Category: Politiques restrictives

Une manifestation contre une banque chinoise stoppée par la désactivation du pass sanitaire

Par Engen Tham

SHANGHAI, 16 juin (Reuters) – Une manifestation prévue par des centaines de détenteurs de comptes bancaires dans le centre de la Chine en vue d’obtenir l’accès à leurs fonds gelés a été déjouée parce que les autorités ont fait passer au rouge leur pass sanitaire, ont déclaré plusieurs des détenteurs de comptes à Reuters.

Les déposants avaient prévu de se rendre cette semaine dans la province centrale du Henan en provenance de toute la Chine pour protester contre le gel, depuis près de deux mois, d’au moins 178 millions de dollars de dépôts, qui a empêché les entreprises de payer leurs employés et les particuliers d’accéder à leurs économies.

Les groupes de défense des droits ont prévenu que la Chine pourrait utiliser sa vaste infrastructure de surveillance COVID pour étouffer la dissidence. Sans un code vert sur l’application de leur smartphone, les citoyens perdent l’accès aux transports publics et aux espaces tels que les restaurants et les centres commerciaux, ainsi que le droit de voyager à travers le pays.

“Ils nous mettent des menottes numériques”, a déclaré un déposant de la province du Sichuan, prénommé Chen, qui a refusé d’utiliser son nom complet par crainte de représailles du gouvernement.

Le gouvernement provincial du Henan et le ministère de la Sécurité publique n’ont pas répondu aux demandes de commentaires.

La Commission nationale de la santé a déclaré dans une note envoyée à Reuters jeudi que l’utilisation des codes sanitaires ne devait pas être étendue sans autorisation et ne pouvait être attribuée autrement que dans le cadre de la prévention et du contrôle de l’épidémie.

Après les récentes épidémies de COVID, certaines régions de Chine ont demandé aux voyageurs d’enregistrer leurs projets en ligne.

Un homme nommé Liu, qui vit dans la province de Hubei, a constaté que son code sanitaire était devenu rouge le matin du 12 juin après s’être enregistré la veille pour se rendre dans le Henan.

Liu avait prévu de se rendre à une manifestation prévue lundi à Zhengzhou, la capitale provinciale du Henan, où il espérait récupérer son argent. Cette manifestation aurait été la dernière en date des nombreuses manifestations de ce type organisées dans le Henan ces derniers mois.

Plus de 200 déposants ont été bloqués de la même manière lorsque leur code sanitaire est devenu rouge, selon les membres d’un groupe WeChat.

Il n’a pas été possible de déterminer si le changement de code avait pour but de bloquer les manifestants ou pour une autre raison, mais trois déposants ont déclaré à Reuters qu’ils connaissaient des personnes qui s’étaient inscrites pour se rendre dans le Henan, qui n’étaient pas liées aux fonds gelés et dont les codes n’étaient pas devenus rouges.

La Yu Zhou Xin Min Sheng Village Bank, la Shangcai Huimin Country Bank et la Zhecheng Huanghuai Community Bank ont gelé les dépôts le 18 avril, et toutes trois ont indiqué aux clients qu’elles mettaient à jour leurs systèmes internes.

Liu, qui a refusé de donner son nom complet par peur des répercussions du gouvernement, a déclaré que son enfant pourrait ne pas être en mesure d’aller à l’école si son code ne redevient pas rapidement vert.

“Je ne peux rien faire, je ne peux aller nulle part. On vous traite comme si vous étiez un criminel. Cela porte atteinte à mes droits fondamentaux”, a déclaré Liu.

Wang Qiong, qui vit dans la ville centrale de Wuhan, a constaté que son code de santé était devenu rouge après s’être inscrite pour se rendre dans le Henan le 11 juin.

“La police avait les détails de mon identité depuis la dernière fois que je suis allée manifester en avril”, a déclaré Wang, qui dit avoir perdu l’accès à 2,3 millions de yuans (341 550 dollars).

D’autres déposants ont déclaré à Reuters qu’ils avaient pu arriver à Zhengzhou en train et en voiture, mais que leurs codes étaient devenus rouges dès qu’ils avaient scanné les codes sanitaires de la ville.

(1 $ = 6,7340 yuans renminbi chinois)

Source : https://www.reuters.com/world/china/china-bank-protest-stopped-by-health-codes-turning-red-depositors-say-2022-06-14/

Identité Numérique Obligatoire en Ukraine, avec Vaccination Obligatoire, pour recevoir une “compensation de guerre”

Vers 1′:50″, un représentant du gouvernement ukrainien annonce que les citoyens et entreprises qui ont perdu leur travail, leurs économies et leurs affairses, pourront bénéficier d’une aide gouvernementale.

Le ou les versements en argent seront faits à partir d’une application du “Ministère de la transformation numérique de l’Ukraine”, dont le nom de l’application semble se traduire par “Action”. Les citoyens devront la télécharger, s’inscrire et suivre les instructions afin de recevoir cette “compensation de guerre”. La vaccination est aussi obligatoire pour recevoir la ou les sommes. 
Les détails donnés sur l’application “Action” nous indiquent clairement qu’il s’agit d’un système d’IDENTIFICATION NUMÉRIQUE…

On peut lire, dans la description de l’application : 
“Après avoir installé “l’action”, vous pourrez : 
– utiliser des documents numériques ; 
– recevoir des services publics en quelques clics ;
– partager des copies de documents numériques.

