Le lanceur d’alerte Dr. Andreas Noack, chimiste autrichien renommé expert sur le carbone, est mort quelques heures seulement après avoir dénoncé les effets de l’adjuvant hydroxide de graphène, une nanotechnologie qui serait présente dans l’injection, expliquant que c’est ce qui tue réellement les gens en s’immisçant dans l’ensemble des organes et provoquant des lésions au niveau cellulaire, “comme des nano-lames de rasoir”.
Il affirme que cela pourrais expliquer pourquoi les athlètes meurent soudainement pendant les entraînements et les matchs, ou pourquoi certains meurent instantanément si l’adjuvant a été injecté dans la circulation sanguine plutôt que dans le muscle…
Cette semaine, entre le 23 et 26 novembre, le Dr Noack a subit une “attaque furtive” après sa dernière vidéo, selon sa femme [1] [2] enceinte, et serait décédé peu de temps après d’une crise cardiaque.
Cette vidéo a été traduite avec des sous-titres en français le 30 novembre 2021.
L’hydroxyde de graphène a été trouvé dans tous les vaccins étudiés. L’hydroxyde de graphène forme des structures dans le flux sanguin d’environ 50 nm de large et 0,1 nm d’épaisseur. Elles sont très fines mais très solides. Ils agissent comme de petites lames de rasoir dans le flux sanguin qui peuvent couper les vaisseaux sanguins. Ils ne se décomposent pas. Une fois dans la circulation sanguine, ils y resteront pour toujours (à moins que la personne ne reçoive une transfusion sanguine pour les éliminer). Leur effet sur les vaisseaux sanguins est cumulatif. Plus ils restent longtemps dans la circulation sanguine, plus les vaisseaux sanguins sont endommagés au fil du temps. Cela crée des problèmes d’hémorragie dans tout le corps.
Selon lui, un débit sanguin plus élevé (dû à une activité physique intense des athlètes) entraînerait des dommages plus importants aux vaisseaux sanguins causés par l’hydroxyde de graphène et expliquerait donc les décès d’athlètes parmi les personnes injectées.
Voici des citations importantes faites par le Dr Noack :
Recevoir le Vax, c’est comme jouer à la roulette russe. Les personnes qui meurent immédiatement ou peu après avoir reçu le vaccin sont comme des victimes de la roulette russe. C’est lorsque l’oxyde de graphène frappe immédiatement la paroi des vaisseaux sanguins qu’il provoque la mort ou l’effondrement immédiatement après avoir reçu le vax.
Les médecins qui pratiquent des autopsies sur les victimes du Vax ne vont rien trouver. Ces médecins cherchent quelque chose de biologique comme cause de la mort mais l’hydroxyde de graphène n’est pas biologique donc il ne sera pas visible dans leurs tests.
Il y a des photos de sang coagulé sortant du nez. Les gens saignent à mort de l’intérieur.
Les athlètes de haut niveau qui meurent ont un sang qui s’écoule rapidement. Plus le sang circule vite, plus les rasoirs font de dégâts.
En tant que chimiste, si vous injectez ça dans le sang, vous êtes un meurtrier.
La question à poser aux fabricants de vaccins et aux politiciens est la suivante : POURQUOI CES LAMES DE RASOIR SONT-ELLES DANS LES VACCINS ? Comment peuvent-ils justifier leur présence dans les vaccins ?
Et maintenant, ils veulent forcer les enfants à être vaccinés dès l’âge de 5 ans avec ce truc horrible !
L’Autriche est le premier pays d’Europe et du monde à mettre en œuvre un programme de vaccination de l’ensemble de la population sous peine d’amendes ou d’emprisonnement en cas de non-vaccination. Le plan de vaccination complet débutera en février 2022.
Voici le compte des morts dans le monde après une vaccination Covid-19 rapporté par la presse et les bases de données officielles.
Avec plusieurs cas très graves en réanimation.
Et il y a aussi 2 morts lors des essais du vaccin Pfizer, 1 mort lors de l’essai AstraZeneca et 6 morts lors de l’essai Moderna, donc 9 morts en plus qui ne sont pas comptés dans les morts.
Pour les décès aux États-Unis, Canada, Australie et en Europe (hors Suisse et Monaco), seuls les morts rapportés par les bases de données officielles sont comptabilisés pour éviter les doublons, les articles sont laissés pour archivage au bas de l’article.
Pour les pays sans bases de données, les articles de presse sont comptabilisés en l’attente d’accès à des bases de données officielles plus complètes.
• 14,526 décès et 592,779 effets secondaire pour le vaccin Pfizer, 8,518 décès et 161,667 effets secondaires pour le vaccin Moderna, 6,145 décès et 413,987 effets secondaires pour le vaccin ASTRAZENECA (CHADOX1 NCOV-19) 1,825 décès et 38,686 effets secondaires pour le vaccin JANSSEN (AD26.COV2.S)
(jusqu’au 20/11/2021) rapportés par la base de données Européenne des rapports d’effets indésirables Pfizer Moderna Astrazeneca JANSSEN
http://www.adrreports.eu/
Petit tuto pour naviguer dans la base de données Européenne des rapports d’effets indésirables.
Petit tableau comparatif à partir des données européennes au 15 avril 2021 (Union Européenne + UK) :
• Selon les données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), au moins 19,249 Américains sont morts à cause des vaccins COVID-19 aux États-Unis, avec 913,268 rapports d’effets indésirable (jusqu’au 19 novembre 2021)
https://medalerts.org/vaersdb/findfield.php?TABLE=ON&GROUP1=AGE&EVENTS=ON&VAX[]=COVID19&DIED=Yes
https://medalerts.org/vaersdb/findfield.php?TABLE=ON&GROUP1=CAT&EVENTS=ON&VAX=COVID19
• Agência Nacional de Vigilância Sanitária – Brésil : 12360 effets indésirables et 52 décès jusqu’au 21/11/2021
https://www.gov.br/anvisa/pt-br/acessoainformacao/dadosabertos/informacoes-analiticas/notificacoes-de-farmacovigilancia
• 660 morts en Israël
https://www.francesoir.fr/videos-debriefings/vaccination-en-israel-des-chiffres-de-mortalite-qui-interpellent-video
http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?p=276314
• Monaco : Pic de 21 morts à Monaco qui commence avec la vaccination (non compté, lien non établi officiellement) :
https://www.quartierlibre.tv/quartierlibre/les-premiers-vaccins-sont-arrives-a-monaco-explosion-de-la-mortalite/?utm_source=Telegram&utm_campaign=quartierlibre
• une indienne de 55 ans ainsi que 4 autres indiens de la même région (01/02/2021) :
https://timesofindia.indiatimes.com/city/hyderabad/woman-health-worker-in-state-dies-11-days-after-vaccination/articleshow/80618698.cms?from=mdr
• 9 indiens morts, 16 hospitalisés, un cas grave de septicémie bactérienne et 447 effets indésirables (vaccins Covishield et Covaxin) au 29/01/2021:
https://www.thehealthsite.com/news/odisha-man-dies-after-taking-covid-19-vaccine-another-develops-bacterial-sepsis-793037/
Parmi les morts, un jeune vigile de 27 ans :
https://www.msn.com/en-in/news/other/odisha-health-worker-dies-days-after-taking-covid-vaccine-official-says-not-linked-to-vaccination/ar-BB1d8jdX
• 53 morts à Gibraltar en 10 jours après le début des injections expérimentales d’ARNm COVID de Pfizer (pas clair, pas compté dans le total pour l’instant)
https://reseauinternational.net/53-morts-a-gibraltar-en-10-jours-apres-le-debut-des-injections-experimentales-darnm-covid-de-pfizer/
• Le gouvernement sud-coréen enquête sur 7 décès qui ont suivi la vaccination par Covid-19 avec le vaccin d’AstraZeneca
https://www.rt.com/news/517423-korea-vaccine-deaths-rise/
AstraZeneca : Un médecin brésilien de 28 ans :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.telegraaf.nl/nieuws/99528612/proeven-met-coronavaccin-gaan-door-na-dood-arts-28-geen-enkele-zorgen
Article original : https://www.telegraaf.nl/nieuws/99528612/proeven-met-coronavaccin-gaan-door-na-dood-arts-28-geen-enkele-zorgen
• 19 ans aux soins intensifs avec une myocardite cinq jours après l’injection du vaccin COVID-19 de Pfizer (Israël)
https://www.jpost.com/health-science/19-year-old-hospitalized-with-heart-inflammation-after-pfizer-vaccination-657428
• Une femme de 41 ans souffre d’un rash brûlant insupportable sur le corps à cause du vaccin COVID-19 d’AstraZeneca
https://www.dailymail.co.uk/news/article-9422323/Mothers-arm-erupts-agonising-red-rash-getting-AstraZenecas-Covid-vaccine.html
• Cette étude des chercheurs norvégiens rapportent sur cinq travailleurs de la santé présentant des caillots de sang veineux dans des sites inhabituels et une thrombopénie sévère 7 à 10 jours après leur première dose du vaccin AstraZeneca. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2104882?query=RP
• En Israël, une étude montre des cas de purpura thrombocytopénique après vaccination avec le Pfizer. Cette maladie rare (2 à 3 cas /an) s’est déjà manifestée 4 fois en 4 semaines après la vaccination (âge moyen des patients: 32 ans) : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/jth.15420?af=R
• Développement d’un pemphigus vulgaire sévère après une vaccination contre le SRAS-CoV-2 avec BNT162b2 (Pfizer)
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/jdv.17480
• Une poussée de psoriasis pustuleux généralisé après la vaccination CoronaVac COVID-19 : Rapport de cas (Turquie)
https://hpp.tbzmed.ac.ir/Article/hpp-34335
• Un patient de 66 ans présentant un syndrome de détresse respiratoire aiguë après une vaccination au COVID-19 : Un rapport de cas de COVID-19
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1876034121001532
• Une femme de 52 ans
3 heures après avoir reçu le vaccin Covid de Pfizer : engourdissement, gonflement et douleur sur le visage et le cou gauches.
Diagnostic : radiculite trigéminale et cervicale (= compression d’une racine nerveuse à sa sortie de la colonne vertébrale).
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34155020/
• Trouble du spectre de la neuromyélite optique après la vaccination par le virus inactivé COVID-19 chez une femme d’âge moyen. (Chine)
https://link.springer.com/article/10.1007/s10072-021-05427-4
• Thrombose cutanée associée à une nécrose cutanée après la vaccination Covid-19 d’Oxford-AstraZeneca (homme de 73 ans)
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/ced.14819
• Homme de 54 ans
3 semaines après avoir reçu le vaccin CovidVaccine AstraZeneca : s’est présenté à la clinique avec un historique de 7 jours d’aggravation de maux de tête, d’ecchymoses et de gonflement du mollet.
Diagnostic : thrombose du sinus veineux cérébral et thrombose veineuse dans la veine porte.
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/bjh.17619
• Purpura thrombocytopénique immunitaire (PTI) après la vaccination avec adénovirus SARSCoV2. Cas d’un homme de 28 ans.
PTI : une maladie à médiation immunitaire avec un faible taux de plaquettes sanguines qui provoque des brosses pétéchiales mucocutanées et des saignements gastro-intestinaux ou cérébraux rarement mortels.
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/bjh.17508
• Femme de 29 ans
10 jours après la vaccination par COVIDV : maux de tête sévères, gonflement de l’orbite gauche et vision floue de l’œil gauche.
Diagnostic : taux élevé de D-dimères (35712 μg/L !), thrombocytopénie immunitaire prothrombotique induite par le vaccin (VIPIT).
https://www.mjhid.org/index.php/mjhid/article/view/4683/4053
• Homme de 53 ans
9 jours après la vaccination par COVID : premiers symptômes
Diagnostic : thromboembolie pulmonaire bilatérale, thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par le vaccin (TIV).
https://www.haematologica.org/article/view/haematol.2021.279000
• Première manifestation de la sclérose en plaques après l’immunisation avec le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19
https://link.springer.com/article/10.1007/s00415-021-10648-w
• Lymphadénopathie axillaire et pectorale induite par le vaccin COVID-19 au PET scan, femme de 72 ans, vaccin Pfizer
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1930043321002612
• Eruption morbilliforme après l’administration du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 mRNA
https://escholarship.org/uc/item/4xs486zg
• 4 cas de myocardite aiguë après une vaccination par ARNm COVID-19 :
Tous ont reçu deux doses
Symptôme ayant conduit à l’hospitalisation : douleur thoracique
https://jamanetwork.com/journals/jamacardiology/article-abstract/2781602
• Homme de 21 ans
30 h après avoir reçu le deuxième vaccin Pfizer Corona : admis aux urgences avec de la fièvre et des douleurs thoraciques.
Diagnostic : myocardite et œdème.
https://jag.journalagent.com/anatoljcardiol/pdfs/AJC-77180-CASE_REPORT-CEREDA.pdf
• Femme de 29 ans
7 jours après la vaccination par COVID : premiers symptômes
Diagnostic : hémorragie intraparenchymateuse dans le lobe temporal gauche, thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par le vaccin (TIV).
https://www.haematologica.org/article/view/haematol.2021.279000
• Femme de 22 ans
2 jours après la vaccination par COVID : frissons, fièvre et maux de tête pendant deux jours
Jour 4 : maux de tête
Jour 7 : crise d’épilepsie
Diagnostic : sang dans l’espace sous-arachnoïdien, occlusion du SSS et des veines cérébrales ascendantes.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33918932/
• Thrombocytopénie immunitaire prothrombotique induite par le vaccin COVID-19.
Cas d’une femme de 23 ans.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8135975/
• Femme de 39 ans
9 jours après la vaccination par COVID, elle s’est présentée à l’hôpital local avec un début aigu de faiblesse du côté gauche, de confusion, de maux de tête et de nausées.
Diagnostic : AVC de l’artère cérébrale moyenne droite
https://journals.sagepub.com/doi/full/10.1177/17511437211027496
• Scotomes scintillants (= taches aveugles qui obstruent une partie de votre vision) après la vaccination COVID
https://link.springer.com/article/10.1007/s00347-021-01435-z
• Homme de 33 ans
Rétinopathie séreuse centrale unilatérale 3 jours après la vaccination COVID (Pfizer-BioNTech BNT162b2)
L’ARN extracellulaire et le polyéthylène glycol (PEG)-2000 pourraient être impliqués dans la pathophysiologie.
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2451993621001456
• Femme de 27 ans
troubles visuels dans son œil gauche après la vaccination par AstraZeneca COVID
Diagnostic : neurorétinopathie maculaire aiguë
https://www.nature.com/articles/s41433-021-01610-1
• Femme de 21 ans
Une neurorétinopathie maculaire aiguë unilatérale 2 jours après l’administration du vaccin Covid d’Oxford-AstraZeneca.
“Les médecins doivent être vigilants face aux éventuelles déficiences visuelles signalées après la première dose du vaccin AstraZeneca.”
https://www.researchsquare.com/article/rs-632137/v1
• Une femme de 50 ans
S’est présentée aux urgences avec une histoire de trois jours de douleurs dorsales et de maux de tête sévères.
10 jours auparavant, elle avait reçu le vaccin Corona.
Diagnostic : formation de thrombus multifocaux dans la région pelvienne et embolie dans le cerveau.
https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)01238-1/fulltext#sec1
• Homme de 29 ans
9 jours après la vaccination par Corona, il a développé des maux de tête et des douleurs abdominales.
Jour 14 : admis d’urgence à l’hôpital en raison d’un mal de tête sévère et d’une hématémèse.
Diagnostic : thrombose complète du sinus transverse et sigmoïde gauche.
https://link.springer.com/article/10.1007/s00415-021-10599-2
• Un cas de zona après la vaccination Corona (Homme de 68 ans)
https://m.ecevr.org/DOIx.php?id=10.7774/cevr.2021.10.2.198
• Femme de 37 ans
Elle s’est présentée 12 jours après avoir reçu le vaccin Corona avec des maux de tête, une perte du champ visuel, une confusion et une faiblesse du bras.
Diagnostic : occlusion des artères carotides internes, thrombose du sinus transverse et infarctus aigu.
https://jnnp.bmj.com/content/early/2021/06/03/jnnp-2021-326984
• Hémorragie intracérébrale sept jours après la deuxième dose d’un vaccin Covid à base d’ARNm.
“Les infectiologues et les neurologues doivent rester vigilants quant aux complications de la vaccination contre le SRAS-CoV-2.”
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2589238X21000292#f0005
• Des lésions purpuriques sur les paupières se sont développées après le vaccin BNT162b2 mRNA covid19 :
” … pourraient représenter une forme très légère et localisée de microangiopathie induite par le vaccin. “
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/jdv.17340
• Dermatite de rappel des radiations (= réaction inflammatoire aiguë localisée à une zone de la peau préalablement exposée aux radiations) déclenchée par le vaccin inactivé COVID-19
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/ced.14786
• Syndrome de Steven-Johnson induit par le vaccin Covid-19 (= réaction indésirable cutanée grave)
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/ced.14784
• Réaction cutanée localisée à un vaccin ARNm COVID-19
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/jocd.14288
• Réaction érythrodermique généralisée observée 48 heures après l’administration de la première dose du vaccin Moderna.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7959672/
• Éruption maculopapulaire persistante après la première dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/jdv.17248
• Purpura thrombocytopénique immunitaire (réduction des plaquettes sanguines en circulation ; maladie auto-immune) associé au vaccin ARNm COVID-19 Pfizer-BioNTech BNT16B2b2
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/jdv.17444
• Un cas de myélite transverse étendue longitudinalement après une vaccination contre le Covid-19
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8223023/
• Une femme de 75 ans a développé une éruption érythémateuse confluente sur son torse et une éruption purpurique symétrique sur les zones de guêtres de ses membres inférieurs 2 jours après la vaccination.
