrique fermé d’Uzes pour tenter de le voir. Même son médecin n’a aucun droit. La situation est pire que la prison.

Si vous voulez aider le Professeur Fourtillan, recherchez sa femme qui semble être la seule qui peut agir pour ses intérêts.

Source Sud Radio

Le Pr Fourtillan interné contre son gré – « En tant qu’avocat, je suis inquiet de ce qu’il se passe »

Le Pr Jean-Bernard Fourtillon, particulièrement critique à l’encontre de l’Institut Pasteur notamment, dans le documentaire Hold-Up, a été interné à l’hôpital psychiatrique d’Uzès : que dit le droit ? André Bercoff en parle avec maître Raphaël Mayet, avocat à Versailles et spécialiste de ces questions.

Source Francetvinfo.fr via Crashdebug

« Bon, au moins c’est rassurant, bravo pour votre mobilisation, mais il ne faut pas que cela desserve le professeur Fouritillan. » F

Le professeur Jean-Bernard Fourtillan, sur France 3 Occitanie, fin novembre 2020.
(FRANCE TELEVISIONS)

Le controversé documentaire Hold-up fait encore parler de lui. Ou plus exactement : l’un de ses intervenants. L’ancien pharmacien Jean-Bernard Fourtillan, qui accuse l’Institut Pasteur d’avoir fabriqué le coronavirus, a été admis à l’hôpital psychiatrique d’Uzès (Gard), quelques jours après son interpellation, lundi 7 décembre. Ses partisans affirment qu’il a été « interné contre son gré » à cause de ses positions anti-vaccins. La justice indique qu’il est hospitalisé pour raisons médicales. Franceinfo fait le point.

Un proche d’Henri Joyeux

Comme le résume Conspiracy Watch, l’Observatoire du conspirationnisme et des théories du complot, Jean-Bernard Fourtillan, 77 ans, est pharmacien de formation et professeur agrégé de chimie thérapeutique. A la retraite depuis 2008, il n’est plus inscrit sur la liste des professionnels de l’Ordre des pharmaciens. Ce militant anti-vaccins est proche du professeur Henri Joyeux, avec lequel il a fondé une structure baptisée « Fonds Josefa », à l’origine de tests cliniques clandestins menés près de Poitiers (Vienne) sur au moins 350 malades de Parkinson, d’Alzheimer ou des personnes souffrant de troubles du sommeil. Depuis, ils font tous deux l’objet de poursuites de l’Ordre des médecins pour charlatanisme.

Interpellé dans le cadre de l’enquête sur des essais cliniques clandestins

C’est dans le cadre de l’affaire du Fonds Josefa que Jean-Bernard Fourtillan a été interpellé. Comme l’explique France 3 Occitanie, le septuagénaire faisait l’objet d’un mandat d’amener, délivré par un juge d’instruction du pôle Santé publique, qui enquête sur ces essais cliniques illégaux après avoir été alerté en septembre 2019 par l’Agence nationale du médicament (ANSM).

Jean-Bernard Fourtillan a ainsi été arrêté lundi 7 décembre et placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Nîmes. Lors de son séjour en prison, il a été soumis à un examen médical, qui a conclu à la nécessité d’une prise en charge psychiatrique. Le préfet du Gard, Didier Lauga, a approuvé cette décision et demandé par arrêté préfectoral le placement du professeur. Ce dernier n’est donc « plus incarcéré et relève uniquement d’une prise en charge médicale », explique Eric Maurel, procureur de la République de Nîmes.

Ses partisans le croient « interné » en raison de ses positions anti-vaccins

Depuis son hospitalisation, de nombreux soutiens ont posté sur les réseaux sociaux des messages appelant à secourir le professeur, qu’ils croient injustement enfermé pour avoir « osé déposer plainte contre l’Institut Pasteur ». Après les accusations portées dans le documentaire Hold-up, l’institut a porté plainte contre X pour « diffamation ». En retour, Jean-Bernard Fourtillan a déclaré dans une vidéo postée le 4 décembre sur AgoraTVNews avoir porté plainte contre l’Institut Pasteur pour « mensonges et crime organisé contre l’humanité en bande organisée ».

Dans une vidéo postée sur YouTube le 10 décembre et vue plus de 240.000 fois, et relayée par des figures des « gilets jaunes » comme Eric Drouet, un internaute qui prétend être en contact avec la famille assure que le professeur a été « interné contre son gré ». Il invite à « signifier au personnel et à la direction de l’hôpital que nous sommes parfaitement au courant de la présence du professeur au sein des murs de l’hôpital, et qu’il est bien évidemment hors de question qu’il y demeure plus longtemps et qu’il reçoive des traitements médicaux sans son consentement ».

L’hôpital psychiatrique harcelé

Contacté par France 3 Occitanie, le centre hospitalier Le Mas Careiron à Uzès assure qu’il croule sous les appels. Les standardistes expliquent que les lignes sont saturées et qu’ils reçoivent régulièrement des insultes. Un homme aurait même menacé de poser une bombe devant l’hôpital, selon ces témoignages.

Dans une nouvelle vidéo publiée vendredi, l’auteur de la première vidéo demande aux internautes de ne plus appeler le numéro de l’hôpital pour, selon lui, éviter de desservir les intérêts du professeur. « Cela pourrait être un prétexte utilisé par les gens qui ont initié son internement pour le passer dans des conditions de détention encore plus strictes », suppose-t-il.

Le lendemain, une soixantaine de personnes se sont rassemblées devant les grilles de l’établissement. Selon Midi-Libre, les manifestants, dont Jean-Philippe Labrèze, naturopathe proche de Jean-Bernard Fourtillan, ont dénoncé « cet internement abusif » de « quelqu’un est tout à fait sain d’esprit, mais qui dérange par ses paroles et son travail qui ne reflètent pas la ligne officielle en termes médicaux et de méthodes de lutte contre le Covid-19 ».