Après avoir installé l’action, vous pourrez : 
– utiliser des documents numériques ; 
– recevoir des services publics en quelques clics ;
– partager des copies de documents numériques.

Les originaux en papier et en plastique peuvent désormais être laissés à la maison. 
Pour obtenir des versions numériques de vos documents, il vous suffit de télécharger l’action et de vous connecter. Ils apparaîtront automatiquement dans l’application si vos données sont dans les registres.

Documents numériques en action : 
– Passeport d’un citoyen ukrainien sous la forme d’une carte d’identité. 
– Passeport biométrique. 
– Carte de contribuable (RNOKPP). 
– Le permis de conduire. 
– Certificat d’immatriculation du véhicule. 
– Police d’assurance du véhicule. 
– Carte d’étudiant. 
– Certificat de réinstallation (IDP). 
– L’acte de naissance de votre enfant. 
– Certificats COVID-19.

Services publics en ligne : 
– Paiement des amendes pour infractions au code de la route. 
– Paiement de dettes dans le cadre d’une procédure d’exécution. 
– Paiement de l’impôt sur le revenu des personnes physiques. 
– Soumission des déclarations FOP. 
– Remplacement du permis de conduire. 
– Enregistrement de résidence. 
– Paiement des prestations administratives par QR-code. 
– Assistance ponctuelle aux propriétaires uniques et aux salariés.”

On parle clairement ici de L’IDENTITÉ BIONUMÉRIQUE…
https://apps.apple.com/ca/developer/ministry-of-digital-transformation-of-ukraine/id1489717871

“Gloire à l’Ukraine! Ensemble vers la victoire !”, peut-on lire dans le descriptif de l’application.

Source : https://changera3.blogspot.com/2022/03/identite-numerique-obligatoire-en.html?m=1

Le système de QR-Code de la Russie s’effondre

Il n’a jamais été question de santé publique et les Russes le savent.

Le gouvernement russe prévoit toujours de faire passer une loi nationale très impopulaire sur les QR codes, mais faire de cette loi une réalité pourrait être un défi de taille.

Dans certaines régions où les QR codes sont déjà en place, les autorités ont précipitamment abandonné les efforts de mise en application.

La résistance aux codes QR en Russie a pris de nombreuses formes, y compris des boycotts et le passage à tabac des agents de sécurité.

Les Russes, excédés, boycottent, contournent et tabassent les gens.

Application inexistante à Kazan

Le 22 novembre, Kazan, la capitale du Tatarstan, est devenue la première ville de Russie à exiger des QR codes dans les transports en commun. Cette nouvelle règle a provoqué un véritable chaos : les bus étaient retardés de vingt minutes ou plus, car les conducteurs s’efforçaient de vérifier les QR codes, et de nombreux rapports font état de passagers en colère qui ont déclenché des bagarres.

Il semble que Kazan ait fondamentalement… abandonné. Les QR codes sont toujours requis pour utiliser les transports publics, mais la règle n’est pas appliquée de manière significative.

Début décembre, Ilya Zotov, membre de la Chambre publique de la Fédération de Russie et président de l’Association panrusse des passagers, a décidé d’enquêter sur le fonctionnement pratique du régime des codes QR de Kazan.

Ses conclusions étaient assez extraordinaires :

” Brièvement : J’ai voyagé sur 4 lignes de bus différentes, 1 trolleybus, et aussi dans le métro. Qu’ai-je vu en réalité ?

sur 4 lignes de bus, le QR code n’a jamais été demandé;

dans le trolleybus, on m’a demandé si j’avais un code, j’ai dit oui (ce qui est vrai), mais on ne m’a pas demandé de le montrer;

“Dans le métro, les QR codes sont vérifiés à l’entrée de la station, mais vous pouvez montrer n’importe quel code (d’un parent ou d’un ami), il n’y a pas de vérification des données”, a écrit Zotov, sur son canal Telegram.

Il a également déclaré que 70 % des passagers ne respectaient pas les règles relatives aux masques. Que faut-il en déduire ? Peut-être que ce n’est pas une si bonne politique :

“J’en arrive à la conclusion que toute cette restriction n’est pas nécessaire… Il est préférable que les autorités du Tatarstan l’admettent honnêtement et annulent les QR codes dans les transports”, écrit Zotov.

L’application de la loi reste apparemment assez laxiste. Lors de la conférence “Doctors for Truth” qui s’est tenue à Moscou dimanche, un correspondant s’est entretenu avec une militante qui a déclaré avoir récemment effectué plusieurs trajets en bus à Kazan sans avoir à présenter un QR code.

Le métier le plus dangereux en Russie ?

L’un des problèmes de l’application des QR codes en Russie est que vous pouvez être poignardé pour cela. Sur le papier, cela semble être un secteur en pleine croissance, mais cela vaut-il vraiment la peine d’être mal payé et d’être constamment passé à tabac ?

Par exemple, à la fin du mois de novembre, un policier d’un centre commercial de Kazan a été blessé au bras par un couteau après avoir demandé à un homme son QR code.

Dans certaines régions de Russie, l’opposition violente aux QR codes semble avoir joué un rôle clé dans l’abandon pur et simple du système.

Nous avons tout relâché : le système de QR code ne fonctionne pas à Biysk.

Motif : violences constantes.