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/ced.14673
• Une femme de 60 ans a développé une éruption cutanée 2 semaines après avoir reçu le vaccin Covid à ARNm
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33835617/
• Complications neurologiques du COVID-19 : Syndrome de Guillain-Barré après le vaccin COVID-19 de Pfizer
IRM sagittale T1 post-contraste de la colonne lombaire montrant un rehaussement des racines nerveuses cauda equina
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7978140/
• Éruption purpurique et thrombocytopénie après le vaccin COVID-19 de mRNA-1273 (Moderna)
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7996471/
• Le phénomène de rappel des radiations induit par le vaccin COVID-19 (= réaction cutanée inflammatoire aiguë apparaissant dans des zones localisées coïncidant avec une radiothérapie précédemment irradiée)
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0360301621002339
• Ischémie des membres et thrombose de l’artère pulmonaire après le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 (Oxford-AstraZeneca) : un cas de thrombocytopénie immuno-thrombotique induite par le vaccin
https://www.cmaj.ca/content/193/24/E906
• Thrombocytopénie immunitaire chez un jeune de 22 ans après le vaccin Covid-19 :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8014773/
• Pityriasis rosea après la vaccination CoronaVac COVID-19
“Alors que la campagne mondiale de vaccination contre la pandémie de COVID-19 se poursuit, nous soulignons que le pityriasis rosé peut résulter du nouveau vaccin Covid”
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/jdv.17316
• Exacerbation du lupus érythémateux cutané subaigu après vaccination avec le vaccin à ARNm BNT162b2
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/dth.15017
• Une américaine perd ses deux jambes et ses deux bras après la 2e injection du Pfizer. Son mari fait une demande de donation pour couvrir les frais médicaux :
https://www.gofundme.com/f/22h9pf-fundraiser-for-jummai-naches-medical-expenses
• un jeune français de 18 ans, Quentin Caron, myocardite après la 1e dose du Pfizer :
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/aude/temoignage-narbonne-mon-fils-de-18-ans-a-failli-mourir-d-une-myocardite-apres-sa-premiere-dose-de-vaccin-anti-covid-2195158.html?
• Une femme de 49 ans
1 semaine après avoir reçu le vaccin Covid (Pfizer) : fièvre, fatigue et maux de tête suivis de lésions cutanées touchant le tronc, le visage et les membres.
Diagnostic : syndrome de Stevens-Johnson/nécrolyse épidermique toxique induite par le vaccin.
https://www.cureus.com/articles/68051-toxic-epidermal-necrolysis-post-covid-19-vaccination—first-reported-case
• 63 patients (âge moyen : 15,6 ans !). 92% étaient des hommes.
Tous avaient reçu les vaccins COVID, sauf un, présenté après la 2ème dose.
4 avaient une dysrythmie
14% avaient un léger dysfonctionnement ventriculaire gauche
88% avaient une myocardite
https://pediatrics.aappublications.org/content/early/2021/08/12/peds.2021-053427.long
• Une mère a reçu la deuxième dose du vaccin Covid.
Son enfant de 5 mois allaité au sein a développé une éruption cutanée et, dans les 24 heures, il était inconsolable, refusait de manger et avait de la fièvre.
Le nourrisson a été hospitalisé et est décédé.
VAERS ID 1166062-2 : https://www.medalerts.org/vaersdb/findfield.php?IDNUMBER=1166062-1
• Un cas de réactivation du virus varicelle-zona après avoir reçu la deuxième dose du vaccin CovidVaccine de Pfizer-BioNTech :
“… il est raisonnable d’émettre l’hypothèse que le stress immunitaire induit par la vaccination a déclenché la réactivation du virus varicelle-zona…”
https://link.springer.com/article/10.1007/s00011-021-01491-w
• Cas d’herpès zoster après avoir reçu le vaccin Covid
Rapport de la Turquie
https://link.springer.com/article/10.1007%2Fs00011-021-01491-w
• Une femme de 25 ans
Essoufflement d’apparition aiguë 2 jours après avoir reçu le vaccin Moderna Covid
Le scanner a révélé une embolie pulmonaire bilatérale
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2213333X21003929?via%3Dihub
• Un homme de 33 ans
8 jours après la vaccination par COVIDV (COVAXIN) : gonflement sous les deux yeux. 25ème jour : essoufflement
Diagnostic : hyperéosinophilie avec atteinte multiorganique de la peau, du tissu sous-cutané et du myocarde (myocardite).
Cas en Inde
https://www.researchsquare.com/article/rs-806335/v1
• Un cas de zona après avoir reçu le vaccin Covid (AstraZeneca) :
La vaccination peut provoquer la réactivation de l’herpès zoster en permettant au virus varicelle-zona de sortir de sa phase de latence.
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/jdv.17576
• Un homme de 34 ans
1 jour après avoir reçu la deuxième dose de Covid Vaccine (Moderna) : fièvre, myalgies et douleurs thoraciques
Diagnostic : myocardite
https://www.cjcopen.ca/article/S2589-790X(21)00193-1/fulltext
• Un homme de 22 ans
Après avoir reçu le vaccin Covid (Moderna) : douleurs corporelles et fièvre. 3 jours plus tard : douleur thoracique aiguë substernale non irradiante.
Diagnostic : périmyocardite
https://bmccardiovascdisord.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12872-021-02183-3
• Un homme de 69 ans
Acquiert l’hémophilie A (= maladie hémorragique dans laquelle les patients développent des auto-anticorps dirigés contre le facteur de coagulation VIII) après avoir reçu le vaccin Covid.
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/jth.15291
• Un homme d’une cinquantaine d’années
17 jours après la vaccination par COVID (AstraZeneca) : maux de tête, douleurs abdominales, vomissements, dysphasie et confusion.
Diagnostic : Thrombose veineuse cérébrale associée au VITT.
Cas au Royaume-Uni
https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)01608-1/fulltext
• Éruption pustulaire neutrophilique faciale chez 2 patients. Elle s’est développée dans les 24 heures suivant l’administration du vaccin Moderna Covid.
Les patients n’avaient PAS d’antécédents d’allergies connues, de rosacée ou d’infection antérieure par le SARS-CoV-2.
Rapport des États-Unis
https://jamanetwork.com/journals/jamadermatology/fullarticle/2782441
• Un homme de 33 ans
Des douleurs dorsales, une hématurie, des maux de tête et une douleur dans la jambe inférieure droite ont commencé 3 semaines après avoir reçu le vaccin AstraZeneca Covid.
thrombus de la veine rénale droite s’étendant dans la veine cave inférieure avec quelques infarctus rénaux
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8276919/
• Un homme de 63 ans
20 jours après la vaccination COVID (AstraZeneca) : paresthésie de la jambe et du pied gauche
thrombocytopénie immuno-thrombotique induite par le vaccin, thrombus dans l’artère pulmonaire et thrombus dans l’aorte infrarénale.
Une amputation de la partie avant du pied est prévue.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8248449/
• Un adolescent de 17 ans
Janvier 2021 : myocardite
Un jour après avoir reçu la deuxième dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID (en avril) : myocardite à nouveau
Épisode récurrent de myocardite : déclenché par la vaccination
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8216855/
• Une femme de 40 ans
6 jours après la vaccination par COVID (Janssen) : maux de tête, courbatures, fièvre et frissons.
Jour 12 : maux de tête intolérables ; service des urgences
Thrombocytopénie, d-dimères 45 570 ng/ml (!), embolie pulmonaire et thrombose du sinus veineux dural.
https://www.aafp.org/afp/2021/0601/p646.html
• Femme de 26 ans
3 jours après la vaccination par COVID (AstraZeneca) : douleurs corporelles, fatigue et céphalées bilatérales progressives.
Plus tard : hémiplégie droite & aphasie
Diagnostic : accident vasculaire cérébral ischémique aigu, embolie pulmonaire et thrombose de la veine porte.
Rapport de France
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1052305721003451
• Présentation de type encéphalomyélite aiguë disséminée après une vaccination corona avec un vaccin à coronavirus inactivé (Sinovac) :
Une femme de 46 ans. Un rapport de Turquie.
https://link.springer.com/article/10.1007/s13760-021-01699-x
• Réactivation d’une kératite herpès simplex après une vaccination contre le COVID-19
Un homme de 82 ans s’est présenté au service des urgences ophtalmologiques avec un œil gauche douloureux, larmoyant et rouge. Ses symptômes avaient débuté une semaine auparavant, le lendemain de sa première dose de vaccination contre le nouveau COVID-19 (AstraZeneca).
https://casereports.bmj.com/content/14/9/e245792.long
• Patiente de 79 ans, adressée au service en raison d’une éruption psoriasiforme disséminée et prurigineuse, qui avait débuté 10 jours après avoir reçu la première injection du vaccin COVID-19 Comirnaty®.
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/jdv.17561
• Un homme de 72 ans
2 semaines après avoir reçu le vaccin Covid (Covishield) : apparition d’un nouveau pityriasis rubra pilaris (PRP ; une dermatose papulosquameuse chronique rare et acquise)
“Le PRP est un nouvel ajout aux événements indésirables consécutifs au vaccin…”
https://content.iospress.com/articles/international-journal-of-risk-and-safety-in-medicine/jrs210048
• Un homme de 62 ans
Après avoir reçu le vaccin Moderna Covid :
une éruption vésiculaire sur sa poitrine antérieure, le haut de son torse, ses pieds et ses mains.
“Il y a une forte probabilité que l’éruption cutanée soit induite par le vaccin Moderna COVID-19 …”
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S240546902100145X?via%3Dihub
• Une femme de 52 ans (Diabète de type 2 et obésité morbide)
Quelques jours après la vaccination (vaccin Covid, Pfizer) : éruption érythémateuse généralisée sur le bras
1 semaine plus tard : fatigue & détérioration marquée de l’éruption (extension aux jambes)
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34416058/
• Un homme de 43 ans
15 jours après la deuxième administration du vaccin Pfizer-BioNTech Covid : éruption purpurique sur les deux membres inférieurs.
https://www.mdpi.com/2076-393X/9/7/760/htm
• Une femme d’âge moyen
5 jours après la 2e dose du vaccin Pfizer Covid : grosses bulles de couleur rouge dans la région rétromolaire, taches jaune blanchâtre sur toute la langue et les lèvres, multiples grands ulcères sur la langue et le palais.
Diagnostic : Syndrome de Stevens-Johnson
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2212440321005058
• Un homme de 77 ans
1 jour après l’administration du vaccin Covid. (Moderna) : fièvre
Puis : éruption cutanée généralisée, maux de tête, vertiges, vision double et plus tard encéphalopathie sévère.
Diagnostic : méningo-encéphalite aseptique aiguë avec syndrome de Sweet.
https://casereports.bmj.com/content/14/7/e243173.long
• Un homme de 61 ans
5 jours après avoir reçu la 2e dose du vaccin Covid (Pfizer-BioNTech) : aggravation des céphalées & vomissements au cours des 2 jours suivants.
hémorragies intracérébrales & thrombose du sinus veineux cérébral
https://thejcn.com/DOIx.php?id=10.3988/jcn.2021.17.4.573
• Cas de myocardite signalés au VAERS par année
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0146280621002267?via%3Dihub (article supprimé, archive disponible ici)
• Hépatite à médiation immunitaire avec le vaccin Moderna, ce n’est plus une coïncidence mais une confirmation.
“Le suivi à long terme des personnes identifiées sera essentiel pour déterminer le pronostic de cette lésion hépatique à médiation immunitaire.”
https://www.journal-of-hepatology.eu/article/S0168-8278(21)02093-6/fulltext
• Un homme de 66 ans atteint d’un carcinome épidermoïde (sans progression ni récidive) :
4 jours après la 2ème dose du vaccin Covid (Pfizer/BioNtech) : hémoptysie persistante (= saignement des voies respiratoires, expectoration de sang)
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/1759-7714.14179
• Érythème polymorphe névrotique après avoir reçu le vaccin Covid (Pfizer-BioNTech)
Plaques érythémateuses en forme d’anneau entourant les naevus mélanocytaires (= grains de beauté).
Érythème polymorphe : généralement déclenché par des infections (par exemple, le virus de l’herpès simplex).
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/jdv.17688
Archive :
• Un américain de 60 ans, après la 2e dose du Pfizer, les symptômes sont apparus 2h1/2 après :
https://childrenshealthdefense.org/defender/healthcare-worker-dies-4-days-after-second-pfizer-shot/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=88702226-40f0-46ed-9837-7516aff85cc2
https://www.foxla.com/news/oc-health-care-worker-dies-after-receiving-2nd-shot-official-cause-of-death-pending
• 13 allemands au Lac de constance, après la vaccination :
https://translate.google.com/translate?sl=de&tl=fr&u=https://de.rt.com/inland/112315-bodensee-dreizehn-pflegeheimbewohner-sterben-nach/
article original : https://de.rt.com/inland/112315-bodensee-dreizehn-pflegeheimbewohner-sterben-nach/
• 2 danois décédés après le Pfizer :
https://translate.google.com/translate?sl=da&tl=fr&u=https://ekstrabladet.dk/nyheder/samfund/to-er-doede-efter-vaccine-sammenhaeng-er-mindre-sandsynlig/8422212
• Un suédois de 84 ans fait une crise cardiaque un jour après le Pfizer :
https://www.breitbart.com/europe/2021/01/01/death-of-elderly-swede-after-coronavirus-vaccination-referred-for-possible-investigation/
• Hank Aaron, 86 ans, joueur de baseball américain, mort 2 semaines après son injection, il encourageait les afro-américains à se faire vacciner comme lui : https://www.newsweek.com/health-experts-hope-hank-aarons-death-doesnt-deter-people-covid-vaccine-1563914
Son compte tweeter : https://twitter.com/HenryLouisAaron/status/1346598799993667588
• Mort d’un homme de Californie du Nord plusieurs heures après que le vaccin COVID-19 ait été administré.
https://www.msn.com/en-us/health/medical/death-of-northern-california-man-after-covid-19-vaccine-under-investigation/ar-BB1d4q9i
• L’Agence norvégienne des médicaments associe 33 décès aux effets secondaires du vaccin.
https://www.todayonline.com/world/covid-19-no-links-between-pfizer-vaccine-and-deaths-elderly-norwegians-patients-already
• 3 décès dus à la vaccination en 4 jours, que se passe-t-il dans les États du Telugu (Inde)
https://tolivelugu.com/three-corona-vaccination-deaths-in-four-days-tensions-in-telugu-states/
• Un californien meurt quelques heures après l’injection le 21/01/2021 :
https://www.foxnews.com/us/california-resident-dies-several-hours-after-receiving-covid-19-vaccine
• Un médecin italien de 45 ans :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=en&u=https://www.affaritaliani.it/cronache/aversa-morto-medico-di-45-anni-per-arresto-cardiaco-aveva-fatto-il-vaccino-718505.html
Article original : https://www.affaritaliani.it/cronache/aversa-morto-medico-di-45-anni-per-arresto-cardiaco-aveva-fatto-il-vaccino-718505.html
• Une infirmière américaine de 39 ans :
https://www.lifesitenews.com/news/39-year-old-nurse-aide-dies-within-48-hours-of-receiving-mandated-covid-19-shot
• 17 polonais :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://stopnop.com.pl/smierc-covid/
Article original : https://stopnop.com.pl/smierc-covid/
• 7 morts dans un Ehpad en Espagne après la vaccination alors qu’ils n’avaient pas eu de morts du covid :
https://healthimpactnews.com/2021/7-dead-and-100-of-residents-infected-in-spanish-nursing-home-after-being-injected-with-experimental-pfizer-mrna-covid-shots/
• une française de 110 ans :
https://www.lejsl.com/societe/2021/02/03/a-110-ans-la-doyenne-de-la-saone-et-loire-nous-a-quittes
• un breton de 108 ans :
https://www.ouest-france.fr/bretagne/camille-lehoux-le-doyen-des-bretons-est-decede-a-108-ans-7141447
• un infirmier italien de 42 ans (après 2e dose du Pfizer) et une pharmacienne italienne de 49 ans :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.secondopianonews.it/news/cronaca/2021/01/27/un-altro-infermiere-muore-nel-sonno-infarto-aveva-fatto-la-seconda-dose-di-vaccino.html
Article original : https://www.secondopianonews.it/news/cronaca/2021/01/27/un-altro-infermiere-muore-nel-sonno-infarto-aveva-fatto-la-seconda-dose-di-vaccino.html
• 21 morts italiens dans une maison de retraite à Côme après la vaccination. 85 résidents sur 93 et 54 soignants testés positifs après la première injection :
https://www.secondopianonews.it/news/cronaca/2021/01/25/strage-di-anziani-in-rsa-a-como-21-morti-erano-stati-vaccinati-positivi-85-ospiti-e-54-sanitari.html
• US, une femme de 58 ans en Virginie :
https://www.msn.com/en-us/news/us/virginia-woman-dies-shortly-after-receiving-coronavirus-vaccine/ar-BB1dqFKP
• Rupture d’anévrisme, coma, et mort d’une jeune maman américaine de 28 ans (après la 2e dose du Pfizer) :
Son amie Jacqueline F Gifford en parle en commentaire de ce post : https://www.facebook.com/MyEyewitnessNews/posts/4059257297425862
GoFundMe pour ses funerailles avec plus de details : https://www.gofundme.com/f/help-sara-stickles-with-her-medical-bills?utm_campaign=p_cp+share-sheet&utm_medium=copy_link_all&utm_source=customer et article
• UK : 107 morts, 50.000 effets indésirables dont 67 paralysies de Bell, 5 aveugles :
https://www.afinalwarning.com/497702.html
• Trop d’effets indésirables de l’AstraZeneca chez les soignants en France, plusieurs articles :
https://www.lavoixdunord.fr/935189/article/2021-02-12/trop-d-effets-secondaires-trop-de-soignants-en-arret-maladie-plusieurs-hopitaux Dordogne :
https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/dordogne/trop-d-effets-indesirables-les-hospitaliers-de-dordogne-ne-veulent-pas-se-faire-vacciner-par-astra-zeneca-1958278.html?utm_medium=Social&utm_source=Facebook#Echobox=1613467733 Brest et Saint-Lô :
https://www.charentelibre.fr/2021/02/12/vaccin-astrazeneca-des-effets-secondaires-forts-a-surveiller,3707925.php Rouen :
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-effets-secondaires-importants-du-vaccin-astrazeneca-sur-des-soignants-a-rouen_4294523.html
• Six pays européens suspendent l’utilisation d’un lot de vaccins AstraZeneca
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/six-pays-europ%C3%A9ens-suspendent-lutilisation-dun-lot-de-vaccins-astrazeneca/ar-BB1ethgq
• Covid-19 : le Danemark, l’Islande et la Norvège suspendent le vaccin AstraZeneca par précaution
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-danemark-l-islande-et-la-norvege-suspendent-le-vaccin-astrazeneca-par-precaution_4328883.html
• 7 décès, 17 effets secondaires graves et 2776 effets indésirables en Corée du Sud. Le gouvernement sud-coréen enquête sur ces 7 décès survenus après la vaccination Covid-19 avec le vaccin d’Astrazeneca : https://www.rt.com/news/517423-korea-vaccine-deaths-rise
• La peau d’un homme du comté de Goochland se décolle après une réaction indésirable extrême au vaccin COVID-19 (Johnson & Johnson)
https://greatgameindia.com/skin-peels-off-covid-19-vaccine/
• 21 morts à l’Île-du-Prince-Édouard (Canada), parmi les 645 personnes ayant subi des effets secondaires du vaccin à ARNm. (Sur 166, les symptômes ont persisté jusqu’au moment de la notification, tandis que l’état de 118 autres personnes était incertain au moment de la notification) :
https://translate.google.com/translate?sl=de&tl=fr&u=https://corona-blog.net/2021/01/21/3-sicherheitsbericht-des-pei-21-tote-mit-mrna-impfung-und-2-629-unerwuenschte-reaktionen/
Article original : https://corona-blog.net/2021/01/21/3-sicherheitsbericht-des-pei-21-tote-mit-mrna-impfung-und-2-629-unerwuenschte-reaktionen/
• une australienne de 48 ans meurt de caillots sanguins six jours après l’AstraZeneca :
https://www.abc.net.au/news/2021-04-17/autopsy-may-reveal-more-about-clotting-death-astrazeneca/100076254
https://www.dailymail.co.uk/news/australia-top-news/article-9481209/Heartbroken-family-woman-died-days-receiving-AstraZeneca-vaccine-mourn-death.html
• un australien de 55 ans meurt de caillots sanguins six jours après l’AstraZeneca :
https://www.northerndailyleader.com.au/story/7229465/family-devastated-after-shock-death-of-55-year-old-tamworth-man/
• deux australiens de 48 et de 71 ans meurent après l’injection de l’AstraZeneca, et quatre cas de caillots sanguins :
https://www.newsbreak.com/news/0ZVt7ROX/urgent-investigation-after-two-new-south-wales-men-including-a-fit-and-healthy-55-year-old-die-days-after-getting-a-covid-19-vaccine
• un australien de 74 ans décède pour des caillots de sang après l’AstraZeneca à l’hôpital après que les médecins ont refusé plusieurs fois de le soigner :
https://www.9news.com.au/national/adelaide-astrazeneca-vaccine-blood-clot-clive-haddon-south-australia-news/c9986d36-7c3c-448e-a09c-6cd9887dbc9b
• une australienne de 18 ans a eu des caillots sanguins au niveau des poumons après l’injection de l’AstraZeneca :
https://www.news.com.au/national/queensland/trainee-nurse-suffers-three-blood-clots-after-astrazeneca-vaccine/news-story/89e3ccb3d28f3c4ea23f913f0b909c24
L’article dit que 57,8% des australiens qui ont reçu l’AstraZeneca ont eu des effets secondaires.