Jean-Bernard Fourtillan n’a pas contesté son hospitalisation

Dans un communiqué, la préfecture du Gard précise que l’hospitalisation de Jean-Bernard Fourtillan « relève d’une prescription médicale, qui est donc couverte par les règles habituelles de confidentialité des informations médicales personnelles ».

De son côté, le procureur de la République de Nîmes assure auprès de France 3 Occitanie que Jean-Bernard Fourtillan est « informé de ses droits » et « peut exercer un recours contre la décision administrative devant le juge des libertés et de la détention », une possibilité qu’il n’avait pas saisie vendredi, selon le quotidien Midi-Libre.

Sauf levée de la mesure d’hospitalisation pour raison médicale ou administrative d’ici la semaine prochaine, « il sera reçu en audience par un juge avec obligatoirement l’assistance d’un avocat », ajoute le magistrat.

Source : Francetvinfo.fr via Crashdebug

Voir aussi plus d’infos sur les travaux de Fourtillan : http://d.p.h.free.fr/covid19/

Source : https://lesmoutonsenrages.fr/2020/12/15/ce-que-lon-sait-de-lhospitalisation-en-psychiatrie-du-militant-anti-vaccin-jean-bernard-fourtillan-apparu-dans-hold-up-franceinfo/

Les Israéliens vaccinés obtiendront un “passeport vert” leur permettant d’assister à des événements et de manger au restaurant

Tsahal envisage de rendre obligatoire le vaccin contre le COVID.

Les Israéliens qui se feront vacciner contre le COVID-19 recevront un “passeport vert” qui leur permettra de se rendre sur les lieux de la manifestation et de manger au restaurant.

Le ministère de la santé du pays a annoncé que les citoyens qui se font vacciner seront récompensés par des “dérogations à la libre circulation” qui leur permettront de contourner les restrictions relatives aux coronavirus.

Les passeports verts seront délivrés après qu’une personne aura reçu la deuxième dose du vaccin Pfizer qu’Israël prévoit de commencer à distribuer le 27 décembre, et qui sera administré à environ 60 000 personnes chaque jour.

Selon les rapports, “les détenteurs de ces passeports pourront assister à des événements publics et manger au restaurant entre autres, a déclaré dimanche le directeur général du ministère de la santé, Chezy Levy, à Channel 12”.

“Ils ne seront pas non plus tenus de se mettre en quarantaine obligatoire après avoir été en contact avec un patient confirmé ou après être rentrés d’un “pays rouge” à l’étranger. Ceux qui voyagent ne seront pas non plus tenus de passer un test de dépistage du COVID-19 obligatoire avant de quitter le pays”.

La création du passeport pose la question de savoir ce qu’il adviendra de ceux qui refusent de se faire vacciner et s’ils pourront un jour retrouver une vie normale.

Les sondages montrent que 50 à 75 % des Israéliens ont indiqué qu’ils ne prendront pas le vaccin parce qu’ils ont le sentiment qu’il a été expédié à la hâte, ce qui laisse entendre que les menaces de suppression des libertés fondamentales pourraient être utilisées pour convaincre davantage de personnes.

Les responsables militaires étudient également la possibilité de rendre la vaccination obligatoire pour les soldats de l’armée israélienne.

“Si elle est approuvée, cette décision fera jurisprudence puisque ni les vaccinations contre la grippe ni les dons de sang ne sont obligatoires pour aucun commandement militaire officiel”, rapporte YNet News.

Source : https://www.aubedigitale.com/les-israeliens-vaccines-obtiendront-un-passeport-vert-leur-permettant-dassister-a-des-evenements-et-de-manger-au-restaurant/

Le scandale du coronavirus éclate dans l’Allemagne de Merkel. Faux positifs et test PCR

Un article de William Engdahl par sur globalresearch.ca, et traduit ci-dessous en français, met au déf l’approche allemande de la gestion de la crise. Et pourtant, l’Allemagne déplore 21 567 décès covid-19 soit un peu moins de 3 fois que la France.

Le modèle allemand largement salué du régime d’Angela Merkel pour faire face à la pandémie de COVID-19 est maintenant englouti dans une série de scandales potentiellement dévastateurs allant au cœur même des tests et des conseils médicaux utilisés pour déclarer des fermetures économiques draconiennes et ensuite, vaccinations obligatoires de facto. Les scandales impliquent un professeur au cœur du groupe consultatif corona de Merkel. Les implications vont bien au-delà des frontières allemandes – jusqu’à l’OMS elle-même et ses recommandations mondiales.

L’ensemble des arguments en faveur du confinement d’urgence mandaté par l’OMS des entreprises, des écoles, des églises et d’autres arènes sociales dans le monde repose sur un test introduit, étonnamment tôt, dans la saga des coronavirus de Wuhan, en Chine.

Le 23 janvier 2020, dans la revue scientifique Eurosurveillance, du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, le Dr Christian Drosten, ainsi que plusieurs collègues de l’Institut de virologie de Berlin à l’hôpital Charite, ainsi que le chef d’une petite société de biotechnologie berlinoise, TIB Molbiol Syntheselabor GmbH, ont publié une étude affirmant avoir développé le premier test efficace pour détecter si une personne est infectée par le nouveau coronavirus identifié les premiers jours à peine à Wuhan. L’article de Drosten était intitulé «Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel» (Eurosurveillance 25 (8) 2020).

La nouvelle a été immédiatement approuvée par le directeur général corrompu de l’OMS, Tedros Adhanom , le premier médecin non médical à diriger l’OMS. Depuis lors, le test de dépistage du virus soutenu par Drosten, appelé test en temps réel ou RT-PCR, s’est propagé via l’OMS dans le monde entier, en tant que protocole de test le plus utilisé pour déterminer si une personne pourrait avoir le COVID-19, la maladie.