REGNUM, citant les médias locaux, rapporte qu’une ville de l’Altaï a renoncé à imposer les QR codes dans ses centres commerciaux, notamment en raison de “l’attitude très agressive des citoyens vis-à-vis de la procédure” :

Selon l’un des responsables du centre commercial, deux agents ont été frappés au cours des dix premiers jours de l’introduction du système de contrôle de la vaccination dans le territoire de l’Altaï.

Nous avons lu des rapports similaires dans toute la Russie.

La révolte des entreprises de Saint-Pétersbourg

Le restaurateur de Saint-Pétersbourg Alexander Konovalov possède des dizaines d’entreprises. Il a annoncé le mois dernier qu’il ne se conformerait pas aux règles de la ville en matière de QR codes :

“J’ai plus de 200 établissements (parmi eux des bars, des bars à chicha, des boulangeries, des salons de beauté), dans tous mes établissements ils ne demanderont pas de QR code. De temps en temps, ils viennent nous voir avec des contrôles, mais nous n’y prêtons tout simplement pas attention. Laissez-les venir.”

Konovalov a partagé son “QR code” sur sa page Instagram, qui indique : “Allez vous faire enculer”.

Il a notamment affirmé qu’il n’avait pas encore reçu d’amende pour avoir désobéi à cette mesure de “santé publique”.

Entre-temps, des dizaines de résidents de Saint-Pétersbourg ont intenté un recours collectif contre le gouvernement de la ville pour demander la suppression du régime du QR code.

La Russie continue de faire pression pour des QR codes à l’échelle nationale

Curieusement, la Russie unie de Poutine continue d’ignorer l’opposition massive à la législation qui rendrait les QR codes obligatoires dans tout le pays pour de nombreux aspects de la vie quotidienne :

Le parti Russie Unie a soutenu le projet de loi sur les QR codes dans les lieux publics, sous réserve de le réviser en profondeur. Cela a été annoncé lundi 13 décembre par le chef de la faction à la Douma d’État, Vladimir Vasiliev.

En début de semaine, il a été annoncé que la Douma d’État avait retiré certaines parties de ce projet de loi qui prévoyait l’utilisation de QR codes dans les trains et les avions, mais il s’avère que cette information était légèrement erronée :

“Quant à l’introduction des QR codes dans les transports, ce projet de loi n’a pas été retiré de l’ordre du jour, mais envoyé pour révision. Il est en train d’être étudié et travaillé en détail. En tant que médecin et députée, je pense qu’il est très important de maintenir des mesures anti-épidémiques restrictives afin de freiner la croissance de la morbidité. Tatyana Alekseevna Golikova est venue à la Douma d’État, elle a répondu aux questions de manière très détaillée, avec tous les éclaircissements. Dans les lieux publics, les QR codes seront valables. La seule exception sera les épiceries et les pharmacies. Et tous les autres lieux accessibles au public ne seront accessibles que par des QR codes. Il s’agit des restaurants, des théâtres, des musées, des centres commerciaux – tout cela se fera à l’aide de QR codes”, a déclaré Tamara Frolova, membre de la commission de protection de la santé de la Douma d’État.

Quel est l’intérêt de ces codes pour la santé publique ? Quelqu’un peut-il l’expliquer ? Et pourquoi la Russie unie continue-t-elle à poursuivre un suicide politique effronté ? C’est très étrange.

En attendant, les Russes continueront à utiliser les QR codes prélevés sur les machines à laver pour accéder à leurs centres commerciaux locaux.

C’est la Russie.

Voir aussi : Le FMI prédit l’arrivée de la vaccination obligatoire dans toute la Russie après avoir donné 18 milliards de dollars au Kremlin

Source (anglais) : https://edwardslavsquat.substack.com/p/russias-qr-code-regime-is-collapsing

Le Père Noël arrêté par la police allemande pour non-port du masque

La police allemande a arrêté le Père Noël parce qu’il ne portait pas de masque sur un marché de Noël, comme le montrent ces images surréalistes.

Une vidéo circulant sur les réseaux sociaux montre un groupe de policiers entourant le Père Noël avant de le sortir de force du marché, tandis que la foule l’acclame par solidarité et hue les policiers.

*

Le FMI prédit l’arrivée de la vaccination obligatoire dans toute la Russie après avoir donné 18 milliards de dollars au Kremlin

Avant le mois d’octobre, la plupart des 85 régions de Russie n’avaient que peu (ou pas) de restrictions liées au COVID ; les obligations imposant aux entreprises de vacciner la majorité de leurs employés – introduites à Moscou et dans plusieurs autres régions en juin – n’étaient pas encore devenues la norme.

Tout a changé après les élections à la Douma d’État, fin septembre. S’exprimant un jour avant l’annonce des résultats des élections, Annette Kyobe, représentante du FMI en Russie, a fait une déclaration prophétique. Comme l’a rapporté l’agence TASS à l’époque :

“Il n’y a pas de volonté [en Russie] pour des mesures restrictives, un confinement, du moins de la part des autorités étatiques. <…> Après les élections législatives, peut-être qu’une mesure plus impopulaire, comme la vaccination obligatoire, pourra être initiée dès octobre-novembre. “

Quelle incroyable prédiction ! Il se trouve que les “cas” et les “décès” de COVID ont inexplicablement commencé à monter en flèche immédiatement après les élections à la Douma, obligeant les autorités russes à introduire des restrictions et des QR codes dans tout le pays.

Annette Kyobe (milieu)

Le FMI l’a annoncé !