• Thrombocytopénie immuno-thrombotique et thrombose du sinus veineux cérébral (TSVC) induites par le vaccin ChAdOx1 nCOV-19 :
“Malgré une prise en charge médicale et chirurgicale complète, le
patient est décédé”.
https://casereports.bmj.com/content/14/6/e243931.abstract
• Cas d’une femme de 54 ans
Thrombose veineuse cérébrale et coagulation intravasculaire disséminée après la vaccination par COVID :
“La patiente est décédée après 5 jours d’hospitalisation en soins intensifs”.
https://www.mdpi.com/2075-4426/11/4/285/htm
• Femme de 47 ans
7 jours après la vaccination COVID (AstraZeneca) : premiers symptômes
Diagnostic : hémorragie parenchymateuse et sous-durale, thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par le vaccin (TIV).
Elle est décédée le 6ème jour d’hospitalisation
https://www.haematologica.org/article/view/haematol.2021.279000
• Trois cas d’hémorragie intracérébrale après la vaccination COVID :
“Finalement, les trois patients ont succombé à leurs importantes blessures crâniennes.”
https://www.mdpi.com/2077-0383/10/13/2777/htm
• Une femme de 36 ans
S’est présentée aux urgences avec l’apparition soudaine de convulsions focales du côté gauche et de graves maux de tête.
Deux semaines avant la consultation, elle avait reçu la première dose du vaccin Corona.
Elle est décédée 4 jours après son admission
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1052305721003414
• Thrombocytopénie immuno-thrombotique et thrombose du sinus veineux cérébral (TSVC) induites par le vaccin ChAdOx1 nCOV-19 :
“Malgré une prise en charge médicale et chirurgicale complète, le patient est décédé”.
https://casereports.bmj.com/content/14/6/e243931.abstract
• Un homme de 33 ans (Corée)
9 jours après avoir reçu le vaccin Covid (AstraZeneca) : maux de tête et vomissements.
3 jours plus tard : admis aux urgences ; apparition soudaine d’une sensation de picotement dans le bras droit et changement de comportement.
hémorragie intracérébrale
il est décédé
https://jkms.org/DOIx.php?id=10.3346/jkms.2021.36.e223
• Femme de 55 ans
7 jours après la première dose du vaccin COVID (AstraZeneca) : douleurs abdominales
Plus tard : hémiparésie droite, convulsions et coma
infarctus cérébral & thrombose des artères pulmonaires
“La mort cérébrale a été déclarée 24 heures plus tard”
https://www.researchsquare.com/article/rs-448338/v1
• Une femme de 37 ans
7 jours après la 1ère dose du vaccin Covid (Johnson & Johnson) : céphalées, myalgies et fièvre. 3 jours plus tard : maux de tête persistants et apparition d’une douleur à la jambe gauche. 2 jours plus tard : vomissements.
Thrombose du sinus sagittal supérieur
Elle est morte.
https://link.springer.com/article/10.1007/s15010-021-01712-8
• Réactivation du virus de l’hépatite C après la vaccination COVID :
“Le patient … est décédé trois semaines après la vaccination COVID-19 d’une insuffisance hépatique”. (82 ans, Pfizer)
https://www.dovepress.com/hepatitis-c-virus-reactivation-following-covid-19-vaccination–a-case–peer-reviewed-fulltext-article-IMCRJ
En bonus, les courbes de cas positifs et de décès Covid en Grande Bretagne après le début de la campagne de vaccination :
Décès covid avant et après vaccination pour Gibraltar, les Seychelles et Monaco :
Plus de 400 captures d’écran de groupes Facebook concernant les réactions aux vaccins, faites défiler la galerie :
Chaîne Odysee avec une centaine de vidéos de personnes souffrantes d’effets indésirables après une injection de vaccin covid : https://odysee.com/@Covid-19_Vaccine_Injuries:2
Revue de parutions scientifiques sur les vaccins et leurs effets secondaires : https://twitter.com/DrJohnB2
Le biologiste et virologue Stefan Lanka explique :
L’histoire et la philosophie de la Grèce antique à l’origine du culte de la virologie (Démocrite et Épicure), et nous tient au courant de son étude révolutionnaire qui va réfuter les principes de base de la virologie.
Pourquoi la “théorie des virus/germes” est en fait une religion.
Il parle du journal personnel de Pasteur dans lequel il admet avoir commis des fraudes pour promouvoir sa “théorie des germes” qui n’est qu’un plagiat.
Le VIH, la polio, l’Ebola et de nombreux autres soi-disant “virus” (tous les virus) sont une supercherie.
Comment le terme scientifique “virus” a été détourné et sa définition silencieusement modifiée afin d’amener la communauté “scientifique” et le monde à adhérer fermement au paradigme de la fausse théorie des germes/virus à des fins de profit et de contrôle des populations.
La raison pour laquelle la “science” a intentionnellement utilisé cette fraude pour avoir une explication de la maladie et du mal qui n’inclue pas Dieu ou la création.
Expose que le concept de cancer et de “métastase” est également trompeur – la métastase est l’endroit où un “cancer” se détache et se propage à d’autres parties du corps et encourage tout le monde à étudier les recherches approfondies du Dr Harold Hillman qui a également exposé une grande partie de ce concept il y a plusieurs décennies…
Explique comment le domaine de la “virologie” est “un mécanisme qui se dément lui-même et qui se réfute simplement par la nature de son processus”.
Il déclare (et a prouvé devant la Cour suprême d’Allemagne) qu'”aucun virus prétendument contagieux, de quelque nature que ce soit, n’a jamais été observé, isolé ou séquencé génétiquement dans le corps d’une personne prétendument infectée par un virus…”. – En fait, il n’y a aucune preuve scientifique de l’existence d’un tel virus.
La vérité se répand rapidement dans beaucoup de pays – “Plus de 30 % de la population allemande ne croit plus à la validité du concept théorique de germe/virus”.
Mentionne l’excellente recherche sur la véritable origine des maladies menée par le Dr Geerd Hamer, intitulée “Nouvelle médecine allemande” [Germanic New Medicine].
Les docteurs Mark Bailey et John Bevan-Smith viennent de publier un article choc intitulé “La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité”.
Ils couvrent tout ce qui se cache derrière la fraude – y compris les acteurs, la PCR, la virologie, la modélisation et plus encore.
Le COVID-19 est une fraude parce que son agent causal présumé, un prétendu nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2, n’a pas été prouvé comme existant dans la nature et n’a donc pas été établi comme la cause du COVID-19, la maladie et la pandémie inventées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Pour la même raison, il n’y a pas de variants du “virus”, qui n’existent que de manière hypothétique dans les ordinateurs, les banques de gènes en ligne et dans l’esprit de personnes innocentes qui ont été complètement bernées par leurs gouvernements.
La fraude du COVID-19, avec ses nombreuses allégations grotesques, ne constitue rien de moins qu’une guerre contre l’humanité menée par des organisations telles qu’Anser, Fors Marsh et Palantir qui mènent l’escroquerie par l’intermédiaire de Big Pharma, avec ses soutiens et ses complices, notamment le Forum économique mondial, la Fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, les conglomérats technologiques, les médias de masse, les gouvernements complices et les “pirates” du COVID tels que l’UNC Chapel Hill et l’Imperial College London, pour ne citer que quelques bénéficiaires de la fraude.
Le COVID-19 est une guerre contre l’humanité parce que les politiciens et leurs gouvernements continuent d’utiliser cette maladie imaginaire pour terroriser et emprisonner leurs citoyens, en les privant de leurs droits fondamentaux et de leurs libertés, et en violant leurs corps autrefois inviolables par des injections expérimentales et dangereuses contenant une séquence d’ARNm de protéine spike générée par ordinateur qui ordonne au corps de s’empoisonner. Ces injections infâmes, qui contiennent également des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées, affectent des millions de personnes et en tuent plusieurs milliers dans le monde entier, dont 218 Néo-Zélandais au 2 octobre 2021.[1]Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Conférence de presse, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), … Continuer à lire
Une fraude virologique est au cœur de ces crimes contre l’humanité : le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé physiquement ni démontré comme étant l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Dans cet article, les auteurs examinent le monde illusoire de la virologie pour expliquer comment un virus que personne n’a vu ni ne sait d’où il vient, dont personne ne sait ce qu’il fait ni où il va, traverse, selon les fraudeurs, les frontières et les barrières et vient vous chercher où que vous soyez. Comment se fait-il, demandent les auteurs, que cette folie fantasmagorique se soit transformée en un monde empreint de peur, dans lequel les gouvernements démocratiques ont abandonné les principes démocratiques pour s’engager dans le contrôle et la “suppression d’êtres humains”, ce qui pourrait simplement se transformer en une “variante” de la troisième guerre mondiale ?[2]Holger Fischer, in Burkhardt et al., “Cause of death after Covid-19 vaccination”, 2:19:13.
Première partie
L’agenda mondialiste
Ne vous méprenez pas, nous sommes actuellement assaillis par une fraude mondiale d’une telle ampleur et d’une telle malveillance qu’elle menace notre existence même telle que nous la connaissons sur cette planète.
L’escroquerie concerne un prétendu nouveau coronavirus, inventé et non découvert par la virologie, qui a permis à Bill Gates de prédire une pandémie unique en son genre, nécessitant des milliards de vaccins pour la combattre, ce qui lui permet d’augmenter considérablement les actifs du Bill and Melinda Gates Trust qui se trouve aux côtés de la Bill and Melinda Gates Foundation (BMGF).[3]Bill Gates, “Responding to Covid-19 – A Once-in-a-Century Pandemic ?”, The New England Journal of Medicine (28 février 20) : … Continuer à lire
Un autre qui se préparait avec impatience au déploiement de ces ” vaccins ” de masse, qui ne sont pas des vaccins mais des armes biologiques, était Peter Daszak de EcoHealth Alliance. Comme il l’a déclaré en 2015, “nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité des MCM [Contre-mesures médicales], comme un vaccin pan-influenza ou pan-coronavirus. Les médias sont un facteur clé, et l’économie suit le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront s’ils voient des bénéfices à la fin du processus.”[4]“Developing MCMs for Coronaviruses”, dans Rapid Medical Countermeasure Response to Infectious Diseases : Enabling Sustainable Capabilities Through Ongoing Public- and Private-Sector … Continuer à lire
En septembre 2019, le Global Preparedness Monitoring Board, une création de l’OMS et de la Banque mondiale, a conseillé aux pays de se préparer à un potentiel “pathogène respiratoire mortel” en investissant dans “des vaccins et des thérapeutiques innovants, une augmentation de la capacité de fabrication, des antiviraux à large spectre et des interventions non pharmaceutiques appropriées”. [5]Global Preparedness Monitoring Board, “A World at Risk”, (Sept 2019), https://constitutionwatch.com.au/wpcontent/uploads/A-world-at-risk-WHO.pdf Ils ont également conseillé que “tous les pays doivent développer un système pour partager immédiatement les séquences génomiques de tout nouveau pathogène”.[6]Ibid.
Le monde était préparé à une ” pandémie ” et le 4 décembre 2019, le Dr Anthony.
Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré que son agence ” menait et soutenait des recherches pour développer des technologies de plateforme vaccinale de pointe qui pourraient être utilisées pour développer des vaccins antigrippaux universels ainsi que pour améliorer la vitesse et l’agilité du processus de fabrication des vaccins antigrippaux “. Ces plates-formes technologiques comprennent l’ADN, l’ARN messager (ARNm), les particules de type viral, les vaccins à base de vecteurs et les nanoparticules auto-assemblées.[7]Anthony S. Fauci, “The Role of the National Institutes of Health in Research Addressing Seasonal and Pandemic Influenza”, témoignage devant le House Committee on Energy and Commerce … Continuer à lire Tout était donc prêt pour libérer les technologies génétiques et les nanoparticules sur des populations sans méfiance, sous couvert d’une crise sanitaire à quelques semaines de distance. Il suffisait de remplacer la grippe, qui n’avait plus réussi à effrayer le monde depuis longtemps, par un “nouveau” coronavirus mortel imaginaire.
Les événements qui se sont déroulés au cours des 20 derniers mois auraient semblé inconcevables il y a encore deux ans, sauf dans l’esprit de personnes comme Gates et Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial.
Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, qui avaient déjà imaginé de détruire la démocratie de l’intérieur par une réponse autodestructrice induite par la peur d’un tel virus. Comme Schwab l’a écrit dans La Grande Réinitialisation, semant les graines de son programme mondial : “Depuis qu’il a fait son entrée sur la scène mondiale, le COVID-19 a radicalement bouleversé la façon de gouverner les pays, de vivre avec les autres et de prendre part à l’économie mondiale. “[8]Klaus Schwab et Thierry Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation (Forum Publishing, Genève, 2020), Couverture arrière C’était une affirmation extraordinaire pour un coronavirus si “nouveau” que les séquences des protéines de pointe (spike) étaient déjà brevetées par leurs inventeurs et, dans le cas du brevet américain 7279327 B2, attribué à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, aux États-Unis, en 2007, et prétendument fourni à Moderna en novembre 2019, un mois avant que le COVID-19 ne fasse son entrée sur la scène mondiale à Wuhan.[9]Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No. : US 7,279,327 9 Oct 2007) ; Témoignage du Dr David Martin, “CDC Fraud”, audition de … Continuer à lire C’est la chanson que Schwab aime chanter avec Thierry Malleret : ” La crise mondiale déclenchée par la pandémie de coronavirus n’a pas de parallèle dans l’histoire moderne. Nous ne pouvons pas être accusés d’hyperbole lorsque nous disons qu’elle plonge notre monde dans son ensemble et chacun d’entre nous individuellement dans les moments les plus difficiles que nous ayons connus depuis des générations. C’est un moment décisif pour nous – nous aurons à faire face à ses retombées pendant des années, et beaucoup de choses changeront à jamais”.[10]Schwab et Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation, 11. La choriste mondialiste, ancienne Premier ministre néo-zélandaise, Helen Clark, coprésidente du Groupe indépendant de l’OMS pour la préparation et la réponse à la pandémie, reprend le même refrain hyperbolique : “En moins d’un an et demi, le COVID-19 a infecté au moins 150 millions de personnes et en a tué plus de trois millions. Il s’agit de la pire crise sanitaire et socio-économique combinée de mémoire d’homme, et d’une catastrophe à tous les niveaux… Le COVID-19 est le Tchernobyl du XXIe siècle – non pas parce qu’une épidémie est comparable à un accident nucléaire, mais parce qu’il a montré si clairement la gravité de la menace qui pèse sur notre santé et notre bien-être. Elle a provoqué une crise si profonde et si étendue que les présidents, les premiers ministres et les responsables d’organismes internationaux et régionaux doivent maintenant accepter d’urgence leur responsabilité de transformer la manière dont le monde se prépare et réagit aux menaces sanitaires mondiales.”[11]Helen Clark et S.E. Ellen Johnson Sirleaf, coprésidentes du Groupe indépendant pour la préparation et la réponse aux pandémies, “COVID-19 : Make it the Last Pandemic”, OMS (mai … Continuer à lire
Ces affirmations absurdes et non fondées des mondialistes constituent une source de peur sur laquelle s’appuient les entreprises pharmaceutiques telles que Pfizer pour soutirer de vastes sommes d’argent aux États-nations qui vendent leur peuple pour une bouchée de pain. Cette pratique d’extorsion est à la base de l’accord de fabrication et de distribution qui a fait l’objet d’une fuite entre Pfizer et l’Albanie, en vertu duquel la première exigeait de la seconde qu’elle accepte que le “vaccin” Pfizer soit soumis à des “risques et incertitudes significatifs”, qu’il “puisse ne pas réussir pour” un large éventail de raisons, et que Pfizer n’ait “aucune responsabilité pour tout échec … dans le développement ou l’obtention de l’autorisation du produit conformément aux dates estimées décrites dans cet accord.[12]Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, … Continuer à lire
Derrière les “leurres”, comme David Martin décrit les principaux acteurs pharmaceutiques – Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Merck Ridgeback, Gilead Sciences – se trouvent les criminels parrainés par l’État, les “corsaires” : Anser, “le plus grand contractant de toute la campagne terroriste COVID”, qui gère l’opération Warp Speed ; Fors Marsh, l’agence qui a créé le label COVID-19 et qui est chargée de veiller à ce que le message COVID-19 soit le même dans le monde entier ; Palantir, de Peter Thiels, qui vous suit par téléphone où que vous soyez grâce à Gotham Data Tracking ; et Publicis Sapient, qui coordonne toutes les données COVID-19 et dit au monde entier combien il y a de cas COVID, bien qu’il n’y ait pas de cas COVID à compter.[13]Dr David Martin, Wise Traditions Conference 2021, “Follow the Patents, Then You Will Understand Covid”, (5 Nov 21) : … Continuer à lire Puis il y a les pirates, parmi lesquels on peut compter : Ralph Baric et son Chimera Laboratory à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, qui a reçu plus de 100 millions de dollars depuis 1999 pour transformer en armes les particules du coronavirus, dont 28 millions de dollars du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci pour transformer en armes la protéine spike ; Vanderbilt ; Emory ; Johns Hopkins University ; University of California System ; Massachusetts Institute of Technology ; New York University Langone ; German Centre for Infection Research ; Imperial College London ; Institute for Health Metrics and Evaluation ; et Erasmus.[14]Ibid, 25:11
Le bouton “go” a été poussé sur cette fraude mondialiste lorsqu’un ouvrier de 41 ans s’est présenté à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec des symptômes indiscernables des autres maladies respiratoires courantes parmi les 11 millions de résidents qui subissent une pollution asphyxiante dans la capitale de la province chinoise du Hubei. Le génome d’un virus que personne n’avait vu, et encore moins isolé et purifié, a été publié début janvier 2020, rebaptisé SRAS-CoV-2 par le Comité international de taxonomie des virus le 11 février, le jour même où le chef d’orchestre de la fraude, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus (Tedros), a annoncé son compagnon conséquent : “nous avons maintenant un nom pour la maladie : COVID-19. Je vais l’épeler : C-O-V-I-D trait d’union 1 9 – COVID-19”.[15]“Remarques du Directeur général de l’OMS lors de la réunion d’information à l’intention des médias sur 2019-nCoV le 11 février 2020”, OMS (11 févr. 20), 2/4 : … Continuer à lire
À la fin du mois de mars 2020, la démocratie était à genoux, le peuple en tant que peuple exclu de la vie publique, emprisonné dans ses foyers. Les camps d’exclusion étaient désormais nos maisons. Et puis l’impensable : les politiciens ont annoncé qu’ils allaient inoculer à leurs populations des injections génétiques codées hautement expérimentales, jamais utilisées auparavant sur des humains, et dont les essais cliniques, déjà tronqués et grotesques, devaient encore durer des années.[16]Paul D Thacker, “Covid-19 : un chercheur dénonce les problèmes d’intégrité des données dans l’essai vaccinal de Pfizer”, BMJ, 375/n2635 (2 Nov 21), 1-3 : … Continuer à lire Nos représentants élus n’ont pas pris la peine de nous le dire. Ils ne nous ont pas dit non plus que ceux qui semblaient tolérer l’inoculation initiale pouvaient transporter dans leur corps des bombes à retardement de maladies neurodégénératives et auto-immunes potentielles ainsi que des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées.[17]Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause de la mort après la vaccination Covid-19”, Conférence de presse Conférence, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep … Continuer à lire
Le cheval de Troie
Tout tourne autour de ces deux concepts : absence et présence. De quoi est fait le SARS-CoV-2 : d’absence ou de présence ? Telle est la question que nous devons trancher. Car sans la présence instanciée du SARS-CoV-2, il n’y a pas de cas de COVID-19 à compter, et donc pas de motif ou de justification pour la réponse d’un gouvernement à une pandémie fantôme.
Cet assaut contre l’humanité s’appuie sur un cheval de Troie pour introduire la tromperie dans nos esprits et nos corps, rendant possible la réalisation de l’agenda mondialiste d’un réseau de contrôle de la population dans le but ultime apparent de contrôler les populations de toutes les manières possibles.[18]James Corbett, “Bill Gates et la grille de contrôle de la population”, The Corbett Report, (18 mai 20) : https://odysee.com/@corbettreport:0/gatespopulation:b
Alors que les débats se poursuivent dans le monde entier sur les origines du COVID-19, le nombre de cas les plus récents, sa létalité et l’efficacité des prétendus vaccins, les participants à ces débats semblent tenir pour acquis qu’un virus existe réellement. La grande majorité du public et du corps médical ignore que le cheval de Troie est la virologie moderne et ses méthodes antiscientifiques qui affirment l’existence de virus tels que le SARS-CoV-2. La plupart seraient surpris d’apprendre que le “virus” n’a jamais été trouvé à l’intérieur d’un seul être humain et qu’il n’a jamais été démontré qu’il était la cause d’une quelconque maladie.
La double tromperie de la virologie
Le crime contre l’humanité COVID-19 exige l’absence de ce virus. Il n’existe donc aucune référence matérielle permettant de recouper le génome fictif, afin d’établir, par exemple, si les prétendues protéines du SARS-CoV-2 proviennent spécifiquement du prétendu virus.
Ce tour illusoire repose sur la double tromperie de la virologie : (a) la substitution de la signification du dictionnaire et du postulat scientifique du substantif “isolement” par son contraire ; et (b) la substitution de la fausse procuration consistant à induire des effets cytopathiques (CPE) en inoculant des lignées cellulaires typiquement anormales in vitro par la procuration postulée consistant à infecter un hôte sain ou non malade in vivo pour établir la causalité entre le pathogène supposé et la maladie. Cependant, même l’utilisation de lignées cellulaires “normales” ne permettrait pas d’établir la causalité selon les postulats de Koch ou tout autre postulat scientifique, puisqu’il s’agit simplement d’observations en éprouvette impliquant des virus présumés.
Cette double tromperie constitue une violation des postulats sur lesquels la communauté scientifique s’appuie depuis longtemps. Cette absence physique fait du SARS-CoV-2 une fraude sans faille, que les virologues financés par l’industrie applaudissent et que le complexe médico-pharmaceutique exploite et récompense. Cet art noir est si obscur et son langage si ardu que peu de gens dans le grand public s’arrêteraient pour le remettre en question. Même Stephen Bustin, expert en réaction en chaîne par polymérase (PCR) et créateur des protocoles MIQE conçus pour dompter le “Far West” de la RT-PCR, se laisse prendre à cette fraude virologique, comme il l’a révélé dans son interview avec Eric Coppolino :
Eric Coppolino (EFC) : Mais il y a deux définitions différentes de l’isolement qui circulent. L’une est que vous le séparez de tout le reste, et l’autre est que vous le mettez dans un bouillon et vous le trouvez. Stephen Bustin (SB) : Oui. Eh bien, ce n’est pas vraiment mon domaine d’expertise. En ce qui me concerne, j’ai lu les articles et si c’est la façon standard d’isoler un pathogène, alors je n’ai aucun problème avec cela. EFC : Eh bien, c’est la façon actuelle qui est utilisée, je dirais, que l’idée d’une véritable purification vous le séparez dans une centrifugeuse, et vous savez que vous avez un échantillon de seulement cela. Et c’est ce qui est séquencé et utilisé pour amorcer la PCR. Il ne semble pas que ce soit ce qui se passe… SB : Eh bien, la façon dont la séquence a été établie, en prenant les échantillons du patient original, en cultivant quelque chose, puis en le séquençant, puis en désassemblant la séquence, et ce qui en est ressorti, c’est le virus du SRAS.[19]Remarque : Bustin s’est trompé dans ses souvenirs. Comme nous l’expliquons ci-dessous, cette étape non valide n’a pas été effectuée par les inventeurs du SARS-CoV-2. Qui ressemblait alors de très près à un virus du SRAS de chauve-souris. Et qui était évidemment différent. Donc, ça… Eh bien, vous savez, c’est une façon standard de faire les choses, donc je ne peux pas vraiment faire d’autres commentaires à ce sujet, sauf que pour moi, c’est parfaitement acceptable et c’est la façon de faire.[20]Stephen A Bustin, “Why the need for qPCR publication guidelines?-The case for MIQE”, Methods, 50 (16 Dec 2009), 218 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/ ; Interview de Stephen … Continuer à lire
Les quatre piliers de la fraude COVID-19
‘Si p, alors q ; maintenant q est vrai ; donc p est vrai. Par exemple : “Si les porcs ont des ailes, alors certains animaux ailés sont bons à manger ; maintenant certains animaux ailés sont bons à manger ; donc les porcs ont des ailes. Cette forme de déduction est appelée méthode scientifique. “[21]Bertrand Russell, The Basic Writings of Bertrand Russell 1903-1959 (Londres : Routledge, 1992, publié pour la première fois 1961), 200Bertrand Russell, 1946
La fraude mondiale COVID-19 repose sur quatre piliers, tous interdépendants.
Le premier pilier : L’isolement
La théorie des virus pathogènes remonte au XIXe siècle et les virologues ont passé la première moitié du XXe siècle à essayer d’extraire ces virus présumés directement d’hôtes vivants. Les échecs répétés les ont amenés à changer de cap dans les années 1950 afin de conserver une quelconque crédibilité. Les virologues devaient fournir quelque chose à montrer à leurs investisseurs potentiels, y compris à l’industrie pharmaceutique en plein essor qui s’impatientait de développer des vaccins et des traitements antimicrobiens.
En 1954, des scientifiques ont rapporté qu’ils avaient des preuves de la présence du virus de la rougeole en se basant sur l’observation qu’un échantillon provenant d’un patient atteint de la rougeole avait tué certaines cellules dans un tube à essai. Ces phénomènes sont connus sous le nom d'”effets cytopathiques”.[22]John F Enders et William C Peebles, “Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients with Measles”, Proceedings of the Society for Experimental Biology and Medicine … Continuer à lire Les auteurs ont admis que “bien qu’il n’y ait aucune raison de conclure que les facteurs in vivo [chez l’homme] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro [dans le tube à essai], l’apparition de ces phénomènes … pourrait être associée au virus de la rougeole. “[23]Ibid., 287.
L’apparition du CPE (effet cytopathique) est à la base des allégations frauduleuses d’isolement et de pathogénicité de la virologie moderne : un échantillon (par exemple, un écouvillon nasal) est prélevé sur un patient et mélangé à des cellules dans un tube à essai, les cellules meurent et l’on déclare qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne veulent pas que vous sachiez, c’est que les mêmes résultats peuvent être obtenus sans ajouter de prétendus échantillons de virus dans le tube à essai – en d’autres termes, c’est le processus lui-même, la privation de nourriture de la cellule et l’ajout de diverses substances toxiques telles que des antibiotiques et des antifongiques, qui provoquent la réaction et la mort des lignées cellulaires déjà anormales, sans qu’aucun virus ne soit nécessaire. (Des photographies d’infections “factices” sont parfois fournies, mais les détails de ces expériences se distinguent par leur absence).
Il y a, bien sûr, les images de ce qu’on prétend être le virus à l’origine de tous nos problèmes. Cependant, ces images 3D colorées ne sont rien d’autre que des images générées par ordinateur constituant une représentation artistique.[24]https://www.qwant.com/?client=brz-brave&q=SARS-CoV-2+images&t=images Elles ont été utilisées par les médias du monde entier pour alimenter l’imagination du public sur l’existence d’un minuscule microbe ressemblant à une mine marine qui pourrait le frapper et le couler à tout moment. Quant aux images de micrographie électronique mises en avant dans les publications scientifiques, elles montrent simplement des nanoparticules dans et autour de cellules de culture, comme décrit dans les expériences de laboratoire ci-dessus.
Elles sont censées être les virus du SARS-CoV-2 sur la base de déclarations arbitraires. Par définition, un virus est une particule infectieuse qui peut provoquer une maladie chez un hôte vivant. Aucune de ces propriétés essentielles n’a été démontrée dans les expériences virologiques décrivant l’isolement et la pathogénicité prétendus.
Les virologues ont passé des décennies à tenter de le faire sans succès et, au lieu d’admettre qu’il pouvait y avoir un problème avec la théorie des virus, ils ont simplement changé le sens du mot. C’est un état de fait scandaleux. Le monde est actuellement pris en otage parce que les virologues n’isolent pas réellement les virus, ils se contentent de dire qu’ils le font, et ne semblent pas s’inquiéter du fait que l’assaut actuel contre l’humanité repose sur cette fraude scientifique évidente.
La première fraude, fondamentale, consiste à affirmer que le virus a été isolé et qu’il est l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Si cette affirmation (toujours non fondée) n’était pas acceptée, la fraude du COVID-19 imploserait, tout comme la “pandémie du siècle” de Gates. En d’autres termes, la fraude de l’isolement repose sur la violation du sens accepté pour tromper, alors que, par exemple, un “isolat” n’a pas plus été isolé que de simples pensées. Cela met en place un discours circulaire vicieux auquel il est impossible d’échapper : la prémisse de l’existence est établie par le mensonge, et par son insistance absolue, l’existence du virus est “confirmée” de manière concluante et répétée. La virologie se nourrit de cette insistance, car sans elle, il n’y a pas de virus, pas de virologie, pas de “tests” PCR “positifs”, et plus d’emplois pour les virologues qui inventent des virus que Big Pharma combat avec des “vaccins” miraculeux. C’est également la raison pour laquelle les idées qui vont à l’encontre de ce récit sont censurées par le gouvernement et par les grands médias, et pourquoi les agences de sécurité de ce pays terrorisent les personnes qu’elles prétendent protéger, en leur imposant la fraude virologique sur laquelle repose toute la mascarade. L’ensemble de l’appareil d’État est actuellement dédié à cette cause.
Plutôt que de recourir à la méthode largement utilisée par les virologues pour affirmer l’isolement et la pathogénicité par l’induction de CPE (effet cytopathique), Fan Wu et al, les premiers inventeurs du génome du SARS-CoV-2, ont envoyé l’échantillon extrait du liquide pulmonaire du patient directement au séquençage pour deux plateformes d’assemblage de novo afin de rechercher de courts fragments génétiques ou “reads”.[27]Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, Nature, Vol 579 (3 Feb 20, author correction 2 Apr 20), 266, Methods page: … Continuer à lire Il est important de noter que les échantillons envoyés pour le séquençage n’étaient pas des virus physiquement isolés mais des échantillons bruts contenant des millions de fragments génétiques uniques provenant du patient lui-même, d’innombrables microbes, et même de l’air que le patient avait respiré sur le chemin de l’hôpital. Plus de 56,5 millions de “reads” ont été produites à partir de cette “soupe” génétique et assemblées pour créer 384 096 contigs (longues séquences génétiques) sur Megahit, et 1,32 million de contigs sur Trinity.[28]Ibid. Megahit et Trinity sont les noms de deux plateformes d’assemblage de novo. Peut-être avec une prédisposition à prouver leur canular infondé selon lequel il existe “la capacité continue de la propagation virale de l’animal à causer une maladie grave chez les humains”, Fan Wu et al. ont choisi la plus longue (30 474 nucléotides) qui, selon eux, avait une identité de nucléotides de 89,1 % avec le génome in silico du coronavirus de la chauve-souris (SL-CoVZC45) inventé en 2018.[29]bid., 265-6, Methods page. Ainsi, un “génome” aussi proche génétiquement qu’un humain l’est d’un chat domestique abyssinien est devenu le modèle utilisé pour la conception d’amorces pour la méthode RT-PCR afin de soi-disant détecter un virus dont l’existence n’avait pas été démontrée.[30]Joan Pontius et al, “Initial sequence and comparative analysis of the cat genome”, Genome Research, 17 (2007), 1680. Par la suite, il a été décidé que le génome avait besoin d’un couper-coller, peut-être pour le faire paraître encore plus proche des 29 802 nucléotides du modèle de chauve-souris SL-CoVZC45 et il a été réduit à 29 875 nucléotides dans la version suivante sur GenBank.[31]Fan Wu et al., “Wuhan seafood market pneumonia virus isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.2, GenBank (14 Jan 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.2/ ; Dan … Continuer à lire Mais les artistes n’en avaient pas fini avec leur création et un troisième et dernier modèle a été dessiné avec une séquence terminale complètement différente comportant 23 bases adénines consécutives, ce qui ressemblait davantage au modèle de chauve-souris qui comportait 26 bases adénines consécutives en queue.[32]Fan Wu et al., “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.3, GenBank (18 Mar 20) : … Continuer à lire On ne sait pas très bien comment les virologues ont pu savoir quel “génome” choisir alors que toutes les options étaient des constructions informatiques hypothétiques. Il devient donc rapidement évident que l’anti-science de la virologie et la perversion du mot “isolement” sont non seulement délirantes mais aussi très trompeuses et qu’elles ne peuvent servir de base à quoi que ce soit, et encore moins à la santé et au bien-être de populations entières.
Un an plus tard, le Dr Wu Zunyou, du CDC chinois, dans une interview avec Janis Mackey-Frayer, déclarait que l’isolement n’avait jamais eu lieu : “Ils n’ont pas isolé le virus”, a-t-il déclaré. “C’est la question [pourquoi aucune donnée n’a été partagée]. Je ne soupçonne pas que cela provienne de ce à quoi nous pensions au départ.”[33]Interview par Janis Mackey-Frayer du Dr Wu Zunyou, “Wuhan maintenant un an après”, NBC Nightly News Broadcast (Full) – 23 janvier 2021 | NBC Nightly News, NBC (23 Jan 21), … Continuer à lire
Cette fraude fondatrice a été récompensée par des subventions en 2020 d’un montant total de 900 000 dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates accordées aux deux institutions auxquelles 14 des 19 coauteurs de la fraude étaient affiliés : L’Université Fudan a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-006277 ” pour soutenir l’étude épidémiologique et identifier les risques élevés d’infection par le COVID-19, ce qui contribuera à la stratégie d’intervention de santé publique nationale et internationale et au développement de produits “, pour un montant total de 300 000 dollars ; et le China CDC a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-005832 ” pour soutenir la réponse d’urgence et l’évaluation, et préparer la Chine à la pandémie potentielle, ce qui contribuera non seulement à contrôler et à contenir la maladie, mais aussi à apporter l’expérience de la Chine à la santé mondiale “, pour un montant total de 600 000 dollars.[34]Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
Peng Zhou et al.