Le 27 novembre, un groupe très respecté de 23 virologues, microbiologistes et scientifiques du monde entier a publié un appel à  Eurosurveillance  pour retirer l’article de Drosten du 23 janvier 2020. Leur analyse minutieuse de la pièce originale est accablante. Le leur est un véritable « examen par les pairs ». Ils accusent Drosten d’incompétence scientifique « fatale » et de failles dans la promotion de leur test.

Pour commencer, comme le révèlent les scientifiques critiques, le document qui a établi le test Drosten PCR pour la souche de coronavirus de Wuhan qui a ensuite été adopté avec une hâte indécente par le gouvernement Merkel avec l’OMS pour une utilisation mondiale – ce qui a entraîné de graves confinements dans le monde et une catastrophe économique et sociale – n’a jamais fait l’objet d’un examen par les pairs avant sa publication par la revue Eurosurveillance. Les critiques soulignent que :

« L’article de Corman-Drosten a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne. »

Plus incroyable encore, le protocole de test Drosten, alors qu’il avait déjà envoyé à l’OMS à Genève le 17 janvier, a été officiellement recommandé par l’OMS comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus de Wuhan, avant même que l’article ne soit publié .

Comme le soulignent les auteurs critiques, pour un sujet si complexe et important pour la santé et la sécurité dans le monde, un « examen par les pairs » sérieux de 24 heures par au moins deux experts dans le domaine n’est pas possible. Les critiques soulignent que Drosten et son co-auteur, le Dr Chantal Reusken, n’ont pas révélé de conflit d’intérêts flagrant. Tous deux étaient également membres du comité de rédaction d’Eurosurveillance. Plus loin, comme le rapportent la BBC et Google Statistics, le 21 janvier, il y avait un total mondial de 6 décès attribués au virus de Wuhan. Ils demandent : « Pourquoi les auteurs ont-ils présumé un défi pour les laboratoires de santé publique alors qu’il n’y avait aucune preuve substantielle à ce moment-là pour indiquer que l’épidémie était plus répandue qu’on ne le pensait initialement ? »Un autre co-auteur de l’article Drosten qui a donné une couverture de crédibilité scientifique apparente à la procédure de PCR Drosten était le chef de la société qui a développé le test commercialisé aujourd’hui, avec la bénédiction de l’OMS, par centaines de millions, Olfert Landt, de tib-MOLBIOL à Berlin, mais Landt n’a pas révélé ce fait pertinent dans le document Drosten.

Certainement rien de suspect ou d’incorrect jusqu’ici.  Il serait pertinent de savoir si Drosten, le conseiller scientifique en chef de Merkel pour COVID-19, le « Tony Fauci » allemand de facto, obtient un pourcentage sur les ventes de chaque test vendu par Tib-Molbiol dans leur accord de marketing mondial avec Roche.

Faux positifs ?

Depuis fin janvier 2020, les médias grand public du monde entier nous inondent tous de mises à jour effrayantes toutes les heures sur «l e nombre total de coronavirus infectés ». Habituellement, ils ajoutent simplement chaque augmentation quotidienne à un total mondial de « cas confirmés », actuellement plus de 66 millions. Alarmant, mais pour le fait que, comme le soulignent Pieter Borger et ses collègues collaborateurs scientifiques, les «cas confirmés» sont un nombre qui n’a aucun sens. Pourquoi ?

Le rapport Borger identifie ce qu’ils appellent « dix problèmes mortels » dans l’article Drosten de janvier dernier. Nous reprenons ici le plus flagrant qui puisse être facilement saisi par la plupart des profanes.

Drosten & co. a donné des séquences d’amorce et de sonde non spécifiées déroutantes. Les critiques notent : «Ce nombre élevé de variantes est non seulement inhabituel, mais il est également très déroutant pour les laboratoires. Ces six positions non spécifiées pourraient facilement aboutir à la conception de plusieurs séquences d’amorces alternatives différentes qui ne se rapportent pas au SARS-CoV-2. la description confuse et non spécifique dans l’article de Corman-Drosten ne convient pas comme protocole opérationnel standard. Ces positions non précisées auraient dû être conçues sans équivoque. » Et ajoutent que : 

«La RT-PCR n’est pas recommandée pour le diagnostic primaire de l’infection. C’est pourquoi le test RT-PCR utilisé en routine clinique pour la détection du COVID-19 n’est pas indiqué pour le diagnostic du COVID-19 sur une base réglementaire  . »

Cycles d’amplification

Mais ce qui est encore plus accablant pour Drosten, c’est le fait qu’il n’a mentionné nulle part qu’un test soit positif ou négatif, ni ce qui définit un résultat positif ou négatif !

Le rapport Borger note :

«Ces types de tests de diagnostic virologique doivent être basés sur un SOP (Standard Operational Protocol), comprenant un nombre validé et fixe de cycles PCR (valeur Ct) après lequel un échantillon est jugé positif ou négatif. 

La  valeur  Ct maximale raisonnablement fiable est de 30 cycles. Au-dessus d’un Ct de 35 cycles, il faut s’attendre à un nombre rapidement croissant de faux positifs. Des études scientifiques montrent que seuls les virus non infectieux (morts) sont détectés avec des valeurs de Ct de 35. » .

L’OMS et Drosten recommandent un Ct de 45 cycles et, semble-t-il, actuellement, les responsables de la Santé allemands le font également. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les « positifs » PCR en Allemagne et ailleurs explosent. Comme le soulignent les auteurs critiques, si les autorités sanitaires devaient spécifier 35 cycles maximum, selon l’article de Jaafar à l’IHU à 35 cycles, il ne resterait plus que 3% de vrais positifs ! Ils notent, « un résultat analytique avec une valeur Ct de 45 est scientifiquement absolument dénué de sens (une valeur Ct raisonnable ne doit pas dépasser 30). Tout cela doit être communiqué très clairement.