À partir d’octobre, les régions russes ont commencé à adopter en masse des obligations vaccinales et des passeports sanitaires numériques. Le 14 octobre, le vice-ministre des finances Timur Maksimov a déclaré au FMI et à la Banque mondiale que le gouvernement russe avait compris combien il était important de piquer tout le monde :

Les participants à la session d’automne du FMI et de la Banque mondiale sont arrivés mercredi à la conclusion que le problème de la crise de l’économie mondiale ne pourra pas être résolu tant que la population de tous les pays ne sera pas vaccinée dans la proportion requise, a déclaré le vice-ministre russe des Finances Timur Maksimov aux journalistes à l’issue de ces réunions.

“Tant que tous les pays ne seront pas vaccinés dans la proportion requise, le monde ne reviendra pas à l’ancienne normalité. Par conséquent, la question a été soulevée qu’il est nécessaire d’augmenter les efforts de production, d’assurer l’accès aux vaccins. De plus en plus de vagues de COVID couvrent différents pays”, a déclaré Maksimov.

Mais attendez… comment le FMI – un organe d’extorsion financière de l’Occident – a-t-il pu prédire avec autant de précision l’adhésion chaleureuse de la Russie au système mondial de castes fondé sur le vaccin ?

Juste un coup de chance. De toute évidence, cela n’a rien à voir avec les 18 milliards de dollars américains que le FMI a déversés dans les coffres du Kremlin en août dernier. Le directeur du FMI a décrit cette généreuse injection de liquidités comme faisant partie d’un “vaccin pour l’économie mondiale pendant une crise sans précédent”. (Il convient de noter, par souci d’exactitude, que les 18 milliards de dollars ont été accordés sous la forme de “droits de tirage spéciaux”. Les DTS sont des unités de compte pour le FMI et représentent une créance sur les devises détenues par les pays membres du FMI, contre lesquelles ils peuvent être échangés).

Le FMI est très généreux

Fait scandaleux, certains analystes et médias russes ont suggéré que quelque chose était légèrement suspect dans tout cela – mais pourquoi suggérer quelque chose d’aussi stupide ? Peu importe :

“Il n’y a pas de volonté de recourir à des mesures restrictives, au confinement, du moins de la part des autorités de l’État. Après les élections législatives, peut-être qu’une mesure plus impopulaire, comme la vaccination obligatoire, pourra être initiée dès octobre-novembre.”

Ceci est un extrait du discours de la représentante résidente du FMI en Russie, Annette Kyobe, lors du webinaire de Fitch Ratings “Russia – Macroeconomic Forecast 2021”.

Sur l’antenne de la chaîne Tsargrad TV, Alexander Losev, membre du Présidium du Conseil de la politique étrangère et de défense, a expliqué pourquoi notre pays continue de coopérer avec des organisations discréditées et pourquoi le FMI veut vacciner toute la Russie :

“Le FMI et la Banque mondiale sont deux organisations qui ont introduit un concept tel que le consensus de Washington.

L’adhésion à ce consensus de Washington est écrite pour tous les pays en développement.

Tout d’abord, il s’agit d’une limitation de la souveraineté de l’État, moins de soutien aux entreprises, plus – le marché, les mains invisibles du marché, il y en a beaucoup, et certaines exigences pour les budgets et la politique budgétaire.

Tous les pays qui ont suivi le consensus de Washington ont mal fini, avec des crises.

Le deuxième point est de savoir pourquoi le FMI le dit.

Fin août, la Banque de Russie a reçu 18 milliards de dollars du FMI sous forme de droits de tirage spéciaux, c’est-à-dire qu’elle a reçu de l’argent. Je ne fais pas d’allusion, je dis simplement : l’argent a-t-il été accepté ? Accepté.

Ce sont les instituts de gouvernance mondiale créés par les États-Unis. Et maintenant, l’activité de ces institutions est une tentative des États-Unis de préserver leur hégémonie, de préserver leur pouvoir sur le monde.

Ce sont des outils. Derrière eux se trouvent les États-Unis et leur establishment, ceux qui gèrent le capital, la politique mondiale – ou qui pensent le faire.

[…]

Les principaux bénéficiaires de la pandémie sont, bien sûr, les financiers. Parce que tout l’argent que les gouvernements et les banques centrales ont envoyé pour aider l’économie, est essentiellement passé par le système bancaire. Le système bancaire américain représente 90 000 milliards de dollars d’actifs. Tout l’argent que le gouvernement a alloué est passé par là aussi.

L’estimation est de combien d’argent a été alloué et combien est entré dans le système bancaire, de 24 à 27 trillions de dollars. Équivalent. Dans différents pays, y compris les pays en développement.

C’est complètement absurde ! La Russie a adopté des politiques de vaccination obligatoire à l’échelle nationale parce qu’une énorme et dangereuse vague de COVID a émergé immédiatement après les élections à la Douma, ce qui a nécessité plus de Sputnik V, partout et pour tout le monde. Si les Russes n’aiment pas ça, ils auront l’occasion de voter à nouveau, lors des prochaines élections à la Douma, en 2026.

La santé publique est une chose amusante.