Des méthodes pseudo-scientifiques similaires et la même fausse revendication d’isolement se retrouvent dans l’article de Peng Zhou et al. reçu par Nature 13 jours après celui de Fan Wu et al. mais publié en ligne dans le même volume, 579, le même jour, le 3 février 2020.[35]Peng Zhou et al., “A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin”, Nature, 579 (12 Mar 20), 270-273 plus 16 unnumbered supplementary papers: … Continuer à lire Ces auteurs revendiquent également l’isolement réussi de ce qu’ils appellent “2019-nCoV BetaCoV/Wuhan/WIVO4/2019” (EPI_ISL_402124) mais sur la base des CPE (effets cytopathiques) qu’ils ont observés dans trois lignées cellulaires.[36]Ibid., 272. Cependant, il s’agit de substituts illégitimes de l’infection postulée d’un animal ou d’un hôte sain (non malade). Les trois lignées cellulaires utilisées étaient les suivantes : Les cellules Vero E6 (aneuploïdes) dérivées du rein d’un singe vert africain ; Huh7, une lignée cellulaire d’hépatocytes humains prélevée sur une tumeur du foie en 1982 et cultivée par la suite ; et les cellules HeLa humaines dérivées d’une femme humaine en 1951 souffrant d’un carcinome cervical et cultivées par la suite.[37]Ibid, Résumé du rapport, deuxième page non numérotée. Aucune de ces lignées cellulaires ne répond au critère postulé d’un hôte sain avec lequel on peut tester la pathogénicité, mais elles sont privilégiées car elles produisent les effets recherchés, c’est-à-dire un effet cytopathique et l’apparition de vésicules extracellulaires. Aux lignées cellulaires ont été ajoutés, entre autres, des sels inorganiques, du sérum bovin fœtal pour nourrir les cellules, et un ensemble d’éléments cytotoxiques tels que l’amphotéricine B – un antifongique, la trypsine – qui hydrolyse les protéines, la pénicilline – un antibiotique, la streptomycine – un autre antibiotique, le glutaraldéhyde – un désinfectant et un fixateur, le tétroxyde d’osmium – un agent oxydant à toxicité aiguë, et la résine époxy – pour créer un substrat solide pour le découpage en tranches ultrafines.[38]Ibid, “Methods”, première page non numérotée. Bizarrement, en se basant sur le fait qu’un ARN de provenance inconnue faisait partie de la culture dans laquelle de nombreuses cellules sont mortes à la suite d’une famine induite et d’un stress avec des ingrédients cytotoxiques, les auteurs ont affirmé qu’ils avaient réussi à isoler leur virus, 2019-nCoV BetaCov, et non que le cocktail d’ingrédients cytotoxiques avait décimé leurs lignées cellulaires anormales.
En bref, Peng Zhou et al. n’ont rempli aucun des postulats permettant d’identifier le virus ou de confirmer qu’il est à l’origine d’une quelconque maladie. Le prétendu virus n’avait même pas été physiquement isolé et purifié pour une caractérisation biochimique et restait donc entièrement théorique.
Cela n’a apparemment pas inquiété la Fondation Bill et Melinda Gates, la fondation qui fournit à l’Académie chinoise des sciences, à laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19, sous le numéro INV-006377, d’un montant total de 359 820 USD, dans le but suivant : “Soutenir le développement d’une plateforme d’essais pour la sélection de médicaments et de vaccins sous-unitaires contre le coronavirus, qui contribuera à l’innovation de produits pour le contrôle de la pandémie de COVID-19”.[39]Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021): https://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
Na Zhu et al.
Publiés dans The New England Journal of Medicine le 20 février 2020, Na Zhu et ses collaborateurs décrivent leur étude des échantillons des voies respiratoires inférieures, y compris le liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA), prélevés chez quatre patients atteints de pneumonie de cause inconnue, qui s’étaient tous rendus au Huanan Seafood Market de Wuhan peu avant leur tableau clinique.[40]Na Zhu et al., “A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019”, The New England Journal of Medicine, 382 (20 Feb 20, first published 24 Jan 20, updated 29 Jan 20), 728.
Bien qu’ils affirment avoir isolé le virus, il est clair que les auteurs n’entendent pas le terme “isolement” dans le sens du dictionnaire et du principe, mais dans le sens antonymique de la virologie et dans celui de la substitution de cellules hôtes malades à des cellules non malades pour établir la causalité entre un prétendu virus et la maladie du patient.[41]Ibid., 728, 730-31. Dans ce cas, le surnageant centrifugé à partir du LBA du patient “a été inoculé sur des cellules épithéliales humaines… réséquées à partir de patients subissant une chirurgie pour un cancer du poumon”, bien que prétendument exemptes d’agents pathogènes.[42]Ibid., 728. En tout état de cause, des cellules cancéreuses seraient présentes dans ces cellules et, comme elles ont l’habitude de le faire, ces cellules produiraient une abondance d’exosomes, qui seraient visibles par le biais de la microscopie électronique à transmission.[43]Ibid., 731. Contrairement à Fan Wu et al et Peng Zhou et al, Na Zhu et al ont bien produit des images de ce qu’ils ont décrit comme des “particules de 2019-nCoV” mais sans aucune vérification de leur composition biochimique à partir d’un spécimen purifié.[44]Ibid.* Il est tout simplement impossible d’établir, à partir des images proposées, que les particules sont des virus (c’est-à-dire infectieux et pathogènes) ou qu’elles contiennent le prétendu génome du SARS-CoV-2.
Pourtant, malgré cette double tromperie qui hante la virologie, les virologues s’accrochent à leurs convictions et à leur métier. Car comme le disent Na Zhu et al : “Bien que notre étude ne réponde pas aux postulats de Koch, nos analyses fournissent des preuves de l’implication du 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan.”[45]Ibid., 733. Emphasis added. La base de cette affirmation semble être que les auteurs ont placé des pointes en forme de flèche sur des vésicules extracellulaires de composition inconnue et les ont baptisées “2019-nCoV”.
L’implication et la composition inconnue étaient toutefois suffisantes pour la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a accordé à l’Institut national de contrôle et de prévention des maladies virales, auquel 13 des 18 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19 sous le numéro INV-019121 pour un montant de 71 700 dollars US “pour aider le CDC chinois à évaluer la qualité des réactifs de diagnostic sérologique du COVID-19 en Chine et fournir des preuves de l’utilisation scientifique des réactifs dans le diagnostic clinique et l’enquête épidémiologique”.[46]Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021).
Leon Caly et al.
Leon Caly et al. ont produit leur propre version sous le titre “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia” (isolement et partage rapide du nouveau coronavirus de 2019 (SRAS-CoV-2) chez le premier patient diagnostiqué avec COVID-19 en Australie) lorsqu’ils ont fait état d’un homme de 58 ans originaire de Wuhan qui s’est “senti mal” à son arrivée à Melbourne le 19 janvier 2020.[47]Leon Caly et al., “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia”, MJA, 212/10 (1 Jun 20, received 25 … Continuer à lire
Lorsqu’ils ont affirmé que les cellules Vero “présentaient des vésicules liées à la membrane cytoplasmique contenant des particules de coronavirus”, Caly et al. n’ont pas pu trouver de “virions” avec la prétendue protéine spike, ils ont donc ajouté de la trypsine au milieu de culture cellulaire, et avant qu’ils aient pu dire “Jack Robinson”, la trypsine, dont la fonction est de digérer les protéines, avait englouti la couche protéique externe d’un “virion” sphérique de 100 nm pour révéler “la frange caractéristique en forme de couronne des protéines spike”, ce qui, ajoutent-ils sans la moindre ironie, “a immédiatement amélioré la morphologie du virion”.[48]Ibid., 461-62. En d’autres termes, lorsque les exosomes ne ressemblaient pas au virus qu’ils souhaitaient, ils leur ont donné un petit coup de pouce trypsinisé. Les prétendus virions n’ayant pas été purifiés, leur composition biochimique n’a pas pu être établie : le “génome” proposé a en fait été constitué après avoir généré “environ 30 000 000 de “reads”” à partir du mélange de cultures de tissus.[49]Ibid., Supplementary methods: https://onlinelibrary.wiley.com/action/downloadSupplement?doi=10.5694%2Fmja2.50569&file=mja250569-sup-0001-Supinfo.pdf Comme pour tous les autres articles de cette nature, aucune explication n’a été fournie quant à la manière dont ces particules seraient à l’origine de maladies ou si ces mêmes particules existent dans l’organisme humain. Là encore, on ne peut parler que de vésicules extracellulaires de signification inconnue, produites à partir de cellules rénales anormales de singe dans une éprouvette. Le problème supplémentaire de savoir si les images de micrographie électronique de tissus préparés in vitro ressemblent même à celles de cellules vivantes dépasse le cadre de cet essai.
Il n’est pas nécessaire d’en dire plus sur les folies de cet article et sur les absurdités virologiques qui le sous-tendent, si ce n’est pour ajouter que le ministère néo-zélandais de la santé (MOH) déclare qu’il s’agit d’un exemple “d’isolement et de culture du virus en laboratoire”.[50]Letter of Rebecca Drew, Group Manager, Science and Insights, COVID-19 Health System Response, undated OIA letter Ref: H202008345, Ministry of Health. … Continuer à lire
Deuxième partie
Le deuxième pilier : Séquençage génomique
Cette tragédie mondiale a été en grande partie rendue possible par le déclin de la science ” – l’étude systématique de la nature et du comportement de l’univers matériel et physique, basée sur l’observation, l’expérience et la mesure ” – vers le scientisme, “l’application non critique des méthodes scientifiques à des domaines d’étude inappropriés “.[51]Jeremy Butterfield, Editorial Director, Collins Concise Dictionary Fifth Edition (Glasgow: HarperCollins, 2003), 1348. Cela est devenu un système de croyance sécularisé dont l’autorité repose sur sa propre performativité et sur la présupposition d’une préexistence phénoménologique dans laquelle les suppositions et les hypothèses sont considérées comme concluantes et les abstractions sont traitées comme des répliques du réel.
Le deuxième pilier de la fraude COVID-19 est celui du séquençage génomique.
Les virologues prétendent avoir établi la structure génétique complète de virus tels que le ” SARS-CoV-2 ” et l’avoir téléchargée dans des banques de données, comme Fan Wu, Peng Zhou, Na Zhu, Leon Caly et leurs équipes l’ont fait au début de 2020, et comme beaucoup l’ont fait depuis. Là encore, ils affirment avoir un “isolat” du virus, mais cette déclaration est faite après avoir “construit” le génome à partir de leur mélange contenant des fragments génétiques de provenance inconnue. Dans le cas de Fan Wu et al, bien qu’il n’y ait pas de chauves-souris en vente dans le marché couvert de fruits de mer où le patient travaillait, et bien que les auteurs n’aient pas été en mesure de confirmer un hôte intermédiaire ou un réservoir pour leur virus, ils ont néanmoins choisi in silico (par ordinateur) un autre coronavirus de chauve-souris comme modèle pour créer WH-Human 1 (SARS.-CoV-2).[52]Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, 265, 268-9. Tout cela, sans doute, fait partie intégrante du besoin de validation scientifique de la virologie, qui s’exprime dans sa quête depuis 20 ans de l’eldorado des chauves-souris où, selon elle, se trouvent tous les trésors du monde en matière de coronavirus.[53]David Cyranoski, “SARS outbreak linked to Chinese bat cave”, Nature, 552 (7 Dec 17), 15-16. En attendant, elle continue d’inventer des virus pour nourrir Big Pharma et se maintenir à flot.
Le processus utilisé par la virologie pour prétendre à “l’isolement” peut être résumé comme suit. À partir de la “soupe” biologique prélevée dans les poumons ou les écouvillons nasaux des patients, qui contient toutes sortes de matériel provenant du sujet humain, d’innombrables microbes commensaux et de contaminants potentiels, les plates-formes d’assemblage de novo recherchent de courts fragments génétiques. Après avoir trouvé des millions de fragments uniques dans le mélange, ces logiciels assemblent un “génome” (un long morceau) en fonction des paramètres définis dans le programme. En cours de route, il y a un peu de couper-coller et si des morceaux sont “manquants”, d’autres modèles prêts à l’emploi peuvent être ajoutés pour combler les lacunes. Cependant, les algorithmes, les modèles de probabilité et les sélections arbitraires créés par l’homme ne peuvent pas répondre par “oui” ou par “non” à la question de son existence physique dans la nature, notamment parce que tout “génome” de coronavirus utilisé comme modèle dans sa production sera également propositionnel, la méthodologie n’offrant aucun lien confirmable avec l’univers matériel ou physique, faisant du nouveau membre du genre Coronavirus un simple produit supplémentaire des processus sui-référentiels de la virologie.
Une analogie pour ces processus serait que vous trouviez un million de cartes sur le sol, chacune avec des phrases partielles. Vous commencez à les arranger pour en faire des phrases complètes, puis finalement une histoire. Si certaines parties ne correspondent pas, vous les jetez, et si des parties semblent manquer, vous empruntez un paragraphe d’une autre histoire. Mais comment savoir s’il s’agit d’une histoire existante et non d’une invention de votre part ? Et pourquoi n’y aurait-il pas dix petites histoires, ou pas d’histoire du tout ? En bref, vous ne pouvez pas prétendre connaître l’histoire si vous n’avez pas accès à l’histoire complète avant de commencer. Et c’est là que réside la tromperie de la virologie – les virologues ne travaillent pas avec un génome complet parce qu’ils ne travaillent pas avec un virus complet. Ils travaillent avec des morceaux aléatoires de matériel biologique et nous disent ensuite que cela constitue la preuve d’un virus. Cependant, ceux d’entre nous qui examinent attentivement leurs expériences peuvent voir qu’il y a un problème : il n’y a aucune preuve matérielle d’un quelconque virus.
En effet, ce que l’on ne dit pas au public, c’est qu’aucun virus appelé SARS-CoV-2 n’a jamais été réellement isolé et purifié en tant que structure unique. Ce qui se passe, c’est simplement le séquençage à l’aveugle d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques de provenance inconnue. Par conséquent, il n’existe aucune preuve, pas même la plus vague garantie, que le “génome” in silico qui en résulte existe dans la nature ou a quelque chose à voir avec un “virus”. De cette façon, cependant, l’invention du “virus” est présentée comme une découverte, son faux statut étant assuré rétroactivement par l’acte de dénotation par lequel sa dénomination prétend à son existence antérieure et à sa pathogénicité.
Qu’un génome hypothétique fictif inventé par une telle anti-science soit au cœur de cet assaut contre l’humanité est un scandale scientifique et éthique. C’est cette fausse science qui a mis le monde sens dessus dessous. C’est là le caractère insidieux du crime de la virologie, une version généralisée de la fausse revendication de l’isolement qui donne aux politiciens la “permission” de violer ceux qu’ils emploient, et d’étendre leur programme systématique de violation corporelle au secteur privé, les dernières victimes étant les travailleurs du commerce au détail et de l’hôtellerie.[54]Rahul Battharai, épidémie de Covid 19 Delta : Businesses welcome vaccine certificates for retail and hospitality ” NZ Herald (26 Oct 21) : … Continuer à lire
Pour le reste, le crime s’insinue dans notre conscience sous couvert de devoir et de bienfaisance, amenant nombre d’entre nous à accepter dans notre corps le contenu inconnu de flacons que le gouvernement n’a apparemment pas pris la peine de vérifier, produits par un fabricant ayant un palmarès spectaculaire de fraude médicale criminelle, contenu qui, en outre, introduit clandestinement dans notre corps des vecteurs génétiques aux effets mal déterminés, tout cela pour le plus grand bien de la protection de la société contre une maladie mortelle qui n’existe pas.[55]“Le ministère de la Justice annonce le règlement le plus important de son histoire en matière de fraude aux soins de santé”, ministère de la Justice des États-Unis (2 septembre … Continuer à lire
La façon dont une démocratie contemporaine a pu se laisser prendre à une telle absurdité grotesque mais mortelle dépasse le cadre de cet essai. Il suffit de dire que c’est la raison pour laquelle le gouvernement néo-zélandais n’est pas “votre unique source de vérité”, mais un pourvoyeur criminel de mensonges monumentaux qu’il utilise pour couvrir ses lâches crimes contre l’humanité, ses actes de terreur et de démocide, ainsi que le carnage socio-économique généralisé et la dislocation qu’il continue d’infliger à la population de cette whenua [terre en Maori], reproduisant les circonstances antérieures à l’établissement des pires régimes totalitaires.
Le troisième pilier : La PCR
Le troisième pilier de la fraude COVID-19 concerne la mauvaise application de la PCR (modifiée en RT-PCR, reverse-transcriptase-PCR afin de détecter l’ARN monocaténaire, car la PCR ne peut qu’amplifier l’ADN avec précision). Cette application erronée porte sur l’amplification de séquences d’ARN prélevées sur des sujets humains qui appartiendraient au SARS-CoV-2 et à une maladie appelée COVID-19. Or, la PCR ne peut confirmer ni l’un ni l’autre de ces éléments ; sa capacité se limite uniquement à l’amplification des séquences nucléotidiques sélectionnées, et non à la détermination de leur provenance ou de leur signification. Cette fraude repose donc sur l’attribution d’une signification aux séquences amplifiées, qui est fournie par : (a) la référence au génome imaginaire in silico et non à une entité physique prouvée appelée SARS-CoV-2 ; et (b) une “maladie” qui, par un raisonnement circulaire absurde, a été définie par le résultat de la PCR lui-même. Le SARS-CoV-2 n’a jamais été localisé chez un sujet humain, isolé, purifié, puis photographié et caractérisé biochimiquement comme une structure unique. Il n’a pas été prouvé qu’il existe dans la nature ; en fait, des composants clés ont été brevetés en 2007, ce qui, par définition, signifierait qu’ils sont fabriqués par l’homme.[56]Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No.: US 7,279,327 9 OcT 2007). En ce qui concerne les courtes séquences nucléotidiques détectées par les kits PCR utilisés, elles existent mais proviennent d’ailleurs, et non d’un virus étiqueté ” SARS-CoV-2 ” (si la PCR est mal faite ou à des nombres de cycles élevés, comme c’est le cas habituellement, la séquence cible peut même ne pas exister dans l’échantillon et un résultat ” positif ” est simplement un artefact du processus). En outre, la PCR ne peut pas diagnostiquer le statut infectieux d’un humain de manière avérée et aucun lien cohérent n’a jamais été trouvé entre un état pathologique et les résultats de la PCR. En bref, la mauvaise application de la PCR signifie que le COVID-19 est une construction scientifiquement dénuée de sens qui ne représente rien de plus qu’une illusion référentielle.