C’est une erreur importante que l’article de Corman-Drosten ne mentionne pas la valeur Ct maximale à laquelle un échantillon peut être considéré sans ambiguïté comme un résultat de test positif ou négatif. Cette limite de seuil de cycle importante n’est pas non plus spécifiée dans les soumissions de suivi à ce jour. Les auteurs ajoutent :

«Le fait que ces produits de PCR n’aient pas été validés au niveau moléculaire est une autre erreur frappante du protocole, rendant  tout test basé sur celui-ci inutile en tant qu’outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SARS-CoV-2. »  

En clair, tout l’édifice de la fondation Gates, du gouvernement Merkel, de l’OMS et du WEF ainsi que le cas des vaccins de facto forcés non testés, repose sur les résultats d’un test PCR pour le coronavirus qui ne vaut pas une « cacahuète ». Le test de Drosten et de l’OMS est plus ou moins de la merde scientifique.

Une absence de preuve de son doctorat ?

Cette critique dévastatrice de vingt-trois scientifiques de premier plan, y compris des scientifiques titulaires de brevets liés à la PCR, à l’isolement et au séquençage de l’ADN, et d’un ancien scientifique en chef de Pfizer, est accablante, mais ce n’est pas le seul problème auquel le professeur Christian Drosten est confronté aujourd’hui. Lui et les fonctionnaires de l’Université Goethe de Francfort, où il affirme avoir obtenu son doctorat en médecine en 2003, sont accusés de fraude au diplôme. Selon le Dr Markus Kühbacher, un spécialiste enquêtant sur la fraude scientifique telle que le plagiat de thèse, la thèse de doctorat du Dr Drosten devait être déposée à une certaine date auprès des autorités académiques de son université, qui signent ensuite un formulaire juridique, « Revisionsschein », avec une signature authentique, un cachet de l’Université et la date, avec le titre de la thèse et l’auteur, afin qu’elle soit envoyée aux archives de l’Université. Trois exemplaires originaux de la thèse devraient y être déposés.

Kühbacher accuse l’Université de Goethe d’être coupable de dissimulation en affirmant, à tort, que le Revisionsschein (formulaire juridique) de Drosten était au dossier. Le porte-parole de l’université a ensuite été contraint d’admettre qu’il n’avait pas été déposé, du moins pas qui soit localisable par eux. De plus, sur les trois copies de dossier obligatoires de sa thèse de doctorat, très pertinent compte tenu de l’importance mondiale du rôle de Drosten dans la gestion de la crise de coronavirus, deux copies ont «disparu» et la copie unique restante est endommagée par l’eau. Kühbacher dit que Drosten va probablement faire face à des poursuites judiciaires pour un titre de doctorat frauduleux.

De plus, le médecin allemand bien connu et critique, Dr Wolfgang Wodarg, a engagé une procédure judiciaire pour calomnie et diffamation contre deux personnes responsables du site de média allemand, Volksverpetzer.de. Le Dr Wodard demande 250 000 € de dommages et intérêts pour diffamation au site ainsi qu’à d’autres médias allemands, affirmant qu’ils ont vicieusement et sans preuve, diffamé Wodarg, le qualifiant de « covid-denier », le qualifiant à tort d’extrémiste de droite (il est un ancien député du Parti social-démocrate depuis toujours) et de nombreuses autres accusations fausses et préjudiciables .

L’avocat du Dr Wodarg est le Dr Reiner Fuellmich, avocat germano-américain bien connu. Dans ses accusations contre la partie adverse, Fuellmich cite intégralement les accusations portées contre le test Drosten pour le coronavirus du Dr Pieter Borger et al notées ci-dessus. Cela oblige en fait les mis en cause à réfuter l’article de Borger. C’est une étape majeure sur la voie de la réfutation de toute la fraude au test PCR COVID-19 de l’OMS. Déjà une cour d’appel à Lisbonne, au Portugal, a statué le 11 novembre que le test PCR de Drosten et de l’OMS n’était pas valide pour détecter une infection à coronavirus et qu’il n’était pas fondé d’ordonner des confinements partiels ou à l’échelle nationale.

Si l’enjeu n’était pas si mortel pour l’humanité, tout serait de nature à être considéré comme une comédie absurde. Le tsar de la santé mondiale, le chef de l’OMS (Organisation mondiale de la Santé) Tedros n’est pas un médecin mais il conseille le gouvernement Merkel sur les mesures COVID-19. L’OMS est pour sa part financée en grande partie par la fondation Gates.

Le gouvernement Merkel utilise le test PCR de Drosten et Drosten comme un expert « avec beaucoup de sagesse » pour justifier d’imposer des mesures aux conséquences économiques les plus draconiennes hors temps de guerre. Son ministre de la Santé, Jens Spahn, est un ancien banquier qui n’a pas de diplôme de médecine, seulement un passage en tant que lobbyiste pour Big Pharma. Le chef du CDC allemand, appelé Institut Robert Koch, Lothar Wieler, n’est pas un virologue, mais un médecin animalier, Tierarzt. 

Avec cette équipe, les Allemands voient leur vie détruite par des confinements et des mesures sociales jamais imaginés auparavant. Il y a la science et puis il y a la science. Cependant, toute la «science» n’est pas valable. 

Les Allemands, avec trois fois moins de décès que la France, semblent bien plus critiques de la gestion de la crise que ne le sont les Français.  Un réveil attendu en France ?

Source : http://www.francesoir.fr/amp/article/politique-monde/le-scandale-du-coronavirus-eclate-dans-lallemagne-de-merkel-faux-positifs-et-test

Le port du masque en extérieur nous protège-t-il ? et les autres ?