Annette “la chance” Kyobe

Voir aussi : vidéo du président Biélorusse qui dénonce les tentatives de la banque mondiale et du FMI de s’immiscer dans les décisions politiques du pays, particulièrement concernant la gestion du covid
https://www.bitchute.com/video/CiLuZXbC3qAs/

Article original (anglais) : https://anti-empire.com/imf-correctly-predicts-arrival-of-compulsory-vaccination-across-russia-after-floating-kremlin-18-billion/

Le vice-président polynésien démis de sa fonction pour avoir refusé le vaccin

Paris Match nous informe qu’Edouard Fritch, président de la Polynésie française, a viré son vice-président, car il refuse de se faire vacciner contre le Covid-19. Le gouvernement traverse de fortes tensions depuis le vote de la loi locale sur l’obligation vaccinale. Cette loi devait s’appliquer le 23 octobre, avant d’être repoussée au 23 décembre.

La présidence a publié ce communiqué :

Le Président Edouard Fritch a mis fin aux fonctions de Vice-président de Tearii Alpha. Le président a annoncé sa décision hier soir lors du comité de majorité, en présence de l’intéressé.

Le Président a rappelé que l’ensemble des ministres avait unanimement adopté en conseil des ministres la loi sur l’obligation vaccinale. Il considère que le choix personnel de M. Alpha n’est pas compatible avec l’exemplarité que requiert la fonction de numéro deux du gouvernement, et qu’il jette le trouble au sein de l’opinion publique.

Le Président a rappelé qu’il avait annoncé à l’issue du conseil politique du 21 octobre dernier, qu’il prendrait une décision. Parce que Tearii Alpha est aussi un compagnon politique depuis longtemps, et parce qu’il connaît bien les secteurs dont il a la charge, il reste ministre et conserve ses autres portefeuilles.

Le Président a ajouté qu’il avait entendu comme tout le monde ses déclarations lors de sa conférence de presse le 13 octobre dernier. « Je lui ai laissé le temps nécessaire pour arrêter sa position qui a été débattue en sa présence lors du conseil politique du 21 octobre et au sein du conseil des ministres. On m’a parfois reproché de tarder à décider. Vous me connaissez à présent, j’ai pris le temps de mûrir ma décision, tout comme j’ai laissé le temps à Tearii Alpha de mûrir la sienne », a indiqué le président lors du conseil politique.

Il a rappelé qu’il avait fait de même avec la loi sur l’obligation vaccinale : « J’ai rencontré et entendu les partenaires sociaux, patrons et syndicats, ainsi que des responsables religieux et associatifs, et j’ai repoussé de deux mois l’application des contrôles et des sanctions qui pourraient en découler si les personnes concernées ne se soumettaient aux dispositions qui résultent de la loi, dans le souci de laisser à chacun plus de temps pour s’y préparer. Mais l’écoute et le dialogue ne doivent pas empêcher la décision. »

Dans sa déclaration du mercredi 13 octobre, le président a expliqué qu’il assumera ses responsabilités. C’est pourquoi il précise : « Je considère que lorsqu’on est un homme politique, les considérations individuelles doivent s’effacer devant la responsabilité collective. »

Tearii Alpha reste soumis à la loi sur l’obligation vaccinale, car elle concerne également les élus et les membres du gouvernement, au titre de l’exemplarité. Il devra donc s’y conformer le moment venu. Dans l’attente, Tearii Alpha demeure ministre de l’agriculture, de l’économie bleue et du domaine, en charge de la recherche. Le Président s’exprimera ultérieurement sur le nom de la personne qui lui succédera aux fonctions de Vice-président.

Le président de l’assemblée Gaston Tong Sang, également maire de Bora Bora, n’est également pas vacciné.

Source : https://www.lesalonbeige.fr/le-vice-president-polynesien-demis-de-sa-fonction-pour-avoir-refuse-le-vaccin/

Martinique : victoire face à l’obligation vaccinale et au passe sanitaire

[Après s’être fait polluer leur île “pour au moins 500 ans” par le chlordécone…]

Par JULIEN G.

Dans une note d’information datant du 18 octobre, le directeur du CHU de Martinique a décidé de ne plus exiger aux personnels hospitaliers le passe sanitaire ou une preuve de vaccination pour entrer dans l’hôpital. Unis, solidaires et pugnaces, les soignants ont donc réussis à faire reculer le CHU et donc le gouvernement.

Alors qu’en ce moment même, la prolongation du passe sanitaire est étudiée au parlement, ce recul de l’exécutif est-il annonciateur d’une fronde plus large qui pourrait fragiliser son ambition liberticide.

1.Pas de contrôle du passe à l’entrée du CHU

Depuis plusieurs jours, les forces de l’ordre et des soignants opposés au passe sanitaire et à l’obligation vaccinale s’affrontent régulièrement. Plus de 600 soignants ont déjà exercé leur droit de retrait

Lundi dernier, environ 800 personnes, selon la police, s’étaient rassemblées pacifiquement pour un sit-in devant le CHU  suivie d’une réunion extraordinaire, le mardi,  pour aborder les violences qui se sont produites au CHU vendredi 15 octobre.

Ce mardi 19 octobre 2021, c’est sous la forme d’une note d’information que la direction du CHUM a pris une position dans le sens de l’apaisement.

Dans cette note, Benjamin Garel, directeur du CHU de Martinique, indique que  suite à la demande d’agents hospitaliers, tous les personnels hospitaliers pourront entrer dans leur service qu’elle que soit leur situation au regard du passe sanitaire. Il ajoute que les agents en situation de non-conformité seront invités à réaliser un test de dépistage.