Dès le départ, le but de cette application erronée était de fournir la base statistique d’une pandémie basée sur une maladie inventée par l’OMS au profit de l’élite et de certains membres de l’industrie pharmaceutique, et non pour l’humanité. Au 3 janvier 2020, avec seulement ” 44 cas-patients atteints de pneumonie d’étiologie inconnue “, il n’y avait aucune base pour amorcer le bouton de démarrage de la pandémie que l’OMS et l’industrie pharmaceutique recherchaient désespérément ; Moderna et BioNTech, le partenaire de Pfizer, avaient par exemple perdu près d’un milliard de dollars à eux deux en 2,5 années financières entre 2016 et 2019.[57]” Novel Coronavirus (2019-nCoV) Situation Report – 1 “, OMS (21 jan 20), 1 : … Continuer à lire
Cependant, après la publication sur le site Internet de l’OMS, les 13 et 17 janvier 2020, de séquences de tests PCR non évaluées par des pairs, conçues par Christian Drosten et al. pour détecter le prétendu virus, des tests conçus, comme l’ont reconnu les auteurs, ” sans disposer de matériel viral “, le nombre de cas de COVID-19 a commencé à augmenter.[58]Victor Corman, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Christian Drosten Charité Virology, Berlin, Germany; Olfert Landt, Tib-Molbiol, Berlin, Germany; Marion Koopmans, Erasmus MC, Rotterdam, The … Continuer à lire
Entre le 22 et le 24 janvier, l’OMS a convoqué une réunion d’urgence pour suivre la situation internationale, alors que seuls 17 décès et 581 cas avaient été signalés à ce stade.[59]Bloomfield Affidavit, (13 Jul 20), 8; “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21): https://en.wikipedia.org/wiki.COVID-19_pandemic_cases_in_January_2020 Cette absence de cas posait un problème aux entreprises pharmaceutiques désireuses de mettre sur le marché leurs dispositifs hautement expérimentaux de codage génétique, déguisés en vaccins, sans avoir à passer par les processus d’approbation normaux, qu’elles doutaient de pouvoir satisfaire. [60]Moderna, Inc., “United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement” (9 Nov 2018), 12. Une urgence de santé publique pourrait être le moyen de contourner les conditions d’autorisation rigoureuses des autorités réglementaires.[61]James Delingpole interview of Reiner Fuellmich, The Delingpod (23 May 21): www.odysee.com/@JamesDelingpoleChannel:0/feullmich:8 Les “tests” RT-PCR ont atteint leur objectif, produisant suffisamment de cas pour que Tedros déclare “une urgence de santé publique de portée internationale” (PHEIC), et pour alimenter la rhétorique : “L’heure est aux faits, pas à la peur. L’heure est à la science, pas aux rumeurs. L’heure est à la solidarité et non à la stigmatisation.”[62]“WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20): … Continuer à lire En effet, en sept jours seulement, à partir du 24 janvier, le nombre de cas de COVID-19 a augmenté de 1 245,61 % dans le monde, passant de 581 à 7 818, dont 98 seulement en dehors de la Chine.[63]“COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21); Andrew Joseph, “WHO declare coronavirus outbreak a global health emergency”, STAT (30 Jan 20). Le lendemain, le nombre total de cas était passé à 9 826.[64]Ibid.** La fraude internationale était là, au grand jour, avec la croissance astronomique d’un virus fantôme qui n’avait pas été isolé et dont on n’avait pas encore démontré qu’il était à l’origine d’une quelconque maladie. Tedros recommandait d’accélérer le “développement de vaccins, de thérapies et de diagnostics”, ce qui était encore plus important que “l’urgence de santé publique de portée internationale”.[65]“WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20), 3.
L’odeur de la fraude était partout. Drosten a omis de déclarer qu’il était membre du comité éditorial d’Eurosurveillance lorsque son article et celui de ses co-auteurs ont été publiés dans Eurosurveillance le 23 janvier, deux jours après avoir été soumis.[66]Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 January 2020), 23. Il est également apparu que Drosten serait “probablement poursuivi en justice pour détention d’un titre de doctorat frauduleux”.[67]William Engdahl, “Coronavirus Scandal Breaking in Merkel’s Germany”, (10 Dec 20): www.williamengdahl.com/englishNEO10Dec2020.php Un autre co-auteur, Chantal Reusken, a également omis de déclarer qu’elle faisait partie du comité éditorial d’Eurosurveillance, et un autre co-auteur de Drosten, Olfert Landt, PDG de TIB Molbiol, a omis de déclarer son conflit d’intérêts jusqu’au 29 juillet 2020, alors que sa société fabriquait un kit PCR basé sur les séquences de test publiées.[68]Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, 29. Pour Landt, la tromperie s’est avérée très payante, comme son entreprise l’indiquera plus tard : “TIB Molbiol … fournit des kits de test PCR COVID-19 depuis début janvier 2020. Au cours des 12 derniers mois, nous avons livré plus de 60 millions de tests.”[69]“RT-PCR test kits and VirSNiP Mutation Assays for strain surveillance”, TIB Molbiol (accessed 6 May 20): https://www.tib-molbiol.de/covid-19
Soudain, le monde a été plongé non pas dans une pandémie virale mais dans une pandémie de PCR générant la peur dans le monde entier. Mais la peur paie et paie bien. L’institution à laquelle les créateurs les plus éminents de cet article étaient associés, l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin, a reçu une subvention 2020 du BMGF sous le numéro INV-005971 “pour développer des outils de diagnostic et de virologie permettant une réponse rapide au nouveau coronavirus 2019” pour un montant total de 249 550 dollars.[70]Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021).
La pandémie de tests PCR a maintenant soutenu la pandémie fantôme de COVID-19 pendant presque deux ans. On prétend que la PCR peut détecter un virus et une infection, mais ce n’est qu’une tromperie de plus. La méthode PCR amplifie simplement des fragments génétiques, c’est tout. Comme nous l’avons établi, personne n’a de spécimen physiquement isolé ni même prouvé l’existence du virus. C’est pourquoi les séquences des tests PCR de Drosten ont été conçues sans virus, tout comme les séquences des tests des centres américains de contrôle et de protection des maladies (CDC).[71]2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel: For Emergency Use Only Instructions for Use Catalog # 2019-nCoVEUA-01 1000 reactions”, 40: … Continuer à lire En d’autres termes, la PCR a été calibrée pour détecter les séquences génétiques d’un “virus” dont l’existence dans la nature n’a pas été démontrée. Au lieu de cela, elle détecte des séquences de provenance inconnue que l’on trouve chez certains humains et, semble-t-il, chez certaines chèvres, une caille et un jaquier.[72]Jesús García Blanca, “The scam has been confirmed: PCR does not detect SARS-CoV-2”, D-Salud-Discovery, 242 (8 Nov 20): … Continuer à lire Comme l’a souligné Kary Mullis, l’inventeur de la PCR, lauréat du prix Nobel, la PCR “ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé va vous faire du mal ou quoi que ce soit de ce genre”.[73]David James, “PCR Inventor: “It doesn’t tell you that you are sick”, OffGuardian (5 Oct 20): https://off-guardian.org/2020/10/05/pcr-inventor-it-doesnt-tell-you-that-you-are-sick/ En effet, bien qu’il se présente comme un “flux de travail diagnostique pour le 2019-nCoV”, l’article de Drosten décrit simplement la sensibilité analytique et la spécificité de leur protocole PCR pour amplifier les séquences nucléotidiques sélectionnées, il n’établit aucune spécificité diagnostique pour une quelconque condition clinique.[74]Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23. Ainsi, bien que les autorités sanitaires affirment que la PCR est adaptée au diagnostic du COVID-19, un tribunal autrichien a confirmé le contraire en mars 2021, son jugement faisant écho à celui de Mullis : “‘un test PCR n’est pas adapté au diagnostic et ne dit donc rien en soi sur la maladie ou l’infection d’une personne'”.[75]“Austrian Court Rules PCR Test Not Suitable For COVID-19 Diagnosis And That Lockdowns Has No Legal Basis”, GreatGameIndia (8 Apr 21): https://greatgameindia.com/austria-court-pcr-test/ Le partenaire complémentaire dans le crime de la PCR est la définition de l’OMS d’un cas de “COVID-19”.[76]“WHO COVID-19 Case definitions: Updated in Public health surveillance for COVID-19 | COVID-19: Surveillance, case investigation and epidemiological protocol” (16 Dec 20): … Continuer à lire Essentiellement, un cas confirmé peut être et sera très probablement “une personne ayant un test d’amplification de l’acide nucléique (TAAN) positif”, c’est-à-dire un test PCR, que la personne soit malade ou non.[77]Ibid.*** Cela a créé une situation absurde où un cas de “COVID-19” n’est rien d’autre que le résultat du test PCR d’un test qui n’en est pas un, car le test PCR n’a aucune capacité de diagnostic à cet égard, puisqu’il s’agit simplement d’un outil d’amplification. Les tests PCR “positifs” sont ensuite affichés par des organisations telles que l’Université et la Médecine John Hopkins qui présentent des statistiques dénuées de sens comme si elles étaient légitimes. En d’autres termes, aucun des 243 554 336 cas de COVID-19 affichés sur le tableau de bord du coronavirus de Johns Hopkins au 25 octobre 2021 n’existe en dehors du discours vicieusement circulaire qui repose uniquement sur la double prémisse non prouvée selon laquelle le SARS-CoV-2 a été isolé et est à l’origine du COVID-19.[78]Johns Hopkins University & Medicine Coronavirus Resource Center (accessed 25 Oct 21): https://coronavirus.jhu.edu/map.html
En conséquence, nous vivons aujourd’hui une tyrannie médicale, déconnectée du monde naturel et tellement absurde que la détection de quelques fragments génétiques chez une personne peut servir d’excuse pour enfermer une nation entière.
Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies
Les nombres astronomiques de cas produits par la méthode PCR sont devenus la base du nombre de reproduction (R0) qui a initialisé tous les modèles épidémiologiques du COVID-19. Pourtant, même en s’appuyant sur ces chiffres sans valeur, la modélisation des épidémies, connue depuis longtemps pour sa faillibilité prédictive, a quand même réussi à produire des prédictions spectaculairement grotesques.
Le plus grand pourvoyeur de cette absurdité spéculative est Neil Ferguson de l’Imperial College London (ICL), auteur principal du rapport 9 de l’ICL, publié sans examen par les pairs le 16 mars 2021, qui prédit que 550 000 personnes au Royaume-Uni et 2,2 millions de personnes aux États-Unis mourraient dans un délai d’environ trois mois sans intervention non pharmacologique (masque, confinement…)[79]Neil M Ferguson et al., “Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID- 19 mortality and healthcare demand”, Imperial College London (16 Mar 20), 6, 7, 13: DOI: … Continuer à lire Ses prédictions catastrophiques ont amené les gouvernements à changer de cheval à mi-chemin et ont provoqué, comme on pouvait s’y attendre, une panique généralisée parmi un public non averti, créant un environnement de peur et une volonté de se conformer aux politiques de “santé” publique dans de nombreux pays. Lorsqu’il a finalement publié les programmes du rapport 9 pour les soumettre à l’examen du public, Ferguson a constaté qu’ils étaient ridiculisés par les experts commerciaux et universitaires. Un expert commercial a estimé qu’il s’agissait d’un “désordre bogué qui ressemble plus à un bol de pâtes aux cheveux d’ange qu’à une pièce de programmation finement réglée”, tandis que des scientifiques de l’université d’Édimbourg ont signalé qu’il échouait “au test scientifique de base consistant à produire les mêmes résultats à partir du même ensemble initial de paramètres”.[80]Hannah Boland and Ellie Zolfagharifard, “Coding that led to lockdown was ‘totally unreliable’ and a ‘buggy mess’, say experts”, The Telegraph (16 May 20): … Continuer à lire Dix jours plus tard, Ferguson, qui estime que les modèles sont des “versions simplifiées de la réalité”, prédit, dans un autre article cosigné par l’ICL, que 40 millions de personnes pourraient mourir dans le monde à cause du COVID-19.[81]Neil M Ferguson et al., “Report 12: The Global Impact of COVID-19 and Strategies for Mitigation and Suppression “, Imperial College London (26 Mar 20), 1: https://doi.org/10.25561/77735
La modélisation du chaos en Nouvelle-Zélande a été largement le domaine de trois groupes. Le premier à publier son rapport, daté du 27 février 2020, a été le groupe de modélisation commandé par le gouvernement, l’University of Otago Wellington COVID-19 Response Group (UOWCRG). Dans ce rapport, les modélisateurs “estiment que le nombre de décès probables se situe entre 12 600 et 33 600”, ce qui correspond à 0,67 % de la population néo-zélandaise et à plus de 52 millions de décès dans le monde.[82]Lucy Barnard, Nick Wilson, Amanda Kvalsvig, Michael Baker, “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand: Revised Preliminary Report for the NZ Ministry of … Continuer à lire N’ayant effectué aucun contrôle préalable sur les circonstances de l’origine du SARS-CoV-2, mais ayant recueilli diverses informations à son sujet de toutes parts, y compris ses données de reproduction (R0) provenant de quatre sources différentes et le nombre de cas d’infection en Australie, l’UOWCRG a prédit que le système hospitalier du pays serait submergé par “336 000 personnes” nécessitant une “hospitalisation”, et entre 67 000 et 79 000 patients nécessitant des unités de soins intensifs dans le pire des cas.[83]Barnard et al., “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand”, 1, 2, 5; Denis Glover, “The Magpies”, in Enter Without Knocking (Christchurch: The Pegasus … Continuer à lire
Cependant, la fantasmagorie de mort massive sur laquelle l’état d’exception a été décidé ne repose pas sur les modélisateurs mandatés par le gouvernement, mais sur deux rapports de modélisation non mandatés et non évalués par des pairs, dont les huit auteurs, quatre pour chaque rapport, n’avaient aucune qualification en épidémiologie ni aucune expérience préalable de la modélisation d’une épidémie humaine. Leurs prédictions astronomiques n’étaient pas le fruit d’une rigueur scientifique mais d’une spéculation algorithmique fondée sur des chiffres de cas provenant du ministère de la santé pour l’un des rapports, et pour l’autre, sur des “comparaisons avec des données internationales sur les parcours des cas et des études de modélisation pour les épidémies au Royaume-Uni et aux États-Unis (Ferguson et al 2020)” afin de calibrer leur “nombre de reproduction avec contrôle (Rc)”.[84]Alex James, Shaun C Hendy, Michael J Plank, Nicholas Steyn, “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4: … Continuer à lire Le premier de ces rapports provient de Wigram Capital Advisors, une petite société de conseil en macroéconomie spécialisée dans la Chine et l’Asie.[85]“Wigram Capital Advisors Limited”, Dun & Bradstreet: https://www.dnb.com/business-directory/company-profiles.wigram_capital_advisors_limited.218e802dadfa3ba161e5a098660e33ed.html L’autre, Te Pūnaha Matatini (TPM), qui se décrit comme un “Centre d’excellence en recherche sur les systèmes complexes”, est rattaché à l’université d’Auckland.[86]“Our Story”, Te Pūnaha Matatini: https://www.tepunahamatatini.ac.nz/about-us/ Les modèles de Wigram ont été “exécutés autour du 22 mars” et prévoyaient 4 000 cas de COVID-19 pour le 3 avril et 10 000 pour le 9 avril.[87]Jaijus Pallippadan-Johny, John McDermott, Rodney Jones and Michael Duddin, “Monitoring and Forecasting the COVID-19 Pandemic in New Zealand Including the Successful Impact of the Lockdown”, … Continuer à lire C’est à la modélisation de Wigram que le gouvernement s’est référé le 23 mars quand il a affirmé : “Si la transmission dans la communauté décolle, le nombre de cas doublera tous les cinq jours.”[88]“Post-Cabinet press conference”, Beehive (23 Mar 20), 1-3; “Prime Minister: COVID-19 Alert Level increased”, Beehive (23 Mar 20); “Post-Cabinet Press Conference 23 March 2020 on COVID19”, … Continuer à lire Si l’Australie avait connu le même nombre de cas le même jour, doublant tous les cinq jours, sa population de 25,5 millions d’habitants aurait été infectée à la mi-juin et, sur la même base, la population mondiale de 7,8 milliards d’habitants aurait été infectée à la fin de juillet 2020.[89]Ashley Bloomfield, “COVID-19 media update, 24 March”, Ministry of Health (24 Mar 20), 5:08: https://www.health.govt.nz/news-media/news-items/covid-19-media-update-24-march#vid
L’auteur principal de TPM est intervenu de manière spectaculaire le dimanche 22 mars, en s’adressant aux médias avec l’affirmation alarmante que sa modélisation provisoire, réalisée sur la table de sa cuisine, suggérait que 60 000 personnes allaient mourir à moins qu’une “stratégie de suppression agressive” ne soit mise en œuvre “dès que possible”, ce qui, par miracle, permettrait de sauver 50 000 de ces vies.[90]Kate Newton, “The man modelling NZ’s Covid-19 spread from his kitchen table”, Radio NZ (27 Mar 20): https://www.rnz.co.nz/news/in- … Continuer à lire Les modélisateurs n’avaient aucun précédent auquel se référer concernant les effets d’une telle stratégie, mais surtout, ils n’avaient aucune idée de l’existence même du virus. Comme l’a admis l’auteur principal, ces résultats ont été produits avec “beaucoup d’approximation” en se basant sur des données provenant de l’étranger, tandis que la modélisation elle-même traitait “la Nouvelle-Zélande comme une grande ville où tout le monde a la possibilité d’infecter quelqu’un d’autre”, une erreur fondamentale qui a contribué aux prévisions de mortalité grotesques du rapport.[91]Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20). Le lendemain matin, les 60 000 de TPM étaient passés à 1,67 % de la population, soit 83 500 personnes qui pourraient mourir sans aucune mesure d’intervention de “santé” publique, une histoire fantaisiste sans fondement dans la réalité mais qui a fait trembler les parlementaires et à laquelle les apprentis sorciers croient encore un an plus tard.[92]Alex James et al., “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4. Extrapolé à la population mondiale, “le ministère de I’autopromotion de TPM” venait de prédire que 130 260 000 personnes allaient mourir dans le monde. Le petit groupe TPM a été richement récompensé par le gouvernement avec un prix de 6 millions de dollars pour l’avoir aidé à promouvoir un récit absurde et à susciter une peur sans fondement dans la population de la Nouvelle-Zélande.[93]New Zealand Tax Payers Union, “Why Is Sean Hendy’s Modelling Group Getting $6m For Advice Treasury Is Paying $30k For Elsewhere?”, Community.Scoop (Oct 11 2021): … Continuer à lire Si TPM a remporté le prix de la prédiction la plus grotesque, l’ICL de Neil Ferguson a été le grand gagnant. Gates, qui apprécie une histoire effrayante qui confirme ses “prédictions”, qui ferme une grande partie du monde et qui décide que seuls les “vaccins” peuvent le rouvrir, a puisé dans ses réserves pour son frère d’armes de l’ICL, sortant de sa poche arrière un ensemble de subventions pour 2020 d’un montant total de 91 494 791 dollars.[94]Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv Parmi ces subventions, citons INV-016635, d’un montant total de 1 080 771 USD, pour “évaluer l’efficacité potentielle d’un vaccin à base d’acide ribonucléique (ARN) contre le COVID-19”, INV-023013, d’un montant total de 140 041 USD, pour “modéliser l’impact potentiel des diagnostics rapides pour le COVID-19”, et INV-023210, d’un montant total de 1 487 605 USD, pour comprendre comment les impacts sociaux et autres impacts indirects du COVID-19 (distanciation sociale, quarantaine, etc.) et les perceptions du risque influencent les comportements sexuels à risque qui pourraient conduire au VIH.[95]Ibid.**** Si l’année 2020 a été une année record pour l’ICL, M. Gates s’occupait depuis longtemps de l’ICL, la Fondation Bill et Melinda Gates lui ayant accordé des subventions depuis 2002 pour un montant total de 302 164 640 USD, soit environ 16 000 000 USD par an au cours des 19 dernières années.[96]Ibid..