Le port du masque en extérieur nous protège-t-il, protège-t-il les autres ?
12 décembre 2020
Alexandra Menant, docteur en biologie
Maryse Esterle, sociologue
Christophe Leroy, docteur en biologie moléculaire et cellulaire

Depuis plusieurs mois, le port du masque est obligatoire à l’extérieur dans de nombreuses villes, quelle que soit la densité de la population (rues, places, parcs déserts ou fréquentés). Cette mesure est censée nous protéger de la contamination par le virus SARS-CoV-2. Cette obligation est-elle cohérente et justifiée dans de telles conditions ?
Comment se transmet le virus SARS-CoV-2 (famille des coronavirus) à l’origine de la maladie Covid-19 ?
Lorsque qu’une personne porteuse du virus SARS-CoV-2 respire, parle, tousse, éternue, elle émet des gouttelettes contenant ce virus respiratoire. Deux types de gouttelettes : les grosses gouttelettes (postillons) et les petites gouttelettes (aérosols). Les grosses gouttelettes ne restent pas en suspension dans l’air, elles vont tomber par gravité au sol ou sur des objets, d’où la recommandation de garder une distanciation physique minimale d’un mètre et de se laver les mains pour éviter la transmission par manu portage (lorsque des gouttelettes infectées tombent sur un objet que l’on touche, avant de porter la main au niveau des muqueuses). En revanche, les petites gouttelettes restent en suspension dans l’air mais sont dispersées et diluées rapidement dans l’atmosphère en milieu extérieur. Au vu de ces éléments, le masque à l’extérieur est inutile pour se protéger ou protéger l’autre, la distanciation physique et le brassage des aérosols apportant une protection suffisante.
Aucun foyer extérieur de contamination Covid-19 n’a été décrit ou observé depuis le déconfinement français et européeni.
Le virus SARS-CoV-2 semble sensible à différents facteurs extérieurs naturels comme les UV, la chaleur, ou un taux d’humidité élevé dans l’air, se rapprochant ainsi des autres coronavirus responsables de 15 à 30 % des rhumes courants. Nous avons ainsi pu observer en France une diminution continue du nombre de décès COVID entre le 6 avril 2020 (pic de surmortalité COVID) et le mois de septembre 2020, période où le taux d’ensoleillement est maximal sous nos latitudes. Les nombreuses manifestations à l’air libre sans masque durant l’été 2020 en France (et même en Europe) comme les fêtes de la musique, rave parties ou rassemblements divers, n’ont eu aucune incidence sur l’évolution des décès Covid-19 publiés par Santé Publique Franceii. L’obligation du port du masque en extérieur dans la plupart des grandes villes françaises depuis courant août n’a pas enrayé la progression des cas positifs Covid-19, démontrant l’inutilité de ces mesures sanitaires supplémentaires. Que l’on porte un masque ou pas en extérieur ne change rien à l’évolution de la circulation du virus.
Quelles sont les recommandations de l’OMS sur le port du masque ?
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) écrit dans son rapport du 5 juin 2020 : « À l’heure actuelle, on ne dispose pas encore de données factuelles directes de qualité attestant l’efficacité du port généralisé du masque par les personnes en bonne santé dans la communauté et il faut procéder à un bilan des avantages et des inconvénients à cet égard »iii.
L’OMS liste les effets indésirables/inconvénients potentiels, dont les auto-contaminations dues aux mauvaises manipulations et à l’humidité du masque, les maux de tête et les gênes respiratoires et cutanées, la fausse impression de sécurité et les répercussions psychologiques particulièrement chez les enfants…
L’OMS insiste sur le fait que les masques médicaux (chirurgicaux, type FFP, N95) doivent être utilisés seulement par des professionnels de la santé et seulement face à des malades présentant des symptômes. « Le port de masques non médicaux constitués de tissus et/ou de matériaux non tissés ne doit être envisagé que pour la lutte à la source (port par des sujets infectés), au sein de la communauté et non à des fins de prévention. Ils seront portés pour des activités particulières (par exemple dans les transports publics lorsqu’il n’est pas possible de respecter les règles de distanciation physique) et leur utilisation doit toujours être associée à un lavage fréquent des mains et à la distanciation physique ».
Enfin, le dernier rapport de l’OMS du 1er décembre 2020 souligne le fait qu’à l’extérieur, le port du masque est recommandé uniquement lorsqu’une distanciation physique d’un mètre ne peut être respectée, et en particulier pour les personnes fragiles de plus de 60 ansiv. En conclusion, l’OMS mentionne qu’aucune étude scientifique ne prouve l’efficacité du masque à l’extérieur. Le lavage régulier des mains et la distanciation physique d’un mètre restent les mesures les plus efficaces.