2.Le gouvernement obligé de reculer

Hier après-midi, Olivier Véran affirmait solennellement à l’Assemblée nationale avoir « demandé que l’obligation vaccinale soit appliquée en Guadeloupe et en Martinique comme sur tout le territoire de la République, avec discernement, avec progressivité, à mesure que la pression sanitaire diminue ».

Dans l’hémicycle, il affirmait, donc, avec son autoritarisme habituel, que la loi du 5 août 2021 s’appliquerait partout.

Preuve en est que non !

Cette annonce au niveau local est un principe de réalité et les soignants sont en position de force au de l’impact que la situation avait sur l’organisation des soins.

Serge Aribo, l’un des dirigeants de l’intersyndicale,  indiquait la semaine dernière que la direction devra faire un choix entre l’accès aux soins pour les malades ou alors l’application de cette loi sur l’obligation vaccinale et le passe sanitaire.

3.Effet boule de neige en faveur des professionnels suspendus ?

La communauté médicale martiniquaise a appelé de ses vœux la mise en place d’une médiation pour trouver une solution à ce problème de mise en application de la loi, qui dépasse les interlocuteurs habituels du dialogue social de l’hôpital.

La direction a d’ailleurs promis mardi de lancer, sous peu, une telle démarche pour permettre la mise d’une solution négociée.

Après la coercition comme seule outil pour faire céder les réfractaires, la négociation est aujourd’hui évoquée.

Depuis le 15 septembre, des centaines de recours de soignants et libéraux  sont rejetés devant les juridictions françaises.

Mais ce recul net en Martinique pourrait changer la donne. En effet, les personnes dans la même situation doivent être traitées de manière identique.

L’égalité est un principe à valeur constitutionnelle et l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen dispose que “la loi doit être la même pour tous”.

Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/10/20/martinique-victoire-face-a-lobligation-vaccinale-et-au-passe-sanitaire/
Via : https://reseauinternational.net/martinique-victoire-face-a-lobligation-vaccinale-et-au-passe-sanitaire/

Le procès en sorcellerie de Cassandre Fristot

Par Rivarol

Si l’on doit juger de l’état actuel de la liberté d’expression en France, il est édifiant de se pencher sur le procès de Cassandre Fristot au tribunal judiciaire de Metz le 8 septembre. Rappelons que, pour avoir porté le 7 août, lors d’une manifestation anti-pass sanitaire, une pancarte jugée antisémite où étaient inscrits les patronymes, dont certains manifestement non-juifs, des principaux responsables et soutiens de la politique sanitaire en France et dans le monde, cette jeune enseignante de 33 ans a non seulement été suspendue de l’Education nationale par Jean-Michel Blanquer, avant une possible radiation, perquisitionnée, mise en garde à vue (laquelle a été prolongée) mais a donc également été jugée toutes affaires cessantes dans un pays où l’on recense pourtant chaque année des millions de crimes et de délits, dont beaucoup extrêmement violents. Ayant reçue des menaces (de qui ?), elle ne s’est pas présentée à son procès et a été défendue par son avocat, l’excellent et combatif Me Paul Yon. Alors que le casier judiciaire de la jeune femme est vierge, le ministère public a requis contre elle trois mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité. C’est hallucinant ! Alors même que la pancarte qu’elle portait ne contenait aucune injure, aucun appel à la violence et se contentait de dénoncer les responsables de l’actuelle tyrannie sanitaire. 

Les plaidoiries des parties civiles — qui étaient au nombre de quinze (qui dit mieux ?) dont l’Ordre des médecins, cela ne s’invente pas ! — étaient proprement ahurissantes et montrent à quel point nous vivons à l’ère d’une « insupportable police juive de la pensée » pour reprendre la lumineuse expression de feu Annie Kriegel dans Le Figaro en avril 1990. « S’est-elle trompée d’époque ? », s’est ainsi interrogée à propos de Cassandre Fristot l’avocate de l’Organisation juive européenne qui a osé déclarer : « Nous ne pouvons prendre le risque de la laisser gangréner l’esprit de nos enfants. Ici en France, il faudra une condamnation pénale pour qu’elle cesse d’exercer son métier. Vous êtes l’antichambre de la cour d’Assises. Il faut une peine sévère parce que nous sommes fatigués. » Autrement dit, par sa pancarte, Cassandre Fristot est responsable de l’assassinat de juifs parce que juifs. Il faut donc l’envoyer en prison et la radier définitivement de l’Education nationale, la ruiner, l’embastiller, lui retirer ses moyens de subsistance, déchirer son diplôme, détruire sa vie, lui retirer sa liberté. 

C’est désormais le discours cynique, outrecuidant et détestable des organisations juives : dès qu’une personne tient des propos qui leur déplaît, elle est aussitôt accusée d’antisémitisme (est antisémite celui que le juif n’aime pas) et d’encourager les esprits faibles à commettre des assassinats contre des israélites. Voilà où nous sommes. Toute critique, même très argumentée et rationnelle, de l’entité sioniste, du lobby juif, toute réserve à l’égard de l’attitude et des revendications d’organisations judéo-sionistes, est systématiquement considérée comme criminogène. Ce comportement est insupportable car il interdit tout débat serein et libre sur toute une série de questions. Il crée de toutes pièces un climat de terreur, de délation et d’hystérie qui favorise l’autocensure, participe d’un insupportable terrorisme intellectuel, lui bien réel, et empêche tout frein à la domination implacable sur les lois, les consciences et les institutions du judaïsme politiquement organisé.