Alors que la confusion et le débat font rage sur ces modèles, sur les raisons pour lesquelles le “virus” se comporte si différemment selon les endroits, sur l’existence d’une surmortalité et sur l’efficacité des “vaccins”, tout cela n’est qu’une distraction. Si l’on examine l’article d’origine de Fan Wu et al. et tous ceux qui ont suivi, la vérité est que l’existence du “SARS-CoV-2” n’a pas été démontrée. Il n’y a pas de “COVID-19” en dehors d’un récit malveillant imposé à l’humanité.
Troisième partie
En-résumé
La fraude du COVID-19 est l’œuvre d’élites internationales, de l’industrie pharmaceutique et de politiciens complices travaillant à un programme mondialiste, dont l’objectif semble être l’extinction des droits de l’homme et des libertés et le démantèlement de la démocratie dans le but de contrôler les populations et d’extorquer de vastes sommes d’argent aux pays sur la base qu’une maladie, le COVID-19, inventée par l’OMS, représente une menace sérieuse pour leurs populations.
Le fondement de cet agenda est la fraude selon laquelle un nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2 a été trouvé et isolé chez des sujets humains et qu’il a été démontré qu’il était la cause d’une maladie appelée COVID-19. Rien de tout cela ne s’est produit.
Le remède proposé pour ce supposé virus tueur est une protéine de pointe (spike) produite par une séquence génétique qui ne se trouve pas dans la nature mais dans un brevet américain de 2007. Les “vaccins” basés sur cette séquence ont tué plusieurs milliers de personnes dans le monde et en ont mutilé et blessé des millions d’autres.
La base statistique de cette pandémie fantôme a été déterminée par l’application erronée d’une méthode PCR qui n’a aucune spécificité diagnostique (clinique) établie. Elle n’a pas permis de diagnostiquer un seul cas d’une nouvelle maladie et n’a produit que des nombres de cas “COVID-19” sans signification.
En conséquence, le gouvernement néo-zélandais est complice de la fraude mondiale du COVID-19 et est donc accusé de crime inconsidéré, notamment de violation des droits de l’homme, de crimes contre l’humanité, de démocide, d’actes de terreur et de meurtre de masse.
Conclusion
Depuis l’entrée en vigueur, le 25 mars 2020, de l’Avis de préparation aux épidémies (COVID-19) 2020, nous vivons dans l’état d’urgence, que l’on peut décrire comme un espace liminal entre la loi et la vie, où la loi ne s’applique plus et où la force pure s’approprie l’anarchie pour se faire la loi.[97]Epidemic Preparedness (COVID-19) Notice 2020, New Zealand Gazette (25 March 2020). Positionné dans une sorte de “no man’s land entre le droit public et le fait politique”, l’état d’urgence “n’est pas une dictature (qu’elle soit constitutionnelle ou inconstitutionnelle, commissariale ou souveraine) mais un espace dépourvu de droit, une zone d’anomie dans laquelle toutes les déterminations juridiques – et surtout la distinction même entre public et privé – sont désactivées.”[98]Giorgio Agamben, trans. Kevin Attell, State of Exception (Chicago: The University of Chicago Press: 2005), 1, 50. Nos maisons sont devenues des prisons, nos corps ne sont plus inviolables, la marque de l’aiguille détermine qui est inclus et qui est exclu, tout cela incarne l’état d’urgence et peut être considéré comme un signe avant-coureur de ce qui nous attend.
Pour conclure, nous espérons que cet essai pourra à la fois vous encourager et vous aider à vous préparer à ce qui nous attend. Car dans le climat actuel, dans ce contexte politique, les circonstances ne feront que continuer à se détériorer si nous ne nous soulevons pas en masse pour réclamer ce que nous avons appris qu’il est si facile de perdre mais volé par ce gouvernement en moins de deux ans, le tout sur la base d’une fraude imbécile qui a néanmoins terrorisé et divisé le peuple de Nouvelle-Zélande au point de le rendre dysfonctionnel, divisant les familles et les amis, les amants, les âmes sœurs, les collègues et les meilleurs amis.
Cet essai vise également à encourager la poursuite des recherches sur la légitimité des méthodologies employées par les virologues établis, ainsi que sur la mauvaise application de la PCR dans les diagnostics cliniques. Si ces méthodes anti-scientifiques continuent à être largement acceptées, nous risquons de voir encore plus de “pandémies” sans fondement, nécessitant encore plus de “vaccins”, se poursuivre indéfiniment dans le cadre de la “nouvelle normalité”. En fait, un fabricant a déjà fait part de son intention de “développer un vaccin combiné à ARNm “afin que les gens puissent recevoir une injection chaque automne pour une protection très efficace contre les virus respiratoires les plus problématiques”.[99]Phil Taylor, “Moderna plans triple vaccine targeting flu, COVID and RSV”, Pharmaphorum, (8 Jul 20): https://pharmaphorum.com/news/moderna-plans-triple-vaccine-targeting-flu-covid-and-rsv/
Il n’y a rien de normal à ce que l’industrie pharmaceutique et les organisations mondialistes créent une demande de thérapies géniques inutiles par la peur et la création de pseudo-pandémies. Il n’y a rien de normal en ce qui concerne la censure sans précédent du débat scientifique et l’empêchement des praticiens médicaux de fournir un consentement éclairé à leurs communautés. Seuls les plus naïfs pourraient croire que, dans cet environnement artificiel, une cabale d’élites et une industrie ayant un bilan effroyable de préjudices et de décès font du monde un endroit plus sain pour ses habitants.
Les tyrannies naissent et disparaissent. Celle-ci, dans son ascension, est déjà en train de s’étouffer e son propre orgueil. Les façades scientifiques et idéologiques sur lesquelles cette escroquerie s’appuie entraîneront sa propre chute et, avec elle, une nouvelle ère dont nous hériterons tous. Les tyrans cachés, lorsqu’ils finissent par émerger, sont toujours nus, des vaisseaux vides remplis des idées des autres, faisant la guerre aux innocents pour se cacher de ce qui leur manque. Ils n’ont pas encore appris que le contrôle est une voie sans issue ou que ce qui fait s’élever l’esprit humain n’est rien d’autre que l’acceptation.
POSTSCRIPT
Dans le cadre du processus de reprise pacifique de ce qui appartient au peuple néo-zélandais, Heterodoxies Society Incorporated a déposé une procédure le 6 août 2021 devant la Haute Cour d’Auckland, CIV-2021-4041599. Malheureusement, depuis lors, sur la base d’un artifice juridique qui n’a aucune base statutaire apparente ou valeur juridique, l’affaire a été suspendue, c’est-à-dire confinée dans un équivalent de quarantaine juridique. Voici une partie de ce que la Cour a récemment refusé d’entendre.
Crimes contre l’humanité
“Il est question de bio-armement intentionnel de protéines de pointe à injecter aux gens pour les rendre dépendants d’un vaccin contre les ”pancoronavirus”. Cela n’a rien à voir avec un agent pathogène qui a été libéré… Il s’agit d’injecter aux gens une protéine S1 connue pour être nocive… La tragédie, c’est que nous sommes dans un monde où des centaines de millions de personnes se voient injecter une séquence informatique stimulant un agent pathogène… qui est vendue sous ce que l’office des brevets, la profession médicale et la FDA et ses propres normes cliniques ne considèrent pas comme un vaccin, mais en utilisant ce terme, nous soumettons maintenant des centaines de millions de personnes à ce que l’on savait être, en 2005, une arme biologique. ” Dr David Martin, 12 juillet 2021[100]Evidence of Dr David Martin, “CDC Fraud”, Hearing of the German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee (12 Jul 21): https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/
Le 20 septembre 2021, une conférence de presse s’est tenue à l’Institut de pathologie de Reutlingen, en Allemagne, afin de présenter, dans la première partie intitulée “Cause du décès après une vaccination Covid-19”, les conclusions des pathologistes Arne Burkhardt et Walter Lang qui avaient enquêté sur dix décès de personnes de plus de 50 ans décédées dans le contexte chronologique de l’administration de soi-disant vaccins COVID-19, dont le Comirnaty de Pfizer. Dans la deuxième partie, “Composants non déclarés des vaccins Covid-19”, les éléments non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits ont été présentés et discutés par divers participants, dont des médecins d’Allemagne et d’ailleurs.[101]Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21): … Continuer à lire
Le professeur Dr Burkhardt a enseigné pendant de nombreuses années aux universités de Hambourg, Berne et Tübingen, et a également été professeur invité/visiteur dans un certain nombre d’universités du monde entier. Il a dirigé l’Institut de pathologie de Reutlingen pendant 18 ans, après quoi il a exercé en tant que pathologiste. Il a publié plus de 150 articles dans des revues spécialisées. Le professeur Dr Walter Lang a travaillé comme pathologiste à la faculté de médecine de Hanovre de 1968 à 1985, puis a fondé un institut privé de pathologie à Hanovre où il a travaillé pendant 25 ans. De 1985 à 2020, il a effectué des examens de consultation pour la pathologie de la clinique pulmonaire de Herner. Ils étaient accompagnés dans cette présentation par le professeur Dr Werner Bergholz, ancien professeur d’électrotechnique spécialisé dans la gestion de la qualité et des risques à l’université Jacobs de Brême, qui avait travaillé pendant 17 ans dans la gestion de la production de puces chez Siemens avant cette nomination.[102]Ibid.*****
Sur les dix personnes décédées qui ont subi un examen post mortem, Burkhardt et Lang, se fondant sur le matériel tissulaire obtenu auprès des médecins légistes qui avaient d’abord examiné les cas, ont estimé que cinq des décès étaient très probablement liés aux “vaccins” COVID-19, deux probablement, un n’était pas clair et ils ont considéré que deux n’avaient aucun lien de causalité.[103]Ibib., 15:50 to 26:20; “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination” (21 Sep 21)”, 1: Source: … Continuer à lire “Dans trois cas, ils ont trouvé des maladies auto-immunes rares ; l’une d’entre elles était si rare qu’ils ne l’ont découverte qu’en regardant de près l’image numérisée. Il s’agissait de la maladie de Hashimoto, une hypothyroïdie déclenchée par une réaction auto-immune ; de la vascularite leucoclastique, une réaction inflammatoire dans les capillaires qui entraîne des saignements de la peau ; et du syndrome de Sjögren, une inflammation des glandes salivaires et lacrymales.”[104]Ibid.****** On a observé un large éventail de maladies, certaines communes, d’autres rares. Les trouver dans un collectif de dix patients était “très extrême”, a déclaré Burkhardt.[105]bid., 27:45 on. Comme il le dit : “Nous sommes en présence d’un système immunitaire qui dépasse complètement les limites, qui s’attaque de lui-même à lui-même, et l’inflammation a lieu dans chaque organe, dans chaque vaisseau… et cela conduit à une forte réaction auto-immune et à des maladies. Ce sont des maladies, je dirais, qui sont de 1 pour 100 000 normalement.”[106]Ibid., 53:00
Selon les pathologistes, les lymphocytes avaient afflué et causé une destruction cellulaire massive. Ils ont montré des images d’accumulations de lymphocytes dans une grande variété de tissus, du muscle cardiaque au rein, au foie, à la rate et à l’utérus”, et aussi “des images dans lesquelles le tissu a été massivement attaqué en conséquence, et toute une série de follicules lymphocytaires … au mauvais endroit, par exemple dans le tissu pulmonaire”.[107]“‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination”, 1-2. Ils “ont également montré des détachements de cellules endothéliales – qui sont les cellules lisses qui forment la paroi des vaisseaux sanguins – des amas de globules rouges qui finissent par provoquer une thrombose, et des cellules géantes qui [s’étaient] formées autour des corps étrangers piégés”.[108]Ibid., 2. Burkhardt l’a décrit comme suit dans ce résumé paraphrasé de ses conclusions générales : “J’ai beaucoup réfléchi à ce que j’ai vu et je n’ai pu voir qu’une seule chose, à savoir des lymphocytes déchaînés (devenus fous furieux) dans tous les organes et tous les tissus. Nous assistons à une réaction immunitaire extrême, une attaque de soi-même contre soi-même (déclenchée par le vaccin). J’ai été témoin de l’hyperplasie (croissance excessive) et de l’activation des organes lymphatiques, des ganglions lymphatiques et de la rate, ainsi que de l’infiltration des lymphocytes dans les organes non lymphatiques. Le résultat (de cette tempête lymphocytaire) est la perte de la capacité et de la fonction immunitaires externes, combinée à une inflammation et une destruction des tissus causées par les lymphocytes, avec le risque d’une réaction auto-immune prolongée. Personne ne peut dire si et combien de temps il faudra à ces tissus pour se régénérer et retrouver leur état normal et sain.”[109]Dr Calvin Luther Martin, “Close paraphrase of Dr Burkhardt’s overall conclusions” (accessed 13 Oct 21): … Continuer à lire
Vous trouverez ci-dessous des diapositives représentatives préparées et présentées par le Dr Burkhardt lors de la conférence de presse :
Dans la deuxième partie, un large éventail d’images de corps étrangers trouvés dans les flacons des fabricants a été photographié et leurs mouvements enregistrés par vidéo. Selon les présentateurs, aucun de ces objets n’a jamais été trouvé dans les vaccins traditionnels et ne devrait se trouver dans le corps humain. Leurs formes vont de l’apparence d’une carte SIM à des filaments en forme de perles et à de grandes formes rocheuses. Ils semblent être des structures métalliques. Aucun des experts ne savait à quoi elles servaient. “Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience”, et pourtant “ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes”.[110]Dr Burkhardt, “Slideshow presentation”, Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, … Continuer à lire
Comme l’a dit Holger Fischer, avocat allemand et membre du panel, “nous n’avons pas à avoir la charge de la preuve. Si vous aviez une limonade présentant ce type de contamination, elle serait immédiatement retirée du marché.”[111]2:19:13. Maria Hubmer-Mogg, un médecin autrichien, a abondé dans le même sens. “Ces vaccins doivent être retirés immédiatement et leur utilisation d’urgence révoquée”.[112]Ibid.******* Faisant référence au récit de la peur, elle a ajouté : “les gens veulent maintenant vacciner leurs enfants, même leurs tout-petits. C’est quelque chose d’inimaginable, c’est de la pure folie, et cette folie doit être arrêtée immédiatement.”[113]Ibid…
Après plus de deux heures et demie, Fischer a clôturé la conférence de presse par la déclaration suivante : “Une chose est claire, quiconque persiste à poursuivre en connaissance de cause à partir d’aujourd’hui est légalement punissable ; ils ne peuvent pas dire qu’ils ne l’ont pas fait délibérément ou du moins en partie délibérément. Il s’agit d’un crime contre l’humanité que l’on appelle ” élimination d’êtres humains “, et les partis éliminent leur électorat ici … Beaucoup de gens ne savent pas à quel point ils sont malades. Beaucoup vont peut-être découvrir ce soir [qu’ils ont besoin] de se faire aider … Nous voulons sauver ce qui peut l’être chez ceux qui sont déjà vaccinés.”[114]Ibid., 2:34:30.
Vous trouverez ci-dessous une sélection d’images, présentées lors de la conférence, de nombreux objets non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits. Ces images devraient suffire à elles seules à mettre un terme immédiat au déploiement criminel du Comirnaty en Nouvelle-Zélande.
L’insulte finale
Alors que l’accord conclu par Pfizer avec le gouvernement néo-zélandais reste caché aux yeux du public, et que le contenu des flacons de Pfizer reste occulté par un gouvernement aveugle à sa propre perfidie, une fuite du contrat de fabrication et de fourniture de Pfizer avec l’Albanie ouvre une fenêtre sur le monde infâme dans lequel ce géant pharmaceutique exerce son pouvoir sur les Etats-nations et leur extorque de l’argent sur la base de la fraude COVID-19. Ce contrat, signé par trois fonctionnaires albanais, fait de leur gouvernement une partie au fait que “les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus.”[115]Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer … Continuer à lire Pourtant, les énormes profits de Pfizer, qui s’élèvent à 12 dollars par flacon selon ce contrat, sont garantis même si une multitude de décès et de blessures surviennent, pour lesquels le gouvernement acheteur doit “indemniser, défendre et dégager de toute responsabilité Pfizer … contre tout procès, toute réclamation, toute action, toute demande, toute perte, tout dommage, toute responsabilité, tout règlement, toute pénalité, toute amende, tout coût et toute dépense … découlant du vaccin, s’y rapportant ou en résultant”.[116]Ibid., Attachment B – Delivery Schedule and Price, 22 (8.1). S’agit-il du même type d’arrangement que celui auquel le ministre néo-zélandais des Finances a consenti lorsqu’il a accordé à Pfizer-BioNTech l’immunité de poursuites le 5 octobre 2020, un arrangement qui doit être notifié à la Chambre parce que l’indemnité dépasse 10 millions de dollars ?[117]Ben Strang, “Government grants vaccine suppliers indemnity against claims”, Stuff via Radio NZ (25 Jan 21): … Continuer à lire Si c’est le cas, alors le gouvernement néo-zélandais est également lié par un contrat méprisable, qui sera caché au public pendant dix ans, pour l’achat d’un produit dont il sait et accepte qu’il est “sujet à des risques et des incertitudes significatifs… [et] peut ne pas être efficace”, mais qu’il n’a cessé de promouvoir comme “sûr et efficace”, qu’il a imposé à de larges pans de la population active et qu’il insiste pour que sa séquence de fabrication de poison et ses corps étrangers non déclarés soient introduits dans le corps de nos enfants.”[118]Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer … Continuer à lire
A propos des auteurs
Dr Mark Bailey MB ChB (Bachelier en médecine et en chirurgie), PGDipMSM (Diplôme de troisième cycle en médecine musculo-squelettique), MHealSc (Maîtrise en sciences de la santé) (Otago)
Est un chercheur en microbiologie, industrie médicale et santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.