Étude danoise sur l’effet protecteur du masque chirurgical à l’extérieurv
Au Danemark, une étude nationale a été réalisée entre avril et mai 2020 pour savoir si le port d’un masque chirurgical à l’extérieur permettait de réduire le taux d’infection de participants volontaires sains. Le port du masque venait alors en complément des mesures sanitaires déjà mises en place dans le pays (distanciation physique, nettoyage des mains, limitation des rassemblements de personnes et des visites en centre de soins et fermeture des restaurants et des bars). Le taux d’infection a été mesuré par des tests moléculaires de type PCR, sérologiques ou encore des diagnostics en milieu hospitalier. 4 862 participants répartis en deux groupes (porteur ou non porteur de masque) ont participé à l’étude. À l’issue des tests, 42 participants (1,8 %) dans le groupe masqué et 53 (2,1 %) dans le groupe témoin ont été testés positifs, soit une différence statistique non significative. Ces résultats suggèrent que le port du masque chirurgical à l’extérieur ne protège pas d’une infection par le SARS-CoV-2, dans un contexte où la distanciation physique et d’autres mesures de santé publique étaient en vigueur dans le pays.
Les masques sont-ils conçus pour une utilisation extérieure et protègent-ils des virus ?
La fabrication des masques médicaux est bien antérieure à l’apparition du virus SARS-CoV-2. La conception de ces masques a été développée pour des utilisations intérieures en salles blanches comme les blocs opératoires ou pour pénétrer dans des chambres de patients infectés, et leur utilisation est réservée aux professionnels de la santé qui sont spécialement formés à manipuler correctement ces masques. Porter ces masques à l’extérieur dans certaines conditions climatiques nous questionne quant à leur efficacité. Le masque a besoin d’être sec et bien porté pour que le matériau qui constitue sa maille puisse garder sa charge électrostatique nécessaire à son efficacité de filtration pour les gouttelettes. Lors de fortes chaleurs (transpiration), lorsqu’il pleut, vente, ou lorsque le froid induit une condensation interne du masque par la respiration, la charge électrostatique du filtre disparaît, rendant obsolète la fonction de filtration des gouttelettes. Les masques médicaux et en tissus ne sont pas conçus pour une utilisation extérieure.
Lors d’une audition au Sénat en septembre 2020, le ministre de la Santé Olivier Véran annonce que le masque ne protège pas de la grippe saisonnièrevi. Or, les virus « grippaux » du genre Influenza virus A, B, C et D ont une taille similaire au virus SARS-CoV-2. Comment un masque qui ne nous protégerait pas du virus de la grippe protégerait-il du SARS-CoV-2 ?
Certains fabricants de masques chirurgicaux stipulent qu’ils ne protègent pas des virus, d’autres qu’ils protègent de la poussière, des bactéries et des pollens. Les fabricants de masques en tissu mentionnent que le masque n’est pas un dispositif médical et ne protège pas contre les infections.
L’OMS insiste sur le fait que le masque seul n’est pas une protection en tant que telle, même lorsqu’il est manipulé correctement, et que les mesures régulières de distanciation physique et le lavage de mains s’avèrent indispensables.
Au vu de tous ces éléments, la protection de la transmission virale par les masques semble loin d’être prouvée scientifiquement.

En conclusion, le port du masque à l’extérieur partout et tout le temps ne nous protège pas du virus SARS-CoV-2 et s’affiche comme une mesure infantilisante sans effet sur la protection de la population. Cette politique nous place dans une peur permanente, ayant pour conséquence des situations ubuesques et incohérentes comme le masque seul : dans sa voiture, dans la forêt, sur un trottoir, à vélo, dans les cours de récréations quand les enfants courent sans brassage avec d’autres classes, etc. Pour exemple, la Suède qui n’a jamais imposé le port du masque à l’extérieur pas plus qu’elle n’a confiné sa population, montre un taux de décès deux fois moins important sur le mois de novembre 2020 comparé à la France si nous le rapportons à la population entière des pays respectifs : du 4 novembre 2020 au 3 décembre 2020, 1 000 décès COVID en Suède pour 10 millions d’habitants contre 15 466 décès en France pour 67 millions d’habitantsvii. En Belgique, Bruxelles et Namur ont renoncé à l’obligation du port du masque à l’extérieur « partout et tout le temps » depuis le 1er octobre 2020. Quand la France changera-t-elle sa politique sanitaire ? Quand la vie reprendra-t-elle tout son sens et son humanité ! En attendant ces jours meilleurs, respirons librement !

1 https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/08/21/coronavirus-ce-que-l-on-sait-et-ce-que-l-on-ignore-sur-les-contaminations-en-exterieur_6049561_4355770.html
2 https://www.santepubliquefrance.fr/dossiers/coronavirus-covid-19
3 https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/332448/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf
4 https://apps.who.int/iris/handle/10665/337199
5 https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/M20-6817
6 https://www.youtube.com/watch?v=n4g568NGnvw
7 https://www.cascoronavirus.fr/stats/france

Source : https://reinfocovid.fr/science/port-masque-exterieur-protection/

Le test PCR en justice

Des actions en justice ayant pour but d’exposer l’utilisation incorrecte et abusive du test PCR commencent à être déposées dans plusieurs pays européens.

Lire aussi: Le test PCR actuel a-t-il une utilité?

Le test PCR est suspendu comme une épée de Damoclès sur des millions de citoyens depuis des mois, influençant, selon le résultat, la vie personnelle et professionnelle lourdement.

Ce test a maintenant trouvé son chemin vers les tribunaux : une action a été déposée auprès du tribunal régional de Berlin le 23 novembre pour infections non détectables [1]. L’Autriche est également dans les starting-blocks avec un procès avec le même contenu. D’autre part, la cour d’appel du Portugal a statué le 11 novembre que le processus PCR n’est pas un test fiable pour le Sars-Cov-2. En outre, l’arrêt a laissé entendre que toute quarantaine forcée appliquée à des personnes en bonne santé pourrait constituer une violation de leur droit fondamental à la liberté. Plus important encore, les juges ont décidé qu’un seul test PCR positif ne peut pas être utilisé comme un diagnostic efficace de l’infection [2].

Rappelons que les experts ont confirmé que le test PCR n’est pas adapté pour poser le diagnostic de Covid-19[3]. Ce jugement critique est confirmé par le CDC – la plus haute autorité sanitaire américaine. Le test PCR recherche des extraits de virus et “La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou ni que le COVID-19 est l’agent causal des symptômes cliniques.” a déclaré le CDC. L’agence conclut qu’une « grande proportion de décisions lourdes sont très probablement basées sur des résultats de tests incorrects ».

Ces actions en justice ont donc pour but essentiellement d’exposer l’utilisation incorrecte et abusive du test PCR. Les principales conclusions juridiques sont :

  • le test n’est ni adapté ni destiné à la détection d’une infection
  • la chaîne : test positif – infecté – contagieux- danger –est fausse
  • Le diagnostic d’une infection doit être posé par un médecin inscrit à l’ordre et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire
  • La justice n’a pas vocation à poser un diagnostic en lieu et place d’un médecin
  • Le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins
  • Le diagnostic posé sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens.
  • Elle n’est pas respectée car il n’a pas eu de consentement éclairé des personnes.