L’avocat de SOS-Racisme-La Maison des Potes a tenu le même langage que ses confrères. Il évoque d’abord le travail de l’association qu’il représente, laquelle intervient notamment en milieu scolaire. Comme d’ailleurs le MRAP et toutes les organisations du même acabit. L’avocat du MRAP en est fier : « Nous sommes aujourd’hui devant un tribunal, mais l’essentiel de notre activité se passe auprès des écoles, des enfants et des consciences. » Il faut en effet matraquer idéologiquement dès le plus jeune âge nos têtes blondes. « Quelle différence de culture, d’implication et de respect avec ce qu’instille Mme Fristot, professeur d’allemand ! On frémit si au-delà de l’apprentissage de l’allemand elle aborde l’histoire de l’Allemagne ! » ose l’avocat de SOS-Racisme, manifestement ravi de son effet. « Elle participe tous les jours de façon discrète à disséminer sa haine. A la question “Qui ?” que pose Madame Fristot, j’en réponds par une autre : “Pourquoi ?”, “Pourquoi tant de haine ”? » conclut-il avec grandiloquence. Pourtant, que l’on sache, ce sont ces organisations qui veulent ruiner, faire perdre son travail et envoyer en prison Cassandre Fristot. Au nom d’une prétendue lutte contre la haine, elles se permettent une haine torride, féroce, sans limite ni retenue, mais avec une parfaite bonne conscience et une arrogance non moins grande. 

L’avocate de la Ligue des Droits de l’homme va encore plus loin : « Quand Cassandre Fristot dit lors de ses auditions que le monde est dirigée par une oligarchie politique et financière, c’est déjà une position antisémite. » Autrement dit, parler de fortune anonyme et vagabonde, comme le faisait feu Henry Coston, c’est déjà de l’antisémitisme. Ne serait-ce pas là un aveu ? N’est-ce pas reconnaître qu’une certaine ethnie est particulièrement puissante et influente dans la sphère politico-médiatico-financière ? 

En tout cas, il est manifeste qu’on ne peut plus rien dire. Les puissants qui nous oppriment vont toujours plus loin dans le délire et la tyrannie. Ils étendent sans cesse le champ d’application de leur impitoyable censure. C’est d’ailleurs vrai aussi au niveau de la législation. En 1990, lorsque la loi Fabius-Gayssot a été adoptée, n’était condamnée que la contestation publique et explicite de l’existence d’un crime contre l’humanité reconnu comme tel par le tribunal militaire international de Nuremberg. Aujourd’hui la jurisprudence a évolué et s’est durcie. La cour de cassation d’abord, le conseil constitutionnel ensuite, de concert avec les juridictions internationales (car les forces de subversion sont un peu partout à l’œuvre), ont considéré que toute minoration d’un crime contre l’humanité, la simple expression d’un doute, d’une interrogation, l’emploi de guillemets ou du conditionnel, étaient constitutifs du délit de contestation de crime contre l’humanité. C’est la même chose avec l’accusation d’antisémitisme qui agit comme un rayon paralysant, un gaz incapacitant qui permet de diaboliser et d’anéantir un contradicteur, un adversaire. On notera qu’il en va de même avec les accusations de racisme et d’homophobie. Toute volonté de restreindre, d’arrêter ou d’inverser le courant de l’immigration est assimilée au racisme et donc considérée comme un délit. Toute opposition aux revendications exorbitantes du lobby LGBT est assimilée à la haine de l’homosexuel et considérée comme criminogène. Et c’est ainsi, par cette police de la pensée, que l’on parvient de force à changer les lois et à bouleverser les mentalités, à détruire la famille, la nation, la morale naturelle, à apprendre aux enfants dès le plus jeune âge qu’ils peuvent choisir librement leur identité de genre, leur orientation sexuelle, et en changer à tout moment.

L’avocat du CRIF, Me David-Olivier Kaminski, a lui aussi appelé à une peine très sévère contre Cassandre Fristot et n’a pas non plus fait dans la nuance : « Ne soyez pas dupes derrière son casier judiciaire vierge. Aussi, je salue le parquet de Metz d’avoir saisi la brigade des crimes contre l’humanité. Le préjudice qu’elle a commis à notre société est colossal. Il l’est d’autant plus qu’elle est enseignante. Aujourd’hui, Madame la présidente, Messieurs du tribunal, la France vous regarde. Alors ne soyez pas naïfs, ne soyez pas dupes, sachez qui vous jugez. Rendez justice à la hauteur du mal profond qui a été commis. » Allez vite, le rétablissement de la peine capitale, rien que pour le plaisir de la voir appliquée à la jeune femme !

Me Kaminski se félicite d’un fait ahurissant : pour une simple pancarte sans aucun appel à la violence, le parquet de Metz a saisi la brigade spécialisée des crimes contre l’humanité, qui s’occupe entre autres du génocide au Rwanda. Il faut se pincer pour y croire. On fait une affaire d’Etat d’une simple pancarte portée dans une manifestation autorisée contre le pass sanitaire. Qui peut dire après cela que nous ne vivons pas sous une effrayante tyrannie communautaire qui étend chaque jour davantage ses affreux tentacules et se métastase peu à peu dans tout le corps social à force de harcèlements, de persécutions, de diabolisations ? Qui peut dire que notre pays ne s’assimile pas de plus en plus à un camp de concentration à ciel ouvert comme Gaza et la Cisjordanie avec les mêmes et leurs pantins et alliés à la manœuvre ? Face à cette tentative d’asservissement des âmes, de viol des consciences, de destruction des libertés, notre insurrection intellectuelle, morale et spirituelle est totale. Liberté pour Cassandre et pour tous les Français non reniés ! […]

RIVAROL, <[email protected]>. 