Dr John Bevan-Smith BA (Hons) First Class (Licence de lettres (4 ans) avec mention très bien), PhD (doctorat) (Auckland)
Est un chef d’entreprise, auteur et chercheur, qui a entrepris des recherches pour le Tribunal de Waitangi Te Rōpū Whakamana i te Tiriti o Waitangi/The Ministry of Justice Te Tāhū o te Ture.
Essai original (anglais) : https://drsambailey.com/2021/11/11/the-covid-19-fraud-war-on-humanity/
Présentation vidéo de la partie 1 de l’essai par le Dr. Samantha Bailey (anglais) : The COVID-19 Fraud & War On Humanity (Part 1)
Traduction française : https://cv19.fr
Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Conférence de presse, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 1:27:20 : https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/ ; Au 25/9/21, un total de 2 448 262 événements indésirables et 26 041 décès avaient été signalés à l’Agence européenne des médicaments (Europe) ; au 15/9/21, un total de 1 204 555 événements indésirables et 1 662 décès avaient été signalés à Yellow Card (Royaume-Uni) ; au 1/10/21, un total de 2 826 646 événements indésirables et 16 310 décès avaient été signalés à VAERS (États-Unis). Le nombre total d’événements indésirables signalés dans ces trois régions s’élève à 6 479 563 et le nombre total de décès à 44 013. Compte tenu de la sous-déclaration connue de ces événements, il est prévu que les chiffres réels pourraient être au moins cinq fois plus élevés.
Voir : America’s Frontline Doctors et al. v Xavier Becerra, Secretary of the U.S. Department of Health and Human Services, et al., Civil Action No. 2:21-cv-00702-CLM, dépôt le 19 juillet 2021, 41 ; Citizens’ Adverse Events register.
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Anthony S. Fauci, “The Role of the National Institutes of Health in Research Addressing Seasonal and Pandemic Influenza”, témoignage devant le House Committee on Energy and Commerce Subcommittee on Oversight and Investigations (4 déc. 2019) : https://energycommerce.house.gov/sites/democrats.energycommerce.house.gov/files/documents/Testimony%20-%20Fauci%20%28NIH%29%2012.04.2019.pdf
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Helen Clark et S.E. Ellen Johnson Sirleaf, coprésidentes du Groupe indépendant pour la préparation et la réponse aux pandémies, “COVID-19 : Make it the Last Pandemic”, OMS (mai 2021), 4.
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Dr David Martin, Wise Traditions Conference 2021, “Follow the Patents, Then You Will Understand Covid”, (5 Nov 21) : https://rumble.com/vov60h-dr.-david-martin-follow-the-patents-then-you-will-understand-covid.html
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Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause de la mort après la vaccination Covid-19”, Conférence de presse Conférence, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 2:19:13.
James Corbett, “Bill Gates et la grille de contrôle de la population”, The Corbett Report, (18 mai 20) : https://odysee.com/@corbettreport:0/gatespopulation:b
Remarque : Bustin s’est trompé dans ses souvenirs. Comme nous l’expliquons ci-dessous, cette étape non valide n’a pas été effectuée par les inventeurs du SARS-CoV-2.
Stephen A Bustin, “Why the need for qPCR publication guidelines?-The case for MIQE”, Methods, 50 (16 Dec 2009), 218 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/ ; Interview de Stephen Bustin par Eric Coppolino, “Planet Waves FM Interview with Stephen Bustin conducted by Eric F Coppolino”, transcription par Joshua Halinen, New York 1er février 2021), 01:02:00 : https://cormandrostenreview.com/wp-content/uploads/2021/02/bustintranscript.pdf
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La méconnaissance du virus – La rougeole comme exemple; Wissenschafftplus Magazin 01/2020; https://cv19.fr/2021/03/07/la-meconnaissance-du-virus-la-rougeole-comme-exemple/
Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, Nature, Vol 579 (3 Feb 20, author correction 2 Apr 20), 266, Methods page: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3
Interview par Janis Mackey-Frayer du Dr Wu Zunyou, “Wuhan maintenant un an après”, NBC Nightly News Broadcast (Full) – 23 janvier 2021 | NBC Nightly News, NBC (23 Jan 21), 13:30-13:50 : https://www.youtube.com/watch?v=TjjA-8JXzYI
Peng Zhou et al., “A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin”, Nature, 579 (12 Mar 20), 270-273 plus 16 unnumbered supplementary papers: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7.pdf
Na Zhu et al., “A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019”, The New England Journal of Medicine, 382 (20 Feb 20, first published 24 Jan 20, updated 29 Jan 20), 728.
Leon Caly et al., “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia”, MJA, 212/10 (1 Jun 20, received 25 Feb 20, accepted Mar 20, published 9 Mar 20), 459 : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.5694/mja2.50569.
Letter of Rebecca Drew, Group Manager, Science and Insights, COVID-19 Health System Response, undated OIA letter Ref: H202008345, Ministry of Health. https://fyi.org.nz/request/14170-request-for-records-held-by-ministry-of-health-describing-the-isolation-of-a-sars-cov-2-virus-directly-taken-from-a-symptomatic-patient-of-covid-19
“Le ministère de la Justice annonce le règlement le plus important de son histoire en matière de fraude aux soins de santé”, ministère de la Justice des États-Unis (2 septembre 2009), 2 : https://www.justice.gov/opa/pr/justice-department-announces-largest-health-care-fraud-settlement-its-history.
” Novel Coronavirus (2019-nCoV) Situation Report – 1 “, OMS (21 jan 20), 1 : https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/330760/nCoVsitrep21Jan2020-eng.pdf?sequence=3&isAllowed=y . Moderna, Inc, ” United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement ” (9 nov 2018), 12, 94 ; BioNTech SE, United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement “, (sans date, supposé 2019), 5, F-7 : https://investors.biontech.de/static-files/0eb8771c-1cda-4868-bb9f-bdb22dfd29e4 . Les pertes de Moderna se sont élevées à 230 314 000 dollars pour 2016, 255 916 000 dollars pour 2017 et 243 308 000 dollars pour les neuf mois à fin septembre 2018, et auraient besoin de plus d’investissements. Bien qu’ayant levé 1,1 milliard de dollars depuis 2008 dans le cadre de placements privés de leurs actions, BioNTech a tout de même enregistré une perte avant impôts de 85 950 000 € pour 2017 et de 48 262 000 € pour 2018.
Victor Corman, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Christian Drosten Charité Virology, Berlin, Germany; Olfert Landt, Tib-Molbiol, Berlin, Germany; Marion Koopmans, Erasmus MC, Rotterdam, The Netherlands; Maria Zambon, Public Health England, London. Additional advice by Malik Peiris, University of Hong Kong, “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor Corman, et al., “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor M Corman, Olfert Landt, Marco Kaiser, Richard Molenkamp, Adam Meijer, Daniel KW Chu, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Julia Schneider, Marie Luisa Schmidt, Daphne GJC Mulders, Bart L Haagmans, Bas van der Veer, Sharon van den Brink, Lisa Wijsman, Gabriel Goderski, Jean-Louis Romette, Joanna Ellis, Maria Zambon, Malik Peiris, Herman Goossens, Chantal Reusken, Marion PG Koopmans, Christian Drosten, “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23: https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045
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November-2020.pdf ; Jerry Fisayo-Bambi, “Tanzania: goat, paw paw, jackfruit test positive for coronavirus”, Morning Call (6 May 20): https://www.africanews.com/2020/05/06/tanzania-how-can-goat-papaya-pawpaw-test-positive-to-corona-morning-call/
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Barnard et al., “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand”, 1, 2, 5; Denis Glover, “The Magpies”, in Enter Without Knocking (Christchurch: The Pegasus Press, 1971, first published 1964), 34; “Ventilators and ICU bed capacity”, Ministry of Health (11 May 20); Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501
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Ibib., 15:50 to 26:20; “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination” (21 Sep 21)”, 1: Source: https://de.rt.com/inland/124390-lymphozyten-laufen-amok-pathologen-untersuchen-todesfaelle-nach-impfung/. Translated from German by www.DeepL.com/Translator.
Dr Burkhardt, “Slideshow presentation”, Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21); Ibid., 1:53:
Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 19 (5.5).
Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 7 (2.1 [b]-[c]); “Dr Ashley Bloomfield and MedSafe’s Chris James talk about vaccine approvals”, Ministry of Health (4 Feb 21): https://www.youtube.com/watch?v=th4U_9Ddk4s
Avant le mois d’octobre, la plupart des 85 régions de Russie n’avaient que peu (ou pas) de restrictions liées au COVID ; les obligations imposant aux entreprises de vacciner la majorité de leurs employés – introduites à Moscou et dans plusieurs autres régions en juin – n’étaient pas encore devenues la norme.
Tout a changé après les élections à la Douma d’État, fin septembre. S’exprimant un jour avant l’annonce des résultats des élections, Annette Kyobe, représentante du FMI en Russie, a fait une déclaration prophétique. Comme l’a rapporté l’agence TASS à l’époque :
“Il n’y a pas de volonté [en Russie] pour des mesures restrictives, un confinement, du moins de la part des autorités étatiques. <…> Après les élections législatives, peut-être qu’une mesure plus impopulaire, comme la vaccination obligatoire, pourra être initiée dès octobre-novembre. “
Quelle incroyable prédiction ! Il se trouve que les “cas” et les “décès” de COVID ont inexplicablement commencé à monter en flèche immédiatement après les élections à la Douma, obligeant les autorités russes à introduire des restrictions et des QR codes dans tout le pays.
Le FMI l’a annoncé !
À partir d’octobre, les régions russes ont commencé à adopter en masse des obligations vaccinales et des passeports sanitaires numériques. Le 14 octobre, le vice-ministre des finances Timur Maksimov a déclaré au FMI et à la Banque mondiale que le gouvernement russe avait compris combien il était important de piquer tout le monde :
Les participants à la session d’automne du FMI et de la Banque mondiale sont arrivés mercredi à la conclusion que le problème de la crise de l’économie mondiale ne pourra pas être résolu tant que la population de tous les pays ne sera pas vaccinée dans la proportion requise, a déclaré le vice-ministre russe des Finances Timur Maksimov aux journalistes à l’issue de ces réunions.
“Tant que tous les pays ne seront pas vaccinés dans la proportion requise, le monde ne reviendra pas à l’ancienne normalité. Par conséquent, la question a été soulevée qu’il est nécessaire d’augmenter les efforts de production, d’assurer l’accès aux vaccins. De plus en plus de vagues de COVID couvrent différents pays”, a déclaré Maksimov.
Mais attendez… comment le FMI – un organe d’extorsion financière de l’Occident – a-t-il pu prédire avec autant de précision l’adhésion chaleureuse de la Russie au système mondial de castes fondé sur le vaccin ?
Juste un coup de chance. De toute évidence, cela n’a rien à voir avec les 18 milliards de dollars américains que le FMI a déversés dans les coffres du Kremlin en août dernier. Le directeur du FMI a décrit cette généreuse injection de liquidités comme faisant partie d’un “vaccin pour l’économie mondiale pendant une crise sans précédent”. (Il convient de noter, par souci d’exactitude, que les 18 milliards de dollars ont été accordés sous la forme de “droits de tirage spéciaux”. Les DTS sont des unités de compte pour le FMI et représentent une créance sur les devises détenues par les pays membres du FMI, contre lesquelles ils peuvent être échangés).
Fait scandaleux, certains analystes et médias russes ont suggéré que quelque chose était légèrement suspect dans tout cela – mais pourquoi suggérer quelque chose d’aussi stupide ? Peu importe :
“Il n’y a pas de volonté de recourir à des mesures restrictives, au confinement, du moins de la part des autorités de l’État. Après les élections législatives, peut-être qu’une mesure plus impopulaire, comme la vaccination obligatoire, pourra être initiée dès octobre-novembre.”
Ceci est un extrait du discours de la représentante résidente du FMI en Russie, Annette Kyobe, lors du webinaire de Fitch Ratings “Russia – Macroeconomic Forecast 2021”.
Sur l’antenne de la chaîne Tsargrad TV, Alexander Losev, membre du Présidium du Conseil de la politique étrangère et de défense, a expliqué pourquoi notre pays continue de coopérer avec des organisations discréditées et pourquoi le FMI veut vacciner toute la Russie :
“Le FMI et la Banque mondiale sont deux organisations qui ont introduit un concept tel que le consensus de Washington.
L’adhésion à ce consensus de Washington est écrite pour tous les pays en développement.
Tout d’abord, il s’agit d’une limitation de la souveraineté de l’État, moins de soutien aux entreprises, plus – le marché, les mains invisibles du marché, il y en a beaucoup, et certaines exigences pour les budgets et la politique budgétaire.
Tous les pays qui ont suivi le consensus de Washington ont mal fini, avec des crises.
Le deuxième point est de savoir pourquoi le FMI le dit.
Fin août, la Banque de Russie a reçu 18 milliards de dollars du FMI sous forme de droits de tirage spéciaux, c’est-à-dire qu’elle a reçu de l’argent. Je ne fais pas d’allusion, je dis simplement : l’argent a-t-il été accepté ? Accepté.
Ce sont les instituts de gouvernance mondiale créés par les États-Unis. Et maintenant, l’activité de ces institutions est une tentative des États-Unis de préserver leur hégémonie, de préserver leur pouvoir sur le monde.
Ce sont des outils. Derrière eux se trouvent les États-Unis et leur establishment, ceux qui gèrent le capital, la politique mondiale – ou qui pensent le faire.
[…]
Les principaux bénéficiaires de la pandémie sont, bien sûr, les financiers. Parce que tout l’argent que les gouvernements et les banques centrales ont envoyé pour aider l’économie, est essentiellement passé par le système bancaire. Le système bancaire américain représente 90 000 milliards de dollars d’actifs. Tout l’argent que le gouvernement a alloué est passé par là aussi.
L’estimation est de combien d’argent a été alloué et combien est entré dans le système bancaire, de 24 à 27 trillions de dollars. Équivalent. Dans différents pays, y compris les pays en développement.
C’est complètement absurde ! La Russie a adopté des politiques de vaccination obligatoire à l’échelle nationale parce qu’une énorme et dangereuse vague de COVID a émergé immédiatement après les élections à la Douma, ce qui a nécessité plus de Sputnik V, partout et pour tout le monde. Si les Russes n’aiment pas ça, ils auront l’occasion de voter à nouveau, lors des prochaines élections à la Douma, en 2026.
La santé publique est une chose amusante.
Voir aussi : vidéo du président Biélorusse qui dénonce les tentatives de la banque mondiale et du FMI de s’immiscer dans les décisions politiques du pays, particulièrement concernant la gestion du covid https://www.bitchute.com/video/CiLuZXbC3qAs/
Article original (anglais) : https://anti-empire.com/imf-correctly-predicts-arrival-of-compulsory-vaccination-across-russia-after-floating-kremlin-18-billion/
Les États-Unis prévoient d’acheter suffisamment de pilules antivirales Covid Pfizer pour 10 millions de personnes. (New York Times – 16 nov. 2021)
30 pilules à prendre dans les 5 jours suivant les premiers symptômes du COVID-19_.
“L’administration Biden prévoit de payer plus de cinq milliards de dollars pour un stock de la nouvelle pilule Covid-19 de Pfizer, suffisant pour environ 10 millions de traitements, après que la société aura accéléré sa production l’année prochaine, selon des personnes proches de l’accord.”
4 comprimés de vitamine D (total de 200 000 UI) peuvent apporter un bénéfice similaire à un coût bien moindre.
Environ 20 doses par flacon de 20 $ = 1 $ par dose
Donc, 10 millions de doses = 10 millions de dollars
Quelques études sur la vitamine D et le COVID, évaluées par des pairs.
(liens en anglais, google translate disponible sur les pages)
Documentaire 2020 – A Shot In The Dark – Un documentaire révélateur sur les dangers, les conséquences et la corruption scientifique dans le domaine des vaccins.
Titulaire d’un doctorat en médecine (équivalent américain) de l’université de médecine pédiatrique de Saint-Pétersbourg, le Dr Valentina Kiseleva est un expert indépendant en matière de bioéthique et de biosécurité. Elle a notamment été le conseiller personnel du chef de la mission de Médecins sans frontières en Russie. Elle a participé à de nombreux processus législatifs touchant à la santé et possède une vaste expérience aux États-Unis, en Russie et en Europe dans le domaine du diagnostic différentiel, à savoir la détection des erreurs médicales et la recommandation de traitements appropriés. C’est ce qu’elle fait actuellement dans le cadre du covid-19.
Du mythe du virus à celui de la protéine spike, des causes réelles de la maladie attribuée à Sars-Cov-2 à une invention technologique visant à influencer notre système nerveux par des champs électromagnétiques externes de très faible intensité, des résultats les plus récents concernant des objets mystérieux observés dans les injections (nanorobots ?) au projet de les remplacer par des médicaments, cette émission jettera un nouvel éclairage sur le plus incroyable mensonge de notre histoire : une pandémie qui n’a jamais eu lieu.
🔗 : Dr Valentina Kiseleva :
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✅ Blog du Dr. Urmie Ray : https://urmieray.com/
Source : https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/Valentina-Kiseleva:9
Vidéo originale : https://odysee.com/@AKINA:7/2021-11-03-SC3-Dr-Valentina-Kiseleva-EN:6