References

[1]https://www.google.com/Plainte du Dr. med. Wolfgang Wodarg

[2] Arrêt n° 1783/20.7T8PDL.L1-3 de la Cour d’appel de Lisbonne, 11 novembre 2020 :

https://tribunal-relacao.vlex.pt/vid/851822033

Jugement complet en portugais :

http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30

Jugement complet traduit en anglais :

https://translate.google.com/translate?hl=&sl=pt&tl=en&u=http%3A%2F%2Fwww.dgsi.pt%2Fjtrl.nsf%2F33182fc732316039802565fa00497eec%2F79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30

[3] https://cormandrostenreview.com/report/

Source : https://reinfocovid.fr/science/test-pcr-justice/

Port du masque à l’école : une mère perd la garde de son fils, qu’elle avait déscolarisé

Opposé au port du masque à l’école et accusée de propos complotistes, une Belfortaine n’aura plus la garde alternée de son enfant de 7 ans. Elle a fait appel.

Photo d’illustration Justine TRILLAT/Le DL1 /1

“Tout le monde semble sourd à l’amour d’une mère pour son enfant”, se défend-elle. Une habitante de Belfort de 48 ans est désormais privée de la garde alternée de son petit garçon de 7 ans, rapporte L’Est Républicain, après l’avoir déscolarisé. Motif de son geste : elle ne cautionnait pas le port du masque dès six ans à l’école, obligatoire depuis le 2 novembre dernier.

La mère de famille n’a pas remis son fils à l’école après les vacances de la Toussaint et lui a fait l’instruction à la maison durant ses semaines de garde alternée, tandis que son père continuait de le scolariser durant ses semaines de garde.

Cette monitrice de sport, en pointe dans le combat pour les écoles alternatives, a alors été assignée en référé devant le juge des affaires familiales pour ces motifs et également pour avoir tenu des propos complotistes. “L’obligation du port du masque a juste précipité ma décision de le retirer d’un système scolaire que je ne cautionne pas”, assure-t-elle dans L’Est Républicain. Elle a fait appel du jugement.

L’instruction à domicile très encadrée

Le site service-public.fr rappelle que l’instruction est obligatoire pour tous les enfants “à partir de 3 ans et jusqu’à l’âge de 16 ans révolus”. L’instruction à domicile est possible mais très encadrée : avant chaque rentrée scolaire, les parents de l’enfant doivent déclarer au maire de leur commune et au Directeur académique des services de l’éducation nationale que l’instruction sera donnée dans la famille. Le maire et un inspecteur d’académie doivent mener une enquête sur la famille et l’enfant.


Et à partir de la rentrée de septembre 2021, l’instruction à domicile sera “strictement limitée, notamment aux impératifs de santé”, a annoncé Emmanuel Macron en octobre dernier.

Source : https://www.republicain-lorrain.fr/sante/2020/12/15/port-du-masque-a-l-ecole-une-mere-perd-la-garde-de-son-fils-qu-elle-avait-descolarise

5G : Michèle Rivasi est prête à porter le dossier devant la Cour de Justice de l’Union Européenne

Près de 70 maires de la Drôme et de France s’opposent à la technologie 5G bientôt déployée sur le territoire national. En cause : “les risques sanitaires sur le vivant non évalués”. Michèle Rivasi, euro-députée, se dit prête à aller devant la Cour de Justice de l’Union Européenne.

Ils réclament au gouvernement un moratoire sur le déploiement de la 5G en France : plus de 70 élus, dont les maires de grandes villes comme Grenoble, Marseille, Tours ou Bordeaux, mais aussi Dieulefit, Montjoux et La Roche-Saint-Secret dans la Drôme, demandent un moratoire sur le déploiement de la technologie 5G en France.

Michèle Rivasi : “Il y a un manque de débat démocratique”

Dans une visio-conférence organisée mercredi 2 décembre au soir depuis le Parlement Européen, Michèle Rivasi, euro-députée (EELV), n’y va pas par quatre chemins. “Il y a un manque de débat démocratique. La 5G n’a pas été discutée au Parlement, c’est un projet industriel qui nous amène vers la cyber-surveillance. Cela pose un problème de société. C’est toujours de la sur-consommation. On veut un débat démocratique, et on veut attendre les conclusions des organismes de Santé publique.

Des risques sur la santé toujours non-évalués

Selon les maires qui s’opposent à la 5G, plusieurs questions centrales ne sont pas réglées :

  • L’augmentation de la pollution électromagnétique et les risques sanitaires sur le vivant non encore évalués
  • L’impact environnemental de la multiplication des flux numériques et des besoins supplémentaires en énergies dans une période où l’on incite aux économies d’énergie
  • L’augmentation importante des besoins en matières premières rares pour la fabrication de nouvelles antennes et de nouveaux objets communicants
  • Le renforcement de la désocialisation liée aux écrans mobiles et le risque de déshumanisation de la société

“C’est bourré de conflits d’intérêts”

Michèle Rivasi regrette l’absence d’études d’impact de la part de la Commission Européenne. “Il y a bien eu une étude de la part de la Commission Internationale de Protection contre les Rayonnements non Ionisants (ICNIRP). Mais c’est bourré de conflits d’intérêts, avec les industriels et aussi l’armée américaine” dit-elle. “Ils ne tiennent compte que des effets thermiques, ce qui est insuffisant.

Valeurs de rayonnement

Patrice Goyaud, ingénieur physicien et administrateur de l’association Robin des toits, se fait le relais de travaux scientifiques sur les valeurs limites des fréquences utilisées pour la téléphonie mobile. “Une exposition de la 4G est deux fois supérieure à celle de la 3G“.
Concernant la 5G, voici les recommandations de l’ICNIRP, l’organisation scientifique indépendante :

Pour la 5G en 2020, l’ICNIRP, l’organisme qui préconise ces valeurs de normes et qui est extrêmement inféodée à l’industrie du numérique, préconise le double des valeurs existantes pour des fréquences qui vont de 1 à 6GHz.