Source : https://rivarol.com/version-papier-1-an-d-archive/1397-rivarol-n3448-du-2122020-papier.html

Toulouse : un professeur suspendu après avoir diffusé une vidéo « antivax » à ses élèves de seconde

Un professeur d’espagnol du lycée Raymond-Naves à Toulouse a été suspendu de ses fonctions après avoir diffusé en classe à la rentrée une vidéo exposant les effets indésirables des vaccins à ses élèves de seconde.

Selon un parent d’élèves qui a dénoncé cette affaire au directeur de l’établissement, cet enseignant a présenté mardi 7 septembre une vidéo diffusée sur France Soir après avoir alerté pendant près d’une heure sur les dangers des vaccins anticovid devant une trentaine d’élèves qu’il rencontrait pour la première fois de l’année, informe Radio 100%.

« Il n’est pas acceptable qu’un professeur exprime ainsi des opinions personnelles auprès de ses élèves », a indiqué l’inspection académique de Haute-Garonne à France Bleu, soulignant que l’enseignant a été suspendu « par mesure conservatoire ».

Pierre Priouret secrétaire général du syndicat SNES-FSU pour l’académie de Toulouse, indique au média, qu’ « il n’y a pas de dérive des enseignants dans l’exercice de leur mission », rajoutant surpris que le motif de la suspension soit rendu publique alors que « l’administration est tenue de protéger ses personnels ».

La vaccination a été proposée aux élèves dans tous les établissements d’enseignement secondaire.

Source : https://fr.theepochtimes.com/toulouse-un-professeur-suspendu-apres-avoir-diffuse-une-video-antivax-a-ses-eleves-de-seconde-1833375.html

Australie : Début de la construction du camp de quarantaine de Mickleham

Les travaux de construction sont en cours au Centre for National Resilience de Melbourne – le nom compliqué donné à la nouvelle installation de quarantaine de Mickleham – et le camp devrait ouvrir d’ici la fin de l’année.

Une session de consultation de la communauté s’est tenue en début de semaine sur l’avancement du site d’hébergement accéléré de 1000 lits pour les voyageurs de retour au pays, mais les résidents ont été informés que les constructeurs ne seraient pas retardés par un quelconque processus de consultation.

Les travaux de terrassement ont commencé dans un enclos vide au nord de Melbourne, qui se trouve à côté de l’installation de quarantaine pour animaux du gouvernement fédéral et à environ 300 mètres des habitations.

La construction de la nouvelle installation de quarantaine à Mickleham a commencé. Jason South

Le projet s’inspire du centre de Howard Springs, dans le Territoire du Nord, qui “s’est avéré très efficace pour prévenir les contaminations par le COVID-19 par rapport à la quarantaine dans les hôtels“.

Multiplex a été engagé pour construire l’installation, 80 % des bâtiments devant être préfabriqués hors site. Le centre peut être étendu à 3000 lits mais sera opérationnel dès que 500 lits seront prêts dans le courant de l’année.

Parmi les questions soulevées par le public lors d’une séance d’information jeudi, on peut citer l’impact sur les prix de l’immobilier, le risque de fuite du virus dans la communauté et la raison pour laquelle les résidents ne reçoivent des informations sur le projet que maintenant.

À quoi ressemblera la nouvelle installation de quarantaine de Mickleham. Gouvernement du Victoria

Les habitants ont reçu l’assurance que l’établissement respecterait les normes les plus strictes en matière de contrôle des infections établies par Howard Springs, et que le personnel serait entièrement vacciné et ne pourrait pas exercer un second emploi.

Vendredi, on a demandé au premier ministre Daniel Andrews pourquoi la communauté n’avait pas eu la possibilité de donner son avis sur le centre.

“Nous voulons que la communauté sache ce qui s’y passe, nous voulons que la communauté fasse partie de ce programme et de ce processus”, a-t-il déclaré.

“Mais nous devons le construire. Il y a un risque beaucoup plus grand pour les habitants de Victoria, y compris Mickleham, à avoir des milliers de personnes dans des hôtels qui ne sont pas construits pour les mettre en quarantaine.

“C’est le site qui a été choisi et tout le monde, y compris les habitants, s’en porteront mieux.”

Le gouvernement victorien a fourni des rendus de ce à quoi pourrait ressembler la nouvelle installation de quarantaine.

Le centre est construit sur des terres du Commonwealth et les coûts de construction seront financés par le gouvernement fédéral, le gouvernement de Victoria se chargeant de la gestion de l’installation.

Le site a été choisi par le gouvernement fédéral après que le gouvernement de l’État lui ait présenté deux options privilégiées : Mickleham et l’aéroport d’Avalon.

La taille de la propriété, sa proximité avec un aéroport et l’emplacement des installations médicales ont été parmi les principales considérations pour trouver un emplacement approprié.

Article original : https://amp.theage.com.au/national/victoria/construction-of-mickleham-quarantine-camp-is-under-way-20210812-p58i50.html

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