 
Electrosmog

Patrice Goyaud précise que la 5G va se superposer aux technologies existantes, “elle ne va pas les remplacer“.
Résultat : “On va se retrouver très rapidement avec un grand renforcement de l’electrosmog“.
Qu’est-ce que l’electrosmog ? Le terme générique désigne la pollution électromagnétique, générée par la technologie.

Dans l’avenir, il se peut aussi qu’elle (la 5G) devienne aussi un standard unique et exclusif de la télécommunication et de la transmission des données. Cela veut dire qu’elle va peut-être se substituer intégralement à toute technologie filaire, notamment par exemple ce qu’on appelle l’ADSL pour l’internet haut débit.

En Suisse, où la 5G est déjà développée, les mesures effectuées par l’expert, David Bruno, mettent en évidence des valeurs de rayonnement, “3 fois supérieures à celles de la 4G“.

Une antenne 5G permet de couvrir un million d’objets par kilomètre carré. “Et on estime qu’il y aura 50 à 100 milliard d’objets connectés au niveau de la planète d’ici 2025, ou peut-être 2030“. Le faisceau est orientable car l’antenne suit l’objet connecté dans ses déplacements.
Patrice Goyaud indique par ailleurs, que la 6G serait déjà en test en Chine, où ce ne sont pas les objets qui sont traçables, mais l’humain lui-même qui serait “branché en permanence”.

La 5G devrait être installée à partir de 2023 en France, avec des bandes passantes différentes selon les espaces concernés :

  • 700 Mega Hertz en zone rurale, “une bande passante très pénétrante. Ce serait une 5G bas débit.
  • 3,5 Giga Hertz pour les villes
  • 26 Giga Hertz pour l’espace et les satellites

“Il faut se mobiliser”

Michèle Rivasi rappelle que l’Organisation Mondiale de la Santé a classé les rayonnements électromagnétiques comme cancérigènes possibles (une corrélation entre l’usage intensif du téléphone portable et le risque de développer une tumeur du cerveau a été établie par l’étude internationale Interphone). “De plus en plus de scientifiques s’inquiètent des effets sur la santé” dit-elle : des études scientifiques sur des insectes ont montré un risque de brûlure sur la peau, et des effets sur la cornée. Enfin une étude britannique montrerait que les feuilles d’arbres pourraient stopper “90% des ondes de la 5G. Faudra-t-il abattre tous les arbres plantés dans les villes ?” demande-t-elle avec un brin d’ironie.

“On ira jusqu’à la Cour de justice européenne

Il ne faut pas perdre espoir” dit l’euro-députée. “Il faut se mobiliser. Le pouvoir est aux mains des citoyens. Il ne faut pas rendre la population dépendante de ces communications qui permettent de mieux contrôler les gens. On ira jusqu’à la Cour de justice de l’Union Européenne car on nous impose la 5G sans respecter la législation de l’UE.”

Le 7 décembre 2020, une étude sanitaire et une étude environnementale seront discutées au Parlement Européen, avec des scientifiques venant du monde entier, pour discuter des effets éventuels sur la santé.

Source : https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/drome/valence/5g-fronde-maires-drome-70-communes-qui-reclament-moratoire-1901448.html

Covid : “20% de la population commence à basculer dans la psychiatrie”

Environ 20% de la population française pourrait basculer dans la psychiatrie selon Serge Hefez. © MARTIN BUREAU / AFP

Beaucoup de Français souffrent moralement de la crise du Covid-19, après de longs mois de restrictions. Samedi sur Europe 1, le psychiatre Serge Hefez s’alarme du fait que “20% de la population française commence à basculer dans la psychiatrie”. Le spécialiste invite les autorités à préparer les conséquences de la crise sur le long terme.

INTERVIEW

C’est un constat glaçant qui est fait par le psychiatre Serge Hefez, samedi, sur Europe 1. À cause du Covid-19 et des restrictions qui lui sont liées, ce responsable d’unité du service de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent à l’hôpital parisien de la Pitié Salpêtrière estime que “20% de la population française commence à basculer dans la psychiatrie”. Angoisses, déprime, désarroi, colère… Bon nombre de Français se retrouvent dans des situations de détresse. Pour le spécialiste, ces symptômes ne sont pas nouveau mais ils “sont aujourd’hui en train de déraper de plus en plus vers la psychiatrie”.

“On est dans cette troisième vague psychiatrique”

“C’est terrible, tous mes collègues disent la même chose”, poursuit Serge Hefez. “On est dans cette troisième vague psychiatrique à l’heure actuelle, avec des risques suicidaires qui sont majeurs, avec des dépressions qui sont quasiment mélancoliques, des états de sidération anxieuse avec des risques de décompensation, un peu sur un mode paranoïaque.”

Plus problématique encore : les liens familiaux et amicaux ou encore le sport ne suffisent désormais plus à atténuer ces maux, selon le psychiatre. “Il faut vraiment des soins pour ces personnes-là, des diagnostics, et pouvoir conduire des traitements appropriés.”

La crainte d’une forte hausse des suicides

Serge Hefez relate l’augmentation des “tentatives de suicides, notamment chez les adolescents, qui sont multipliées par rapport à l’année dernière”. Et “on sait par expérience que les suicides se produisent un an voire deux après une crise”, ajoute-t-il. Pour le spécialiste, il est donc urgent que les autorités du pays préparent “ce moyen terme et ce long terme” des conséquences du Covid-19.

Europe 1

Par Jonathan Grelier

Source : https://www.europe1.fr/societe/coronavirus-20-de-la-population-commence-a-basculer-dans-la-psychiatrie-alerte-hefez-4011846

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